dimanche 11 juin 2023

Caroline fesseuse de dame 2

 Fessée en plein air 



C’est très long 30’ au coin le nez contre le mur à ne pas bouger sous peine d’une nouvelle fessée encore plus cuisante. C’est ce que Caroline m’avait dit quand elle m’avait mise en pénitence.

- et ne t’avise pas de bouger sinon tes bonnes grosses fesses vont le sentir passer.

Je commençais à avoir des crampes dans les bras, la brûlure de mes fesses s’atténuait, j’entendais Caroline pianoter sur son téléphone, c’était sûr qu’une photo de mes fesses écarlates avec des commentaires ironiques de Caroline devait traîner sur Twitter.

Au début j’avais essayé d’atténuer la cuisson de mon derrière en serrant et desserrant mes fesses, ce qui m’avait valu quelques remarques moqueuses.

- on dirait que ma petite chérie à chaud à son petit cucul, tu sais que tu es mignonne en train de serrer tes fesses.

Au bout d’un certain temps je m’étais dandinée d’un pied sur l’autre, ce qui n’avait pas plu à ma jeune maîtresse. J’ai eu droit à une bonne claque au milieu de mes fesses.

- vas tu t’arrêter de gigoter !! si tu continues tu reviens immédiatement sur mes genoux je vais te calmer !!


Caroline s’était rassise et elle contemplait avec ravissement le magnifique fessier de Sylvie, rouge à souhait. "À ma petite chérie, tu voulais savoir ce que ça faisait que de recevoir une vraie fessée déculottée et bien tu as été servie et ce n'est pas fini" Sylvie ne bougeait plus, le nez collé contre le mur, la menace de revenir sur ses genoux avait suffit, c'est curieux comme à tout âge une bonne fessée déculottée rend obéissante les dames. 


- c'est bon, tu peux venir me voir, enlève tes mains de ta tête. 


Caroline m'avait fait venir j'étais debout, elle me fit pivoter et passa sa main sur mes fesses. C'était à la fois humiliant et excitant, je la sentis remonter ma culotte sous mes fesses et remettre ma jupe en place. 

- voilà tes petites fesses sont cachées mais elles sont toujours à ma disposition si tu n'es pas sage. 

J'étais donc toujours cul nu sous ma jupe mais je n'osais pas protester.


Caroline avait posé sa brosse à cheveux bien en évidence sur la table basse. 

- on va aller faire une petite promenade, qu'en penses-tu?

Sylvie habitait une maison à la campagne avec de nombreux chemins de randonnée, elle n'avait que deux voisines, une dame veuve un peu plus âgée qu'elle et une autre d'une quarantaine d'années, divorcée avec deux enfants. Sylvie fit une petite moue qui n'échappa pas à sa jeune maîtresse. 

- tu as quelque chose à dire ? Je n'aime pas les grimaces tu devrais le savoir, tes fesses sont disponibles n'oublie pas.


Décidément Caroline avait l'oeil à tout et bien que la douleur de mes fesses soit en train de s’atténuer, je ne tenais pas à goûter à la brosse. Cette promenade ne me disait rien qui vaille surtout dans ma tenue, avec cette jupe trop courte et ma culotte baissée sous les fesses. Pourvu que l'on ne rencontre pas Huguette ou Pauline. La première avec son éducation rétro ne se gênerait pas pour me faire des réflexions sur ma tenue, quant à cette coquine de Pauline je pense que ça la ferait bien rire. Bon elles ne sauraient quand même pas que ma culotte était baissée, on ne la voyait pas.


- non , non c'est bon, oui on y va ne te mets pas en colère. 


Caroline avait sourit, décidément la bonne vieille fessée avait du bon. Elle claqua le derrière de Sylvie par dessus sa jupe. 

- et bien allons-y. 


Cette petite claque administrée naturellement sur mes fesses me rappela que j'étais maintenant la petite gamine qui sortait avec sa maman. En passant je vérifiai quand même que ma culotte ne dépassait pas sous ma jupe, je remarquai que Caroline avait ramassé sa brosse et l'avait mise dans son sac.

En passant devant chez Huguette je l'aperçus derrière ses rideaux, j'étais bonne pour quelques réflexions prochainement. Heureusement Pauline était au travail et ses deux filles au collège. 


Caroline avait une petite idée derrière la tête, elle emprunta un chemin forestier. Au bout de quelques minutes de marche elle s'arrêta et montra un buisson de noisetier à Sylvie, elle sorti un sécateur de son sac. 

- tu vas aller me couper trois ou quatre badines. Je pense que tes fesses ont besoin de découvrir autre chose que la fessée avec la main.

 

Je regardais Caroline sans oser comprendre, enfin si j'avais très bien compris mais j'étais affolée, un correction avec une badine en noisetier ça devait faire horriblement mal, Caroline fronça les sourcils, je savais ce que ça voulait dire. 

- tu te dépêche ! Sinon ton derrière va goûter à la brosse avant la badine. 

Je pris le sécateur et je me dirigeai vers le buisson, un frisson me parcourait les fesses et aussi surprenant que ça puisse paraître, ma vulve était humide. Elle me donna les instructions. 

- prend les assez fines, je ne veux pas endommager tes jolies fesses.

 

Sylvie tendit à Caroline 4 fines tiges de noisetier. Celle-ci les prit et apprécia leurs souplesse. Puis elle les rendit à sa petite amie soumise. 

- très bien, tu enlèves les feuilles et tu les portes, elles vont servir tout à l'heure. 


Être obligée de préparer l'instrument de sa punition c'était une petite humiliation supplémentaire que m'avait réservée Caroline. Je me suis appliquée à bien rendre lisse les baguettes,  Caroline me regardait en souriant. Puis nous sommes reparties, je tenais à la main les quatre badines.

Évidemment ne rencontrer personne ça aurait été trop beau, au détour d'un virage nous rencontrâmes deux dames qui se promenaient également, heureusement je ne les connaissais pas. Mais Caroline entama la conversation, j'étais confuse avec mes badines à la main, j'avais l'impression qu'elles les regardaient et qu'elles avaient deviné que j'étais cul nu sous ma jupe. Au bout de quelques minutes elles continuèrent leurs chemins, j'étais soulagée, mais Caroline perfidement s'adressa à moi.

- tu sais que tu as eu de la chance, il y avait un tronc d'arbre pour m'asseoir j'avais l'intention de te réchauffer un peu les fesses, tu imagines le spectacle pour ces randonneuses une belle paire de fesses bien rouges, je suis sûr qu'elles auraient appréciés. 

Je ne savais pas que répondre, sa main me claqua sèchement les fesses.

- puisque tu as décidé de faire la tête, on va régler ça immédiatement. 

Les deux randonneuses avaient disparu, Caroline s'était assise sur le tronc d'arbre et elle me fit basculer en travers de ses genoux. 


La jeune femme avait décidé que Sylvie devait se rappeler longtemps de cette journée, quoi de mieux qu'une bonne fessée déculottée en plein air avec le risque qu'elle devienne public, c'était une excitation supplémentaire pour elle et une douce humiliation pour son amie. 


Avec horreur je sentis l'air frais sur mes fesses, ma culotte était déjà baissée mais ça ne suffisait pas à Caroline, elle me la descendit jusqu'aux genoux.

- je vais t'apprendre à faire la tête, tu vas finir par comprendre. 



Une brûlure intense irradia mes fesses, elle avait prit sa brosse, ça n'avait rien à voir avec la fessée avec sa main. C'était horrible, j'avais l'impression que le bruit de cette fessée déculottée s'entendait à des kilomètres à la ronde, je suppliais Caroline d'arrêter et je retenais mes cris quand soudain la fessée cessa. 


- oh my god !!

Caroline n'avait pas vu arriver cette randonneuse, c'était une petite dame âgée un peu ronde avec un chapeau de paille et qui s'adressa à elle dans un français parfait mais avec un très fort accent anglais. Elle avait stoppé net la correction de Sylvie en entendant l'exclamation de la dame. Celle-ci lui souriait ne semblant pas trouver anormal qu'une dame adulte reçoive une bonne fessée la culotte baissée aux genoux en pleine nature. 

- je vous félicite mademoiselle, vu la couleur des fesses de cette dame, votre fessée est très efficace. Je ne pensais pas qu'en France on savait donner d'aussi bonnes fessées. 

Caroline la surprise passée la remercia pour son compliment, elle était ravie, elle fantasmait depuis longtemps sur la fessée publique, le hasard faisait bien les choses.


Je croyais vivre un cauchemar éveillé, il y avait quelqu’un juste derrière moi qui me voyait dans cette position humiliante, qui pouvait contempler à loisirs mes fesses nues et certainement très rouges. Ça ne semblait pas déranger Caroline, elle avait posé sa main sur mes fesses et elle discutait tranquillement des bienfaits de la fessée déculottée. J’appris ainsi que la dame qui assistait à ma correction était une anglaise, professeur de français en retraite et qu’elle était en vacance pour une semaine dans le village voisin. Elle semblait être également une amatrice de fessée  et autres châtiments corporels ainsi que de derrières bien rouges car elle en parlait en toute décontraction. Les deux interlocutrices semblaient avoir oublié ma présence, après tout pour elles je n’étais sans doute qu’une gamine punie exposant son derrière bien rouge et qui n’avait pas voix au chapitre.


La randonneuse se présenta elle s’appelait Daisy et elle invita Caroline à venir prendre le thé le lendemain pour pouvoir discuter tranquillement, elle ajouta en riant.

- bien sûr vous amenez ‘’madame aux fesses rouges’’.

Caroline approuva en riant elle aussi.

- peut-être que demain son derrière sera redevenu blanc, quoique ça m’étonnerait en ce moment elle est insupportable.

Daisy semblait ravie du spectacle que je lui offrais bien malgré moi.

- oh cette chipie a une bonne paire de fesses, je pense qu’elle peut supporter plusieurs fessées par jours, vous n’avez pas de soucis à avoir, chez moi en Angleterre c’est très courant qu’une punie garde les fesses rouges en permanence pendant plusieurs jours. Mais je ne voulais pas vous interrompre, je suppose que vous n’aviez pas fini la punition de cette dame, continuez je vous en prie.


En entendant ces dernières paroles le mince espoir que ma fessée publique soit écourtée s’était évanoui. Caroline avait relevé la brosse et la brûlure repris de plus belle, rapidement je ne pus retenir mes larmes et mes battements de jambes devaient ravir aussi bien ma fesseuse que la spectatrice. Ma jeune maîtresse avait l’intention de prouver son talent, je n’avais jamais reçu une correction pareille. Au milieu de mes pleurs,  j’entendis Daisy.

- je crois que la leçon va être bien apprise ma chère Caroline, je vous laisse et je vous attends demain pour le thé.


Les fesses de Sylvie étaient d’un beau rouge sombre sur toute leur surface, c’était vraiment un tableau très excitant, Caroline était vraiment contente de sa journée, elle regarda Daisy s’éloigner. Sylvie étalée en travers de ses cuisses pleuraient abondamment, elle posa sa main sur les fesses brûlantes, la peau était d’une douceur extrême, ses doigts explorèrent à nouveau l’intimité de son amie, elle était mouillée, ainsi madame avait apprécié la fessée publique pensa-t-elle.

- dis donc petite coquine qu'est ce que c'est que ça ?


Caroline avait mis ses doigts humides de ma mouille devant mon nez. J'étais morte de honte, oui malgré ou peut-être à cause de la douleur et de l'humiliation de cette fessée déculottée publique j'étais excitée. 

- puisque c'est ça, je te garantis que tu n'as pas fini de te retrouver sur mes genoux la culotte baissée ! 

Elle recommença à me claquer les fesses, pas très longtemps mais en me faisant la leçon comme si j'étais une gamine. 

- j'espère que cette fessée déculottée va te servir de leçon, je ne veux plus de bouderie tu as compris !! et demain chez Daisy tu as intérêt à bien te tenir, je n'hésiterai pas à te baisser la culotte si c'est nécessaire. 

Elle rythmait ses paroles par de vigoureuses claques, mes fesses étaient en feu et je pleurais comme une madeleine. Je ne pensais plus que j'étais fessée cul nu dans la campagne et que quelqu'un pouvait me voir, seule la cuisson de mon fessier m'importait.


Caroline cessa la punition, les fesses de Sylvie étaient écarlates, sa culotte avait glissé jusqu'à ses chevilles, elle lui retira complètement et la fit se relever. Elle lui tendit la culotte. 

- tu ramasses les badines et tu tiens ta culotte à la main, comme ça tout le monde pourra savoir qu'elle n'est plus sur tes fesses. 

Elle la fit pivoter et retroussa la jupe qui était retombée. 

- tu sais que tu as vraiment un très joli derrière ma chérie, surtout que le rouge lui va vraiment bien. Ça serait dommage de le cacher, on va le laisser à l'air. 

Elle coinça la jupe dans la ceinture et claqua sèchement les fesses brûlantes. 

- allez en route !


C'était plus que tout ce que j'avais imaginé, certes je fantasmais depuis longtemps sur la fessée, mais Caroline faisait preuve d'une imagination dans la perversité qui me sidérait. J'étais morte de honte de devoir marcher à ses côtés en tenant ma petite culotte blanche à la main et exposant mon derrière bien rouge. Heureusement elle ne poussa pas la punition jusqu'au bout. Dès que nous arrivâmes en vue de la maison elle remit ma jupe en place, nous n'avions rencontré personne. Discrètement je mis ma culotte en boule au creux de ma main. J'aperçu Huguette dans son jardin, je lui fis un petit signe et je me dépêchai de rentrer dans la maison. 


Caroline avait bien remarqué le petit manège de Sylvie qui avait dissimulé sa culotte au creux de sa main, elle décida de punir cette petite désobéissance plus tard. Elle avait jugé que ce n'était pas encore le moment de faire participer les voisines.

Arrivé dans la maison, elle saisit l'oreille de son amie. 

- c'est comme ça que je t'avais dit de tenir ta culotte ?

Sylvie se mit à gémir. 

- aïe, non...pardon Mlle Caroline mais j'avais trop honte devant Huguette. 

Caroline retroussa la jupe et coinça Sylvie sous son bras, elle palpa les fesses qui était encore chaudes.



- je crois que tes fesses ont eu leur compte pour le moment. Mais tu mérites quand même une petite punition ma chérie. Tu vas aller me chercher le thermomètre. Oui tu sais celui qu'utilisait ta maman et que tu détestais. Tu m'as bien dit que tu l'avais gardé. 


Cette petite peste me connaissait trop bien, il faut dire que nos conversations sur Twitter portaient souvent sur mes souvenirs d'enfance et des punitions qui m'avaient marquée. Elle rajouta également. 

- par la même occasion tu me ramèneras le martinet familial, j'aimerais bien l'examiner de près. 


Sylvie se dirigea vers sa chambre et revint quelques instants plus tard avec les deux instruments demandés. Caroline prit le martinet en caressa les lanières. 

- effectivement, elles sont usées, elles ont du en cingler des derrières, et le tien en premier n'est ce pas ma petite chérie. 

Elle le posa sur la table basse du salon, s'assit sur le canapé et tapota ses cuisses. 

- allez madame, en position pour me montrer tes bonnes grosses fesses. 


Je lui avais donné le thermomètre, je savais ce qui m'attendait, la prise de température dans les fesses comme disait ma mère, c'était ma hantise quand j'étais gamine et j'allais à nouveau y goûter à 70 ans. Pourquoi diable lui avais-je parlé de ce thermomètre. Mais après tout c'était quand même moins douloureux qu'une fessée. J'étais à nouveau couchée sur ses genoux, l'air frais sur mes fesses m'indiqua que ma jupe était encore retroussée et j'eu droit une fois de plus à l'exploration de mon intimité avec ses doigts agiles. Bien sûr elle ne restait pas muette. 

- allez ma petite chérie, desserre moi un peu tes jolies fesses et écartes tes cuisses. Oh mais dis donc c'est tout humide… madame aime se promener dehors fesses à l'air on dirait. 


Caroline avait écarté largement les deux fesses de Sylvie pour mettre à jour la petite rondelle brune qui allait être le centre de son attention, elle humecta son doigt et le passa dessus.

- voilà ton petit trou est prêt, ne t'avise pas de serrer les fesses, ma brosse est prête tu le sais.


J'essayais de me détendre au maximum malgré la gêne de sentir ses doigts écarter mes fesses, j'imaginais sans peine le spectacle que je lui offrais. Je n'avais vraiment pas envie d'une nouvelle fessée. Je sentis l'embout froid du thermomètre pénétrer doucement dans mon petit trou. 



Tout un tas de souvenirs me revenait, ma mère avait la main leste et la fessée déculottée était de rigueur à la maison, la prise de température dans les fesses, allongée sur ses genoux était également la règle au moindre doute sur mon état de santé. J'étais prête pour la fessée si je me rebellais et pire pour la mise en place d'un suppositoire si j'avais de la fièvre. 

Et ne croyez pas que ce traitement m'ait été réservé quand j'étais gamine, même adolescente j'y avais encore droit. Je ne m'en vantais pas auprès de mes copines, ma mère demandait toujours au médecin si il existait un traitement en suppositoire. "Vous comprenez que comme ça je suis sûr qu'elle le prend", c'était son argument favori. Et en plus ça lui permettait de me coucher sur ses genoux et de me déculotter même si je ne méritais pas la fessée. 

C'est tout ça qui remontait à la surface tandis que le thermomètre rentrait inexorablement. 


Caroline s'appliquait à bien faire pénétrer le thermomètre, Sylvie lui avait plusieurs fois dit que sa mère le rentrait très profondément de manière à ne pas être obligée de le tenir pour qu'il reste en place. Elle relâcha les fesses et seul un petit bout de verre dépassait des deux larges fesses bien rouges. 



C'était très excitant, elle décida de jouir du spectacle un moment,  elle tapota les fesses de Sylvie. 

- c'est bien ma chérie tu as été sage, mais tu mérites cette punition tu le sais, tu vas me garder ce thermomètre pendant tout le temps où je regarde ma série. 

Sylvie poussa un petit gémissement de protestation. 

- décidément, tu ne comprends que la fessée ma chérie, tant pis pour toi.


Je savais bien que j'aurais du me taire, mais rester sur ses genoux avec le thermomètre planté dans mes fesses pendant 45' me paraissait vraiment très sévère. C'était idiot de ma part car j'allais quand même le garder et en plus j'avais droit à une fessée supplémentaire. Elle fut courte mais mes fesses endolories par les corrections précédentes eurent du mal à la supporter, je criais sous les claques et je ne pus m'empêcher de pleurer à nouveau. 




- bon j'espère que tu as compris, maintenant je ne veux plus t'entendre. 

Caroline avait pris la télécommande de la télé et sans plus se soucier des pleurs de Sylvie,  elle chercha le dernier épisode de sa série préférée. 

Pendant 45' elle garda son amie redevenue une adolescente obéissante sur ses genoux, de temps en temps elle faisait coulisser le thermomètre dans les fesses ou elle tapotait le fessier brûlant.

Quand l'épisode fut terminé, elle retira le thermomètre et fit relever Sylvie. 

- voilà, c'est fini pour l'instant tu peux te reculotter. On va se faire un thé. 

Elle prit le martinet sur la table et arrivée dans la cuisine elle l'accrocha bien en évidence à côté du frigo. 

- à partir de maintenant ça sera sa place, il sera toujours disponible si tu n'es pas sage, comme quand tu étais une vilaine fille. 




A suivre…..


3 commentaires:

  1. Quel talent à caroline ....bravo vivement la suite merci par avance

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  2. Sylvie a-t-elle été vue par un voisin alors qu'elle se faisait traîner par l'oreille. cela ouvrira-t-il d'autres avenues pour Caroline. Peut-être que Caroline aura d'autres culs à fesser. très belle mise à jour

    Chinmay

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  3. J'ai hâte de lire la suite vous m'avez mis l'eau à la bouche...

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