lundi 17 juillet 2023

Caroline fesseuse de dame 6

Caroline et Sylvie change de vie

 




Caroline ruminait en montant dans sa voiture, certes la fessée au martinet qu’elle avait administrée à Sylvie l’avait un peu soulagée. Elle était également contente du passage au coin de son amie avec le manche du martinet bien enfoncé dans son large derrière, ça avait été un épisode très excitant. Mais maintenant il lui fallait affronter le retour à la maison et surtout Julie sa mère. Daisy c’était sûrement fait un plaisir de lui faire un compte rendu détaillé de son après midi.

Julie était assise dans son fauteuil quand Caroline arriva, un petit sourire ironique flottant sur ses lèvres.

- alors ma chérie, ton week-end s'est bien passé ?

Caroline senti le rouge lui monter aux joues, elle baissa les yeux et répondit timidement.

- oui, oui.

- Sylvie va bien ?

Caroline se sentait défaillir, elle n'était pas censée être allée chez Sylvie, le téléphone de Daisy avait fonctionné, Julie insistait toujours souriante.

- Daisy à l'air charmante, elle s'est bien occupée de vous, il faudra que je l'invite, elle est encore en France pour un moment.

Caroline sentait ses fesses se serrer sous sa jupe, elle pressentait la suite.

- dis moi ma chérie, j'aimerais bien voir ta jolie culotte.

On y était, Caroline savait qu'avec sa mère toute discussion était impossible mais elle ne put s'en empêcher.

- mais maman, pourquoi ?

- pourquoi ? J'espère que tu plaisantes ma chérie, je crois que tu le sais très bien. Dépêche toi !!

Caroline posa ses mains sur sa jupe et commença à la lever, mais c'était trop lent au goût de sa mère.

- viens ici et tourne toi !!

Caroline s'exécuta, dès qu'elle fut à sa portée, Julie retroussa la jupe et découvrir la jolie culotte jaune en dentelle, les fesses étaient contractées et la fine lingerie ne les recouvraient guère.



- qu'est ce que c'est que ça !! Depuis quand te permets tu de porter ces choses indécentes.

Elle passa sa main sur les fesses à demi découvertes.

- c'est bien, Daisy s'est déjà occupée de ton derrière on dirait. Mais crois moi ce n'est pas fini. Tiens ta jupe retroussée !.

Elle avait préparé des ciseaux sur la table, elle les saisit et sans attendre elle se mit à découper la culotte en dentelle sous la ceinture, bientôt le fond de la culotte se détacha de l’élastique de la ceinture, il restait coincé dans la raie fessière, Julie tira sur la fine dentelle pour mettre complètement à nu les fesses de sa fille.

- voilà ce que j'en fais de ta culotte, de toute façon, pour ce qu'elle cachait, tu n'en avais pas besoin.

Caroline avait les larmes aux yeux,  mais sa mère continuait.

- va me chercher ma brosse à cheveux sur ma commode,  et tu tiens ta jupe retroussée que je voies bien tes fesses.

Caroline s'éloigna,  sa culotte pendant sous ses fesses encore rouges des fessées de Daisy.  Quand elle revint tenant à la main l’instrument traditionnel des mamans anglo-saxonnes, la moue qu’elle faisait eu le don de mettre en joie Julie.

- et bien tu en fais une tête, tu le savais pourtant que je ne supporte pas que tu t’habilles de cette façon. Tu as joué et tu as perdu, maintenant tu dois assumer. Allez en position mademoiselle.

Julie s'était levée, elle avait posé son pied sur un tabouret et elle désignait sa cuisse horizontale. Caroline ne connaissait que trop bien cette position humiliante, couchée sur la cuisse de sa mère, les pieds décollés du sol, la tête pendant de l'autre côté et ses fesses bien tendues vers sa maman. C'était une position très inconfortable et infantilisante. Elle ne chercha pas à  résister quand Julie la saisit par la taille pour la poser en équilibre sur sa cuisse, elle se cramponna à la chaise et attendit la suite en sanglotant, elle savait que ça allait être cuisant. Déjà sa mère avait retroussé bien haut sur ses reins sa courte jupette, elle exposait parfaitement son joli derrière rebondi. Julie esquissa un sourire, elle passa sa main sur les fesses encore rosées des fessées de Daisy, la culotte pendait entre les cuisses de Caroline, la correction maternelle pouvait commencer.

Dès les premiers coups de brosse Caroline se cabra et se mit à crier, mais Julie était une adepte de cette position et elle tenait fermement sa fille par la taille, les pieds décollés du sol pouvait battre l'air à leur guise, les fesses s'ouvraient largement à chaque claquement de la brosse. 



Caroline se mit à pleurer très rapidement, les fessées qu'elle avait administrée à Sylvie était loin, elle était redevenue la jeune fille fessée cul nu par sa maman. La correction fut sévère mais relativement courte, avant de la reposer par terre, Julie termina le découpage de la culotte pour la retirer complètement. Quand Caroline les joues baignées de larmes fut debout, elle fit une petite boule avec la fine lingerie.

- ouvre la bouche !

Elle lui mit la culotte entre les lèvres.

- tu vas aller au coin avec cette culotte dans la bouche, je ne veux plus t'entendre jusqu'à l'heure du dîner. File !!

Une bonne claque au milieu du derrière écarlate accompagna ces paroles. Caroline s'exécuta en pleurant, cette petite humiliation supplémentaire s'ajoutant à la cuisson de ses fesses. Elle les aurait bien frottées mais l'ordre suivant claqua.

- et tu mets tes mains sur la tête !

Caroline resta une heure au coin puis sa mère la fit venir.

- tu montes dans ta chambre te mettre en pyjama.

Caroline était atterrée, se mettre en pyjama si tôt la ramenait vraiment à l'enfance quand sa mère était vraiment en colère. Elle s'exécuta sans discuter, puis sa mère l'appela.

- tu descends maintenant.

Elle mangea sans appétit, elle se doutait que sa mère n'allait pas en rester là, en plus de l'histoire de la culotte, il y avait le mensonge sur son week-end.

Effectivement une fois la table débarrassée, Julie lui annonça la suite du programme.

- je suis très mécontente ma chérie, à partir de maintenant on va changer les règles de cette maison, puisque tu te conduit comme une gamine je vais te traiter comme une gamine jusqu'à ce que tu aies à nouveau du plomb dans la cervelle. Tu me montreras tout les jours ta culotte avant de partir au travail, tu es privée de sortie pendant un mois et tu recevras une bonne fessée déculottée tout les soirs avant de te coucher. On commence immédiatement, file m'attendre dans ta chambre.

Caroline n'avait pas dit un mot, elle monta l'escalier, ses fesses étaient encore douloureuses, elles étaient contractées sous sa culotte de pyjama, il était 21 h et elle était envoyée au lit et avec une fessée déculottée en plus.

Elle entra dans sa chambre et resta debout devant son lit, elle entendit sa mère monter l'escalier.

Julie s'était assise sur le lit, elle fit un petit signe à sa fille, celle-ci avait compris, elle se coucha sur les genoux maternels. Sèchement la sévère maman déculotta sa fille, puis elle retira une de ses pantoufles à semelle de cuir. Elle la passa sur les fesses dénudées de Caroline.

- ma petite chérie Je vais te faire passer l'envie de mentir et de désobéir et je n'ai pas l'intention de me faire mal aux mains, tu vas voir comme ma pantoufle va bien s'occuper de ton petit derrière.

Sa mère appliqua à la lettre le programme, cette première fessée assise sur le lit de Caroline fut suivie de nombreuses autres toutes plus cuisantes les unes que les autres.



Tout les matins, Caroline devait se plier au même cérémonial humiliant, juste avant de quitter la maison, elle devait se tourner devant sa mère, retrousser sa jupe et présenter sa culotte à Julie. Vous pensez bien qu'elle se gardait bien de toute fantaisie et qu'elle ne portait dorénavant que de sage petite culotte blanche en coton, ornée quelques fois d'un petit ruban rose devant ou de petites fleurs sur le fond.



Elle rentrait directement du travail malgré les invitations de ses copines, elle savait qu'elle serait en pyjama au plus tard à 20h et au lit avec des fesses bien rouges et bien chaudes à 21h30 maximum.

 

 

Pour ma part, j'étais chez moi après le départ de Caroline, après avoir retiré le martinet de mon petit trou elle l'avait accroché à nouveau au crochet qui lui était destiné dans la cuisine. Elle m'avait prévenue.

- il doit rester là en permanence, ne t'avise pas de le ranger sinon ça ira très mal pour tes petites fesses.

La sonnette avait retenti, c'était Huguette. Elle avait dut guetter le départ de Caroline, j'étais bien obligée de lui ouvrir. Sitôt entrée, elle me fit la bise et son regard se dirigea vers la porte de la cuisine restée grande ouverte. Je tournai la tête et je m'aperçus à ma grande confusion que le martinet était parfaitement visible. Huguette eu un petit sourire.

- je ne savais pas que tu avais encore un martinet. C'est celui de ta mère ?

J'étais rouge jusqu'aux oreilles, la cuisson de la dernière fessée de Caroline avec ce même martinet refaisait surface et mon derrière était encore plus sensible.

- euh, oui… c'est décoratif n'est ce pas ?

Je savais que c'était ridicule mais c'était tout ce que j'avais trouvé à dire. Huguette se mit à rire.

- oui effectivement on peut le voir comme ça. Caroline l'a utilisé?

La question avait été posée naturellement, comme une évidence. Je me suis souvenu alors qu'elle avait assisté depuis chez elle à une de mes fessées déculottées. Je baissai les yeux et ne répondit pas.

- ce silence est un aveu ma chérie, alors comme ça monsieur martinet a claqué les fesses de ma pauvre Sylvie ? J'aimerais bien voir le résultat.

Je protestai faiblement mais je savais la suite inéluctable, j'allais devoir à nouveau montrer mes fesses.

- mais enfin Huguette…. non quand même

- comment non ? qu’est ce que c’est que ces manières. Tu as oublié que je les ai vues pas plus tard qu’hier tes fesses. Tu te dépêches avant que je ne me fâches.

Le ton d’Huguette était devenu plus cassant, depuis hier j’étais habituée à recevoir ce genre d’ordre et en général ça ne présageait rien de bon pour mon derrière. Je commençais à m’inquiéter, je saisis l’ourlet de ma jupe courte.

- tourne toi !

L’ordre avait claqué et j’obéis immédiatement. Huguette s’approcha pour regarder l’arrière de mes cuisses qui portait encore les traces du martinet.

- mazette, Mlle Caroline s’y entend pour corriger les vilaines, elle a corrigé aussi tes cuisses pour que tout le monde saches que tu as été punie.

C’était vrai, je me souvenais que quand j’étais petite c’était un classique, les mamans cinglaient également les cuisses et les mollets avec le martinet et ainsi on ne pouvait pas cacher que l’on avait reçu la fessée. Si les cuisses et les mollets étaient rouges, c’est que les fesses devaient l’être également. C’était mon cas aujourd’hui, ma jupe était bien retroussée et ma culotte bien visible.

- c’est bien, maintenant tu baisses ta culotte.

J’étais vraiment très gênée, je fis une dernière tentative.

- s’il te plaît Huguette.

- décidément, tu cherches la fessée, celle de Caroline ne t’a pas suffit.

- non, non pardon

 Je commençais à être inquiète. Je glissai mes doigts sous l’élastique de ma culotte et la fit glisser sur mes fesses. A 70 ans, je me déculottais à la demande de ma voisine pour lui présenter mes fesses.


 


 Huguette s’approcha en souriant, c’est vrai que Sylvie avait encore de jolies fesses, elle en était presque jalouse. Elles étaient encore bien marquées par la fessée au martinet, elles étaient encore rouges et des traces de lanières s’entrelaçaient sur les cuisses.

- ça a été un peu laborieux, approche un peu.

Huguette s’était assise sur le canapé, Sylvie n’osait même plus protester elle obéi

Huguette n’avait jamais pensé qu’un jour elle aurait l’occasion d’avoir sa voisine couchée sur ses genoux les fesses à l’air, pourtant c’était ce qui arrivait, Sylvie avait docilement retroussé sa jupe, baissé sa culotte et s’était couchée en travers de ses cuisses. Huguette avait juste un an de plus que Sylvie, leurs conditions de femme seule les avaient rapprochées mais elles n'étaient pas assez intime pour que Sylvie lui raconte ses fantasmes de domination et elle même n'aurait jamais imaginé une chose pareille possible. Mais déjà hier quand elle avait vu cette jeune femme administrer à Sylvie cette punition infantile, elle avait ressenti une certaine émotion. Dans sa jeunesse elle avait bien joué de temps en temps à panpan cucul comme on disait à son époque, mais ça n'avait jamais été plus loin que quelques claques sur la jupe où le maillot de bain lors de vacances à la mer avec des copines. Plus tard elle avait bien lu quelques articles sur la fessée érotique qui lui avait fait se poser quelques questions.

Maintenant elle avait la belle paire de fesses de Sylvie devant les yeux, elle tapota doucement le derrière encore bien rebondi.

- tu pourrais m'expliquer pourquoi Caroline t'a donné la fessée déculottée ?

 

 

J'étais coincée, comment expliquer à mon amie mes fantasmes sans passer pour anormale et puis comment pourrait elle comprendre que cette jeune femme puisse me déculotter et me claquer les fesses comme si j'étais une gamine. Je ne répondis pas et une claque atterrit sur mon derrière bien exposé.

Encore une fois je sentais que la fessée déculottée n'était pas loin, je poussai un petit cri.

- aïe, aïe non, non Huguette, c'est ridicule.

- ah oui et pourquoi donc ? Ce matin Caroline t'a  bien flanqué une fessée cul nu il me semble,  c'était sur la terrasse et ta chemise de nuit ne cachait plus grand chose.

C'est vrai, je m'en rappelais très bien et surtout de la remarque de Caroline "ta voisine à assisté à ta fessée, elle a apprécié de te voir gigoter pendant ta fessée ma chérie, elle a de la chance tes fesses sont magnifiques"

De toutes façons j'étais en mauvaise posture, Huguette savait que je recevais encore la fessée déculottée malgré mon âge et j'étais à sa disposition pour en recevoir encore une.

Je décidai de lui dire la vérité, mes fantasmes et surtout mon besoin d'autorité. Bien sûr je passai sur les détails intimes, les caresses que m'avait prodiguée ma jeune amie ou ma sodomisation avec le manche du martinet.

Huguette m'avait laissé couchée sur ses genoux les fesses nues bien exposées, pendant que je parlais elle caressait distraitement ma croupe. Quand j'eu fini elle ajouta une phrase qui me fit serrer les fesses.

- bien j'espère que tu m'as tout dit, que tu n'as rien oublié, j'ai le téléphone de Caroline, je vérifierai.

 

 

Huguette bluffait bien sûr mais Sylvie ne pouvait pas le savoir aussi après un moment d'hésitation elle lui raconta même les détails qu'elle aurait voulu cacher.

Huguette souriait en entendant Sylvie se confier, son caractère dominateur et autoritaire était ravi de constater que sa voisine était une soumise. Son joli derrière encore bien rebondi malgré son âge était vraiment tentant mais elle résista, elle savait maintenant qu'elle l'aurait à sa disposition autant qu'elle voudrait. Elle se contenta de lui administrer quelques claques et lui dit.

- c'est très bien ma petite Sylvie tu peux te relever nous allons discuter.

 

 

J'étais ravie de quitter cette position humiliante, dès que je fus debout, je commençai à remonter ma culotte quand Huguette m'arrêta.

- non, non pour le moment tu restes cul nu, nous ne sommes pas encore quitte ma petite.

Ma culotte était descendue à mi cuisses je la laissai là, Huguette rajouta.

- quand tu t'assiéras, tu relèveras ta jupe,  je veux que tu sentes bien tes fesses.

J'étais rouge de confusion mais ce n'était que le début.

- tu vas aller me chercher le thermomètre et le martinet.

Je n'étais plus en position de protester, quelques secondes plus tard je lui tendis les deux instruments de ma punition. Elle les prit en souriant et désigna le fauteuil.

- pose tes fesses ma chérie.

Je fis comme elle me l'avait demandé et mes fesses nues reposaient directement sur le cuir froid du siège.

- alors comme ça ma petite Sylvie, si j'ai bien compris tu as besoin de l'autorité d'une maman, l'éducation sévère de ta mère te manque.

Je baissais les yeux, Huguette m'avait percé à jour, elle continuait.

- Caroline s'est montrée sévère mais je crois que ce dont tu as besoin c'est d'être guidée sur le long terme par une main maternelle ferme mais juste. Je crois que je vais te rendre ce service. À partir de maintenant tu ne m'appelleras plus Huguette mais maman et je te garantis que je vais reprendre ton éducation en main. Si tu es sage tu auras des câlins si tu te conduis mal ce sera la fessée déculottée systématique.

J'étais atterrée mais en même temps rassurée, c'est peut-être ce que je cherchais depuis longtemps. Que de fois Huguette m'avait fait des remarques sur ma façon de me comporter et  souvent je m'imaginais qu'elle me grondait comme une gamine, cette fois c'était la réalité.

Ma nouvelle maman avait pris le thermomètre.

- Caroline à eu une très bonne idée de te prendre la température, c'est parfait pour te ramener à un peu d'humilité, à partir de maintenant je vais te la prendre matin et soir. Par contre pour le manche du martinet dans ton petit trou, je ne l'utiliserai pas, le martinet c'est fait pour cingler ton petit derrière quand tu feras des bêtises, c’est bien suffisant.

Cette dernière phrase me rassura un peu, c'est vrai qu'une fessée avec le martinet ça brûle beaucoup mais c'était moins terrible que la punition que m'avait imposée Caroline. Huguette continuait à m'énoncer son programme.

- tu vas venir habiter chez moi pendant au moins le premier mois, tu ne reviendras ici que quand je jugerai que ton comportement aura suffisamment changé pour que je puisse un peu relâcher ma surveillance.

J'essayai de protester.

- mais enfin Huguette

- pardon ! Qu'est ce que j'ai dit ? Comment m'as tu appelée ?

- oh oui...excuse moi....maman.

Ce mot dans ma bouche me faisait vraiment un drôle d'effet mais je me rendis vite compte qu'il était adapté à ma nouvelle condition. Huguette m'avait prit la main et m'avait fait lever puis sans effort m'avait couchée à nouveau en travers de ses genoux.

- je crois qu'il est temps de commencer ton éducation ma belle. Quand je te dis quelque chose je veux que tu m'obéisses immédiatement.

Ma jupe était déjà retroussée bien haut sur mes reins, ma culotte toujours baissée, mes fesses étaient à sa disposition.



 

 

Huguette n'avait pas put résister à la tentation, elle n'avait jamais donné la fessée réellement en tant que punition. Par contre elle en avait reçu un nombre incalculable dans sa jeunesse, élevée par une mère très sévère. Ses souvenirs étaient donc ceux d'une fessée et pas d'une fesseuse mais elle se rappelait ou plutôt ses fesses se souvenaient, comment sa mère s'y prenait. 



Rapidement sous l'effet de la fessée, Sylvie se comporta comme toutes les punies, elle se mit à gémir puis à supplier, ses fesses se serraient puis s'ouvraient, les pieds battaient l'air. Huguette découvrait les joies de corriger un beau derrière de femme mûre large et accueillant. Décidément ce nouveau rôle de maman lui plaisait bien et Sylvie n'avait pas fini de se faire baisser la culotte et d'avoir les fesses bien rouges.

C'était maintenant une Sylvie en pleurs qui gisait en travers de ses genoux, son derrière était à nouveau écarlate comme souvent depuis deux jours.

- bien j'espère que tu as compris,  tu vas rester là. Maman va te prendre la température, sois sage.

Elle écarta avec deux doigts les fesses brûlantes. C'était nouveau pour elle également, elle n'avait pas eu d'enfants, son seul souvenir c'était quand sa mère lui prenait la température dans les fesses comme elle disait. À l'époque ce n'était pas une punition mais elle détestait cela, elle se doutait donc que pour Sylvie l'expérience allait être extrêmement désagréable. Aujourd'hui c'était bien à visée punitive que le thermomètre pénétrait l'intimité de sa nouvelle grande fille.

Elle n'avait pas osé le rentrer trop profondément et il ressortait systématiquement, elle se remit donc à fesser Sylvie.

- à  c'est comme ça et bien je vais t'apprendre moi.

Sylvie se remit à pleurer et supplia.

- non, non maman arrête s'il te plaît, je ne fais pas exprès, aïe aïe aïe non maman pardon.

Huguette cessa la fessée.

- moi je pense que tu le fais exprès et je t'assure que tu vas le garder même si je dois m'user les mains.

Sylvie au milieu de ses pleurs essaya de lui expliquer.

- aïe, aïe non maman, c'est parce que tu ne l'enfonce pas assez qu'il ressort, Caroline me le mets très profondément et il ne bouge plus.



Huguette se mit à sourire, c'est vrai qu'elle manquait un peu d'expérience, Sylvie avait reçu une fessée supplémentaire pas complètement méritée. Elle écarta à nouveau largement les deux fesses et fit pénétrer lentement et très profondément le thermomètre, elle relâcha les fesses qui se serrèrent et le thermomètre dépassant à peine de la raie  resta bien en place.

C'était un spectacle ravissant et excitant, Huguette tapota les fesses rouges de sa grande fille.

- c'est bien ma chérie, maman est contente, tu vas le garder 10 minutes. Ce soir avant d'aller au lit maman te reprendra la température et tu le garderas plus longtemps. Je vais t'apprendre l'obéissance ma petite.

 

 J'étais définitivement devenue la grande fille d'Huguette, le soir même j’emménageais chez elle et j'inaugurais également ce qui allait devenir mon quotidien à savoir la fessée déculottée du coucher suivi de la mise en place du thermomètre que je devais garder plus ou moins longtemps selon son humeur mais jamais moins que 20 minutes.



 

A suivre….








5 commentaires:

  1. Magnifique histoire, j'aimerais tant être a la place de Sylvie 🍑🔥🍑

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    1. N'oubliez pas cher(ère) anonyme qu'une fessée ça fait réellement très mal aux fesses. Sylvie regrette souvent d'être encore traitée comme une gamine à son âge.
      Sylvie

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    2. Bien-sûr que la fessées fait mal, mais je parle d'une fessée qui irait en douceur au début puis qui monterait en intensité. Dans un premier temps sur la jupe pour finir cul nu !! 🍑🔥🍑

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  2. Encore une belle histoire. Sylvie a bien de la chance. Zoé.

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    1. Merci Zoé. Mais je ne sais pas si on peut appeler ça de la chance. Les fesses de Sylvie vont être très souvent rouges et elle va avoir souvent du mal à s'asseoir.
      Sylvie

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