Punition pour Héloïse et Hélène
Alice était sortie de la salle des culs rouges avec les yeux larmoyants, elle attendait bien sagement légèrement en retrait qu’Ambre ait fini de téléphoner. Héloïse était toujours couchée en travers de ses cuisses avec le thermomètre bien en place dans le derrière. La jeune assistante leva la tête et regarda en souriant la professeure de math :
— Ça c’est bien passé ? Vous voulez régler la prestation je suppose ?
C’était l’humiliation finale pour les patientes de l’institut, après s’être fait copieusement fessée, elle devait sortir leur carte bleue.
— Je suis à vous dans une seconde.
Une idée perverse venait de jaillir dans la tête d’Ambre, elle écarta les fesses d’Héloïse et retira le thermomètre puis elle lui claqua les fesses encore rouges :
— Allez, debout et file au coin pendant que je m’occupe d’Alice.
La jeune femme s’exécuta, elle traversa le secrétariat et alla poser son nez contre le mur, la vue de son fessier rebondi portant les marques de ses différentes corrections apporta un peu de baume au cœur à la professeure :
— Aurélie vous a fixé votre prochain rendez-vous ?
Alice rougit et baissa les yeux, elle était ramenée brutalement à la réalité et à son derrière encore brûlant :
— Oui mademoiselle Ambre, demain à dix-sept heures.
La jeune assistante la regarda avec son petit air ironique :
— Eh bien, vous êtes gâtée. Je suis désolée, mais je dois vérifier l’état de vos fesses avant de vous laisser partir. Tournez-vous.
Elle se leva, la ceintura et la fit se pencher vers l’avant, enfin elle la troussa et la déculotta rapidement, la pauvre Alice se laissa faire. Depuis son arrivée à l’institut, les différentes corrections administrées par Aurélie l’avaient mâtée.
Le large fessier étalé devant les yeux ravis d’Ambre était encore d’un beau rouge profond, la jeune femme passa sa main sur l’épiderme enflammé, décidément cet emploi était très agréable :
— Parfait votre derrière est encore bien chaud, mais c’est nécessaire n’est-ce pas, il sera en état pour votre séance de demain.
Elle administra une claque sur chacune des fesses et reculotta elle-même la dame d’âge mûr. Alice les joues écarlates arrangea sa tenue et fouilla dans son sac à main. Ambre lui tendit la note et encaissa :
— Si vous avez cinq minutes, je vais vous offrir une petite compensation. Héloïse vient ici !
La jeune femme se retourna un peu surprise et s’approcha, elle avait gardé ses mains sur sa tête, avec effroi elle vit Ambre s’installer sur une chaise. Une nouvelle fessée publique ?
La jeune assistante lui prit la main et la fit basculer en position disciplinaire :
— Sophie n’a pas fini, je vais te mettre ton suppositoire.
Le ciel venait de tomber sur la tête de la jeune femme, elle détestait au plus haut point cette partie du traitement de la cellulite, mais se faire mettre un suppo par sa copine et qui plus est devant les yeux intéressés d’Alice c’était la honte totale, elle se mit à sangloter.
Ambre en riant lui tapota la croupe et s’adressa à Alice :
— Notre petite Héloïse n’aime pas présenter son petit trou, mais elle va finir par s’y habituer. Vas-tu cesser de pleurnicher.
Elle avait claqué sèchement le derrière de la punie, celle-ci continua malgré tout, la honte était trop forte :
— Puisque c’est ça, tu vas pleurer pour quelque chose !
Elle leva la main et se mit à claquer ce fessier rebondi dont Héloïse était si fière, mais qui aujourd’hui servait surtout à la corriger. Les pleurs redoublèrent, les fesses furent rapidement cramoisies, Alice appréciait le spectacle. Ambre cessa la fessée :
— Vas-tu être sage maintenant ?
— Oui, oui mademoiselle Ambre, plus la fessée.
La jeune assistante se mit à rire et regarda Alice :
— C’est curieux comme une bonne fessée fait des miracles. Voyons un peu ce petit trou.
Elle écarta largement la raie fessière, Héloïse pleurait, mais ne bougeait plus, Ambre saisit le suppositoire qu’elle avait posé sur son bureau et l’enfonça doucement, son doigt le poussa profondément, puis elle relâcha les fesses :
— Maintenant tu peux les serrer ma petite chipie, si jamais il ressort je t’en remets un encore plus gros et je te pèle le derrière.
Héloïse serra ses fesses tandis que la jeune femme la faisait relever et retourner au coin.
Alice avait apprécié ce spectacle, elle n’était donc pas la seule à subir les humiliations de ces jeunes femmes perverses, elle quitta l’institut sous le regard amusé d’Ambre :
— Bonne soirée Alice et à demain, soyez à l’heure.
Pendant ce temps dans la deuxième salle de traitement, Sophie avait pris en charge la directrice du collège Sainte-Marie, sa jupe était toujours épinglée dans son dos, la jeune assistante la fit se tourner afin qu’elle lui présente son volumineux postérieur qui débordait de son élégante culotte :
— Eh bien ma chère, vous avez vraiment un bon gros popotin et en plus vous vous gavez de chocolat !
La main avait claqué sèchement le derrière culotté, Hélène poussa un cri et trépigna sur place/
— Vous allez m’expliquez ça, mais nous serons mieux pour causer quand vous serez couchée sur mes genoux. Venez ici !
Elle s’installa sur la chaise à fessée et fit basculer l’autoritaire directrice en travers de ses genoux :
— Voyons ce derrière de plus près.
Elle déculotta largement Hélène abaissant la culotte jusqu’aux genoux, puis comme elle le faisait systématiquement avec toutes les punies, elle entreprit d’inspecter soigneusement le large fessier, la raie fut largement écartée, les doigts descendirent entre les cuisses, elle palpa et pinça le grassouillet postérieur :
— Vous le savez pourtant qu’il ne vous faut pas de chocolat, votre amie Judith vous l’a interdit et elle vous a déjà corrigée pour ça. Pourquoi avez-vous recommencé ?
Deux claques venaient d’atterrir sur chacune des larges fesses :
— Aïe, aïe… pardon mademoiselle Sophie, je ne recommencerai plus.
Sophie se mit à rire et administra une dizaine de fortes claques sur le derrière d’Hélène :
— C’est sûr qu’après le traitement que je vous réserve, ça m’étonnerait que vous recommenciez, je vous promets que vous allez rentrer chez vous avec une paire de fesses bien rouges ma chère, la position assise, sera certainement délicate ce soir.
Elle leva la main et commença à administrer à la pauvre Hélène une formidable fessée, elle ne put retenir ses cris et la danse des fesses qu’elle offrit à Sophie fut vraiment excitante. Le fessier était écarlate quand les claques cessèrent, Calmement Sophie passa sa main sur les fesses brûlantes :
— Ça vous brûle n’est-ce pas ?
— Oh oui mademoiselle Sophie, pardon…
Hélène pleurait comme les grandes élèves qu’elle envoyait faire un stage chez Aurélie.
— Ce n’était qu’un échauffement ma chère, je vais vous expliquez le programme et nous passerons à la fessée déculottée que vous avez méritée.
Hélène avait l’habitude de recevoir la fessée, Judith son amante ne se gênait pas pour lui baisser la culotte comme si elle était une gamine et ses corrections étaient cuisantes, mais l’annonce que la magistrale déculottée qu’elle venait de recevoir n’était qu’un échauffement la fit frissonner. Sophie continuait tout en lui tapotant les fesses :
— Votre popotin a vraiment besoin qu’on s’occupe de lui ma chère, il est trop joufflu et pas assez tonique. Notre traitement anti-cellulite lui fera le plus grand bien, vous viendrez matin et soir nous rendre une petite visite et je chargerai votre amie Judith de vous mettre le suppo du midi. Pour aujourd’hui, vous allez recevoir une deuxième fessée déculottée avec mademoiselle Claquefesse, vous irez au coin une demi-heure au secrétariat et je vous administrerai une dernière fessée au martinet avant de vous laisser partir. Allons-y.
La redoutable petite raquette de cuir entra en action, c’était l’instrument fétiche des demoiselles de l’institut, bien sûr les croupes déculottées goûtaient à de multiples instruments, la gamme était étendue, de la brosse à cheveux en passant par la règle plate, le paddle en bois, la babouche à semelle de cuir, sans oublier bien sûr le martinet et la canne en rotin. Cependant aucune séance ne se terminait sans qu’à un moment ou un autre le fessier de la dame punie n’ait goûté à mademoiselle Claquefesse.
Les jambes de la directrice battaient l’air, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, ses fesses s’ouvraient largement, ses cris mêlés à ses pleurs n’émouvaient pas la jeune femme qui lui administrait sans faiblir la fessée déculottée qu’elle avait méritée.
Les deux larges fesses avaient maintenant l’aspect et la couleur de tomates bien mûres, Sophie prenait toujours autant de plaisir à déculotter et à fesser ces dames de la bonne société et quand elles étaient dotées d’un fessier plantureux c’était encore mieux.
— Voilà, votre derrière a reçu son dû, vous allez le faire refroidir au secrétariat, j’espère pour vous qu’aucune élève du collège ne doit venir ce soir pour se faire corriger.
Elle fit relever Hélène et comme à son habitude lui saisit l’oreille. La directrice ne croisa pas sa subordonnée puisqu’elle arriva dans le secrétariat au moment où Alice le quittait, ses joues étaient baignées de larme et Sophie lui claquait le popotin avec sa main libre :
— Cessez de pleurnicher, vous allez faire un petit séjour au coin pour faire refroidir vos fesses !
Ambre était ravie d’avoir une nouvelle paire de fesses à surveiller, Sophie regarda le derrière d’Héloïse :
— Tu lui as mis son suppo ?
— Oui et en public, elle a eu droit également à une fessée supplémentaire.
Sophie était de plus en plus admirative devant sa jeune collègue :
— C’est ce que je vois, tu as bien fait son joufflu est fait pour ça.
Elle s’approcha de la jeune femme et glissa sa main entre ses fesses :
— Alors ma petite Héloïse, tu feras encore des manières pour te faire mettre le thermomètre ?
— Non, non mademoiselle Sophie, promis.
La perverse assistante se mit à rire et claqua le fessier écarlate :
— A la bonne heure. Mais comme je n’en suis pas sûr, tu viendras demain matin avant d’aller à la fac, Ambre te mettra le thermomètre et un suppo. Bien sûr ça ne te dispense pas de ta séance du soir après tes cours, je te rappelle que tu dois être là à seize heures trente précise.
Hélène était au coin le nez collé au mur, Sophie aperçu la culotte d’Alice posée sur le bureau :
— Je suppose qu’elle va compléter ta collection ?
Elle était au courant de la petite manie de sa jeune collègue, celle-ci savait qu’elle ne dirait rien à madame Rose tant qu’elle accepterait sans rechigner de se faire déculotter et rougir les fesses.
Ambre lui lança un petit sourire complice et désigna Hélène, Sophie lui avait remonté la culotte à mi-cuisse :
— Elle est mignonne cette culotte… Madame doit rester au coin longtemps ?
— Une demi-heure, ensuite elle aura droit au martinet avant de partir…
Elle marqua un temps d’arrêt :
— Je pense qu’elle aura chaud aux fesses, elle rentera sans culotte.
Elle regarda Ambre et lui fit un clin d’œil avant de partir et ajouta :
— Pour Héloïse tu fais comme tu veux, j’en ai fini avec son derrière.
Ambre n’allait pas se priver d’utiliser cette autorisation de s’amuser avec son ancienne copine, dès qu’elle fut seule, elle s’approcha de la jeune femme et caressa son derrière brûlant :
— Tu as entendu Sophie ma chérie, je fais comme je veux avec toi, tu vas revenir sur mes genoux, je veux vérifier que tu as compris qu’il faut te laisser faire quand on s’occupe de ton petit trou.
Héloïse était résignée, elle se laissa écarter les fesses, la perverse jeune femme ne se gêna pas pour forcer son anus avec son doigt et elle glissa sa main entre les cuisses largement ouvertes :
— C’est bien tu es devenue mignonne, le séjour sur mes genoux avec le thermomètre t’a fait le plus grand bien et si j’en juge par l’état de ton minou tu as dû apprécier mon traitement, je vais donc te remettre un suppo et tu vas recevoir une bonne petite fessée, je veux que tu sentes ton derrière toute la soirée.
Les fesses largement écartées Héloïse sentit le suppositoire pénétrer doucement, malgré sa honte une légère excitation la gagna. Ambre ne relâcha pas les fesses :
— Tu aimes ça ma petite chipie on dirait ? Tu vas rester avec ta raie bien ouverte et si jamais il ressort tu en auras un autre et une fessée supplémentaire.
La perversité de sa copine surprenait Héloïse, mais elle était à sa disposition, elle sentit les doigts descendre sur ses lèvres, elles étaient gluantes, la jeune assistante se mit à rire :
— Eh bien c’est du joli, tu aimes vraiment prendre un suppo dans ton petit cul. Je vais m’arranger avec madame Rose, je pense que tu vas venir passer un week-end chez moi ma chérie et je te garantis que tu auras autre chose dans le derrière.
Héloïse était rouge de honte qu’Ambre ait deviné son excitation, ses fesses étaient toujours écartées, elle savait que sa position était très impudique, mais finalement elle devait reconnaître que ce n’était pas si désagréable, la jeune femme tapota la croupe :
— On va voir si ma fessée va te faire autant mouiller ma chérie.
Elle avait décidé de corriger sérieusement l’orgueilleux fessier, elle prit sa brosse à cheveux et au premier coup Héloïse se mit à crier, non la fessée déculottée n’était vraiment pas excitante, elle se mit rapidement à pleurer tout en implorant sa jeune maîtresse. Mais rien n’y fit la magistrale correction alla à son terme :
— Tu vas penser à moi chaque fois que tu vas t’asseoir ma chérie.
La culotte était entortillée autour des chevilles, elle lui retira complètement :
— Privée de culotte pour rentrer chez toi ma petite, tes fesses refroidiront un peu.
Elle se dirigea vers l’armoire à culotte et en sorti une à petites fleurs en coton.
— C’est la culotte que je veux voir sur ton derrière demain matin. Tu en achèteras un lot avec les jours de la semaine marqués sur le derrière et tu ne porteras plus que ça, comme tu reçois encore la fessée déculottée, c’est des culottes comme ça qu’il te faut.
Héloïse ne protesta pas, sa lingerie bleu pâle était posée sur le bureau, Ambre n’avait pas l’intention de la lui redonner, elle prit la culotte de gamine que lui tendait la jeune femme et la fourra dans son sac à main. Elle régla la séance et quitta l’institut, elle devait prendre le bus, des sièges étaient libres, mais elle resta debout pendant tout le voyage, puis en marchant dans la rue, elle sentit l’air frais s’engouffrer sous sa jupe, Ambre avait raison ses fesses refroidissaient un peu.
Pendant ce temps Ambre avait regardé la pendule, la demi-heure de pénitence d’Hélène était terminée, elle alla la chercher et l’installa sur la plate-forme à côté du bureau, les deux bonnes grosses fesses rubicondes étaient parfaitement présentées pour le martinet. Ambre s’agenouilla derrière elle et lui retira complètement la culotte :
— Sophie a dit que vous étiez vous aussi privée de culotte, autant que je vous l’enlève tout de suite. Elle ne va pas tarder pour la fessée au martinet.
Effectivement celle-ci ne tarda pas :
— Parfait tu m’as préparé le derrière d’Hélène.
Elle s’approcha de la directrice et caressa les fesses encore rouges :
— Vous mangerez encore du chocolat sans autorisation ?
— Non, non mademoiselle Sophie, promis, s’il vous plaît j’ai déjà été bien punie.
La main de la jeune assistante claqua le fessier écarlate :
— Malheureusement pour vous, c’est moi qui décide si votre punition est suffisante et je pense que vous avez encore besoin d’une fessée au martinet, d’ailleurs vous allez me la demander.
— Oh mademoiselle Sophie, s’il vous plaît… Aïe…
La main venait de claquer sèchement le large derrière :
— Dépêchez-vous, si à trois vous n’avez pas commencé à prononcer la phrase magique, la fessée sera doublée ! Un…
— Non, non mademoiselle Sophie…
— Deux…
— Euh, oui, s’il vous plaît pouvez-vous me donner la fessée déculottée que j’ai bien méritée…
Sophie se tourna en souriant vers Ambre :
— C’est la phrase magique pour éviter que la punition ne soit doublée, tu dois la faire apprendre à toutes tes patientes, au début tu seras souvent obligée de donner une fessée supplémentaire, mais finalement tu verras, elles apprennent vite.
Elle caressa le bon gros derrière crispé par l’angoisse :
— Puisque c’est vous qui le demandez ma chère Hélène, je ne peux pas vous refuser ce plaisir. Dites-moi, avec quoi vais-je vous donner cette fessée si méritée ?
Hélène sentait les lanières caresser son derrière, elle avala sa salive :
— Avec le martinet mademoiselle Sophie.
— Parfait refaites-moi donc une phrase correcte, sinon je sens que votre bon gros derrière va recevoir deux fessées.
— Oui, oui, mademoiselle Sophie, s’il vous plaît pouvez-vous me donner la fessée déculottée au martinet que j’ai bien méritée.
Le martinet cingla les fesses tendues :
— Tu vois ces dames deviennent très obéissantes quand elles présentent leur derrière à monsieur martinet. Bon on va dire cinquante coups pour commencer et ensuite on verra, ça dépendra de votre comportement.
La correction commença, les fesses tendues s’ouvraient largement à chaque passage de l’instrument punitif, Hélène levait ses jambes au rythme de la fouaillée. Ambre n’avait pas l’habitude d’utiliser le martinet, elle regardait avec attention la technique de sa collègue. Après vingt-cinq coups, elle changea de côté et expliqua :
— Même si le martinet cingle les deux fesses, elles ne ressentent pas la même brûlure c’est mieux d’alterner.
Les cinquante coups de martinet généreusement distribué sur le large fessier, Sophie regarda Ambre et lui fit un petit clin d’œil :
— Avec une si belle paire de fesses on peut fesser sans crainte. Dites-moi Hélène, vous pensez que votre fessée a été suffisante ?
La directrice du collège Sainte-Marie se mit à gémir :
— Oh mademoiselle Sophie, ça brûle beaucoup, mais c’est à vous de décider.
Elle savait qu’il ne fallait jamais dire que la punition était trop sévère, Sophie se mit à rire :
— Ah oui ? Eh bien je pense qu’une vingtaine de coups finiront de cuire parfaitement votre bon gros derrière, ensuite vous irez le montrer à votre amie Judith.
La fessée reprit et les pleurs d’Hélène redoublèrent, la croupe était littéralement cramoisie quand Sophie reposa le martinet :
— J’espère que ça vous servira de leçon, je vous laisse avec Ambre et je vous vois demain soir.
Hélène Desrodes n’osait pas regarder cette très jeune femme qui avait quasiment le même âge que les élèves qu’elle envoyait se faire corriger par Aurélie. C’était elle qui demain matin allait s’occuper de son traitement anti-cellulite, il ne faisait guère de doute qu’elle se ferait un plaisir de lui administrer la fessée déculottée. Elle vit sa culotte posée sur le bureau à côté de deux autres, celle d’Héloïse et celle d’Alice. Ambre surprit son regard :
— Vous n’êtes pas la seule à rentrer cul nu sous votre jupe, venez-ici et tournez-vous je vais vous rhabiller correctement.
Elle enleva l’épingle qui tenait la jupe retroussée et claqua la large paire de fesses avant qu’elle ne soit cachée, puis elle lui présenta la note et le compte rendu de la séance :
— Vous réglez en carte bleue ? N’oubliez pas de me ramener le compte-rendu signé par mademoiselle Judith.
Hélène avait l’impression d’être une mauvaise élève devant sa professeure et celle-ci n’avait même pas vingt ans, elle rougit et acquiesça :
— Oui, oui mademoiselle Ambre.
Sa voiture n’était pas garée très loin, quand elle posa son fessier sur le siège, elle ne put retenir une grimace, elle souleva un peu son derrière et glissa sa main sous sa jupe pour le frotter, elle savait que c’était interdit, mais personne ne le saurait. Elle reçut un message sur son téléphone, c’était Judith « Ambre m’a dit que tu rentrais à la maison, ne traîne pas je t’attends »
Hélène frissonna, la soirée n’était pas finie, sa jeune maîtresse avait gardé son appartement, mais depuis quelque temps, elle habitait de plus en plus souvent chez elle.
Le trajet lui paru bien court, Ambre avait obligatoirement parlé à Judith du compte rendu à signer, cela ne présageait rien de bon.
Judith l’accueillit avec un grand sourire :
— Alors ma chérie, Sophie s’est bien occupée de ton bon gros derrière ?
Hélène rougit et baissa la tête ;
— Tu vas me montrer ça, viens ici.
Elle prit la main de son amie et la fit pivoter, puis elle troussa la jupe, les fesses rougies apparurent immédiatement :
— Mazette, elle t’a bien soignée et en plus elle t’a privée de culotte, c’est parfait.
Elle passa sa main sur le postérieur rubicond :
— Tu n’as rien oublié ?
Le large fessier se contracta légèrement :
— Euh, oui je dois te donner le compte-rendu de la séance à signer… Aïe, aïe, aïe…
La main de Judith venait de claquer sèchement le derrière d’Hélène :
— Je vais t’apprendre à oublier !! Dépêche-toi d’aller le chercher !!
La directrice attrapa son sac et en sortit l’enveloppe qu’elle tendit à sa maîtresse.
— File te mettre au coin et tient ta jupe retroussée.
Elle s’installa dans le canapé et décacheta le courrier, elle parcourut en souriant le compte-rendu :
— J’espère que tu as compris, tu recommenceras à manger des chocolats ?
— Non, non, Judith…
— Viens ici !!
En un clin d’œil Hélène se retrouva dans cette position infantile qu’elle détestait, exposant ses fesses à sa maîtresse, celle-ci caressa le large derrière qu’elle aimait tant, surtout quand il était bien rouge :
— Une séance anti-cellulite matin et soir à l’institut, je pense ton bon gros popotin va en profiter ma chérie, il va être souvent rouge, les demoiselles de l’institut s’y entendent pour muscler les fesses. Mais rassure-toi je m’en occuperai aussi, pour commencer ce soir tu es punie, je vais te corriger pour ne pas m’avoir donné spontanément le compte rendu de ta séance, ensuite tu iras au coin une heure et au lit sans manger, ça va faire du bien à tes rondeurs.
Le programme annoncé fut appliqué sans faiblesse, Judith rajouta même une fessée juste avant le coucher pour que les fesses de son amie gardent leur belle couleur.
Le lendemain Hélène se leva tôt, elle devait se rendre à l’institut pour sa première séance anti-cellulite avant d’aller à son bureau. Comme elle l’avait redouté, c’était Ambre la plus jeune des assistantes qui assurai l’ouverture, elle l’accueillit avec un grand sourire :
— Bonjour Hélène, c’est parfait vous êtes à l’heure, vous avez passé une bonne nuit ?
La directrice de l’institut était habituée à être appelée par son prénom par Sophie ou Aurélie, mais par cette presque gamine… C’était un peu humiliant.
— Vous m’avez ramené le compte-rendu signé par Judith ?
— Oui, voilà mademoiselle Ambre. La jeune femme le prit en souriant et désigna la porte de la salle de traitement :
— Préparez-vous, vous ne gardez que votre culotte et votre soutien-gorge.
Elle s’amusa en lisant la petite note rajoutée par Judith sous sa signature « je vous remercie de prendre en charge Hélène, ses fesses étaient encore bien rouges en arrivant à la maison et je me suis chargée d’entretenir leur couleur, n’hésitez pas à la corriger sévèrement si c’est nécessaire, son popotin est fait pour ça »
La séance pouvait commencer et elle fut humiliante pour la directrice du collège Sainte-Marie, les mensurations les fesses à l’air, la prise de température couchée sur les genoux de la jeune femme, la fessée thérapeutique d’échauffement qui fut aussi sévère que celle que lui administrait Judith pour la punir.
Elle était allongée sur la table, les fesses écarlates recouvertes par la crème quand Héloïse arriva, à l’image d’Hélène elle n’en menait pas large et elle avait raison. Ambre ne s’embarrassa pas de préambule :
— Ah te voilà, tu as mis ta culotte de gamine j’espère ? Tourne-toi et montre-moi ça.
La jeune étudiante piqua un fard, elle était dans le secrétariat, mais le ton employé par Ambre ne lui laissait pas de choix. Elle se retourna et saisissant l’ourlet de sa jupe, elle la retroussa pour exhiber sa culotte.
La lingerie en coton moulait parfaitement son superbe fessier, le pli séparant les cuisses de la croupe était bien visible, Ambre décocha deux claques sur cette zone si sensible :
— Tu es vraiment mignonne, ça te fait vraiment un joli cul.
Elle désigna une pile de culottes posées sur le bureau, je t’ai préparé un semainier, une culotte pour chaque jour, tu ne peux pas te tromper, ils sont marqués sur le fond.
Elle s’installa sur la chaise à fessée qui trônait devant le bureau et fit un signe à Héloïse :
— En piste ma grande, on va mettre le thermomètre.
La jeune étudiante ne s’habituait pas à cette humiliation, Ambre la déculotta largement et tapota le derrière :
— Allez, on se détend.
Elle se fit un plaisir de lui écarter largement les fesses et prit son temps, Héloïse jetait un regard sur le côté espérant que personne ne rentrerait pour la voir dans cette honteuse position. Elle sentit l’embout déflorer son anus et en même temps la porte s’ouvrir, c’était Aurélie qui commenta le spectacle :
— Mazette, quel magnifique derrière. Tu as raison pour mettre le thermomètre il n’y a rien de mieux que cette position. Mais c’est notre petite Héloïse.
Ambre continua à enfoncer l’instrument médical en riant :
— Oui elle est en stage thermomètre, elle a toujours du mal, mais on va y arriver.
Elle relâcha les deux hémisphères et leva la main, la fessée crépita accompagné des cris et des supplications de la jeune étudiante :
— Aïe, aïe, non, non mademoiselle Ambre, je n’ai rien fait, plus la fessée, s’il vous plaît.
— Eh pourquoi donc plus la fessée ? Tu crois que tu es en position pour dire ça ? Tu as un stage thermomètre parce que tu ne t’es pas laissée faire hier, donc c’est panpan cucul et cesse de pleurnicher sinon je double la fessée.
La fessée reprit de plus belle, Aurélie était sous le charme de sa jeune collègue, en plus d’avoir vraiment un joli derrière qu’elle se faisait un plaisir de déculotter et de rougir, elle était d’une perversité remarquable et avait vite pris les bonnes habitudes de la maison.
Héloïse se contentait de pleurer et de gigoter, sa croupe avait repris la belle couleur rubiconde qui était la règle quand elle était à l’institut, jugeant le résultat satisfaisant, Ambre renfonça le thermomètre bien profondément et la fit se relever, elle lui désigna la plate-forme qui servait à exposer les derrières et pour les fessées au martinet :
— Tu t’allonges là et tu cesses de pleurnicher pour une petite fessée et ne fais pas ressortir le thermomètre sinon tu ne pourras pas t’asseoir de la journée.
Elle regarda Aurélie en souriant :
— Tu restes au secrétariat ?
— Oui mon premier rendez-vous est dans une demi-heure.
— Parfait si tu peux me surveiller cette chipie pendant que je continue le traitement d’Hélène.
— Pas de problème, tu as prévu quoi pour mademoiselle ensuite ?
— Une demi-heure de thermomètre et un suppo ensuite elle ira en cours avec une paire de fesses bien chaudes sous sa culotte.
Aurélie tapota le derrière brûlant d’Héloïse avant de s’installer au bureau :
— Tu es gâtée, tu devrais être contente qu’Ambre prenne soin de toi.
La plus jeune des assistantes était déjà dans la salle de traitement et quelques instants plus tard le claquement de la fessée thérapeutique retentissait, Hélène pleurait comme une gamine son large postérieur était brûlant quand Ambre lui écarta largement les deux fesses pour lui mettre un suppositoire :
— Vous commencez votre travail à quelle heure ?
— A neuf heure trente, mademoiselle Ambre.
La jeune femme regarda sa montre :
— Parfait, vous allez faire un quart d’heure de coin, ça vous fera le plus grand bien.
Elle saisit l’oreille de la directrice du collège et l’accompagna au secrétariat, Aurélie leva les yeux :
— Alors Hélène, notre nouvelle collègue s’est bien occupé de vos bonnes grosses fesses ?
Ambre la fit pivoter pour qu’elle expose sa croupe et la claqua en riant :
— Je pense que oui, regarde-moi ce joufflu, le rouge lui va bien et on peut dire qu’on a de la place pour claquer.
Elle poussa Hélène contre le mur, celle-ci prit immédiatement la position réglementaire.
Heureusement pour elle ses fesses étaient inconnues des élèves du collège, car c’était l’une d’elle qui entra. Elle tendit le mot de sa professeure à Aurélie qui la regarda avec un œil gourmand. C’était une nouvelle, elle allait donc découvrir une autre paire de fesses.
Ambre regard cette jeune fille dotée d’un mignon derrière, elle rougit en voyant les regards fixés sur elle :
— Bavardage en cours…
Aurélie regarda la signature de la professeure qui l’envoyait, c’était Judith. Cette peste adorait envoyer ses élèves en punition même pour des raisons futiles, c’était quasiment tous les jours qu’elle avait un nouveau derrière à sa disposition.
Ambre prit la parole :
— Cette demoiselle tombe très bien, la mise du suppositoire sera plus efficace, si tu veux bien attendre avant d’aller dans la salle des culs rouges.
La jeune fille sursauta en entendant le nom évocateur de la salle et en se tournant elle aperçut Héloïse qui exposait son fessier rebondi d’un rouge éclatant, la phrase d’Ambre l’avait plongée dans l’angoisse et son derrière s’était contracté. Le spectacle des paires de fesses d’Hélène et d’Héloïse était édifiant, elle avait été prévenue par ses copines, la fessée qu’elle allait recevoir serait cuisante. Aurélie acquiesça :
— Oui une punition publique est toujours plus efficace, regardez mademoiselle ce qui arrive quand on désobéit et prenez en de la graine.
Ambre avait fait relever la jeune étudiante et après s’être installée sur la chaise à fessée, elle lui retira le thermomètre :
— Tu seras sage la prochaine fois ma chérie ?
— Oh oui mademoiselle Ambre.
— Tu te laisseras gentiment écarter les fesses et mettre un suppo ?
— Oui, oui mademoiselle Ambre.
La jeune femme claqua sèchement les fesses rouges :
— Tu as intérêt, sinon tu reviendras faire un stage thermomètre et suppo. En attendant écartes bien les cuisses, qu’on voie bien ton petit trou.
Avec deux doigts elle avait largement écarté la raie fessière mettant à jour l’intimité de la jeune étudiante qui se mit à pleurer.
— Tu peux pleurer, il fallait y penser avant !
Le suppo pénétra doucement, Ambre voulait faire durer son plaisir, Héloïse ne cherchait pas à empêcher ce petit viol, son derrière brûlant l’incitait à se montrer docile. Quand enfin la jeune assistante relâcha les fesses elle regarda Aurélie :
— Notre petite Héloïse a fait de gros progrès, il n’y a pas à dire la fessée déculottée c’est quand même ce qu’il y a de plus efficace.
L’élève du collège Sainte-Marie avait assisté sans rien dire a la punition publique d’Héloïse, ce spectacle l’avait émoustillée, elle regarda Ambre se saisir d’une mademoiselle Claquefesse et elle frissonna en entendant le bruit sec sur la peau nue du derrière de la punie. Le cri et les pleurs qui suivirent ne la rassurèrent pas sur la suite de sa matinée, Ambre administra une magistrale fessée à son ancienne copine, quand elle cessa la croupe de la jeune femme était écarlate :
— Voilà ma chérie, tu vas pouvoir aller en cours maintenant, tu vas penser à moi toute la journée. Je te rappelle que Sophie t’attend à seize trente heures.
Héloïse remonta sa culotte en reniflant, Ambre enleva l’épingle qui retenait la jupe retroussée et lui caressa les fesses par-dessus la lingerie :
— Olala, c’est bien chaud, je me demande si tu as besoin d’une culotte…
Héloïse pâlit, elle ne se voyait pas passer la journée cul nu sous sa jupe, Ambre éclata de rire :
— Tu as eu peur on dirait… Allez je plaisantais, file.
Pendant cet intermède, Hélène n’avait pas bougé, elle avait reconnu la voix de l’élève venue recevoir sa punition par Aurélie, elle appuyait le plus possible son nez dans le coin afin de ne pas être démasquée par la jeune fille.
Celle-ci regardait la plantureuse croupe rubiconde, après le spectacle de la fessée déculottée reçue par Héloïse, cette paire de fesses appartenant à une dame d’âge mûr prouvait qu’ici les punitions étaient administrées sans faiblesse. Aurélie la rappela à la réalité :
— À nous mademoiselle la bavarde, je vais avoir une conversation avec ton derrière.
La minuterie sonna indiqua la fin de la pénitence d’Hélène, Ambre la délivra :
— Venez-ici !
La directrice se retourna et fut soulagée en voyant que le secrétariat était vide, des claquements et des cris retentissaient dans la salle des culs rouges, Aurélie avait commencé sa discussion avec les fesses de la jeune fille.
Ambre la fit se pencher afin de lui examiner le derrière, puis elle la reculotta elle-même et remis la jupe en place :
— Vos fesses sont en parfait état, chaudes et rouges comme il se doit, voilà la boite de suppo que vous donnerez à mademoiselle Judith, c’est elle qui vous le mettra à midi. Ce soir c’est Sophie qui se chargera de votre traitement, moi je vous revois demain matin.
Il était temps pour Hélène Desrodes de commencer sa journée, elle connaissait l’emploi du temps de Judith, celle-ci avait des cours toute la matinée, ses fesses seraient tranquilles jusque-là.
Alice Léger l’attendait tête basse devant son bureau, la vue de la professeure qu’elle avait envoyée se faire punir à l’institut lui mit du baume au cœur et lui fit oublier un instant son postérieur douloureux.
— Vous voulez me voir Alice ?
La professeure de math esquissa un petit oui à peine audible.
— Eh bien entrez.
Elle s’installa à son bureau en essayant de ne pas trop grimacer, puis elle regarda en souriant Alice, elle avait eu Aurélie au téléphone hier et elle savait parfaitement pourquoi la professeure venait la voir, mais lui faire dire était particulièrement jouissif :
— Je vous écoute.
— Euh, c’est-à-dire, c’est à propos de l’institut, enfin… de ma punition…
— Oui, vous avez été bien corrigée j’espère.
— Oh oui madame la directrice… Mais il faut que…
La phrase resta en suspens, c’était quand même difficile d’annoncer qu’elle devait montrer sa culotte. Hélène était aux anges devant le trouble de la professeure :
— Ma chère Alice, je n’ai pas que ça à faire.
— Oui, oui madame excusez-moi, voilà… Je… je dois vous montrer ma culotte.
Hélène se mit à rire :
— A la bonne heure et bien qu’attendez-vous ?
Les joues écarlates, Alice Léger se tourna, saisit l’ourlet de sa jupe et se troussa. La culotte à fessée apparut, jeudi était imprimé sur le fond. Hélène se leva et s’approcha :
— Une culotte à fessée et marquée au jour de la semaine, Aurélie a vraiment de bonnes idées.
Elle saisit les pressions et tira dessus, le fond de la culotte se décrocha dévoilant le large fessier, il était encore rosé des corrections reçues la veille, elle passa la main dessus et glissa ses doigts entre les cuisses pour détacher la dernière pression :
— Vous restez cul nu sous votre jupe jusqu’à ce soir, vous êtes punie pour ne pas m’avoir montré votre culotte immédiatement, estimez-vous heureuse que je ne vous flanque pas une fessée. Vous pouvez y aller, vous viendrez me présenter vos fesses à midi.
Elle claqua le large fessier, Alice relâcha sa jupe et quitta le bureau.
À midi, Judith entra sans frapper dans le bureau de la directrice, son sourire ironique ne disait rien de bon à Hélène :
— Alors ta séance s’est bien passée ce matin ?
— Oui, Judith…
— Tu vas me montrer ton bon gros derrière, je suppose que cette petite Ambre s’en est bien occupée.
Sans discuter, Hélène s’était levée avait fait le tour de son bureau et penchée en avant elle troussait sa jupe, la fine lingerie en dentelle rentrait dans la raie fessière, la croupe était encore légèrement colorée. Judith glissa ses doigts sous la ceinture et la déculotta largement, puis elle caressa le magnifique derrière :
— Alors, on a eu panpan cucul ?
— Oui…
La jeune professeure se mit à rire :
— Fessée comme une gamine par une gamine, c’est parfait.
On toqua à la porte, Judith ne remonta pas la culotte d’Hélène, elle se contenta de remettre la jupe en place :
— Entrez !
Elle avait répondu à la place de la directrice, Alice fut un peu surprise de la voir.
— Oh pardon, je peux repasser.
Hélène était trop contente que la situation s’inverse un peu :
— Non, non, Alice vous ne me dérangez pas du tout, c’est même mieux que Judith soit là, ça rendra votre punition plus profitable.
Elle se tourna vers sa maîtresse :
— Comme je te l’ai dit, Alice est en stage de punition à l’institut, elle devait venir me montrer ses fesses à midi.
La professeure de math était au supplice, elle connaissait la perversité de sa jeune collègue, nul doute qu’elle allait profiter de la situation.
— Tu as raison. Alice tu as entendu madame la directrice, elle veut voir ton derrière.
Toute honte bue, sachant que toute protestation était inutile, Alice se tourna et retroussa sa jupe. Judith poussa un petit cri de surprise :
— Mais elle est cul nu.
— Oui, elle doit porter uniquement des culottes à fessée et me les montrer tous les matins, j’ai pensé qu’une journée les fesses à l’air lui ferait du bien.
Judith s’approcha et palpa le large fessier :
— Il n’a rien à envier au tien ma chérie. Une culotte à fessée ? Et elle n’a pas les fesses rouges, on va remédier à ça.
Elle ceintura la professeure de math, la courba sous son bras et lui administra une courte mais vigoureuse fessée. Quand elle la relâcha la croupe était bien rouge et les larmes pointaient.
— C’est parfait, tu reviens ce soir que madame la directrice te remette ton fond de culotte, tu peux filer.
Hélène avait assistée avec un plaisir non dissimulé à la correction d’Alice, mais il fut de courte durée, quelques instants plus tard allongée en travers des genoux de Judith, c’était son tour de couiner et de battre des jambes sous les claques de sa maîtresse. Celle-ci lui mit ensuite le suppositoire prévu dans le traitement et l’installa au coin pendant toute la durée de sa pause déjeuner.









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