lundi 8 mai 2023

Le manoir des dames suite 1

Voilà une suite du récit écrit à deux mains avec mon amie Agnès. Pour les nouveaux venu sur mon blog, je vous invite à lire la première partie puisque c'est la suite de la vie au manoir de "bois blanc". 

Comme pour la première partie le récit est divisé en plusieurs chapitres que je vais publier régulièrement.

Je vais également vous remettre le casting pour que vous suiviez plus facilement ce récit avec de nombreux personnages.


Casting :

La Baronne Adélaïde de Bois Blanc âgée de 75 ans fessier rebondi et dodu

     Irène, fille d'Adélaïde âgée de 55 ans  petit fessier         

                        Virginie, fille d'Irène 35 ans    large et beau fessier blanc laiteux

                                                                   Lola sa fille 18 ans  petit fessier bien ferme et blanc

                                                                   Marion sa fille 16 ans fessier bien rebondi  blanc laiteux

                         Isabelle, fille d'Irène 33 ans    fessier rebondi et ferme

                                                                   Camille sa fille 14 ans fessier bien rebondi

 

   Christine, fille d'Adélaïde âgée de 53 ans  fessier volumineux et souple      

                           Sophie, fille de Christine 34 ans  petit fessier très musclé

                                                                  Louison sa fille 15 ans petit fessier bien ferme

                                                                  Emilie sa fille 14 ans petit fessier bien ferme                                           

                          Elodie, fille de Christine 33 ans   fessier dodu       

                                                                   Margot sa fille 15 ans fessier bien rebondi et potelé

 

 

Le personnel :

Miss Simpson gouvernante âgée de 70 ans vient de prendre sa retraite.

Miss Mélanie Scott nouvelle gouvernante âgée de 30 ans

Agathe la cuisinière âgée de 45 ans

Mildred la femme de chambre âgée de 19 ans 


Bonne lecture


 Une journée au manoir



 

Tout les soirs miss Mélanie réunissaient Mildred et Agathe pour décider de la répartition des tâches du lendemain.

Il fallait désigner les dames du manoir pour les trois tâches, la cuisine nécessitait 3 personnes, le ménage également, le reste des dames devaient entretenir le parc.

Les générations étaient réparties équitablement. Pour le lendemain elles avaient décidé ainsi.

Irène serait au ménage, Christine à la cuisine car Agathe aimait beaucoup l’avoir pour la seconder, elle appréciait son gros et large fessier quant à Adélaïde elle serait affectée à l’entretien du parc.

Pour les filles, Isabelle serait en cuisine, Elodie au ménage, tandis que Virginie et Sophie serait affectée au jardin.

Les petites filles étaient réparties ainsi, Lola à la cuisine, Camille au ménage, les quatre restantes devaient aller entretenir le parc.

Pour surveiller le travail, Agathe était bien sûr à la cuisine avec toujours à portée de main sa grosse cuillère en bois, Mélanie avait du travail à l’intérieur, elle proposa de surveiller le ménage ainsi Mildred allait superviser le nettoyage du parc.

Pour ces activités la gouvernante avait décidé de nouvelles tenues, pour le ménage et en cuisine les dames devaient mettre une blouse qui se boutonnait dans le dos, elle ne devait porter dessous que leur culotte et un soutien gorge. Pour l’extérieur elle avait fait confectionner des petits shorts de couleur verte assez court et moulant que les dames portaient avec un simple tee-shirt, bien sûr elle ne pouvait pas porter des bas donc elles devaient mettre des socquettes. Ce n’était pas très gênant pour les plus jeunes mais c’était assez embarrassant pour les générations plus âgées.

Mildred était chargée de réveiller tout le monde, elle en profitait pour donner les postes de travail pour la matinée. Comme c'était le premier matin dans les dortoirs, elle distribua également les nouvelles tenues, elle s'attendait à quelques grimaces et comptait marquer son autorité par la même occasion. Elle commença par la chambre des aînées.

- debout mesdames ! Je vous pose les tenues et je reviens.

 Elle ouvrit toutes les chambres avec la même consigne. Puis laissant les portes ouvertes elle revint dans la première chambre, Christine s'était déjà habillée, Irène et Adélaïde était encore en tenue de nuit, regardant la blouse pour Irène et le petit short pour Adélaïde. La jeune bonne fronça les sourcils.

- qu'est ce que c'est que ça ! Vous voulez peut être que je vous aide à vous habiller ?

Irène lui demanda timidement.

- mais miss, vous m'avez dit que je ne devais rien mettre à part ma culotte, je ne comprends pas pourquoi ?

- ma petite Irène, je crois que tu n'as pas encore compris qu'il ne fallait pas discuter. Viens ici !

Irène était encore en chemise de nuit, il fut facile à la jeune bonne de lui mettre les fesses à nu après l'avoir courbée sous son bras. Les petites fesses de la dame de 55 ans étaient serrées par l'appréhension, cette position lui rappelait son enfance quand elle était gamine et que son institutrice la fessait pour une bêtise. La main ferme de Mildred se mit à claquer les fesses tendues. En quelques instants elles furent rouges, Irène criait et piétinait sur place, Mildred la tenait fermement par la taille. Toutes les pensionnaires de l'étage furent au courant que la journée commençait de façon bien cuisante pour une grand-mère. Quand elle fut relâchée, Irène porta instinctivement ses mains à ses fesses pour essayer d'atténuer la brûlure, c'était interdit mais Mildred trouvait cela si mignon de voir cette dame mature se frotter les fesses comme une petite fille, qu'elle la laissa faire. Elle se tourna vers la baronne qui était très pâle

- Adélaïde ! Venez ici, vite !

Mildred avait décidé de marquer les esprits dès le matin. L'aînée de la famille approcha timidement, elle avait perdu toute sa superbe. Mildred la courba à son tour sous son bras et retroussa la chemise de nuit, les larges fesses blanches de la baronne Adélaïde De Bois Blanc étaient maintenant exposées à la vue de ses deux filles, la main de Mildred claqua joyeusement ce noble fessier. Quel plaisir et quel revanche de voir les fesses rebondies se serrer puis s'ouvrir au rythme du châtiment enfantin. La fessée fut courte mais suffisamment sévère pour que les fesses soient d'un beau rouge éclatant.

Quelques instants plus tard Irène avait revêtu sa blouse, Christine l'avait aidé à la boutonner dans le dos. Adélaïde avait enfilé le petit short vert qui moulait parfaitement son plantureux derrière, il était si court que quand elle se baissait on pouvait voir la base de ses fesses rouges, l'arrière de ses cuisses étaient également rouge, si bien que même les personnes qui n'avait pas entendu la punition, savait qu'elle avait reçu la fessée cul nu dès le matin.

Dans les deux autres dortoirs, le bruit de la fessée avait incité tout le monde à mettre la tenue prévue sans discuter.

Mildred est directement allé voir Miss Mélanie, pour lui raconter l'incident du dortoir.  La gouvernante fronça les sourcils et se rendit dans la salle à manger où toute la famille devait se réunir pour l'appel du matin. Cela faisait aussi partie des nouvelles règles.

- Adélaïde ! Irène ! Venez me voir !

Rouge de honte les deux dames matures se levèrent, tout les yeux étaient dirigés vers elles et notamment le fessier d'Adélaïde moulé dans le short et l'arrière de ses cuisses encore rougies. Arrivée devant la gouvernante, elle baissèrent les yeux comme des élèves prise en faute.

- alors, comme ça vous avez désobéi dès le matin ?

Mélanie leurs parlaient volontairement comme à des enfants.

- tournez vous !

Adélaïde et Irène s'exécutèrent, elles tournaient maintenant le dos à l'assemblée, Mélanie saisit la ceinture du short et le descendit en même temps que la culotte jusqu'à mi cuisse. La baronne avait poussé un petit cri mais s'était laissée faire, maintenant son large fessier bien rouge était exposé à la vue de tout le monde. Déjà Mélanie avait déboutonné la blouse d’Irène pour écarter les deux pans et dégager la croupe puis elle lui avait également baissé la culotte. Un petit "oh" de surprise parcouru l'assemblée. Les deux paires de fesses rouges étaient parfaitement présentées.

- c'est bien miss Mildred vous a donné la fessée que vous méritiez ! Mettez vos mains sur la tête, vous resterez là jusqu'à la fin du petit déjeuner.

Adélaïde avait les larmes aux yeux depuis l’arrivée de miss Mélanie Scott, elle avait subi bien des humiliations, mais celle-ci était la plus terrible. Les autres fois quand elle avait été mise au coin, tout les membres de la famille y étaient  également, cette fois elle n’était accompagnée que de sa fille Irène. Ses petites filles et même ses arrières petites filles pouvaient contempler son derrière bien rouge.



 La dernière fois que cela lui était arrivé elle était beaucoup plus jeune, c’était sa gouvernante de l'époque qui l’avait mis au coin après l’avoir fessée en présence d’autres membres de la famille, elle n’était pas encore "la baronne". Depuis cette date c’est elle qui généralement baissait les culottes et quand elle était punie par Miss Simpson c’était dans l’intimité de ses appartements et personne ne la voyait au coin avec les fesses rouges. C'était ce privilège que miss Scott avait aboli lors de sa prise de fonction à la grande honte d’Adélaïde.
Le petit déjeuner paru bien long aux deux punies, puis Miss Mélanie tapa dans ses mains pour signifier qu’il fallait se mettre au travail. Les deux dames purent donc se reculotter et cacher leur derrière.

Le groupe avec le short vert dut se lever et se mettre en rang par deux. Les dames y compris les plus âgées devaient se tenir la main comme des enfants de maternelle. Louison, une jeune fille de quinze ans très gênée par la situation avait pris la main de son arrière-grand-mère. Elles formaient le premier couple de la rangée, la jeune femme avait une demi-tête de plus que la baronne.

Mildred fit démarrer son groupe en marchant rapidement. Souriante, la gouvernante les suivit des yeux jusqu'à ce que la porte de la salle se referme sur elles. C'était vraiment une bonne idée de faire des deux employées de maison ses adjointes. Mildred en particulier semblait très intéressée par ses nouvelles tâches.

Une fois dehors, Mildred conduisit les shorts verts à travers la pelouse jusqu'au bois de bambou. Avec stupeur, elles l’ont vu couper une longue tige de bambou mince et encore verte avec des ciseaux roses, puis détacher les feuilles. Ce n'est que lorsqu'elle eut terminé qu'elle se retourna lentement vers les jardinières, qui se tenaient toujours la main.

En guise de test, elle fit siffler la canne dans les airs à plusieurs reprises. Pour son plus grand plaisir, Mildred vit comment, sans exception, tous les yeux s’écarquillaient, elle avait une idée derrière la tête.

- vous pouvez lâcher vos mains maintenant, mes chéries. Et pour que vous ne sous-estimiez pas cette canne toute fraîche, je vais vous faire sentir à quel point elle fonctionne bien !

Des gémissements et des petits cris d'horreur retentirent. Mildred se mit à rire.

- ne vous inquiétez pas, les filles, juste deux coups pour tout le monde ! Seulement  pour que vous sachiez à quel point ça va vous brûler les fesses si vous ne travaillez pas assez bien et avec suffisamment de rapidité. S'il vous plaît, soyez gentilles et agenouillez-vous sur la pelouse.

Elle attendit un moment que tout le monde ait obéi, puis elle poursuivit

- maintenant, vous mettez vos mains sur la pelouse devant vous et vous posez votre front dessus, puis vous tendez bien vers le haut vos jolis petits derrières.

C'était un régal pour les yeux, la longue série de shorts verts pointés vers le haut offrait un spectacle merveilleux. Plus près d'elle s'offraient les fesses rebondies de la baronne, sous la base  du short, la peau rougie ressortait.

Mildred décida de garder ces magnifiques fesses pour les derniers coups, elle descendit lentement le rang. En passant, elle entendit que quelques-unes des plus jeunes reniflaient déjà.

A l'autre bout de la longue rangée, la petite Emilie attendait ses coups.

La canne siffla deux fois en l'espace d'une seconde dans les airs suivi par un claquement sec frappant juste en dessous du short sur les cuisses d’Emilie.

Emilie cria fort et se releva, ses mains étaient déjà en route vers l’endroit où ça brûlait terriblement, Mildred menaça

- tu vas vite reprendre ta place, Emilie,  ou  peut être veux-tu encore quelques coups ?

Bien sûr, Emilie ne le voulait pas et elle reposa rapidement son front sur ses mains et tendit à nouveau ses fesses. Les deux jolies zébrures étaient déjà passées du blanc au rouge.

Mildred fit un pas sur le côté et continua, toutes les dames restèrent dans la position après leurs coups du mieux qu'elles purent . Elles avaient entendu l'avertissement, personne ne désirait des coups supplémentaires Passant devant les dames et les filles agenouillées, Mildred regardait périodiquement la baronne. "Oh, tu t'inquiètes vraiment pour ton bon gros derrière on dirait ?" pensa l'ancienne femme de chambre en voyant les fesses de la baronne se tendre à chaque claquement. "ce n’est pas la peine, ma chérie,  je ne vais pas soigner tes fesses, mais tes cuisses déjà bien rouges!" Mildred était bien consciente que c’était une surprise pour tout le monde. Dans leurs positions, elles ne pouvaient pas voir où Mildred allait  frapper avec la canne.

Lorsque Mildred est arrivée à Adélaïde, elle entendit un gémissement

- s'il vous plaît, Miss Mildred...

- mais ma chère baronne, tout le monde a reçu ses deux coups. Et votre nouvelle gouvernante s'est engagée à l'égalité, vous  le savez? Tout comme c'est mentionné dans la constitution française.

Adélaïde se mit à sangloter. Elle savait que Mildred se moquait d'elle, parce qu'il y avait aussi quelque chose à propos de « liberté » dans la constitution ? Mais cela ne lui était pas accordé. Par exemple, la liberté de pouvoir dire "non " à la canne.

Pendant un bref instant, Mildred apprécia toute la situation. Elle jeta un coup d'œil aux shorts pointé vers le ciel et aux cuisses rougeoyantes au soleil du matin.

Puis elle se retourna vers la baronne. Sous le short, elle vit la rougeur des nobles cuisses. C'est là qu'elle viserait.

- je suis vraiment désolée ma pauvre Adélaïde, que tu aies déjà mal, mais malheureusement c’est de ta faute et je ne peux vraiment pas en tenir compte !

Puis la canne claqua deux fois, à une courte distance l'une de l'autre, juste en dessous de l'ourlet du short. Le premier coup frappa même le pli séparant les fesses des cuisses qui brillait de rouge au soleil du matin, juste entre l'ourlet et les cuisses.

Mildred était fière de sa capacité à frapper avec autant de précision.

La baronne hurla, la douleur l'avait forcée à se relever, puis elle retomba face contre terre sur l'herbe, ses pieds et ses jambes tambourinant sur le sol.

Mildred s'abstint généreusement de rappeler Adélaïde à l'ordre. Elle recula de quelques pas pour voir l'ensemble dans son intégralité, avec quelle obéissance les sept punies gardaient leurs fesses en l'air, on entendait les pleurs et les gémissements. La plus bruyante étant bien sûr celle qui avait été traitée en dernier.

Ce n'est que lorsque le silence fut revenu que Mildred s'arracha à la vue et permit aux dames et aux filles de se lever et d'essuyer leurs larmes. Car toutes avaient automatiquement mis leurs mains sur la tête dès qu'elles s’étaient relevées.

Puis elle fit aligner à nouveau son groupe par deux, en se tenant la main, le but de la marche était la cabane à outils. Elle distribua à tout le monde ce dont elles auraient besoin pour leur travail. Sophie récupéra la tondeuse. Virginie et Marion des râteaux, Louison une paire de ciseaux roses. Adélaïde, Emilie et Margot furent  chargées de désherber le potager elles reçurent des paniers pour les mauvaises herbes.

Le seul outil que Mildred gardait pour elle, était la canne verte souple, qu'elle avait déjà éprouvée sur les fessiers.  Elle était sûre qu'elle s'en servirait très souvent ce matin.

Le spectacle de ces nobles dames habillées de leur mini-short moulant était ravissant. Mildred s’était assise sur un banc et elle regardait surtout les trois dames affectées aux désherbage, comme elles étaient à genoux et penchées en avant leurs fesses pointaient vers le ciel et tendaient encore plus le short, c’était surtout gênant pour Adélaïde qui avait un fessier assez volumineux, le tissu rentrait légèrement dans la raie médiane et la base des fesses étaient bien visible avec la traces des deux coups de cannes et les restes de rougeurs de la fessée matinale, les fesses de Margot semblaient vouloir également sortir du short, le petit derrière bien rond d’Emilie remplissait parfaitement son short et on ne voyait qu’un tout petit bout de fesses. Elles n’étaient pas très douées et le travail n’avançait pas très vite. Mildred décida de les stimuler un peu, elle se leva et avec sa nouvelle canne elle cingla successivement les trois fessiers tendu. Elle avait frappé le short sur la partie la plus rebondie des fesses, les deux jeunes filles et la baronne poussèrent un cri mais elles restèrent en position.

- dépêchez vous un peu, ce carré de potager doit être désherbé à midi, sinon vous serez punie et vous reviendrai travailler cet après-midi pendant que vos camarades se reposeront.

Puis elle se dirigea vers le parc pour surveiller les autres. Louison tenait ses ciseaux mais elle semblait rêver et ne faisait rien, elle n'entendit pas la jeune gouvernante arriver derrière elle. La canne en bambou cingla les cuisses nues juste sous le short, la jeune fille hurla et sembla sauter en l'air.

- je vais t'apprendre à rêvasser petite paresseuse !

Mildred avait saisi l'oreille de Louison et elle la tira avec elle vers le banc. Elle s'assit et coucha la jeune fille sur ses genoux. Louison pleurait déjà, elle savait ce qui l'attendait et elle regrettait amèrement sa paresse. Mildred avait glissé ses doigts sous la ceinture élastique du petit short et elle le tira rapidement vers le bas, la petite culotte blanche avait suivi le short et Louison se retrouvait fesses nues au milieu du parc du château, elle sentait l'air frais sur son derrière et les claques commencèrent à tomber rapidement sur les fesses tendues. Mildred l'avait fait basculer vers l'avant, sa tête touchait presque le sol et ses pieds battaient déjà l'air au rythme de la fessée. Rapidement les petites fesses bien fermes et rondes prirent une jolie couleur rouge. Louison pleurait, promettait de ne plus recommencer mais Mildred voulait faire un exemple et elle administra une très sévère fessée à la jeune fille.

Il fallait qu'elle continue son travail donc elle ne la mit pas au coin mais pour remplacer ce temps de coin, elle lui enleva le short et remonta la culotte juste sous les fesses pour qu'elle ne soit pas gênée pour marcher mais que ses fesses bien rouges restent visibles. Avant de la renvoyer au travail elle la fit de pencher en avant, les mains posées sur le banc et elle lui annonça.

- quatre coups !! Je suis gentille aujourd'hui !

Louison pleurait, elle ne trouvait pas ça très gentil mais elle tendait bien ses fesses. Le premier coup cingla les fesses et laissa un trait rouge plus foncé sur la croupe écarlate.

- aïe, noon pardon miss, ça fait trop mal.

Louison avait hurlé mais elle avait gardé la position. Mildred souriait, ce petit derrière était vraiment mignon.

- bien sûr que ça fait mal, c'est même fait pour ça ma chérie. Tu ne vas plus être paresseuse n'est ce pas ?

- non, non, miss Mildred je vous promets je vais travailler....aïe aïe aïe.

Mildred avait administré les trois autres coups très rapidement et Louison avait trépigné sur place. Maintenant quatre lignes parallèles ornaient ses fesses.

- tu retournes au travail, tes fesses sont prêtes pour une autre fessée si tu recommences.

La jeune fille en pleurant repris son ciseau pour tailler les rosiers. Ses camarades avaient discrètement regardé sa fessée et maintenant elle voyait ses fesses très rouges bien exposées, elles savaient ce qui les attendaient, le travail repris avec beaucoup d'entrain.

Mildred allait de l'une à l'autre en faisant siffler la canne dans l'air, c'était très stimulant. Elle était sur l'allée, Virginie et Marion n'était visiblement pas très douée pour manier le râteau, le gravier était très mal ratissé. Mildred fronça les sourcils.

- qu'est ce que c'est que ce travail ! Venez ici ! Je vais vous apprendre à ratisser correctement, mettez vos mains sur le banc et tendez bien vos jolies fesses.

La mère et la fille s’approchèrent en rougissant, elles étaient maintenant en position, le large derrière de Virginie dépassait du short, on voyait la base des fesses tandis que celui de Marion était plus petit mais bien rebondi le pli séparant les fesses des cuisses était bien visible. La gouvernante adjointe se plaça derrière elles et descendit en même temps le short et la culotte des deux punies, le soleil éclairait les deux fessiers d’un blanc laiteux, on distinguait encore à la base des fesses les deux traits de la canne.



- c'est parfait, vos fesses sont en bonne position, elles sont un peu pâles, on va leur donner un peu de couleur. Quatre coups pour vous apprendre à travailler correctement, la prochaine fois je serai plus sévère. Marion, écarte un peu tes jambes et desserre tes fesses !

Elle tapotait le derrière crispé de la jeune fille. Puis elle leva la canne et administra deux coups rapide sur les fesses tendues. Marion cria et se releva, elle porta ses mains à ses fesses.

- ne frotte pas tes fesses et reprend la position ! Vite !

Marion se  pencha à nouveau en pleurnichant

- la prochaine fois, les deux coups ne compteront pas, ne t'avise pas de recommencer !

Elle appliqua les deux autres coups aussi rapidement que les premiers, Marion trépignait sur place mais elle garda la position.

Virginie honteuse d’exposer ses fesses en plein air devant tout le monde avait les larmes aux yeux, Mildred admira un instant ce magnifique derrière, quelle chance elle avait. Elle leva la canne et rapidement quatre lignes rouges bien parallèles ornèrent le fessier blanc. Virginie avait crié et sautillé sur place mais elle avait gardé ses fesses bien tendues.

Comme pour Louison, la jeune bonne enleva le short des deux dames et leur remonta la culotte juste sous les fesses, une vigoureuse claque sur chacun des derrières tendu accompagna l’ordre de Mildred.

- maintenant vous reprenez les râteaux et vous me ratissez le gravier correctement !

Il y avait maintenant  trois paires de fesses nues dans le parc, Mildred prenait vraiment plaisir à ce travail, elle regarda à nouveau du côté du potager, si Mélanie était attirée par les fesses juvéniles, Mildred préférait les larges fesses comme celle de Virginie et bien sûr celle d’Adélaïde. Celle-ci avait vraiment du mal avec le désherbage, son carré était encore plein de mauvaises herbes, pour Mildred l’occasion était trop belle de découvrir à nouveau les fesses matures d’Adélaïde. Elle s'approcha de la baronne agenouillée, les fesses tendues et serrées dans ce petit short vert. Elle la saisit par l'oreille pour la faire se relever, la baronne se mit à gémir.

- aïe, miss Mildred, aïe…

- tu sembles avoir besoin d'un peu d'aide pour te stimuler ma chérie, tu vas voir j'ai une très bonne méthode pour soigner les paresseuses. Toujours tenue par l'oreille Adélaïde était arrivée près du banc, Mildred s'y assis et rapidement elle fit basculer la baronne en travers de ses genoux.

Adélaïde pleurait déjà, depuis quelques jours les humiliations se succédaient, elle avait déjà reçu la fessée cul nu comme une gamine par Miss Mélanie, elle avait été fessée en public par Agathe mais elle avait gardé sa culotte ensuite sa jeune bonne lui avait administrée une fessée déculottée dans sa chambre mais cette fois ci c'était bien pire. Non seulement c'était la jeune miss Mildred qui allait lui administrer cette punition infantile mais elle allait la recevoir fesses nues en public et en plein air.

Son short était déjà autour de ses genoux, elle sentit les doigts de Mildred s'insinuer sous  l'élastique de sa culotte et l'air frais sur ses fesses.

- oh non ! Pardon miss Mildred, s'il vous plaît pas la culotte, non…

La jeune bonne souriait en voyant les grosses fesses apparaître lentement, elles étaient redevenues blanches mis à part les traits de la canne sur le haut des cuisses.

- une bonne fessée déculottée devant tout le monde voilà le meilleur traitement pour les paresseuses ma chérie, tu vas voir comme ça va te faire du bien.

La main sévère de Mildred se mit à claquer le fessier si bien présenté.



Les dames présentes s'étaient toute arrêtées de travailler et avaient levé la tête pour regarder ce spectacle incroyable de la baronne Adélaïde de Bois Blanc, fesses à l'air dans le parc de son château en train de recevoir une bonne fessée. Mildred les regarda en souriant.

- oui, vous pouvez regarder, c'est ce qui va vous arriver si vous ne faîtes pas bien votre travail.

La fessée continuait, maintenant Adélaïde se comportait vraiment comme une enfant punie par sa gouvernante, elle battait des jambes, ses fesses s'ouvraient largement et elle suppliait en pleurant.

- aïe, aïe aïe aïe, non, non plus la fessée pardon.

Les fesses étaient maintenant écarlates, Mildred lui retira également son short puis la fit se relever, sa culotte était autour de ses genoux, elle la fit se pencher en avant les mains posées sur le banc et lui annonça

- quatre coups  comme tes camarades ma chérie, tends bien tes jolies fesses.

La canne cingla les fesses brûlantes, Adélaïde hurla comme ses petites filles, et elle retourna au travail avec quatre lignes rouges foncées tracées sur ses fesses écarlates,  sa culotte avait été  remontée sous ses fesses. Mildred était à nouveau assise sur le  banc, à côté d'elle il y avait quatre petits shorts verts bien plié et dans le parc quatre paires de fesses nues et bien rouges qui s'agitaient sous le soleil.

À midi, elle claqua dans ses mains, les punies purent enfin cacher leurs fesses et remettre leurs shorts. Puis en rang comme des élèves bien sage elles rentrèrent au château. 

1 commentaire:

  1. I hope more is coming. You and Agnes are literally lightening the bottom of Baroness family

    Chinmay

    RépondreSupprimer

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...