Sophie fesse à domicile
Sophie était guillerette ce lundi matin, c’était un jour de fessée à domicile et elle avait deux prestations prévues, la première, c’était sa visite hebdomadaire au domicile de la baronne De Nouvel et le deuxième était une nouveauté, pour la première fois elle allait se rendre à l’atelier de confection Frou-frou, dirigé par Blandine Séverin. Sa matinée serait consacrée à la famille De Nouvel et l’après midi à l’atelier Frou-frou.
Elle vérifia sa mallette avant de partir, tous ses instruments y étaient, mademoiselle Claquefesse, madame Tapecul, sa brosse à cheveux, ses deux martinets, sa règle plate en bois, elle vérifia les outils complémentaires, deux thermomètres rectaux en verre, deux boites de suppos, l’une pour le traitement de la cellulite et l’autre à visée punitive, des suppos aux gingembre, ainsi qu’une boite de plug de différentes tailles.
Elle chargea sa mallette dans sa voiture et démarra en direction de l’hôtel particulier de la baronne De Nouvel, elle était excitée à l’idée du spectacle qui allait s’offrir à elle. A l’issue de la dernière séance elle avait expliqué à la baronne mère les changements qu’elle comptait apporter afin que la séance soit plus efficace. Marie De Nouvel avait rougi en entendant la jeune assistante, mais l’état de son derrière et la cuisson intense qui l’envahissait l’avait empêchée de protester.
En effet depuis la première séance de fessée à domicile (voir le chapitre 1, fessée à domicile) de nombreuses choses avait changé.
La principale était que la mère d’Elisabeth De Nouvel était maintenant traitée comme sa fille et que tous les lundi elle recevait une et même souvent plusieurs fessées déculottées.
Les autres changements consistaient en ce que le personnel était systématiquement corrigé par Sophie, Priscilla la jeune bonne, Mathilda la cuisinière, mais également Jennifer Sterling la gouvernante se faisait copieusement rougir les fesses dûment déculottées. Bien sûr Élisabeth n’échappait pas au déculottage et à la fessée.
Sophie avait désormais la clé de la porte principale, en entrant le spectacle prévu était au rendez-vous, dans le hall d’entrée dans deux coins opposés se tenaient Priscilla et Mathilda, leur jupe était épinglée dans le dos et leur culotte abaissée juste sous les fesses, elle avait placé leurs mains sur la tête et leur nez contre le mur.
Sophie en souriant s’approcha de Priscilla, elle posa sa main sur le fessier potelé et bien ferme :
— C’est bien vous avez été obéissante, à quelle heure vous êtes vous mise au coin ?
La jeune bonne crispa ses fesses dans l’attente d’une éventuelle claque.
— À neuf heures mademoiselle Sophie.
La jeune femme regarda sa montre, elles avaient donc passé vingt minutes au coin, c’était un bon début. Elle s’approcha de Mathilda, son large fessier s’étalait dans toute sa splendeur, elle le tapota :
— Ça te fait quel effet ma petite Mathilda d’exposer ton derrière de si bon matin ?
La cuisinière avait quarante ans, mais Sophie donnait du ma petite à toutes les dames qu’elle corrigeait quel que soit leur âge, Mathilda savait qu’il fallait répondre :
— J’ai honte mademoiselle Sophie.
La jeune assistante claqua la croupe joufflue en riant :
— J’espère bien, c’est fait pour ça, mais tu sais j’en vois tous les jours des paires de fesses déculottées et les tiennes ne sont pas différentes. Bon vous restez au coin pendant encore un moment, je finis mon inspection et je m’occupe de vos fesses.
Elle entra dans le salon où un spectacle identique l’attendait, Jennifer se tenait dans le coin gauche de la pièce, elle était dans la même tenue que les deux domestiques, son élégante jupe noire était épinglée bien haut dans son dos, ses fesses nues étaient encadrées par le porte-jarretelle blanc et la culotte baissée sous les fesses, son large derrière d’un blanc laiteux était contracté par la honte et l’angoisse. Sophie passa sa main sur cette magnifique croupe qu’elle allait rougir :
— On dirait que notre petite Jenny a peur pour son petit cucul, détends-toi ma chérie, c’est juste une bonne fessée déculottée que tu vas recevoir.
Dans l’autre coin, la jeune baronne Élisabeth se tenait bien droite, ses fesses étaient marquées par six traces horizontales bien parallèles, elle était tellement habituée à exposer son derrière déculotté qu’elle ne montrait aucun signe de crispation. Sophie tapota la croupe :
— Tu as reçu la canne ?
— Oui mademoiselle Sophie.
— Par qui et quand ?
— Hier mademoiselle, c’est miss Sterling qui m’a cannée.
Sophie passa ses doigts sur les fesses marquées :
— Mes félicitations Jenny, c’est du bon travail. On voit que tu es anglaise, les traces sont bien parallèles. Six coups ? Pour quelle raison as-tu corrigé Élisabeth ?
Miss Sterling desserra un peu ses fesses, l’attention de Sophie était dirigée vers celles de la baronne.
— C’est madame la baronne qui m’a chargé de canner Élisabeth, car elle est arrivée en retard à la messe, je l’ai fessée cul nu devant Priscilla, Mathilda et madame la baronne, puis elle a reçu les six coups de canne.
La jeune gouvernante avait donné ces explications sans quitter son coin, Sophie claqua sèchement le large derrière d’Elisabeth :
— Tu connais le tarif ? Ce sera double fessée aujourd’hui. En attendant vous restez au coin, je reviens.
Elle se dirigea vers la chambre de la baronne, elle se délectait par avance de l’humiliation qu’elle avait imposée à cette vieille aristocrate, obligée de l’attendre au coin les fesses à l’air.
Effectivement Marie De Nouvel avait suivi ses instructions à la lettre, elle avait baissé sa culotte sous ses fesses comme toutes les occupantes du château, ses mains n’étaient pas sur sa tête mais croisée dans le dos pour tenir sa jupe retroussée, en revanche comme les autres punies, elle avait collé son nez contre le mur.
Quand Sophie lui avait annoncé cette nouvelle façon de commencer la punition hebdomadaire, elle avait protesté ce qui lui avait valu de revenir sur les genoux de la jeune femme pour une deuxième correction administrée avec la brosse à cheveux. Puis tout en la gardant couchée en travers de ses cuisses, Sophie lui avait expliqué qu’elle n’avait pas le choix et que toute désobéissance lui vaudrait une fessée cul nu devant sa fille, sa gouvernante et même ses domestiques.
La menace avait été efficace, La jeune assistante, caressa le large derrière crispé par la honte :
— C’est bien Marie, vous éviterez la fessée en public. A quelle heure vous êtes-vous mise en pénitence ?
— A neuf heures mademoiselle Sophie.
Une petite claque marqua la satisfaction de la jeune femme :
— C’est parfait, comment vous sentez-vous les fesses à l’air ?
Marie trouvait le temps long, depuis trente minutes elle avait le nez posé contre le mur de sa chambre, elle répondit d’une petite voix :
— J’ai honte mademoiselle Sophie…
La jeune femme saisit l’oreille de l’aristocrate sans souci de son âge et de sa condition et l’amena au milieu de la chambre :
— J’espère bien que vous avez honte, montrer vos fesses comme ça à votre âge !!
De sa main libre elle claqua sèchement et plusieurs fois le large fessier, Marie sautilla sur place et gémit :
— Aïe, aïe, aïe… Oui mademoiselle pardon.
— Et ce n’est pas fini, je vais vous administrer votre fessée déculottée hebdomadaire, vous l’avez méritée n’est-ce pas.
La main continuait de claquer la croupe aristocratique, en souriant elle songea qu’elle avait de la chance, les fesses de la baronne De Nouvel étaient entièrement à sa disposition. Elle lâcha l’oreille de la punie et plaça une chaise devant la grande glace :
— Reculottez-vous vilaine fille et venez vous mettre en position.
Depuis le premier jour où elle l’avait fessée et déculottée comme si elle n’était qu’une gamine Marie De Nouvel était troublée par l’autorité de cette jeune femme. Elle qui menait depuis des années sa maison à la baguette, qui était réputée pour son caractère autoritaire, fondait littéralement devant les injonctions humiliantes de Sophie.
En rougissant elle remonta sa culotte et s’approcha de sa « maman », malgré leur grande différence d’âge c’était en effet Sophie qui tenait ce rôle « éducatif ». Sans un mot elle se coucha en travers des cuisses de la jeune assistante qui retroussa bien haut la jupe. Elle commençait à bien connaître ce vénérable postérieur et pour son âge, madame la baronne De Nouvel était encore bien pourvue de ce côté là, la culotte en soie avait du mal à contenir le large derrière, la position la faisait rentrer dans la raie médiane et la base des fesses était bien visible. Sophie savourait cette sensation de puissance, elle avait là, couchée sur ses genoux en position disciplinaire une aristocrate que toute la bonne société de la ville craignait et saluait avec déférence :
— Alors ma petite Marie, je vais encore devoir vous administrer une fessée déculottée comme quand vous étiez gamine, décidément vous ne changerez jamais.
Elle décida de déculotter immédiatement la baronne, elle glissa ses doigts sous la ceinture de la lingerie et la baissa rapidement jusqu’à mi-cuisse :
— Vous méritez une bonne fessée déculottée n’est-ce pas ?
La main avait claqué sèchement le derrière d’un blanc laiteux et Marie avait poussé un petit cri en serrant les fesses :
— Oui, oui mademoiselle Sophie… Aïe…
La main avait encore claqué chacune des deux fesses :
— Alors ? J’attends…
La baronne savait qu’elle n’échapperait pas à l’humiliante phrase, ses fesses avaient suffisamment payé pour savoir que Sophie ne transigeait pas.
— J’ai été vilaine mademoiselle Sophie, pouvez-vous me donner la fessée déculottée que j’ai bien méritée.
— Avec plaisir ma petite Marie et je te garantis que tes fesses vont s’en souvenir.
Une avalanche de claques très fortes s’abattit sur l’aristocratique fessier et malgré sa condition, la baronne De Nouvel se comporta comme toutes les dames recevant une correction sur leur derrière dénudé ? Elle se mit à crier, à supplier, ses jambes pédalèrent dans le vide, ses fesses rougeoyantes s’ouvrirent largement et elle finit par pleurer comme quand elle était adolescente et que sa gouvernante la fessait.
Sophie était satisfaite, cette première fessée s’était bien déroulée, le derrière écarlate de Marie en était la preuve. Elle descendit la culotte jusqu’aux chevilles et la retira complètement :
— Vous êtes privée de culotte jusqu’à votre prochaine fessée que je vous administrerai avant de partir, vous pouvez remettre votre jupe en place pour assister à la punition de la maisonnée.
Dans le salon Élisabeth et Jenny n’avaient pas bougé sans aucun doute elles avaient entendu les cris et les pleurs de la baronne ainsi que le bruit des claques sur le derrière dénudé, Sophie ayant pris soin de ne pas fermer complètement la porte. C’était donc une fessée semi-publique qu’avait reçu Marie, c’était humiliant mais personne ne se risquerait à l’évoquer.
La baronne s’installa dans son fauteuil, elle ne put réprimer une petite grimace ce qui fit sourire Sophie. La jeune femme s’installa sur une chaise disposée au milieu de la pièce :
— Reculottez-vous mesdames et venez-ici.
La jeune gouvernante et la dame d’âge mûr se présentèrent devant la jeune maîtresse, celle-ci les regarda avec un sourire gourmand :
— Alors les chipies, vous allez recevoir votre fessée déculottée, qu’avez-vous à me dire ? Jenny tu commences.
La jeune anglaise était maintenant habituée à cet humiliant rituel, les joues écarlates, elle prononça la phrase magique avec son délicieux accent anglais qui la rendait encore plus excitante :
— J’ai été vilaine mademoiselle Sophie, pouvez-vous m’administrer la fessée déculottée que j’ai bien méritée.
— Avec plaisir Jenny, rassure-toi je vais rougir copieusement ton joli derrière, mais avant je veux entendre Élisabeth.
La jeune baronne De Nouvel avala sa salive et fit comme sa mère et la jeune gouvernante, à la différence des deux dames, elle avait l’habitude et la phrase sortit naturellement et rapidement.
— Je vais commencer par Élisabeth, puisqu’elle doit recevoir une deuxième fessée, viens ici ma grande.
La jeune baronne s’approcha, elle était résignée depuis quelque temps c’était tous les jours qu’elle se faisait déculotter et rougir le derrière, la séance ne comportant jamais une seule fessée, elle allait systématiquement au lit avec les fesses cuisantes.
La fessée reçue hier des mains de jeune gouvernante en présence des deux domestiques avaient été une nouvelle épreuve, sa mère avait été très mécontente de son retard à la messe et dès le retour à la maison, elle lui avait annoncé la sentence :
— C’est inadmissible ma chérie, l’institut est fermé et je veux que tu sois punie immédiatement, miss Sterling va donc se charger de ta punition.
La jeune gouvernante avait esquissé un sourire de satisfaction quand Marie De Nouvel l’avait informé de ce qu’elle attendait d’elle. Élisabeth s’était rendu compte de sa perversité quand elle l’avait entendu suggérer que pour marquer le coup la fessée devrait être publique. Marie De Nouvel avait acquiescé :
— Vous avez raison miss Sterling, ce sera comme dans ma jeunesse, rien de mieux pour faire honte aux vilaines filles que d’être corrigée devant les domestiques.
Le deuxième choc avait été l’annonce par la jeune anglaise qu’en plus d’une bonne fessée déculottée elle allait recevoir six coups de canne. Là aussi sa mère avait approuvé, Jennifer Sterling voulait montrer ses talents à sa patronne et l’administration d’une correction à la canne était sa spécialité depuis son apprentissage à l’école des gouvernantes.
Après une magistrale et classique fessée à la main couchée sur les genoux de la jeune femme, Élisabeth avait dû se pencher sur la table pour présenter son large fessier écarlate et miss Sterling s’était appliquée, les six traits de la canne étaient parfaitement parallèles et séparés d’un centimètre. Élisabeth s’était mise à crier dès le début, Jennifer appuyant chacun des coups pour montrer à la baronne ses capacités. Bien sûr la punie avait été privée de repas et avait passé deux heures au coin à exposer son large derrière parfaitement rougi et strié.
Elle était maintenant couchée sur les genoux de Sophie dans la position traditionnelle des adolescentes punies. Comme pour sa mère sa culotte avait du mal à contenir sa large paire de fesse, Sophie commença à claquer la base du derrière et l’arrière des cuisses :
— Alors comme ça les fessées que tu reçois à l’institut ne suffisent pas, il faut encore que tu fasses des bêtises le week-end et bien je te garantis que tu vas t’en souvenir.
La fessée cessa et d’un geste sec, la jeune femme déculotta l’aristocrate, le contraste était saisissant entre la base des fesses ainsi que l’arrière des cuisses déjà bien rougies et le reste du fessier encore blanc.
— On va commencer par une bonne fessée déculottée et ensuite tu auras droit au martinet.
La fessée fut sévère comme toutes celles qu’administraient Sophie et le derrière de la pauvre Élisabeth était brûlant et cramoisi quand elle cessa. Recevoir la fessée tous les jours le rendait très sensible et la cuisson était immédiate, la jeune femme la garda un moment couchée en travers de ses cuisses afin que ses pleurs se calment, puis elle s’adressa à sa mère :
— C’est une très bonne idée que de faire administrer la canne à Élisabeth par miss Sterling, je pense qu’il serait bon que pendant un mois tous les dimanches matin votre gouvernante lui applique les six coups de canne réglementaire sur les fesses nues avant de se rendre à l’office.
La main de Sophie était posée sur le derrière brûlant de la jeune baronne, elle sentit celui-ci se contracter à l’annonce de cette nouvelle punition. Marie De Nouvel approuva la sévérité de l’assistante de madame Rose.
Elle conduisit Élisabeth au coin et ce fut au tour de Jenny de présenter sa croupe à la punition. Sophie après l’avoir positionnée de façon que ses pieds ne touchent plus le sol, la déculotta largement, abaissant la fine lingerie jusqu’aux genoux. Puis elle prit mademoiselle Claquefesse et administra une longue fessée à la jeune anglaise, ses pleurs et ses supplications ne changèrent rien, Sophie s’appliquait, elle voulait que cette péronnelle sente son derrière à chaque fois qu’elle le poserait sur un siège.
Les épaules secouées par les sanglots, elle rejoignit son coin.
Sophie se leva et alla chercher les deux domestiques qui attendaient les fesses à l’air dans le hall d’entrée, tenue chacune par une oreille, elles virent les deux paires de fesses cramoisies qui ornaient les angles du salon.
Priscilla qui reçut sa correction en premier, Sophie ne les fit pas reculotter, elle posa son pied sur un tabouret, saisit la jeune bonne par la taille et la jucha sur sa cuisse horizontale. Mademoiselle Claquefesse entra en action immédiatement et la danse des fesses exécutée par Priscilla fut très excitante.
Mathilda regardait avec inquiétude sa jeune collègue en train de recevoir sa punition, cette position était très humiliante et impudique, elle espérait secrètement que Sophie la coucherait simplement sur ses genoux, elle était trop âgée pour être fessée dans cette honteuse position.
La suite lui prouva le contraire quelques instants plus tard, ses jambes pédalaient dans le vide et ses fesses s’ouvraient largement sous la morsure de la brosse à cheveux et malgré son âge elle supplia et pleura comme quand sa mère lui administrait une bonne fessée déculottée. Reposée par terre elle fit mine de porter ses mains à son derrière, la brûlure était trop intense, la réponse de Sophie fut immédiate :
— Les mains sur la tête !! Ça t’évitera de revenir me montrer tes fesses !
Sophie se tourna vers la maîtresse de maison :
— Voilà quatre belles paires de fesses, Élisabeth va recevoir le martinet, je pense qu’il serait bon que les trois autres regardent sa punition.
— Faites comme bon vous semble Sophie.
Les fesses rouges et cuisantes de la baronne l’incitait à ne pas contredire la jeune femme.
— Élisabeth, tu viens ici ! Jenny, Priscilla et Mathilda, vous vous retournez, mais vous gardez vos mains sur la tête.
Elle avait pris son martinet dans sa mallette et elle désigna la table avec le manche :
— Couche-toi là et tends bien ton bon gros derrière.
Les trois punies ainsi que la baronne regardaient avec attention le gros popotin écarlate étalé devant leurs yeux, les traces de la canne apparaissaient encore sous le rouge de la première fessée, elle fit glisser les lanières sur la croupe d’Elisabeth :
— Tu le sais pourtant que je ne tolère pas la désobéissance ma grande, cinquante coups de martinet vont bien chauffer tes bonnes grosses fesses.
A l’annonce de la punition, la jeune baronne avait gémi et serré ses fesses, ce qui fit sourire Sophie :
— Ça ne te convient pas ma chérie ?
— Si, si mademoiselle Sophie.
— Pourquoi as-tu gémi ?
— Je… je ne sais pas mademoiselle Sophie…
— Ah tu ne sais pas, eh bien on va dire soixante, ça te convient mieux ?
— Euh… Oui, mademoiselle Sophie.
— C’est parfait… Allons-y.
La fessée au martinet est redoutable, toutes celles qui y ont goûté le savent, mais sur un fessier déjà échauffé la cuisson est intense, Élisabeth était habituée aux corrections sévères depuis son adolescence et encore plus depuis qu’elle fréquentait assidûment l’institut, mais cette fessée compta dans sa mémoire comme une des plus sévères. Quand Sophie reposa l’instrument punitif, les deux beaux globes charnus avaient la couleur de tomates bien mûres et la dame de soixante-deux ans pleuraient abondamment comme une adolescente punie par une sévère gouvernante.
— Voilà qui est fait, maintenant tout le monde au coin et que je n’entende rien.
Les quatre paires de fesses rubicondes allèrent s’exposer dans chacun des coins du salon, Sophie, fit un petit signe à Marie De Nouvel :
— À nous ma chère…
La baronne rougit et se leva pour suivre sa jeune maîtresse, Sophie avait pris sa brosse à cheveux dans sa mallette.
Arrivée dans la chambre elle regarda avec un sourire ironique la vieille dame :
— Ça vous rajeunit ma petite Marie de me montrer régulièrement vos fesses, mais aujourd’hui je pense vous faire retomber définitivement en enfance. Avec horreur, la baronne De Nouvel vit la jeune poser son pied sur un petit tabouret et désigner sa cuisse :
— En position !
Elle allait recevoir sa fessée dans la même position que ses deux domestiques, comme quand son institutrice corrigeait les élèves dissipées devant toute la classe.
Un instant plus tard elle était juchée sur la cuisse horizontale de Sophie, ses jambes pendant dans le vide, sa tête de l’autre côté et son derrière pointé vers le ciel à l’entière disposition de la jeune assistante. Sa jupe largement retroussée sur ses reins, ses fesses encore rougies étaient parfaitement exposées, la fessée pouvait commencer.
Elle fut sévère comme toutes celles qu’administraient Sophie, ni l’âge, ni la condition de la punie n’avait d’importance à ce moment précis, elle n’était qu’une vilaine fille qu’il fallait corriger d’importance.
Marie De Nouvel rejoignit le coin de sa chambre avec une paire de fesses rubicondes. Sophie posa le téléphone de la baronne sur la table de nuit et déclencha une vidéo WhatsApp avec le sien, puis elle tapota les fesses écarlates de la baronne :
— Ma chère Marie vous allez rester au coin un bon moment, je vous surveille avec la vidéo. Je vous donnerai l’autorisation de vous reculotter quand je jugerai votre punition suffisante. Ne vous avisez pas de bouger ou de frotter vos fesses, vous auriez droit à une fessée déculottée par jour pendant une semaine. Quand vous aurez fini votre pénitence vous vous occuperez du reste des punies.
En repassant par le salon elle apprécia le tableau des quatre paires de fesses écarlates :
— Vous restez là jusqu’à ce que madame la baronne vous autorise à cacher vos fesses.
Elle quitta le château avec la satisfaction du devoir accompli, elle avait rendez-vous avec Elodie sa petite amie, elle comptait bien lui faire profiter du spectacle de la baronne De Nouvel exposant ses fesses cramoisies dans un coin de sa chambre.
Elle entra chez Elodie sans frapper, elle avait la clé. Dans un coin du salon une belle paire de fesses rouges l’accueillir, c’était celle de Monique la maman de sa petite amie qui était soumise à la stricte autorité de sa fille. Elle connaissait parfaitement le derrière de cette dame d’âge mûr qui faisait régulièrement des séjours à l’institut, elle se dirigea vers elle et passa sa main sur le fessier brûlant :
— Tu as encore eu panpan cucul ? Décidément on dirait que ça te fait plaisir.
— C’est justement ce que je me demandais.
Elodie était entrée dans la pièce au moment où la main inquisitrice de la jeune femme palpait les fesses rondes et ferme de Monique.
Elle fit une bise à sa chérie et désigna le derrière de sa mère :
— En ce moment madame est impossible, je suis obligée de lui baisser la culotte au moins deux fois par jour, on dirait que ça ne lui fait ni chaud ni froid.
Sophie se mit à rire et caressa les fesses écarlates :
— Je peux quand même t’assurer qu’elle a chaud aux fesses. Elle vient d’en prendre une bonne si j’en juge à la couleur de son derrière.
— Oui et elle va en recevoir une avant de partir à son cabinet cet après-midi.
— Je pense que ta maman aurait besoin d’être prise en charge par une nouvelle fesseuse, tu n’as pas encore pensé à la faire corriger par sa secrétaire, la honte amplifie l’efficacité de la punition.
— J’y ai déjà songé, mais tu as raison, un jour elle va y avoir droit.
— Il y a une autre solution, depuis quelque temps madame Rose organise des week-ends fessées. La punie est prise en charge du vendredi soir au dimanche soir par une des assistantes à son domicile. Elle est sous son autorité et ses fesses restent rouges en permanence. Ce serait bien que Monique passe un week-end avec Ambre, outre qu’elle est très jeune, elle est sévère et particulièrement perverse. D’ailleurs depuis que ce nouveau service a été mis en place je crois qu’elle est prise quasiment tous les week-ends.
— Merci pour le conseil, tu as entendu maman chérie, ton prochain week-end va être cuisant. Tu peux te reculotter et filer dans ta chambre et tâche d’être sage.
Elodie parlait à sa mère comme si elle était une gamine, Sophie en avait l’habitude, mais ça la faisait toujours sourire. La bourgeoise de quarante-cinq avait remonté sa culotte sur sa croupe rougie, elle leva les yeux vers la jeune assistante qui la corrigeait régulièrement, celle-ci lui tendit les bras :
— Viens me faire un bisou, vilaine fille.
Monique s’exécuta sous le regard amusé de sa fille, puis Sophie lui claqua le derrière par-dessus sa mini-jupe.
— Allez, file.
Elodie se tourna vers Sophie :
— Tu ne travailles pas aujourd’hui ?
— Bien sûr que si, regarde un peu.
Elle sortit son téléphone et montra la vidéo de WhatsApp avec la paire de fesses écarlates de Marie De Nouvel.
— Voilà ma dernière punie, elle attend mon ordre pour quitter son coin.
Elodie regarda attentivement la vidéo :
— Mazette, celle-là aussi en a pris une bonne. Je la connais ? Je ne reconnais pas son derrière.
Sophie se mit à rire :
— Oui, madame ne va pas avoir froid aux fesses aujourd’hui. Non tu ne les as jamais vus en vrai, elle ne reçoit la fessée qu’à domicile, mais aujourd’hui elle expose son derrière en public.
Elle interpella Marie De Nouvel :
— J’espère que tu as bien honte ma petite Marie de montrer tes fesses bien rouges.
Le derrière se crispa légèrement.
— Par contre tu as déjà vu les fesses de sa fille, la baronne De Nouvel, tu vois qui c’est.
— Oh oui parfaitement, il faut dire qu’elle expose souvent son derrière à l’institut. Mais dis donc, elle n’est pas toute jeune, sa mère doit être âgée. Elle accepte de se faire baisser la culotte par une jeune comme toi ?
Sophie souriait malicieusement :
— Tu sais bien qu’une fois que j’ai décidé de flanquer une bonne fessée déculottée je trouve toujours une occasion. Et je t’avoue que de baisser la culotte à madame la baronne De Nouvel mère qui a un peu plus de quatre-vingts ans, c’est assez jouissif. Regarde là dans son coin avec ses mains sur la tête et son nez contre le mur, n’est-elle pas mignonne notre aristocrate aux fesses rouges ?
Elodie était une experte en punition humiliante, sa mère en faisait souvent les frais, mais elle était quand même surprise par l’inventivité de Sophie, il lui fallait trouver une idée :
— On pourrait les voir de plus près ces fesses ?
— Bien sûr.
Sophie se prit au jeu, elle interpella la punie :
— Ma petite marie, tu vas t’approcher du téléphone qu’on puisse examiner un peu mieux ton derrière, tu gardes tes mains sur ta tête et tu recules un peu.
Si elles avaient pu voir son visage, les deux jeunes femmes auraient pu constater que ses joues avaient la même couleur que ses fesses. Elle fit quelques pas en arrière et sa large croupe envahit tout l’écran du téléphone
— Penche toi !
Les ordres se succédaient la punie obéissait sans hésiter puis vint le pire pour la grande bourgeoise :
— Tu retournes te mettre au coin et tu tournes ta tête qu’Elodie voit à qui appartient cette belle paire de fesses.
La baronne se mit à gémir :
— Oh non, mademoiselle Sophie, s’il vous plaît
La jeune femme ne pouvait pas céder :
— Tu te dépêches ma petite Marie, tu viens déjà de gagner une fessée supplémentaire et si tu n’obéis pas immédiatement, je te la donnerai devant tes domestiques.
Marie De Nouvel n’hésita pas longtemps, elle tourna sa tête et Elodie put voir ses joues écarlates.
— C’est bien, je viendrai quand même te donner ta fessée ce soir, en attendant comme tu as été mignonne je t’autorise à frotter tes bonnes grosses fesses.
Elodie la regarda avec surprise, Sophie posa son doigt sur ses lèvres pour lui faire signe de se taire et murmura doucement :
— Regarde-moi ça, ce n’est pas mignon cette mamie qui frotte son derrière comme une gamine punie ?
Elles regardèrent, amusées Marie De Nouvel frottant énergiquement ses larges fesses rubicondes.
— Maintenant, ça suffit. Ta pénitence est terminée tu peux te reculotter, à ce soir madame la baronne.
Elle raccrocha son téléphone et immédiatement la main d’Elodie claqua son derrière :
— Il nous reste un peu de temps ma chérie, ça fait un moment que je n’ai pas vu ton joli derrière.
Sophie minauda en tortillant sa croupe :
— Je te rappelle que je me suis pris une fessée avant-hier…
— Ah oui ? J’avais oublié, mais deux jours sans panpan cucul c’est beaucoup. Allez en piste, si tu es sage tu auras droit à une petite récompense, mais je te veux avec les fesses rouges.
Quelques secondes plus tard la sévère assistante goûtait à son tour au douloureux séjour sur les cuisses d’une fesseuse. La jupe retroussée bien haut sur les reins, la culotte baissée jusqu’aux genoux, elle gigotait et piaillait comme une sale gamine sur les genoux d’une tatie sévère. Comme prévu par Elodie son derrière était d’un rouge éclatant, celle-ci la fit se relever et l’entraîna sur le canapé pour des plaisirs moins cuisant mais tout aussi chaud.







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