Cuisante soirée
Odile était rentrée à la maison les fesses brûlantes et encore rouges. Elle était cul nu sous sa jupe, sa mère lui ayant confisqué sa culotte. Elle était furieuse d’avoir été traitée ainsi par Claudine, il lui fallait trouver quelque chose pour se calmer. Elle était juste devant la porte de l’appartement des étudiantes, un sourire gourmand éclaira son visage, les jolies fesses de Clara et Clémence allaient la consoler.
Évidemment elle rentra sans frapper, il n’y avait personne dans le salon, sans faire de bruit, elle s’approcha de la chambre de Clara, des soupirs s’échappaient par la porte. Elle entra brusquement, les deux jeunes femmes poussèrent un cri. Clémence était couchée sur les genoux de son amie elle était déculottée et ses fesses étaient encore rosées, elle chercha à se relever mais la sévère maman l’arrêta :
— Non ! Tu restes là.
Un tube de crème était posé sur le lit, Clara avait toujours la main posée sur les fesses de clémence.
— Que faisiez-vous ?
Clara bredouilla :
— Euh… rien madame, je vous assure, je passais juste un peu de crème sur les fesses de Clémence.
Odile regardait amusée les deux jeunes femmes qui ne savaient quelle contenance adopter, elle remarqua rapidement le thermomètre posé à côté du tube de crème, elle s’en saisit :
— Tiens, tiens, vous jouiez au docteur on dirait ? Vous ne croyez pas que ce n’est plus de votre âge.
Clara avait les joues très rouges, elle ne répondit pas, les fesses de Clémence s’étaient contractées.
— Je vais vous apprendre moi ! On va commencer par toi Clémence puisque tu as déjà les fesses à l’air, ça sera plus rapide, lève-toi et viens ici.
En un clin d’œil, Clémence changea de genoux, elle était maintenant couchée en travers des cuisses d’Odile, celle-ci avait pris place sur une chaise. La sévère maman commença par examiner le fessier de la jeune femme, il était encore rosé, signe d’une correction récente :
— Tu as reçu une fessée ? Qui te l’a donnée ?
Elle avait accompagné sa question d’une bonne claque au milieu des fesses, Clémence savait qu’il lui fallait répondre, la punition était inéluctable mais autant qu’elle ne soit pas doublée. D’une petite voix, elle avoua :
— C’est Amélie madame.
Odile fronça les sourcils :
— Amélie ? Et pourquoi donc ?
Clémence se sentait coincée, avouer que la jeune baby-sitter était revenue lui administrer une fessée ce matin à cause de son mauvais comportement de la veille lui vaudrait certainement une punition supplémentaire, mais lui dire qu’Amélie avait été injuste et qu’elle l’avait corrigée sans raison, c’était s’exposer à des représailles lors d’une prochaine soirée baby-sitting. Elle opta pour la première solution :
— Euh, c’est-à-dire… je lui ai mal parlé hier soir.
— Ah oui !!
Le ton de la voix de la sévère maman ne disait rien qui vaille à Clémence, elle poussa un cri, la première claque venait de tomber sur son derrière dénudé :
— De mieux en mieux, je m’apprêtais à te punir pour tes petits jeux avec Clara et bien tu auras droit à un supplément, crois-moi tu vas finir par être une gentille fille sinon tes fesses seront rouges en permanence.
La fessée retentissait déjà dans la chambre, Clara regardait avec effroi sa copine en train de recevoir sa correction, nul doute que dans quelques instants, ce serait son tour. En effet quelques minutes plus tard elle hurlait et pleurait en gigotant sur les genoux d’Odile. Clémence le nez au mur et la culotte aux genoux exposait une paire de fesses écarlates. Dès que la deuxième fessée fut terminée, Odile leur indiqua la porte :
— Maintenant on va continuer votre leçon chez moi, filez devant et vite, vous gardez vos mains sur la tête.
Les deux étudiantes s’exécutèrent, elles marchaient l’une à côté de l’autre, leurs derrières étaient d’un rouge éclatant. Les jupes épinglées dans le dos et la culotte aux genoux, c’est dans cette tenue peu glorieuse qu’elles traversèrent le palier pour rejoindre l’appartement d’Odile.
La sévère maman leur indiqua le canapé :
— Vous vous couchez chacune sur un accoudoir, que vos fesses soient bien exposées, et ne vous avisez pas de bouger, je reviens.
Clara et Clémence obéirent, elles se doutaient un peu de la suite, mais espéraient quand même échapper à cette punition infamante.
Hélas leur espoir fut vite évanoui. Odile était passée dans sa chambre pour remettre une culotte, elle avait regardé son fessier dans la glace, il était toujours rouge, elle passa sa main dessus, il était encore un peu chaud. Décidément pour une première fessée sa mère n’y était pas allée de main morte, elle se reculotta et prit sur la commode les deux thermomètres qui étaient toujours là dans l’attente d’une punition à venir.
Arrivée dans le salon, elle s’arrêta pour contempler le charmant spectacle de ces deux belles croupes rouges, tendues vers le ciel, ces deux demoiselles avaient vraiment des fesses ravissantes. Elle s’approcha en premier de Clémence, elle lui tapota le derrière :
— Allez ma grande, il va falloir me desserrer ces fesses, maman Odile va te mettre le thermomètre, apparemment ça te plaît.
Avec deux doigts, elle avait bien ouvert la raie fessière, même si elle commençait à en avoir l’habitude, c’était toujours un moment de honte pour la jeune femme, sentir le regard d’Odile braqué sur son intimité, l’embout froid du thermomètre commença à pénétrer doucement, elle savait qu’il ne fallait surtout pas serrer ses fesses sous peine d’une punition supplémentaire. Elle ferma les yeux et relâcha au maximum ses muscles fessiers, Odile était satisfaite, sa sévère éducation portait ses fruits, les deux jeunes étudiantes étaient devenues dociles. Elle relâcha les fesses et elle se refermèrent sur le thermomètre qui ne dépassait à peine de la raie médiane.
C’était au tour de Clara de subir l’humiliante introduction, elle eut droit à une dizaine de claques sonores pour n’avoir pas suffisamment écarté ses cuisses, puis Odile se recula pour apprécier le tableau offert par les deux jeunes femmes, c’était vraiment excitant, elle leur annonça avec un sourire gourmand :
— j’espère que vous êtes bien installée, vous allez rester là jusqu’à l’heure du dîner.
Il était dix-sept heures, elles en avaient pour environ deux heures trente à exposer leur derrière au milieu du salon. L’angoisse avait saisi Clémence, elle était moins habituée que sa copine aux punitions publiques, si quelqu’un d’étranger venait rendre visite à Odile.
Elles étaient dans cette position depuis une demi-heure, les fessiers se crispaient de temps en temps sur le thermomètre profondément enfoncé, Odile en passant claquait les derrières :
— J’espère que ça va vous servir de leçon mes demoiselles, vous devriez avoir honte à votre âge d’exposer vos fesses comme deux gamines.
La sonnette retenti, les deux paires de fesses se serrèrent en même temps, une conversation se déroulait dans le hall, puis soudain des pas.
— Oh comme c’est charmant. Mais à qui sont donc ces deux jolis fessiers !
La voix ne leur était pas inconnue, c’est Odile qui les renseigna :
— C’est vrai que vous n’avez pas eu encore l’occasion de voir leurs derrières ma chère Brigitte, ce sont les deux étudiantes qui habitent en face de chez moi. Je fais fonction de tutrice à la demande de leurs mères.
C’était la dame du troisième étage, elles l’avaient souvent croisée dans l’ascenseur, c’était encore plus humiliant, car elles allaient être amenées à la rencontrer à nouveau. Elle avait l’air de trouver normal que deux jeunes femmes soient couchées sur l’accoudoir du canapé, la culotte baissée et les fesses rouges. Elles sentirent qu’elle s’approchait comme pour mieux les examiner :
— Ah, mais elles ont eu droit à votre petite spécialité.
Odile se mit à rire :
— Oui, la spécialité maison, après une bonne déculottée ça fini de calmer les impertinentes, n’est-ce pas Brigitte ?
Si les deux étudiantes n’avaient pas eu le nez dans les coussins et tellement honte d’être vue dans cette position, elles auraient pu remarquer la rougeur des joues de Brigitte et le trouble dans sa voix.
Elle aussi avait goûté à l’humiliante punition, malgré ses soixante ans et ses airs de bourgeoise, elle s’était retrouvée déculottée sur les genoux d’Odile, mais c’est une histoire que nous aborderons plus tard.
Odile était ravie d’avoir retrouvé un peu d’autorité, elle changea de conversation :
— Je vous offre un thé ?
Brigitte en souriant accepta :
— Bien sûr, ça va me permettre de profiter plus longtemps de ce joli spectacle.
Ce n’était pas vraiment du goût des deux punies, mais on ne leur demandait pas leur avis. Brigitte s’approcha de Clara, c’était elle qui avait la plus belle paire de fesses, elle en fut jalouse. C’est beau la jeunesse pensa-t-elle, sa main caressa l’épiderme rougeoyant :
— Alors on a pas été sage ? Maman Odile à fait panpan cucul ?
Clara était mortifiée d’entendre cette dame lui parler comme si elle était une vulgaire gamine que sa mère avait troussée et déculottée devant tout le monde, mais malheureusement elle ne pouvait rien y faire. Odile revenait avec le plateau et les tasses, elle remarqua le regard concupiscent de Brigitte sur les fesses de Clara :
— Vous aurez certainement l’occasion de revoir ces jolis derrières, j’ai beau leur tanner régulièrement les fesses, ces deux chipies continuent de faire des bêtises, à croire qu’elles aiment ça ! D’ailleurs à ce propos, si jamais vous les surprenez en train d’en faire, surtout ne vous gênez pas, la culotte baissée et la fessée illico, vous avez mon autorisation.
Clémence et Clara malgré leur inconfortable position suivaient la conversation, elles furent une nouvelle fois consternées, Odile venait de donner la permission à Brigitte de les punir de cette façon si honteuse, nul doute que celle-ci allait sauter sur l’occasion.
La tea-party avait semblé bien longue aux deux étudiantes, elles étaient maintenant seules, Odile s’affairait en cuisine, se contentant de venir jeter un œil de temps en temps sur les deux croupes exposées.
Ce fut Chloé qui rentra la première, elle pouffa au spectacle des deux derrières déculottés et garni du thermomètre, mais elle le fit discrètement, elle se savait en sursis depuis la sévère punition du week-end et la fessée déculottée du coucher était toujours à l’ordre du jour.
Amélie arriva une quinzaine de minutes plus tard, elle fut moins discrète que sa sœur :
— Mazette, quelles belles paires de fesses, vous avez encore fait des bêtises les chipies ?
Odile sortit de la cuisine :
— Oh que oui ! À propos tu as flanqué une fessée à Clémence ce matin ?
Amélie à peine déstabilisée par la question, répondit le plus naturellement du monde :
— Oui, je lui avais promis hier soir, elle avait été impossible. Il ne fallait pas ?
La réponse de sa mère la rassura et la conforta, elle pouvait user et abuser de la fessée sur les derrières des deux étudiantes :
— Si, si, tu as eu raison, Clémence m’a avoué qu’elle t’avait mal parlé, tu as eu raison, d’ailleurs elle a eu droit à une fessée supplémentaire de ma part.
Clémence bouillait intérieurement, cette petite garce avait maintenant tous les droits et elle n’allait pas s’en priver.
A dix-neuf heures trente, elles furent enfin libérées et elles purent se reculotter, cependant pour Clémence les ennuis n’étaient pas finis, Odile lui annonça :
— Je ne tolère pas l’impolitesse, Amélie viendra t’administrer une bonne fessée avant que tu n’ailles au lit à neuf heures trente. J’espère que la prochaine fois qu’elle viendra vous garder tu te comporteras mieux.
Amélie avait souri en entendant sa mère, décidément c’était une bonne journée, elle aurait eu deux fois le mignon derrière de Clémence à sa disposition.
Les deux amies étaient rentrées chez elle, Clémence fit des reproches à Clara :
— À cause de toi, on a déjà été bien punies et en plus cette petite garce d’Amélie va en profiter ce soir.
Clara lui passa la main sur les fesses en souriant :
— Dis donc vilaine, tu n’étais pas là dernière à vouloir que je te câline, tu en as quand même bien profité et puis je te signale que j’ai eu droit moi aussi à ma déculottée et au thermomètre.
Elle lui tapota un peu plus sèchement la croupe, finalement tu l’auras bien mérité ta fessée de ce soir, tu n’es qu’une ingrate.
Clémence frotta son fessier :
— Ah non, tu ne vas pas t’y mettre toi aussi qu’est-ce qu’elles vous ont fait mes fesses.
Clara se mit à rire :
— Tu sais que tu es adorable ma petite chérie quand tu te frottes le derrière, c’est parce qu’elles sont mignonnes nos fesses, que tout le monde à envie de nous déculotter.
Le téléphone de Clémence vibra, c’était Amélie, la jeune étudiante fit la grimace en lisant le message « coucou ma petite chipie, je vais venir m’occuper de ton petit derrière tout à l’heure, tu vas aller au dodo avec les fesses bien chaudes, je veux te trouver dans ta chambre au pied de ton lit la culotte baissée quand j’arriverai. À tout à l’heure ». Elle siffla entre ses dents :
— Quelle garce ! J’espère bien qu’un jour je pourrai te rendre la monnaie de ta pièce.
À l’heure dite, Amélie entra dans l’appartement, elle n’avait bien sûr pas sonné. Clara lisait dans le salon :
— Coucou ma chipie, où est ta copine ? J’espère qu’elle est prête pour son panpan cucul.
Clara lui désigna la chambre, sans lever les yeux :
— Elle est dans sa chambre.
Amélie lui lança un regard noir :
— Tu sais que ce n’est pas poli de ne pas regarder les gens !
Clara surprise par le ton, regarda enfin la baby-sitter :
— Oh, pardon mademoiselle.
Elle n’avait pas pu se retenir, ce ton ironique eu le don d’irriter encore plus Amélie, elle se dirigea vers la jeune femme et avant qu’elle n’ait pu réagir, elle la saisit par l’oreille :
— Je vais t’apprendre la politesse ma petite chipie.
Sa main avait claqué rapidement l’arrière des cuisses au ras de la jupe, surprise Clara sautilla sur place :
— Aïe, pardon mademoiselle Amélie, aïe…
— Tu files dans ta chambre, tu te mets en pyjama et tu m’attends fesses à l’air au pied de ton lit, je viens te voir quand j’ai fini de m’occuper de Clémence.
Clara regrettait amèrement sa petite rébellion, mais c’était trop tard, elle était bonne pour aller au lit elle aussi avec une paire de fesses rouges. Sans attendre de voir si elle obéissait, Amélie avait ouvert la porte de la chambre de Clémence. Le spectacle était exactement ce qu’elle avait prévu, la jeune femme se tenait bien droite au pied de son lit, les bras pendant le long de son corps, elle avait baissé sa culotte de pyjama sous ses fesses qui étaient encore rosées des fessées reçues précédemment.
Elle s’approcha sans dire un mot, la croupe se crispa légèrement, la raie médiane ne faisait plus qu’un trait, en souriant elle tapota les fesses :
— C’est bien tu es obéissante, on dirait que ton derrière a peur de ce qui va lui arriver.
Elle s’installa sur le lit et prit la main de la jeune étudiante pour la faire approcher :
— Tu as été vilaine n’est-ce pas ?
Amélie, bien qu’elle commençât à s’habituer à ses humiliations, ne put s’empêcher de rougir et de baisser la tête. Elle était comme une gamine prise en faute, alors que celle qui s’adressait à elle avait trois ans de moins qu’elle.
Amélie appuya sur ses fesses pour l’inciter à se coucher en travers de ses cuisses :
— Allez en piste ma belle, avant que je te donne ta fessée, tu vas me raconter un peu pourquoi maman vous a punie cet après-midi.
C’était une humiliation de plus pour la jeune femme, mais elle n’était cependant pas en position de refuser. Pour l’inciter à commencer sa confession, Amélie lui claqua sèchement la croupe :
— Je t’écoute, tâche de ne rien oublier, je vais interroger Clara ensuite.
Elle raconta donc comment elles avaient pris l’habitude de se consoler après une correction en se caressant mutuellement et en se passant une crème apaisante sur les fesses, elle omit cependant de préciser qu’elles avaient pris goût à l’introduction du thermomètre dans leur petit trou.
Pendant sa confession, Amélie lui palpait les fesses, ses doigts s’insinuèrent entre les cuisses et jusqu’à la vulve de sa punie, quand celle-ci eut fini, elle lui administra une bonne claque au milieu des fesses :
— Eh bien c’est du joli !
Elle feignait l’indignation, alors qu’elle faisait la même chose avec sa sœur, mais l’occasion était trop belle de jouer à la maman sévère :
— Je vais vous apprendre, vilaines filles.
La main se mit à claque les rondeurs, c’était la troisième fessée de la journée, son épiderme était déjà enflammé, Clémence ne fut pas longue à pleurer. Comme à son habitude, bien que ça ne serve à rien elle supplia sa fesseuse d’arrêter la punition en promettant d’être sage et de ne plus recommencer. Ce qui eut pour résultat de bien faire rire Amélie :
— Oh ça c’est sûr, je pense qu’avec la correction que je vais t’administrer tu n’es pas près de recommencer. Ton joli petit cul est bien rouge, deux belles tomates. Allez on va finir de le cuire et tu vas aller au dodo.
Elle tint parole et c’est avec un derrière brûlant que Clémence se glissa dans son lit. Amélie avait elle-même remonté la culotte du pyjama comme l’aurait fait une maman.
Elle entra ensuite dans la chambre de Clara, celle-ci était dans la même tenue que Clémence, mais habituée à la rigoureuse éducation de sa mère, elle avait baissé sa culotte de pyjama jusqu’à mi-cuisses et avait posé ses mains sur sa tête. C’était vraiment excitant, Amélie était vraiment amoureuse des beaux derrières féminins, après la fessée déculottée administrée à Clémence sa culotte était déjà humide, elle caressa les fesses de la jeune femme :
— Ma petite chipie, Clémence vient de me raconter comment vous vous amusez toutes les deux, c’est du joli. En plus d’être impolie tu es une vicieuse, tu mérites vraiment une sévère correction, mademoiselle Amélie va s’en charger.
Elle appuya sur le dos de la jeune étudiante pour la faire se pencher sur le lit :
— Écarte les cuisses que je voie bien ton minou.
Ses doigts se glissèrent sur la vulve, elle était humide, la sévère baby-sitter sourit :
— Tu mouilles petite cochonne.
Elle enfonça un peu ses doigts, Clara se mit à gémir :
— Oh, non mademoiselle, s’il vous plaît.
Amélie souriait de la gêne de sa victime :
— Tu préfères la fessée ? Et bien qu’à cela ne tienne.
Elle claqua une dizaine de fois la croupe tendue :
— Voilà vilaine fille, tu es contente ?
Elle reprit ses attouchements, Clara gémissait et remuait ses belles fesses déjà rosées. Amélie prit une règle plate sur le bureau et claqua à nouveau le fessier de la jeune femme. Elle ne s’arrêta pas à quelques claques, la fessée fut sévère, sa main gauche s’était insinuée par-devant et caressait le clitoris de la punie pendant que la main droite maniait la règle.
Clara ne savait plus à quel saint se vouer, entre ses fesses brûlantes qu’elle ouvrait et refermait au rythme de la punition et le plaisir qui montait avec les caresses expertes de sa fesseuse. Bientôt elle râla de plaisir au milieu de ses pleurs. Amélie jouissait du spectacle de ce magnifique fessier écarlate, mais elle en voulait quand même plus. Elle cessa la fessée et fit glisser la culotte de Clara jusqu’à ses chevilles puis lui enleva complètement, elle glissa ses mains sous sa jupe et se déculotta puis elle s’allongea sur le lit et fit signe à la jeune étudiante :
— Tu vas me lécher ma petite chipie et tâche de faire ça bien sinon gare à tes fesses.
Elle fit mettre Clara à quatre pattes sur elle de façon que celle-ci puisse la lécher tandis que ses fesses restaient bien à sa portée.
La punie était une experte en rapport saphique, sa langue habile se mit à lécher sa maîtresse, finalement cette magistrale fessée déculottée l’avait vraiment excitée, elle se surpassa et bientôt Amélie explosa. Ses mains se mirent à claquer à nouveau les fesses de Clara qui elle aussi se mit à râler de plaisir, malgré les claques qui lui brûlaient le derrière.
Après quelques minutes de plaisirs partagés, Amélie fit relever son amante :
— C’est bien tu es douée, je pense que ma fessée t’a stimulée, tu as vraiment un beau cul ma chipie. Nous recommencerons, tu peux préparer tes fesses. Maintenant au dodo.
Clara faillit protester qu’il était bien tôt pour se coucher, mais sa croupe écarlate et le ton sans réplique de sa baby-sitter l’incita au silence. Elle se reculotta sous le regard amusé d’Amélie :
— Tu vas bien dormir avec ton joli derrière bien rouge.
Elle quitta l’appartement, elle savait que les deux étudiantes allaient se tenir tranquille, rien de mieux qu’une bonne fessée déculottée pour assagir les jeunes femmes.
Merci Sylvie pour tout ces textes ! Ils me font tous terriblement mouiller... Lise
RépondreSupprimerMerci lise, mes récits sont fait pour ça, moi aussi je mouille souvent en les écrivant.
SupprimerSylvie
Magnifique récit, Amélie a bien de la chance de pouvoir s’occuper des fesses de Clémence et de Clara ainsi que de son petit mineur !! 🍑 🔥 🍑 Je suis toute excitée 🐈⬛
RépondreSupprimerMerci chère inconnue, mes récits sont fait pour compenser nos manques, si ils vous ont excitée, j'en suis ravie.
SupprimerNos deux étudiantes n'ont pas fin de se faire baisser la culotte et d'avoir les fesses rouges, mais elles ne seront pas les seules, bientôt une suite.
Sylvie