mardi 14 février 2023

Week-end cuisant en famille suite 4

 Julie continue de nous raconter ses aventures cuisantes avec ses amies

Un week-end fesses rouges 




Nous étions renté à la maison et dès le lendemain Hubert goûtait à la tawse, dire qu’il avait apprécié ce nouvel instrument serait un peu exagéré.

A son retour du travail, il était aller se changer, je lui avait envoyé un petit sms dans l’après midi ’’tenue de punition dès ton arrivée’’.

Il savait ce que cela voulait dire, il devait quitter ses vêtements masculin pour mettre une petite culotte blanche bien féminine et mettre une jupe plissée bleue marine avec un chemisier blanc. (Vous ai je dis que mon petit chéri n’est pas très viril et qu’il est entièrement épilé.)

Quand il est redescendu de la chambre il n’avait plus rien du cadre important, mais il ressemblait à une collégienne convoquée chez la directrice. La tawse était posée sur la table du salon, bien en évidence, la chaise placée au centre de la pièce ne laissait guère de doute sur ce que je lui avais réservé. Un petit signe du doigt dès que j’eu pris place sur la chaise et Hubert rougissant était contre ma cuisse, quelques secondes plus tard mon grand dadais était couché sur mes genoux les fesses bien présentées sous la jupette de collégienne.

- mon petit chéri tu vas avoir le plaisir de goûter à la tawse que Sophie m’a offert pour ton petit derrière ainsi que celui de Sylvie et de Hugues. Mais avant une correction à la tawse il faut échauffer ton petit derrière et tu sais que maman Julie sait comment faire.

En parlant j’avais retroussé la jupe et découvert la culotte, Hubert possède une bonne paire de fesses et elle remplissait bien la petite culotte blanche, je le déculottai rapidement, les fesses étaient encore rosées des diverse fessées reçues pendant le week-end mais pas de bleu ni marques disgracieuses, ce fessier était en parfait état pour recevoir une nouvelle correction.

Vous me trouvez certainement sévère mais si on veut avoir un mari obéissant, croyez moi il ne faut jamais relâcher la bride et la fessée déculottée régulièrement administrée est la meilleure des méthodes, ça s’applique également aux dames, comme Sophie avec Daisy et Elisabeth avec Sandra. Sans oublier bien sûr ma chère Sylvie qui bien sûr n’allait pas tarder à me montrer ses jolies fesses.

La fessée retentissait déjà dans le salon, Hubert criait et pleurait comme à chaque fois qu’il recevait une bonne fessée, ce n’était pourtant que le début, mais une fessée bien appliquée à la main ça brûle énormément, surtout au début quand les fesses sont encore blanches et un peu froides. Elles n’allaient pas le rester longtemps au bout des 300 claques habituelles, administrées équitablement sur chacune de ses fesses, Hubert était doté d’un fessier écarlate et bien chaud.



Il pleurait comme un gamin quand je le fis relever, il fallait laisser la fessée manuelle faire son effet, je le conduisis au coin, sa jupe épinglée dans le dos et sa culotte au genoux, il m’offrait mon spectacle favori.

Je décidai de faire un appel vidéo sur WhatsApp. Quelques instants plus tard Sylvie pouvait s’émerveiller devant la couleur des fesses de mon chéri.

- oh qu’il est mignon, tu ne l’as pas raté dis donc.

- c’est juste une fessée d’échauffement, tu sais, il va avoir droit à mon nouveau petit joujou.

Je lui montrai la tawse.

- olala, ça doit claquer… où as tu eu ça ?

Je lui expliquai notre Week-end et le cadeau de Sophie.

- d’ailleurs ma petite chérie, j’ai deux choses à t’annoncer, la première c’est que ton petit derrière va goûter rapidement à la tawse…

- oh non…. pourquoi ?

- tais toi, vilaine fille, tu sais que quand je décides que tu dois être fessée, tu n’as rien à dire, cette protestation te vaudra un petit supplément. Et donc la deuxième chose, c’est que j’ai prévu un prochain week-end avec Elisabeth et je vais t’emmener avec moi. Bon je vais te quitter, je ne voudrais pas que les fesses d’Hubert refroidissent.

Je le fis sortir de son coin, il était mignon avec ses mains sur la tête, je lui montrai l’accoudoir du fauteuil.

- tu vas te coucher là pour bien me montrer tes fesses. Voilà, bien tendues, allez écarte moi un peu tes jambes, que ton petit derrière soit bien présenté.

Il avait le nez dans le coussin du fauteuil, ses fesses bien rouges pointaient vers le ciel. Je levai la tawse, il poussa un cri, une bande rouge plus foncée barrait ses fesses, ses jambes se mirent à battre l’air au rythme de la fessée, je me contentai de lui administrer vingt coups, c’était suffisant, pour une bonne correction. Ses fesses étaient maintenant d’un rouge profond du bas des reins jusqu’au haut des cuisses, il pleurait mais ne bougeait pas, ses fesses se serraient convulsivement comme pour essayer d’atténuer la cuisson. Il était vraiment en trop bonne position, j'avais bien sûr mon thermomètre à portée, mes doigts écartèrent ses deux globes brûlants.

- tu as vraiment un petit cul très chaud mon chéri, on va vérifier ta température. 

J'étais vraiment contente du résultat de ma sévère éducation, Hubert ne serrait pas ses fesses, son petit trou était bien visible, le thermomètre pénétra doucement. 



Comme j'en avais l'habitude je le rentrai profondément dans le fondement de mon puni, il ne risquerait pas de ressortir. Les fesses relâchées seul un petit bout de verre apparaissait au milieu du derrière écarlate. 

- et bien te voilà calmé pour la soirée mon chéri, tu vas rester là jusqu'à l'heure du repas, tu sais que tes petites fesses sont adorables. 

C'était une punition habituelle qui remplaçait de temps en temps le passage au coin fesses à l'air. C'était très humiliant pour lui d'être ainsi au centre du salon, les fesses pointant vers le ciel garnie par un thermomètre. Je pouvais me livrer à mes activités tout en sachant qu'il ne bougerait pas de là. De temps en temps, quand je passais je faisais légèrement coulisser le thermomètre ou je lui claquais le derrière. 

Le lendemain je reçus un message d'Elisabeth avec une photo très explicite des fesses de Sandra. Elles étaient d'un rouge intense, sa maman avait elle aussi inauguré la tawse. 

J'avais invitée Sylvie à  prendre le thé, elle rougi en voyant que j'avais posé la tawse sur la table à côté des tasses. 

- tu as vu le joli cadeau que m'a fait Sophie ? Les fesses de Hubert ont apprécié je peux te l'assurer, tiens je vais te montrer. 

J'avais sorti mon téléphone et je lui ai montré les photos du derrière écarlate de mon petit chéri en même temps je lui ai montré les fesses de Sandra aussi rouges que celle de Hubert. Elle semblait vraiment inquiète et elle pouvait, ça faisait longtemps que je ne lui avais pas administré une bonne correction et la connaissant je me doutais qu'elle avait du faire pas mal de bêtises. J'avais posé ma tasse et je lui ai fait un petit signe du doigt. 

- allez ma petite chérie, on va commencer par chauffer ton petit derrière. 

Je tapotais mes cuisses pour l'inviter à venir s'y coucher. Je savais ce que j'allais découvrir en retroussant sa jupe. Sylvie ne porte plus que de sage petite culotte blanche en coton, des fois avec des petites fleurs, de vraies culottes de petite fille, au début elle a bien essayé de protester mais quelques bonnes fessées déculottées ont eu vite fait de la remettre dans le droit chemin. Comme elle ne sait jamais quand elle va devoir me montrer ses fesses, elle ne s'aventure plus à me désobéir. 

Ce jour-là, elle avait mis une culotte blanche avec un petit liseré de dentelle autour des cuisses. Elle moulait parfaitement ses belles fesses de dame mature, je prenais mon temps en caressant le fin tissu tendu sur son derrière. 



- alors ma petite chérie, ça fait bien longtemps que tu ne m'as pas montré tes petites fesses. 

Très lentement je fis glisser la culotte sur la courbe des fesses, sans surprise elles étaient serrées et une petite chair de poule les recouvraient, c'était vraiment très mignon. Ma main experte s'insinua entre ses cuisses et tapota les fesses. 

- on se détend madame....ce n'est pas en serrant tes fesses que tu vas éviter ta punition. La bonne fessée déculottée de maman Julie…

La fessée fut rapide et très sévère, j'étais pressée d'utiliser mon nouveau joujou. Sylvie était surprise en effet à part quand j'étais en colère,  je lui donnais toujours la fessée cul nu en commençant assez lentement pour finir par des claques très fortes. Cette fois-ci elle s'était mise à crier immédiatement et  à gigoter sur mes genoux, la cuisson d'une forte fessée sur des fesses blanches et encore fraîche est assez intolérable. Elle avait maintenant une belle paire de fesses bien rouges et bien chaudes, je ne la mis pas au coin comme j'en avais l'habitude. Dès qu'elle fut remise sur ses pieds, je la pris par l'oreille et je la fais se mettre à genou sur le canapé. 

- voilà maintenant tu te penche en avant et tu me présentes bien tes jolies fesses. Si tu bouges je te promets une sévère correction. 

Je caressais ses fesses avec la lanière de cuir, elle serrait les fesses, c'était un spectacle délicieux,  l'attente de la fessée fait partie de la punition. Le premier coup la surpris et elle poussa un cri en se redressant. 

- aïe aïe aïe, non Julie, ça brûle aïe. 

Le deuxième coup avait cinglé ses fesses. 

- reprends la position ! Vite ! Qu'est ce que je t'ai dit !

Elle tendait à nouveau ses fesses, je lui administrerai deux coups à la suite. Elle hurla et se redressa à  nouveau. 

- très bien puisque madame à décidé de faire la maligne on va utiliser une autre méthode. Mets toi sur le dos !

Elle savait ce  qui l'attendait, elle pleurnichant.

- non, non, Julie promis je ne vais plus bouger. 

- sur le dos,  vite !!

En gémissant ma petite Sylvie se mit dans la position requise. Je lui pris les pieds et je relevai ses jambes puis les basculai vers l'avant. Ses fesses étaient tendues, son intimité exposée, sa raie fessière et son petit trou également. C'était une position très humiliante, je savais qu'elle la détestait, la punition n'en serait que plus profitable. En plus les claques sur la peau tendue étaient encore plus douloureuses, avec ma main gauche je lui tenais les chevilles, elle ne pouvait pas bouger, la tawse cingla les fesses si bien présentées. Elle cria, ses jambes se tendirent mais elle ne pouvait pas échapper à la fessée. Je lui ai administré une vingtaine de coups, suffisamment pour que son fessier soit vraiment écarlate. Elle pleurait à chaudes larmes quand j'ai relâché ses jambes. 

- tu l'as bien méritée cette fessée, arrête de pleurer et  file au coin, tu le sais pourtant que je déteste la désobéissance. 

Ma petite chérie n'avait plus cinquante ans quand elle se mit au coin en pleurant, c'était une adolescente fessée par sa maman qui exposait son derrière bien rouge avec les mains sur la tête et le nez contre le mur. Ses belles fesses larges et bien rebondies étaient vraiment mise en valeur par le rouge profond, elle  savait qu'il fallait qu'elle me les présentent bien, c'était une condition pour ne pas rester trop longtemps fesses à l'air, elle les tendaient donc légèrement vers l'arrière pour bien les bomber, c'était vraiment excitant. 



Il fallait que je fasse partager ce spectacle à Elisabeth, WhatsApp est une application merveilleuse, quelques instants plus tard je lui parlais et elle pouvait admirer la magnifique croupe de Sylvie. 

- quelle magnifique paire de fesses, tu as vraiment de la chance. 

- ne t'inquiète pas tu sais bien que je vais amener Sylvie avec moi chez Sophie et Daisy, tu pourras profiter de la même vue en direct. 

Je me mis à rire en voyant les contorsions du fessier de Sylvie, apparemment madame n'appréciait pas mes projets. 

- cesse de tortiller ton petit derrière ma chérie, et oui c'est comme ça, tu  montreras tes fesses à Elisabeth que ça te plaise ou non. 

J'avais prévu un week-end fesses rouges, le vendredi après-midi j'embarquais donc dans ma voiture, Sylvie et Hugues en plus de Hubert. Sylvie était devant avec moi et derrière nos deux petits chéris,  en fait je devrais dire nos petites chéries car les deux étaient ravissant dans leur petite jupette.   Ils étaient en tenue de punition et pour tout le week-end. C'est la petite humiliation supplémentaire que j'impose de temps en temps au deux garçons, bien sûr comme je vous l'ai déjà dit, Hubert porte le plus souvent à la maison des petites culottes blanches de gamines, Elisabeth fait de même avec Hugues mais quand je veux que la leçon soit bien retenue, il m'arrive de les féminiser avant une punition en leur faisant mettre des jupettes et des bas ou des socquettes blanches. Ils ne sont pas très viril ni l'un ni l'autre et je les ai fait épiler intégralement. Aujourd’hui c’était un peu différent, ils allaient donc passer tout le week-end dans cette tenue. Nous avions donc deux gamines à l'arrière de la voiture. Ils ne disaient rien, ils avaient les yeux un peu rougis et ils se trémoussaient d'une fesse sur l'autre. Vous devinez bien qu'avant le départ Sylvie et moi nous nous étions un peu occupé de leurs derrières et ils cachaient chacun sous leurs petites culottes une paire de fesses bien rouges. 

A notre arrivée chez les deux soeurs écossaise une petite surprise nous attendaient. Sophie nous fit entrer dans le salon, dans un coin de la pièce Daisy était allongée en travers d'une table basse sur lequel Sophie avait placé un coussin, c'était déjà intrigant mais ce qui l'était encore plus c'était sa tenue, sa jupe était retroussée haut sur son dos et sa culotte blanche était descendue aux genoux. Ses larges fesses étaient d'un rouge éclatant, elles étaient parfaitement mise en valeur par la position qui les faisaient pointer vers le ciel. Elle était certainement confuse d'être dans cette position en public car elle tortilla un peu son volumineux popotin à notre arrivée, en approchant nous comprîmes rapidement sa honte. En plus de nous exposer ses fesses nues, on apercevait au milieu de la raie fessière un thermomètre qui dépassait. Sophie était ravie de la surprise qu'elle nous faisait et nous étions impressionnée par sa sévérité et la docilité de sa soeur. 

Je me tournai vers les trois filles qui attendait derrière nous.

- bon, vous pouvez aller discuter à la piscine, mais soyez sage, vous savez qu'il y a déjà quelques fessées en préparation, n'en rajoutez pas. 

En rougissant les deux maris devenues des jeunes filles accompagnèrent Sandra. 

Sophie nous invita à nous asseoir, Sylvie était fascinée par le large derrière de Daisy, les fesses de celle-ci se contractaient convulsivement autour du thermomètre. 



- cesse de tortiller ton popotin ma chérie, je t'ai dit que tu garderais le thermomètre 1h30, tu en as encore pour une demi-heure. 

Ainsi la pauvre Daisy était dans cette position depuis 1 h, Elisabeth me jeta un sourire coquin. Sophie continuait de s'adresser à sa soeur. 

- si j'étais toi je ne serais pas trop pressée que je t'enlève le thermomètre, tu sais ce que je t'ai promis après !

Devant notre regard interrogateur, elle ajouta. 

- à grosses bêtises, punition sévère, quand elle aura fini sa pénitence mademoiselle va recevoir une bonne fessée à la tawse et en public.

Nous applaudîmes, ravie de voir à nouveau danser le plantureux derrière de la demoiselle écossaise. Il me vint une idée.

- je pense que les trois demoiselles devraient assister à la fessée, ça leur servira d’exemple.

Sophie acquiesça.

- tu as raison, ça va les faire réfléchir. Bon si nous buvions quelque chose pendant que Daisy nous montre ses fesses.

Le thé était délicieux, la conversation roulait sur la fessée bien évidemment notre passe temps favori. Je ne put m’empêcher de faire rougir ma petite Sylvie.

- tu vois ma chérie, il n’y a pas que toi qui reste aussi longtemps avec le thermomètre dans les fesses.

Elisabeth et Sophie regardèrent en souriant Sylvie qui piqua un énorme fard et plongea son nez dans sa tasse.

- ah, madame montre ses fesses ?

C’était Sophie qui avait fait cette remarque un peu moqueuse.

- oh oui, et assez souvent, d’ailleurs mercredi elle a goûté a ton petit cadeau.

- la tawse ? et alors Sylvie qu’en as tu pensé ? ça chauffe bien le derrière.

Si elle avait pu se mettre dans un trou de souris nul doute que Sylvie l’aurait fait. Elle me regardait désespérée.

- et bien chérie, tu réponds à Sophie, ne soit pas mal élevée, tu sais que je n’aime pas ça ! 

Les joues aussi rouges que les fesses de Daisy, ma petite soumise bégayais des paroles incompréhensible. J'étais ravie de son trouble et j'allais en profiter. 

- je pense que madame a besoin d'une petite stimulation. 

Je m'étais levée et j'avais saisit l'oreille de Sylvie, celle-ci savait ce que cela présageait, elle essaya de protester. 

- non, non Julie, s'il te plaît… 

Elle avait son regard larmoyant qui me fait toujours sourire. 

- oui ma petite Sylvie ? Tu devrais pourtant savoir que je déteste quand tu désobéi, tes fesses l'on pourtant souvent appris à leurs dépends. Allez viens un peu là. 

Sylvie était debout tenue par l'oreille comme une mauvaise élève, je m'étais rassise et je la fit basculer en travers de mes cuisses. Sophie et Elisabeth était ravie, elle souriait au spectacle que Sylvie leur offrait bien malgré elle. Sa jupe était assez courte et on apercevait le haut de ses cuisses et même sa petite culotte blanche. Je la retroussai rapidement et je baissai la culotte à mi cuisse dans la foulée. C'était une punition pour désobéissance, donc déculottage immédiat comme une maman en colère. Ma main se mit à claquer le magnifique derrière de Sylvie et la comparaison avec une fessée maternelle, fut bientôt évident. Sylvie se mit à crier et à gémir, elle pédalait dans le vide et les pleurs arrivèrent rapidement, en même temps que ses fesses prenaient une jolie couleur. 



Je cessai la fessée et tout en gardant ma punie en position disciplinaire je m'adressai aux deux spectatrices.

- décidément, il faut souvent répéter les mêmes choses et Sylvie comprend beaucoup mieux quand je m'adresse à ses fesses. Dis moi ma petite chérie, maintenant tu vas répondre à Sophie. 

Comme elle pleurait toujours, je claquai à nouveau ses fesses. 

- je ne suis pas fatiguée tu sais, il vaudrait mieux pour tes petites fesses que tu répondes rapidement. 

- aïe aïe aïe, oui Julie, pardon...aïe, non pardon.

Je continuais la fessée sur un rythme plus lent.

- je t'écoute. 



- oui Mlle Sophie, la tawse ça....aïe aïe aïe aïe. Brûle beaucoup. 

Je cessai la fessée. 

- et bien nous y voilà, si tu n'étais pas aussi têtue tu aurais évité une fessée. 

Je la fis enfin se relever. 

- tu files au coin, tu vas y rester jusqu'à la fin de la pénitence de Daisy !

Ma petite Sylvie comme une petite fille obéissante, alla mettre son nez contre le mur et croisa ses mains dans le dos pour tenir sa jupe retroussée. Sophie et Elisabeth me félicitèrent pour la qualité de mon éducation. 

- bravo Julie, qu'elle est obéissante, en plus elle nous présente parfaitement son petit derrière bien rouge.

Nous continuâmes notre Tea time avec deux belles paires de fesses à contempler. 



Le week-end commençait bien. 


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