Chapitre 2. Cuisine et ménage
Travailler dans la cuisine n'était pas non plus une partie de plaisir. Christine, sa nièce Isabelle et sa petite-nièce Lola avaient été affectées aux travaux de cuisine, c'était le repaire d'Agathe, elle était la maîtresse absolue ici.
Elle les fit se mettre debout devant elle, puis elle prononça un petit discours dans lequel elle souligna que toutes les trois, comme les autres membres de la famille l'avaient traitée, elle et Mlle Mildred et plusieurs autres personnes, d'une manière hautaine et irrespectueuse auparavant. Elle leur expliqua que cela allait changer à partir de maintenant.
Elles durent déboutonner leur blouse dans le dos, seul le bouton du haut resterait fermé. Agathe avait pris trois cuillères en bois de différentes tailles sur le mur, ses nouvelles subordonnées avaient obéi sans un murmure, elle leurs demanda ensuite de retirer leur culotte et de les accrocher à des crochets au mur, il y eu un gémissement de désapprobation.
Agathe gronda et frappa sa paume de manière audible à plusieurs reprises avec la plus petite cuillère en bois
- si j'entends encore quelque chose comme ça, je chercherai quelque chose de plus douloureux après avoir utilisé ces cuillères en bois.
Les gémissements cessèrent, les yeux de Lola était humide. Agathe sourit, elle tira un tabouret de cuisine et s'assit dessus. Toujours souriante, elle regarda les trois et demanda gentiment,
- qui voudrait passer sur mes genoux en premier, mes chéries?
Toutes baissèrent les yeux et restèrent silencieuses.
- bien ! Je pensais que six claques pourraient suffire, donc je vais compter jusqu'à trois, si aucune volontaire ne se présente, je passerai à une douzaine !
Rapidement, elle commença à compter "Un".
- moi ! je veux être la première à me coucher sur vos genoux, miss Agathe
Lola avait crié en se précipitant vers la cuisinière.
- vous devriez prendre exemple sur Lola, elle est plus courageuse que vous n’est-ce-pas Isabelle et surtout toi, Christine,
Elle avait dit ça d’un ton réprobateur en installant la benjamine sur ses genoux. La blouse déboutonnée de Lola glissa de gauche à droite, exposant les jolies petites fesses bien fermes de la jeune fille.
- vous compterez tous les deux pour Lola !
Agathe avait donné cette ordre en même qu’elle donnait la première claque avec la plus petite des trois cuillères en bois, un claquement sec retentit. Suivi d'un "Aïe!"
La grand-tante et la tante dirent ‘’un’’ en même temps. Agathe répartit uniformément les coups sur les fesses et les cuisses. Les battements des pieds et le tortillement désordonné des fesses qui s'ensuivirent ne la dérangeait pas.
Les deux spectatrices durent compter de plus en plus fort pour étouffer les cris de Lola. A chaque coup leur peur de ce qui allait bientôt leur arriver grandissait.
Quand ce fut fini, elles avaient toutes les deux les larmes aux yeux, principalement à cause de l'embarras que leur causait cette fessée. Elles ne s'étaient pas encore complètement habituées à être corrigées par les anciennes domestiques.
Agathe avait remis sur ses pieds Lola qui pleurait, machinalement ses mains montèrent à sa tête, bien qu'elles auraient de loin préféré se diriger vers ses fesses brûlantes. Mais l'interdiction de frotter ses fesses était en vigueur ici depuis de nombreuses générations, elle s'était donc transmise au corps et à l'âme.
Agathe regarda deux paires d'yeux remplis de larmes.
- maintenant, qui ?
Elle avait dit ça calmement, aussitôt Isabelle se précipita vers elle.
- moi ! moi, s'il vous plaît !
elle pleurait, mais elle avait devancé sa tante Christine, qui avait elle aussi fait un pas vers Agathe. Ni l'une ni l'autre ne voulaient assister à une autre démonstration leur montrant ce qui allait arriver ensuite à leurs fesses. Agathe sourit et s'étonna qu’elles n'aient pas appris depuis longtemps qu'être la première à être punie était tout simplement mieux.
- trop tard Christine ! Il te faut encore compter maintenant, mais ta chère petite-nièce va sûrement t'aider ! N'est-ce pas, Lola ?
- oui, Miss Agathe ! Oui, oui je compte !
Lola avait répondu en sanglotant. La suite s'est passée comme avant avec Lola, sauf que cette fois la cuillère en bois moyenne a été utilisée car elle convenait mieux au derrière bien arrondi et ferme d'Isabelle.
Puis ce fut au tour de Christine, elle sanglotait déjà lorsqu'elle se coucha sur les genoux d'Agathe. Cette fois, c'étaient deux dames en pleurs qui devaient compter. La grande cuillère de cuisine fut utilisée sur ce large et volumineux fessier. Le processus ne différait guère de celui des deux autres punies. Mais quand Christine fut remise sur pied, Agathe n’était pas satisfaite de la mollesse de ses fesses et de ses cuisses et annonça qu'elle parlerait à la gouvernante pour savoir s'il ne fallait pas programmer quelques séance de musculation pour que les fesses de Christine soient plus ferme. Christine sanglotait encore trop fort pour protester, mais de toute façon elle n'aurait probablement pas osé le faire.
Agathe leur annonça ensuite que la même procédure aurait lieu désormais tous les matins et jusqu’à nouvel ordre. Il n’y eu aucun commentaire d’aucune des trois, bien que leurs yeux larmoyants s'écarquillèrent de frayeur, Agathe précisa que ces punitions ne compteraient pas pour la rémanence du soir. C'est du moins ce qu'elle recommanderait à la gouvernante.
Puis elle précisa ce qu'elle attendait d'elles trois le lendemain matin. Dès qu'elles entraient dans la cuisine, elles devraient déboutonner les blouses de l’une et l'autre comme elles l’avaient fait ce matin et accrocher aussi leur culotte aux patères.
Il y avait deux choses qu'elle ne pensait pas devoir mentionner parce qu'elles semblaient évidentes. La culotte resterait sur les crochets pour le reste du temps où elles seraient dans la cuisine et bien sûr elles sentiraient à nouveau les cuillères en bois sur leurs fesses demain matin comme elles l'avaient expérimenté maintenant.
Comme mentionné au début, travailler dans la cuisine n'était donc pas vraiment une partie de plaisir.
Et cela fut également vrai pendant la suite de la matinée, car les trois nouvelles aides de cuisine étaient largement inexpérimentées en matière de travail de cuisine. De plus, elles considéraient ce genre de travail comme indigne de leur rang. Cela faisait bien sûr partie de l'arrogance pour laquelle elles avaient déjà été punies et pour lesquels elles seraient punies jusqu’à nouvel ordre chaque matin.
Agathe n'avait pas remis les cuillères en bois sur leurs crochet, mais les avaient posé sur la commode. Elle distribua le travail et expliqua comment le faire, elle leur fit remarquer à quel point elle pensait qu'elles étaient extrêmement incultes dans le domaine du travail de cuisine. Elle leur parlait comme à de jeunes apprenties gâtées et inutiles.
L'aînée devait éplucher les pommes de terre elle a essayé de s’appliquer mais ce qu'elle a épluché était beaucoup trop épais pour la cuisinière.
- nous ne voulons pas gaspiller de nourriture, n'est-ce pas, ma chère Christine !
Elle a pris la pomme de terre et le couteau d'office des mains de la noble dame de 53 ans et lui a montré à quel point elle voulait que la peau soit fine.
Puis elle lui rendit les deux et elle glissa sa main dans la fente arrière de la blouse et tapota les fesses nues encore chaudes.
- travaille bien ma chérie, sinon... tu sais bien ce que je vais devoir faire n’est ce pas ?
- Oh, s'il vous plaît, Miss Agathe, oui je sais, vous allez utiliser la grosse cuillère sur mon postérieur ! S'il vous plaît, ne le faites pas, je vais faire de mon mieux. Je vous le promets !
Christine avait les larmes aux yeux, Agathe se mit à rire amusée
- postérieur ? Comme tu t'exprimes avec éloquence. Mais je pense qu’on va utiliser des mots usuels pour parler de ça, d'accord ? par contre tu vas toujours le faire précéder de l'attribut ''gros'' tu es d’accord ?"
Christine avait appris depuis quelque temps qu'elle devait répondre à chaque question par principe avec des phrases complètes. Et peu importe à quel point c'était embarrassant.
- oui, Miss Agathe ! Oui ! J'utiliserai toujours des mots normaux pour cela désormais. Désolé, Miss Agathe ! Et j'ajouterai toujours ''gros’', Miss Agathe !
Christine était au bord des larmes. Mais Agathe continuait ce petit jeu embarrassant avec grand plaisir.
- comment l'appellerais-tu maintenant, Christine ? Donne moi un exemple, s'il te plaît !
Il était facile de voir à son ton qu'elle essayait de taquiner et d'humilier Christine. Mais l'infortunée dame ne pouvait y échapper. En rougissant, elle dit doucement
- gros cul, Miss Agathe ?
- eh bien, ça n'a pas besoin d'être si vulgaire. ‘’ gros derrière’’ ferait l'affaire. Ça n'a pas l'air si embarrassant, n'est-ce pas, Christine ?"
- c'est... c'est bien, Miss Agathe. Oui ' gros derrière’’ ça sonne bien."
Et alors, cédant à un élan intérieur qui montrait à quel point elle voulait plaire à la cuisinière, elle ajouta humblement et tranquillement
- c'est vrai, Miss Agathe, j'ai des fesses très grosses !
Agathe était ravie.
- je suis contente que nous soyons d'accord là-dessus ! Mais peux tu le dire un peu plus fort pour que ta nièce et ta petite-nièce puissent l'entendre clairement ?
Les deux n'avaient pas osé regarder auparavant, mais maintenant elles se tournèrent vers la scène et virent à quel point le visage de Christine était rouge de honte.
Christine a d'abord dû se racler la gorge, puis elle a déclaré haut et fort, bien qu'avec un léger tremblement dans la voix
- mes fesses sont si grosses qu'il faut dire que j’ai un gros derrière !
- c’est bien ! maintenant, tu continues à peler rapidement et avec une peau fine !
Elle a doucement claqué le ‘’gros derrière’’ de Christine. Et l'a laissée seule.
Isabelle avait pour tâche de nettoyer les légumes, aujourd'hui, il y avait des carottes avec des oignons.
Agathe lui montra d'abord comment gratter les carottes. Puis elle lui rendit le couteau et lui dit
- fais attention. Le couteau est tranchant. Ne te blesse pas !
Comme si Isabelle ne s'en était pas rendu compte. Mais elle avait décidé de lui parler comme à une petite fille stupide.
Agathe regarda un instant. Et quand elle constata qu’Isabelle grattait bien les légumes, elle est allée voir Lola.
Il y avait beaucoup de bœuf frais devant Lola. Elle ne savait pas quoi en faire. Lorsqu'elle s'est rendu compte que la cuisinière s'était approché d'elle, elle s'est mise à pleurer.
- miss Agathe, je suis tellement désolé, mais... mais je ne sais pas... sais...
Agathe rit et serra affectueusement la jeune fille dans ses bras.
- bien sûr que tu ne le sais pas. Comment pourrais-tu ? C'est pourquoi je ne donnerai pas de fessée à ton petit derrière, ma chérie !
Elle passa la main dans la fente de la blouse et caressa les fesses nues et fermes. Une chaleur résiduelle de la fessée avec cuillère en bois était encore présente.
- oh, merci, Miss Agathe !
Même si la caresse sur ses fesses la rendaient peu sûre d'elle, elle était heureuse de ne pas être à nouveau punie pour le moment.
Agathe lui a montré comment couper le bœuf en morceaux, puis le mettre dans le hachoir à viande et le presser avec un tampon en bois.
- quand tu auras fini avec ça, je te montrerai la prochaine étape pour faire des boulettes de viande.
Puis elle lui claqua les fesses pour l’encourager à se mettre au travail. Agathe est ensuite retournée auprès de Christine, celle-ci a immédiatement recommencé à pleurer.
- s'il vous plaît Miss Agathe, s'il vous plaît ne me punissez pas. Je ne peux pas aller aussi vite et la main avec laquelle je tiens les pommes de terre me fait très mal maintenant. J'ai essayé l'autre main aussi, mais je ne peux pas éplucher avec ma gauche !
Elle pleurait
- et oui, c'est ce qui arrive quand on pense qu’on est trop intelligente pour travailler ! Tu penses que ça aiderait si ton gros derrière te faisait plus mal que ta pauvre main ? Dis-moi, Christine ! Agathe était beaucoup plus intransigeante avec Christine qu'avec Lola.
- comment... comment... qu'est-ce que vous voulez dire, Miss Agathe ?
Christine avait compris, elle s’est mise à supplier
- oh non, Miss Agathe. S'il vous plaît, ne me punissez pas. Je vais continuer ! la main ne me fait pas si mal. S'il vous plaît, ne me frappez pas ! S'il vous plaît, s'il vous plaît !
Et elle a rapidement continué à peler en pleurant.
Quand Agathe revint vers Isabelle, elle se mit à rire à nouveau. Elle pleurait et essuyait des larmes de ses yeux.
- ah, tu ne savais pas, petite idiote, que les oignons piquent les yeux quand tu les coupes ?
Puis de retour vers Lola, elle lui montra comment casser des œufs et les mettre dans le bol avec la viande hachée, ensuite Lola dut verser de la chapelure, du poivre et du sel.
Mais quand Agathe lui a dit qu'elle devait maintenant pétrir cela avec ses mains jusqu'à ce que ce soit une masse homogène, Lola a poussé un cri et s'est éloignée du bol.
- non, non, je ne peux pas. C'est dégoûtant. Non, non !
Elle a même mis ses mains derrière elle pour les éloigner le plus possible du bol.
- qu'est-ce que ça veut dire ?
Agathe avait pris un air menaçant.
- oh s'il vous plaît, Miss Agathe ! Je suis tellement dégoûtée !
- on va voir ça, Lola !
Elle pointa du doigt le bout du buffet où se trouvaient les cuillères en bois et siffla avec colère
- prends ta cuillère en bois et donnez-la-moi, vite !
Son ton était si sévère que Lola n'a pu que dire
- oh s'il vous plaît, Miss...
Puis elle se précipita vers les cuillères en bois, quand elle fut revenue, Agathe n'arrêtait pas de gronder.
- tais-toi, encore un mot et ce sera bien pire.
Et quelques secondes plus tard, les mains de Lola étaient sur la table, elle était penchée en avant et son petit derrière sortait de la blouse fendue.
- tu restes comme tu es, Lola !
Agathe avait parlé sévèrement et soudain une avalanche de coups de cuillère en bois tomba sur le petit derrière bien ferme et tendu.
Lola fit de son mieux pour être courageuse, et au moins au début elle y réussi et l'objectif de la cuillère de cuisine, c’est à dire ses fesses restait toujours facile à atteindre, bien sûr elle se tortillait et piétinait sur place mais elle fini quand même en hurlant et pleurant bruyamment.
Une seule punition de plus eu lieu dans la cuisine ce matin-là. Christine n'avait pas été capable de peler rapidement tout en gardant des pelures suffisamment fines et elle faisait des pause de plus en plus fréquentes à cause de sa main douloureuse
Sa punition fut similaire à celle de Lola, sauf qu'en raison de son derrière beaucoup plus large et rebondi, Agathe dut lui donner beaucoup plus de claques et ce qui avait été un léger piétinement avec Lola fut une magnifique danse des fesses avec sa grand-mère.
La cuisinière fit alors remarquer à Christine et Lola que la gouvernante avait choisi le tableau noir inutilisé de la salle à manger pour y noter qui avait reçu une punition dans la journée, pour qu'on sache qui devait subir la rémanence au coucher. Christine dut donc y écrire son nom à la craie pour qu’on ne l'oublie pas ce soir, il en fut de même pour Lola, bien sûr.
Les deux se mordaient la lèvre pour ne pas pleurer, elles avaient oublié un instant que toute punition donnait droit à une rémanence. Et maintenant, elles allaient avoir à l'esprit toute la journée, que ce soir au plus tard, l'éclat de leurs fesses, bien que de formes et de tailles très différentes serait rehaussé par le rouge d'une bonne fessée..
Seule Isabelle avait eu la chance de ne pas avoir à mettre son nom au tableau, Agathe leurs avait dit que les premiers coups de cuillère n'étaient pas une punition et que cela resterait également vrai pour chaque utilisation matinale de la cuillère en bois sur leur derrière dénudé.
Miss Mélanie regardait en souriant les trois dames qui étaient chargées de faire le ménage. Sans se concerter avec Agathe elle eu la même idée
- vous allez déboutonner vos blouses sauf le bouton du haut, je veux que vos fesses soient accessibles rapidement.
Les trois se regardèrent, elles savaient que miss Mélanie ne tolérait pas les récriminations, elles obéirent.
- maintenant tournez vous et tenez vos blouses écartées que je voies bien vos culottes.
Elle avait devant elle trois fessiers bien moulé dans de sages petites culottes blanches. Elle s'approcha et saisit la culotte d'Irène qu'elle descendit en la retournant de façon à ce que le fond de la culotte soit bien visible, Irène poussa un petit cri mais ne bougea pas,
Mélanie fit de même avec les culottes d'Elodie et Camille. Les trois paires de fesses étaient maintenant bien exposées, les culottes retournées comme si la jeune gouvernante avait voulu en vérifier la propreté, ce n'était pas le but recherché mais en faisant cela elle infantilisait un peu plus ces dames nobles et prétentieuses qui étaient ramenées à ce moment là au rang de fillette déculottée par leur gouvernante. Elle caressa les fesses tendues vers elle, le petit derrière d'Irène, le fessier dodu et large d'Elodie et la très mignonne paire de fesses bien rebondie de Camille. Seules les fesses d'Irène étaient encore un peu rose de la fessée matinale de Mildred, les autres paires de fesses étaient bien blanches et serrées par l'angoisse.
- c'est bien, vos fesses sont en parfait état pour recevoir une bonne fessée si vous la méritez.
Elle prit la règle plate en bois posée sur le bureau.
- cet instrument est très efficace sur les fesses des paresseuses. Vous pouvez remonter vos culottes.
Puis elle distribua les tâches, Irène fut chargée de passer l'aspirateur, Elodie devait nettoyer les meubles de la salle à manger et Camille faire la poussière de tous les livres de la bibliothèque. Les trois dames se mirent au travail, Mélanie travaillait sur son ordinateur mais levait les yeux de temps en temps pour les surveiller. Elle vit qu'Elodie s'était arrêtée de frotter les meubles.
- Elodie ! Pourquoi t'es tu arrêtée ?
- pardon miss Mélanie, mais je suis fatiguée, je crois que je suis malade.
C'était une excuse traditionnelle pour les paresseuses, miss Mélanie en avait l'habitude chez les adolescentes mais elle ne pensait pas qu'une dame adulte utiliserait ce subterfuge. Elle se mit à sourire, ouvrit le tiroir de son bureau pour y prendre un thermomètre et se leva.
- et bien, on va vérifier ça ma chérie, viens ici.
Elodie avait pâlit en voyant le thermomètre dans la main de Mélanie. Elle essaya de protester.
- mais, mais... non, non miss Mélanie, je crois que ça va aller.
Mélanie s'était assise sur une chaise et avec son doigt elle fit signe à Elodie.
- dépêche toi Élodie, je n'ai pas de temps à perdre !
- mais miss Mélanie que voulez-vous faire ?
Elodie était paniquée mais elle approchait quand même. Dès qu'elle fut à sa portée, la jeune gouvernante lui saisit la main et la tira pour la faire basculer en travers de ses genoux. Les deux pans de la blouse s'écartèrent naturellement découvrant la culotte blanche tendue sur le large fessier.
- je vais vérifier si tu es vraiment malade ma chérie, on va prendre ta température, c'est le meilleur moyen.
Elodie se mit à crier et à pleurer.
- Nooon, s'il vous plaît miss, non pas la température...
Mélanie lui claqua sèchement le haut des cuisses.
- cesse ces jérémiades immédiatement !
Puis elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la fit descendre jusqu'à mi cuisses. Le large fessier s'étalait maintenant devant ses yeux, les fesses étaient crispées par l'angoisse. Mélanie les tapota.
- il va falloir déserrer ces jolies fesses ma chérie, sinon miss Mélanie va te donner la fessée.
Elle parlait à cette maman comme si elle était une fillette. Elodie était atterrée, elle allait se faire prendre la température comme quand elle était une petite fille, en plus elle avait toujours détesté ça, ce qui lui avait valu d'avoir les fesses bien rouges de nombreuses fois.
Irène et Camille avait cessé leur travail pour regarder le spectacle. Elle ressentait un peu de pitié pour cette dame subissant ce traitement humiliant, cependant Camille pensait qu'elle l'avait quand même un peu mérité.
Mélanie avait écarté avec deux doigts les larges fesses un peu molles, elle pensa qu'il lui faudrait prévoir un peu de gymnastique pour muscler ce derrière.
Elodie pleurait maintenant mais elle se laissait faire, l'embout froid du thermomètre était maintenant contre son anus, il le força lentement, la jeune femme ne put s'empêcher de contracter à nouveau ses fesses.
Calmement, Mélanie reposa le thermomètre et administra une vingtaine de claques sur chaque fesses, Elodie se mit à crier et à battre des pieds.
- tu as intérêt à te laisser faire ma chérie, tes fesses sont vraiment bien présentées et ma main peut s'en occuper encore !
Les fesses d'Elodie étaient déjà un peu rouges quand Mélanie les écarta à nouveau, le thermomètre pénétra sans peine cette fois-ci. La jeune gouvernante avait l'habitude de prendre la température rectal, c'était même sa spécialité, elle fit pénétrer très profondément le thermomètre pour qu'il ne ressorte pas.
Camille regardait les fesses bien dodues de sa tante avec juste le petit bout de verre qui dépassait au milieu, c'était un spectacle un peu excitant mais inquiétant également. Elle se jura de tout faire pour éviter une telle humiliation. Mélanie regardait en souriant les deux spectatrices.
- nous allons voir si Elodie est vraiment malade, vous pouvez continuer à travailler, elle va rester sur mes genoux un moment.
Elle fit coulisser un peu le thermomètre pour vérifier qu'il restait bien en place, puis elle s'adressa à la punie.
- tu vas garder ce thermomètre pendant 5 minutes ma chérie, comme ça je serai bien sûr du résultat. Si tu as de la fièvre je te mettrai un suppositoire, sinon tu recevras une bonne fessée. Tu es en parfaite position pour les deux hypothèses.
Elodie pleurait doucement, la jeune femme prétentieuse avait disparu, il ne restait maintenant qu'une petite dame la culotte baissée, les fesses bien exposées avec un thermomètre planté au milieu et qui regrettait amèrement sa paresse.
Évidemment Elodie n'avait pas de fièvre, Mélanie appela Camille.
- ma chérie, peux-tu m'apporter la règle plate qui est posée sur mon bureau.
Elodie se mit à pleurer plus fort.
- non, non, miss s'il vous plaît, pas la règle...Nooon.
Camille avait donné la longue règle plate en bois à la gouvernante, la fessée pouvait commencer.
Elle fut très sévère, chaque coup laissait une large trace rouge qui barrait les fesses, bientôt la plantureuse croupe fut d'un rouge uniforme, la règle claqua également l'arrière des cuisses. Elodie hurlait et ses jambes battaient l'air désespérément, Mélanie qui avait l'habitude la tenait fermement par la taille, seul le bas de son corps pouvait bouger, ses fesses dansaient au rythme de la fessée. Sa culotte avait glissé et était enroulée autour de ses chevilles. Camille ne pouvait quitter du regard ce beau fessier qui était maintenant semblable à deux grosses tomates bien mûres. Elle sentit une petite humidité dans sa culotte. Sa tante avait des fesses un peu grosses mais elle les trouvait vraiment très belles à ce moment là.
Quand Elodie put se relever des larmes coulaient sur ses joues, Mélanie lui fit lever les pieds pour lui enlever complètement la culotte et épingla les deux pans de la blouse pour que ses fesses écarlates restent bien visible.
- tu vas nous montrer tes jolies fesses toute la matinée. Si tu ne travailles pas bien, elles sont prêtes pour une autre fessée.
Mélanie claqua le derrière rougi pour indiquer à Elodie qu'il lui fallait reprendre son chiffon pour frotter les meubles.
Elle avait remarqué les joues rouges et le regard intéressé de Camille pendant qu’elle fessait Elodie, elle sourit et pensa ‘’toi ma petite tu as pris du plaisir à voir ta tante danser sur mes genoux, on va voir si tu prends autant de plaisir à recevoir la fessée’’.
Son plaisir de mettre à nu et de fesser un petit derrière juvénile l’excitait à nouveau, quand elle l’avait déculottée, elle avait apprécié ses jolies fesses bien rebondies et déjà formée comme des fesses de femme. Enlever toute la poussière des livres était une tâche presque impossible, Mélanie le savait. Elle sorti un mouchoir blanc de sa poche et se dirigea vers la bibliothèque, elle le passa sur une étagère, évidemment il y avait des traces de poussière sur le mouchoir. Elle saisit immédiatement l'oreille de Camille et se dirigea vers la chaise qui avait servi pour la fessée d'Elodie, en passant elle avait pris la règle sur son bureau.
- viens avec moi ma chérie, je crois qu'il faut que je t'explique un peu mieux comment faire le ménage. Comme tu n'as pas bien compris miss Mélanie va avoir une discussion avec ton joli derrière.
Camille était maintenant couchée sur les genoux de la jeune gouvernante, la blouse s'était à nouveau écartée, la jeune fille portait une culotte blanche avec un liseré de dentelle au niveau des cuisses. Mélanie baissa rapidement la culotte, elle était pressée de découvrir à nouveau cette jolie paire de fesses. Comme à chaque fois les fesses de la punie étaient serrées par l'appréhension. Mélanie souriait, son plaisir était évident, elle voulu vérifier si elle avait vu juste, elle glissa sa main entre les cuisses pour les écarter et ses doigts examinèrent l'intimité de Camille. L'humidité présente sur ses doigts confirmait son pressentiment. Cette petite aimait la fessée, Mélanie se rappelait son adolescence au collège, elle aussi prenait du plaisir quand une de ses camarades exposait ses fesses nues et recevait la fessée. Peut être que Camille aurait l’occasion un jour de donner la fessée, mais pour le moment c'était elle qui allait se faire rougir les fesses.
Fidèle à son habitude Mélanie commença par une fessée avec la main, ce ne fut pas un simple échauffement, rapidement Camille se mit à crier et à battre des pieds, ses fesses s'ouvraient largement, elles étaient maintenant bien rouges.
Mais ce n'était bien sûr pas suffisant pour la gouvernante, elle prit la règle et commença la vraie punition. Camille hurlait sous la brûlure, elle se débattait sur les genoux de Mélanie. Depuis la prise de fonction de miss Mélanie c'était la première fois qu'elle était punie par celle-ci. Elle allait sans doute se souvenir de cette première fessée.
Ses fesses étaient d'un rouge profond quand Mélanie la fit se relever, elle lui enleva également la culotte et épingla sa blouse dans le dos comme elle l'avait fait pour Elodie.
- allez, maintenant au travail !
La main avait claqué fermement les fesses brûlantes. Les deux culottes étaient posées bien en évidence sur le bureau et deux fessiers bien rouges s'activaient dans le bureau et la grande salle.
À midi les deux punies purent remettre leurs culottes, mais Mélanie leurs expliqua le tableau noir, où était déjà écrit les noms de Christine et Lola. Elodie inscrivit son nom ainsi que Camille, comme Irène ne bougeait pas, miss Mélanie lui fit remarquer que ce matin Mildred lui avait donné une bonne fessée dès le réveil. Irène en rougissant pris la craie.
Louison, Virginie, Marion et Adélaïde étaient entrées dans la pièce suivie par Mildred, elles durent elles aussi noter leurs noms sur le tableau.
Mélanie regardait en souriant le tableau, elles allaient avoir du travail ce soir. Elle s'approcha et pris la craie, à côté du nom d'Adélaïde elle nota le chiffre deux. Adélaïde semblait ne pas comprendre.
- tu as déjà reçu deux fessées ma chérie, je l'ai noté pour que ta rémanence soit plus sévère.
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