La fessée d'Elisabeth
Sophie avait envie de parler, elle nous raconta son enfance et son adolescence auprès d'une mère très sévère qui utilisait sur ses deux filles, les bonnes vieilles méthodes d'éducation traditionnelle à savoir la fessée déculottée à la moindre incartade.
- je n'en suis pas morte dit elle en riant, d'ailleurs c'est peut-être pour ça que nous avons toutes les deux des bonnes paires de fesses.
Je ne l'avais pas remarqué mais c'était vrai, comme sa soeur Daisy, notre hôte était bien pourvue du côté postérieur.
- nous avons été toutes les deux pensionnaires pendant notre adolescence et je puis vous assurer que l'éducation anglaise n'est pas qu'un fantasme, les maîtresses anglaises savent très bien trousser les jupes et baisser les culottes. La main est très utilisée mais nous étions en Écosse donc vous comprendrez que l'instrument privilégié pour les punitions sévères c'était la tawse qui était utilisée plus que la canne d'ailleurs.
Elisabeth était intéressée par cet instrument traditionnel qu’elle ne connaissait que par ouï dire. Sophie se leva et ouvrit un tiroir d’où elle sorti le redoutable instrument.
Elle nous le tendit, je connaissais déjà cette épaisse lanière de cuir, je la caressai et je lançai un regard coquin à mon amie.
- ça doit bien claquer sur un joli derrière de dame bien rembourré.
Elisabeth se mit à rougir sous l’allusion, elle avait de toute évidence une magnifique croupe bien rembourrée.... Sophie repris la balle au bond.
- vous savez qu’avant une fessée avec ce genre d’instrument, il est nécessaire de toujours échauffer le derrière n’est ce pas ?
- ah oui, et on fait comment ?
Je jouais les innocentes en voyant une certaine gêne s’installer dans le regard d’Elisabeth.
- oh ce n’est pas compliqué nos maîtresses nous administraient systématiquement une bonne fessée déculottée à la main avant d’utiliser la tawse.
- et bien c’est simple, on pourrait essayer, qu’en penses tu ma chérie.
J’avais jeté un regard ironique à Elisabeth. Elle était de plus en plus troublée, elle rougit et bégaya.
- euh.... euh...c’est à dire...que, que veux tu dire par essayer, je, je... enfin Julie, tu ne vas pas quand même....
Sa phrase était resté en suspens, je la regardais en souriant.
- te donner une bonne fessée déculottée ? mais si ma chérie, c’est bien mon intention, tu as entendu Sophie, il faut d’abord échauffer ton derrière avant qu’elle ne puisse utiliser la tawse sur tes jolies fesses. Tu vas donc venir sur mes genoux comme une gentille petite fille, je vais te baisser la culotte comme je l’ai fait à Sandra et je vais rougir ton derrière pour qu’il soit bien chaud pour Sophie. C’est simple tu vois.
Elisabeth essaya de réagir.
- il n'en est pas question, tu n'y pense pas !
Je fronçai les sourcils.
- je crois malheureusement que tu n'as pas le choix, à moins que tu ne veuilles que j'aille chercher Sandra pour qu'elle assiste à la fessée déculottée de sa maman.
Elisabeth avait blêmi. Elle était à point, je portai l'estocade.
- tu connais le principe, je vais compter. Si à trois tu n'est pas venue gentiment te coucher sur mes genoux, je vais chercher Sandra....Un...Deux...
- c'est bon....
Elisabeth s'était approchée de mes cuisses et semblait résignée. Je lui pris la main et la fit se coucher en travers de mes genoux. Je la positionnai correctement afin d'avoir son joli popotin bien à ma portée, elle n'était pas à l'aise, cela faisait longtemps semble t il qu'elle s’était retrouvée dans cette position. Je tapotais négligemment ses fesses tendues par la position, Sophie souriait, ravie de la tournure des événements.
- cette petite désobéissance justifie une correction exemplaire ma chérie et quoi de mieux qu'une bonne fessée avec la tawse. Bon, voyons un peu ce que nous cache cette jupe. Je la retroussai largement sur les reins, dévoilant une mignonne culotte rose pâle et des fesses serrées par l'angoisse qui la faisait rentrer dans la raie médiane. J'avais vu juste on devinait une magnifique paire de fesses, une belle croupe de dame mûre, large mais encore ferme, j'avais hâte de l'examiner en détail, je jetai un regard complice vers Sophie, elle souriait ravie du spectacle de cette dame couchée sur mes genoux en train de nous montrer ses fesses. La culotte avait franchi lentement les deux rotondités, elle était maintenant à mi cuisses délimitant parfaitement la surface à corriger. En effet maintenant sur les conseils d'Elisabeth, je fessais non seulement le derrière bien rond mais également le haut des cuisses, cette zone si sensible qui rendait la position assise encore plus douloureuse. Comme à mon habitude j'explorais un peu plus l'intimité de ma punie, j'écartais les larges fesses et glissais mes doigts entre les cuisses de la sévère maman qui n'en menait pas large et gémissait doucement. Une légère humidité sur mes doigts me renseigna, si Elisabeth avait honte et craignait la fessée imminente, elle était quand même un peu excitée par la situation. " toi ma petite chérie tu as vraiment de très jolie fesses, tu vas me les montrer souvent ", mes pensées vagabondaient tandis que je palpais le large popotin de la "grande fille" couchée sur mes genoux. Sophie me rappela à l'ordre.
- dis moi, Julie, quand tu auras fini de rêver tu pourras commencer la fessée ! Décidément vous les françaises vous avez besoin qu'on vous secoue un peu. Tu as besoin d'une petite fessée toi aussi ?
Je rougis à l'allusion d'une punition à venir.
- euh, oui pardon Sophie, mais Elisabeth a un si joli derrière.
Je levai la main et commençai à claquer ce fessier si bien exposé.
Vexée par la remarque de la demoiselle écossaise, je me mis à fesser sévèrement. Elisabeth ne tarda pas à réagir de façon des plus classique, ses fesses tressautaient sous les claques, se serrant et se desserrant au rythme de la fessée, ces jambes battaient l'air frénétiquement, et les aïe aïe aïe, bientôt furent remplacés par des supplications…
- noon, arrête Julie...aïe ça fait mal…
- je sais ma petite Elisabeth, la fessée ça doit brûler, c'est fait pour ça. Et puis je te prie de m'appeler madame Julie, ton impolitesse va te valoir un petit supplément.
- oh noon, pardon madame Julie, s'il vous plaît plus la fessée.
Maintenant Elisabeth pleurait comme une grande fille fessée par sa maîtresse d'école. Je m'étais attaquée à la base des fesses, cette partie si sensible qui était maintenant rouge puis le haut des cuisses subit le même sort. Elisabeth pleurait à chaudes larmes, signe d'une magistrale fessée déculottée. Il était temps d'arrêter. Je la laissai un moment couchée sur mes genoux pour qu'elle se calme. Avant de la faire se relever je coinçai l’ourlet de sa jupe dans la ceinture puis je la fis se relever, ses fesses rubicondes étaient bien visible, sous le mouvement désordonné de ses jambes, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles.
- va montrer tes fesses à Mlle Sophie, elle va juger si ton joli derrière est assez échauffé.
J’ajoutai une claque sur la croupe cuisante pour que Elisabeth se dirige plus rapidement vers sa deuxième maîtresse. Sophie en souriant lui fit un petit signe avec le doigt.
- tourne toi que j’examine un peu ce vilain derrière, oui je sais ce n’est pas très agréable de présenter ses fesses comme ça quand on a ton âge mais c’est ainsi. Penche toi un peu, voilà tu sais que tes fesses sont encore plus mignonnes avec un peu de couleur.
Si les fesses de Elisabeth étaient bien rouges, ses joues ne l’étaient pas moins, je me régalais de sa honte, c’était assez jouissif et je sentais une légère humidité dans ma petite culotte. Sophie passa sa main sur l’épiderme brûlant.
- tu as fait du bon travail ma petite Julie, ces fesses sont à point, prête pour goûter à la tawse.
Elle se baissa et saisit la culotte.
- lèves le pied ma petite chérie, on va enlever complètement cette culotte, elle ne va plus te servir d'ici ce soir.
Docilement Elisabeth leva les pieds l'un après l'autre, Sophie plia la petite culotte et la posa sur la table. Elle se tourna vers moi en riant.
- privée de culotte notre vilaine fille. Bon tu vas te pencher sur la table et bien tendre tes fesses.
Elisabeth les fesses à l'air s'exécuta, son torse reposait sur la table sa large croupe écarlate était tendue vers nous, Sophie rectifia un peu la position, elle lui fit reculer et écarter un peu les pieds.
- voilà, il faut que les fesses soient bien détendues pour recevoir la tawse, c'est plus efficace et on ne risque pas de blesser ce beau derrière.
Elle avait prit la large lanière de cuir et elle caressait les fesses avec, elles se contractèrent imperceptiblement.
- on va dire dix coups ma petite chérie et tu vas les compter.
J'avais fait une petite grimace, trouvant que dix coups pour cette magnifique paire de fesses ce n'était pas beaucoup, Sophie le remarqua et me fit un petit clin d'oeil.
- bien sûr, tu ne dois pas bouger, sinon je double la punition....
Elisabeth émit un gémissement, elle se doutait bien que rester immobile serait difficile. J'étais assise bien confortablement et je m'apprêtait à goûter au spectacle de cette dame de cinquante ans recevant le châtiment réservé aux adolescentes désobéissante. Sophie leva la tawse et l'abattit en travers des deux fesses tendues, Elisabeth poussa un cri, une bande rouge plus foncée barrait le fessier.
- je n'ai rien entendu ma petite Elisabeth, je t'ai demandé de compter il me semble...
- aïe...oui...pardon Mlle Sophie..un... aïe...deux.
La lanière avait cinglé une deuxième fois, j'étais surprise et un peu déçue de la résistance de notre punie Sophie me regard en souriant, elle leva la main et la tawse s'abattit avec un claquement sec sur les fesses, le coup avait été beaucoup plus fort et Elisabeth hurla et jeta ses pieds en arrière
- on ne bouge pas !! Combien ?
- aïe, pardon mademoiselle, ça brûle s'il vous plaît plus la fessée...
- combien !!! Vite.
Sophie était intraitable, Elisabeth en gémissant annonça le nombre. La sévère demoiselle écossaise continua imperturbablement d'administrer la punition, au septième coups Elisabeth pleurait à chaudes larmes et elle se releva en portant ses mains à ses fesses. La sanction fut immédiate, la lanière claqua les mains.
- reprend la position immédiatement, tu étais prévenue ce sera dix coups de plus !!
- oh noon...pardon Mlle Sophie, s"il vous plaît.
- je déteste les désobéissantes tu as mérité cette fessée déculottée, cesse de pleurer. A combien en sommes nous.?
- oui Mlle...aïe...pardon...sept.
- c'est parfait, encore treize si tu ne bouges plus.
La leçon avait été profitable, Elisabeth trépignait sur place, pleurait et gémissait mais elle ne bougeait plus et comptait chaque coup.
Après le vingtième, sa croupe était d'un beau rouge profond mais sans marque de blessures, décidément ces anglo-saxons s'y connaissent en châtiment corporel. Cet instrument permet d'administrer une correction très sévère sans danger, les fesses peuvent recevoir ce châtiment très régulièrement. J'étais admirative, Elisabeth beaucoup moins, elle était toujours couchée sur la table, ses larges fesses se serraient convulsivement elle pleurait comme une gamine. Sophie satisfaite, reposa la tawse sur la table.
- voilà de jolie fesses bien colorées, tu vas aller les faire refroidir au coin comme il sied à toutes les vilaines filles qui viennent de recevoir une bonne fessée.
Elisabeth n’était plus en état de protester quand on vient de recevoir une bonne fessée déculottée couchée sur les genoux suivi d’une autre avec la tawse, on est plus une professeur de français de 56 ans mais une grande jeune fille punie par sa maîtresse et qui va exposer ses fesses nues au coin en pleurant.
Elle se dirigea vers le coin de la pièce en larmes, elle nous exposait ses belles et larges fesses d’un rouge profond, naturellement elle mit ses mains sur la tête et posa son nez contre le mur. Je souriais en regardant Sophie.
- la tawse est un instrument d’obéissance remarquable, regarde comme notre petite Elisabeth est devenue mignonne. Ma chérie j’aimerais que tu tendes un peu plus tes fesses vers nous, je sais c’est un peu désagréable mais le coin ça fait partie de la punition.
Comme Elisabeth ne semblait pas comprendre je me levai et lui claquai les fesses, puis j’appuyai ma main sur son ventre et la forçai à ressortir ses fesses vers l’arrière.
- voilà ton joli derrière est bien mis en valeur. Mais décidément tu as encore quelques progrès à faire question obéissance.
Je m'étais assise sur un fauteuil face à Sophie qui nous avait servi une liqueur. Le spectacle était ravissant. Elisabeth le nez contre le mur nous exposait parfaitement ses belles fesses bien rouges, ses épaules étaient encore secouée par quelques sanglots, la cuisson devait encore être intense. C'est ce que me confiait Sophie en souriant.
- après une fessée avec la tawse, on ne rêve que d'une chose c'est de se frotter les fesses, ça brûle tellement et longtemps je peux te l'assurer.
- c'est vrai que son petit derrière est brûlant, il faudrait vérifier si elle n'a pas de fièvre.
J'avais ajouté ça en riant, la magnifique croupe de mon amie me donnait des idées. Sophie me regardait, un peu surprise. Je me suis levée et j'ai sorti de mon sac à main, le thermomètre qui ne me quitte jamais.
- tu ne connais pas ce petit complément de punition pour les vilaines ?
Sophie secoua la tête.
- non ?
Je m'étais levée, Elisabeth allait connaître une nouvelle expérience. Je lui saisis l'oreille et notre professeur de français se retrouva rapidement couchée sur mes genoux comme une gamine.
- tu vois son petit derrière est vraiment très chaud et la meilleure et plus sûre façon de vérifier si elle n'a pas de fièvre c'est le bon vieux thermomètre rectal.
Sophie était sidérée .
- et bien ça alors, tu vas lui mettre le thermomètre dans les fesses ?
- et oui, ta maman ne te la prenais pas comme ça.
- euh.... oui mais quand j'étais vraiment petite.
- et bien, je peux te dire qu'il n'y a pas d'âge, c'est comme pour la fessée, ça les rappellent à l'humilité.
Elisabeth avait compris ce qui allait lui arriver, elle essayait de protester.
- non, non Julie tu ne vas pas faire ça.
Je lui claquai les fesses.
- tais toi ! Je te signale que dans ta position tu ferais mieux de te calmer.
J'écartais ses larges fesses rubicondes pour mettre à jour son petit trou. Cette humiliation supplémentaire c'en était trop pour Elisabeth. Elle se mit à pleurer et resserra ses fesses.
- c'est bien ce que je disais tu as encore quelques progrès à faire. Sophie passe moi ta brosse.
- noon, noon pardon Julie...
- trop tard ma petite...
J'avais levé ma brosse et je claquai fermement le derrière de la dame. La fessée fut courte, mais ses fesses étaient déjà tellement douloureuses qu'Elisabeth pleurait à chaudes larmes quand je reposai la brosse.
- tu vas bien sagement te laisser faire ma petite chérie, je garde la brosse à portée. Je ne suis pas fatiguée tu sais, par contre tes fesses vont en avoir assez avant moi.
Les fesses étaient à nouveau largement écartées, je conçois qu’à 55 ans c’était vraiment très sévère pour mon amie. Mais c’est un plaisir auquel j’ai du mal à résister. Comme c'était la première fois, j'avais décidé de mettre un peu de vaseline sur le thermomètre, tout mes punis n'ont pas droit à cette petite attention. L'embout du thermomètre commença à rentrer doucement,
Elisabeth gémissait mais se laissait faire désormais, je faisais coulisser le petit tube en verre, le sortant puis l'enfonçant plus profondément à chaque fois. Je jetais de temps en temps un oeil sur Sophie elle était comme hypnotisée par les larges fesses rouges bien écartées, le caractère pervers de cette scène lui faisait un certain effet, j'en étais sûr "toi ma petite, ta culotte doit être humide". Le thermomètre était maintenant bien enfoncé, il ne dépassait presque plus, je relâchai les fesses. Elisabeth pleurait doucement, je tapotai ses fesses bien chaudes.
- voilà c'est fini ma petite chérie, tu as été très mignonne, une bonne fessée déculottée fait vraiment des miracles.
Sophie souriait,
- c'est vrai qu'elle est adorable notre petite Elisabeth avec ses bonnes fesses bien rouges et son petit thermomètre planté au milieu. Tu le laisse longtemps ?
- ça dépend de la punition que je veux infliger, Elisabeth à besoin de comprendre qu’elle est encore en âge de recevoir la fessée déculottée et d’obéir, elle va donc nous présenter son petit derrière bien garni pendant un moment, elle est confortablement installée et moi aussi.
En effet en prévision de la pénitence assez longue que je comptais infliger à Elisabeth, je m’étais installée sur le canapé, Elisabeth reposait sur mes cuisses sa tête dans les coussins, ses fesses bien tendues vers Sophie. J’expliquai à notre hôtesse qu’il m’arrivait de garder mes punis que ça soit Hubert ou Sylvie pendant toute la soirée, cul nu et le thermomètre bien en place au milieu des fesses. Sophie nous resservi un verre et nous continuâmes notre conversation sans plus nous soucier de la professeur de français couchée sur mes genoux exposant son large fessier écarlate. De temps en temps je caressais ses fesses puis je faisais coulisser le thermomètre ce qui déclenchait les gémissements chez Elisabeth qui nous faisait bien rire.
- notre petite Elisabeth apprécie ?
Sophie se moquait gentiment de ma punie, nul doute qu’elle aurait bien aimé être à ma place. Je lui indiquai qu’on trouvait encore ce genre de thermomètre en pharmacie. Elle m’annonça que Daisy devrait aller en acheter un pour son petit derrière dès demain. J’approuvais son initiative, ça allait être un moment un peu gênant pour la demoiselle de cinquante ans que d’aller demander ce genre d’instrument à la pharmacienne, mais l'humiliation fait partie de la punition.
Et Julie aurait bien besoin d'une bonne fessee elle aussi
RépondreSupprimerc'est bien possible, mais ne brûlont pas les étapes
RépondreSupprimerwow.... Elizabeth a reçu une fessée. La Julie a déclassé Elizabeth, je pense que dorénavant elle aussi aura les fesses rouges. il semble également que Sophie envisage également de prendre la relève de Julie. très belle mise à jour
RépondreSupprimerChinmay
Très beau récit, bravo
RépondreSupprimerMerci Caroline, vos compliments d'experte en fessée déculottée me vont droit au coeur. Il y a une suite en cours d'écriture.
RépondreSupprimerSylvie