dimanche 18 juin 2023

La bibliothèque 9

 Brigitte change de statut 



Brigitte exposait toujours son derrière écarlate au coin du bureau. Elle avait assisté mais seulement en audio à la fessée de Véronique, la cuisson de ses fesses commençait à s’atténuer. Michèle l’appela,



- c’est bon, tu peux venir ici

Elle était assise à son bureau, Brigitte était maintenant debout devant elle avec ses mains sur la tête, ce qui fit sourire Michèle.

- tu peux enlever tes mains de ta tête et poser ton derrière sur la chaise.

L’institutrice en retraite fit une petite grimace en s’asseyant, c’était curieux et un peu humiliant pour elle d’être assise ainsi, les fesses nues posées directement sur le plastique froid du siège.

- alors ma petite Brigitte, j’espère que tu as bien compris, à partir de maintenant tu va venir me présenter tes fesses tout les jours jusqu’à ce que je juge que ton comportement aura suffisamment  changé, nous avons encore un petit détail à régler avant que je te libère. Ensuite tu iras voir Ingrid à la bibliothèque, elle veut absolument voir tes fesses.

Elle avait pris le thermomètre rectal sur son bureau et elle s’était levée. Brigitte avait compris ce qui l’attendait, déjà la veille le docteur Dupuis lui avait fait subir l’humiliation de la prise de température ‘’dans les fesses’’. Elle lui indiquait le lit d’examen.

- vas t’allonger.

Brigitte se leva et au passage Michèle lui claqua le derrière pour la faire activer puis alors que Brigitte s’installait à plat ventre, elle ouvrit la porte du secrétariat. Véronique était assise à son bureau, Michèle esquissa un sourire, sa secrétaire avait suivi ses consignes, elle avait retroussé sa jupe et comme elle était privée de culotte, ses fesses nues étaient posées directement sur son siège.

- Véronique tu peux venir, je vais te montrer quelque chose.

La secrétaire se leva et suivi la médecin dans son bureau, un sourire se dessina sur ses lèvres en voyant Brigitte allongée sur le lit d’examen exposant ses belles fesses encore bien rouges. Elles se contractèrent quand elle entendit Michèle s’adresser à Véronique.

- il faut que tu apprennes à prendre la température rectale, de temps en temps je te demanderai de le faire si je suis occupée. Ce n’est pas très compliqué, tu mets la dame sur tes genoux ou comme Brigitte aujourd'hui tu la fait allonger sur la table. Ensuite tu écartes bien les fesses. 

Avec deux doigts elle avait écarté les larges fesses bien rouges, plongeant Brigitte dans le désespoir. Bien sûr la secrétaire l'avait déculottée pour la mettre au coin mais c'était autrement humiliant que de lui présenter ainsi ses fesses bien écartées. 

Michèle tapota l'intérieur des cuisses de Brigitte. 

- écarte un peu tes cuisses ma chérie. Voilà c'est bien. Allez Véronique c'est à toi maintenant, je te rappelle que si madame fait des manières, tu as tout à fait ma permission pour lui flanquer une bonne fessée. Son derrière est à ta disposition. 

Véronique était ravie que le docteur Dupuis lui donne des responsabilités, ça compensait un peu la fessée déculottée de tout à l'heure et celle qui lui était promise ce soir. 

Elle s'approcha de la table d'examen et fit comme Michèle, elle écarta largement les deux fesses mettant à jour la petite rondelle brune, elle regarda sa patronne. 

- faut-il lubrifier docteur ?

- non, ce n'est pas la peine, tu humecte juste un peu le bout du thermomètre, il faut quand même qu'elle le sente rentrer.

Véronique prit le thermomètre et le mit dans sa bouche. Puis elle le posa sur le petit trou bien exposé et commença à l'enfoncer. Elle avait pris souvent la température à ses filles de cette façon mais elle ne pensait pas qu'elle aurait un jour l'occasion de le faire à une dame adulte, c'était curieux et excitant. Brigitte gémissait doucement puis elle serra légèrement les fesses. Véronique lui donna une petite claque sur les fesses. 

- ah non, madame, le docteur vous a bien dit de déserrer vos fesses. 

- oui, oui madame pardon mais vous l'enfoncer trop...

Michèle Dupuis fronça les sourcils. 

- qu'est ce que c'est que cette histoire !! Il est à peine rentré. Véronique vous avez ma permission. 

La secrétaire avait compris immédiatement, elle leva la main et claqua sèchement les fesses, Brigitte se mit à crier, Véronique ne retenait pas ses claques,  mais Michèle l'arrêta.

- mettez la sur vos genoux, vous serez plus à l'aise. 

La dame aux fesses nues sous sa jupe ne se le fit pas dire deux fois. Elle retira le thermomètre et prit Brigitte par l'oreille pour la faire se relever.

Puis elle s'assit sur la chaise et coucha la pauvre Brigitte en travers de ses genoux. Elle était adepte de l'éducation traditionnelle et ses deux filles avaient goûté assez souvent à la fessée déculottée mais c'était la première fois qu'elle allait fesser une adulte et qui plus est une dame qui aurait pu être largement sa mère. Les larges fesses de Brigitte étaient maintenant étalées devant elle, encore rouges des fessées précédentes. Elle ne perdit pas de temps et elle administra immédiatement une magistrale fessée à ce beau derrière. Elle y prenait du plaisir, c'était beaucoup plus agréable que de fesser un derrière d'adolescente, cette belle croupe s'ouvrait et se refermait au rythme des claques, par contre l'âge de la punie ne changeait rien à la façon de réagir à la fessée. Elle criait, battait des jambes et  pleurait comme ses filles quand elle les corrigeait. 

Michèle appréciait en connaisseuse la technique de Véronique,  le fessier de Brigitte était maintenant d'un beau rouge brique. Se prenant au jeu de la maman sévère elle se mit à parler à Brigitte comme si elle s’adressait à l’une de ses filles.

- alors Brigitte, est-ce- que ça te suffit tu vas être sage et me laisser te mettre le thermomètre ?

Au milieu de ses pleurs, Brigitte trouva la force de répondre.

- oh oui, oui madame, j’ai compris, s’il vous plaît plus la fessée, aïe, aïe, non, non, pardon madame, aïe....

Véronique continuait de claquer les belles fesses de l’ancienne institutrice qui maintenant ne battait même plus des jambes, elle pleurait comme une mauvaise élève punie devant toute la classe.

Combien de fois avait elle corrigé de la sorte les derrières de ses élèves mais aujourd’hui c’était son tour et elle se rendait compte qu’après une telle correction on avait plus vraiment envie de désobéir.

- c’est bien sûr ? tu vas me laisser écarter tes fesses pour que je puisse mettre le thermomètre bien profondément ? tu es sûr ?

Elle avait ponctué ces dernières paroles de quelques claques encore plus fortes.

- ouiii, ouii, promis madame, plus la fessée....aïe, aïe, aïe.

Véronique posa sa main sur les fesses brûlantes de la pauvre Béatrice, elle regarda Michèle en souriant.

- je crois que ce derrière est cuit à point.

Elle reprit le thermomètre et écarta largement les fesses, Brigitte était prostrée, elle sanglotait, ses fesses étaient complètement ouverte maintenant, le thermomètre pénétra doucement, la secrétaire regardait Michèle pour savoir jusqu’où elle devait le rentrer. Celle-ci l’encouragea.



- n’ai pas peur vas y encore, il doit être bien en place pour ne plus bouger, oui encore un peu. Voilà un joli derrière bien rouge et bien garni.

Le thermomètre ne dépassait plus que d’un centimètre, Véronique n’avait jamais mit un thermomètre aussi profondément. Elle relâcha les fesses, juste un petit morceau de verre dépassait de la profonde raie médiane, Brigitte continuait de pleurer et de gémir, ce qui énervait Michèle.

- vas tu cesser ces jérémiades, tu l’as bien mérité cette fessée et je te garantis que si tu continues c’est sur mes genoux que tu vas revenir.

Cette menace eu le don de faire cesser les pleurs les plus bruyants de la pauvre Brigitte. Michèle déposa un coussin sur le lit d’examen.

- bon maintenant tu vas t’allonger là, tes fesses seront bien exposées et ne t’avise pas de faire sortir le thermomètre sinon je te flanque une fessée dont tu te souviendras longtemps.

Brigitte se releva et les fesses bien serrées sur le thermomètre elle s’allongea sur le lit, ses fesses surélevées étaient vraiment très appétissantes. Véronique sentait une excitation monter entre ses cuisses, Michèle la regardait en souriant, elle avait un oeil coquin. 

Elle prit la place de Véronique sur la chaise et lui fit un petit signe avec le doigt.

- je pense qu'il faut que tu connaisses cette expérience ma petite Véronique, vient un peu ici. 

Elle tapotait ses cuisses, la secrétaire compris immédiatement ce qui l'attendait, elle ouvrit la bouche pour protester mais le regard sévère du docteur Dupuis et ses fesses encore sensibles l’avait rendue prudente, docilement elle se coucha à son tour en travers des genoux de Michèle, elle sentit immédiatement l'air sur sa croupe, la médecin était pressée de découvrir à nouveau sa jolie paire de fesses. L'absence de culotte facilitait l'accès au fessier, il ne restait que quelques traces rosées de la fessée à la règle plate. Michèle avait prit un deuxième thermomètre et elle avait écarté les fesses de sa secrétaire, celle-ci se rendait compte qu'avec sa patronne il ne fallait pas crier victoire trop tôt, quelques instants auparavant elle administrait une magistrale fessée déculottée à Brigitte mais maintenant couchée sur les genoux de Michèle elle lui présentait ses fesses de la plus humiliante des façons. Elle sentit le thermomètre pénétrer doucement dans son fondement,  c'était une sensation bizarre, mélange de honte et d'excitation, depuis combien de temps lui avait-on pris la température de cette façon, elle n'en avait plus le souvenir. 

Michèle lui tapotait les fesses et faisait coulisser le thermomètre dans les fesses. 

- c'est bien tu as été très sage, la fessée déculottée à du bon....

Véronique n'était pas rassurée, ses fesses étaient vraiment à la disposition de Michèle, elle essayait de ne pas les contracter. Elle resta ainsi pendant 5' avec le thermomètre bien enfoncé, la perverse docteur se régalait d'avoir ainsi deux fessiers à sa disposition, elle continuait de sortir puis d'enfoncer le thermomètre, souriant des efforts de sa secrétaire pour rester stoïque. Enfin elle leva la main et claqua très sèchement une vingtaine de fois les fesses de Véronique, puis elle lui retira le thermomètre. 

- c'est parfait, tu sais l'effet que ça fait maintenant, tes fesses ont repris une jolie couleur pour attendre ce soir. Allez file te remettre au travail. 

Véronique remis sa jupe en place et regagna le secrétariat très troublée par cette nouvelle expérience. 

Brigitte exposait toujours son large fessier bien rouges, Michèle s'approcha et fit comme avec Véronique, elle tapota les fesses et fit coulisser lentement le thermomètre. 

- alors ma petite Brigitte, on va être bien sage j'espère ? Tu vas garder le thermomètre encore 15' dans tes jolies fesses. 

Elle alla s'asseoir à son bureau et se mit à travailler sans s'occuper de la dame qui attendait fesses à l'air couchée sur son lit d'examen. 

Quand la pénitence de Brigitte fut terminée, elle put enfin se reculotter, ses fesses étaient encore bien rouges et chaudes. Elle fut surprise de se voir remettre un carnet qui ressemblait beaucoup à celui qu'Olga lui faisait signer tout les soirs. Le docteur Dupuis lui expliqua que c'était pour un suivi de son traitement. Elle y avait noté toutes les fessées reçues par Brigitte ainsi que la durée de la pénitence au thermomètre.

- il va falloir te trouver une correspondante pour me signer ce carnet que tu dois avoir avec toi en permanence. Pour aujourd'hui tu iras voir Ingrid c'est elle qui va s'en charger. 

Brigitte acquiesça, son derrière brûlant lui rappelait douloureusement qu'il valait mieux tenir sa langue. Elle passa par le secrétariat pour régler sa consultation, Véronique la regardait en souriant. 

- j'ai appelé Mlle Ingrid comme le docteur Dupuis me l'a demandé, elle vous attend. 

Brigitte était consternée, son changement de situation était vraiment brutal. 

Il était 16h quand elle se gara devant la bibliothèque, la jeune stagiaire rangeait des livres, elle avait les yeux rougis. Brigitte pensa qu'elle devait avoir certainement les fesses bien rouges sous sa petite culotte. Un peu gênée Brigitte lui demanda si elle pouvait voir Ingrid, Lucie lui indiqua le bureau.

- je crois que Mlle Ingrid est occupée madame mais je vais lui dire que vous êtes là.

La jeune femme se dirigea vers la porte et frappa doucement, une voix impérieuse l’autorisa à rentrer.

- tes fesses ont déjà refroidi ? tu veux encore une déculottée ? Je t’avais dit de ne ne pas me déranger !!

La jeune femme se mit à bégayer.

- non, non pardon Mlle, mais il y a une dame qui veut vous voir, elle est envoyée par le docteur Dupuis.

La porte était restée ouverte, Ingrid aperçu Brigitte.

- à c’est toi, viens donc un peu ici, on doit discuter. C’est bon Lucie, pour cette fois je ne vais pas te claquer les fesses, retourne au travail.

Brigitte les joues toutes rouges entra dans le bureau, le magnifique fessier d’Olga illuminait le coin de la pièce, il était d’un rouge vif, signe d’une récente déculottée. La directrice se tenait dans le coin, les mains sur la tête, la culotte baissée à mi-cuisse, la jupe épinglée dans le dos. Elle avait le nez collé contre le mur, une feuille de papier était coincée entre son nez et le mur.

- entre ma belle, tu vois j’ai encore été obligée de corriger cette chipie d’Olga, elle n’a pas fini le rapport qu’elle devait remettre ce matin, elle tient avec son nez le torchon qu’elle m’a présenté, si il tombe elle est prévenue qu’elle ne pourra pas s’asseoir de la soirée tellement je vais lui soigner les fesses.

Brigitte avait les fesses serrées sous sa jupe, Ingrid avait l’air un peu énervée aujourd’hui. La jeune bibliothécaire se tourna vers la mère d’Olga.

- mais parlons de toi, tu n’as pas quelque chose à me montrer ?

Brigitte baissa la tête et rougi encore plus violemment, cette fois-ci plus moyen de reculer, la correction reçue cet après midi l’avait transformée, elle sorti le carnet de son sac et d’une voix blanche elle s’adressa à la jeune femme.

- oui Mlle Ingrid, le docteur Dupuis m’a dit de vous donner ça. 

Ingrid prit le carnet en souriant, 

- à cette chère Michèle, comment va-t-elle ?

Elle feuilleta rapidement le carnet,

- et bien dis donc ma petite Brigitte, c’est sérieux ça ?  Tu sais ce qui arrive aux désobéissantes ?

Brigitte jeta un oeil à sa fille qui se tenait toujours au coin.

- oui, Olga a les fesses bien rouges, je crains que les tiennes aient la même couleur bientôt. Approche un peu.

Elle avait pris la main de Brigitte, elle l’a fit pivoter et la coinça sous son bras . En quelques instants la jupe troussée et la culotte baissée, Brigitte exposait son large fessier encore bien rouge.

- elle t’a bien soignée, mais tu connais le tarif ?

Comme Brigitte ne disait rien, elle lui administra une claque très forte sur chaque fesse.

- tu vas me répondre ! qu’est ce qui va t’arriver ?

- Aïe, Aïe.... Oui, oui Mlle...

- alors ?

- euh, Aïe, Aïe.



La main d’Ingrid avait encore claqué les fesses bien tendues devant ses yeux. Brigitte trépignait sur place, elle savait ce que voulait Ingrid mais que c’était dur de devoir reconnaître qu’on méritait une fessée. Du temps où elle était la sévère directrice d’école, c’est elle qui forçait les grandes filles à demander leurs punitions, maintenant c’était son tour.

- oui, Mlle Ingrid je mérite une fessée déculottée...

- une ?? je crois que tu as oublié quelque chose ma petite chérie.

Et la main de la jeune femme recommença à claquer le plantureux derrière. Brigitte se remit à crier et à trépigner.

- aïe, aïe, aïe... oui, oui Mlle, une double fessée.... Aïe, Aïe.

- à nous y voilà, oui c’est exactement ça une double fessée déculottée. Et je te promets que tu vas la recevoir cette double fessée. Tes fesses sont déjà bien rouges mais tu m’as dit toi même qu’une bonne paire de fesses peut supporter plusieurs fessées successives sans dommage.

Elle relacha Brigitte qui se releva, ses joues étaient maintenant de la même couleur que ses fesses. Ingrid lui indiqua le mur.

- va te mettre à côté d’Olga et tu mets tes mains sur la tête comme elle.

Elle coinça la jupe de Brigitte dans la ceinture et se recula pour profiter du spectacle de ces deux magnifiques fessiers de dames mûres, écarlates et parfaitement exposés. La mère et la fille présentait des similitudes morphologiques, deux larges croupes séparées en leur milieu par une profonde raie. Ingrid était une amoureuse des fesses quelque soit leur forme, aujourd’hui elle était servie. Elle appela la fille en premier. 

- Olga, viens ici, tu m'amène ce torchon que tu m'as présenté comme ton rapport. 

La directrice de la bibliothèque s'approcha la feuille à la main, Ingrid l'a saisit par l'oreille et sorti du bureau, elle appela Lucie. 

- tu amènes madame dans son bureau, tu prends le petit paillasson de pénitence et tu le mets sur son siège. Quand à toi Olga, si ce rapport n'est pas fini dans 1 h, je te promets que tu vas goûter au martinet. Allez file. 

Elle avait accompagné sa phrase par une bonne claque au milieu du large derrière. 

Lucie était ravie de son nouveau rôle, elle n'avait pas oublié que Olga l'avait déculotté dans son bureau. Elle saisit l'oreille de sa directrice et la conduisit vers son bureau. Heureusement à cette heure là, il n'y avait personne, car Olga était toujours fesses à l'air tandis qu'elle traversait la salle de lecture tenue par l'oreille comme une mauvaise élève. 

Ingrid avait regardé s'éloigner le fessier rougeoyant d'Olga se dandinant au rythme de sa marche, un peu gênée par la culotte baissée à mi cuisse. Elle retourna à son bureau, Brigitte n'avait bien sûr pas bougé, il était temps pour la jeune femme de découvrir cette nouvelle paire de fesses. Elle prit sa brosse à cheveux sur son bureau et alla s’asseoir sur la chaise disposée devant puis elle appela Brigitte.

- à nous deux madame, viens donc un peu ici me montrer tes jolies fesses.

Brigitte s’approcha, elle n’avait pas osé enlever ses mains de dessus sa tête ce qui fit sourire Ingrid. ‘’décidément la fessée déculottée fait des miracles, Brigitte est redevenue l’adolescente docile et obéissante qu’elle avait du être dans sa jeunesse’’ . Elle tapota sur ses cuisses en souriant, elle était vraiment ravie d’avoir envoyée Brigitte chez Michèle Dupuis, elles avaient maintenant un nouveau derrière à disposition.

- allez ma petite Brigitte, en position.Je pense que je n’ai pas besoin de te l’expliquer. Maman Ingrid va corriger ton gros popotin.

Les fesses de Brigitte étaient maintenant bien exposées, encore rouges des fessées reçues. Pour une première expérience de soumise, l’ancienne institutrice était servie, elle avait reçu deux sévères fessées au cabinet médical et elle était en position pour en recevoir une troisième. La brosse à cheveux claqua sur le derrière bien tendu et Brigitte poussa un cri, mais ce n’était que le début bientôt comme un métronome Ingrid se mit à fesser cette magnifique paire de fesses. 



Elles étaient aussi larges que celle d’Olga mais plus ferme, la brosse rebondissait sur la croupe étalée devant ses yeux. Maintenant Brigitte pleurait à chaudes larmes, suppliant la jeune bibliothécaire d’arrêter la punition.

- en voilà une idée et pourquoi faudrait-il que j’arrête la fessée ? Tu as été vilaine, tu as reçu deux fessées chez le docteur Dupuis et tu penses que tu as été assez punie ? et bien moi je ne pense pas, je suis même sûr du contraire. Tes fesses ont encore besoin de goûter à ma brosse. Oh tu peux pleurer, ça ne vas rien changer, je te l’ai dit tu as une bonne paire de fesses et elles peuvent en recevoir des fessées tu n’en mourras pas mais je suis sûr que tu vas devenir toute gentille après ça.

Elle parlait à cette dame de 70 ans couchée sur ses genoux comme si elle avait été sa maman, c’était curieux mais cependant tout à fait plausible. Brigitte pleurait, suppliait, battait des jambes comme ses élèves quand elle leur administrait une fessée déculottée devant toute la classe.

La large croupe était à nouveau d’un beau rouge profond, Brigitte resta prostrée sur les cuisses d’Ingrid quand elle cessa la correction. Puis elle la fit se relever et lui indiqua le coin.

- voilà pour ta première fessée, maintenant tu files au coin, tu vas y rester jusqu’à 17h30. Tu recevras ta deuxième fessée en même temps qu’Olga. Je ne veux pas te voir bouger, ni t’entendre !!

Le scénario fut respecté à la lettre, à 17h30, Olga arriva dans le bureau, elle était toujours fesses nues, la jupe épinglée dans le dos et la culotte descendue à mi-cuisse, elle tendit 3 feuillets à Ingrid qui les parcouru rapidement.

- à voilà qui est mieux, c’est quand même incroyable qu’il faille te flanquer une bonne déculottée pour que tu te mettes sérieusement au travail. Bon, en position pour ta fessée du soir. Ne fait pas cette tête là, oui je sais bien que tu en as reçu une il y a moins d’une heure mais ma petite chérie si tu avais fait correctement ton travail je n’aurais pas été obligée de te rougir les fesses.

Quelques instants plus tard, Olga telle une gamine pleurait sur les genoux d’Ingrid, celle-ci n’avait utilisé que la main.



En entrant dans le bureau Olga avait eu le plaisir malgré tout d’admirer les fesses rubicondes de sa mère exposée dans le coin du bureau.

Après sa traditionnelle fessée déculottée de fin de journée que Ingrid lui administrait depuis plus de 15 jours, Olga ne put pas se reculotter comme elle le faisait habituellement; Ingrid lui avait indiqué le coin.

- file te mettre au coin pendant que je m’occupe de Brigitte.

Ingrid avait décidé que même si Olga savait que sa mère était maintenant soumise au même traitement qu’elle, il n’était pas encore temps qu’elle regarde Brigitte recevoir une fessée déculottée.

Elle alla chercher celle-ci et la prit par l’oreille.

- allez ma petite, maman Ingrid va t’administrer la deuxième fessée que tu as méritée. Comme tes jolies fesses sont bien rouges et que c’est la première fois je vais être magnanime, tu vas recevoir juste une fessée à la main, mais ça ne sera pas toujours comme ça.

Brigitte se retrouva rapidement dans la même position que sa fille quelques instants auparavant, la tête près du sol, les fesses pointées vers le ciel, les pieds battant l’air aux rythmes des claques magistrales que lui administrait en souriant la jeune bibliothécaire.

Puis quand la fessée fut finie, elle la fit se relever et l’autorisa enfin à remettre sa culotte en place. Elle lui signa le carnet pour le docteur Dupuis après y avoir noté les deux fessées et le temps de passage au coin.

Penaude brigitte mit le carnet dans son sac à main, mais la remise en cause de son statut n’était pas terminé, Ingrid lui annonça qu’elle avait appelé dans l’après midi sa voisine Rosa et qu’elle avait rendez-vous demain soir avec elle pour voir avec elle si elle acceptait de devenir sa tutrice pour signer le carnet.

- je souhaite bien sûr que tu soies là ma chérie.

Brigitte baissa la tête et acquiesca, connaissant Rosa,  celle-ci allait être ravie. Elle tourna la tête vers Olga qui était toujours au coin fesses à l'air. Ingrid compris et se mit à rire. 

- mais bien sûr ma chérie, Olga reste ta fille et tu as le droit et même le devoir de la corriger. Bien sûr quand tu seras dans l'impossibilité de le faire, je pense que Rosa va s'en charger. 

Brigitte était soulagée, elle n'avait pas perdu toutes ses prérogatives, l'allusion à une éventuelle impossibilité et le recours à Rosa était quand même un peu inquiétant. 

Quant à Olga, elle avait serré ses fesses bien rouges, elle savait que le reste de la soirée serait cuisante, sa mère allait certainement se venger sur son derrière des punitions et humiliations de la journée. 

Brigitte était déjà partie, Ingrid remplissait le carnet de punition d'Olga tout en la surveillant du coin de l'oeil. Puis elle la fit se reculotter et lui tendit le carnet. 

- à demain ma petite Olga, j'ai comme l'impression que tes fesses vont rester chaudes. Tu me raconteras ça en détail demain. 




À suivre....

1 commentaire:

  1. J'aime la façon dont cette histoire se déroule. poste d'autorité Bridgette je neige une fessée régulière. son amie Rosa est sa tutrice. donc toujours l'autorité ultime reste avec Ingrid

    Chinmay

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