Caroline et la fessée sensuelle
Nous prenions le thé dans le salon, j’avais posé mes fesses avec précaution sur le fauteuil, le contact de mon derrière avec le siège n’était pas très douloureux mais c’était quand même sensible, surtout avec le frottement de la culotte sur la peau.
Caroline avait disposé bien en évidence sur le canapé les 4 badines que j’avais coupée. Elle me rappelait que mes fesses n’étaient pas encore au repos.
Mais je sentais que ma jeune amie avait pour le moment d’autres idées en tête, elle me regardait d’un air coquin.
- depuis le temps que je rêve de goûter ton petit abricot, je pense que c’est le moment, viens avec moi.
Caroline s’était levée et avait entraîné Sylvie dans la chambre, elle avait glissé sa main sous sa jupe et caressait sa croupe par dessus sa culotte. Dès qu’elles furent près du lit, elle retroussa la jupe de son amie et lui baissa la culotte.
- enlève complètement ta culotte, tu ne vas pas en avoir besoin !
De son côté elle s’était également déculottée, elle s’allongea sur le lit, retroussa sa jupe, écarta ses jambes et fit un petit signe à Sylvie.
- à toi de me montrer ce que tu sais faire avec ta langue ma chérie, tâche d’être habile, sinon tes fesses vont rougir à nouveau.
J’étais à la fois émue de voir Caroline offerte et gênée. Bien sûr dans ma jeunesse, j’avais eu quelques expériences sexuelles avec des copines mais Caroline qui venait de me flanquer une fessée déculottée comme si elle avait été ma mère voulait que je lui fasse un cunni, je savais que sa menace de me rougir à nouveau les fesses était sérieuse. Je me mis à quatre patte sur lit et j’approchai ma bouche de ses lèvres grande ouverte. J’avais un peu oublié mais rapidement ma langue se mit à la dévorer. J’étais encore excitée par les multiples humiliations qu’elle m’avait fait subir et je sentis une chaleur envahir mon entre-jambe. Soudain elle me repoussa et me fit relever.
- c’est bien ma chérie mais on va changer de position, j’ai besoin de voir ton derrière. Tourne toi.
Caroline fit mettre Sylvie à califourchon sur elle, ses fesses tournées vers son visage. Puis elle lui commanda de recommencer à la lécher. Sylvie se pencha en avant son large derrière était maintenant à la disposition de sa jeune amie. Caroline se mit à caresser les fesses encore rouges et à les claquer doucement puis sous l’effet de la langue de Sylvie elle commença à haleter et à gémir, rapidement elle atteignit le septième ciel, les claques sur les fesses de Sylvie qui étaient devenues plus sévère au fur et à mesure de la montée de son excitation cessèrent.
La fessée que m’avait administrée Caroline pendant que je lui faisais un cunni avait été plus excitante que douloureuse. J’étais heureuse de lui avoir fait ce plaisir. Rapidement elle me fit allonger à sa place et me rendit la pareille. Quelques minutes plus tard nous étions allongée côte à côte, moi sur le ventre bien sûr pour que ma sévère petite amie puisse surveiller mon derrière bien rouge.
Il était temps de passer à la suite pensa Caroline après ce petit intermède érotique et langoureux, elle se rhabilla et fit remettre sa culotte à Sylvie.
- bien ma petite chérie, il te reste encore une petite punition, tu vas goûter aux badines que tu as préparées.
Sylvie fit une petite grimace qui fit bien rire Caroline.
- et oui ma chérie ton derrière s’est bien reposé, il est prêt.
Elles étaient dans le salon, Caroline mit une chaise au milieu de la pièce.
- tu poses tes mains sur la chaise et tu tends bien tes jolies fesses. Il y a quatre badines, tu vas recevoir trois coups avec chacune et tu vas compter.
- oh non Caroline.. Aïe, Aïe, Aïe,
La main de Caroline venait de claquer les fesses tendues.
- qu’est-ce-que j’ai dit ? Comment dois tu m’appeler ?
- Aïe, oui, pardon Mlle Caroline.
La jeune femme avait retroussé la courte jupe haut sur les reins et baissé la culotte jusqu’aux genoux, elle claqua une dizaine de fois le fessier déjà rouge.
- c’est la dernière fois que je te le dis, la prochaine tu iras chercher le martinet !!!
Elle s’approcha des badines et prit la première.
- tu es prête ? on a dit trois et tu comptes !
Je n’étais vraiment pas prête du tout à me faire cingler les fesses avec ces badines en noisetier, mais que pouvais-je dire. Soudain une brûlure fulgurante, scia mon derrière en deux, je criai et me relevai en portant mes mains à mes fesses.
Mal m’en prit car immédiatement une brûlure identique barra mes cuisses.
- qu’est ce que c’est que ces manières !!! reprends ta position et vite.
La voix sévère de ma jeune maîtresse venait de me rappeler à la réalité, je n’étais qu’une adolescente punie qui devait obéir et subir stoïquement sa punition.
Une ligne rouge barrait le milieu des larges fesses de Sylvie et une autre le haut de ses cuisses. Caroline savourait son pouvoir, la dame d’âge mûre qui lui présentait son fessier pour recevoir sa punition avait immédiatement repris sa position sans protester, elle gémissait doucement.
- Aïe, pardon Mlle Caroline, ça brûle trop.
Caroline souriait.
- je sais ma chérie mais c’est une punition, il faut que ça brûle pour que tu t’en souvienne et que tu obéisse bien à tatie Caroline. Tends bien ton derrière, tu n’as pas compté, ces deux coups n'existent donc pas.
Cette fois-ci je restai stoïque et malgré la douleur je criai «un». C’était vraiment une punition nouvelle et très sévère, Caroline fit une pause après les trois premiers coups et elle me caressa les fesses. C’était excitant et ça atténuait un peu la cuisson.
- c’est bien ma chérie, ton derrière est très mignon avec ces traces rouges bien parallèles. Encore neuf, ne serre pas les fesses tu vas avoir encore plus mal.
Ne pas serrer les fesses? Elle était bien gentille ma jeune maîtresse, mais c’était impossible, j’essayais de me détendre au maximum, mais l’appréhension était la plus forte.
Caroline se recula pour apprécier son oeuvre, elle aimait vraiment les fesses de Sylvie, elle ne voulait pas les abîmer, aussi décida-t-elle de ne pas être trop sévère, elle prit la deuxième badine et administra les trois coups suivant sans les appuyer. Sylvie pleurait et trépignait sur place. Sept lignes bien droites marquaient son large fessier, la troisième badine dessina trois traits sur le haut des cuisses ce qui fit hurler et pleurer encore plus fort la pauvre Sylvie, bien que Caroline n’eut pas frappé très fort. Elle décida que la correction était suffisante.
- bon je pense que tu as compris la leçon ma petite Sylvie, je te fais cadeau des trois derniers coups, mais si tu n’est pas sage la dernière badine est toujours prête à s’occuper de ton derrière. Tu peux te relever et tu files te mettre au coin, tu tiens ta jupe retroussée que je voies bien tes fesses.
J’étais tellement contente que la fessée prenne fin que le passage humiliant au coin, les fesses nues me parut presque agréable. Mes fesses me brûlait mais je ne pouvais pas les frotter; en me dandinant discrètement d’un pied sur l’autre et en les serrant doucement, j’essayais de calmer la cuisson. Mais sans trop le faire remarquer à ma jeune et sévère amie, je savais qu’elle voulait que l’effet de la fessée sur mon derrière dure longtemps, je ne voulais pas lui donner l’occasion de me recoucher à nouveau sur ses genoux.
Elle me laissa ainsi à exposer mes fesses rouges pendant très longtemps, elle avait ouvert la baie qui donnait sur le parc et j’entendais distinctement mes deux voisines qui discutaient dans le jardin mitoyen du mien. Si elle avait su que j’étais au coin les fesses bien rouges, je n’osais imaginer leur réaction.
Il était maintenant tard, Sylvie avait pu se reculotter, Caroline lui annonça que pour le reste de la soirée, elle pouvait à nouveau l’appeler Caroline, elle lui fit un tendre bisou et lui caressa les fesses par dessus la jupe.
- ta petite Caroline s’est bien occupée de toi n’est-ce-pas ?
Elle avait dit ça en riant.
- bon je pense que ton derrière à besoin de repos, je vais m’en occuper d’une autre manière ce soir. Il faut qu’il soit en pleine forme pour aller prendre le thé chez Daisy.
Sylvie fit une petite moue en pensant à la professeur anglaise retraitée qui l’avait vu cet après-midi en fâcheuse posture, déculottée et fesses bien rouges.
La tête que faisait Sylvie eut le don de mettre Caroline en joie.
- si tu voyais ta tête ma chérie. J’espère que demain tu ne feras pas ce genre de grimace chez Daisy car tu sais ce qui t’arrivera dans ce cas, un petit séjour sur mes genoux fesses à l’air.
La soirée se déroula sans incident notable, au moment d’aller au lit, Caroline décréta qu’il fallait qu’elle s’occupe des fesses de Sylvie. Celle-ci était en chemise de nuit, sa jeune amie s’installa au bout du lit et fit un petit signe.
- en position madame !
Le petit signe de Caroline était explicite, elle voulait que je me couche à nouveau sur ses genoux. Je savais que protester était inutile sauf à l’énerver et recevoir une fessée encore plus sévère. Résignée je m’allongeai en travers de ses cuisses. L’air frais sur mes fesses m’avertit qu’elle avait retroussé ma nuisette.
- voyons un peu ce derrière.
Sa main caressait mes fesses, s’insinuait entre mes cuisses et les écartait. Je les serrais redoutant la première claque. Mais je ne reçus qu’une petite claque amicale.
- n’ai pas peur ma chérie, pas de fessée ce soir, je pense que tu as bien retenu la leçon. Je vais juste te passer de la crème pour que demain ton derrière soit en parfait état.
Rassurée je me détendis, ses mains massaient mes deux rondeurs, c'était très agréable surtout qu'elle insinuait de temps en temps ses doigts dans ma raie fessière et descendait ensuite entre mes cuisses. Elle massa mes fesses pendant 5 bonnes minutes puis elle me les claqua.
- allez vilaine fille, au lit maintenant et fait de beaux rêves.
J'ai dormi comme un bébé, je pensais à sa phrase préférée, "on dort bien mieux avec une paire de fesses bien rouges et bien chaudes". Le lendemain se passa le mieux du monde, du moins si on excepte la magistrale fessée après le petit déjeuner.
Caroline était de très bonne humeur, elle avait bien dormi, Sylvie aussi. Elle finissait de déjeuner sur la terrasse quand Caroline regarda son amie.
- comment vont tes petites fesses ma chérie ?
Sylvie rougit un peu et regarda la maison voisine, Huguette avait ouvert sa fenêtre et Caroline avait parlé un peu fort.
- je t'ai posé une question Sylvie !
La voix était devenue plus impérieuse, Sylvie répondit timidement.
- euh, ça va… ta crème m'a fait du bien.
Caroline souriait de la gêne de son amie.
- on va vérifier ça, approche un peu.
Sylvie tourna la tête vers le jardin d'Huguette.
- oh , non Caroline pas ici s'il te plaît, on pourrait rentrer.
La jeune femme fronça les sourcils.
- qu'est ce que c'est que cette histoire ? Les fessées d'hier n'ont donc pas suffit ! Viens ici immédiatement. Si jamais je dois aller te chercher je te garantis que tu ne vas pas pouvoir t'asseoir pendant un moment.
Sylvie se rendit compte que sa situation avait vraiment changé, Caroline se comportait comme une adulte autoritaire s’adressant à une adolescente rebelle. Elle se leva et s’approcha de Caroline, celle-ci lui fit un petit signe du doigt.
- tourne toi.
Sylvie restait paralysée, elle regardait la fenêtre ouverte d’Huguette qui avait une vue imprenable sue sa terrasse. Elle ne bougea pas.
- décidément tu la cherche cette fessée, et bien tant pis pour toi !!
Le ciel me tombait sur la tête, Caroline avait pris ma main et m’avait attirée contre sa cuisse, en un instant je me retrouvai couchée en travers de ses genoux dans une position que je commençais à connaître depuis hier. Ma chemise de nuit était assez courte, je sentais que mes fesses étaient quasiment découvertes, ce n’était bien sûr pas suffisant pour ma sévère maîtresse, je sentis l’air frais sur mes fesses, ma chemise de nuit était maintenant retroussée, je tournais la tête vers la fenêtre d’Huguette et à mon grand désespoir je l’aperçus qui regardait dans ma direction.
Caroline était contente d'avoir à nouveau les fesses de Sylvie à sa disposition, elles étaient encore un peu rosées et on distinguait les traces laissées par la badine. Elle passa sa main sur la peau nue.
- décidément je pense que tu as encore besoin d'avoir les fesses bien rouges pour devenir obéissante. Tes fesses sont en parfait état.
Elle leva la main et commença à claquer le large derrière si bien tendu par la position. Sylvie essayait de ne pas trop crier mais la fessée était sévère et rapidement elle ne put retenir ses larmes.
J'avais oublié Huguette, cette fessée matinale était vraiment cuisante et malgré ma honte d'être déculottée et de recevoir une fessée devant ma voisine je ne pus retenir mes pleurs, comme quand ma mère m'administrait cette punition quand j'étais jeune fille.
Les fesses de Sylvie étaient à nouveau écarlates, Caroline s'était appliquée à rougir toute la surface et même le haut des cuisses. Elle s’arrêta et posa sa main sur la croupe de son amie.
- tu vois ça aurait été quand même plus simple de te tourner pour que je puisse examiner tes fesses, tu me les montre quand même et en plus tu as eu droit à une bonne fessée.
Elle leva la tête et aperçu Huguette qui depuis sa fenêtre n’avait rien perdu du spectacle.
- je pense que ta voisine a apprécié de te voir gigoter pendant ta fessée ma chérie, elle a de la chance tes fesses sont magnifiques.
C’était ce que je redoutais, Huguette était maintenant au courant du traitement que me réservait Caroline et même si je dois l’avouer recevoir la fessée par cette jeune femme m’excitait je ne tenais pas à ce que mon voisinage soit au courant. Je tremblais en pensant au moment où j’allais devoir croiser Huguette. J’en oubliais presque la brûlure de mon fessier.
- allez tu peux te relever.
Caroline avait pris une pince à cheveux et elle agrafa ma chemise de nuit dans le dos.
- voilà ça va t’apprendre à désobéir, tu vas rester fesses à l’air pour débarrasser le petit déjeuner. Allez dépêche toi un peu !
Elle avait accompagné ses dernières paroles par une vigoureuse claque au milieu de mes fesses.
Sylvie était morte de honte de devoir rester avec ses fesses rouges bien visibles, mais la fessée qu’elle venait de recevoir et le ton impérieux de Caroline n’incitait pas à désobéir. La jeune femme était rentrée au salon et elle regardait en souriant son amie débarrasser la table et faire des aller et retour vers la cuisine. Une idée perverse traversa son esprit.
- quand tu aura fini, tu m’apportera le martinet ma chérie.
Quand j’ai entendu le mot martinet mon sang s’est glacé, je détestais cet instrument que ma mère avait utilisé si souvent sur mes mollets et sur mes fesses nues quand j’étais adolescente. Je n’y avais plus goûté depuis. C’était un martinet familial qui se transmettait de génération en génération, je pense que les fesses de ma mère et celle de ma grand-mère avait senti la brûlure de ses lanières avant moi.
Tête basse, Sylvie se dirigea vers Caroline en tenant le redoutable instrument de punition dans sa main droite. Celle-ci s’en saisit et caressa les lanières.
- tu sais que ta désobéissance mériterait que je te punisse avec ça ma chérie. Comme le faisait ta maman.
Sylvie n’osait pas regarder le martinet, elle se rappelait comme si c’était hier la dernière fois où sa mère l’avait utilisé, jupe retroussée, la culotte baissée aux genoux, penchée sur le dossier du canapé. Elle avait 18 ans et malgré son âge sa mère n’avait pas cédé à ses supplications. Une fessée c’était toujours cul nu. Et c’est elle qui s’était chargée du déculottage de sa fille.
Mes fesses nues étaient serrées, je redoutais cette punition. Mais c’est vrai que j’avais désobéi, j’étais redevenue une adolescente et je n’aurais pas du refuser de lui montrer mes fesses. Je méritais cette fessée au martinet.
Mais Caroline se mit à sourire.
- je crois que tu as compris, ta petite fessée déculottée en public sera suffisante pour ce matin, mais ne t’avise pas de recommencer. Tu vas aller au coin ça va te permettre de réfléchir.
Sylvie se dirigea vers le coin de la pièce un endroit qui lui était familier depuis hier. Elle mit ses mains sur sa tête sans que Caroline le lui demande puis elle posa son nez contre le mur.
Caroline s'approcha, elle écarta les deux fesses et posa le manche du martinet au fond de la raie fessière.
- serre bien les fesses ma chérie, si jamais le martinet tombe je serai obligée de m'en servir sur ton bon gros derrière.
Elle avait placé le martinet avec les lanières vers le haut, elles retombaient très esthétiquement sur les fesses bien rouges.
C'était curieux de serrer le manche du martinet entre mes fesses, je savais que la promesse de s'en servir faite par Caroline n'était pas une promesse en l'air. Combien de temps allait elle me laisser au coin comme ça.
Caroline prit son téléphone et fit une photo, le spectacle offert par Sylvie les fesses bien rouges et serrées sur le manche du martinet était très excitante.
Elle décida de laisser la pauvre Sylvie pendant 15' au coin dans cette position humiliante. Ensuite elle la laisserait tranquille jusqu'à l'heure du thé chez Daisy.
A suivre ….
Magnifique histoire, j'aimerais bien que Sylvie nous raconte les fessées déculottées qu'elle pris par sa maman a son adolescence 🍑🔥🍑
RépondreSupprimerÇa fera peut-être partie de la suite de l'histoire mais je reste la seule à décider....ça concerne mes fesses quand même 🤗. La suite sera sans aucun doute cuisante puisqu'elles vont prendre le thé chez Daisy.
SupprimerSylvie
Quelle belle plume. Oh plaisir de vous lire et de suivre vos aventures. Zoé.
RépondreSupprimerMerci beaucoup. Malheureusement pour moi, je pense qu'avec ces encouragements Sylvie n'a pas fini de se faire baisser la culotte et rougir les fesses.
SupprimerSylvie
Encore une belle histoire, bravo
RépondreSupprimerCaroline commence vraiment à prendre plaisir à son rôle de maîtresse sévère. Gare au retour de bâton.
SupprimerSylvie
Bravo j adoré ce mélange douleur et plaisir...après le thermomètre le martinet coincé entre les fesses qu'elle magnifique idée de caroline
RépondreSupprimerBon courage à Sylvie pour la suite chez dasy .et un très grand merci pour cette serie