mardi 25 juillet 2023

Caroline fesseuse de dame 7

Une nouvelle maman pour Sylvie



Le lendemain je me suis réveillée dans ma nouvelle chambre, c'était la chambre d'amis d'Huguette. J'ai réfléchi à la situation, c'était incongru alors que ma maison était juste à côté, je décidai d'en parler à mon amie, puis je me rendis compte que ce n'était plus mon amie mais ma nouvelle maman. Après tout je l'avais bien cherché depuis le temps que je rêvais de trouver quelqu'un pour me guider. Je me levai et en passant devant la glace, je baissai ma culotte pour vérifier l'état de mes fesses. Elles étaient redevenues blanches, c'est vrai que Huguette n'avait utilisé que sa main, les traces disparaissent plus vite. Je finissais de remonter ma culotte quand ma nouvelle maman entra dans la chambre.

- à c'est bien tu es levée, je n'aime pas les paresseuses, il faut que tu le saches.

Elle me prit par la main et comme si j'étais une gamine elle m'accompagna dans l'escalier. Arrivé en bas elle m'indiqua les toilettes.

- va faire pipi, je t'attends sur la terrasse, le déjeuner est prêt.

Dès que je fus de retour avant que je m’assois elle me fit pivoter et baissa la culotte de mon pyjama sous mes fesses, elle palpa mon derrière.



- tes jolies fesses sont en parfait état, j'espère que tu vas être sage aujourd'hui de toute façon tu sais que je n'hésiterai pas à te déculotter si c'est nécessaire.

Elle avait accompagné ces mots de quelques petites claques sur mes fesses nues. J'étais très gênée d'être ainsi fesses à l'air sur sa terrasse mais je n'osais rien dire. Enfin elle se décida à remonter ma culotte, juste au moment où mes fesses étaient enfin cachée, j’aperçus Pauline qui ouvrait sa fenêtre et qui nous faisait un petit signe. Huguette eut un petit sourire.

- tu l’as échappé belle, un peu plus et Pauline aurait put admirer ton derrière.

Je me mis à rougir.

- oh non maman, s’il te plait.

- il ne tient qu’à toi ma grande, si tu te te comportes bien je n’aurai pas besoin de te déculotter devant elle, mais si il le faut je te garantis que je n’hésiterai pas à te flanquer la bonne fessée déculottée que tu mérites même si elle est là.

J'étais prévenue, je devais me tenir à carreaux mais devant le niveau d'exigence d'Huguette je me doutais bien que Pauline ne tarderait pas à admirer mon derrière bien rouge.  Cette perspective me fit frissonner mais en même temps je sentis un petite excitation monter entre mes cuisses.

Mon téléphone vibra c'était Caroline qui me faisait part de la solide correction qu'elle avait reçue par sa mère en rentrant chez elle et qui me rappelait de ne pas oublier mon rendez-vous avec Daisy.

Bien sûr ma nouvelle maman exigea de voir ce message.

- qui t'envoie des messages ? Tu sais qu'il va falloir perdre cette habitude du téléphone à table, je déteste ça !

Je rougis comme une gamine prise en faute.

- pardon maman.

Je reposai rapidement le téléphone. Mais Huguette n'avait pas l'intention d'en rester là.

- montre moi ce message !

Je protestai faiblement.

- mais maman, ce n'est rien je t'assure.

La réponse claqua sèchement.

- viens ici et tourne toi !

J'étais affolée, nous étions toujours sur la terrasse,  mais le ton d'Huguette ne prêtait pas à discussion. Dès que je fus prêt d'elle, elle baissa rapidement mon pyjama sous mes fesses et claqua une dizaine de fois mon derrière dénudé.

- va te mettre au coin contre le mur et mets tes mains sur la tête, vite !!

J'étais à nouveau dans la position d'une jeune fille punie, la journée commençait mal. Huguette avait pris mon téléphone et elle lisait le message de Caroline.

Soudain j'entendis la voix de Pauline.

- et bien, voilà un belle paire de fesses, qu'à donc fait cette vilaine?

Elle avait dit ça en riant, je savais qu'elle était adepte des méthodes d'éducation traditionnelles et que les fesses de ses deux filles prenaient souvent l'air et de bien belles couleurs. Pour elle, il était évident que se retrouver fesses à l'air au coin était le prélude à une cuisante punition. A mon grand désespoir,  j'entendis Huguette répondre.

- notre Sylvie est désobéissante, je reprends en main son éducation.

- ah mais c'est Sylvie, je n'avais pas reconnu ses fesses...hihi.

Le rire de Pauline ajouta à ma confusion. Pour elle, il semblait normal qu'une dame de mon âge soit mise au coin fesses à l'air dans l'attente de sa fessée.

- vous avez raison Huguette, il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée déculottée. Bonne journée.

Elle n'avait apparemment pas le temps de continuer la conversation mais le mal était fait, elle était au courant de ma nouvelle situation.

Huguette avait fini de lire le message de Caroline, elle m'appela.

- Sylvie, viens ici.

Elle avait largement reculé sa chaise, je me doutais de la suite, je ne me trompais pas, en quelques secondes je me retrouvai couchée en travers de ses genoux dans une position qui malheureusement m'était familière.

 

Huguette n'avait pas prévu d'administrer si rapidement une fessée déculottée à Sylvie mais outre qu'elle avait pris plaisir à la fessée de la veille, il lui semblait nécessaire de montrer immédiatement son autorité et de sanctionner toute tentative de rébellion de sa nouvelle grande fille. Quoi de mieux qu'une bonne fessée déculottée en plein air et  donc avec éventuellement du public.



Les larges et belles fesses de Sylvie s'étalaient devant ses yeux, elle était à peine rosée de la claquée précédente, elle baissa un peu plus la culotte du pyjama.

- ma petite chérie, il va falloir que tu t'habitues à obéir immédiatement quand je te demande quelque chose et à ne jamais protester sinon la sanction sera toujours la même, un passage sur mes genoux fesses à l'air.

La fessée commença immédiatement, elle fut courte mais suffisamment sévère pour que le fessier de sa grande fille soit bien rouge. Sylvie n'avait pas dérogé à la tradition, elle avait d'abord gémi doucement puis sous la brûlure elle s'était mise à battre des jambes puis à crier malgré sa crainte d'alerter le voisinage. Pauline qui avait laissé sa fenêtre ouverte avait sans nul doute été au courant du traitement que les fesses de Sylvie avait reçu.

Huguette fit relever Sylvie et lui annonça la suite.

- tu finis de déjeuner et ensuite nous aurons une petite conversation pendant que tu auras le thermomètre dans les fesses. Ce n'est pas la peine de remonter ta culotte.

 

Cette journée s'annonçait très mal, j'étais assise cul nu sur ma chaise, je venais de recevoir une bonne fessée déculottée et Huguette m'annonçait qu'elle allait à nouveau me prendre la température. Quand j'eu fini mon café, elle me fit relever, remonta ma culotte juste sous mes fesses.

- tu débarrasses, tu nettoie tout correctement et tu viens me rejoindre au salon.

Faire les tâches ménagères fesses nues était nouveau mais j'allais devoir m'y habituer. Huguette était maniaque et mes fesses apprirent rapidement ce qu'elle entendait par ranger correctement. Mais pour l'heure j'étais attendue au salon.

 

Huguette s'était assise confortablement sur son canapé, le thermomètre était posé à côté d'elle. Sylvie se présenta la culotte du pyjama descendue sous les fesses, elle avait les yeux baissés comme une gamine devant sa maman, c'était vraiment le schéma qu'Huguette avait prévu. Elle la prit par la main et la coucha en travers de ses cuisses, puis elle baissa le pyjama jusqu'aux genoux. Elle contempla le splendide derrière de son amie ou plutôt maintenant de sa grande fille, elle eu une petite montée d'excitation, c'était une situation nouvelle pour elle, mais elle savourait cet instant. Elle se rendait compte qu'il avait vraiment été facile de soumettre Sylvie à son autorité et à ses désirs et elle n'allait pas s'en priver. Elle avait pris plaisir à lui mettre le thermomètre dans les fesses et ce matin elle avait bien l'intention de recommencer.



- je te l'ai dit hier, je vais te prendre la température matin et soir et ça tant que je jugerai que tu te comporte comme une gamine. Ça va te rappeler à un peu d'humilité, la fessée que tu as reçu ce matin n'était qu'un petit aperçu de ce qui va t'arriver si tu ne t'améliores pas très vite.

Elle savait depuis hier comment mettre en place le thermomètre, les fesses de Sylvie étaient largement écartées, sa petite rondelle brune bien visible, Huguette souriait en pensant à cette dame qui était maintenant couchée sur ses genoux les fesses nues bien exposées. Pas plus tard que la semaine dernière elle l'avait vue parler de façon un peu hautaine et désagréable à la factrice, si celle-ci pouvait la voir à cet instant. Elle songea d'ailleurs que ça risquait bien d'arriver un de ces jours.

Le thermomètre rentrait doucement, Sylvie gémissait mais ne bougeait pas, elle essayait au contraire de relaxer au maximum ses muscles fessiers. Huguette s’appliquait à le faire pénétrer profondément, mais les fesses de Sylvie se contractaient insensiblement, elle commença à la prévenir.

- ma petite tu commences à m’agacer, est-ce que par hasard tu voudrais une fessée supplémentaire.

Sylvie protesta faiblement.

- non, non maman pardon, mais je t'assure que je ne fais pas exprès.

Huguette fronça les sourcils.

- j'espère bien que tu ne le fais pas exprès. Mais tu vas voir je crois que j'ai un bon moyen pour desserrer tes jolies fesses.

Elle avait relâché les fesses qu'elle tenait écartées avec deux doigts et tout en maintenant le thermomètre à demi enfoncé, elle claqua sèchement les fesses de Sylvie. Celle-ci se mit à supplier au milieu des claquements.

- aïe aïe aïe, non, non pardon aïe

Clac, clac, clac la main d'Huguette rebondissait sur le fessier.

- à tu ne le fais pas exprès ! Et bien moi je fais exprès de te claquer les fesses, tiens prends ça encore, non mais je vais t'apprendre.

Sylvie pleurait cette fessée déculottée matinale était vraiment cuisante.

- aïe, non, non ma...man...aie

Les fesses de sa grande fille étaient maintenant écarlates, Huguette cessa la fessée et écarta à nouveau largement les deux fesses,  le thermomètre pénétra encore plus facilement.

- voilà, c'est bien, finalement je crois  qu'il te faut la fessée pour te faire obéir. Ne t'inquiète pas ma main n'est pas fatiguée, je peux encore te cuire le derrière si c'est nécessaire.



Sylvie sanglotait affalée en travers des cuisses de sa nouvelle maman.

 

Mon derrière était en feu, je n'avais pas pu retenir mes larmes, cette fessée était vraiment injuste, j'avais fait tout mon possible pour ne pas serrer mes fesses. Je sentais que mon éducation comme disait Huguette allait passer par de longs moments où j'aurais les fesses bien rouges. Je sentais la main de ma sévère maman palper mes fesses.

- voilà, tes fesses sont ravissantes, tu vas me raconter un peu ce que tu dois aller faire chez cette Daisy.

 

Le thermomètre était profondément enfoncé et il ne bougeait plus, Huguette avait relâché les fesses, elle admirait cette magnifique paire de rotondités qu'elle avait maintenant à sa disposition. Certes elle savait qu'il ne fallait pas en abuser et qu'elle devait rester juste mais elle commençait vraiment à trouver plaisant son rôle de maman sévère. Elle tapotait les fesses brûlantes en attendant que les gémissements de Sylvie se calment.

Puis celle-ci se mit à lui expliquer que Daisy était une anglaise professeur de français en retraite et qu'elle avait proposé de lui donner des cours d'anglais. Huguette souriait, elle caressa à nouveau le derrière brûlant.

- mais c'est très bien, et je suppose que cette dame utilise des méthodes d'éducation traditionnelle n'est ce pas ?

Sylvie n'était pas dans une position où le mensonge était permis, elle acquiesça.

- elle t'a déjà baissé la culotte ma chérie ?

- euh...euh aïe aïe aïe.

La main d'Huguette avait à nouveau claqué les fesses de Sylvie.

- oui, oui maman.

- voilà qui est parfait, tu vois que je ne suis pas la seule à considérer que tu as besoin de ça et Caroline également le pense. Mais je crois que maintenant c'est à son tour de montrer ses fesses si j'en juge à son message.

Tout en parlant, Huguette avait saisi l'extrémité du thermomètre et elle le faisait coulisser et tourner.

 

J'étais profondément humiliée d'être ainsi couchée sur les genoux d'Huguette et d'être obligée de lui confesser que depuis quelques jours j'étais redevenue une jeune fille qui exposait ses fesses nues plus que de raison. Mais la sensation du thermomètre coulissant dans mes fesses était étrange et pour tout dire légèrement excitante.



Huguette n'avait vraiment pas l'intention d'abréger ma pénitence, elle continuait à me poser des questions embarrassantes et malgré ma gêne j'étais comme au confessionnal et au bout de quelques instants, elle savait tout de mon week-end de mes fantasmes de soumission et de la cuisson de mes fesses après la fessée au martinet où avec la tawse de Daisy.

Elle m'annonça que c'est elle qui me conduirait chez Daisy, elle souhaitait vraiment faire sa connaissance. Cette annonce n'avait rien de réjouissant mais c'était comme ça.

Quand enfin elle me retira le thermomètre et me fit relever, je regardai la pendule, j'estime que j'étais restée bien une demi-heure couchée sur ses genoux avec le thermomètre bien enfoncé dans les fesses. Une claque sur mes fesses nues m'incita à bouger.

- bon maintenant tu files faire ta toilette, tu t'habilles et tu ranges ta chambre.

Je croyais être revenue bien des années en arrière, c'était les mêmes ordres que me donnait ma mère et bien souvent comme aujourd'hui c'était après une bonne déculottée que je rejoignais ma chambre les fesses nues et bien rouges comme ce matin.

Je m'aperçus que je n'avais pas tellement de choix pour ma tenue, Huguette ne m'avait fait prendre que des jupes. Bien sûr pour les sous-vêtements c'était petite culotte blanche en coton.

Huguette vint bien sûr vérifier le rangement de ma chambre et comme j'allais rapidement l'apprendre c'était très difficile de la satisfaire.

- tu appelles ça ranger !

Son regard noir ne me disait rien qui vaille. Elle était déjà sur moi et sa main avait claqué mon postérieur par dessus la jupe.

- je vais t'expliquer comment on range, baisse ta culotte.

Penaude, comme une écolière prise en faute, je glissai mes mains sous ma jupe et descendis ma culotte sous mes fesses. Elle prit l'ourlet de ma jupe et la coinça dans la ceinture. J'étais à nouveau cul nu, depuis le lever mes fesses n'avait pas été couvertes bien longtemps.  

Elle prit la règle plate en bois posée sur le petit bureau et elle m'administra deux coups secs au milieu des fesses.

Elle me fit refaire le lit pour que la couette fut bien tirée et bordée, ma culotte sale était posée sur la chaise, j'eu droit à un cours sur la propreté, le tout accompagné par les claquements de la règle sur mon derrière enflammé.

Quand enfin elle jugea que ma chambre était rangée selon ses critères, elle m'installa au coin du salon, le nez contre le mur et les mains sur la tête. Ma culotte était toujours baissée sous mes fesses, elle m'avait annoncé la suite.



- tu vas rester au coin avec les fesses à l'air, elles vont refroidir et comme ça je pourrai te surveiller.

 

Huguette se livrait à ses activités ménagères tout en surveillant Sylvie du coin de l'oeil. Celle-ci était au coin de la pièce, ses fesses nues bien rouges des fessées précédentes. C'était un spectacle ravissant, Huguette ne s'en lassait pas, elle se rendait compte progressivement qu'elle n'était vraiment pas insensible aux charmes d'un derrière féminin surtout si il était bien large et rebondi comme celui de Sylvie.

ILa matinée avançait, elle allait enfin libérer la pauvre Sylvie quand la sonnette retenti, elle se dirigea vers la porte non sans avoir averti sa grande fille.

- tu ne bouges pas, sinon gare à tes fesses.

 

J'étais au désespoir, la porte d'entrée donnait directement sur le salon et le coin où j'exposais mes fesses bien rouges était en face. Quiconque se tenant devant la porte d'entrée avait une vue parfaite sur mon derrière.

 

Huguette était ravie de cette petite humiliation supplémentaire imposée à Sylvie qui asseyait encore un peu plus son autorité. Elle vérifia à l’œilleton qui c'était et elle constata avec plaisir que c'était la jeune factrice. Elle ouvrit largement la porte.

- bonjour Mlle, que désirez vous ?

La factrice était une jeune femme brune d’une trentaine d’année, elle eu un petit mouvement de surprise en découvrant Sylvie au coin exposant ses fesses rouges. Elle se tourna vers Huguette mais en jetant quand même un oeil sur ce curieux spectacle.

- euh, excusez moi, je ne voulais pas vous déranger mais j’ai un recommandé pour Mme Sylvie Bouger et elle n’est pas chez elle.

Huguette se mit à sourire et tourna la tête vers la dame au coin fesses à l’air.

- c’est normal, Sylvie est punie, elle habite ici, désormais vous mettrez son courrier dans ma boite aux lettres.

Louison la jeune factrice restait bouche bée, son regard avait du mal à se détacher des deux larges fesses bien rouges de Sylvie. Huguette repris la parole.

- vous avez donc un recommandé pour cette vilaine fille ?  Sylvie viens un peu ici.

 

Cette fois ci je buvais le calice jusqu'à la lie, je me tournai lentement et fit face à la jeune femme, un léger sourire flottait sur ses lèvres, c'est vrai que je m'étais montrée un peu désagréable la semaine dernière, elle devait savourer sa revanche. Mais ce n'était que le début, Huguette se comportait vraiment en maman.

- tu peux enlever tes mains de ta tête et tu dis bonjour !

J'étais vraiment reléguée au rang de gamine. J'avalai ma salive.

- bonjour Mlle.

Je sentais mes joues s'empourprer. La jeune factrice me tendit une enveloppe et sorti son cahier pour que je le paraphe.

- signez là, madame.

Je m'exécutai, c'est alors que Louison me porta le coup de grâce, elle se tourna vers ma nouvelle maman.

- c'est curieux comme une bonne fessée déculottée fait des miracles, aujourd'hui Mme Bouger est aimable.

Huguette fronça les sourcils.

- à parce que d'habitude Sylvie ne l'est pas ?

Louison me jeta un regard en coin et continua en souriant.

- oh ça on ne peut pas dire que la politesse l'étouffe. La semaine dernière elle m'a remballé parce que je l'ai dérangée pendant sa sieste.

Huguette avait le regard noir.

- ah oui ? Sylvie tu vas t'excuser immédiatement.

J'étais atterrée par cette attaque auquel je ne m'attendais pas, j'étais rouge de honte je ne pus que balbutier.

- pardon, Mlle je suis vraiment désolée.

- désolée tu vas l'être encore plus. Va chercher le martinet !!

L'ordre avait claqué,  Louison souriait de plus en plus, je me dirigeai vers la cuisine en exposant mes fesses déculottées.

Huguette avait exigé que je prenne le martinet lors de mon déménagement et il était maintenant suspendu à un crochet dans sa cuisine.

 

Quelques instants plus tard, Sylvie penaude revenait dans le salon le martinet à la main. Huguette lui montra la jeune factrice.

- donne le à Mlle, puisque tu as été impolie avec elle, c'est elle qui va te punir.

Louison marqua un moment de surprise.

- oh madame, ce n'est peut-être pas la peine, Sylvie est déjà bien punie à être obligée de rester fesses à l'air devant tout le monde.

- si, si j'y tiens, Sylvie est désormais ma fille et je ne tolère pas l'impolitesse. Vous allez lui administrer 10 coups de martinet sur ses bonnes grosses fesses, ça lui fera le plus grand bien.

 

J'avais envie de pleurer, décidément ma nouvelle maman ne m'épargnerais rien. Elle me désigna le fauteuil.

- tu te mets à genoux et tu tends bien tes fesses que Mlle puisse t'administrer la punition que tu mérites.



Je savais qu'il était inutile de protester, je me mis dans la position indiquée. J'avais tendu le martinet à Louison qui l'avait pris en souriant. Je regrettais amèrement mon comportement envers cette jeune femme, (remarquez c'est fait pour ça la fessée déculottée, pour qu'on ne recommence plus.)

 

Sylvie était maintenant dans la position idéale pour recevoir une correction avec le martinet, ses larges fesses étaient bien tendues vers les deux dames, Huguette s'approcha et lui tapota les cuisses.

- écarte un peu tes genoux, que tes fesses soient bien détendues. Voilà c'est bien.

Elle avait palpé mes fesses. Elle se tourna vers la jeune femme.

- vous avez déjà donné la fessée avec le martinet ?

Louison n’avait jamais donné la moindre fessée que ce soit avec un martinet ou même avec la main.

- non madame, mais je pense que je vais y arriver, Mme Bouger a vraiment une belle paire de fesses, il y a de la place pour donner la fessée.

Huguette souriait, cette petite était charmante, l’idée de lui faire administrer une fessée à Sylvie lui était venue naturellement, la leçon allait être très profitable pour sa grande fille, c’était encore mieux qu’une fessée déculottée en public.

- il n’y a plus de Mme Bouger, vous pouvez l’appeler Sylvie et ce n’est pas la peine de la vouvoyer. Quand on se comporte comme une vilaine fille impolie et qu’on reçoit encore la fessée cul nu on est plus une Madame.

Louison tenait fermement le martinet, elle se plaça de côté et posa sa main sur le dos de Sylvie.

- tends mieux tes fesses ma chérie, tu vas voir le martinet c’est très efficace sur les fesses des impolies.

Louison apprenait vite pensa Huguette. Elle leva le martinet et cingla le large fessier en son milieu. Sylvie cria et se cambra un peu plus mais garda ses fesses bien tendues vers Louison, celle-ci souriait. C’était vraiment une expérience très intéressante.

Les lanières avait laissé des traces un peu plus foncée sur les fesses déjà rouges, sur le côté des cuisses on pouvait voir également les traces des lanières. Louison se tourna vers Huguette.



- dix coups madame ?

Huguette acquiesça.

- exactement, d’ailleurs Sylvie va compter. Ma chérie tu as compris, tu comptes chaque coup de martinet sur ton joli derrière, on en est à combien ?

 

C’était la première fois que l’on me demandais de compter ma punition, c’était encore plus humiliant mais je n’avais pas le choix.

- un, maman...Aïe deux

Louison venait de m’administrer le deuxième coup, la brûlure était intense. Les coups se succédaient et il me semblait que la jeune factrice y prenait goût et qu’à chaque coup elle frappait plus fort. C’était horrible et je ne pus m’empêcher de la supplier.

- aïe, non, non, pardon Mlle, s’il vous plait plus la fessée, aïe, noon. ça fait trop mal.

 

La jeune femme se prenait au jeu de la sévère maman, malgré son âge elle considérait maintenant Sylvie comme une jeune fille impolie qui méritait la fessée déculottée. D’ailleurs les supplications de Sylvie renforçait cette impression.

- j’espère bien que ça te fait mal ma petite Sylvie c’est fait pour ça la fessée, pour que tu ne recommences plus. Où en sommes nous ? je ne t’ai pas entendu compter.

- pardon Mlle....huit.

Huguette regardait amusée cette jeune femme prendre son rôle à coeur.

- cinglez lui les cuisses que ça lui serve de leçon !

Louison ne se fit pas prier, elle appliqua les deux derniers coups sur l’arrière des cuisses de Sylvie qui maintenant pleurait à chaudes larmes et devait regretter amèrement son impolitesse. Louison se tenait à ses côté le martinet à la main, elle semblait regretter que la punition soit déjà finie. Mais Huguette la rassura immédiatement.

- bravo Mlle, je crois que cette chipie a compris, si toutefois elle se montrait à nouveau insolente où impolie, vous avez mon autorisation pour lui flanquer la fessée qu’elle mérite. Le martinet est toujours suspendu dans la cuisine vous pouvez l’utiliser.

Louison était ravie de cette nouvelle expérience, elle répondit en souriant.

- vous pouvez  compter sur moi madame, en cas de nécessité je saurai baisser la culotte de Sylvie.



 

J’étais toujours à genoux sur le fauteuil les fesses brûlantes bien tendues vers ses deux dames. Même si j’étais soulagée que le martinet ait fini de cingler mes fesses je n’étais pas quitte, j’entendis la voix sévère de ma nouvelle maman.

- Sylvie tu files te remettre au coin. Tes fesses vont y refroidir en attendant le déjeuner.

Il devait être environ 11h, j’avais déjà passé pas mal de temps le nez contre le mur et Huguette m’annonçait que j’allais y rester une heure de plus.

J’eu le temps de faire un retour rapide sur ces trois derniers jours. Cinq dames avaient eu le loisir d’admirer mes fesses nues et sur ces cinq, quatre m’avait rougi le derrière.

Et ce n’était pas fini.




 A suivre….

1 commentaire:

  1. Parfait. Je suis empellement d'accord avec Huguette. L'impolitesse doit être sévèrement punie. Sylvie n'a eut que ce qu'elle méritait. Zoé.

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