Le traitement de Brigitte
Brigitte se présenta le lendemain au cabinet du docteur Dupuis, une secrétaire l’accueilli avec un sourire.
- bonjour madame, vous avez rendez-vous ?
Brigitte se sentit rougir, oui elle avait un rendez-vous mais c’était un peu particulier, elle n’allait quand même pas dire à cette charmante dame d’une quarantaine d’année, ‘’je viens pour recevoir ma fessée’’. Elle prit une inspiration et répondit en espérant que la secrétaire n’allait pas demander de précisions.
- euh, oui le docteur Dupuis m’a demandé de passer aujourd’hui pour mon traitement.
- votre traitement ? bien je vois, allez vous asseoir. Il va y avoir un peu d'attente le docteur Dupuis est un peu en retard.
Brigitte satisfaite que la secrétaire ne demande pas plus de précisions se dirigea vers la salle d'attente, son sang se glaça quand elle entendit la secrétaire continuer.
- à au fait au sujet du traitement, vous portez quoi comme culotte?
Brigitte surprise, bredouilla.
- euh..euh, que voulez-vous dire madame ?
- Mme Dupuis déteste les strings et les culottes fantaisies. Je peux vérifier ?
Brigitte essaya de protester.
- mais enfin madame, pourquoi ? Vous ne voulez quand même pas voir ma culotte ?
- si, c'est tout à fait ça, vous allez me montrer votre petite culotte. C'est pour votre bien en plus car si elle ne convient pas à Mme Dupuis, vos fesses risquent d'en payer les conséquences.
Brigitte était effondrée, ses espoirs que sa situation reste confidentielle était vains. Cette dame qui la regardait en souriant et qui aurait pu être sa fille, savait qu'elle était en passe de recevoir une bonne fessée déculottée. Son ton était devenu plus ferme.
- tournez-vous et retroussez votre jupe.
Brigitte la mort dans l'âme s'exécuta, dévoilant une culotte blanche ornée de dentelle qui moulait bien son large fessier. Véronique s'approcha et tapota les fesses, elle tira sur la culotte pour bien la tendre sur la croupe.
- c'est parfait, c'est très convenable, de toute façon si votre culotte avait été incorrecte j'en ai quelques unes en dépannage dans le tiroir de mon bureau.
Le téléphone sonna et la secrétaire laissa Brigitte au milieu de la pièce tenant sa jupe retroussée, elle se sentait un peu ridicule mais elle ne savait pas si elle avait le droit de remettre sa jupe en place. En deux jours après la fessée déculottée administrée par Michèle Dupuis et la séance de thermomètre elle était redevenue une adolescente obéissante qui attendait les consignes. Véronique raccrocha le téléphone.
- bien docteur, ça sera fait.
Elle se tourna vers Brigitte en souriant.
- le docteur en a encore pour 10', elle m'a demandé de vous mettre au coin. Suivez moi, vous gardez votre jupe retroussée c'est parfait.
Elle ouvrit une porte qui donnait sur une petite salle. Elle désigna le coin.
- allez vous mettre là, le nez contre le mur et les mains sur la tête.
Brigitte était rouge de honte, elle se retrouvait plus de 50 ans en arrière, sa mère utilisait la même méthode. Elle avait oublié qu'elle même avait puni de la sorte des générations d'élèves. Elle pressentait la suite et ses craintes se concrétisèrent. Véronique s’approcha et retroussa à nouveau la jupe qu’elle coinça dans la ceinture puis elle baissa rapidement la culotte de Brigitte à mi-cuisse, celle-ci serra instinctivement ses fesses. Après avoir tapoté les fesses mise à nu la secrétaire se recula pour apprécier le tableau. Il était édifiant, on se serrait cru dans une salle de classe d’un collège anglais des années 50. Une belle paire de fesses bien blanche, encadrée par la jupe retroussée et la culotte blanche baissée, exposée dans un coin de la pièce, la punie tenant ses mains sur la tête et son nez collé contre le mur.
- voilà, vous restez là jusqu’à ce que le docteur Dupuis ait fini sa consultation, ne bougez pas je laisse la porte ouverte pour vous surveiller.
Elle laissa la pauvre Brigitte complètement désemparée, ses larges fesses contractées d’être ainsi dénudées en public. Certes le public était restreint, c’était juste Véronique mais qu’elle honte pour l’ancienne institutrice qui avait déculotté tellement de derrières dans sa vie. Elle se rendait compte maintenant de l’humiliation qu’elle faisait vivre à ses élèves quand elle les forçait à rester les fesses nues bien exposées devant toute la classe.
Véronique avait regagné son bureau et comme elle l’avait annoncé, elle avait laissé la porte de la pièce entre-ouverte, les personnes qui serait entrée au secrétariat ne pouvait pas voir les fesses de Brigitte mais celle-ci ne le savait pas, son angoisse était totale. La secrétaire répondait au téléphone sans se soucier de la dame de 70 ans qui exposait ses fesse dans la salle de repos. Soudain Brigitte se raidit et serra encore plus si c’était possible ses bonnes grosses fesses de dame mûre, une personne venait de rentrer dans le secrétariat. Comme si de rien n’était, Véronique donna un rendez-vous à une dame, apparemment elle ne venait pas pour recevoir une fessée, enfin son supplice prit fin quand la dame quitta le secrétariat, elle entendit le docteur Dupuis raccompagner la patiente qui la précédait, elle s’adressait à sa secrétaire.
- Véronique, vous donnez un rendez-vous à madame Dugoin, je veux la revoir demain pour un petit complément de traitement.
Encore une patiente qui devait avoir les fesses rouges sous sa culotte pensa Brigitte. Ça allait bientôt être son tour. La porte s’ouvrit complètement alors que la patiente était encore là, elle entendit le docteur Dupuis s’adresser à elle.
- bonjour Brigitte, vos fesses sont magnifiques. Vous pouvez remonter votre culotte puis vous venez dans mon bureau.
Tout le monde savait donc que sa culotte était baissée, elle s'empressa de recouvrir ses fesses et remis rapidement sa jupe en place. La dame d'une quarantaine d'années qui s'apprêtait à régler sa consultation avait les joues très rouges, elle jeta juste un oeil à Brigitte pour savoir qui était la prochaine patiente qui allait recevoir le traitement spécifique du docteur Dupuis. Elle ne put retenir un sourire en reconnaissant son ancienne institutrice qui lui avait si souvent troussé la jupe et baissé la culotte pour une cuisante correction quand elle était gamine.
Ainsi la roue tournait pensa-t-elle, cette dame si autoritaire jadis, allait dans un instant se retrouver allongée sur les genoux du docteur Dupuis, les fesses pointées vers le ciel et elle gémirait certainement, supplierait à coup sûr et finirait en pleurs au coin de la pièce les fesses écarlates.
Elle était subitement consolée de son derrière brûlant et de l'humiliation que venait de lui faire subir sa gynécologue en la traitant comme une gamine. Pendant que Brigitte disparaissait dans le bureau de Michèle Dupuis, la secrétaire la ramena à la réalité.
- est-ce-que le docteur a utilisé un instrument ?
Surprise Aline Dugoin, piqua un énorme fard.
- euh, euh mais pourquoi voulez-vous le savoir ?
Véronique ne se départissait jamais de son sourire, elle regarda dans les yeux la patiente.
- parce que chère madame, vous allez si j'ai bien compris recevoir à nouveau une bonne fessée déculottée demain, si vos fesses sont trop marquées je dois vous donner une ordonnance pour que vous appliquiez une crème ce soir.
Alice penaude baissa la tête, cette chef de projet ne s'attendait pas à ça quand elle avait pris rendez-vous chez sa gynécologue. Comme elle ne répondait pas, Véronique se leva et fit le tour de son bureau.
- bien je vais vérifier ça moi même, tournez-vous !
Les fesses brûlantes d'Alice ne l'incitait pas à discuter, elle se tourna. La jupe fut rapidement troussée et la culotte glissa sous les fesses. Elles étaient écarlates, signe d'une magistrale déculottée, Michèle Dupuis avait complété la fessée à la main par l'administration d'une correction avec la règle plate en bois. Alice avait put constater qu'une fessée déculottée à l'âge adulte était bien plus terrible que celles reçues dans sa jeunesse. Véronique tenait la jupe relevée et caressait les fesses nues.
- c'est une bonne fessée, mais demain il n'y paraîtra plus. Vous savez quand j'étais en pension la pionne nous interdisait de dormir sur le ventre après la fessée cul nu du coucher, il fallait qu'on sente bien nos fesses, qu'elle disait.
Elle relâcha la jupe et retourna à son bureau.
- reculottez vous. Vous avez de la chance, vous pourrez dormir sur le ventre.
Elle avait sourit, son regard était lointain, dans un collège anglais où elle avait passé de nombreux étés pour des stages linguistiques.
Pendant ce temps Brigitte se tenait devant Michèle Dupuis, les bras le long du corps.
- alors ce petit séjour au coin fesses à l'air vous à permit de réfléchir. Pourquoi dois-je vous fesser ma chère ?
Les pensées s'entrechoquaient dans la tête de la pauvre Brigitte. Depuis un mois elle avait repris ses bonnes habitudes en déculottant sa fille et il fallait l'avouer, elle y prenait un certain plaisir. Mais depuis hier elle était passée de l'autre côté de la barrière et c'était beaucoup moins amusant même si elle avait ressenti au milieu de sa honte et de sa douleur un certain trouble à devoir exposer son derrière dénudé. Elle sentait qu’il lui fallait répondre, mais quoi dire, reconnaître qu’elle méritait une bonne fessée déculottée ? c’était au dessus de ses forces. Le regard perçant de Michèle Dupuis la fixait, elle était rouge de honte, aucun son ne sortait de sa bouche.
- vous êtes devenue muette ?
La voix était sévère comme celle de la directrice de l’école normale de jeune fille le jour où elle avait fait le mur avec une copine. Ces souvenirs revenaient lentement, elles avaient eu le choix entre un renvoi pur et simple ou une fessée déculottée en privé dans le bureau de la directrice. Le choix avait été vite fait et l’une après l’autre avec sa copine elles avaient connu l’humiliation de la fessée cul nu allongée sur les genoux de la sévère directrice.
- bien, je vais être obligée de vous rafraîchir la mémoire,venez ici !
Le docteur Dupuis désignait la chaise posée devant son bureau, elle s’y était assise.
- tournez-vous !
Brigitte présentait maintenant son dos à sa gynécologue, elle sentit sa jupe se retrousser et sa culotte descendre sur ses fesses.
- avec les fesses à l’air vous allez peut-être retrouver la parole. Je vais commencer à compter si à trois vous n’avez pas commencé votre confession, vous irez dans cette tenue au secrétariat, Véronique sera ravie de surveiller votre joli derrière et les prochaines patientes auront droit à un joli spectacle.
Brigitte était paniquée, décidément le docteur Dupuis savait y faire, elle l'entendit commencer le décompte "un....deux"
- non, non docteur, s'il vous plaît....
- il ne tient qu'à vous madame...
- oui, oui, vous avez raison... Je mérite la fessée docteur...Je, je... enfin oui je pense que ma conduite nécessite une sanction.
- bien, bien voilà qui est mieux.
Michèle Dupuis souriait, ravie de voir la gêne de sa patiente. Ingrid lui avait bien dit qu'à son avis cette dame qui avait si souvent donné la fessée et qui fessait encore sa fille âgée de 50 ans serait une proie facile. Elle avait eu raison, elle se souvenait du beau derrière de femme mûre de Brigitte qu'elle avait pris plaisir à examiner hier et également à rougir un peu. Aujourd'hui ça allait être différent, elle allait pouvoir lui administrer une vraie bonne fessée déculottée, elle avait du temps devant elle.
- donc, vous méritez une fessée, c'est bien de le reconnaître, ça ne vous évitera pas la punition mais au moins mes patientes ne connaîtrons pas vos fesses, du moins aujourd'hui.
Brigitte avait les joues très rouges, elle baissait la tête.
- regardez moi vilaine fille ! Puisque vous reconnaissez que vous méritez une fessée, vous allez me la demander !
Décidément Brigitte allait boire le calice jusqu'à la lie. Elle avala sa salive, prit une inspiration et se lança.
- s'il vous plaît madame pouvez-vous m'administrer la fessée déculottée que j'ai méritée.
Michèle souriait toujours.
- déculottée ?? Vous méritez vraiment que je vous baisse la culotte ?
- euh... oui...
Brigitte essayait de regarder sa future fesseuse, elle ne savait pas quelle contenance avoir. Michèle continuait.
- et bien puisque vous semblez trouver ça nécessaire. Reculottez vous.
Surprise, Brigitte remonta sa culotte sur ses fesses. Michèle Dupuis était assise sur la chaise, elle tapota ses cuisses pour signifier à sa patiente l'endroit où elle devait se coucher. Docilement l'ancienne institutrice s'approcha et elle se coucha spontanément en travers des cuisses de sa gynécologue. Ça c'était fait tout naturellement comme si il était normal qu'une dame de 70 ans se retrouve allongée sur les genoux d'une dame plus jeune, la tête près du sol, les fesses pointées vers le ciel. Michèle retroussa à nouveau la jupe, la culotte blanche était tendue sur la croupe, elle rentrait légèrement dans la raie fessière, elle tapota doucement ce derrière qui désormais lui appartenait. Elle savait qu'elle en aurait très souvent la jouissance, qu'elle pourrait le claquer et le rougir autant qu'il lui plairait. Jusqu'à présent elle n'avait fessé que des jeunes femmes ou des dames d'une quarantaine d'années comme Marie qui venait tout les soirs lui présenter ses fesses, ou cette si jolie Alice qu'elle venait de corriger il y a quelques instants. Véronique sa secrétaire avait aussi un joli derrière bien rebondi. Depuis qu'elle avait redécouvert les plaisirs de la fessée, elle ne faisait plus de reproches à sa secrétaire, à la moindre faute c'était panpan cucul et on en parlait plus.
Elle pensait à toutes ces paires de fesses en caressant la culotte de Brigitte, elle insinua ses doigts sous la culotte et inspecta l'entrejambe de sa punie, elle eut un petit sourire en constatant l'humidité sous ses doigts "madame n'est pas insensible au plaisir de montrer ses fesses on dirait ", elle claqua sèchement la fesse droite puis la gauche par dessus la culotte.
- alors ma petite Brigitte, on a mérité sa fessée n'est ce pas ? Je suis gentille je vais commencer par échauffer ton bon gros derrière.
La fessée préparatoire sur la culotte n'eut rien d'une partie de plaisir, les claques magistrales se succédaient sur les fesses encore culottées, les mouvements désordonnés des jambes eurent bientôt pour effet de faire rentrer encore plus la culotte dans le sillon central, les fesses étaient presque entièrement découvertes quand Michèle cessa la première fessée. Brigitte avait essayé de rester stoïque mais rapidement elle s’était mise à gémir puis à crier. La culotte tirée par Michèle glissa sur le derrière, les fesses étaient déjà bien rouges, la sévère gynécologue les caressa à nouveau, c’était vraiment un plaisir la peau était douce et déjà tiède, ces fesses étaient un peu enrobées, certes mais au moins il y avait de quoi fesser. Il fallait poursuivre l’entreprise de soumission de sa nouvelle punie.
- alors ma petite Brigitte comment la trouves tu la fessée de ta nouvelle maman ?
Brigitte gémissait doucement, une vigoureuse claque administrée en plein milieu de sa grosse lune eut vite fait de la ramener à la réalité.
- quand je pose une question je veux une réponse !
Une deuxième claque aussi forte que la première atterrissait à nouveau sur le fessier tendu.
- AÏE, AÏE pardon madame, oui ça brûle, oh pardon madame plus la fessée s’il vous plaît.
Michèle éclata de rire.
- mais tu plaisantes j’espère, je n’ai pas encore commencer ta correction ma petite chérie, je t’ai juste un peu échauffé les fesses par dessus la culotte. Tu devrais pourtant le savoir, tu en as suffisamment donné des fessées, une fessée c’est toujours cul nu !
Elle avait terminé sa phrase par une série de claques distribuées généreusement sur le bon gros derrière de Brigitte. Elle palpa les fesses pour en apprécier encore la souplesse et la texture puis elle commença la vraie fessée. La pauvre Brigitte avait oublié combien ça brûlait une bonne fessée déculottée même avec la main. Pourtant comme venait de lui rappeler Michèle elle avait déculotté et rougi des quantités de derrières dans sa vie et sa main était aussi vigoureuse que celle qui en ce moment lui tannait la peau des fesses. Mais aujourd’hui tout ça était oublié elle n’était plus qu’une gamine fessée par une maman sévère et qui bientôt se mit à pleurer. Ses jambes battaient l’air désespérément, ses fesses s’ouvraient sans souci de pudeur, sa culotte étaient maintenant enroulées autour de ses chevilles.
Michèle Dupuis s’appliquait c’était la première véritable fessée qu’elle administrait à Brigitte et il fallait qu’elle s’en souvienne longtemps, que dans son cerveau s’imprime de façon définitive que sa nouvelle maman c’était elle et qu’elle pouvait à sa guise la déculotter et la punir si nécessaire.
Les fesses étaient maintenant de la couleur de deux tomates bien mûres, elle ne se débattait plus semblant accepter sa correction. Le docteur Dupuis satisfaite de son oeuvre la fit se relever, des larmes coulaient sur ses joues, elle porta ses mains à ses fesses. Mal lui en prit, Michèle la saisit immédiatement et la recoucha sur ses genoux, une deuxième fessée crépita dans le bureau avec les cris de Brigitte qui hurlait de douleur et de surprise de cette nouvelle fessée.
- tu devrais pourtant le savoir que c’est interdit de se frotter les fesses après la fessée, oh mais je vais te mater ma petite, tu peux crier tu peux pleurer, je te garantis que tu vas t’en souvenir et ça sera comme ça à chaque fois, Si tu désobéis, tu reviens immédiatement faire un petit séjour sur mes genoux.
La fessée fut magistrale mais courte maintenant une légère buée montait au dessus du fessier rougeoyant, l’arrière des cuisses sous les fesses était également écarlate.
Brigitte se releva en sanglotant, elle n’avait jamais reçu une correction pareille. Michèle lui montra le coin de la pièce.
- tu files au coin ! Je n'ai pas besoin de t'expliquer la position.
En effet c'était inutile, Brigitte avait envoyé au coin tellement de fesses bien rouges. Elle mit son nez contre le mur et posa ses mains sur la tête. Sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, la sévère fesseuse retroussa la jupe, l'épingla dans le dos et remonta la culotte au milieu des cuisses de la punie.
Puis elle alla s'asseoir à son bureau, elle était excitée par la fessée qu'elle venait d'administrer à ce magnifique fessier, elle glissa sa main dans sa culotte. Mais juste au moment où elle sentait la jouissance monter, le téléphone sonna. Excédée elle répondit, c'était Véronique sa secrétaire.
- je t'ai pourtant dit que je voulais pas être dérangée ! Viens dans mon bureau immédiatement !
Elles raccrocha sans demander qui voulait lui parler.
La secrétaire frappait déjà à la porte.
- entre !!
Véronique avait les joues rouges et elle baissait la tête.
- pardon madame....
- décidément, ce n'est quand même pas difficile ! Baisse ta culotte et en position.
Véronique s approcha du bureau, glissa ses mains sous sa jupe et fit glisser sa culotte sous ses fesses, elle retroussa sa jupe et se pencha sur le bureau. Michèle s'était levée et avait pris une règle plate en bois sur son bureau. Elle appuya un peu sur le dos de sa secrétaire pour lui faire tendre mieux les fesses. Elles étaient bien rondes et musclées à souhait, serrées par l'angoisse de la future punition. Michèle annonça sévèrement.
- 30 !! Tu comptes !!
La règle claqua sèchement sur le derrière tendu, suivi d'un petit cri.
- aïe, un...aïe, deux...
La fessée suivit son cours jusqu'à son terme, au milieu des claquements et des gémissement de Véronique, à la fin son fessier était parfaitement rouge sur toute sa surface. On sentait que la secrétaire était habituée aux sévères fessées, elle avait piétiné sur place mais n'avait pas cherché à se relever ou à éviter sa punition. Michèle satisfaite reposa la règle et lui annonça.
- privée de culotte jusqu'à ce soir et une fessée avant de finir ta journée. File !!
Véronique se releva, elle fit glisser sa culotte jusqu'à ses pieds et l'enjamba puis elle la tendit à Michèle, celle-ci prit la fine lingerie en souriant et la plaça bien en évidence sur le bureau. La secrétaire remis sa jupe en place et se dirigea vers la porte, elle jeta un regard au fesses écarlates de Brigitte. "Celle-là venait d'en prendre une bonne et apparemment ce n'était pas fini".
Dès qu'elle fut sortie, Véronique frotta ses fesses par dessus sa jupe, c'était cuisant, même si elle commençait à en avoir l'habitude c'était toujours une sensation bizarre de sentir ses fesses brûlantes et de se remémorer les minutes précédentes où elle présentait son derrière dénudé. Comme l'exigeait le docteur Dupuis, elle retroussa sa jupe avant de s'asseoir pour que ses fesses nues reposent directement sur la chaise, elle fit une petite grimace.
Tout avait commencé un mois plus tôt, Véronique travaillait pour le Dr Dupuis depuis plus d'un an, elle était divorcée et avait élevé seule deux filles qui maintenant avait 17 et 19 ans et habitait toujours chez elle. Elle était assez tête en l'air et Michèle Dupuis lui en avait fait plusieurs fois le reproche, ce jour-là elle avait oublié de transmettre un courrier très important, elle était dans le bureau de sa patronne, la tête basse se confondant en excuses quand elle avait entendu cette phrase incroyable.
- Véronique ! C'est inadmissible vous mériteriez vraiment que je vous flanque une bonne fessée déculottée !
Elle avait ouvert la bouche pour protester mais le regard noir de Michèle l'en avait dissuadée. De toute façon elle savait que sa faute était impardonnable et que le licenciement se profilait à l'horizon. Dans sa situation c'était impossible…
Michèle Dupuis administrait la fessée à Marie tout les soirs depuis une semaine (cf. la bibliothèque 2), elle commençait à y prendre goût et depuis un moment elle regardait avec intérêt le joli fessier de sa secrétaire, l'occasion était trop belle.
- d'ailleurs c'est ce que je vais faire, à moins que vous préfériez que je vous licencie pour faute grave.
- non, non madame, s'il vous plaît.
Véronique s'était mise à pleurer.
- c'est un peu tard, ma chère, il fallait y penser avant. Gardez vos larmes pour la fessée que je vous réserve.
Michèle s'était levée et avait pris une chaise pour la placer au milieu de la pièce, elle s'était assise et faisait un petit signe du doigt à Véronique.
- venez ici, on va régler ça immédiatement et à ma façon.
- non, madame, non s'il vous plaît.
Véronique ne savait pas quoi faire.
- vous préférez le licenciement ?
- non ! Non !
- alors c'est simple vous venez ici tout de suite !
La mort dans l'âme la secrétaire d'une quarantaine d'années s'approcha et en un instant elle se retrouva 25 années auparavant quand sa mère lui administrait encore la fessée. Elle poussa un petit cri mais déjà sa jupe était retroussée sur ses reins et elle sentait l'air frais sur ses cuisses. Michèle apprécia que sa secrétaire porte des bas autofixants et une jolie culotte rose ornée de dentelle, le spectacle de cette jolie paire de fesses moulée par la culotte était ravissant. Elle claqua immédiatement le derrière si bien présenté. Véronique se mit à gémir puis à supplier
- non, non madame arrêtez s'il vous plaît.
Elle se rendait compte du ridicule de la situation, elle une mère de famille de 40 ans couchée sur les genoux d'une dame, la jupe retroussée en train de recevoir ce châtiment enfantin. Mais c'était trop tard, Michèle le lui fit remarquer.
- vous avez accepté la fessée ma chère, il faut vous laisser faire sinon vous serez licenciée mais avec une paire de fesses bien rouges en plus.
Elle glissa ses doigts dans la culotte et la fit glisser sur le joli popotin de Véronique qui se mit à crier.
- non, vous n'avez pas le droit arrêtez !
Ce qui fit bien rire Michèle.
- ah oui ? Et pourquoi donc ? Vous ne savez pas qu'une fessée c'est toujours cul nu chez moi. Oui ma chère Véronique vous allez recevoir la fessée déculottée que vous avez mérité et après on en parlera plus.
Maintenant la secrétaire si autoritaire avec ses filles exposait ses fesses rondes déjà rosées de la fessée sur la culotte, Michèle passa sa main sur l’épiderme si doux, ce fessier était vraiment adorable, ni trop gros ni trop menu, un beau derrière de femme mûre bien rebondi avec une raie fessière profonde qui séparait deux belles masse de chair.
Il était temps de passer à la vraie fessée, de rougir comme il faut cette belle paire de fesses. La main commença à claquer et Véronique se rappela très bien comment une fessée cul nu ça vous brûlait les fesses, c’était comme ça que sa mère la punissait. Elle l'avait enfoui au fond de sa mémoire mais d'un seul coup tout les souvenirs ressurgissaient, oh oui ces mémorables fessées déculottées qu'elle avait reçu et malgré la brûlure quand elle se retrouvait seule dans sa chambre cet intense désir de se caresser. Tout cela lui revenait par bouffée tandis que méthodiquement Michèle la corrigeait, lui rougissait les fesses. Elle criait et pleurait comme quand elle était adolescente, ses fesses s'ouvraient largement, et Michèle ne perdait rien du spectacle. Elle voulait profiter de cette fessée déculottée pour arriver à ses fins, avoir définitivement les fesses de Véronique à sa disposition.
Quand la fessée s'arrêta, le derrière de Véronique était écarlate, elle sanglotait toujours étalée en travers des cuisses de sa patronne, celle-ci glissa sa main entre ses cuisses pour constater l'état d'excitation de sa secrétaire. Elle fut satisfaite de constater que la fessée avait fait son effet, ses doigts étaient gluants des sécrétions intimes. Elle eut un petit sourire et tapota les fesses brûlantes.
- voilà c'est fini, tu peux te reculotter.
Elle avait utilisé à dessein le tutoiement pour que Véronique intègre bien son changement de situation.
- à partir de maintenant, à chaque bêtises tu feras un petit séjour sur mes genoux. Tu peux retourner travailler, tu as de la chance je ne te mets pas au coin les fesses à l'air.
Complètement troublée Véronique les fesses brûlantes sous sa culotte était revenue au secrétariat.
Michèle en regardant son joli derrière se trémousser en quittant le bureau n'avait pas pu s'empêcher de se caresser.
A suivre….
Merci Sylvie très joli épisode
RépondreSupprimerJe remarque que la dernière fessee de caroline a l'épisode précédent vous as stimule pour vous appliquer
this series is really interesting and catching up with every episode
RépondreSupprimerChinmay