mardi 28 février 2023

Week-end cuisant en famille suite 6

Les fesseuses reçoivent aussi la fessée



En redescendant au salon après avoir couché nos quatre chipies, Sylvie et Elisabeth marchait devant nous. Je remarquai le regard insistant de Sophie en direction du beau fessier de Sylvie. Je lui fit un petit clin d'oeil.

- ces jolies fesses qui se balancent si bien, on dirait qu'elles te plaisent ma chérie ?

- c'est sûr que sa culotte ne va pas rester longtemps sur ses fesses.

Dès que nous fûmes arrivées,  les deux cinquantenaire allait s'asseoir mais Sophie s'adressa à elle avec sa voix douce et ferme.

- non mes petites chéries, ce n'est pas la peine de poser vos petites fesses, Julie et moi avons à nous en occuper.

Elles se mirent à rougir et s’arrêtèrent immédiatement. Sylvie avait déjà été déculottée depuis notre arrivée mais Elisabeth avait semble-t-il oublié qu'elle pouvait passer du statut de fesseuse à celui de fessée. Elle essaya de protester pour essayer de garder son privilège.

- oh non, Sophie pas ce soir, je n'ai rien fait.

On aurait dit une gamine cherchant à éviter une punition. Sophie en souriant la regarda et ne répondit pas, elle se contenta de lui attraper l'oreille de la faire pivoter et de lui claquer vigoureusement une dizaine de fois les fesses par dessus sa jupe. Puis toujours tenue par l'oreille Elisabeth fut conduite au coin ou Sophie lui colla le nez contre le mur. Elisabeth gémissait mais ne résistait pas. Sa jupe fut retroussée, toujours sans un mot de la sévère demoiselle écossaise puis celle-ci brusquement tira sur la culotte pour la baisser sous les fesses. Une vigoureuse claque accompagna ses premiers mots.



- tes mains sur la tête et je ne veux plus t'entendre !

Les larges et belles fesses étaient serrées par l'émotion d'avoir été si brutalement mise à nu. Elles étaient déjà légèrement rosées témoin de la vigueur de la petite fessée que leur avait administrée Sophie. Sylvie avait regardé avec effroi le traitement réservé à Elisabeth, elle me jeta un petit regard implorant, je lui souris en lui désignant le coin.

- vas donc te mettre au coin toi aussi, ça va te permettre de réfléchir ! Sophie tu peux t'occuper de ma petite chipie.

Celle-ci ne demandait pas mieux et en un instant Sylvie se retrouva dans la même tenue et la même position que Elisabeth. Les deux fessiers avaient sensiblement la même taille, celui de Sylvie était plus rond car mieux entretenu par la gym et mes fessées. Il était aussi légèrement plus rosé, séquelle des deux sévères fessées reçues précédemment dans l'après-midi.

Nous nous installâmes confortablement dans les fauteuils pour contempler le très mignon spectacle de ces deux dames mûre attendant leurs fessées. Nous avions le temps la soirée ne faisait que commencer. C'était assez plaisant d'avoir deux paires de fesses à notre disposition, finalement Elisabeth avait accepté assez facilement son nouveau rôle de soumise, je n'en étais qu'à moitié surprise. L'administration  d'une bonne fessée déculottée ramène en général assez vite à la raison une dame adulte. Sophie me proposa un café.

- dis moi ma chérie, tu vas me prêter ton martinet, j'ai vraiment envie de l'essayer et en plus je nai pas encore put apprécier le joli derrière de Sylvie.

Je jetai un oeil au coin, les fesses de ma petite Sylvie s'était contractée en entendant Sophie parler de sa prochaine fessée,  elle n'appréciait pas trop le martinet, pour la brûlure qu'il occasionnait bien sûr mais surtout ça lui rappelait son enfance, c'était la punition préférée de sa grand-mère et être ramenée à sa condition de gamine punie, ce n'est pas très agréable à plus de cinquante ans.

- avec plaisir ma chérie, mais il faudra aussi s'occuper des fesses d'Elisabeth.

- oui d'ailleurs ses fesses n'ont pas encore été échauffées....Tu devrais t'en occuper.

Comment résister à une telle invitation. Je me suis levée, j'ai saisit l'oreille d'Elisabeth et notre professeur de français de cinquante ans s'est retrouvée dans la position d'une gamine, couchée sur mes genoux. J'étais un peu déçue de ne pas pouvoir la déculotter puisqu'elle était déjà fesses à l'air, je descendis tout de même sa culotte jusqu'à ses genoux et je pris mon temps pour la repositionner puis explorer ses jolies fesses. 



C'est toujours un plaisir que de glisser ses doigts entre les cuisses de la punie, de sentir sa honte et son trouble quand on la force à écarter ses fesses. Je vis Sophie se lever pour se diriger vers Sylvie, elle la tira également par l'oreille et la coucha rapidement en travers de ses genoux, elle me regarda en souriant.

- madame allait s'ennuyer et puis un petit échauffement ne peut pas lui faire du mal.

Elle tapotait et caressait le derrière de Sylvie, elle voulait en apprécier la forme et la souplesse avant de le corriger. Mon amie eu droit elle aussi à une inspection minutieuse de son intimité, je devinais sa honte. Jusqu’à ce jour c’était uniquement moi qui avait eu le loisir d’examiner de près son joli postérieur, mais depuis cet après midi elle avait déjà montré son derrière dénudé à Elisabeth et maintenant c’était Sophie qui lui écartait sans gêne aucune les deux fesses puis glissait ses doigts sur sa petite rondelle.

Ce fut Sophie qui donna le signal du début de la fessée, bientôt le claquement de nos mains sur la peau nue remplit la pièce, rapidement accompagné par les gémissements puis les supplications de nos petites amies. Ce fut une belle fessée classique et bien longue, les deux dames pleuraient comme des jouvencelles, leurs fesses étaient bien chaudes et d’un beau rouge flamboyant. Elles étaient prêtes pour la fessée au martinet. Je proposai à Sophie de laisser un peu la cuisson s’atténuer et comme elle me regardait un peu surprise, je lui fis un petit sourire coquin.

- il faut laisser la cuisson faire son oeuvre sur le derrière de ces dames, quand tu attend un peu pour administrer la deuxième fessée, la punie ressent encore plus la brûlure, c’est beaucoup plus efficace.



Sophie apprécia mon conseil, les deux punies regagnèrent leur coins. Cette fois ci les deux fessiers illuminaient la pièce. Sophie caressait les lanières du martinet.

- c’est un très bel instrument, les lanières sont usées, il a du en cingler des derrières.

J'acquiesçai en souriant sans lui avouer qu’elles avaient caresser également mon propre derrière, ma mère était une experte dans le maniement du martinet.

Il ne fallait pas que les derrières refroidissent trop, au bout de 5’ nos petites chéries se retrouvèrent agenouillées sur deux fauteuils,  les fesses bien tendues vers nous. Je proposai à Sophie de commencer par la fessée d’Elisabeth, elle pourrait ainsi voir comment on maniait le martinet. Les larges fesses écarlates de la professeur de français se crispèrent à l’annonce de sa correction. De toute façon elle n’avait personne pour la surveiller dans la semaine donc une bonne déculottée le week-end était certainement nécessaire pour punir ses écarts de conduite. Je laissai les lanières caresser ses fesses puis je levai le martinet et les lanières enveloppèrent le large popotin, elle poussa un cri, plus de surprise que de douleur. La fessée au martinet brûle énormément mais c'est surtout par la répétition des coups, j'augmentai le rythme et l'intensité et notre Elisabeth se mit à crier et à trépigner sur place, ses fesses essayaient d'éviter les coups en rentrant vers l'avant, ses pieds frappaient le fauteuil, puis sa croupe s'ouvraient largement, les lanières étaient assez longues pour claquer les deux fesses à la fois.



 Elisabeth s'était mise à pleurer, je cessai la correction et tendis le martinet à Sophie.

- à toi, les fesses de Sylvie t'attendent avec impatience.

Celle-ci se mit à supplier.

- non, non pardon mademoiselle Sophie pas le martinet s'il vous plaît.

Sophie se mit à rire.

- et pourquoi donc pas le martinet, ta petite copine à bien reçu sa fessée ! Tends moi bien tes jolies fesses et vite !

Sylvie s'était légèrement relevée, le ton impérieux de la sévère demoiselle l'incita à obéir, elle se pencha un peu plus sur le dossier du fauteuil faisant ressortir un peu plus son beau fessier. Sophie était une redoutable fesseuse et elle prit rapidement en main ce nouvel instrument, les fesses de Sylvie dansaient sous la cuisson des lanières.

Elisabeth n'avait pas bougé, elle exposait toujours son derrière écarlate, bien tendu par la position, ces épaules étaient secouée par de petit sanglot. La cuisson après une fessée au martinet dure longtemps. Les cris de Sylvie redoublèrent car Sophie s'était attaquée à l'arrière de ses cuisses qui furent rapidement aussi rouges que ses fesses. Elle s'arrêta enfin, un entrelacs de traces plus sombres couvrait maintenant les deux paires de fesses écarlates, le martinet à la main elle vint s'asseoir à côté de moi.

- c'est vraiment agréable de corriger un beau derrière avec le martinet. Tu as raison ça n'abime pas les fesses, mais je pense que pour être aussi efficace que la tawse il faut fesser plus longtemps, par contre c'est moins bruyant.

Je ne pense pas que nos deux punies appréciaient ce genre de discussion technique mais elles n'avaient pas leur mot à dire. Nous les laissâmes ainsi fesses bien exposées pendant un moment puis Sophie se leva et posa sa main sur les fesses brûlantes de Sylvie, elle me jeta un regard coquin.

 - ces jolies fesses sont bien chaudes, on devrait peut être leur prendre la température ?

Les deux fessiers se crispèrent, ce n'est pas très agréable de se faire prendre la température, elle avait put jouir du spectacle des grosses fesses de Daisy garnie d'un thermomètre maintenant c'était leur tour. Elles reprirent place sur nos genoux, j'avais pris mon long thermomètre dans mon sac à main, les fesses brûlantes d'Elisabeth furent écartées sans ménagement, après sa double fessée elle était docile, le thermomètre pénétra doucement. Sophie n'était pas en reste, ma petite Sylvie était redevenue une petite fille sur les genoux de sa maman, le thermomètre coulissait dans son petit trou, elle gémissait doucement mais se laissait faire également. Les deux paires de fesses bien rouges étaient maintenant garnie par un thermomètre. C'était vraiment un spectacle très excitant, j'avoue que ma culotte était maintenant un peu humide.



Sylvie et Elisabeth restèrent pendant 10 minutes dans cette position humiliante. Nous avons dégusté un petit verre de liqueur tout en caressant le postérieur à notre disposition. Sophie claquait de temps en temps les fesses de Sylvie pour l'inciter à les desserrer puis elle faisait ressortir le thermomètre et le rentrait à nouveau profondément, elle était perverse et je la soupçonnait d'être vraiment attirée par ma petite Sylvie. Le week-end allait être vraiment cuisant pour ses fesses.

La punition était maintenant finie, les deux petites chéries eurent droit à un câlin chacune assise sur nos genoux, je caressait les fesses brûlantes d'Elisabeth, elles n'avaient pas eu le droit de se reculotter. Il était temps d'aller au lit, du moins c'est ce que je croyais car une fois que Elisabeth et Sylvie eurent regagner leur chambre, Sophie me glissa à l'oreille.

- descendons au salon, j'ai à te parler.

Intriguée je la suivis, dès que nous fûmes dans le salon elle s'assit sur le canapé et tapota ses cuisses.

- ma petite Julie, c'est maintenant à ton tour….

Je la regardai surprise. Un frisson me parcouru, depuis combien de temps n'avais-je pas reçu une fessée déculottée ?

Car c'était bien de ça dont il s'agissait, j'étais debout, figée par l'angoisse et un désir un peu bizarre.

Le ton de Sophie se fit plus impérieux, elle me faisait un petit signe avec son doigt.

- faut-il que je vienne te chercher ?

Je ne pouvais pas faire un pas et soudain sais que j'ai put faire un geste Sophie était debout, elle m'avait coincée sous son bras retroussé ma jupe et avec horreur j'ai senti l'air sur mes fesses, j'ai essayé de me dégager mais Sophie était très costaud, elle me tenait fermement, les claques ont commencé, rapide et très forte. J'avais vraiment oublié ce que c'était qu'une fessée, ça brûlait vraiment. Cette petite fessée n'a pas duré longtemps, Sophie m'a relâchée mais c'était pour me prendre part la main et me couché en travers de ses genoux.

- ma petite Julie, je crois qu'il va te falloir apprendre à obéir à tatie Sophie ! Tu viens de gagner une fessée supplémentaire !

J'étais à plat ventre sur ses genoux, je la sentis me prendre par la taille pour me faire basculer vers l'avant, mes pieds avaient quitté le sol, je me sentais ridicule, les fesses pointées vers le ciel, ma jupe était bien retroussée sur mes reins, je sentis ma culotte descendre jusqu'à mes genoux. La main de Sophie procédait à un examen en règle de mes fesses.

- et bien nous y voilà, depuis le temps que tu mets des fesses à l'air, il était temps de me montrer les tiennes. Tu as un joli petit cul ma chérie, pourquoi ne voulais tu pas me le montrer. Je poussai un cri car deux magistrales claques s'étaient abattues sur chacune de mes fesses. Un malheureux réflexe m'avait fait serrer les fesses quand Sophie avait forcé mon anus après les avoir écartée largement.

- décidément tu as vraiment besoin que quelqu'un s'occupe de ton éducation ma chérie. Bon on va commencer par chauffer ton petit derrière.

Pour chauffer, ça chauffait, comme je vous l'ai dit Sophie ne sait pas donner une petite fessée, la brûlure était intolérable, j'avais vraiment oublié ce que c'était qu'une fessée. Il faut dire que ma dernière déculottée remontait à mes quinze ans, donc une bonne trentaine d'années en arrière. J'avais littéralement le feu aux fesses quand Sophie s'arrêta et elle avait appelé ça un échauffement...Je n'avais pas put retenir mes larmes, elle me fit relever et quand elle me prit l'oreille je sus ce qui m'attendait. Penaude comme une adolescente je me laissai conduire au coin, ma culotte était enroulée autour de mes chevilles. Elle me poussa la tête contre le mur, ma jupe était retombée, je la sentis la coincer dans la ceinture.

- mets tes mains sur la tête !



L'ordre avait claqué en même temps que sa main sur mes fesses brûlantes. Je me sentais ridicule, j'avais honte d'être ainsi exposée fesses à l'air, elle m'annonça.

- tu vas rester là un quart d'heure, ça va te permettre de réfléchir à la punition que tu mérites pour ta désobéissance.

Un quart d'heure au coin, c'était une petite pénitence quand c'était moi qui l'infligeait à mes punies mais que ça me parut long. La cuisson de mes fesses commençait à s'atténuer quand Sophie m'appela.

- viens un peu ici ma chérie, tatie Sophie va t'apprendre à obéir.

Cette fois ci j'approchai sans discuter et je frémis en voyant la brosse à cheveux dans sa main. Quelques secondes plus tard je lui présentais à nouveau mes fesses, le bois du dos de la brosse caressait mon derrière déjà échauffé.

- quand je te dis de venir pour recevoir ta fessée déculottée, tu dois venir sur mes genoux immédiatement et sans discuter, tu devrais pourtant le savoir !

Comme je ne répondais pas deux magistrales claques atterrirent sur mes fesses.

- je t'ai posé une question !

Je n'avais pas compris qu'elle attendait une réponse, pour moi c'était une affirmation.

- oui  aïe, pardon Sophie, oui j'ai compris.

- tatie Sophie ! Chaque fois que tu seras fesses à l'air devant moi  tu m'appelleras tatie Sophie !

- aïe aïe aïe, oui oui...tatie Sophie.

- bien, pourquoi vas tu recevoir cette fessée déculottée avec la brosse ?

- parce que j'ai désobéi tatie Sophie.

Les quelques coups de brosse que je venais de recevoir m'incitait à l'obéissance, j'étais vraiment revenue trente ans en arrière.

- oui et tu as besoin que tatie Sophie soigne ton petit derrière, tu vas voir à l'avenir tu seras beaucoup plus sage.



La fessée débuta brutalement, la brûlure était horrible, je me mis à crier immédiatement et à battre l'air désespérément avec mes pieds. Sophie était appliquée, pas une parcelle de mes fesses n'échappa à sa brosse.

- voilà un joli derrière bien rouge, tu nous a fait un joli concert ma petite Julie. Je pense que tout le monde sait que toi aussi tu reçois encore la fessée déculottée.

J'étais abasourdie, je venais de me recevoir une magistrale correction, j'avais les fesses en feu et en plus les dames que j'avais troussées et déculottées étaient certainement au courant. Je pleurais comme quand j'avais quinze ans sur les genoux de ma mère. Mais la séance n'était pas finie, Sophie m'avait gardé en position disciplinaire, je sentis ses doigts écarter mes fesses brûlantes. J'allais avoir droit moi aussi au thermomètre, pantelante et complètement matée je me laissai prendre la température comme une gamine. Je sentais l'embout froid pénétrer mon intimité doucement, ça ne semblait pas vouloir s'arrêter. Puis je sentis mes fesses se resserrer et les doigts expert de Sophie glisser entre mes cuisses. À ma grande honte, j'avais mouillé, elle me fourra ses doigts gluants sous le nez.

- on dirait que ma fessée t'as fait de l'effet. Et bien tu n'as pas fini de te faire baisser la culotte ma petite chérie.

Je sentis mes joues s’empourprer, surtout que Sophie continuait,

- demain matin avant le petit déjeuner tu viendras me voir dans ma chambre. Tu vas commencer la journée avec les fesses bien chaudes ma petite chérie.



Le thermomètre coulissait entre mes fesses pendant qu’elle m’annonçait ce programme cuisant.

Quand je fus autorisée à me relever, elle me fit un bisou et m’accompagna jusqu’à ma chambre, je n’avais pas put remonter ma culotte, elle avait posé sa main sur mes fesses nues pour monter l’escalier, c’était curieux et légèrement excitant. Une fois arrivée dans la chambre, je me dirigeai vers la salle de bain pour examiner mes fesses dans la glace, elles étaient écarlates et encore bien chaudes. Je fis la constatation amère que moi aussi j’étais passé dans le camp de celle qui se font baisser la culotte.





2 commentaires:

  1. lire le titre ne m'a fait qu'exciter. J'étais assez sûr que Julie serait au-dessus du genou de tante Sophie. mais je voulais qu'elle lutte avant d'accepter son sort. néanmoins. J'ai apprécié la partie.

    Chinmay

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    1. Merci Chinmay, c'est vrai que Julie méritais cette bonne fessée déculottée, depuis le temps qu'elle baisse les culottes c'était normal qu'enfin elle nous montre ses jolies fesses rouges. Elle est obligée d'accepter la fessée de tante Sophie sinon elle va recevoir une fessée en public, elle le sait bien.
      Sylvie

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