jeudi 23 février 2023

Week-end cuisant en famille suite 5

Quatre derrières bien rouges




La fin de la punition au thermomètre de Daisy était arrivée, Sophie s'approcha d'elle et écarta ses larges fesses, c'était certainement très humiliant d'exposer ainsi sa raie fessière et de se faire retirer le thermomètre délicatement comme si elle était une gamine, 



mais ses fesses bien exposées et encore brûlantes l'incitait à l'obéissance. Sophie relâcha les fesses et tapota le gros derrière.

- bien tu te relèves et tu vas te mettre en position pour la fessée à la tawse.

Sylvie se tortillait au coin, elle était inquiète de savoir si j'allais la laisser la pendant la punition de Daisy. Ce n'était pas mon intention, pour le moment je ne l'avais jamais punie devant son petit chéri mais ça m'amusait de la laisser dans le doute. Je fis un clin d'oeil à mes deux amies.

- que fait on de Sylvie ? Doit elle assister elle aussi à la fessée de Daisy ?

Je sentais Elisabeth très attirée par la croupe si rebondie de ma petite chérie, c'est vrai que les fesses matures de Sylvie étaient très sexy, elle les entretenait avec de la gym régulièrement et malgré sa cinquantaine passée c'était vraiment un beau fessier qui se présentait à nous.

- qu'en penses-tu Elisabeth, sa punition est elle suffisante ?

La perche était bien tendue, Elisabeth s'en empara.

- hum...La couleur de ses fesses à vraiment pâlit, je pense que si on veut une punition efficace la rougeur doit vraiment durer plus longtemps.

Je voyais les fesses de ma petite Sylvie se contracter de plus en plus, elle se doutait de la suite des événements.

- je pense que tu as raison, veux tu te charger de leurs redonner un peu de couleur.

Le sourire éclatant qui illumina le visage d’Elisabeth était vraiment émouvant, je venais de lui faire un beau cadeau.

- avec grand  plaisir. Sylvie veux tu venir ici ! Il faut que j’aie une petite conversation avec tes fesses.  

L’ordre avait claqué, Sylvie se tourna et se dirigea la tête basse vers Elisabeth. Elle n’avait jamais reçu la fessée par quelqu’un d’autre que moi, la punition n’en serait que plus profitable. 

Déjà Sylvie était contre les genoux d’Elisabeth, comme une gamine obéissante, elle avait gardé ses mains sur la tête, elle était attendrissante avec ses belles et larges fesses encore bien rouges qu’elle nous présentait à Sophie et à moi. Elisabeth s’adressa à elle comme si elle était sa fille alors qu’elles avaient sensiblement le même âge.

- tu peux baisser tes mains ma chérie. Je suppose que tu connais la position.

Elle avait posé sa main sur les fesses de Sylvie pour l’inciter à se coucher sur ses genoux. La dame de cinquante redevenue une gamine lui obéit sans discuter. Elisabeth ajusta sa position, la basculant un peu plus vers l’avant pour que ses pieds décollent du sol, Sylvie posa ses mains par terre sa tête était près du sol, ses fesses au sommet de la courbe faite par son corps étaient vraiment bien exposées.

- alors comme ça ma petite chérie tu désobéis ? tu sais ce qui arrive aux dames désobéissante ? Non ? Et bien je vais te le dire elles reçoivent la fessée déculottée, oui cul nu et en public pour que tu t’en souvienne longtemps.

Sylvie ne disait pas un mot mais on sentait qu’elle était prête à éclater en sanglot, il faut dire qu’Elisabeth s’y connaissais en humiliation, Sylvie était vraiment comme une grande fille sur les genoux de sa maman. La fesseuse maintenant tapotait les fesses négligemment.

- avec une bonne paire de fesses comme ça je pense que ma main ne va pas être suffisante, ta maman Julie t’a déjà donné la fessée à la main, on va passer aux choses sérieuses.

Elle me montra son sac à main.

- Julie, fais moi passer ma brosse que je soigne le derrière de notre petite Sylvie.

Sylvie se tortilla un peu plus sur les genoux d'Elisabeth et se mit à gémir.

- oh non, s'il vous plaît madame, pas la brosse...non.

- et pourquoi donc pas la brosse ? C'est toi qui décide peut être ? Non mais je rêve !

Je lui avais tendu sa brosse en lui faisant un petit clin d'oeil. Elle caressa les fesses de Sylvie avec le dos en bois. Puis elle la leva et claqua la fesse droite et immédiatement après la gauche.

- aïe aïe aïe, non...non...aïe.



La fessée était sévère, ma petite Sylvie exécutait une magnifique danse des fesses, elles étaient déjà rouges mais rapidement elles devinrent écarlates, Sylvie se mit rapidement à pleurer, c'était une belle déculottée. Elisabeth ne semblait pas vouloir s'arrêter, effectivement elle allait avoir du mal à s'asseoir pour le reste de la journée et ses fesses allaient rester bien rouges.

Quand la fessée s'arrêta, Sylvie pleurait à chaudes larmes, couchée sur les genoux de sa nouvelle tatie. Elisabeth la garda un moment dans cette position humiliante, puis elle lui tapota les fesses.

- allez, calme toi, ma petite chérie, tu l'avais bien méritée cette fessée, n'est ce pas. Je pense qu'avec ces jolies fesses bien rouges Tu vas être sage toute la soirée.

Elle la fit se relever et lui remonta la culotte, comme l'aurait fait une maman. Sylvie fit une petite grimace quand le tissu frotta sur ses fesses brûlantes. Je lui fit un petit signe pour qu'elle vienne me voir, puis je la fit tourner pour me présenter ses fesses. Je ne les avais pas bien vue, je glissai mes doigts dans la ceinture de la culotte et je la baissai juste sous les fesses.

- c'est vraiment parfait, tu sais parler aux fesses des dames ma chère Elisabeth.

J'avais une petite idée de punition supplémentaire, je remis la jupe en place mais je ne remontai pas la culotte.

- ta pudeur est sauve pour les gamines mais tu vas rester fesses à l'air sous ta jupe et quand tu t’assois, je veux que tu relève ta jupe, ton petit derrière doit être en contact direct avec la chaise.

Une dernière petite claque et notre petite Sylvie alla s'asseoir, elle suivi mes consignes, la grimace qu'elle fit quand ses fesses nues entrèrent en contact avec la paille de la chaise nous fit sourire.

Pendant tout ce temps, Daisy était restée en position pour sa prochaine fessée, elle était penchée sur la table, les fesses rouges tendues vers nous, elle n'avait pas bronché pendant la fessée de Sylvie. Sophie s'approcha d'elle et tapota ses fesses plantureuses.

- et bien ma petite chérie, il est temps de solder nos comptes, tu as de la chance, il va y avoir du monde pour assister à ta fessée.  



Nous avions appelé nos trois gamines, elles étaient un peu intimidée surtout Hugues et Hubert, bien sûr ils étaient content d’assister à une fessée en spectateur, mais ils nous connaissaient trop bien pour savoir qu’ils seraient très certainement bientôt acteur de cette cuisante pièce de théâtre.

Sophie avait pris la tawse et caressait les fesses de sa soeur, puis elle la leva et l’abattit sèchement en travers du généreux fessier. Daisy poussa un cri et trépigna sur place mais elle ne bougea pas, le deuxième coup lui cingla à nouveau les fesses tendues, bientôt la pauvre Daisy ne put retenir ses pleurs. Sophie ne sait pas donner des petites fessées, je l’ai appris plus tard à mes dépends, donc celle que recevait sa soeur était sévère comme il se doit. Le large fessier était couleur de tomate bien mûre et la demoiselle de 50 ans pleurait comme une gamine, elle fut envoyée au coin elle colla son nez contre le mur et mis ses mains sur la tête, ses épaules étaient secouées par des sanglots.

Il était temps de nous occuper de nos petites chéries, je me tournai vers Elisabeth.

- bien tu sais que j'ai promis à ces chipies un week-end fesses rouges, je me demande si leur derrière n'ont pas perdu un peu de couleurs.

Elisabeth se mit à rire,

- c'est vrai que depuis une heure que nous sommes arrivées leurs fesses n'ont pas encore pris l'air. Allez mes petites approchez un peu.

Elle regardait Hugues avec insistance, je ne pouvais pas la priver du plaisir de découvrir une nouvelle paire de fesses.

- Huguette  tu vas voir Elisabeth, elle va s'occuper de tes petites fesses.

Nous avions décidé de féminiser également les prénoms de nos petits chéris, pour Hubert ça avait été plus gênant mais elle était devenue Berthe le temps de ce week-end, c'était un prénom qui fleurait bien la campagne. Je lui désignai Sylvie qui fut ravie, je savais qu'elle aimait lui rougir les fesses. Quant à moi c'est avec un grand plaisir que je retrouvais la mignonne petite paire de fesses de Sandra. Nous avions placé des chaises en rond de façon à ce que chaque punie puisse quand même assister à la fessée des autres, en levant la tête, elles pourraient voir rougir les fesses de leurs compagnes. Je me doutais quand même qu'elles seraient certainement plus préoccupées par la cuisson de leur propre fessier.

Sophie nous regardait en souriant, elle jeta un oeil sur les fesses écarlates de Daisy, je pense qu'elle eut un instant l'intention de se joindre à nous en couchant sa soeur sur ses genoux, mais elle eut un peu pitié, c'est vrai que ses fesses étaient certainement trop brûlantes pour en remettre une couche dès à présent.

Les trois punies étaient maintenant en position, couchée chacune sur les genoux de sa nouvelle tatie, j’avais immédiatement retroussé la jupe de Sandra pressée de redécouvrir son mignon petit fessier, il était moulé dans une petite culotte à fleurs avec un petit liseré de dentelle au niveau des cuisses, je félicitai Elisabeth.

- quelle mignonne petite culotte, bravo Elisabeth tu choisis vraiment des dessous ravissants pour cette petite chipie.

Elisabeth avait troussé la jupe de Huguette découvrant une culotte en coton rose, le fessier de la chipie de Sylvie était aussi très mignon bien rond et musclé, la culotte rentrait déjà dans la raie fessière découvrant déjà une bonne moitié des fesses, elle me répondit en souriant.

- ce n’a pas été sans mal, mademoiselle voulait mettre des tangas et autres lingerie à frou-frou, mais après quelques bonnes déculottées elle a compris. Dis moi Sylvie ta petite Huguette à vraiment un joli petit derrière, je te félicite tu dois bien l’entretenir.

Sylvie que l’on sentait un peu gênée par sa croupe douloureuse commençait à se dérider, avoir Berthe couchée sur ses genoux lui mettait un peu de baume au coeur et lui faisait un peu oublier les deux magistrales fessée qu’elle avait reçue. J’avais un peu pitié de ma petite chérie car sans nul doute ses fesses allaient servir de défouloir à Sylvie. Je savais qu’elle aimait autant lui administrer la fessée que celle-ci détestait être punie par elle, le fait d’être habillée en gamine ajoutait à son humiliation d’être fessée par une amie. Je lui avais fait mettre une mignonne petite culotte blanche avec également un petit liseré de dentelle, son fessier beaucoup plus rebondi et large que celui des deux autres punies remplissait très correctement sa culotte qui était parfaitement tendue.

C’est Elisabeth qui commença le déculottage, elle était vraiment pressée de découvrir les fesses de Huguette, elle baissa rapidement la culotte jusqu’aux genoux entraînant un petit gémissement de la demoiselle couchée sur ses genoux, ce qui la fit bien rire.

- et oui ma petite te voilà cul nu, prête pour la bonne fessée déculottée de tatie Elisabeth, tu ne pensais tout de même pas que tu allais échapper au déculottage !

Sylvie n’était pas restée inactive, la culotte de ma petite Berthe était enroulée autour de ses genoux, quant à moi, fidèle à mes habitudes je procédais au déculottage lent, mes doigts avait glissé sous la culotte et tout en caressant les jolies fesses de Sandra, je la faisait glisser lentement sur sa croupe tendue vers moi. Son joli derrière était encore rosé, sa mère avait du la soigner avant d’arriver.

- dis donc ma chérie, cette petite a déjà reçu une fessée aujourd’hui et si j’en crois la couleur de son petit postérieur, elle a du être soignée.

- pas qu’une ma chérie, tu sais que Sandra à la tête dure, donc je suis obligée de lui faire rentrer l’obéissance par les fesses, c’est très efficace. Depuis ce matin mademoiselle a déjà reçu 3 fessées, la tienne sera la quatrième, mais ne te fais pas de soucis, elle a une bonne paire de fesses. Des fois je me demande si elle ne le fait pas exprès pour que je lui baisse la culotte.

Elle avait dit ça avec un petit sourire coquin. Sandra qui était maintenant cul nu comme ses deux compagnes se trémoussa sur mes genoux pour signifier que non décidément elle n’aimait pas recevoir la fessée. C’était bien dommage pour elle car sa mère adorait la donner.

La triple fessée commença, c’était Sophie qui avait donné le top départ en nous grondant gentiment.

- bon mesdames, c’est pas tout ça mais maintenant un moment que ces demoiselles ont les fesses à l’air il faudrait s’en occuper, elles vont prendre froid. Si vous avez besoin d’une petite stimulation, je suis là.

Elle avait dit ça avec le sourire mais avait agité la main pour nous signifier qu’elle aussi savait déculotter et donner la fessée.

Ce fut trois bonnes fessées, comme prévu Sylvie s’était vengé de ses fesses brûlantes sur celle de Berthe qui fut donc la première à pleurer au milieu des cris et des supplications des deux autres chipies. Mais Sylvie ne s’arrêta pas pour quelques larmes, les fesses de Berthe était écarlates, elle s’attaqua à l’arrière des cuisses, les cris et les pleurs redoublèrent. 

Huguette nous régalait avec une magnifique danse des fesses, c’était certainement la plus douillette et elle poussait des cris déchirants qui amusait beaucoup Elisabeth.



- et bien ma petite, on dirait que tu n’as jamais reçu une bonne fessée déculottée, je pense que de celle là tu vas t’en souvenir.

Et elle allait certainement s'en souvenir, ses fesses étaient écarlates maintenant, elle se serraient puis s'ouvraient tentant désespérément d'atténuer la brûlure, Elisabeth la tenait fermement par la taille et elle ne pouvait échapper aux claques. Sylvie qui continuait de claquer les fesses de Berthe lui répondit en souriant.

- oh ne t'inquiète pas, elle braille toujours autant quand je lui flanque une fessée mais ses fesses sont habituées tu peux y aller.

De mon côté je n'étais pas en reste et Sandra allait se souvenir de la fessée de tatie Julie. Bientôt nous eûmes trois pleureuses couchées sur nos genoux, les trois paires de fesses étaient toutes de la même couleur. Le beau rouge profond d'une bonne fessée déculottée. Sophie avait assistée ravie à cette triple fessée

- parfait, voilà des derrières bien rouges qui vont aller au coin. Je vous propose qu'on aille prendre l'apéritif sur la terrasse, on va les mettre au coin là bas, ça fera prendre l'air à leurs jolies fesses.

Les trois punies nous suivirent, la jupe coincée dans la ceinture pour laisser bien visible les fessiers, la culotte baissée à mi cuisses. On les installa côte à côte les mains sur la tête le nez contre le mur, les fesses tournées vers nous et vers la campagne, c'était une petite humiliation supplémentaire, si quelqu'un passait sur le chemin il avait une magnifique vue sur trois lunes bien rouges. Sophie avait remonté la culotte de Daisy juste sous ses fesses, elle pouvait marcher mais nous présentait toujours ses belles fesses bien rouges, c'est ainsi qu'elle nous fit le service. J'avoue que de voir sa croupe pulpeuse se tortiller devant moi quand elle posa les verres sur la table me fit tellement d'effet qu'une petite humidité envahi ma culotte.

Nous avions décidé que les quatre punie recevraient une fessée après le repas et irait ensuite au lit. Je proposai que nos trois chipies goûtent à la tawse. Pour Daisy son gros derrière y avait déjà goûté l'après-midi, j'ai donc suggéré qu'elle pourrait tester le martinet, une spécialité française pour la demoiselle écossaise. Sophie apprécia beaucoup ma proposition.

- comme c'est gentil à toi, tu as amené ton martinet?

Je lui avais vanté les vertus de cette punition typiquement française et j’avais mis dans ma valise mon cher vieux martinet dont les lanières avaient caressé  tant de vilains derrières.

Il fallait nous répartir les punies, je demandai à Sophie si je pouvais punir Daisy, son beau et large derrière m’attirait tellement, elle accepta en souriant.

- pas de problème ma chérie, mais tu me laissera quand même essayer ton joli martinet pendant le week-end.

Sylvie regardait avec gourmandise les jolies fesses de Sandra, Berthe fut prise en charge par Elisabeth et Huguette se dirigea vers Sophie qui regardait son joli petit cul depuis un moment.

Il y avait quatre fauteuil, nos quatre punies s’y installèrent à genoux les fesses bien tendues chacune vers sa fesseuse.

Les quatre paires de fesses étaient encore bien rouges des fessées précédentes



 mais ces fessiers étaient tous habitués à une rigoureuse éducation, ils pourraient supporter allègrement  cette dernière correction, ils auraient ensuite toute la nuit pour refroidir.

Ce fut un véritable concert qui retentit bientôt dans le salon de la belle demeure de Sophie. Les claquements du cuir sur la peau nue de nos quatre chipies, les cris, les supplications puis les pleurs se mêlaient harmonieusement, pour une fesseuse c’était vraiment un joli spectacle.

Je me régalais d’administrer une fessée au martinet aux plantureuses fesses de Daisy, l’intérêt du martinet c’est qu’il brûle énormément rendant la fessée très efficace mais il ne laisse aucune trace, la fessée peut durer longtemps. Les grosses fesses dansaient devant mes yeux, s’ouvrant impudiquement, Daisy avait une belle voix et bientôt elle se mit à pleurer et à me supplier.

- aïe ! aïe, non madame, pardon, s’il vous plaît ça brûle…. noon.



Les autres punies n’étaient pas en reste, c’était le chœur des pleureuses. Les fesses étaient maintenant toutes d’un rouge profond qui s’étendait sur le haut des cuisses.

C’était une belle correction avant d’aller au lit. Nous les avons accompagnées dans leur chambre, elles étaient restées fesses à l’air et j’avoue que de les voir monter l’escalier avec leur derrière écarlate qui se tortillait au rythme de leur pas, était un spectacle très excitant.



Nous nous sommes ensuite retrouvées au salon, la soirée n’était pas finie.

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