Caroline découvre l'éducation anglaise
J'étais à nouveau au coin fesses à l'air, mais c'était plus traditionnel, Daisy en me tenant par l'oreille comme elle devait le faire pour ses mauvaises élèves, m'avait conduit au coin, j'étais mains sur la tête et le nez bien collé contre le mur mais je n'étais pas à genoux, j'étais debout et malgré ma honte et la cuisson de mes fesses, j'en étais presque reconnaissante à ma fesseuse.
Derrière moi la conversation avait repris, mais le ton avait changé. IL me semblait que c’était Daisy qui menait la conversation, Caroline n’avait plus cette voix autoritaire que j’entendais depuis hier, elle acquiesçait quand Daisy parlait. Puis j’entendis le ton monter légèrement et ma jeune amie protester faiblement.
- euh, non Madame, euh oui, pardon Miss. Mais quand même… oui sans doute. Aïe, non, non…
Un bruit de claques légèrement assourdi parvint à mon oreille.
Daisy avait découvert le fessier de Sylvie, mais l’idée avait germé dans son cerveau, cette jeune femme ravissante devait également avoir une jolie paire de fesses. Elle ne partirait pas d’ici sans lui avoir présenté son joli derrière.
Au cours de la discussion, elle avait rapidement compris que Caroline n’était pas une véritable fesseuse même si elle se débrouillait très bien pour faire rougir les fesses de Sylvie. La jeune femme lui avait confessé que malgré son âge il lui arrivait encore de se faire baisser la culotte par sa maman. Elle dirigea habilement la conversation et n’eut aucun mal à mettre en défaut Caroline.
Oui elle avait menti à sa mère pour pouvoir venir passer le week-end chez Sylvie, oui certes ce n’était pas bien avait du admettre la jeune femme.
- tu mérites donc une sanction n’est-ce pas jeune fille ?
Daisy avait adopté le tutoiement pour s’adresser à Caroline, celle-ci la vouvoyait toujours ce qui la mettait immédiatement en sentiment d’infériorité. Daisy ne s’était pas privée d’en profiter. La question était limpide et la réponse évidente, Caroline avait senti le piège se refermer sur elle. Elle avait bien essayé de protester mais Daisy lui avait immédiatement administré quelques claques sur les fesses par dessus sa jupe, ce n’était pas douloureux mais Caroline savait à quoi s’en tenir sur la suite des événements.
Rapidement Daisy avait attiré la jeune fesseuse contre sa cuisse et l’avait basculé en travers de ses genoux sans rencontrer de vraie résistance. En fait Caroline depuis qu’elle avait rencontré l’ancienne professeur étai subjuguée par son autorité naturelle. Elle avait voulu l’impressionner en fessant très sévèrement Sylvie mais inconsciemment elle savait que les choses allaient se terminer ainsi.
Je ne voyais pas ce qui se passait dans mon dos et j'étais surtout préoccupée par la brûlure qui envahissait mon fessier, mais je sentais que quelque chose avait changé.
En retroussant la jupe de Caroline, Daisy avait découvert que celle ci portait une culotte jaune d’or en dentelle, très sexy et qui ne couvrait que très modérément son derrière bien rebondi. Les fesses étaient tendues par la position, la fine lingerie rentrait dans la raie fessière. Daisy avait sourit en découvrant cette culotte.
- dis moi ma petite Caroline, ce n'est pas une culotte comme ça que portent les demoiselles qui reçoivent encore la fessée déculottée ?
Elle avait glissé ses doigts sous la culotte et caressait les fesses de la jeune femme.
- ta maman sait que tu portes des culottes sexy ?
Caroline n'était pas dans une position très favorable, elle imaginait la réaction de sa mère à la vue de cette culotte minimaliste. Elle bégaya.
- euh, oui....enfin non...aïe aïe.
Deux claques très sèches avait retenti, Daisy avait visé la base des fesses, découverte par la culotte, une légère rougeur y était déjà apparue.
- c'est oui, ou c'est non !!
- euh...aïe, aïe...non miss…
- non quoi ?
- aïe aïe aïe. Elle ne veux pas que je porte ces culottes.
Les claques avaient continué sur la base des fesses qui étaient maintenant bien rouges.
- tu as donc désobéi ! Dis moi ma petite Caroline si je comprends bien tu as désobéi et menti. A ton avis qu’est-ce qui arrive aux jeunes femmes qui désobéissent et qui mentent ?
Caroline ne le savait que trop bien, elle était en parfaite position. C’était sûr que selon les critères de sa mère et apparemment Daisy avait les mêmes, elle méritait une bonne fessée déculottée.
Pour le moment elle n'était pas encore déculottée mais c'était tout comme, sous l'effet de la fessée et du tortillement de ses fesses, la culotte avait disparu dans la raie fessière et son derrière était découvert quasiment entièrement, certes sa pudeur était sauve mais les claques retentissaient sur la peau nue. Comme elle l'avait fait avec Sylvie, Daisy claquait très fort et très rapidement les fesses de Caroline, celle-ci ne put retenir longtemps ses cris et ses supplications.
- aïe aïe aïe non maman, pardon madame, aïe aïe aïe.
Le mot maman lui était venu, sans réfléchir, ce qui avait fait sourire Daisy. Elle s'arrêta et saisit l'élastique de la culotte, il était temps de passer à la vraie punition, une fessée déculottée.
- alors ma petite chérie, on va baisser cette jolie culotte qui n'est pas faite pour les vilaines filles qui reçoivent encore la fessée.
La culotte descendit lentement sur la courbe des fesses rebondies de Caroline, elles étaient déjà bien rouges, Daisy les caressa, comme pour Sylvie elle semblait vouloir apprécier la qualité de ce nouveau fessier.
Elle se pencha et saisit la brosse à cheveux posée sur la table, elle tapota avec le dos de la brosse les fesses tendues de la jeune femme.
Caroline regrettait amèrement d'avoir sorti la brosse à cheveux de son sac pour la montrer à Daisy, maintenant c'était ses fesses qui allaient y goûter.
- la brosse à cheveux est tout à fait appropriée pour ta punition ma petite chérie. Tes jolies fesses sont déjà bien rouges mais tu vas voir après les caresses de ma brosse tu n'auras plus envie de désobéir ou de mentir.
Caroline gémissait doucement.
- pardon miss, pardon s'il vous plaît pas la fessée à la brosse, je vous promets, j'ai compris...aïe aïe aïe aïe.
La brosse à cheveux venait de commencer son travail sur la croupe rebondie. Immédiatement les jambes se mirent à battre l'air désespérément. Daisy avait une grande habitude des fessées sévères et des réactions des punies, elle tenait Caroline solidement par la taille, seul le bas de son corps pouvait bouger et elle ne s'en privait pas mais elle ne pouvait pas éviter la brûlure de la fessée.
Mais soudain ses cris devinrent de plus en plus perçants, lasse de voir ses pieds se livrer à ces gesticulations, Daisy venait d’appliquer quelques coups de brosse sur l’arrière des cuisses.
- vas tu cesser de gigoter !!
- AÏE, AÏE, AÏE, non, non madame, pardon, non miss, AÏE, AÏE.
Caroline s’égosillait mais la brosse rougissait toujours l’arrière de ses cuisses.
- quand tu cesseras de bouger, j’arrêterai, c’est à toi de choisir.
Daisy voulait une Caroline docile et rien de mieux qu’une fessée sur cette zone très sensible. Caroline reposa ses pieds par terre et Daisy reprit sa fessée sur le derrière écarlate.
Caroline pleurait à chaudes larmes, vaincue, elle subissait sa correction et ne bougeait plus tout juste serrait elle les fesses un peu plus quand la brosse claquait plus fort. Daisy était satisfaite, elle cessa la punition.
Dans mon coin j'avais assisté à la punition de Caroline, enfin assisté est un grand mot, j'avais entendu et deviné le déroulement de la fessée. Quand les claques avaient cessé, je me doutais que la culotte devait descendre sur ses fesses puis le bruit de la brosse sur la peau nue m'avait un peu surprise, ma petite amie devait déguster si j'en jugeais à ses supplications et à se cris. Bien qu'elle n'ait pas épargné mon derrière, je compatissais devant la longueur de la correction et ses pleurs.
Enfin je tournai légèrement la tête et je la vis arriver les joues noyées de larmes, elle colla son nez contre le mur à côté de moi.
- allez ma petite chérie un petit séjour au coin fesses à l'air va te faire le plus grand bien.
Je reçus une magistrale claque au milieu de mes fesses.
- Sylvie ! Quand on est au coin, on ne bouge pas, le nez contre le mur et vite ! À moins que tu ne veuilles revenir sur mes genoux.
Daisy avait l'oeil à tout, mon léger mouvement pour voir Caroline ne lui avait pas échappé. Je recollai donc sagement mon nez contre le mur, le temps me paraissait long, mais c’était quand même mieux que d’être couchée sur les genoux de Daisy et de recevoir une fessée.
Elle nous laissa un moment dans cette situation humiliante, je ne l’entendais plus, mais comme mon seul horizon c’était la tapisserie du mur, je ne savais pas ce qu’elle faisait. A mes côté, Caroline ne pleurait plus, mais je ne pouvais pas la voir non plus.
Daisy c’était installée confortablement dans un fauteuil et elle contemplait son oeuvre, deux belles paires de fesses écarlates.
Son séjour en France s’annonçait sous les meilleurs auspices. Elle était passionnée par la fessée qu’elle continuait de pratiquer assidûment en Angleterre. Son statut d’ancienne professeur de français lui permettait d’avoir encore de nombreuses élèves à qui elle délivrait des cours particuliers, c’était en général des adolescentes et Daisy indiquait aux parents que sa méthode pédagogique pouvait comporter l’utilisation de châtiments corporels. Les parents acceptaient en général volontiers, c’était certainement loin d’être le cas des demoiselles, mais on ne leur demandait pas leur avis.
Elle avait aussi dans ces élèves quelques adultes désireuses de se perfectionner dans la langue de Molière, celle-ci était prévenue également dès le début qu’elles risquaient de goûter elles aussi aux bienfaits de l’éducation anglaise traditionnelle. Si quelques unes s’enfuyaient effarouchées, la plupart acceptaient, se disant sans doute qu’elle ne risquait rien puisqu’elles allaient bien travailler. C’était mal connaître Miss Daisy Smackbottom et son niveau d’exigence. Aucune de ses élèves ne finissait sa série de cours sans avoir eu la culotte baissée et avoir du présenter ses fesses nues à la main de la sévère professeure.
Son attirance pour le sexe féminin était un secret de polichinelle et ses petites amies avaient systématiquement les fesses rouges lors de leurs ébats intimes.
Son goût pour la découverte de nouvelles rondeurs féminines avait été satisfaite au delà de ses espérances aujourd’hui. Elle avait prit son téléphone et fait quelques photos des derrières rougeoyant de Sylvie et de Caroline. Puis elle les appela.
- venez ici mes deux vilaines filles.
Les deux punies s’approchèrent, elles n’avaient pas osé retirer leurs mains de leur tête ce qui fit sourire Daisy.
- bien, il reste une petite formalité à régler avec toi Caroline, tu vas recevoir les 6 coups de tawse comme Sylvie et nous serons quitte.
Caroline se mit à gémir.
- oh, non Miss, s’il vous plaît pas la Tawse, ça fait trop mal, mes fesses sont déjà trop brûlantes, s’il vous plaît.
Daisy fronça les sourcils.
- qu’est-ce que c’est que ces jérémiades ! et bien ce sera 9 coups et je suis gentille, j’aurais pu doubler. Mets toi en position et vite si je t’entends encore c’est 12 !!
Caroline s’approcha de la chaise toujours disposée au milieu de la pièce et posa ses mains dessus, ses fesses rebondies étaient bien tendues par la position, sa fine culotte en dentelle était descendue autour de ses genoux. Son derrière écarlate était exposé dans toute sa splendeur.
Elle se tourna vers moi.
- tu vas pouvoir regarder la fessée de cette chipie, que ça te serve de leçon si il te prenait l'envie de désobéir ou de mentir.
A voir les fesses bien rouges de Caroline et la tawse dans la main de Daisy, je n'en avais vraiment pas l'intention.
Elle s'approcha de ma jeune amie et palpa ses fesses.
- quand on a une bonne paire de fesses comme toi ma chérie on doit être prête à les présenter pour recevoir la fessée. Je te rappelle que tu ne dois pas bouger, si jamais tu te relèves ou si tu mets tes mains sur tes fesses, le coup ne comptera pas et tu en recevras 12. C'est bien compris !
Caroline approuva doucement.
- oui miss.
Daisy se plaça de côté et leva la redoutable lanière. Caroline cria quand elle lui cingla les fesses, laissant une trace plus foncée sur son derrière écarlate.
Elle trépignait sur place mais soucieuse d'éviter une punition plus sévère, elle résista à l'envie de protéger ses fesses avec ses mains. Les 9 coups furent appliqué sans rigueur extrême. Daisy voulait surtout marquer son autorité et rendre docile ses deux punies.
Elle savait que Caroline ressentirait les effets de sa correction toute la soirée mais ses fesses seraient prêtes pour recevoir une nouvelle fessée déculottée si sa mère le jugeait utile.
La culotte avait glissé jusqu'aux chevilles, elle lui fit enjamber et la lui retira complètement.
- tu resteras sans culotte, de toute façon celle-ci ne couvre même pas tes fesses, je n'en vois pas l'utilité.
Puis elle se tourna vers moi.
- c'est bien, ta punition est terminée, tu peux te reculotter.
J'étais ravie d'enfin pouvoir cacher mes fesses, même si le frottement du tissu sur mon derrière brûlant n'était pas très agréable. Nos jupes avaient repris leur place, Daisy nous invita à nous asseoir.
Elle sourit en voyant nos grimaces quand nos fesses touchèrent le siège.
- c'est bien que vous sentiez vos fesses mes petites chéries, ça prouve que la punition a été efficace.
Elle était manifestement satisfaite de son après midi.
- Sylvie, je suis là pour un mois, je pense que tu vas venir me voir tout les après midi. Tu as sans doute besoin de perfectionner ton anglais, je serais ravie de te donner des cours.
Je rougis mais je savais que je ne pouvais qu'accepter, mes fesses se contractèrent sous ma petite culotte.
- quant à toi ma petite Caroline, tu comprends que je suis obligée de prévenir ta maman, tu vas me donner son numéro de téléphone. J'ai bien peur que tes fesses n'aient pas fini de prendre l'air.
Elle avait fini sa phrase en riant, par contre Caroline faisait la tête, elle savait que la prédiction de Daisy avait toutes les chances de se réaliser.
Quelques instants plus tard nous étions dans la voiture, Caroline était cul nu sous sa jupe, elle avait le regard noir, je pressentais que mon derrière n'en avait pas encore fini avec la fessée.
J'avais raison, dès que nous fûmes sorties de la voiture, elle me claqua les fesses par dessus la jupe.
- tu vas chercher le martinet, je vais t'apprendre.
Caroline était furieuse à plus d'un titre, elle s'était fait piéger par Daisy qui lui avait administré une correction particulièrement sévère, elle était privée de culotte comme Sylvie hier, sa mère allait être mise au courant par Daisy et en plus Sylvie avait assisté à sa dernière fessée. Il lui fallait se venger un peu et c'était le derrière de Sylvie qui allait en faire les frais.
Je me doutais de ce qui allait m'arriver, je trouvais ça un peu injuste après tout je n'y étais pour rien dans la punition de Caroline, mais je la comprenais malgré tout. J'avais décroché le martinet et je lui tendis, elle le prit et me désigna le fauteuil.
- mets toi à genoux et tends bien tes fesses. À ça t'a plu de me voir recevoir la tawse et bien on va voir si le martinet te plaît autant.
Elle retroussa rapidement ma jupe et d’un geste sec me déculotta, une fois de plus je présentais mes fesses pour recevoir une correction. Décidément ce week-end aurait été cuisant jusqu'au bout.
La fessée au martinet fut courte mais cuisante pour mon derrière, j'avais l'impression que mes fesses étaient en feu,
elle termina en me cinglant les cuisses, c'était extrêmement douloureux et je pleurais quand la correction cessa.
Caroline était calmée, la croupe écarlate de Sylvie était vraiment très excitante, elle la fit se relever.
- viens ici !
Elle s'était assise et désignait ses genoux, Sylvie soulagée que la fessée au martinet ait cessé, se coucha docilement en travers de ses cuisses.
- on va finir de s'occuper de ton joli derrière.
Elle écarta largement les deux fesses elle avait saisi le thermomètre. Elle le posa sur le petit trou bien exposé et doucement elle le fit pénétrer. Sylvie gémissait doucement pendant que le thermomètre coulissait, allant et venant entre les fesses. Caroline jouissait du spectacle des fesses qui se contractaient pendant la pénétration.
- allez détend toi ma chérie, tu vas voir, ce thermomètre c'est pour préparer ton petit cul.
Malgré la brûlure de la fessée et l'humiliation de ce petit viol de mon derrière, je sentais une excitation monter en moi. Soudain elle le retira.
- tu vas voir ma chérie que le martinet à deux extrémités.
Caroline avait pris le martinet, elle posa le manche sur l'anus déjà dilaté. Il commença à pénétrer. Surprise Sylvie resserra ses fesses ce qui lui valu deux magistrales claques sur chaque fesses.
- pas de ça ma petite, à moins que tu ne veuilles encore la fessée.
Sylvie relâcha ses fesses et le manche du martinet pénétra profondément pendant qu'elle gémissait.
Je n'avais jamais été sodomisée, c'était très humiliant mais finalement pas si désagréable. Caroline se mit à faire coulisser le manche du martinet entre mes fesses, je sentais que la jouissance montait.
- tu as l'air d'aimer ça petite coquine.
Caroline tapota les fesses rouges.
- puisque ça te plaît tu vas le garder dans ton petit derrière pendant que je prépare mes affaires. Tu vas aller te mettre au coin et tu mets tes mains sur la tête.
Sylvie s'exécuta, les lanières du martinet pendait entre les fesses, on les voyaient se contracter doucement, à la fois pour atténuer la cuisson que pour empêcher le martinet de ressortir. Caroline l'avait prévenue.
- si jamais tu le fais ressortir, je te promets une correction qui t'empêchera de t'asseoir pendant un moment.
De temps en temps quand elle passait à côté de Sylvie elle lui claquait gentiment les fesses ou bougeait un peu le martinet.
- tu sais que tu es mignonne avec cette petite queue....je vais acheter un plug avec une queue, j’en ai vu sur internet et je te promets que tu le porteras souvent .
Sylvie resta ainsi tout le temps que Caroline prépare son sac de voyage pour rentrer chez elle.
Les séances de fesses rouges n’étaient pas terminées, ni pour l’une ni pour l’autre.
Les fesses de Sylvie avaient rendez-vous avec Daisy pour les prochains après-midi et Caroline allait devoir s’expliquer avec sa maman, la discussion s’annonçait cuisante pour son derrière rebondi.
A suivre….
Encore une belle histoire de fessée. J'espère pouvoir en lire la suite très vite. Zoé.
RépondreSupprimerEnchantée Zoé, cela vous rappelle quand vous etiez adolescente peut-être ?
Supprimervous allez être satisfaite Zoé, les fesses de Sylvie et de Caroline n'ont pas fini de rougir.
SupprimerSylvie