Un nouveau récit sur une idée d'une de mes petites amies qui se reconnaitra sans doute…..
Des vacances ensoleillées et cuisantes
Stéphanie et Elisabeth était vraiment agacée, les vacances commençaient mal. Elle avait invité Lucie à se joindre à elles. Des vacances au bord de la mer avec les enfants mais sans les maris. Et voilà que Lucie gâchait tout avec son comportement infantile.
Ce matin elle était partie se dorer à la plage en laissant ses deux amies faire le ménage et les courses, s’en était trop, Elisabeth fulminait.
- non mais c’est pas possible, ça ne va pas durer comme ça toute la semaine.
- et tu comptes faire quoi, tu vas la gronder ?
Stéphanie s’amusait de la colère de sa copine.
- oh non, je crois qu’il y a mieux à faire, puisqu’elle se conduit comme une gamine et bien on va la traiter comme une gamine.
- c’est à dire ?
- je vais lui administrer la fessée qu’elle mérite depuis un moment, sa mère n’a pas du lui en flanquer quand elle était gamine, ça lui manque.
- pardon ? tu...tu vas lui donner une fessée ? tu es sérieuse ?
Stéphanie était éberluée.
- oui, les enfants sont au club pour la journée, on va en profiter pour mettre les choses au point.
Lucie était allongée sur sa serviette sur le ventre au creux d’une dune, à l’écart de la foule. Stéphanie après la réflexion d’Elisabeth eu le regard immédiatement attiré par les fesses de Lucie, elles étaient bien potelées, moulées par le maillot une pièce de Lucie qui était assez échancré et laissait apparaître la base des fesses.
Après tout songea t elle, ce n'est peut-être pas une mauvaise idée, malgré ses 40 ans, Lucie méritait la fessée. Elisabeth entrepris immédiatement son amie.
- Lucie ! Tu penses peut-être que nous sommes tes bonnes ! Tu penses qu'on va tout faire pendant que madame est à la plage.
- Olala, Elisabeth, ce n'est pas la peine d'en faire tout un plat.
Lucie avait tourné la tête et elle souriait, contente de sa blague. Ce qui eu le don de mettre encore plus en colère Elisabeth. Elle s'assit à côté de Lucie et la saisissant par le bras elle l'a fit glisser sur ses cuisses.
- mais, ça va pas ! Qu'est ce qu'il te prend. Lâche moi.!
Elisabeth la tenait fermement par la taille, Lucie se débattait pour essayer de s'échapper de cette position ridicule, se fesses étaient bien exposées, tendues sous le maillot de bain qui rentrait légèrement dans la raie fessière dévoilant le pli à la base des cuisses.
- non je ne vais pas te lâcher avant que tu n'aies reçu la bonne fessée que tu mérites !
Elisabeth commença à claquer le derrière de cette dame de 40 ans. Qui se tortillait maintenant et battait des pieds. Le bruit des claques étaient atténués par le tissu et le bruit des vagues. Lucie se mit à gémir.
- non, aïe aïe aïe, arrête s'il te plaît.
- je te conseille de ne pas crier et de te laisser faire si tu ne veux pas que toute la plage sache que madame reçoit encore la fessée à 40 ans !!
La fessée continuait, la base des fesses bien visible maintenant devenait rouge, Lucie étouffait ses cris dans la serviette. Et continuait à battre des pieds au rythme de la correction. Bientôt elle se mit a pleurer, signe que la punition avait atteint son but. Stéphanie avait assisté ébahie à la correction de Lucie. Elle regardait maintenant Elisabeth d'un autre oeil. Elle avait cessé la fessée et tout en gardant Lucie sur ses genoux elle lui parlait en caressant ses fesses.
- voilà, c'est fini pour le moment, tu vas rentrer à la maison et faire le ménage de ta chambre et de la cuisine. Ce soir quand les enfants seront couchés je t'administrerai la vraie fessée que tu mérites. Une bonne fessée déculottée !!
- oh non, non tu n'as pas le droit… non !!!
Lucie se mit à crier et à taper des pieds sur le sable.
- mais ma petite chérie, ce n'est pas toi qui décide. Tu ne penses quand même pas que la petite fessée sur le maillot que tu viens de recevoir est suffisante !
- non, non, je ne veux pas, je vais me plaindre !
Cette remarque eu le don de faire rire ses deux amies.
- ah oui tu vas aller dire que tu viens de recevoir la fessée....qu'a son âge madame a eu panpan cucul…. si tu ne veux pas recevoir la fessée déculottée ce soir, je te déculottes ici et tu la reçois maintenant, à toi de choisir.
- non, non c'est bon, lâche moi Elisabeth, j'ai compris.
Satisfaite Elisabeth lui claqua une dernière fois les fesses et la laissa se relever. Stéphanie riait en voyant Lucie se frotter énergiquement les fesses pour calmer la brûlure.
- tu devrais mettre ta serviette autour de ta taille, sinon tout le monde va voir tes petites fesses bien rouges et saura que tu as reçu la fessée.
Cette remarque calma immédiatement Lucie qui jeta un regard inquiet aux alentours, mais personne ne les regardait, la fessée était passée inaperçue. Elle se tourna pour essayer de voir ses fesses, une rougeur était bien visible à la base du maillot, elle décida de suivre le conseil de Stéphanie et enroula sa serviette autour de sa taille.
Arrivée à la maison, elle quitta son maillot et regarda ses fesses dans la glace, elles étaient encore bien rouges, la cuisson s'était un peu calmée mais elle les frotta quand même. Elle songea à la fessée déculottée que lui avait promis Elisabeth pour ce soir, vu la douleur de la fessée sur le maillot, elle n'osait pas imaginer ce que ça serait sur les fesses nues. Elle avait du dire ça pour lui faire peur songea t elle.
Elle se mit à faire le ménage. Quand Stéphanie et Elisabeth rentrèrent elles se mirent à rire en voyant que la maison était rangée. C'est Stéphanie qui enfonça le clou.
- et bien dis donc ma chérie, on dirait que la bonne fessée de tatie Elisabeth a fait son effet.
Elisabeth s'approcha de Lucie et sans se gêner lui retroussa la jupe et avant qu'elle ait pût réagir elle lui baissa la culotte sous les fesses. Lucie essaya de l'en empêcher mais Elisabeth la ceinture et lui bloqua la main.
- tu devrais te laisser faire ma chérie, j'ai juste l'intention de vérifier l'état de tes fesses, mais si tu veux que je te donne une fessée déculottée maintenant il n'y a pas de problème.
Lucie en pleurnichant cessa de se débattre. Elle avait une bonne paire de fesses, bien large, séparée par une raie profonde, elles étaient rebondies mais ferme, Elisabeth l'avait deviné lors de la fessée sur le maillot mais maintenant elle en était sûr, Lucie avait des fesses faites pour la fessée.
Un régal pour une fesseuse comme Elisabeth mais Lucie ne le savait pas encore. Elle remonta la culotte sur les fesses encore rosées non sans les avoir claqué deux ou trois fois pour lui rappeler sa condition de punie.
- c'est parfait, tes fesses sont en état pour la vraie fessée déculottée que tu recevras ce soir.
Lucie blêmi, elle n'avait donc pas plaisanté quand elle avait parlé de fessée déculottée tout à l'heure. À plus de 40 ans elle allait recevoir une fessée cul nu comme quand elle était gamine. Elle voulu protester mais l'air sévère de son amie l'en dissuada.
La journée se passa tranquillement, Lucie avait presque oublié la menace qui planait sur elle sauf quand vers 18h, Stéphanie qui préparait le repas avec elle lui caressa les fesses par dessus sa courte jupe en coton et en riant lui dit.
- alors ma petite chérie, tu es prête pour le panpan cucul de tout à l’heure.
Lucie rougit violemment mais ne répondis pas, la soirée lui parut longue, vers 22h, tout les enfants étaient couché, elles discutaient sur la terrasse quand Elisabeth annonça.
- bon ma petite Lucie, il est temps de solder nos comptes, je t’ai promis une fessée déculottée tout à l’heure à la plage et bien je vais te l’administrer maintenant, viens ici !
Lucie était rouge de honte de se voir annoncer une fessée cul nu comme si elle était encore une gamine, elle protesta.
- mais écoute Elisabeth, j’ai compris, tu as vu cet après midi je vous ai aidé.
- c’est vrai mais outre que je pense que c’est justement parce que je t’ai donné une fessée tout à l’heure que tu t’es bien comportée, je pense que ton attitude depuis deux jours mérite plus qu’une petite fessée sur la culotte, tu as besoin d’être recadrée ma chérie et il n’y a rien de mieux qu’une bonne fessée la culotte baissée pour te remettre les idées en place. Donc tu vas venir tout de suite sur mes genoux pour recevoir ta fessée et ensuite nous n’en parlerons plus.
Lucie se rendit compte que la partie était perdue, elle regarda autour d’elle.
- tu ne vas pas me donner la fessée ici, dehors ?
Elisabeth se mit à rire.
- et pourquoi pas ? tu préfères peut être à l’intérieur pour que les enfants entendent ? Les maisons voisines sont éloignées, ne crains rien il n’y aura que Stéphanie et moi pour admirer ton joli petit derrière. Bon assez discuté, tu viens ici immédiatement sinon je double la fessée que je t’ai promis.
Lucie avait les larmes aux yeux mais le ton sans réplique de son amie la fit se lever et se diriger vers Elisabeth. Celle ci s’était installée sur une chaise, les jambes légèrement écartées de façon à accueillir confortablement son amie dans la position traditionnelle de la fessée. Dès que Lucie fut à sa portée, elle lui saisit la main et la bascula en travers de ses cuisses, celle-ci poussa un petit cri mais aussi curieux que cela paraissent elle ne cherchait pas à échapper à sa punition, elle était subjuguée par l'autorité naturelle d'Elisabeth. Celle-ci ne perdit pas de temps elle retroussa très haut la jupe de Lucie, dévoilant une petite culotte rose ornée de dentelle, le large derrière de Lucie était contracté, la culotte rentrait dans sa raie fessière dévoilant une bonne partie des fesses, Elisabeth glissa ses doigts dans l'élastique de la culotte et la fit descendre sur les fesses, elle la laissa à mi cuisses.
Une petite chair de poule recouvrait la belle croupe si bien présentée, la fesseuse tapota gentiment les fesses contractées.
- allez ma chérie, desserre moi un peu ces jolies fesses, ça ne vas pas t'éviter la fessée et tu vas avoir encore plus mal.
Lucie gémissait doucement, elle n'avait jamais ressenti une honte pareille, exposer ainsi ses fesses nues, surtout dans cette position, jamais elle n'aurait cru ça possible. Elle serrait surtout ses cuisses par pudeur, même si c'était deux amies qui la regardait, elle ne voulait surtout pas leurs exposer son intimité. C'était mission impossible quand on recevait une bonne fessée déculottée, Elisabeth le savait, c'est pour ça qu'elle souriait en voyant les efforts de Lucie.
- bien, ma petite chérie, te voilà prête pour la fessée cul nu que je t'avais promis, j'espère qu'elle va te servir de leçon.
La main se leva et Lucie se mit à crier et à supplier.
- aïe aïe aïe non maman promis je ne recommencerai plus.
C'était surprenant et cela fit sourire les deux amies, le mot maman était sorti naturellement de la bouche de Lucie, preuve qu'elle avait conscience de sa conduite puérile.
Mais Elisabeth n'avait cure des supplications de la pauvre Lucie, c'était une fesseuse chevronnée ce que ne savait pas encore ses deux amies. Elle en avait rougit des centaines de derrière, de dames, de jeunes filles et même de dames beaucoup plus âgées, aucune paire de fesses n'échappaient à sa main quand elle vous avait mis sur ses genoux.
Le fesses blanches de Lucie commençaient à prendre une jolie couleur, dans ses mouvements désordonnés pour essayer d'atténuer la cuisson, la jeune femme exposait bien malgré elle son intimité qu'elle avait tant voulu cacher, ses fesses se serraient puis s'ouvraient largement, la sévère main d'Elisabeth n'oubliait aucun endroit de la surface du fessier bien rebondie, elle s'attaqua également à la base des fesses, cette zone si sensible, attirant des supplications encore plus intense de la punie. Elle cessa la fessée, Lucie sanglotait, Stéphanie ne quittait pas du regard la croupe écarlate. Mais l'accalmie fut de courte durée, Elisabeth avait pris une brosse à cheveux et la fessée repris avec cet instrument redoutable si apprécié des mamans aux usa. Lucie recommença immédiatement sa danse des fesses et ses pleurs redoublèrent, cette deuxième fessée ne fut pas longue, Elisabeth voulait surtout faire comprendre à Lucie ce qui l'attendait en cas de récidive.
Les fesses étaient maintenant cramoisie, Elisabeth garda un instant Lucie en travers de ses genoux le temps qu'elle se calme un peu, puis elle coinça la jupe dans la ceinture et la fit se relever. Elle lui indiqua un pilier de la terrasse.
- tu vas te mettre là avec les mains sur la tête, ce petit passage au coin fesses à l'air va te permettre de réfléchir.
Elle regarda Stéphanie avec un sourire complice.
- voilà une bonne chose de faite, si tu nous servais à boire pendant qu'on surveille le joli derrière de Lucie en train de refroidir.
Lucie se balançait d'un pied sur l'autre pour essayer d'atténuer la cuisson qui lui embrasait le derrière, elle mourait d'envie de frotter ses fesses. C'était sa première véritable fessée, sa mère n'était pas très sévère et elle n'avait reçu pendant son enfance que quelques claques par dessus sa culotte, c'était vraiment une découverte cuisante.
Elisabeth la laissa au coin pendant 15', puis elle l'appela.
- c'est bon ma chérie, tu peux venir ici.
Lucie s'approcha, elle avait laissé ses mains sur la tête, elle avait oublié toute pudeur, ses joues étaient aussi rouges que ses fesses.
- tourne toi un peu que je voies tes jolies petites fesses.
Lucie s'exécuta sans discuter. Elisabeth passa sa main sur l'épiderme brûlant.
- c'est parfait, tu vas dormir sur le ventre ma chérie mais demain, il ni paraîtra plus. Tu peux enlever tes mains de dessus ta tête et te reculotter.
Lucie fit ce qu'on lui disait comme si elle obéissait à sa maman. Mais le retour en enfance n'était pas tout à fait terminé.
- viens nous faire un bisou et ensuite tu files au lit, tu es privée de sortie pour ce soir.
Quelques instants plus tard elle était au lit, Elisabeth rentra dans sa chambre, elle lui fit une bise sur le front et lui glissa.
- alors ma petite chérie, tes fesses te brûlent ? Tu as de la chance que je te laisse dormir sur le ventre, quand j'étais pensionnaire chez les soeurs et qu'on recevait une fessée au dortoir la surveillante nous obligeait à dormir sur le dos pour qu'on sente bien nos fesses. Dors bien ma chérie.
Merci beaucoup ..très joli récit qui me rappelle de très bon souvenir ..il me semble l'avoir lu ou évoqué sous la plume très avisés de caroline...
RépondreSupprimerCaroline m'a souvent donné des idées de récit, mais celui-ci ne viens pas d'elle. C'est une autre jeune femme dotée d'une bonne paire de fesses agréable à déculotter et à fesser qui m'a inspirée cette fois-ci.
SupprimerSylvie
Elisabeth semble être née leader. doit aussi avoir des antécédents de jeune âge. bon début de l'histoire attendrait une nouvelle mise à jour
RépondreSupprimerChinmay
Ça fait vraiment tout drôle de lire une situation dont on est le sujet principal. Très troublant. Merci Sylvie pour ce beau recit
RépondreSupprimerMa petite Lucie, c'était vraiment un plaisir de te voir gigoter sur les genoux d'elisabeth. Tes fesses sont vraiment jolies quand elles ont des couleurs. Reste sage, car la brosse à cheveux n'est jamais très loin.
SupprimerSylvie