jeudi 18 mai 2023

Le manoir des dames suite 4

Le nouveau rituel



 

Alors que le vendredi suivant approchait, les dames et les filles devenaient de plus en plus inquiètes, bien sûr ça avait toujours été le cas depuis que Miss Simpson avait institué ce strict rituel du vendredi de nombreuses années avant.

Mais cette fois, l'inquiétude était plus profonde, Miss Mélanie avait déjà augmenté la sévérité de la procédure la dernière fois. Elle avait notamment introduit le préchauffage et la participation des deux domestiques. Cela avait été particulièrement humiliant pour la baronne, qui avait perdu certains de ses privilèges, ainsi le fait que la gouvernante ait insisté sur «l'égalité» l'avait finalement amenée à être déshabillée et punie en public comme tous les autres membres de la famille. D’ailleurs n'avait-elle pas dut subir cela également aujourd’hui dans le jardin ?



Une partie de l'inquiétude était due au fait que certains des commentaires d'Agathe et de Mildred indiquaient que le rituel serait encore modifié. Mais elles n'avaient donné aucun détail.

Le premier choc est venu quand, après le déjeuner, Miss Mélanie  annonça que chacune devrait aller mettre son pyjama ou sa chemise de nuit avant d'entrer dans la grande salle où se pratiquait toujours le rituel du vendredi.

Il y eu encore des soupirs et des gémissements quand Miss Mélanie ajouta d'un ton sans réplique.

- et quand je dis pyjama ou chemise de nuit, je le pense vraiment. Vous venez pieds nus et vous ne portez rien en dessous. Vous laissez votre culotte dans vos dortoirs, s'il vous plaît ! mes chéries.

Mais elle avait aussi une annonce légèrement positive à faire. Les fessées de rémanence pour les dames inscrites sur le tableau serait reporté au samedi matin les jours de rituels.

Au fur et à mesure que l'après-midi avançait, il y eu beaucoup de débats parmi les membres de la famille pour savoir si le pyjama serait plus approprié pour protéger sa dignité que la chemise de nuit. Mais aucun verdict clair ne fut rendu car il était certain pour tout le monde que d'une manière ou d'une autre, elles devraient montrer leurs fesses nues.

Quand tout le monde arriva dans  la grande salle, il s'avéra qu'Adélaïde, ses deux filles et les mamans avaient avaient opté pour les chemises de nuit, la tenue qu’elles devaient de toute façon porter la nuit. Les jeunes filles étaient toutes en pyjama. L'ambiance était pesante, beaucoup avaient la tête basse et certaines semblaient au bord des larmes.

Miss Mildred leur demanda de se tenir côte à côte bien droite et de ne pas bouger. En face d'elles, six chaises étaient disposées en arc de cercle.

Elle fit un signe de tête à Agathe, la cuisinière sorti un morceau de papier d'une urne et lu à haute voix, "Virginie!"

La dame de 35 ans sursauta et regarda Agathe, confuse et un peu effrayée,  Miss Mélanie lui dit simplement

- assieds toi sur la première  chaise, ma chérie s'il te plaît !

Virginie obéit, puis sa nièce Élodie s'assit sur la chaise à côté d'elle. Peu à peu, toutes les chaises furent occupées par tirage au sort, la baronne était assise sur la chaise quatre.

Comme toutes les chaises étaient prises, tout le monde se demandait ce qui allait se passer. Le lot suivant fut tiré, c’est le nom d’Isabelle qui sorti en premier, elle fut envoyée devant la chaise de droite sur laquelle était assise sa sœur Virginie, qui avait deux ans de plus qu'elle.

Miss Mélanie ordonna à Isabelle de se coucher sur les genoux de Virginie. Il y eut un gémissement collectif.

- taisez-vous!

La gouvernante avait parlé d'une voix forte et autoritaire et dans le silence soudain, elle ajouta

- Virginie, voudriez-vous s'il vous plaît nous montrer les jolies fesses bien rondes de votre chère sœur.



Maintenant, tout le monde avait  compris que c'était la prochaine étape du concept d'égalité de Miss Mélanie.

Alors que seules les mères avaient jusqu'alors donné une fessée à leurs filles lors du rituel, maintenant une sœur était allongée sur les genoux de l'autre. Et comme tout se décidait par tirage au sort, des appariements encore plus gênants pouvaient se produire.

Lors des tirages suivant les couples furent traditionnels, Margot dût se coucher sur les genoux de sa mère Élodie, le couple suivant constitué de Sophie et de sa nièce Camille n'était pas particulièrement inhabituel non plus.

Par contre, le couple suivant était une nouvelle combinaison, en effet après avoir baissé la culotte de pyjama de Lola comme demandé, le petit derrière bien ferme de la jeune fille se présenta à la baronne assise sur la chaise quatre. C'était une première, car elle n'avait jamais eu l'occasion de fesser l'une de ses arrière-petites-filles. Ça aurait du la rendre heureuse, mais elle se rendit compte rapidement que pour la suite du rituel, c’est elle qui devrait se coucher sur les genoux de Lola et elle ne se faisait aucune illusion, ses propres fesses ne seraient pas non plus couvertes à ce moment là..

Le tirage au sort était enfin terminé, mais comme il y avait un nombre impair de membres de la famille, il en restait une, c'était Marion, 16 ans. Un instant, elle espéra qu'elle serait épargnée ce vendredi. Mais la gouvernante prit une chaise et l'a plaça en face de la rangée de chaises occupée par les couples. Elle s'assit dessus, l'espoir de Marion s'évapora, Mélanie lui souriait en tapotant ses genoux et lui dit gentiment

- on ne t'a pas oubliée Marion, c'est la place qui t'est réservée !

 Mélanie eu donc elle aussi un joli derrière tout nu bien rond, d'un blanc laiteux, disponible pour le traitement qui allait suivre.

Mélanie examina l'illustre éventail de fesses nues, toutes de tailles et de formes variées. Elle sourit et pris une inspiration profonde.

- nous fesserons à l'unisson, Miss Agathe et Miss Mildred vont vous surveiller. Si l'une de vous se comporte de façon trop indulgente, elles diront "stop". Tout le monde arrêtera alors de fesser et la fautive sera punie. Avez-vous compris ?

- oui, Miss Mélanie !

les six fesseuses avaient répondu à l'unisson.

C'est seulement à ce moment qu'elles virent que les deux Miss, ces anciennes domestiques avaient chacune pris une canne sur l'étagère.

La gouvernante leva la main droite, sa main gauche reposait sur le dos de Marion. Sans avoir besoin de leurs dirent, toutes les fesseuses levèrent  leurs mains, prêtes à claquer. Miss Mélanie leur indiqua qu'elle allait donner le rythme, elle abaissa sa main très rapidement et sept claques très fortes retentirent. Suivies de quelques gémissements, moins dû à la douleur qu'à la surprise.

La maîtresse fesseuse laissa sa main reposer un instant sur les fesses de Marion, les six fesseuses firent de même puis toutes les mains se levèrent à nouveau et les claques se suivirent en cadence.



Agathe observait les fesseuses des chaises une à trois, tandis que Mildred se consacrait aux trois autres, elles se tenaient là, fléchissant les cannes dans leurs mains avec désinvolture.

Après la septième ou la huitième claque, Mildred cria très fort : "Stop !’’

Toutes les mains restèrent posées sur une fesse.

- Adélaïle, chérie. Miss Mélanie t'a-t-elle dit de caresser le petit derrière de Lola ?

Adélaïle rougit et demanda

- ce n'est pas assez sévère, Miss Mildred ?

- non, ce ne l'est pas ! 

La jeune femme avait répondu sèchement, ajoutant

- voudriez-vous s'il vous plaît tendre votre main gauche, paume vers le haut?

Ce n'est que lorsque sa main fut levée que la baronne comprit ce que Mildred préparait.

- oh s'il vous plaît, Miss Mildred, Miss Mélanie, s'il vous plaît pas ma main, s'il vous plaît!

C'était quelque chose de nouveau pour la famille De Bois Blanc, on avait jamais puni quelqu'un sur les doigts du vivant des personnes présentes. Mildred n'était pas au courant de cela et ignorant ces pleurnicheries elle abattit deux fois la canne sur la paume d'Adélaïde, elle le fit si rapidement que la dame de 75 ans ne put retirer sa main, elle se mit à pleurer à chaudes larmes. Elle secouait désespérément la main punie en l'air, comme si elle pouvait faire fuir cette douleur indicible, mais elle dut lever rapidement l'autre main, car Miss Mélanie l’avait décidé ainsi. Elle donna les deux coups suivant aussi fort et aussi rapidement, la baronne sursauta ce qui fit rebondir le derrière de Lola couchée sur ses genoux. Mildred souriait de contentement. "Voilà!"  pensait-elle

Un seul avertissement supplémentaire fut nécessaire. Miss Agathe fit goûter la canne aux doigts d'Elodie, à son avis, elle avait été un peu trop douce avec les fesses de sa sœur.

Miss Mélanie ne termina l'échauffement que quand toutes fesses, ainsi que les cuisses furent d’un rouge vif. Il n'y eu pas de temps mort, les dames et les filles durent se relever des genoux et remonter rapidement leurs culottes de pyjama ou remettre en place leurs chemises de nuit. La plupart pleuraient ou sanglotaient encore, celles qui avaient donné la fessée durent également se lever pour laisser la place aux autres qui s'asseyèrent, ce qui provoqua de nombreux gémissements.

Puis celles qui étaient debout se couchèrent sur les genoux de celles qui étaient assises, et bientôt elles exposèrent leurs fesses. Pour Adélaïde en particulier se fut particulièrement gênant, lorsque Lola, 18 ans, retroussa sa chemise de nuit pour mettre à nu ses fesses, c'était certainement le traitement le plus humiliant qu'elle ait jamais subi.

Miss Mélanie, sur les genoux de laquelle Marion pleurait encore, regardait Lola avec plaisir. Elle voyait ses yeux briller en regardant les larges fesses si généreuses de son arrière-grand-mère, elle les caressait et bientôt elle allait les fesser.

Cela inspira Mélanie qui laissa également sa main caresser les fesses brûlantes de Marion. « La vengeance est douce », pensa Mélanie avec un peu de mélancolie et d'envie. Elle n'avait jamais eu le privilège de fesser sa grand-mère ou sa mère, et cette jeune fille allait être autorisée à corriger son arrière-grand-mère sur ses fesses nues. Quelle fille chanceuse.

Marion, quant à elle, appréciait les frottements sur ses fesses brûlantes mais elle était quand même désolée, elle allait recevoir deux fessées d’échauffement. Elle pensait que c'était injuste, mais bien sûr, elle n'osa pas se plaindre.

Le frottement cessa, la gouvernante frappa dans ses mains et cria

- continuons. Est-ce que tous les derrières sont prêts ?

- oui, Miss Mélanie !

Toutes celles qui étaient assises avaient répondu à l’unisson puis elles levèrent la main comme Miss Mélanie.

Et le bruit des bonnes claques bien sonores à retentit à nouveau.  Bien sûr,  Marion s’est mise a crier dès le début et on pouvait même y entendre de la colère. C'était tellement injuste de devoir endurer un deuxième échauffement. À ce moment-là, elle détestait vraiment la gouvernante

Pendant cette deuxième partie, il ne fut pas nécessaire de réprimander qui que ce soit. Apparemment, les deux avertissements avec la canne sur les doigts avaient suffi à faire en sorte que tout le monde fesse très fort. Le sentiment de vengeance jouait certainement son rôle, car celles qui avaient fessé auparavant étaient maintenant couchées sur les genoux des de celles qu’elles avaient fessées.

Miss Mélanie levait parfois les yeux du derrière de Marion qui était déjà d’un beau rouge vif puisqu’elle y travaillait pour la deuxième fois pour surveiller Lola.

C'était émouvant de voir avec qu’elle énergie et enthousiasme elle claquait les fesses si bien présentées de son arrière-grand-mère. Elle voulait absolument impressionner Adélaïde et ça fonctionnait, car rapidement celle-ci donna des coups de pied et se mit à gémir comme une gamine. 



Puis ce fut des cris plus stridents, les claques de Lola devaient faire très mal et la baronne avait sans doute complètement oublié que c'était la jeune Lola qui lui claquait les fesses. Toute son attention était portée sur la cuisson de son derrière et de ses cuisses, c’était de plus en plus douloureux

Mélanie se demandait comment cela allait changer la relation entre arrière-petite-fille et arrière-grand-mère. Il en allait de même pour Louison, qui n'avait que 15 ans et qui fessait sa grand-mère Christine, qui avait 38 ans de plus qu’elle. Dans les deux cas, la gouvernante soupçonnait les dames plus âgées d'être surprises de voir à quel point les jeunes étaient capables de fesser avec plus de force qu’elles-mêmes. Cela générerait certainement beaucoup de respect pour ces jeunes filles à l’avenir.

Mélanie souriait de contentement, son nouveau concept du rituel semblait bien fonctionner, mais soudain elle baissa les yeux. Il y avait une paire de fesses d’un rouge très profond qui se tortillait désespérément sur ses genoux, Mélanie perdue dans ses pensées, avait continué de fesser Marion.

Elle se sentit un peu coupable envers la jeune fille, qui avait déjà reçu deux fois plus que tout le monde, elle décida pour des raisons d'équité, de faire sauter la fessée de Marion avec les instruments de punition.

Il lui sembla aussi que les derrières étaient maintenant suffisamment échauffés.

"Stop" cria-t-elle et toutes les mains qui tapaient restèrent sur les fesses qu'elles avaient claquées en dernier.

Les six fraîchement fessées furent autorisées à se relever, ce fut également le cas pour Marion. Elle fut autorisée à remettre son pyjama, ce qui s'appliqua également à ses compagnes d'infortune. Ensuite, les autres durent se lever de leur chaise et se procurer un instrument destiné à leur génération. La nouvelle gouvernante n’avait pas changé cet héritage de la précédente.

Les jeunes filles Margot, Camille, Lola et Louison revinrent avec des brosses à cheveux. Isabelle alla chercher une paddle en bois et Irène la tawse qui lui était destiné selon l'ancien rituel.

Cette dernière aurait eu envie de protester pourquoi le principe d'« égalité » ne s'appliquait-il pas également aux instruments ? Mais elle n'osa pas se plaindre. En revanche, elle n'avait pas d'illusion sur le fait que sa petite-nièce de 14 ans, Émilie aurait certainement la force de lui faire sentir correctement la brûlure de la tawse. Déjà pendant l'échauffement, elle avait remarqué que la jeune fille pouvait claquer très sévèrement.

Miss Mélanie regardait en souriant les dames et les jeunes filles tenant dans leur main l’instrument qui allait bientôt claquer leurs fesses.

- en place mesdames, asseyez vous. Les punies, vous donnez l’instrument destiné à vos fesses à votre fesseuse. Emilie met ta chaise en avant pour ne pas être gênée. Irène tu te penches et tu mets tes mains sur la chaise.

Personne n’avait protesté et bientôt six derrières déjà bien rouges furent mis à nu. Emilie avait pris un grand plaisir à retrousser bien haut sur son dos la chemise de nuit de sa grand-tante. Irène avait été particulièrement sévère pour la fessée d’échauffement, Emilie en gardait les fesses brûlantes. Elle tenait la lanière en cuir dans sa main, Mélanie s’adressa à Mildred.

- tu vas montrer à notre petite Emilie comment se servir de la tawse pour que les fesses d’Irène s’en souviennent pour le mois qui vient.

Mildred était ravie, elle adorait claquer les fesses de ces nobles dames et aujourd’hui elle avait été un peu frustrée. Elle prit la tawse se plaça sur le côté d’Irène qui tendait bien ses fesses.

- tu vois ma chérie, il faut que ton poignet soit souple, tu commences par viser le centre des fesses, comme ça.

Elle avait levé la tawse et l’abattit en travers du petit derrière bien rebondi malgré son âge,  Irène poussa un cri strident mais ne se releva pas. Emilie avait un petit sourire sur les lèvres, ce nouveau rituel était toujours aussi cuisant pour ses fesses mais il y avait quand même quelques compensations.



Mélanie aussi souriait, l’éducation sévère commençait à porter ses fruits, les dames recevaient leurs punitions sans protester.

Elle frappa dans ses mains et les instruments commencèrent à claquer les derrières nus, les claquements se mêlaient aux cris puis aux pleurs des punies, les jambes battaient l’air dans un véritable ballet. La fessée ne cessa que quand tous les fessiers furent d’un rouge profond.

Les six dames purent se relever le visage noyé de pleurs, elles allaient pouvoir se venger sur les fesses de leurs fesseuses. Mélanie ne les autorisa pas à recouvrir leurs fesses, les culottes de pyjama restèrent aux chevilles et Mildred et Agathe épinglèrent les chemises de nuit dans le dos.

Elodie était particulièrement humiliée de devoir se coucher comme une gamine sur les genoux de sa propre fille, elle avait remarqué le sourire moqueur de Margot lors de la fessée d’échauffement et sa fille ne l’avait vraiment pas épargnée lui administrant une magistrale fessée en souvenir de toutes celles qu’elle lui avait administrée depuis qu’elle était petite. Maintenant elle était devant elle lui présentant tête basse, la paddle en bois qui allait claquer son large fessier rebondi de dame. Les fesses de Margot étaient douloureuses sur le bois dur de la chaise mais elle prit la paddle avec un petit sourire et fit basculer sa mère en travers de ses genoux, c’était la deuxième fois qu’elle les avait ainsi à sa disposition, elle remarqua qu'elles étaient vraiment agréable à regarder, les fesses très blanches d'Elodie prenait une magnifique couleur rouge après la fessée. "Ma petite maman tu vas voir comme je vais te faire danser les fesses", Margot passait le paddle doucement sur l'épiderme brûlant en pensant à la correction qu'elle allait administrer à sa mère.

Mélanie avait demandé à Lola de mettre la chaise au milieu de la pièce pour avoir de la place pour la canne. Christine avait pris la place d'Irène et ses grosses fesses bien rouges étaient maintenant bien exposées,  prêtes pour que Louison leurs administre la tawse. Mildred lui fit une démonstration comme pour Emilie. Christine hurla sous la brûlure, une bande rouge plus sombre barrait son large fessier, elle piétina sur place mais resta les fesses bien tendues vers sa petite fille.

Adélaïde avait été chercher la canne et en rougissant elle l'avait tendue à Lola qui l'avait prise avec un petit sourire. C'était la première fois qu'elle allait recevoir la canne en public pour le rituel et en plus ce n'était pas sa gouvernante qui allait lui administrer mais son arrière petite fille. Comment oserait elle la regarder demain après avoir été obligée de lui présenter son derrière pour cette punition. Elle posa ses mains sur la chaise et tendit ses fesses comme elle avait l'habitude de le faire quand elle recevait la canne dans l'intimité. Lola s'approcha en souriant, ça avait déjà été un grand plaisir de coucher la baronne sur ses genoux et de lui donner la fessée avec la main comme si elle était une petite fille mais lui retrousser sa chemise de nuit pour mettre ses fesses à nu c'était encore plus excitant et lui faisait un peu oublier ses fesses brûlantes.

Tout les derrières étaient maintenant prêt. Mélanie leva la main.

- vous allez pouvoir commencer la fessée sauf Lola. Adélaïde doit recevoir ses douze coups de canne habituel mais elle doit compter. On ne va pas l'entendre, tu vas lui  donner la canne après les autres fessées.

Adélaïde était désespérée, sa fessée serait vraiment publique puisque tout le monde pourrait la voir recevoir la canne.

Mélanie avait donné le signal du départ, les cris redoublèrent mêlés avec les pleurs des punies. Elles purent se relever et les derrières restèrent nus également. Agathe et Mildred epinglèrent bien haut les chemises de nuit.

Adélaïde était toujours dans la même position prête à recevoir la canne, les fesses rouges bien exposées. Mélanie prit la canne des mains de Lola.

- je vais donner un coup de canne sur les fesses d'adélaïde pour te montrer.



Elle se recula fit siffler la canne dans l'air et l'abattit rapidement en travers des fesses de la baronne qui fléchit les genoux et cria en comptant "un". Mélanie sourit et s'adressa à Adélaïde.

- ce coup ne compte pas ma chérie, c'était juste pour montrer à Lola. Mais je te félicite tu as été courageuse.

Puis se tournant vers les dames aux fesses bien rouges.

- mettez vos mains sur la tête et je ne veux plus rien entendre ! À toi Lola, 12 coups bien appliqués, tu finiras par le haut des cuisses.

Lola se plaça de côté et leva la canne, elle avait un sentiment de puissance malgré ses fesses nues et bien rouges. La baronne cria et compta après chaque coup, elle fléchissait chaque fois les genoux mais reprenait rapidement sa position. Au dixième coup elle hurla et se releva, Lola venait de frapper le pli séparant les fesses des cuisses .

- aïe aïe aïe...non non...miss ça fait trop mal .

Lola regarda Mélanie, celle-ci en souriant lui dit.

- tu as entendu 10 ma chérie ?

- non miss Mélanie.

Mélanie se tourna vers Adélaïde qui pleurait et piétinait sur place, on sentait qu'elle mourrait d'envie de se frotter les fesses.

 - Adélaïde ! Cesse de pleurnicher, tu n'as pas compter, il te reste encore trois coups. Mildred, tu vas tenir notre petite Adélaïde pour les trois derniers coups.

Mildred s'approcha et saisit la baronne par les épaules pour la forcer à bien tendre ses fesses. L'ensemble des dames regardait avec beaucoup d'intérêt la punition de l'aïeul de la famille avec un mélange de pitié et de plaisir.

La gouvernante s'adressa à Lola, tu applique les trois derniers coups sur les cuisses ma chérie, il faut qu'Adélaïde s'en souvienne.

C'était important de donner les coups de canne sur les cuisses car on pouvait voir que la dame avait été punie même si elle avait une culotte et demain dans son petit short la baronne exposerait ses cuisses striées.

La fessée alla à son terme, Adélaïde hurla, pleura, mais elle compta les trois coups.

C'était fini, Mélanie était satisfaite de son nouveau rituel.

Adélaïde et Lola rejoignirent le rang des dames aux fesses bien rouges avec les mains sur la tête.

Miss Mélanie leurs ordonna d'aller toutes se mettre le nez contre le mur en gardant les mains sur la tête, elle les fit rester ainsi un quart d'heure à exposer leurs fesses bien punies.



Plus tard, après le dîner quand tous les membres de la famille furent dans leurs dortoirs, la gouvernante et ses assistantes se  retrouvèrent  pour un dernier verre. Bien sûr, tout le monde avait été prévenu au préalable de passer la nuit allongée sur le dos avec interdiction de se frotter les fesses ou les cuisses brûlantes

Mildred et Agathe ont rapporté à Mélanie que cette instruction avait fait pleurer à nouveau certaines dames, ce qui la fit bien rire.

- et bien, il y aura certainement quelques frottements discrets mais on va les négliger ! Par contre nous ne pouvons pas l'autoriser officiellement, car cela donnerait de mauvaises idées à nos petites protégées !



Agathe et Mildred hochèrent la tête en signe d'accord et Agathe  demanda si elle devait ouvrir une bouteille de champagne pour célébrer la journée.

Tout le monde pensa que c'était approprié.

 

Fin de la deuxième partie.

 

 

 

 

 

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