Caroline fesseuse de dame 4

 Une visite chez Daisy 

C'était enfin l'heure d'y aller, Caroline se comporta comme une maman elle me fit les recommandations d'usage. 

- j'espère que tu vas bien te tenir, si ce n'est pas le cas regarde ce que j'ai dans mon sac.

Elle l'avait ouvert et je vis sa brosse à cheveux, une bien grosse avec un manche en bois large en ébène. Ça devait faire un mal de chien de recevoir une fessée déculottée avec cet instrument. 

Elle me fit un petit signe du doigt. 

- viens un peu ici et tourne toi. 

Dès que je me fut tournée, elle retroussa ma jupe. 

- j'espère que tu as une culotte propre, si jamais je dois te déculotter je ne voudrais pas que tu me fasses honte. 

J'étais humiliée d'être traitée comme une gamine mais je commençais à avoir l'habitude et je ne protestai pas quand elle glissa ses doigts dans la ceinture de ma culotte pour la baisser et la retourner. Elle examina le fond de ma lingerie, j'étais rouge de honte, heureusement que nous étions seule. Satisfaite elle me claqua les fesses et remonta elle même ma culotte sur mon fessier qui était crispé comme chaque fois qu'elle me déculottait. 

- c'est très bien ma chérie ta petite culotte est nickel. Je vois que la bonne éducation de ta maman a laissé des traces.

Je rougis encore un peu plus, c'est vrai que je lui avait raconté que ma mère était très stricte sur l'hygiène intime et que jusqu'à l'adolescence il lui arrivait de vérifier ma culotte comme venait de le faire Caroline et en cas de petite culotte pas très nette, j'étais bonne pour une magistrale fessée déculottée et un lavage des fesses à l'eau froide. C'est vrai que même plus de 50 ans après je m'en souvenais comme si c'était hier. 

Sylvie était maintenant reculottée, elles sortirent, c'est Caroline qui conduisait. Elles avaient croisé Huguette et Pauline qui papotait. Huguette lui avait fait un sourire complice, signe qu'elle avait certainement apprécié de la voir recevoir une bonne fessée déculottée comme une gamine. Sylvie n'était vraiment pas pressée de se retrouver en tête à tête avec elle. 

La maison que louait Daisy était une jolie ferme restaurée un peu isolée du village. Elle nous accueilli avec enthousiasme, nous faisant une bise à chacune. Elle me regarda avec attention, certainement un peu surprise par mon âge, en effet elle n'avait vu que mes fesses lors de notre dernière rencontre. J'étais un peu gênée d'être maintenant face à elle et qu'elle puisse constater que Caroline qui aurait pu être ma petite fille me corrigeait comme une gamine. 

Elle me prit la main et me fit tourner pour m'examiner en détail puis avec son délicieux accent anglais, elle se tourna vers Caroline. 

- voilà donc "madame aux fesses rouges", a-t-elle été sage aujourd'hui ?

Caroline lui fit un petit clin d'oeil. 

- si on peut dire, juste une petite fessée déculottée ce matin, ses fesses sont presque blanches. Vous voulez les voir ?

Je m'attendais au pire en arrivant mais Caroline commençait fort, nous étions encore devant la maison et elle proposait de me déculotter. Bien sûr Daisy n'attendait que ça. 

- oh mais oui, ça serait avec plaisir. 

Caroline prit la main de Sylvie et la fit pivoter puis elle la coinça sous son bras et la courba vers l'avant, elle retroussa sa jupe et baissa sa culotte sous les fesses. 

Elles étaient encore rosées de la fessée matinale et on distinguait encore les traces de la badine. 

Daisy s'approcha et passa sa main sur les fesses. 

- c'est très bien, ces jolies fesses sont en très bon état. 

Caroline se mit à rire, elle tenait toujours Sylvie sous son bras avec les fesses bien présentées.

- oui elles sont prêtes pour une bonne déculottée si c’est nécessaire.

Nous étions toujours à l’extérieur, la route passait à proximité et ça ne dérangeait pas du tout ma jeune maîtresse d’exposer aux regards mon derrière déculotté. Je n’osais pas protester, mes fesses étaient vraiment disponible pour une fessée. Je restai ainsi pendant un temps qui me parut interminable. Puis Caroline se décida à remonter ma culotte et me laissa me redresser. Daisy nous invita à rentrer, la première chose que je vis sur la table du salon fut la traditionnelle tawse écossaise et une canne non moins traditionnelle. Daisy nous fit asseoir et alla préparer le thé. En maman attentionnée Caroline s’adressa à moi.

- tu devrais aller aider Daisy ma chérie. 

En rougissant Sylvie suivi la maîtresse de maison, elle était redevenue une grande fille obéissante. Daisy lui confia le plateau avec les tasses, Sylvie n’était pas très rassurée et bien sûr ce qui devait arriver arriva, elle renversa une des  tasses en posant le plateau sur la table. Immédiatement Caroline la gronda comme si elle avait quinze ans et lui claqua les fesses tendues devant elle par dessus la jupe.

J’étais sûr que ça allait arriver, je suis assez maladroite et être regardée par ces deux dames sévères m’impressionnait beaucoup. La réaction de Caroline ne m’a pas surprise, je savais que d’une façon ou d’une autre je recevrais une fessée déculottée cet après-midi, pour le coup, l’expression ‘’tendre un bâton pour se faire battre’’ prenait tout son sens. Les claques de Caroline par dessus ma jupe n’était qu’un apéritif, je le savais.

- je suis désolée Daisy de vous imposer ça, mais je ne peux pas laisser passer cette bêtise. 

Daisy était ravie de la tournure des événements, elle encouragea Caroline à sévir immédiatement.

- ma chère Caroline faite comme chez vous, ne vous gênez pas pour moi. Comme vous l’avez dit tout à l’heure, les fesses de Sylvie sont en parfait état pour recevoir une fessée.

La jeune femme avait attiré Sylvie contre ses cuisses et l’avait fait basculer en travers de ses genoux, la courte jupe dévoilait déjà l’arrière des cuisses, elle la retroussa largement sur les reins.

J’étais à nouveau dans cette position honteuse et c’était ma deuxième fessée publique, mais cette fois-ci Daisy avait assisté aux préparatifs, la mise en position sur les genoux de Caroline, le retroussage de la jupe et maintenant, horreur, le déculottage. Car c’était ce qu’était en train de faire Caroline, je sentais ses doigts s’insinuer sous l’élastique de ma culotte et bientôt l’air frais sur mes fesses me renseigna sur ma condition. J’étais définitivement prête pour la bonne fessée déculottée.

- tu n’as pas honte. A ton âge je suis encore obligée de te corriger comme une sale gamine, c’est vraiment incroyable. Vous voyez Daisy cette dame a des fesses faites pour la fessée et je me demande si elle ne la cherche pas.

Si il m’était arrivé effectivement de fantasmer sur la fessée déculottée, depuis hier que Caroline s’occupait de mon derrière, j’avoue que je ne la cherchais plus vraiment, ces fessées c’étaient maintenant de véritables punitions. Je cherchais comme quand j’étais plus jeune à éviter une correction trop sévère.

- Mlle Caroline, pardon, s’il vous plaît, je ne l’ai pas fait exprès... pardon.

La réponse de Caroline fut cassante comme celle de ma mère à l’époque.

- j’espère bien que tu ne l’as pas fait exprès, il ne manquerait plus que ça. Non mais ça c'est incroyable tu ne l'as pas fait exprès !!

Elle ponctuait sa phrase de claques magistrales, je ne put retenir mes larmes plus longtemps. 

- et bien moi je te garantis que je fais exprès de te flanquer cette fessée et je te garantis que tu vas faire attention la prochaine fois. Oh tu peux pleurer, ça ne changera rien. 

- Aïe aïe aïe aïe, pardon Mlle Caroline, non plus la fessée. 

Sylvie pleurait à chaudes larmes et suppliait sa jeune maîtresse, mais celle-ci se régalait tellement à voir la danse des fesses que Sylvie exécutait qu'elle n'avait vraiment pas l'intention d'arrêter la punition. Sa main claquait avec force successivement chacune des belles fesses de la pauvre Sylvie, maintenant elle hoquetait et ne protestait plus, ses jambes battaient l'air désespérément, ses fesses s'ouvraient largement. 

Daisy appréciait en connaisseuse cette magistrale fessée déculottée, décidément cette petite française était une redoutable fesseuse. 

Enfin Caroline jugea que les fesses de Sylvie avaient suffisamment rougi, elle cessa la fessée et laissa sa punie couchée en travers de ses genoux. Elle regarda Daisy pour juger de l'effet de sa fessée sur cette anglaise. Puis elle s'adressa à Sylvie. 

- bon j'espère que tu as compris et que tu vas faire attention désormais. Tu vas te lever et aller montrer tes fesses à Daisy et puis tu t'excuseras.

Je crois que je n'avais jamais reçu une correction pareille, l'humiliation d'aller présenter mon derrière écarlate à Daisy n'était rien en comparaison de la fessée que je venais de recevoir. 

Sylvie se releva, ses joues étaient aussi rouges que ses fesses, des larmes coulaient encore, elle se dirigea la tête basse vers Daisy, elle était gênée et ne savait quelle attitude adopter, Caroline l'interpella.

- je t'ai dit de montrer tes fesses à Daisy, dépêche toi de te tourner si tu ne veux pas revenir sur mes genoux !

Je n'avais vraiment aucune envie d'une autre fessée, aussi malgré ma honte, je me tournai et exposai mes fesses brûlantes à Daisy. Celle-ci appuya un peu sur mon dos pour que je me penche un peu. Mon humiliation était totale, je sentis sa main sur mes fesses, elle semblait vouloir en apprécier la forme et la texture. Sa main suivait la courbe de mon fessier, elle glissa même ses doigts entre mes fesses, je n'osais pas bouger, j'essayais de ne pas les serrer. Elle les tapota et s'adressa à Caroline. 

- bravo ma chère Caroline, c'est vraiment une très bonne fessée que vous avez administrée à cette maladroite. 

- merci Daisy mais c'est le moins que je pouvais faire. D'ailleurs Sylvie je t'ai demandé quelque chose, je n'ai rien entendu. 

C'est vrai que Caroline m'avait demandé de m'excuser. J'avalai ma salive et je m'exécutai. 

- pardon madame, je suis vraiment désolée pour ma maladresse.

Daisy tapota mon derrière. 

- c'est bon ma petite Sylvie, tu seras pardonnée tout à l'heure quand je me serai occupée moi même de tes fesses. Mais elles sont encore bien rouges tu vas aller les faire refroidir au coin.

Je n'y avais pas pensé mais ces dernières paroles ne laissaient pas de place au doute, mes fesses allaient connaître une fessée à la mode anglaise. 

Daisy s'était levée et avait saisit l'oreille de Sylvie comme si elle était une mauvaise élève. Elle la conduisit vers le coin de la pièce. Caroline la regardait faire avec un petit sourire amusé. La professeur anglaise lâcha l'oreille de Sylvie et plaça une chaise contre le mur. 

- tu vas te mettre à genoux sur cette chaise et tu mets tes mains sur la tête. 

C'était nouveau cette manière de faire du coin, je n'y avais jamais goûté. C'était très inconfortable, je sentis qu'elle retroussait à nouveau ma jupe et l'épinglait dans mon dos.

Daisy tapota les fesses de Sylvie.

- tu te tiens bien droite sinon je ne vais pas être contente ma petite chérie. 

Puis elle se tourna vers Caroline. 

- être au coin à genoux, c'est beaucoup plus pénible et quand on met la punie sur une chaise, on peut parfaitement admirer ses fesses.

Ça c'est sûr qu'elles avaient une vue parfaite sur mon derrière. La position était douloureuse et humiliante. Même si je redoutais la suite, j'aurais bien aimé que ce passage au coin ne s'éternise pas.

Derrière moi j'entendais les deux nouvelles amies papoter tranquillement comme deux mamans après la punition de leur fille et qui ne se soucie plus de celle-ci qui expose ses fesses bien rouges. 

Caroline était ravie que Daisy ait pris si rapidement les choses en main. Elle était impressionnée par le regard autoritaire de l'ancienne professeur. Apparemment la fessée et l'éducation sévère n'avait pas de secret pour elle. 

Elle prit la tawse posée sur la table elle la soupesa et caressa le cuir épais.

- ça doit faire très mal aux fesses.

Daisy se mit à rire.

- une fessée est censée faire mal aux fesses, non ? Vous ne connaissez pas ça en France. Vous c’est le martinet. 

Caroline hocha la tête, c’est vrai qu’elle recevait de temps en temps la fessée par sa mère mais celle-ci utilisait le plus souvent sa main. Daisy la regardait en souriant elle continua.

- quand on veut être sévère mais sans laisser de traces disgracieuses, la tawse est un instrument très efficace, les fesses deviennent très rouges et brûlantes rapidement et la punie s'en souvient très longtemps. Vous devriez l'essayer. 

Caroline se mit à rougir, le regard perçant de Daisy l'impressionnait de plus en plus. Que voulait elle dire par essayer ? Allait elle lui proposer de recevoir la fessée avec ce redoutable instrument de punition.

Daisy regarda Sylvie qui essayait de se tenir droite à genoux sur la chaise 

- bien je crois qu'il est temps que je m'occupe du derrière de cette maladroite. Sylvie viens ici !

Je sursautai en entendant Daisy, je savais que j'allais à nouveau recevoir une fessée et mes fesses étaient encore sensibles mais quitter le coin fut un soulagement. Notre hôte était assise sur le canapé, elle tapotait ses cuisses, je ne connaissais que trop la signification de ce geste. Un instant plus tard j'étais en position pour recevoir ce châtiment enfantin. Depuis hier  je ne comptais plus le nombre de fois où je m'étais retrouvée le nez près du sol et les fesses pointant vers le ciel, bien présentées à ma fesseuse. Mais pour la première fois ce n'était pas Caroline qui allait officier sur mon fessier, j'allais être punie par une quasi inconnue. Comme la première fois où la nouvelle voisine de ma mère avait eu l'autorisation de me déculotter pour me punir d'une bêtise. Mais j'avais une douzaine d'années à l'époque. Aujourd'hui c'était bien différent j'étais une dame d'âge mûr couchée sur les genoux d'une anglaise à peu près du même âge que moi.

À nouveau je sentis sa main palper mes fesses, je ne pus m'empêcher de gémir. 

- pardon madame, pardon…

Daisy était vraiment ravie d'avoir une nouvelle paire de fesses à sa disposition depuis son arrivée en France il y a un mois, elle n'avait pas administré la moindre fessée, alors que chez elle en Angleterre elle baissait des culottes très régulièrement. Cette française avait vraiment un beau fessier, elle avait décidé de lui faire goûter la tawse mais avant pour une première prise de contact, une fessée avec la main s'imposait. 

Caroline fessait sévèrement mais ça n'avait rien à voir avec la correction que commença à m'administrer Daisy. Sa main claquait sèchement et avec une incroyable rapidité, le feu avait envahi mon derrière, je gigotais comme une folle sur ses genoux, je pleurais et criait sans pouvoir me retenir. 

La fessée administrée à Sylvie par Daisy impressionna beaucoup Caroline, son amie battait l'air avec ses jambes et poussait des cris désespérés, la fessée devait être extrêmement cuisante. Même sa mère qui pourtant avait la main leste ne lui avait jamais administré une correction pareille. 

La fessée fut rapide mais intense, Daisy fit relever Sylvie et lui indiqua une chaise. 

- pose tes mains sur la chaise et tend bien tes jolies fesses.

 

Sylvie avait les fesses d'un rouge profond après les deux fessées successives, elle pleurait encore mais elle s'exécuta. 

Daisy lui annonça la suite.

- pour ta maladresse, 6 coups de tawse et nous n'en parlons plus.

Sylvie se remit à pleurer de plus bel.

- oh non madame pardon, plus la fessée s’il vous plaît…. non, non Aïe, Aïe, pardon.

La main de Daisy venait de reclaquer sèchement les fesses tendues.

- je ne veux plus t’entendre !! cesse de pleurnicher, tout ça pour une petite fessée. Garde tes larmes pour la tawse. Tends bien tes fesses !! si tu continues je double la punition.

La menace était sérieuse, à ce moment, je regrettais amèrement mes discussions sur la fessée avec Caroline, mes fesses étaient en feu, j’avais vu la tawse posée sur la table et cette lanière épaisse en cuir, elle m’avait fait forte impression, mais maintenant mon derrière allait y goûter. J’essayais de ne pas trop serrer mes fesses, je savais que ça augmenterait la douleur. Le premier coup me surpris quand même et je ne pus m’empêcher de me relever et de porter mes mains à mes fesses.

Sylvie frottait ses fesses en pleurant quand la tawse lui cingla les doigts.

- remets toi en position et vite ! c’est le dernier avertissement, si tu bouges à nouveau c’est douze coups sur ton derrière.

Sylvie se remis immédiatement en place en pleurnichant. Ses fesses écarlates présentaient une large barre rouge plus foncée à l’endroit où la lanière avait claqué. La menace avait fait son effet, elle supporta en pleurant et en trépignant sur place les cinq coups supplémentaires. Sa large croupe était maintenant d’un rouge profond sur toute sa surface.

Caroline avait assisté à la punition de son amie avec un plaisir évident même si elle la plaignait quand même un peu; décidément l'éducation anglaise c'était quelque chose. Elle pensait au regard que lui avait jeté Daisy et un petit frisson parcouru ses fesses, n'aurait-elle pas envie de découvrir également ses fesses. Sa passion pour la fessée déculottée et les derrières féminins était évidente.

A suivre….