lundi 22 mai 2023

La bibliothèque 7

 Changement de fesseuse et de statut 





Ce jour là en arrivant devant la maison de sa mère, Olga vit Rosa qui lui faisait un signe depuis chez elle. Elle hésitait à répondre car Brigitte lui avait interdit de traîner et de discuter en rentrant à la maison.

Mais Rosa sortit sur le pas de sa porte et s’adressa à elle.

- ta maman a été obligée de sortir, elle a un rendez-vous médical, elle m’a chargée de m’occuper de toi. Viens chez moi.

Le ton énergique était sans réplique, Olga se dirigea vers la voisine de sa mère. Celle-ci lui indiqua la porte.

- rentre ma petite Olga, nous avons à discuter. Je pense que Mlle Ingrid a du remplir ton carnet de correspondance.

Olga se mit à rougir, c'était une nouvelle idée de sa jeune maîtresse, elle avait fait acheter à Olga un cahier qu'elle devait toujours avoir avec elle et sur lequel elle notait les punitions qu'elle avait administrée à Olga ainsi que des annotations sur son comportement. La directrice de la bibliothèque devait le ramener signé par sa mère tout les matins. Celle-ci de son côté y notait également comment s'était passé la soirée. Les fessées reçues par sa fille, le temps passé au coin etc..

Olga sorti le cahier de son sac et le tendit a Rosa.



En souriant celle-ci le prit et s'assit sur son canapé, Olga se tenait debout devant elle, la tête baissée, ne sachant quelle attitude adopter. La sévère voisine le remarqua. 

- mets tes mains sur la tête et regarde moi quand je te parle.

Un peu surprise mais désormais habituée à obéir sans discuter, Olga s'exécuta. 

Rosa Murati prenait son temps, elle feuilletait le cahier, sur chaque page les descriptions de fessées déculottées se succédaient. Elle arriva à la page du jour. Ingrid avait particulièrement soigné le derrière d'Olga. Elle avait eu droit au martinet pour sa fessée du midi et avait reçu un supplément en milieu d'après-midi dans son bureau pour avoir oublié un rendez-vous, Ingrid lui avait saisi l'oreille et sans prendre la peine de fermer la porte du bureau elle avait courbé la dame de 50 ans sous son bras, l'avait déculottée et lui avait administré une courte mais très sévère fessée à la main, terminée avec la règle plate qui restait toujours posée sur le bureau. 

Bien sûr après cet incident la fessée du soir avant de quitter le bureau avait été particulièrement soignée, la brosse à cheveux avait sévèrement claqué le plantureux derrière mis à nu par la jeune bibliothécaire. 




Les fesses d'Olga étaient encore très douloureuses sous sa culotte et elle savait que la soirée allait être cuisante.

Elle regardait avec un peu d'inquiétude la moue de Rosa, apparemment celle-ci utiliserait les mêmes méthodes que sa mère. 

La sévère voisine reposa le cahier et jeta un regard sévère à Olga.

- et bien c'est du joli ! Quatre fessées déculottées dans la journée !! Tu es fière de toi ? Et bien j'aimerais bien voir tes fesses. Approche un peu. 

Olga s'approcha, elle avait toujours les mains sur la tête, Rosa la fit pivoter, retroussa sa jupe qu'elle coinça dans la ceinture puis glissa ses doigts dans la culotte qu’elle descendit sous les fesses. Olga était tétanisée, c'était la troisième personne en quelques jours qui se permettait de la déculotter sans se soucier de son âge et de son statut. Ses bonnes grosses fesses étaient maintenant exposées devant Rosa, elle les serra instinctivement. La sévère matrone passa sa main sur l'épiderme rougi et encore chaud.

- et bien ton bon gros derrière est encore bien rouge ma petite, cette jeune Ingrid sait donner la fessée on dirait. Tu vas commencer par filer au coin pour réfléchir à ce qui va t'arriver. 

Elle avait accompagné sa phrase par une bonne claque au milieu des larges fesses. Olga en gémissant se dirigea vers l'angle de la pièce, elle commençait à avoir l'habitude de la position, elle posa son nez contre le mur sans que Rosa ait eu besoin de lui dire.

- et bien voilà un joli tableau,  tu vas rester là un moment à exposer tes jolies fesses, j'ai du travail à finir ensuite je vais m'occuper de toi. 



Olga avait les larmes aux yeux, décidément elle était vraiment redevenue une gamine, même la voisine de sa mère la traitait comme telle. Elle resta un temps qui lui parut interminable dans son coin. Derrière elle Rosa s'activait, elle l'entendit ouvrir la fenêtre pour interpeller quelqu'un. Elle se raidit et contracta un peu plus ses fesses quand elle reconnu la voix de Louise l'autre voisine de sa mère. Les deux femmes échangèrent des banalités, Rosa prenait son temps, elle savait qu'Olga dans son coin avec les fesses à l'air devait angoisser qu'une autre personne la voie dans cette humiliante position. Mais elle décida que la mise au courant de Louise serait pour plus tard. Elle referma la fenêtre et se dirigea vers la punie. 

- je pense que Louise aurait été ravie d'assister à ta punition mais tu ne perds rien pour attendre. 

Elle saisit Olga par l'oreille et la tira jusqu'au canapé où elle posa son plantureux derrière, en un instant la directrice de la bibliothèque se retrouva couchée sur ses genoux. 

Elle commença par prendre possession de son nouveau joujou. Elle était lesbienne et son attirance pour les fessiers féminins était bien connue, elle fit écarter ses cuisses à Olga pour y glisser sa main, elle constata avec intérêt que celle-ci avait mouillé. "on dirait ma petite que ça ne te déplaît pas de montrer tes fesses à tatie Rosa". Elle remonta pour glisser sa main entre les fesses serrées, elle les claqua gentiment. 

- il va falloir me desserrer ces jolies fesses ma petite. 

Olga relâcha la contraction et Rosa écarta largement les deux fesses,  l'humiliation était totale, c'était le but recherché par la perverse matrone. 

- voilà un joli petit derrière, ton petit trou est encore vierge ma petite chérie, ne t'inquiète pas tatie Rosa va s'en occuper. 

Elle relâcha les deux fesses et leva la main, la cinquième fessée déculottée d'Olga pouvait commencer. Elle ne fut pas moins sévère que celles que lui administrait Ingrid ou Brigitte. Visiblement Rosa avait l’habitude de claquer les fesses



 Olga réalisa une magnifique danse des fesses et pour le plus grand plaisir de sa fesseuse elle lui dévoila tout ses trésors cachés. Les fesses étaient maintenant rubicondes bien que Rosa n’ait utilisé que sa main, Olga avait crié au début sous la cuisson mais maintenant elle pleurait et suppliait comme une gamine punie par sa sévère tatie. La fessée cessa mais Rosa garda Olga couchée en travers de ses genoux. Elle voulait profiter de cette nouvelle paire de fesses à sa disposition, bien sûr Olga irait au coin comme toutes les punies après une bonne fessée déculottée mais elle avait d'autres projets actuellement pour ce bon gros derrière si appétissant avec sa couleur de tomate bien mûre. Elle commença à le caresser ce qui parut bien agréable à Olga mais rapidement elle écarta à nouveau les fesses, ce qui l'était beaucoup moins. 

- on va s'occuper maintenant de ton petit trou ma petite chérie, détends toi sinon tatie va être obligée de recommencer la fessée. 

Elle avait préparé un petit plug rose qu'elle prit sur la table, elle le mit dans sa bouche pour l'humidifier, elle souriait en pensant que ce joli petit engin allait garnir le gros derrière écarlate d'Olga. Celle-ci ne se doutait pas de ce que manigançait Rosa, elle essayait de ne pas serrer ses fesses que sa fesseuse maintenait toujours écartées. Elle sentit soudain quelque chose de doux et rond s'appuyer sur son anus, par réflexe elle contracta ses fesses. Une magistrale claque lui brûla à nouveau le postérieur. 

- ah pas de  ça ma petite, sinon tatie va vraiment se fâcher.

- non, non...pardon tatie Rosa, mais qu'allez vous me faire. 

La sévère matrone se mit à rire. 

- rien de bien grave ma chérie, je vais te mettre un gros suppositoire dans ton joli derrière, tu sais comme faisait ta maman quand tu étais malade. Un bon gros suppositoire rose que tu vas garder toute la soirée pour t'apprendre à être sage au travail. 

Elle avait mis le plug sous le nez d'Olga. 

- regarde ce qui va rentrer dans ton petit trou ma chérie, regarde comme c'est mignon.

- oh non tatie Rosa, pardon, non s'il vous plaît pas ça. 

Olga avait toujours détesté quand sa mère lui mettait un suppositoire, c'était déjà très humiliant et Rosa avait prévu de lui mettre cette chose énorme dans les fesses alors qu'elle avait 50 ans. Elle se remit à pleurer. La fesseuse lui tapotait les fesses. 

- tu vas te laisser faire ma chérie, ce n'est pas très agréable certainement mais la prochaine fois tu seras sage et tu n'auras pas le plug. Si jamais tu resserres encore les fesses, je prends la brosse à cheveux. 

La menace était sérieuse, Olga détendit le plus qu'elle pouvait son bon gros derrière, elle sentit l'instrument punitif franchir l'obstacle de son petit trou qui s'ouvrait doucement, c'était plus humiliant que douloureux, Rosa pour une première fois avant choisi un plug d'une taille raisonnable. Elle jouissait du plaisir de pénétrer pour la première fois ce beau derrière de femme mûre "Tu vas voir ma petite chérie ce n'est pas la dernière fois que je m'occupe de ton derrière, je te garantis qu'il va être souvent bien garni" ses pensées vagabondaient pendant que le plug disparaissait entre les fesses d'Olga. Nul doute qu'un jour celle-ci goûterait à son gode ceinture. 

Maintenant Olga pleurait doucement, elle sentit la rondelle du plug contre sa raie fessière, c'était vraiment une nouvelle sensation, ses fesses brûlantes et cet engin à l'intérieur. Satisfaite, Rosa lui claqua les fesses. 

- voilà un derrière bien garni, bon maintenant tu files au coin, le plug va te permettre d'encore mieux réfléchir à ton comportement. 

Olga repris sa position dans le coin, c'était encore plus désagréable qu'habituellement mais la menace d'une fessée à la brosse était suffisante pour lui faire accepter cette douloureuse et humiliante pénitence. 

Quand Brigitte arriva elle trouva donc sa fille au coin exposant une magnifique paire de fesses écarlate, elle fut un peu surprise de découvrir au milieu des fesses d’Olga la rondelle rose du plug.

Rosa eut vite fait de lui expliquer les bienfaits de ce petit supplément à la punition d'Olga, elle appela la punie. 

- viens ici ma chérie, tu vas montrer à maman comment tatie Rosa s'est bien occupé de ton bon gros derrière. 

Rouge de honte, Olga tout en gardant ses mains sur la tête de retourna. Rosa était assise sur le canapé et son doigt indiquait ses genoux, la directrice de la bibliothèque se retrouva à nouveau couchée en travers des cuisses de la solide matrone, Brigitte était assise en face ne quittant pas des yeux le fessier rougeoyant de sa fille. Rosa écarta largement les deux fesses, la rondelle du plug était plaquée au  fond de la raie fessière, elle la saisi et commença à le retirer doucement.

,- tu vois cet instrument est bien en place et notre petite Olga à été bien sage, je vais juste le retirer un moment pour que tu voies comment le mettre. 

Olga gémissait doucement devant cette humiliation supplémentaire, le plug était maintenant sorti, Rosa tenait toujours les fesses écartées.

- tu vois c'est un plug pour débuter mais je t'assure qu'elle le sent bien dans son derrière quand il est en place. C'est très efficace pour que la punie se rende compte que la punition est encore en cours et qu'elle n'a pas fini de montrer ses fesses. En particulier si tu lui fais garder dans la journée sous sa culotte et sa jupe. 

Elle avait posé le plug sur la table et elle tenait toujours les fesses écartées dans le but évident de faire bien honte à Olga, elle lui tapota les fesses. 

- bien ma petite chérie la récréation est terminée, tatie va te remettre le plug, ta punition n'est pas terminée. Mais avant tu vas aller le nettoyer, on t'attend ne traîne pas. 

C'était la honte définitive pour Olga qui une fois relevée dut aller â la cuisine tenant le plug à la main, les fesses bien rouges exposées à Rosa et Brigitte. Quand elle revint la couleur de ses joues n'avait rien à envier à celle de ses fesses. 

Rosa tapota à nouveau sur ses cuisses gainées par ses bas noirs pour lui indiquer l'endroit qui lui était destiné, sans un mot Olga se coucha à nouveau en travers des genoux de sa nouvelle tatie. Ses fesses étaient à nouveau bien présentées aux deux femmes, Rosa les écarta largement, la petite rondelle brune était bien visible encore un peu dilaté, le plug pénétra doucement, Olga se laissait faire en pleurant, elle était devenue docile à force d'avoir les fesses bien rouges. Le plug était à nouveau en place, la sévère maîtresse posa sa main sur les fesses rouges.

- ce petit derrière a un peu refroidi, on va le réchauffer pour le temps qu'il te reste à passer au coin. 

Elle prit la brosse à cheveux et se mit à claquer à nouveau sur le large derrière de la pauvre Olga, elle souriait en voyant les fesses gigoter sous la brûlure, les jambes battaient l'air de façon désordonnée. 



C'était décidément une très mauvaise journée pour les fesses de la directrice de la bibliothèque. La énième fessée déculottée terminée Olga fut remise sur ses pieds et elle rejoignit le coin de la pièce en reniflant, elle avait fait mine de porter ses mains à son derrière brûlant mais Rosa l'avait avertie. 

- remet immédiatement tes mains sur la tête si tu ne veux pas revenir sur mes genoux pour un petit complément !!

Maintenant les larges fesses bien rouges étaient exposées, elles se serraient convulsivement, c'était le seul moyen pour essayer d'atténuer la cuisson. 

- voilà notre petite Olga va rester là pendant qu'on prend le thé, j'ai été obligée d'être un peu sévère avec elle, tu liras son carnet de correspondance, il est édifiant. Cette petite à vraiment besoin d'être tenue. Mais heureusement ses fesses sont faites pour la fessée. 

Elle avait dit ça en riant et s'était levée pour préparer le thé.

- au fait, ça s'est bien passé ton rendez-vous ?

Brigitte rougit légèrement et éluda la question.

- oh oui, oui rien de particulier. 

Rosa était déjà dans la cuisine et n'avait pas remarqué son léger trouble.

///

C'était Ingrid qui avait conseillé à Brigitte le docteur Dupuis quand elle lui avait dit qu'elle n'avait plus de gynécologue.

- tu verras c'est une dame très efficace, je la connais bien, je peux t'avoir un rendez-vous rapidement. 

Une idée un peu perverse avait germé dans son cerveau, "si on pouvait faire rentrer dans nos petits jeux cette ancienne institutrice". Avec Michèle Dupuis elles étaient devenues amies depuis qu'elles se partageaient les fesses de Marie, elle l'avait même invitée à assister à une des sessions du midi où elle s'occupait des trois paires de fesses de Marie, Olga et Lucie. Le docteur Dupuis avait même mis la main à la pâte si on peut dire puisque Lucie avait reçu une magistrale fessée déculottée de cette même main.



Le lendemain Ingrid annonça à Brigitte qu'elle avait un rendez-vous le soir même. 

En arrivant dans la salle d'attente elle trouva une dame qu'elle avait déjà rencontré à la bibliothèque. Le docteur Dupuis ouvrit la porte de son bureau. 

- à bonjour, vous êtes la dame envoyée par Ingrid, j’en ai pour un instant, je m'occupe de Marie d’abord et ensuite c’est à vous 

La dame ainsi désignée se leva en rougissant et suivit le docteur Dupuis. Quelques instants plus tard, Brigitte qui avait l'oreille fine entendit distinctement un bruit caractéristique, surtout pour une amatrice de fessée. C'était bien le claquement d'une main sur la peau nue. A n'en pas douter, le docteur Dupuis s'occupait vraiment de Marie, enfin plutôt de ses fesses. Un petit sourire se dessina sur les lèvres de l'ancienne institutrice, décidément la fessée n'avait pas disparu dans nos contrées. 

Quelques minutes plus tard la porte du bureau s’ouvrit à nouveau et la médecin lui fit signe d’entrer. Un peu surprise de ne pas avoir vu la patiente précédente sortir, Brigitte se leva. En entrant dans le bureau, elle eu la réponse à sa question, juste en face de la porte, dans un coin se tenait Marie, elle avait la jupe retroussée et épinglée dans son dos, sa culotte était baissée sur ses genoux et elle exposait une très jolie paire de fesses bien rebondie qui était d’un beau rouge profond, celui obtenu après une magistrale fessée déculottée. Les épaules de la punie étaient secouées par les sanglots, ses fesses se serraient convulsivement et elle piétinait sur place signe d’une cuisson intense de son postérieur.

Brigitte marqua un temps d’arrêt que remarqua la gynécologue, les yeux de sa nouvelle patiente était fixé sur le derrière écarlate de Marie. Elle eut un petit sourire.



- cette dame est punie, j’ai été obligée de lui administrer une bonne fessée déculottée comme on le fait aux vilaines filles. Un petit séjour au coin pour montrer ses fesses à tout le monde lui fera le plus grand bien. Asseyez-vous et expliquez moi ce qui vous amène.

Brigitte expliqua ses petits problèmes, la gynécologue lui montra le lit d'examen .

- bien, déshabillez vous, je vais vous examiner. 

Brigitte avait l'habitude des examens gynécologiques mais la présence de cette dame déculottée dans le coin de la pièce, rendait la situation un peu bizarre. Elle commença à enlever ses vêtements, quand elle fut en culotte et soutien-gorge, elle hésita un moment, le regard sévère de Michèle Dupuis l'incita à continuer, il ne lui restait maintenant plus que sa culotte... Michèle Dupuis s'impatienta. 

- vous vous déculottez madame !!! Je ne vais pas vous examiner à travers votre petite culotte ?

Brigitte rougit et s'empressa de baisser sa culotte. Elle se dirigea vers le lit d'examen, Michèle Dupuis appréciait sa belle paire de fesses, malgré son âge, elles étaient encore bien rebondies. Elle avait utilisé le terme se déculotter à dessein, en effet c'était un mot associé à la fessée. Elle avait vu la réaction de Brigitte et elle comptait en profiter, elle remercia Ingrid par la pensée de lui offrir ce nouveau terrain de jeu, une belle croupe de dame mûre. 

Elle redevint professionnelle pendant la durée de l'examen, Brigitte était confuse car la vue du fessier écarlate de Marie l'avait excitée et elle craignait que la gynécologue ne s'en rende compte, ce fut bien sûr le cas, elle regarda sa patiente en souriant. 

- je vous félicite madame, pour votre âge, vous avez encore une bonne sécrétion vaginale. 

Brigitte était morte de honte. Michèle Dupuis s'en rendit compte. 

- ne soyez pas confuse, Marie à vraiment de jolies fesses, particulièrement quand elles sont bien rouges. Maintenant vous allez vous mettre sur le ventre. 

Brigitte protesta. 

- mais pourquoi docteur ?

Michèle fronça les sourcils, sa patiente mordait à l'hameçon, elle prit son air sévère. 

- décidément vous n'êtes pas très obéissante, faut-il que j'emploie la même méthode qu'avec Marie ?

- oh non, non. Excusez-moi. 

Brigitte s'était immédiatement retournée et elle présentait son derrière à la gynécologue. Celle-ci était ravie, elle commença par palper les fesses puis les écarta légèrement. L'institutrice retraitée serra instinctivement ses fesses, Michèle lui administra deux claques sèches. 

- il va falloir vous laisser faire madame, sinon je devrai sévir. 

Brigitte s'excusa,  elle était elle-même surprise de sa soumission. Elle sentait confusément qu'elle changeait imperceptiblement de statut. Surtout que la gynécologue continuait. 

- je vais vous prendre la température. 

Brigitte s'étouffa de honte, mais ne protesta pas. Elle sentit deux doigts de la médecin lui écarter à nouveau les fesses et l'embout froid du thermomètre pénétrer son anus. Elle avait essayé de ne pas résister mais c'était trop pour elle,  elle contracta ses fesses. C'était ce qu'attendait Michèle, elle retira le thermomètre. 

- bien ! Levez-vous !!

Dès que Brigitte fut debout, elle la saisit par la taille, la courba sous son bras et avant que celle-ci n'ait eu le temps de réagir, elle lui administra une rapide mais sévère fessée qui fit trépigner sur place et crier la pauvre Brigitte. 

Sa dernière fessée déculottée remontait à très longtemps, sa mère avait utilisé cette méthode de punition jusqu'à ce qu'elle quitte la maison pour rentrer à l'école normale d'institutrice, cela faisait donc plus de cinquante ans. Depuis cette date, c'est toujours elle qui avait baissé les culottes et claqué les fesses. Elle avait oublié combien ça brûlait une bonne fessée cul nu. Et le docteur Dupuis s'y entendait pour rougir les fesses. Quand elle la relâcha, Brigitte présentait une bonne paire de fesses bien rouges. 

- j'espère que vous avez compris, remettez vous en position,  vite  !

Elle se rallongea sur le ventre et ne protesta pas quand le thermomètre pénétra profondément dans son intimité. 



Satisfaite, Michèle lui tapota les fesses bien rouges. 

- voilà, ce n'était quand même pas si compliqué, vois auriez pu éviter cette petite fessée. 

Elle retourna à son bureau et contempla ce spectacle si excitant pour une fesseuse, deux belles paires de fesses bien rouges exposées et à sa disposition. Elle glissa discrètement sa main dans sa culotte pour se caresser. 

Brigitte avait été complètement prise au dépourvu par ce changement, elle s'était laissée surprendre par l'autorité naturelle de la médecin. Maintenant malgré sa honte d'être ainsi exposée et la cuisson de ses fesses, elle n'osait pas bouger, elle était même un peu surprise de sentir une petite excitation entre ses cuisses. 

Elle resta un quart d'heure ainsi les fesses serrées sur le thermomètre qui dépassait à peine de ses fesses.



 Entre temps Michèle avait à nouveau administré une petite fessée avec la règle à Marie pour entretenir la rougeur de son fessier. 

Quand enfin elle lui retira le thermomètre, c'était une Brigitte soumise qui se rhabilla et s'assit face à elle. Le docteur Dupuis rédigea une ordonnance qu'elle lui tendit.

- tout va bien madame, vous pouvez être rassurée sur votre état de santé, cependant je tiens à ce petit traitement. 

Brigitte lu l'ordonnance, elle n'en cru pas ses yeux, c'était la même que celle de Marie quelques semaines plus tôt. 

Une fessée déculottée, tous les midis, cinq jours par semaine pendant un mois. Administrée par le docteur Dupuis à son cabinet. 

Incrédule, elle leva les yeux vers la gynécologue. Celle-ci souriait. 

- ça va vous faire le plus grand bien, vous allez voir. Bien sûr ce traitement n'est pas optionnel, je ne voudrais pas être obligée de prévenir votre fille pour lui demander de vous accompagner. 

Le piège s'était refermé sur Brigitte, elle baissa les yeux. 

- non, non ce ne sera pas la peine docteur, ne prévenez pas Olga, je viendrai tous les jours. 

Elle régla la consultation et se leva pour sortir, son regard se porta sur les fesses écarlates de Marie. 

Bientôt ce serait son tour d'exposer ainsi son derrière. Elle eu un petit frisson, le docteur Dupuis lui infligerait-elle l'humiliation d'une punition publique ?



Elle sentit sur ses fesses la main de la gynécologue qui la raccompagnait. 

- à demain Brigitte, 12h30 précise. Soyez à l'heure. 


6 commentaires:

  1. Merci Sylvie j'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir la suite des aventures cuisantes de la bibliothécaire avec l'introduction du docteur gyneco et du plug cela ouvre de très jolis perspectives pourlasuite merci

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  2. quelle tournure des événements pour Olga et Bridgette. Olga fessée par Rosa. Ingrid a délibérément amené Bridgette dans le scénario. trop bon. merci d'avoir posté

    Chinmay

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    1. Merci pour ces compliments. Effectivement Olga va découvrir de nouvelles sensations mais elĺe aura toujours les fesses bien rouges. Pour Brigitte c'est une nouvelle vie également, puisque maintenant elle n'est plus seulement une fesseuse mais elle montre ses fesses nues comme une gamine.
      Bientôt une suite.
      Sylvie

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  3. Il y a des fesses qui commencent à sérieusement refroidir vivement la suite merci par avance

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  4. Pas de nouvelle histoire depuis lundi dernier gare aux fesses de caroline pour votre paresse

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  5. On ne peut pas dire , que Michèle ou Olga , se privent de distribuer de généreuses claques, sur les fessiers de Brigitte et Marie . Le comportement de ces dames , va changer , à moins que ...

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