jeudi 1 juin 2023

Caroline fesseuse de dame

Une fessée pour Sylvie

Un nouveau récit inspiré de quelques souvenirs et où mes fesses ont la vedette, il n'y a pas d'âge pour se faire baisser la culotte, nous allons le voir. 

J'ai intercalé dans mon récit les impressions de la punie, pour que vous vous rendiez compte de ce que la dame ressent quand elle se retrouve dans la situation peut enviable de devoir présenter ses fesses nues à Caroline.




Caroline était contente en sonnant à la porte de Sylvie. "Ah madame voulait être fessée et bien elle allait être servie".

Depuis le temps qu'elle lui envoyait des mails ou des messages explicite sur Twitter pour lui dire qu'elle méritait la fessée.

Elle lui avait annoncé au téléphone,

- j'ai tout un week-end à te consacrer ma chérie, si tu es dispos depuis le temps qu’on doit se voir, je peux venir chez toi.

Sylvie avait sentit une petite chaleur envahir sa culotte, depuis le temps qu'elle fantasmait sur Caroline, elle l'imaginait en maîtresse sévère, bien sûr la différence d'âge aurait voulu que ce soit elle qui couche la jeune femme sur ses genoux pour lui baisser la culotte mais non, Sylvie rêvait d'être soumise à l'autorité d'une dame bien plus jeune qu'elle. Caroline l'avait pourtant prévenue.

- tu sais ma chérie, j'ai l'habitude de recevoir des fessées déculottées par ma maman et ce n'est pas vraiment une partie de plaisir. Si je t'en flanque une, ce ne sera pas des caresses.



Quand Sylvie lui ouvrit, elle lui fit la bise mais Caroline fit une petite moue, son amie avait un pantalon. Quand on reçoit encore la fessée on porte des jupes songea-t-elle. Elle prit Sylvie par la main, la fit pivoter et immédiatement lui administra quelques claques bien sèches sur le derrière moulé dans le pantalon. Sylvie poussa un petit cri de surprise. Caroline pensa en souriant que malgré ses 70 ans Sylvie avait encore une belle paire de fesses, c'est vrai qu'elles était bien rebondies et fermes malgré leur volume important.

- tu sais bien que je déteste les pantalons !! Tu vas aller te mettre en jupe immédiatement, je te suis.

Penaude, Sylvie se dirigea vers sa chambre suivie par la jeune femme qui en profitait pour admirer la large croupe de dame mûre qui se balançait devant ses yeux. Elle ne résista pas au plaisir de lui administrer à nouveau quelques claques.

- dépêche toi un peu !

Sa main avait claqué les fesses pour faire activer le pas à Sylvie. Bien sûr elle allait pouvoir profiter de ce beau fessier toute la journée mais ce petit apéritif était excitant. Sylvie semblait accepter facilement son autorité, arrivée dans la chambre Caroline prit les choses en main.

- enlève ton pantalon, j'espère que tu as mis une culotte correcte !

Sylvie en rougissant s'exécuta, elle baissa son pantalon découvrant une sage culotte blanche en coton avec juste une bande de dentelle au niveau des cuisses. Dès qu'elle eut quitté son pantalon, Caroline la fit pivoter pour inspecter sa culotte, elle passa sa main sur les fesses culottées et insinua deux doigts sous l'élastique pour la bien la tirer sur le large derrière, elle rentrait légèrement dans la raie fessière découvrant la base des fesses.

- c'est bien, une jolie petite culotte blanche comme il convient aux vilaines filles qui reçoivent encore la fessée.

Sylvie d'un seul coup avait fait un grand bond dans son passé quand sa mère venait vérifier dans sa chambre comment elle était habillée. Caroline avait ouvert la penderie et elle inspectait la garde robe à la recherche d'une jupe qui lui conviendrait. Elle jeta son dévolu sur une jupe bleue marine évasée.

- voilà qui fera l’affaire, elle se retroussera facilement. Mais dit moi, tu t’habilles bien court.

Sylvie lui expliqua qu’elle ne mettait plus cette jupe depuis très longtemps et qu’elle en avait même oublié l’existence. Elle eut vite compris pourquoi elle ne la portait plus, quand elle l’eut enfilé elle lui arrivait 10 cm au dessus du genou. Caroline l’examina en souriant.

- voilà une tenue qui correspond mieux à ta condition ma petite chérie. On va trouver des socquettes blanches et tu seras définitivement une collégienne.

Sylvie protesta pour la forme.

- mais Caroline, tu sais

Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase, Caroline lui avait légèrement retroussé la jupe et lui avait claqué l’arrière des cuisses.

- je ne veux pas entendre de mais !! et puis je ne suis pas Caroline ! Tu vas m’appeler Mlle Caroline à partir de maintenant.



Elle tenait toujours la jupe retroussée et avait continué à claquer la peau tendre des cuisses juste sous les fesses. Sylvie sautillait sur place.

Je ne pensais pas que Caroline oserait, pourtant elle m’avait prévenu au téléphone. ‘’Je te garantis ma chérie que tu risque de le regretter’’. J’aurais du me méfier son ton était devenu plus sec. Elle avait raccroché en ajoutant avec un peu d’ironie ‘’à demain mamie, tu peux préparer tes fesses’’.

Ça faisait longtemps que je la provoquais en lui disant que je méritais la fessée mais qu’il n’y avait personne capable de me la donner, elle m’avait plusieurs fois dit qu’elle était plutôt receveuse de fessée que fesseuse m ais j’insistais. Un jour que je l’avais vraiment poussé à bout elle m’avait dit un peu excédée.

- décidément tu es impossible, une vraie gamine, tu sais qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée. Je crois vraiment que tu la cherches !!

Le soir même je lui avais envoyé un texto lui disant qu’elle avait raison et que je méritais vraiment la fessée. Sa réponse n’avait pas tardé ‘’je suis disponible à partir de demain après-midi et je resterai coucher chez toi’’.

Je l’avais appelé et nous avions convenu de ce rendez-vous ou d’après-elle, ‘’je devais préparer mes fesses’’.

Et maintenant j’étais devant elle dans cette jupe trop courte, l’arrière de mes cuisses me brûlait, ses claques n’étaient vraiment pas des caresses, son ton autoritaire m’impressionnait, je m’étais surprise à baisser le nez et à lui répondre.

- euh, oui, pardon Mlle Caroline.

Caroline était satisfaite de la docilité de Sylvie qu’elle avait l’habitude d’appeler mamie lors de leur conversation. Maintenant c’était vraiment une gamine qu’elle avait devant elle. Elle lui saisit l’oreille et la força à la suivre.

J'étais tétanisée Caroline avait vraiment décidé de me ramener en enfance, d'une main elle me tirait par l'oreille comme si j'avais 12 ans et de l'autre elle me claquait les fesses par dessus ma jupe. Était-ce le fait d'être habillée comme une collégienne et d'être tenue par l'oreille je ne protestais pas mais je m'entendis supplier.

- aïe, aïe, non, non pardon Mlle Caroline.

- tu vas voir un peu comment je traite les chipies comme toi. Oh oui tu peux demander pardon mais c'est un peu tard.

Caroline était vraiment ravie, c'est vrai que c'était souvent elle qui se faisait baisser la culotte par sa maman, mais ce nouveau rôle finalement lui convenait.

Elle  s'était assise sur le canapé, elle avait lâché l'oreille de Sylvie mais c'était pour lui prendre le bras et la faire basculer en travers de ses genoux.

C'est vrai que je fantasmais depuis longtemps sur ce moment, depuis mon adolescence à vrai dire quand ma grand-mère m'avait flanqué ma dernière fessée déculottée, j'avais 15 ans et d'un seul coup je m'en rappelais comme si c'était hier. Je retrouvais mes réflexes, poser mes mains par terre, serrer mes jambes pour dissimuler autant que possible mon intimité. Et je ressentais également la même angoisse, j'allais être réellement punie et de la plus humiliante des façons, une bonne fessée déculottée...ou plutôt comme disait ma grand-mère une fessée cul nu. Soudain je sentis l'air frais sur mes cuisses, Caroline avait retroussé ma jupe, elle avait bien choisi, courte et évasée elle n'avait eu aucun mal à mettre à l'air ma petite culotte. Je sentais son regard moqueur sur mon gros derrière qui était serré d'angoisse sous la fine lingerie.



- alors ma petite chérie, ça te fait quel effet de montrer ta culotte, tu devrais avoir honte à ton âge. Tu as 70 ans et je suis encore obligée de te flanquer une bonne fessée déculottée comme quand tu en avais 15. Qu'est ce qu'elle disait déjà ta grand-mère ?

Je ne m'en souvenais que trop bien, elle me disait qu'elle allait d'abord échauffer mes petites fesses et qu'ensuite on allait baisser la culotte pour voir ma jolie lune….

Une vigoureuse claque sur mes fesses encore culottées me ramena à la réalité.

- je t'ai posé une question !!

J'étais mortifiée mais dans cette position et cette tenue je ne pouvais qu'obéir, je m'entendis répondre.

- oui pardon Mlle Caroline, elle disait qu'elle allait échauffer mes fesses puis baisser ma culotte pour voir ma lune.

J'entendis Caroline éclater de rire ce qui accentua ma honte….

Caroline était ravie, décidément une dame couchée sur les genoux et la jupe retroussée devenait vraiment obéissante. La mamie de Sylvie était vraiment imaginative, c'est vrai que les belles fesses de Sylvie pouvait ressembler à la lune.

- et bien allons-y ma chérie, on va d'abord échauffer ce bon gros derrière.

On y était, la fessée avait commencé, le fin tissu de ma culotte protégeait bien mal mes fesses, de temps en temps Caroline claquait la base des fesses qui n'était pas couverte par la culotte. Je commençais à regretter mon attitude, ma jeune amie m'avait prévenue,  c'était plus qu'un échauffement, mes fesses commençaient à me cuire et je ne pouvais m'empêcher de gémir.

Caroline était vraiment contente de corriger cette dame qui avait l'âge de sa grand-mère, au fur et à mesure que la fessée se déroulait elle tortillait de plus en plus son fessier et la culotte rentrait dans la raie découvrant à moitié la large croupe. La peau nue était déjà colorée, elle décida d'admirer de plus près la belle paire de fesses.

La fessée s'était arrêtée, je sentis les doigts de Caroline s'insinuer sous la ceinture et doucement la culotte glisser sur mes fesses. Se faire déculotter est toujours une épreuve mais quand c'est une très jeune femme qui vous baisse la culotte et qui commente, c'est encore pire.



- allez on va déculotter cette vilaine fille, tu vas me montrer tes fesses ma jolie, oui cul nu comme une gamine, j’espère que tu as bien honte. Oh mais c’est qu’elles sont déjà rouges tes bonnes grosses fesses ma chérie.

Maintenant c’était sur mes fesses que je sentais l’air frais, Caroline devait avoir une vue parfaite sur mon derrière dénudé. J’en avais souvent rêvé mais maintenant que j’étais couchée sans défense sur ses genoux mes fesses tendues vers elle je n’en menais pas large. Je ne put m’empêcher de gémir tellement je me sentais ridicule et à sa merci.

Caroline avait une vue parfaite sur les magnifiques fesses de son amie, des belles fesses de femme mature, encore bien rebondie car entretenue par la pratique de la gymnastique, deux belles masses bien rondes et déjà rouges, séparées par un profond sillon. 



Certes Sylvie les trouvaient un peu trop volumineuses mais la jeune femme qui appréciait tellement les relations saphiques ne pouvait que les admirer. Sa main se mit à les caresser les deux fesses puis ses doigts s’insinuèrent dans la raie médiane.

Caroline m’avait déculottée comme une vulgaire gamine et je sentais son regard sur mes fesses, je les trouvais trop grosses et cette petite devaient se régaler de les avoir si bien présentées. Soudain je sentis ses doigts s’immiscer dans ma raie et écarter mes fesses et mes cuisses. Quelle honte, elle devait avoir une vue parfaite sur mon intimité, instinctivement je resserrai mes cuisses et contractai mes fesses. Mal m’en a prit, une série de claques s’abattit sur mon pauvre derrière. Sur la peau nue les claques faisaient beaucoup plus mal, je me mis à supplier.

- pardon, aïe, aïe non, non ça fait mal arrête.

Caroline se mit à rire, décidément quelque soit son âge une dame qui recevait une fessée déculottée avait les mêmes réactions.

- mais oui ma chérie, je le sais, c’est même fait pour ça la fessée cul nu, tu ne le savais pas ? La prochaine fois tu réfléchiras avant de désobéir, tu vas te dépêcher d’écarter tes cuisses et tu as intérêt à me laisser voir ton petit trou si tu veux que j’arrête la fessée.

J’avais déjà les fesses en feu, je me rendais compte que Caroline n’avait pas l’air de plaisanter, je relâchai mes fesses et mes cuisses, ses doigts reprirent leur humiliante inspection. Un de ses doigts appuya sur mon anus comme pour y pénétrer, l’autre caressait ma vulve provoquant à ma grande honte un frisson et des secrétions que je sentais couler.

- et bien ma chérie, on dirait que ce petit panpan cucul te fait de l’effet. Mais je crois que ta bonne grosse lune à besoin d’être vraiment réchauffée comme disait ta grand-mère.

La fessée repris de plus belle, je ne m’imaginais pas qu’une fessée déculottée puisse faire autant de bruit et brûler autant les fesses. Malgré mon désir de rester stoïque je ne pus pas retenir mes larmes, mon derrière était en feu, c'était horrible. Ma dernière véritable fessée déculottée remontait à plus de 50 ans en arrière. Quand je dis vraie fessée, ça veut dire une fessée punition pas une série de claques sur les fesses. Une correction qui vous fait crier, gigoter, ouvrir largement ses fesses puis finir hébétée et en pleurs comme une gamine punie sans se soucier de son âge.

C'était exactement ma situation au moment où Caroline cessa ma punition.

Sylvie avait les fesses écarlates sur toute leur surface, la rougeur descendait également sur le haut des cuisses, Caroline savourait ce spectacle, cette dame mûre couchée sur ses genoux, pleurant et suppliant comme une écolière fessée par son institutrice, décidément c’était vrai qu’il n’y avait pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée.



Le moment tant espéré de la fin de la fessée était arrivé, bien sûr la cuisson de mon derrière était toujours intense mais j’étais quand même soulagée. Caroline passait sa main sur mes fesses brûlantes.

- tu vois ma petite chérie, une bonne fessée déculottée ça cuit vraiment les fesses n’est-ce pas ? Je crois que tu commences à comprendre que je ne plaisantais pas. Mais ce n’est qu’un début, tu vas aller au coin pour que tout le monde puisse voir ton bon gros derrière bien rouge.

Le coin ?? elle m’envoyait au coin … j’étais définitivement reléguée au rang d’une chipie punie par sa maman. Ma culotte entourait mes chevilles, je me dirigeai tête basse vers le mur. L’ordre claqua.

- ton nez contre le mur et tes mains sur la tête, et ne t’avise pas de bouger si tu ne veux pas revenir faire un petit séjour sur mes genoux.

Il ne restait plus qu’à parfaire le tableau, Caroline passait souvent beaucoup de temps au coin fesses à l’air quand sa mère la punissait, donc elle savait comment faire. Elle retroussa à nouveau la jupe qui était retombée et la coinça dans la ceinture pour que les fesses restent bien visible, puis elle remonta la culotte à mi-cuisse. Elle alla se rasseoir pour apprécier le tableau, il ne lui restait plus qu’à l’immortaliser en faisant une photo.



J’entendis le déclic de la photo, Caroline venait de me féliciter.

- c’est parfait, tu es très mignonne avec ton joli derrière bien rouge, on va faire une photo, je la publierai sur Twitter. Tu reste là pendant 30’, ça va te permettre de réfléchir à ta conduite. Puis on passera à la suite.

 

A suivre….

5 commentaires:

  1. Bravo Caroline voilà une fessee deculotee bien meritee

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    1. Mlle Caroline adore baisser les culottes et rougir les fesses des dames quelque soit leur âge, c'est bien connu.
      Sylvie

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  2. J'ai adoré la relation qu'ils ont tous les deux formé. alors Sylvie, as-tu rencontré cette Caroline dans la vraie vie ??? si oui alors je parie que c'est une vraie expérience que vous avez vécue

    Chinmay

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    Réponses
    1. Oui chimmay sylvie nous l'avait raconté en détail dans un précédent post de con fesse sion

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