Chapitre 3. La rémanence
La gouvernante et ses deux assistantes s’étaient réunies dans le bureau de miss Mélanie pour parler de la rémanence. Il fut décidé que Agathe s’occuperait du dortoir 1, donc de la baronne et de ses deux filles, elle eut un petit sourire en pensant au gros fessier de Christine, elle aurait aussi du plaisir à administrer cette punition infantile au noble fessier de la baronne Adélaïde quant au petit derrière d’Irène elle n’avait pas encore eu le plaisir de le faire rougir. Comme Mélanie avait déjà administré la rémanence aux plus jeunes, ce fut Mildred qui fut chargée du dortoir 3. C’est elle qui aurait le plus de travail, elle aurait 4 paires de fesses à rougir. Louison, Marion, Lola et Camille allaient devoir lui présenter leurs fesses, ce n’était pas pour lui déplaire, car souvent ces jeunes filles prétentieuses, s’étaient montrées désagréable avec elle. Mélanie s’occuperait donc du dortoir 2, elle n’aurait que deux fessiers à claquer mais quel plaisir que de faire rougir le beau et large derrière de Virginie et celui beaucoup plus grassouillet d’Elodie. Elle allait se régaler à le faire danser.
Après le repas toutes les dames du manoir sans dire un mot se rendirent dans leurs dortoirs. Les trois fesseuses leurs laissèrent le temps de se préparer pour la nuit. La gouvernante avait instauré un autre règlement, pour la nuit seules les six jeunes filles avaient le droit de se mettre en pyjama, les autres dames devaient impérativement porter des chemises de nuit.
Mélanie regarda l’horloge.
- c’est bon, nous pouvons y aller, ces dames et ces demoiselles ont eu assez de temps pour se préparer. Il me tarde d’essayer les nouvelles tapettes en cuir.
En arrivant dans le premier dortoir, Agathe eu droit au spectacle désormais classique mais tellement enivrant et suggestif. Trois fessiers nus mis en valeur par la chemise de nuit épinglée dans le dos comme un rideau de théâtre, ils étaient bien sûr tous très différents, la seule chose qui les rassemblaient c’était la façon d’être serrés par l’angoisse, la raie centrale n’était plus qu’un trait, même les volumineuses fesses de Christine semblaient avoir retrouvé de la vigueur. Les mains étaient posées sagement sur la tête, les trois nobles dames aux fesses nues ne bougeaient pas.
La tapette en cuir était suspendue à côté de la porte, de cette façon la gouvernante et ses adjointes l’avait toujours à disposition et les occupantes du dortoir l’avait bien en vue pour savoir ce qui allait s’occuper de leurs fesses en cas de désobéissance. Agathe l’avait décroché et elle la fit claquer sur sa main. Puis elle s’approcha de la baronne et lui caressa les fesses avant de s’asseoir au bout du lit.
- on va commencer par toi ma chérie, j’ai bien noté le chiffre deux sur le tableau. Tu as donc reçu deux fessées déculottées aujourd’hui ? et bien je vais t’administrer deux fessées ce soir, une première dès maintenant et l’autre après la fessée de Christine et d’Irène.
Adélaïde émit un petit gémissement.
- oh, non Miss Agathe, mes fesses sont encore sensibles.
Agathe se mit à rire.
- rassure toi personne n’est jamais morte d’une bonne fessée, tu as une bonne paire de fesses. C’est sûr que tes fesses vont te brûler toute la nuit, mais je suis sûr que demain tu feras ton possible pour ne pas mériter une autre fessée. Allez en position, je crois que maintenant tu commences à la connaître.
Hélas pour la baronne depuis quelques jours elle ne connaissait que trop bien cette position humiliante, la tête près du sol, les pieds décollés et les fesses bien présentées à la fesseuse, elle allait être à nouveau fessée comme une gamine.
La fessée avec la tapette en cuir était une nouveauté, ça brûlait beaucoup plus que la main, la rougeur apparu rapidement, les cuisses également reçurent leurs doses de claques brûlantes. Adélaïde effectua une magnifique danse des fesses, Agathe apprécia cet instrument qui remplaçait avantageusement la main et permettait d’administrer des fessées longues et répétées sans aucun souci. Une fois remis sur ses pieds, la baronne en pleurant repris sa position bien droite avec ses mains sur la tête. Ses deux filles avaient assisté à la punition de leur mère mais elle n’avait eu que le son car elle était face à leur lit sans avoir le droit de bouger, quand Christine se retourna pour s’allonger à son tour sur les genoux d’Agathe, elle fut impressionnée par le rouge profond des fesses de sa mère. Quelques minutes plus tard son plantureux fessier était de la même couleur et ses pleurs n’avait rien à envier à ceux de la baronne. C’était au tour d’Irène, Agathe prit soin d’examiner son fessier avant de le corriger, il était bien plus petit que celui de sa soeur mais bien ferme et rebondi malgré son âge.
La cuisinière qui commençait à savoir comment humilier un peu ces nobles dames, lui écarta les cuisses et les fesses.
- voilà, ma petite chérie tes fesses sont parfaite comme ça, tu vas les garder bien écartées pour la bonne fessée de Miss Agathe n’est ce pas ? sinon je vais être très sévère.
Irène savait qu’elle exposait son intimité, elle se mit à pleurer.
- oh Miss Agathe, s’il vous plaît, j’ai trop honte.
La tapette en cuir claqua les deux fesses écartées.
- c’est fait pour ça ma chérie, pour que tu apprennes un peu l’humilité, écartes moi bien tes fesses, voilà c’est bien. Il n’y a rien de mieux que la fessée cul nu pour faire obéir les dames.
La fessée repris Irène essayait de maintenir ses cuisses écartées par crainte d’une fessée plus sévère, elle les refermait de temps en temps sous la brûlure de la tapette mais reprenait la position immédiatement. Agathe était ravie, on pouvait maintenant obtenir une obéissance parfaite de toutes ces dames, Miss Mélanie était vraiment compétente. Irène put enfin se relever, elle avait elle aussi une paire de fesses écarlates du bas du dos jusqu’au milieu des cuisses. Elle reprit immédiatement sa position au pied de son lit avec les mains sur la tête.
Agathe s’était assise sur une chaise et elle contemplait ces trois croupes écarlates, elle savourait cet instant, ça la consolait de toutes ces années où elle n’était pas considérée. Elle claqua dans ces mains.
- Christine et Irène vous pouvez enlever vos mains de la tête et remettre en place vos chemises de nuit. Adélaïde tu viens ici !
La baronne s’approcha tête baissée les mains toujours sur la tête, elle vit qu’Agathe ne bougeait pas de sa chaise, elle allait donc lui donner la fessée au milieu du dortoir devant ses filles. La cuisinière tapotait ses cuisses, c’était le signe qui indiquait qu’il fallait s’y coucher dessus, Adélaïde commençait à connaître le code des punies. En un instant elle était à nouveau dans la position d’une adolescente sur les genoux de sa mère, les fesses bien présentées pour son châtiment. Irène et Christine ne perdait pas une miette du spectacle, leur mère qui les fessait si sévèrement avant avec la tawse allait recevoir une bonne fessée de gamine.
La deuxième fessée fut la réplique de la première, Agathe distribua équitablement sur les deux fesses déjà meurtries le même nombre de claques sans se soucier des pleurs et des supplications de la baronne Adélaïde de Bois Blanc, cette dame avait mérité deux fessées elle devait les recevoir quelque soit la couleur de son fessier. Quand elle put se relever les fesses étaient si chaudes, qu’une légère buée s’élevait au dessus. Adélaïde fit mine de porter ses mains à ses fesses, la voix sévère d’Agathe l’en dissuada et elle remit ses mains sur sa tête. Ce qui fit sourire Agathe.
- bien maintenant tout le monde au lit, je vous rappelle que vous devez rester sur le dos et ne pas frotter vos fesses. Adélaïde, enlève tes mains de ta tête et file au lit, vite !
Quand les trois dames matures furent sagement couchées, elle leur fit à chacune un bisou sur le front. Puis elle raccrocha la tapette en cuir à son crochet, éteignit la lumière et ferma la porte. Des cris et des pleurs retentissaient encore dans le dortoir des jeunes filles. Elle posa son oreille sur la porte du dortoir deux, on entendait des petits sanglots, Miss Mélanie avait fini son travail.
La porte du dortoir trois était légèrement ouverte, elle aperçu deux jambes qui battaient l’air et une paire de fesses très rouge.
Mildred était arrivée dans le dortoir des jeunes filles avec un grand plaisir, les quatre fessiers juvéniles étaient prêt pour la fessée, la culotte du pyjama descendue au niveau des genoux. Elle prit la tapette en cuir suspendue au crochet et s’approcha doucement, par quel joli fessier allait-t-elle commencer ? Lola, Louison, Marion ou Camille ?
Camille avait un très joli derrière bien rebondi, Mildred en fut un peu jalouse, celui de Marion était d’un blanc laiteux qui devrait bien rougir et rapidement, Lola et Louison avaient des jolis derrières de jeunes filles, petit mais bien ferme. Elle décida de garder celui de Camille pour la fin et décida de faire prendre des couleurs rapidement aux blanches fesses de Marion.
Quelques instants plus tard la jeune fille braillait et battait l’air avec ses pieds. Mildred avait vu juste ce petit derrière bien blanc avait rougi rapidement et de façon spectaculaire, le cuir de la tapette était très efficace même si Mildred secrètement préférait fesser avec sa main. Le contact de sa main avec la peau nue des fesses était plus excitant.
Mais elle avait quatre fessées à administrer ce soir, la tapette en cuir s’imposait. Dès qu’elle fut remise sur ses pieds, Marion replaça ses mains sur sa tête et repris sa place au pied de son lit, sa culotte de pyjama était maintenant entortillée autour de ses chevilles.
Puis Lola et à sa suite Louison durent se coucher sur les genoux de la jeune bonne qu’à peine une semaine avant elle méprisait, elles lui présentaient leurs fesses nues de la plus honteuse des façons. Les deux fessées furent sévères, Mildred se régalait de voir danser ces jolis petits derrières qui devinrent rapidement cramoisi. Maintenant il y avait trois paires de fesses bien rouges, les culottes de pyjama entortillées autour des chevilles, seul restait le très joli derrière de Camille, il était contracté par l’angoisse, les cris et les pleurs de ses cousines ne présageaient rien de bon. Mildred l’avait gardé pour la fin c’était son dessert, elle installa bien confortablement la jeune fille sur ses genoux, puis tapota les cuisses pour les écarter, elle glissa ses doigts entre les fesses, c’était très humiliant pour Camille, mais c’était une petite revanche pour la jeune femme devenue gouvernante assistante. La fessée fut encore plus sévère que celle de ses cousines, Camille offrit un concert avec sa bouche et un ballet avec ses jambes.
C’est son petit derrière et ses jambes que Agathe avait aperçu en passant dans le couloir.
Mélanie et Agathe papotait dans la cuisine en attendant Mildred.
- alors Mélanie, qu’avez vous préférez fesser, Elodie ou Virginie ?
Mélanie avait le regard songeur, c’est vrai qu’elle s’était régalée comme d’habitude à administrer la fessée à ces dames.
- c’est difficile à dire, les deux derrières ont chacun un charme différent. Les bonnes fesses bien rebondies d’Elodie sont agréables, on a vraiment de la place pour donner la fessée.
Elle avait dit ça en riant.
- mais le derrière bien rebondi de Virginie est si blanc qu’il prend vraiment une jolie couleur pendant la fessée, le rouge lui va très bien. Cette maison est agréable, je n’ai jamais eu autant de derrière à ma disposition.
Agathe était ravie également de sa soirée, elle raconta à Mélanie par le détail, les quatre fessées qu’elle avait administré. Mélanie leva les yeux.
- quatre fessées ? tu n’avais que trois dames à punir.
Agathe lui raconta qu’elle avait jugé bon d’administrer une double fessée à Adélaïde, puisqu’elle avait reçu deux fessées dans la journée. La jeune gouvernante approuva.
- tu as eu raison, ce noble fessier a beaucoup de retard a rattraper et je pense qu’elle va avoir droit très souvent à la rémanence du soir, vu qu’elle n’est vraiment pas douée pour les tâches manuelles.
Mildred arrivait le sourire aux lèvres.
- ah, merci Mélanie pour l’achat de ces tapettes en cuir, c’est un régal quand on a quatre jolies paires de fesses à corriger. Bon c’est fini pour ce soir, nos petites chipies sont toutes dans leurs lits avec de fesses bien rouges et bien chaudes.
Mélanie précisa
- il faudra avoir un œil sur Isabelle, Sophie, Emilie et Margot demain. Il n'y a pas eu de rémanence pour elles aujourd'hui. Cela ne doit pas arriver trop souvent car cela n'aide pas à la progression de leur éducation.
Ses deux assistantes hochèrent la tête puis elles burent un verre à la santé des fesses des dames du château et allèrent se coucher satisfaites.
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