Un récit sur une expérience de fessée punitive bien méritée qui m'est réellement arrivé la semaine dernière. Mes fesses s'en souviennent encore. Mes deux petites chéries ont pris des photos de mes fesses pendant et après ma punition. Mel m'a demandé de les publier en illustration de mon cuisant récit. A vous de rechercher les vraies fesses de Sylvie.
Sylvie ne tweetera plus en conduisant
Les vacances ne sont pas toujours favorables à mes fesses….
Nathalie une jeune hollandaise que j'hébergeais chez moi m'en a fait la démonstration cuisante.
Dimanche après midi elle m'a trouvé affalée sur mon canapé avec ma mine des mauvais jours, je ne m'étais même pas habillée.
Nathalie me fit un petit signe de la main, ce signe que je connais si bien et qu'utilise si souvent Mel pour m'annoncer que ça va chauffer pour mon derrière. Elle souriait ce qui me rassura un peu.
- dites moi Sylvie, vous croyez que c'est bien de rester ainsi sans s'habiller et à faire la tête ?
Elle avait dit ça avec son charmant accent hollandais qui me faisait sourire, elle ajouta en fronçant les sourcils.
- j'espère au moins que vous avez changé votre culotte.
Je me mis à rougir, non je ne l'avais pas fait, j'étais un peu surprise de sa question, je bégayai.
- euh, non, mais vous savez Nathalie je n'ai pas le moral.
Son sourire avait disparu.
- mais ça n'a rien à voir, c'est très sale ça ma petite Sylvie.
Son ton avait changé, je me souvenais soudain de notre conversation de la veille où nous avions abordé la question de la fessée et de la discipline domestique, elle m'avait avoué le plus naturellement du monde qu'en hollande, elle avait une "Mom" qui s'occupait de son éducation et qui n'hésitait pas à lui baisser la culotte et à lui administrer de bonnes fessées déculottées quand c'était nécessaire. Encouragée par ses confidences intimes je lui avais confié que moi aussi j'étais soumise aux même traitement par ma "maman Mel"? Elle avait été surprise.
- comment, Sylvie à votre âge vous recevez encore la fessée déculottée.
- oh vous savez Nathalie, il n'y a pas d'âge pour se faire baisser la culotte et rougir les fesses. D'ailleurs Mel ne cesse de me dire qu'avec une paire de fesses comme la mienne se serait dommage de s'en priver.
Elle me regardait donc avec un petit sourire ce dimanche soir et moi j'étais dans mes petits souliers.
- quand on ne change pas sa culotte normalement on en est privée ma chère Sylvie.
Je rougissais de plus en plus, comme une gamine prise en faute.
- non, non, écoutez Nathalie, j'ai un problème, c'est pour ça que je n'ai pas le moral.
- très bien, je vous écoute.
J'étais de plus en plus gênée, mais il fallait bien que je justifie mon comportement. Je me lançai.
- et bien voilà, je me suis fait prendre par les gendarmes en train de tweeter en conduisant, c'est 135 € d'amende et 3 points de retrait de permis.
Nathalie est devenue rouge de colère, je ne reconnaissais plus la jeune étudiante toute douce.
- mais c'est inadmissible, c'est très dangereux !!! Ce n'est pas suffisant l'amende et les points, vous méritez vraiment une punition.
Je baissais la tête piteusement, je savais qu'elle avait raison mais je n'imaginais pas la suite, elle s'était levée furieuse.
- lèves toi et déshabille toi !
L'ordre avait claqué. Comme une automate je quittai mon fauteuil. Elle avait utilisé le tutoiement, j'étais complètement déstabilisée. Je la regardai, incrédule.
- co...comment ça me déshabiller, entièrement ?
- oui ! toute nue ! vite.
J'étais paniquée mais le ton était sans réplique. J'ôtai mon tee-shirt et mon leggings, j'étais en culotte devant cette jolie jeune femme, elle désigna mon sous-vêtement.
- j'ai dit toute nue ! la culotte, vite !
Je n'osais pas protester et je glissai mes doigts dans la ceinture de ma culotte pour la faire glisser sur mes fesses.
Nathalie s'était assise sur le canapé, j'étais maintenant devant elle en tenue d'Eve. Elle me regarda en souriant et tapota ses cuisses.
- en position ma petite Sylvie, je vais te montrer comment chez moi ma Mom règlerais ce problème.
J'étais couchée en travers de ses cuisses, les fesses bien exposées, prête à 70 ans à recevoir un châtiment habituellement réservé aux adolescentes indisciplinées. Elle palpa mes fesses.
- Ta maman Mel à raison tu as une bonne paire de fesses, tu peux recevoir la sévère correction que tu mérites. Je pense que ce soir et demain tu vas avoir du mal à t'asseoir ma chérie.
Elle m'annonça la fessée qui m'attendait.
- on va commencer par 250 claques sur chaque fesses.
J'ai vite fait le compte, mon derrière allait déguster, 500 claques pour commencer. Et quelle claque, cette jeune hollandaise avait une sacrée poigne, bien sûr je n'ai pas compté, tout à la brûlure qui embrasait mes fesses, je me mis à crier très rapidement et à battre des pieds au rythme de la fessée, c'était une fessée au moins équivalente aux plus sévères de Mel. Quand enfin elle arrêta, elle m'annonça tranquillement.
- voilà pour l'échauffement, tes fesses sont bien rouges ma chérie.
Un échauffement, elle appelait ça un échauffement…, c'était une véritable correction qu'elle venait de m'administrer une vraie bonne fessée déculottée.
Elle caressait mes fesses bien chaudes.
- tu vas voir comment la règle plate est très efficace pour punir les vilaines dames qui tweet en voiture.
Elle avait prit ma règle plate en bois, elle la passa sur mon derrière endolori et elle m'annonça tranquillement
- 250 sur chacune de tes belles fesses.
Je suffoquais, mon derrière était déjà en feu et j'allais recevoir en plus 500 coups de règles.
- oh non miss Nathalie, s'il vous plaît.
Elle me répondit sèchement,
- je ne vais pas me retenir crois moi, ton derrière peut en recevoir encore. Ensuite nous allons parler de ton téléphone au volant.
La règle se mit à claquer mes fesses, c'était une nouvelle sensation, Mel n'avait pas utilisé la règle plate depuis longtemps. Chaque coup me brûlait un peu plus les fesses, je ne pouvais retenir mes cris, je gigotais sur ses genoux comme une gamine sur les genoux de sa maman, mais elle me tenait solidement par la taille et je ne pouvais échapper à la correction. Elle s'appliquait, la règle alternait la fesse droite puis la gauche.
Elle devait compter car au bout dun temps qui me paru interminable, elle m'annonça.
- voilà 250 sur chacune de tes jolies fesses.
Je pleurais maintenant, une boule de feu à la place de mes fesses. Elle posa sa main sur mon fessier brûlant.
- et maintenant pour finir 500 sur chaque fesses avec la brosse. Plus jamais, tu m'entends, plus jamais tu ne tweeteras en conduisant !!
Je criai en entendant la sentence.
- oh non, non miss, c'est trop non pas 500 sur chaque fesses avec la brosse, c'est trop...non
- tais toi ! Cesse de pleurnicher. Tu l'as mérité cette fessée déculottée et tu vas l'avoir.
Mel utilise souvent la brosse à cheveux pour me corriger et ces fessées sont la plus par du temps très sévères, mais celle-ci allait rentrer dans les annales. Imperturbablement la jeune hollandaise sans se soucier de mes cris et de mes pleurs m'administra la fessée annoncée. Elle fut interminable, j'étais épuisée, je ne battais même plus des jambes à la fin de la correction. Nathalie posa la brosse et me carressa les fesses.
- voilà c'est fini, tu es une gentille fille.
Je pleurais continuellement, mais je savourais sa main sur mes fesses. Elle me fit relever.
- maintenant 30' au coin.
Elle me conduisit devant le mur qui était face à la fenêtre. Je me rendis compte que si quelqu'un passait, il avait une vue parfaite sur mon fessier écarlate.
- oh non, miss Nathalie, si quelqu'un passe.
Pour toute réponse, je reçu une claque au milieu de les fesses.
- mets tes mains sur la tête et ne bouge pas.
Elle alla se rasseoir.
- j'espère bien que tu as honte d'exposer ton derrière bien rouge. Si quelqu'un te voit, il verra comment on traite les vilaines qui regarde leur téléphone en conduisant.
Je ne pus me rhabiller qu'à l'issue de ma pénitence. J'ai dormi sur le ventre sans culotte. Le lendemain matin mes fesses étaient encore rosées et sensibles. Nathalie demanda à les voir avant de partir.
Docilement je troussai ma jupe et baissai ma culotte sous mes fesses. Elle me fit pivoter et passa sa main sur mes fesses.
- c'est bien, tu as vraiment un très joli derrière, tes fesses prennent très bien la fessée. Mel va pouvoir s'en occuper à son retour.
Je sursautai à ses mots, j'avais oublié ma sévère maman. Nous étions lundi, elle arrivait demain.
Mel était joyeuse en arrivant, elle me fit la bise et palpa sans vergogne mes fesses par dessus ma jupe.
- alors ma chérie, tu as été sage pendant mes vacances, comment vont tes jolies fesses, elles se sont bien reposées ?
Je rougis légèrement, la fessée de Nathalie me revenait à l'esprit. Est-ce que je devais lui en parler, son regard semblait me pénétrer. Nathalie l'avait peut-être contactée, de toute façon elle allait l'apprendre un jour ou l'autre, autant crever l'abcès dès aujourd'hui, J'avais choisi de ne pas parler de ma culotte pas changée, je savais que Mel était à cheval sur la propreté et je n'avais pas envie de goûter à nouveau au lavage des fesses à l'eau froide qui était sa spécialité. Je savais aussi que le fait d'avoir tweeter en conduisant risquait de la mettre en colère mais après tout j'avais déjà été punie pour ça.
Je me lançai en lui annonçant que dimanche j'avais reçu une bonne fessée déculottée par Nathalie. Elle fronça les sourcils.
- et on peut savoir pourquoi jeune fille ?
Quand elle utilisait ce mot, je me sentais fondre, je redevenais une gamine grondée par sa maman. J'hésitai quelques secondes mais son regard interrogateur et sa main qui tapotait sa cuisse m'incitèrent à dire la vérité.
Ses yeux devinrent de plus en plus perçants et noirs au fur et à mesure de mes explications.
- combien as tu reçu de claques ?
Je me doutais que cela n'augurait rien de bon pour mes fesses. Je décidai sans trop réfléchir de minimiser un peu la punition. La suite allait me donner raison.
- euh, 200 claques sur chaque fesses avec la main…. 250 avec la règle plate en bois et 300 avec la brosse.
Elle me regarda en souriant.
- sur chaque fesses ??
- oui….
- et bien nous allons réitérer cette punition puisque tu as besoin d'une piqûre de rappel.
J'étais désespérée, bien sûr mes fesses étaient redevenues blanches mais le souvenir de la cuisson de la dernière fessée était encore bien présent.
Mel était assise, sur le canapé, elle semblait ravie d'avoir une bonne occasion de me baisser la culotte pour m'administrer une bonne fessée déculottée. Elle tapotait ses cuisses pour me faire comprendre que c'était le moment d'expier ma faute.
- en position jeune fille.
Encore cette maudite expression, je savais qu'elle avait raison, je m'étais comportée comme une gamine et j'allais être punie comme telle.
Elle m'a pris la main et m'a fait me coucher en travers de ses genoux, rapidement j'ai senti l'air sur mes cuisses, ma jupe devait être retroussée.
- oh quelle jolie petite culotte, tu sais que j'aime quand tu portes ces culottes blanches de petite fille.
Elle avait glissé ses doigts sous l'élastique de ma culotte, je serrais déjà mes fesses dans l'attente du déculottage mais il n'arrivait pas.
- on va commencer par 100 claques sur la culotte.
Je savais que ce serait sur chaque fesse, c'était une évidence pour Mel. La fessée commença et je sus immédiatement que ça allait chauffer pour mon derrière. Elle ne retenait pas ses claques et malgré la fine protection je sentais déjà la brûlure. Cette première série fut rapide et sans me laisser le temps de réaliser, elle baissa ma culotte jusqu'à mes genoux.
- voilà ma petite chérie, cul nu comme une vilaine fille. Maintenant on va passer aux choses sérieuses, la fessée déculottée !
Même si j'en ai l'habitude c'est toujours un moment humiliant que de se retrouver les fesses nues bien exposées dans l'attente de sa punition. Heureusement ça ne dura pas.
- bien passons à la suite, 100 claques â la main sur ton joli derrière.
Pour cette deuxième fessée, je ne put retenir longtemps mes gémissements, Mel me tenait solidement par la taille et elle devait avoir une vue parfaite sur mon intimité, j'essayais bien de ne pas trop me tortiller mais la main de ma jeune maman claque vraiment très fort.
- tes fesses commencent à prendre une jolie couleur ma chérie. Tu commences à regretter ton comportement j'espère.
Mon fessier me brûlait déjà pas mal, je préférais ne pas répondre, je sentis le dos de la brosse à cheveux sur mes fesses.
- maintenant 100 claques avec la brosse à cheveux, tu vas voir ton derrière va bien chauffer ma grande.
La brûlure de la fessée cul nu avec la brosse n'a rien à voir avec celle de la fessée à la main. Je me mis à gigoter comme une folle et à battre des pieds mais la brosse à cheveux s'abattait avec un rythme de métronome sur ma croupe et je finis par lâcher quelques larmes. Mel posa l'instrument de ma punition sur la table basse, du coin de l'oeil je la vis saisir quelque chose sur la table.
- on va faire une petite pause thermomètre ma chérie.
Je déteste cette punition et Mel le sais. Je sentis ces doigts écarter mes fesses brûlantes.
- allez desserre moi ces fesses, de toute façon tu vas l'avoir ce thermomètre que tu le veuilles ou non.
Le thermomètre rentrait inexorablement, j'essayais de ne pas contracter mes fesses je savais que Mel ne se gênerait pas pour me fesser à nouveau. Une fois qu'il fut bien place, elle me fit relever.
- tu files au coin 5', mains sur la tête et tu sers les fesses je ne veux pas que que thermomètre ressorte.
Quelle humiliation, je tournai un peu la tête, j'étais à nouveau fesses à l'air devant la fenêtre mais avec en plus un thermomètre dans les fesses. Ces 5' de coin me parurent interminable.
- c'est bon, viens ici.
Je me retrouvai à nouveau couchée sur ses genoux, elle retira le thermomètre.
- bien, passons à la suite jeune fille, tes fesses se sont assez reposées.
Elle avait pris la règle plate, je savais que ça claquait très sec sur les fesses cet instrument.
- on va commencer par 150 coups de règle sur tes jolies fesses rouges.
Je n'osais plus rien dire, je me concentrai pour supporter la douleur. Et je peux vous dire que ce fut terrible, maintenant mon derrière n'était plus qu'une boule de feu, je ne comptais bien sûr pas les coups de règle mais j'étais sur que Mel le faisait. Elle s'arrêta, je ne pensais pas pouvoir en supporter plus mais ce n'était pas l'avis de ma jeune maman.
- on va laisser reposer tes fesses rondes, tu vas voir ma chérie.
Je poussai un cri, elle venait de claquer la base de mes fesses, c'était insupportable, la règle claquait le haut de mes cuisses et le bas de mes fesses et également le pli fessier. Je pleurais sans retenue maintenant, Mel s'appliquait, elle m'annonça fièrement
- et voilà 100 de plus. Tu vas recommencer à tweeter en conduisant ma chérie ?
Elle avait posé la règle et repris le thermomètre.
- on va faire une nouvelle pause thermomètre.
Je sentis l'instrument médical transformé en instrument punitif, pénétrer à nouveau très profondément entre mes fesses que Mel tenait largement écartées. Elle devait avoir une vue parfaite sur ma raie fessière, mon petit trou et plus bas sur ma vulve. Mais cette humiliante position n'était rien à côté de mes fesses brûlantes. Elle me tapota les fesses.
- allez vilaine fille, au coin mains sur la tête et devant la fenêtre que tout le monde puisse te voir avec les fesses bien rouges et le thermomètre.
Je n'y avais pas pensé mais c'était vrai que quelqu'un pouvait passer et il aurait alors une vue parfaite sur mes fesses écarlates, elle m'annonça.
- 5' au coin et ne bouge pas !!
C'est curieux mais j'ai l'habitude de rester beaucoup plus longtemps au coin à exposer mon derrière après une bonne fessée déculottée, mais ces 5' furent les plus longues de ma vie. Je fus tellement soulagée quand elle m'appela que j'étais presque contente de me coucher à nouveau en travers de ses genoux. Pourtant elle m'avait annoncé.
- bon j'espère que tu commences à comprendre, on va finir avec la brosse à cheveux.
Elle me retira le thermomètre et passa sa main sur mes fesses.
- je pense que tu as vraiment besoin d'une bonne fessée ma chérie. 100 avec la brosse.
Je commençais à m'habituer et même si mes fesses me cuisaient énormément, je fus surprise d'entendre ce chiffre, je m'attendais à plus. Mais je déchantai rapidement, elle avait décidé de ne pas alterner les claques sur la fesse droite puis la gauche, elle commença à claquer la fesse droite et ne s'arrêta que quand elle eut administré les 100 coups. C'était horrible, je criais, je pleurais mais rien n'y faisait, puis ce fut le tour de la fesse gauche.
Quand cette fessée fut terminée, elle me laissa sangloter sur ses genoux et elle m'annonça.
- pour terminer, le bouquet final, 100 claques sur chaque fesses avec la brosse à cheveux mais je te préviens que je vais te soigner, je veux que tu n'oublies jamais cette correction.
Elle se mit à me claquer les fesses encore plus fort qu'avant, je ne croyais pas que c'était possible, je pleurais comme une gamine, ma sévère maman n'en tenait pas compte, elle avait décidé de me donner une leçon et ce fut le cas.
Quand elle eut fini de m'administrer les 100 claques sur chacune de mes pauvres fesses, je pensais que je ne pourrais plus jamais m'asseoir mais finalement comme elle me le dit souvent j'ai vraiment une bonne paire de fesses. Elle me releva et me prit sur ses genoux, c'était très inconfortable mais j'étais tellement contente que ma punition fut finie que c'était presque un plaisir.
- voilà jeune fille, c'est fini. Je pense que tu vas dormir sur le ventre ce soir. La prochaine fois je te fesserai sur ta terrasse et tout le monde pourra te voir, je vais bien finir par te faire passer cette mauvaise habitude.
J'ai vraiment dormi sur le ventre et le lendemain matin mes fesses étaient encore rosées et sensibles mais sans bleu disgracieux.
Je crois que j'ai compris la leçon.
Bravo à Nathalie une nouvelle fesseuse pour corriger les " jeunes filles" indisciplinés et à Mel
RépondreSupprimerVoilà une leçon bien méritée en attendant de nouvelles fesses et thermometre
Sylvie
RépondreSupprimerLe tarif pour une recidive culotte sale lavage des fesses à l'eau froide fesseed sur fesses mouilleee au coin devant la fenêtre le fond de la culotte sur le visage et lavage à la main du sous vêtement nue