samedi 31 août 2024

Discipline traditionnelle

Caroline découvre la fessée



Caroline poussa un petit cri de surprise en voyant un martinet suspendu à côté du frigo. Sa mère qui était en train de préparer le repas se retourna en souriant :

— Qu’est-ce qui t’arrive ma chérie ?

Caroline fixait le martinet, elle ne répondit pas. Julie sa maman avait remarqué son regard :

— C’est le martinet de ta grand-mère, je l’ai retrouvé en faisant du rangement. Il était toujours suspendu dans la cuisine quand j’étais gamine.

Caroline avait retrouvé ses esprits, elle regarda sa mère :

— Mais… mais tu ne vas quand même pas le laisser là ?

— Et pourquoi donc ?

Caroline avait rougi, sa mère était sévère et jusqu’à ses dix ans elle avait souvent reçu la fessée déculottée mais depuis cette date elle avait cessé de l’utiliser et Caroline pensait en avoir fini avec ce châtiment enfantin. Avoir un martinet suspendu en permanence dans la cuisine ne lui disait rien qui vaille. Elle essaya de parler calmement, mais ça bouillait à l’intérieur :

— Mais quand même, tu as dit toi-même que c’était quand tu étais gamine.

Julie regardait sa fille avec un petit sourire malicieux :

— Tu le prends donc pour toi ? Ça tombe bien, c’est pour toi que je l’ai mis là. J’ai dit que c’était quand j’étais gamine, mais ce n’est pas tout à fait exact, il est resté là tant que je suis restée à la maison, j’avais vingt ans.

Caroline ne put se retenir :

— Mais maman, qu’est-ce qu’ils vont penser les gens en voyant ce martinet ?

Julie était aux anges devant la gêne de sa grande fille, depuis quelques temps, elle était impossible. Insolente, n’écoutant rien, cela faisait un moment qu’elle pensait avoir recours à son arme fatale, la fessée déculottée. Certes elle ne l’utilisait plus depuis très longtemps et Caroline était une jeune femme et avait un travail, mais comme sa mère l’avait fait avec elle, elle se posait de plus en plus la question ne devrait-elle pas à nouveau utiliser les bonnes vieilles méthodes qui avaient fait leur preuve. En retrouvant ce martinet familial une idée lui était venue pourquoi ne pas s’en servir si Caroline continuait à être insupportable.

— Eh bien ils verront que cette maison est bien tenue ma chérie. Mais pourquoi es-tu si inquiète, si tu te comportes bien tu n’as rien à craindre.

Caroline aurait dû se méfier, elle connaissait pourtant sa mère, mais elle ne put s’empêcher de lancer :

— Mais enfin, ça ne va pas, tu es ridicule, j’ai vingt-deux ans si tu ne le sais pas !

Le sourire de Julie se figea, son regard devint plus sévère :

— Pardon ? Tu ne me parles pas comme ça !

Caroline se mordit les lèvres, mais son caractère volcanique revint rapidement :

— On est au vingt et unième siècle si tu n’es pas au courant !

— Ah oui ? Eh bien, je vais te montrer comment je traite les insolentes au vingt et unième siècle.

Avant que Caroline ne comprenne ce qui lui arrivait, elle se retrouva courbée contre la hanche de sa mère, celle-ci n’ avait pas perdu l’habitude, elle tenait solidement sa grande fille avec son bras gauche. Nous étions en été, Caroline portait une jupe à fleur assez courte, Julie n’eut aucun mal à la retrousser pour mettre à jour une petite culotte jaune en dentelle qui rentrait déjà dans la raie fessière, découvrant à moitié les fesses de la jeune femme.

La main de la sévère maman entreprit de claquer le fessier tendu sous la culotte, Caroline se mit à crier et à trépigner sur place :

— Non, non arrête maman, pardon, aïe, aïe… noon !!!

Julie était ravie que sa fille lui ait tendu la perche, elle allait pouvoir mettre en pratique ses projets. La base des fesses découvertes était déjà rouge, elle relâcha sa fille qui se redressa les joues très rouges, mais ce répit fut de courte durée, la maman avait saisi l’oreille de sa fille et s’était assise sur une chaise, en un clin d’œil, elle fit basculer Caroline en travers de ses genoux, celle-ci poussa un cri :

— Noon…

La jupe était retroussée haut sur son dos, sa mère saisit l’élastique de la culotte et la baissa brusquement à mi-cuisses :

— Une bonne fessée déculottée, voilà ce qu’il faut aux petites insolentes et je te promets que tu vas t’en souvenir de celle-là.



La main claquait méthodiquement la croupe qui rosissait très vite, les pieds décollés du sol battaient l’air désespérément, les fesses s’ouvraient largement, Caroline hoquetait sous la cuisson qui envahissait son derrière. Elle se mit à pleurer et à supplier sa mère :

— Pardon maman, s’il te plaît plus la fessée, aïe, aïe, aïe…

La correction continua encore un moment, la croupe était écarlate quand Julie s’arrêta :

— Tes fesses sont très jolies ma chérie, j’espère que tu commences à comprendre, mais je n’en ai pas encore tout à fait fini avec ton derrière. Tu vas aller au coin pour réfléchir !

Une claque sur la croupe cramoisie invita la jeune femme à rejoindre le coin de la pièce. Ça faisait une éternité que sa mère ne lui avait pas imposé ce petit complément de punition. Être mise au coin fesses à l’air comme une gamine à vingt-deux ans, quelle honte, surtout que Julie lui coinça la jupe dans la ceinture pour bien dégager le derrière rougi, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles. L’humiliation suprême vint de l’ordre suivant :

— Mets tes mains sur la tête et colle ton nez contre le mur et cesse de pleurnicher !

Caroline malgré la brûlure qui incendiait sa croupe était sidérée que sa mère ait osé la traiter ainsi, mais elle avait obéi quand même sans broncher. Julie eu un petit sourire en voyant que sa grande fille ne protestait pas, finalement son éducation stricte avait quand même laissé des traces. Raison de plus pour ne pas transiger pensa-t-elle, Caroline commence à prendre ses aises et je n’ai pas l’intention de me laisser marcher sur les pieds. S’il faut en passer par la bonne vieille fessée cul nu et bien tant pis pour ton derrière ma chérie.



Le temps parut bien long à Caroline, la douleur de la fessée avait laissé place à la honte d’exposer ainsi ses fesses nues au salon, elle entendait sa mère vaquer à ses occupations sans se soucier d’elle, puis soudain elle l’appela :

— Viens ici ma chérie.

Penaude, la jeune femme se retourna, Julie la regardait en souriant :

— J’espère que ce petit séjour au coin t’a permis de réfléchir aux conséquences de ton insolence. Comme je te l’ai dit tout à l’heure, je n’en ai pas tout à fait fini avec ton derrière. Ta conduite ces derniers temps est intolérable et j’ai décidé d’y mettre bon ordre. A partir d’aujourd’hui, à chaque fois que tu te comporteras mal, tu auras droit à un petit séjour sur mes genoux la culotte baissée, quand tu en auras assez d’avoir les fesses bien rouges, je pense que tu changeras d’attitude.



Caroline regardait sa mère avec de grands yeux. Bien sûr, quand elle était gamine celle-ci utilisait la fessée déculottée assez régulièrement, mais elle ne pensait pas qu’elle aurait osé recommencer maintenant qu’elle avait vingt-deux ans. L’époque de ce genre de châtiment lui semblait révolu, la suite fut encore plus terrible pour elle.

— Tu vas aller chercher le martinet à la cuisine, je pense que tes fesses ont besoin d’un petit complément.

La jeune femme allait ouvrir la bouche pour protester, mais le regard noir de sa mère et l’ordre suivant l’en dissuada :

— Tu enlèves ta culotte et tu la poses sur la table, tu resteras fesses à l’air cet après-midi, ce sera plus pratique si tu as besoin d’un petit rappel à l’ordre. Et maintenant tu te dépêches d’aller chercher le martinet, si je dois compter ta punition sera doublée !

Caroline se précipita vers la cuisine, ses fesses encore rosées se trémoussaient aux rythmes de ses pas ce qui fit sourire sa mère. « Tu as vraiment un joli popotin ma petite, tu vas voir comme maman va bien s’en occuper »

La jeune femme réapparut le martinet à la main, elle regardait ses pieds, la honte d’être traitée ainsi était trop forte, Julie tendit la main :

— Donne-moi le martinet, va te mettre à genoux sur le fauteuil et tu me présentes bien tes fesses.

Caroline avait les larmes aux yeux, elle essaya d’amadouer sa mère :

— Maman, promis je vais être sage, s’il te plaît, pas le martinet.

Elle se surprenait elle-même à s’adresser à sa mère comme si elle était une gamine, prête à tout pour éviter la punition. Julie la regarda en souriant :

— Oh ça j’en suis sûr que tu vas être bien sage avec les fesses brûlantes. C’est en général comme ça que les chipies se conduisent après une bonne fessée au martinet. Dépêche-toi si tu ne veux pas que je double ta punition !!

C’était donc peine perdue pour Caroline, elle prit la position requise, elle n’avait jamais reçu une correction avec cet instrument, sa mère avait toujours utilisé uniquement sa main.

Instinctivement elle contracta ses fesses, ce qui eut le don de faire sourire sa maman « on dirait que tu as peur pour ton petit derrière ma chérie ? Tu as bien raison ça brûle le martinet »

Elle se souvenait avec émotion de sa dernière fessée reçue avec cet instrument, elle était à peine plus jeune que Caroline, elle avait vingt ans, c’était juste avant qu’elle ne quitte la maison, sa mère était très stricte, elle l’avait surprise à fumer avec des copines, la sanction avait été immédiate, heureusement pas devant ses amies, mais dès la porte franchie, la sévère maman avait décroché le martinet et après avoir troussé et déculotté Julie, elle l’avait fait se pencher sur la table et lui avait administré une fessée magistrale dont elle gardait encore la mémoire.

Elle contemplait le fessier rebondi de sa fille, elle tapota les fesses :

— Écarte un peu tes jambes ma chérie et desserre tes fesses, crois-en mon expérience, la fessée est moins douloureuse sur des fesses détendues.

Caroline soupira et s’exécuta, sidérée par les réflexions de sa mère qui parlait technique tandis qu’elle était là, à vingt-deux ans en train de lui exposer son derrière déculotté. Elle n’eut pas longtemps à attendre une brûlure indicible scia sa croupe en deux, le martinet manié avec dextérité par Julie entrepris de redonner une magnifique couleur au joufflu de Caroline. C’était ainsi qu’Anne-Marie sa grand-mère dénommait son derrière quand elle voulait se moquer gentiment des rondeurs de sa petite fille.



La jeune femme avait commencé par crier et à battre des pieds, maintenant elle pleurait tout en écartant largement son derrière écarlate. Julie ne fut pas trop sévère, elle voulait juste marquer le coup, il serait toujours temps d’administrer à sa chipie une bonne correction si elle ne changeait pas de comportement.

Elle posa le martinet sur la table du salon et se recula pour regarder le fessier de Caroline, comme un artiste contemplant son œuvre. Les deux fesses se serraient et s’ouvraient convulsivement, c’était assez excitant, Julie se surprit à prendre du plaisir au spectacle de cette jolie paire de fesses rubicondes. Caroline ne le savait pas encore, mais elle allait souvent être déculottée à partir d’aujourd’hui :

— Tu vas retourner te mettre au coin. Il faut que tes fesses refroidissent et puis je pense que tu ne vas pas aller à la piscine cet après-midi. Tes copines pourraient te demander pourquoi tes cuisses et tes fesses sont rouges.









6 commentaires:

  1. Magnifique déculottée pour Caroline 🍑 🙏🍑personnellement, la fessée déculottée n'existe, j’adore. Mais je déteste le martinet !!

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  2. Un martinet est toujours d'utilité dans un habitat , car on le craint ,sa vue peut suffire

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  3. C'est vrai que le martinet est terrible

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    1. Un martinet n'est pas terrible , juste cinglant , plus ou moins fortement , mais qui remet bien souvent les idées en place !

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    2. Ho oui ca remet les idees en place et pas que pout les chipies !

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  4. Terrible n'est pas le mot que j'emploierais ma chère Caroline, je dirais cuisant... Mais tellement efficace sur le derrière des chipies, n'est-ce pas.
    Une rougeur magnifique, une cuisson intense, mais on n'abime pas les jolies fesses et on peut recommencer le lendemain.
    Sylvie

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