Une cuisante fin de week-end
Le lendemain matin, Hubert et Sandra étaient de charmante humeur, Elisabeth faisait un peu la tête, je remarquai qu'elle posait délicatement ses fesses sur la chaise, je lui fis un petit sourire et un clin d'oeil, elle me répondit par une moue boudeuse.
À la fin du déjeuner, comme nous étions seule, je m'approchai d'elle et sans façon je glissai ma main sous sa jupe, elle essaya de résister mais avec mon autre bras je la coinçai contre moi.
- tu devrais te laisser faire ma chérie, Hubert et Sandra sont juste à côté, tu ne voudrais quand même pas qu'il assiste à ta première fessée déculottée de la journée.
Elle me laissa faire, ma main s'était insinuée sous sa culotte, elle était rouge de honte.
- tes petites fesses sont encore un peu chaudes ma chérie, j'aimerais bien vérifier ça de plus près, on va monter dans ma chambre.
- non, s'il te plaît, Julie…
J'avais ressorti ma main de sa culotte, je lui claquai sèchement les fesses par dessus sa jupe.
- cesse de discuter et file devant, je vais voir ce que font nos deux tourtereaux.
Ils étaient à la piscine, je les avertit d'être sage, car nous avions à discuter avec Elisabeth. Celle-ci m'attendait bien sagement devant la porte de ma chambre. J'éclatai de rire en voyant sa mine déconfite.
- tu en fais une tête. Allez cesse de bouder, sinon gare à tes fesses. De toute façon tu vas me les montrer, il ne tient qu'à toi qu'elles ne te cuisent pas plus tout à l'heure.
J'étais dans ma chambre, assise sur une chaise, je lui fis un petit signe explicite. Elle essaya à nouveau de négocier.
- mais Julie, ce n'est pas la peine, je peux bien te montrer mes fesses en restant debout.
- tu sais très bien que ce n'est pas à toi de décider et tu sais ce qui arrive aux petites capricieuses. En piste madame et vite !!
Vaincue elle s'approcha et comme hier notre professeur de français de 55 ans se retrouva couchée en travers de mes genoux comme une vulgaire gamine désobéissante. La jupe retroussée bien haut sur ses reins, la petite culotte blanche moulait parfaitement le beau fessier. Je la descendis doucement, les fesses étaient encore bien colorées par la fessée à la tawse, elle était encore un peu chaudes également. L'occasion était trop belle, madame allait goûter une nouvelle fois au thermomètre.
- ton joli derrière est encore chaud ma chérie, je suis obligée de te prendre la température.
- oh noon…
Je riais de bon coeur et j'écartais déjà largement ses fesses, la fessée d'hier avait fait son effet, ma petite Elisabeth était devenue docile, la petite rondelle brune au centre de ses fesses était bien visible maintenant. Elle n'eut pas droit à la vaseline, j'avais juste humidifié avec mon doigt son petit trou et l'embout du thermomètre. Je le fit pénétrer rapidement et relâchai les deux fesses. Elisabeth gémissait doucement.
- tu vois que ce n'est pas si terrible, bon une petite fessée matinale et on va aller retrouver nos deux tourtereaux.
Elisabeth reçu donc une petite fessée rapide avec le thermomètre bien en place dans ses fesses, ce n'était pas vraiment une punition, juste un petit rappel, pour lui faire comprendre qui était la maîtresse maintenant. Elle se releva avec les fesses bien rouges, le thermomètre était posé sur la table bien en évidence, ses joues avaient la même couleur que ses fesses.
Nous devions partir l'après-midi, je décidai d'une petite promenade en forêt, Sophie qui avait quelques arrières pensées proposa que Daisy nous accompagne et que Hubert reste avec elle pour l’aider. Elle m’avait fait un petit clin d’oeil, nous aurions chacune nos petits derrières préférés pour occuper nos mains. Elisabeth était ravie d’avoir à nouveau le beau fessier de la demoiselle écossaise à sa disposition, quant à moi je ne me lassais pas du mignon petit derrière de Sandra. Hubert avait fait une grimace en apprenant qu’il allait rester sous la surveillance de Sophie, l’intransigeance de la demoiselle ne laissait présager rien de bon pour ses fesses.
Les deux demoiselles qui nous accompagnaient avaient mis des robes légère, sans façon, Elisabeth retroussa la jupe de Daisy pour vérifier ce qu’elle portait dessous. Celle-ci poussa un petit cri mais ne résista pas. Elle avait mis une sage culotte blanche en coton et vu la température avait abandonné les bas. Elisabeth claqua le plantureux derrière.
- c’est parfait si tu n’es pas sage, ce sera facile de te donner la fessée. Allez en route !
Sandra marchait devant en compagnie de Daisy, malgré la différence d’âge elles s’entendaient bien, c’était comme avec Hubert, peut-être que leurs conditions communes de punies contrainte de montrer leurs fesses nues malgré leur âge, les rapprochaient.
Il était évident que la promenade ne se finirait pas sans deux magistrales fessées déculottées, il nous fallait juste trouver l’endroit. Sophie m’avait indiqué un endroit relativement tranquille mais quand même pas trop afin que les punies ressentent la crainte que quelqu’un passe et assiste à leur fessée.
C’était une petite clairière avec deux bancs face à face, nous avions une bonne vue sur l’allée pour pouvoir surveiller si quelqu’un arrivait. Je pris la parole.
- mes petites chéries, on se quitte cet après midi, comme nous n’aurons plus vos fesses à disposition, moi celle de Sandra et Elisabeth celle de Daisy, en cadeau souvenir et pour que vous restiez sage on va vous administrer à chacune une bonne fessée déculottée ici. En plus ça va faire du bien à vos petits derrières, le grand air va les oxygéner.
Daisy n’était vraiment pas à l’aise, c’était sans doute la première fois qu’elle allait recevoir une fessée en plein air, elle tenta de me faire fléchir.
- non, s’il vous plaît Julie pas ici, si quelqu’un passe.
Je me mis à rire.
- et bien ma petite Daisy ils verront ce qui arrive aux vilaines filles, elles reçoivent la fessée déculottée et oui, cul nu comme disait ma mère. Et puis assez discuté, allez en piste mesdemoiselles.
La fessée en plein air quand le temps le permet est vraiment un de mes pêchés-mignons, j’adore mettre à nu un derrière, la honte du puni est à son comble quand il sent l’air frais sur ses fesses, le bruit des claques qui résonne au milieu de la forêt c’est vraiment une douce musique pour mes oreilles.
Nous avions pris place chacune sur un banc face à face, les punies pouvaient voir le fessier de l’autre en tournant la tête. Les jupes volèrent rapidement sur les reins des demoiselles, les deux culottes blanches étaient éclatantes avec le soleil qui perçait à travers les branches. La culotte de Daisy rentrait déjà dans sa raie fessière, ses fesses étaient contractées par l’angoisse, son large popotin était à moitié découvert, Sandra avait mis une sage culotte en coton avec des petites fleurs. Je la félicitai.
- c’est bien ma petite Sandra, tu as une culotte parfaite pour recevoir ta fessée comme une petite fille.
Elle se tortillait légèrement sur mes genoux signe de son angoisse d’être dans cette position dans un lieu public. Je fit un petit signe à Elisabeth et la fessée commença sur la culotte.
Mon amie était ravie de pouvoir enfin donner la fessée, depuis hier soir elle avait reçu trois fessée sans pouvoir se venger. Le fessier de Daisy allait en faire les frais, nos deux punies se tortillaient sur nos genoux mais elles essayaient de ne pas faire trop de bruit en criant comme pour ne pas attirer l’attention d’éventuel promeneur. La culotte de Sandra laissait voir maintenant une partie de ses fesses, comme Elisabeth avec celui de Daisy je fessais la base des fesses ainsi découverte qui rapidement était devenue rouge.
C’est Elisabeth qui pris la première l’initiative du déculottage, elle avait saisi la ceinture de la culotte et la descendait doucement, Daisy supplia
- non, non madame, s’il vous plaît pas la culotte, pas ici, non.
Elisabeth se mit à rire et continua tranquillement à déculotter la demoiselle de 50 ans.
- et pourquoi donc, pas la culotte, tu sais bien ma petite Daisy qu’une bonne fessée, c’est toujours cul nu. Et puis si quelqu’un passe, comme te l’a déjà dit Julie, il verra ce qui arrive aux vilaines filles.
Maintenant les larges fesses de Daisy étaient entièrement dénudées, Elisabeth avait descendu la culotte à mi cuisse, je comprends que cela devait être à la fois humiliant et angoissant pour Daisy de se retrouver cul nu sur un banc, c’était presque comme recevoir une fessée en public. La culotte de Sandra connu le même sort, elle gémissait doucement mais ne protestait pas. Les deux fessiers étaient déjà rouge de la fessée sur la culotte. La correction repris, c’était beaucoup plus sonore qu’auparavant, le bruit des claques résonnaient dans le silence de la forêt, c’était très excitant.
En quelques minutes les deux paires de fesses si différentes morphologiquement se rejoignaient dans un magnifique rouge recouvrant toute leur surface, je levai la tête et je fis un petit signe à Elisabeth, au bout du sentier on apercevait deux joggeuses. La fessée cessa et nous fîmes relever nos punies mais sans leur remonter la culotte, leurs fesses brûlantes étaient cachée par la jupe retombée. Nous saluâmes gentiment les deux jeunes sportives, Daisy et Sandra baissaient la tête, leurs joues étaient quasiment aussi rouges que leurs fesses. Dès que les joggeuse eurent disparu, je retroussai à nouveau la jupe de Sandra et je la coinçai dans la ceinture, je remontai la culotte sous les fesses pour qu’elles restent quand même visible, Elisabeth fit de même avec Daisy, elle avait compris ma petite idée perverse. Elle claqua le plantureux derrière rouge.
- allez en route, vos fesses restent disponible si vous n’êtes pas sage.
Nous fîmes passer les deux punies devant pour avoir une vue parfaites sur leurs fesses rouges. Nous n’avons rencontré personne jusqu’à la maison ce qui fait que Sandra et Daisy ont pu nous exposer leurs derrières pendant 15’, on les sentaient un peu inquiète, elles jetaient des regards à droite et à gauche et elles ne traînèrent pas pour rentrer.
Dès notre arrivée, elles furent mise au coin comme il se doit après une bonne fessée déculottée. Sophie arriva juste au moment où les deux dames exposaient leurs fesses, le nez bien collé contre le mur et les mains sur la tête.
- quel ravissant spectacle, ces fesses ont pris de jolies couleurs au grand air dites moi.
Elle souriait, ravie. Je lui demandai où était Hubert et si il avait été sage. Elle nous fit signe de la suivre, dans la cuisine, Hubert faisait la vaisselle. Il nous tournait le dos ce qui nous permettait d’admirer son derrière bien rouge. En effet il ne portait plus de culotte mais un simple tablier, noué par derrière qui protégeait son côté face mais laissait son côté pile bien en vue. La couleur de ses fesses ne laissait guère de doute sur la façon dont Sophie lui avait inculqué les bases de la cuisine.
- il a été très sage, comme un gentil garçon, mais il est un peu maladroit j’ai du le corriger un peu. Je pense qu’il va faire plus attention maintenant.
Puis s’adressant à mon petit chéri.
- quant tu auras fini tu viens nous rejoindre au salon, tu sais que nous avons encore une fessée prévue mon petit ami.
Hubert répondit timidement
- oui Mlle Sophie, j’ai presque fini.
Nous allions donc assister à une nouvelle fessée et cette fois Hubert allait être le seul à la recevoir avec deux spectatrices attentives.
Quelque instants plus tard, Hubert se présenta dans le salon, il était mignon avec ce petit tablier à carreaux. Sophie se leva et tira une chaise au milieu de la pièce, elle s’assit et lui fit un petit signe avec son doigt.
- allez mon petit Hubert, en position.
Rapidement mon petit mari se retrouva allongé en travers des genoux de la sévère demoiselle écossaise. Il était déjà prêt pour la bonne fessée, ses fesses étaient exposées à notre vue.
- qu'a donc fait Hubert pour mériter encore une fessée ?
Je jouais les innocentes, sachant que Sophie allait se faire un plaisir de nous détailler les causes qui valaient à mon petit chéri cette bonne déculottée.
- oh c'est simple, monsieur à cassé 3 assiettes alors que je lui avait dit de les ranger correctement, il a laissé brûler un plat que je lui avais dit de surveiller et pour finir il n'a pas fini à temps la vaisselle. Il a reçu une fessée pour chacune de ses bêtises, ce qui explique la couleur de ses fesses mais j'étais pressée, je n'ai pas eu le temps de m'occuper sérieusement de son derrière.
Je lui en ai promis une sérieuse à votre retour. J'espère que la leçon sera plus profitable.
Elle palpait d'une main experte le fessier déjà rouge de Hubert.
- les fesses sont déjà bien échauffées on va pouvoir passer à la vraie fessée de Mlle Sophie. Tu vas t'en souvenir mon petit ami.
Elle sorti de sa poche sa solide brosse à cheveux.
Puis la fessée commença, c'était effectivement une vraie bonne fessée déculottée que recevait mon petit chéri. Il ne fut pas long à hurler sous la brûlure, il était habitué à recevoir de sévère correction mais celle-ci allait compter parmi les meilleurs. Il se débattait et ruait sous la violence des claques mais Sophie était une redoutable fesseuse. Elle le tenait solidement et avait coincé le bras droit de Hubert dans son dos. Ses pieds battaient l'air désespérément, l'intégralité de sa croupe était d'un beau rouge brique quand la fessée cessa. Il pleurait maintenant à chaudes larmes quand il rejoignit ses deux compagnes d'infortune pour exposer ses fesses au coin de la pièce.
C'était l'heure de l'apéritif que nous dégustâmes en nous régalant du spectacle des trois derrières bien rouges. Elisabeth en riant nous fit remarquer que celui de Hubert était vraiment plus rouge que celui des demoiselles. Elle prit la brosse à cheveux et s'approcha de Sandra et de Daisy. Elle commença par celle-ci, elle la courba sous son bras et lui administra une rapide mais claquante fessée qui eu pour effet de rehausser la couleur du large derrière. Daisy trépignait sur place mais ne pouvait échapper à la correction. Puis Sandra subit le même sort, elle nous gratifia d'une très jolie danse de sa mignonne petite paire de fesses.
Pour le repas les trois punis durent poser leurs derrières cuisants directement sur les chaises en paille, les culottes avaient été retirées.
C'était une bonne fin de week-end, surtout qu'en cadeau Sophie nous donna à chacune une tawse écossaise.
- les derrières de ces petits chéris sont un peu trop endolori pour les essayer maintenant mais je pense que demain ils auront récupérés et qu'ils pourront y goûter.
Les moues boudeuses de Sandra et Hubert nous firent bien rire. Ils étaient rhabillé mais la grimace qu'ils avaient fait en remontant leurs culottes montrait que les fessées du week-end avaient été efficace.
Daisy était toujours privée de culotte, la jupe retroussée, je lui fis un bisou en caressant son beau fessier bien chaud. Puis quand j'embrassai Elisabeth je lui glissai à l'oreille.
- tes petites fesses sont adorables ma chérie, je pense que la prochaine fois je vais m'en occuper encore plus sérieusement.
La professeur de 50 ans rougit sous l’allusion à son nouveau statut de dame recevant encore la fessée déculottée malgré son âge. Hubert et Sandra étaient déjà dans les voitures. Sophie s’était également approchée d’Elisabeth, elle lui tapota également la croupe par dessus la jupe.
- tu vas te souvenir de ce week-end ma chérie, on n’oublie pas en général sa première fessée à la tawse. D’ailleurs ma chère Julie n’oublie pas que la prochaine à y goûter c’est toi.
Ce fut mon tour de rougir, heureusement Hubert n’avait rien entendu.
Merci beaucoup Sylvie tu nous gâté un très bel épisode très soigne un petit bijou
RépondreSupprimerJulie la prochaine fessee est pour toi j'ai hâte de vous lire
Coucou Sylvie une semaine sans une nouvelle histoire bien croustillante....tu prends quelques jours de vacances bien mérité j'en suis sûr.. ???
RépondreSupprimerUne fessee conjugale pour fêter la Saint Valentin?
RépondreSupprimerje n'avais pas lu votre commentaire, mais vous devez être content, le nouveau récit est en ligne pour la saint Valentin
RépondreSupprimer