samedi 17 août 2024

Lucie et Christian 17

La punition d'Alice 



Alice savourait tranquillement une liqueur, les fessiers rougis se crispaient sur le plug, la brûlure du suppositoire avait disparu mais pas celle de la peau des fesses. Lucie interrogeait son amie sur son éducation sévère chez sa tante :

— Tu y vas bientôt chez ta tante ?

Alice lui lança un petit sourire coquin :

— Je suis sûr que tu aimerais bien me voir gigoter sur ses genoux.

Lucie se mit à rire :

— Ça c’est certain, mais ne t’inquiète pas je vais quand même voir ton joli derrière se tortiller. Je te demande ça parce que j’aimerais bien y aller avec toi, tu crois que ce serait possible ?

Alice fit une petite moue et un sourire illumina son visage :

— Ce ne sera pas un problème, tatie Ingrid est vraiment accueillante, elle adore la jeunesse. Mais tu prends un risque tu sais.

Lucie lui rendit son sourire :

— Ah oui ? Panpan cucul ?

— Exactement, et je te garantis qu’elle ne fesse jamais pour rire.

Lucie eut un sourire énigmatique :

— Je m’en doute, mais moi non plus je ne fesse pas pour m’amuser, il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée déculottée.

Alice la regarda avec des yeux ronds :

— Tu… tu… Tu crois que tu pourrais lui flanquer une fessée ?

— Pourquoi pas, et déculottée en plus.

Elle regarda les deux paires de fesses exposées :

— On va aller coucher ces deux-là, tu as de la chance, pour aujourd’hui ta fessée sera encore privée.

Alice minauda :

— Oh non, tu n’as pas le droit, je n’ai rien fait.

— Tss, tss, comme je te connais, je suis sûr que tu l’as méritée et une bonne en plus.

Alice s’amusait à jouer avec son amie, mais elle était quand même un peu inquiète pour son derrière :

— Et si je ne veux pas ?

Lucie la regarda fixement :

— Ma petite chérie, je viens de te dire que ta fessée déculottée resterait privée, mais continue comme ça et tu vas la recevoir devant Christine et Aurore. Si c’est ce que tu souhaites, il n’y a pas de problème.

Alice se renfrogna un peu :

— Non, non, c’est bon… Tu gardes Aurore à la maison ?

Elle avait changé volontairement de conversation. Les deux punies, commençaient à gigoter du derrière, Lucie s’approcha et claqua sèchement la croupe d’Aurore qui était la plus agitée :

— Cesse donc de te trémousser comme ça. Tu as envie de revenir sur mes genoux ?

— Non, non, pardon maman Lucie.

C’était curieux de voir cette dame réagir si docilement, comme une gamine devant sa maman sévère. Lucie pour faire bonne mesure, avait claqué aussi les fesses de Christine :

— Aurore, tu vas coucher à la maison, comme ça j’aurai tes petites fesses à ma disposition demain matin. Christine te prêtera une chemise de nuit. Filez-vous mettre en tenue et lavez-vous les dents.

Elle avait claqué le derrière de la cheffe de service, le ton était sans réplique, les deux punies détalèrent. Lucie les arrêta juste avant qu’elles n’aient franchi la porte :

— Ah au fait, vous nous attendez au pied de votre lit avec la nuisette retroussée.

Elles attendirent un moment pour leur laisser le temps de se préparer et surtout pour les faire mariner. Après la soirée cuisante qu’elles venaient de passer, attendre les fesses à l’air que « sa maman » arrive n’était certainement pas très rassurant.

Lucie fit un petit signe à son amie :

— Viens un peu ici ma jolie.

Alice était délurée, mais cette brusque invitation la perturba un peu, elle rougit et s’approcha, Lucie lui fit signe de se tourner et sans façon, elle troussa la jupe d’Alice, celle-ci portait des dessous sexy, une culotte rose en dentelle bien échancrée qui avait du mal à couvrir son bon gros derrière comme disait sa tatie et des bas tenus par un porte-jarretelle Lucie caressa le derrière à demi découvert :

— Ta culotte ne cache pas grand-chose ma chérie, ce n’est pas le genre de culotte que je tolère chez moi. On réglera ça tout à l’heure. En attendant tu tiens ta jupe retroussée, je vais faire une photo de tes jolies fesses culottées, c’est pour mon compte Twitter.

Alice était un peu honteuse, mais elle ne protesta pas et obéit à sa nouvelle maîtresse. Celle-ci la laissa dans cette situation gênante pendant un petit quart d’heure :

— Bon, remets ta jupe en place, on va aller voir nos chéries. On va leur enlever le plug pour la nuit, la punition a été suffisante. Tu vas t’occuper d’Aurore et moi de Christine.

Christine avait laissé la porte de sa chambre ouverte, le spectacle de son derrière encore bien rouge encadré par la nuisette retroussée était charmant, Alice fit un petit clin d’œil à son amie :

— Elle a vraiment un joli petit cul.

Lucie se mit à rire :

— Joli, pour sûr, mais pas petit… Elle a un beau gros derrière fessable.

Alice appréciait l’humour de sa copine, elle se tourna vers la chambre d’ami qui avait également la porte ouverte :

— Et celui d’Aurore, il est comment ?

Lucie jeta un regard dans la chambre, Aurore était sagement debout au pied du lit, les mains croisées dans son dos pour tenir retroussée sa nuisette blanche ourlée de dentelle :

— Il est vraiment mignon également, le rouge lui va bien et puis il est confortable si on peut dire, il y a de la place pour lui flanquer une bonne fessée.

Alice se mit à rire également :

— Encore une ? C’est vrai que ça fait vraiment envie un si beau derrière.

Elles rentrèrent chacune dans une chambre, Alice s’approcha doucement de la cheffe de service aux fesses rouges, elle la saisit par l’oreille comme si elle n’était qu’une gamine :

— Viens donc par là ma petite, tatie Alice va s’occuper de ton joli cul.

Aurore se laissa tirer par l’oreille, depuis qu’elle était arrivée chez Lucie elle avait abandonné sa fierté de bourgeoise vivant dans le luxe. Elle s’était fait déculotter, fesser, prendre la température ; on lui avait mis un suppositoire et pour finir un plug garnissait son derrière. Maintenant cette jeune femme la traitait comme une adolescente désobéissante, elle se retrouva donc couchée en travers des cuisses d’Alice, celle-ci tourna la rondelle du plug :

— C’est bon n’est-ce pas ?



Aurore gémissait doucement, malgré sa honte, elle savait qu’il lui fallait répondre. Elle sentait également une sourde excitation gagner son entre-cuisse, elle parla rapidement d’une voix sourdre :

— Euh… oui tatie Alice.

Alice souriait, elle manipula un peu le plug le faisant légèrement ressortir puis plaquant la rondelle contre la raie fessière :

— J’ai mal entendu ma chérie, répète plus fort.

— Oui, oui Tatie Alice… c’est bon… oh pardon, s’il vous plaît, j’ai honte.

Alice était ravie de son nouveau pouvoir, les jolies fesses rondes d’Aurore étaient contractées sur le plug, elle les claqua sèchement :

— Desserre tes fesses ! Vite ! J’espère bien que tu as honte. Tu es une vilaine fille et c’est ce qui leur faut aux chipies de ton espèce. Une bonne fessée déculottée bien humiliante pour t’apprendre à être sage.

Elle força la jolie bourgeoise soumise à écarter ses cuisses :

— Voilà, c’est bien, je vois bien ton petit abricot. Je vais te flanquer une dernière fessée avant de t’enlever le plug et ensuite tu verras, tu vas dormir comme un bébé.

La main agile d’Alice entrepris de redonner une belle couleur à la croupe d’Aurore qui pleura immédiatement, autant de honte que de douleur. La fessée fut rapide, ensuite la jeune femme retira délicatement le plug, puis elle remit la nuisette en place et claqua les cuisses de sa punie :

— C’est fini, maintenant dodo et tu ne frottes pas tes fesses, sinon tatie Alice te remets sur ses genoux.

Dans l’autre chambre les cris et les pleurs de Christine se mêlaient au claquement de la main sur la peau des fesses nues. Elles sortirent en même temps des chambres, Lucie claqua sèchement la croupe d’Alice :

— À nous deux ma jolie, on va s’occuper de ton bon gros derrière.

Alice eut un petit rire crispé, elle était inquiète mais tellement excitée, la fessée déculottée ça brûle vraiment le derrière, mais après finalement c’est bon. Souvent dans son lit le soir pendant les vacances chez sa tante elle avait les fesses en feu mais pas que. Sa vulve était gonflée et avec ses doigts elle se donnait du plaisir, elle y songeait en suivant Lucie.

Finalement l’éducation stricte de sa tante avait beaucoup influencé sa sexualité, elle avait eu des expériences bisexuelles, mais jamais vraiment satisfaisantes. Elle aurait aimé rencontrer quelqu’un de strict qui la prenne en main, mais elle n’avait jamais osé avouer à ses différents partenaires qu’elle avait besoin d’une bonne déculottée et d’avoir les fesses bien rouges pour jouir complètement.

Depuis que madame Dugou avait repris le rôle de maman sévère et bien que ça soit très souvent douloureux, elle avait retrouvé un certain équilibre. Même si elle n’aurait jamais osé l’avouer elle éprouvait des sentiments pour sa sévère cheffe de service.

Elle avait remarqué que celle-ci n’était pas insensible au charme de sa bonne croupe bien dodue, sa main s’attardait souvent sur ses rondeurs après la fessée et il lui semblait que de toutes les dames soumises à l’humiliante punition, elle était celle qui se faisait déculotter le plus souvent.

Mais aujourd’hui c’était Lucie qui avait décidé de lui faire goûter à sa main sévère. Alice était assez petite et bien en chair ce n’était pas pour lui déplaire, elle était toujours habillée de façon sexy, aujourd’hui sa jupe courte découvrait des cuisses gainées de bas fumés, elle portait des escarpins. Lucie était ravie d’administrer une fessée déculottée à une dame, même si elle aimait transformer Aurore en gamine c’était une autre excitation à venir.

Elle n’avait pas été déçue en retroussant la courte jupe de son amie, ses dessous étaient vraiment ravissants, sa culotte rose en dentelle très échancrée ne masquait rien du magnifique fessier d’un blanc nacré. Les bas étaient retenus par un porte-jarretelles assorti à la culotte.

Lucie pinça légèrement la base des fesses découvertes :

— Il va falloir me muscler ce derrière ma chérie, je n’aime pas les fesses molles.

Alice rougit sous l’affront, c’est vrai qu’elle avait un peu de cellulite, mais elle était quand même fière de son derrière qui attirait souvent l’œil et même la main de ses partenaires. Lucie glissa sa main sous la culotte :

— Ne t’inquiète pas, avec les fessées régulières de maman Lucie, tu vas avoir un fessier en béton.

Elle fit glisser la fine lingerie sur les rondeurs de son amie, elle apprécia que celle-ci ait eu la présence d’esprit de mettre sa culotte par-dessus les jarretelles ce qui autorisait un déculottage complet.

La culotte était maintenant à mi-cuisses, Lucie la fit basculer vers l’avant pour que sa croupe soit vraiment bien exposée :

— Tu es confortablement installée ma chérie, nous en avons pour un moment.

Alice riait nerveusement :

— Oui, ma chérie. Elles te plaisent mes fesses ? Aïe.

La main de Lucie venait de claquer le postérieur joufflu :

— Il n’y a pas de chérie ! Tu m’appelles maman Lucie comme tout le monde. Ton insolence te vaudra une correction supplémentaire. Quant à tes fesses, elles sont effectivement très mignonnes, mais bien trop blanches. Tu vas voir je vais leur donner bonne mine.

Alice commençait à comprendre que si la soirée s’annonçait excitante, elle serait avant tout cuisante. Sa prémonition fut rapidement confirmée, la brûlure qui enflamma immédiatement ses fesses fut intense. Lucie tenait à montrer son autorité, Alice allait recevoir une correction magistrale dont elle se souviendrait longtemps.

Les fessées de madame Dugou et de sa tante étaient sévères, mais celle-là le fut également, elle se mit rapidement à pleurer, son excitation était retombée, malgré sa tenue de dame sexy elle n’était plus qu’une adolescente éplorée gigotant sur les genoux de sa sévère maman. Lucie n’était pas insensible aux charmes de son amie. Depuis que Chloé lui avait fait goûter au plaisir d’une prise par-derrière avec son gode ceinture, et qu’elle avait fait de même avec Aurore, elle était très attirée par les relations saphiques où elle avait un rôle dominant.

Le derrière resplendissant d’Alice s’offrait à ses yeux, il était carmin, deux belles tomates bien mûres, bien joufflue, elle écarta les fesses sans aucune gêne, mettant à jour ce qui allait être au centre de son attention, le petit trou bien serré. Elle humecta son doigt et le posa doucement sur l’anus de son amie :

— Détends-toi ma chérie, maman Lucie va s’occuper de ton petit trou du cul.

Alice avait l’habitude d’être déculottée et de recevoir la fessée, mais ses deux fesseuses, que ça soit madame Dugou ou sa tante ne s’intéressaient pas à son intimité. Elle se contentait de lui claquer sévèrement le derrière et même si de temps en temps elles lui écartaient les fesses, il lui semblait que leur regard était moins sexuel que celui de Lucie. Elle sentit le doigt de sa maîtresse forcer son anus, elle ne put s’empêcher de contracter son derrière brûlant, la sanction fut immédiate.

Lucie s’attendait à cette petite rébellion, en souriant elle prit sa brosse à cheveux :

— Décidément, on dirait que tu cherches la fessée, la première ne t’a pas suffi ?

Le premier coup claqua sur la fesse droite puis immédiatement sur la gauche :

— Aïe, aïe… Non, non pardon maman Lucie.

La brosse continuait son cuisant travail sans se soucier des cris et des gigotements de la dame punie, les escarpins ne restèrent pas longtemps aux pieds d’Alice, sous les battements désespérés de ses jambes, ils volèrent dans la pièce sous le regard amusé de la fesseuse :

— On dirait que ça te cuit le derrière ma chérie, que penses-tu de la brosse à cheveux de maman Lucie ? Ça c’est pour avoir serré les fesses, mais je t’en dois encore une autre. On va finir de cuire tes bonnes grosses fesses et tu iras au coin.



Alice hurlait sous la brûlure, même si elle en avait reçu souvent des très sévères, cette correction resterait dans les annales. Ses deux larges fesses étaient plus qu’écarlates, elles étaient d’un rouge profond avec deux taches plus sombres au milieu, Lucie s’appliquait, aucun endroit de la surface du fessier ne fut oubliée, le haut des cuisses reçut aussi sa dose. Enfin la punition cessa et c’est une dame en pleurs que Lucie conduisit au coin. Sa culotte entortillée autour de ses chevilles l’empêchait de marcher, la sévère maman lui lâcha l’oreille pour la lui faire enjamber, elle posa la fine lingerie sur la table :

— Pour le moment tu n’en auras plus besoin. Pour le reste de la soirée, je veux avoir tes fesses toujours à disposition.

Quand Alice eut posé son nez contre le mur, elle lui épingla la jupe dans le dos. Les épaules de la punie étaient secouées par les sanglots, Lucie claqua une nouvelle fois le large fessier rubicond :

— Cesse de pleurnicher, tu ne vas pas faire toute une histoire pour une fessée déculottée que tu avais bien cherché. Je pense que ton beau gros derrière en a vraiment besoin.

Elle s’installa confortablement dans son canapé, elle souriait en regardant les fesses de son amie se serrer convulsivement, apparemment la fessée avait été cuisante, mademoiselle avait chaud aux fesses. Son téléphone prit de nombreuses photos qu’elle publia sur son compte Twitter :

— Tu sais que ton joli derrière bien rouge a du succès, tout le monde me demande à qui sont ses jolies fesses.

Alice se rencogna un peu plus contre le mur, elle ne tenait vraiment pas à être reconnue dans cette humiliante position. Après un quart d’heure passé au coin, Lucie l’appela :

— Tu vas aller me chercher le martinet, on va régler ton petit problème d’insolence.

Alice fit une petite grimace mais ne protesta pas, son fessier douloureux lui rappelait que Lucie ne tolérait aucune récrimination. Elle revint la tête basse en tenant l’instrument de punition familial à la main.

En voyant son regard dépité, Lucie se mit à rire :

— Eh bien, tu en fais une tête, tu pensais peut-être que j’allais te faire cadeau de ta dernière fessée. Tourne-toi que j’examine ton derrière.

Alice s’exécuta, elle se pencha un peu en espérant que sa maîtresse fasse preuve d’indulgence. La main de Lucie caressa les fesses brûlantes, elle écarta les deux hémisphères et glissa ses doigts entre les cuisses. Elle sourit en constatant l’humidité :

— Ça te plaît que je te cuise le derrière petite coquine. Ne t’inquiète pas, maman Lucie va s’en occuper régulièrement.

Elle poussa la jeune femme vers le fauteuil :

— Mets-toi à genoux et présente bien tes fesses à monsieur martinet.

Alice tendit ses fesses au maximum, elle avait deviné que son amie n’était pas insensible au charme de ses rondeurs callipyges et malgré la cuisson, elle était très excitée par la situation. Mais soudain elle poussa un cri, les lanières venaient de cingler son joufflu, c’est ainsi que sa tante nommait son large derrière. Depuis les dernières vacances elle n’avait pas reçu la fessée avec cet instrument, elle avait oublié que ça cuisait autant, Lucie admirait ce beau fessier qui se tortillait mais restait en place.



 Décidément l’éducation de tatie Ingrid avait fait des merveilles, Alice subissait stoïquement sa punition, enfin c’était le cas pour ses fesses, car pour le reste elle pleurait à chaudes larmes et suppliait Lucie d’arrêter la correction :

— Ça brûle n’est-ce pas ma petite chérie, tu recommenceras à être insolente ?

— Non, non, aïe, aïe, pardon maman Lucie.

— Tes jolies fesses sont ravissantes, ce martinet te fait vraiment un joli petit cul.

Lucie passa sa main sur le derrière écarlate :

— C’est bien chaud, tu es prête pour la suite. Tu ne bouges pas sinon je t’en reflanque une !

Alice serra les fesses sous la menace, sa croupe était d’un rouge éclatant, ronde et bombée par la position et luisante de la fouaillée au martinet.

Lucie s’était absentée quelques instants, elle revint rapidement tenant à la main son god ceinture. Elle quitta sa jupe et sa culotte, ses fesses blanches étaient magnifiques, hélas pour elle, Alice ne pouvait pas en profiter. Lucie installa autour de sa taille son joujou préféré, c’était le troisième derrière qui allait y goûter, elle avait d’abord sodomisé son mari et c’était rapidement devenu une habitude, il n’avait à présent plus droit qu’a ça pour jouir, puis elle avait honoré le joli cul bien rebondi d’Aurore qui maintenant s’habituait à être prise par-derrière par sa maman-maîtresse.

Elle avait devant ses yeux le plantureux derrière d’Alice, elle allait lui faire subir avec plaisir l’humiliation d’une première sodomisation, elle était sûre qu’elle finirait comme ses deux autres soumises à y prendre du plaisir.

Elle écarta les fesses, humecta son doigt et le posa sur la rondelle brune si bien présentées :

— Détends-toi ma chérie, écarte les jambes que je voie bien ton petit trou. Tu vas voir maman Lucie va s’en occuper.

Alice geignait doucement, elle se doutait de ce qui allait lui arriver car Lucie lui avait expliqué le traitement qu’elle faisait subir régulièrement à Christine. Elle avait ajouté en riant « C’est vraiment un plaisir de la prendre par-derrière quand son cul est bien rouge et chaud ». C’était exactement le cas de son derrière actuellement. Elle obéit cependant, écarta ses pieds pour ouvrir sa raie médiane et essaya de se détendre au maximum.

Le doigt de Lucie avait forcé son petit trou et s’enfonçait inexorablement puis tournait lentement pour l’assouplir, c’était une découverte pour la jeune femme, elle se mit à gémir :

— Oh… maman… Non… mais, que fais-tu…

Lucie se mit à rire :

— Ce que je fais ? Tu ne le sens pas ma chérie ? Je vais t’enculer, je prépare ton bon gros derrière de vilaine fille. Tu devrais te détendre un peu plus, sinon je vais reprendre le martinet.

— Non, non maman, pas le martinet… Non… Aïe…

La main de Lucie venait de claquer les fesses tendues tandis qu’elle continuait à faire aller et venir son doigt entre les fesses de sa petite chérie :

— Si tu ne veux pas une autre fessée, tu sais ce qu’il te reste à faire ma petite.

Alice écarta encore un peu plus ses fesses :

— Voilà, voilà…

La sévère maman retira son doigt, claqua deux fois les fesses puis s’approcha, elle posa son god sur la rondelle légèrement dilatée et doucement s’introduisit dans le fondement d’Alice.

Elle y allait doucement, c’était la première sodomisation de son amie, elle était sévère, mais pas cruelle. Alice ahanait doucement, elle ne bougeait pas, le bassin de Lucie était maintenant posé contre les fesses brûlantes d’Alice, elle se mit à effectuer des va-et-vient, jusqu’à que soudain elles explosent toutes les deux unies dans la jouissance.

Lucie était contente, elle s’était livrée à ses deux activités favorites, elle se retira doucement, les fesses d’Alice se serraient convulsivement, elle était un peu honteuse et surprise d’avoir pris du plaisir de cette façon. Sa maîtresse la fit relever et l’attira avec elle sur le canapé :

— Alors ma petite chérie aux fesses rouges, tu as aimé ça ?

Alice avait les joues aussi rouges que ses fesses brûlantes :

— Oui… oui maman Lucie, mais j’ai les fesses en feu.

Lucie se mit à rire :

— Je crois bien qu’il n’y a pas que ton cul qui est en feu ma chérie.

Alice se colla contre elle :

— Tu ne m’as pas manquée…

La sévère maîtresse caressa les fesses brûlantes :

— C’est ce qu’il te faut, tu as vraiment des fesses faites pour ça, ne t’inquiète pas tu vas souvent en recevoir et même au bureau si tu n’es pas sage.





1 commentaire:

  1. I think Aunt Ingrid would be the next in line.....great story Sylvie

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