vendredi 20 janvier 2023

Week-end cuisant en famille suite

Julie  continue de nous raconter  ses week-end cuisants en compagnie de sa nouvelle amie. 

Fessée en commun pour trois derrières



 La fessée de Daisy nous avait émoustillée, il fallait que nous allions voir nos puni. Je laissai l’initiative à Elisabeth, c’était elle la maîtresse d’école. Nous commençâmes par Sandra, elle avait fini ses lignes et attendait bien sagement assise cul nu sur sa chaise. Sa mère prit les feuilles comme une institutrice sévère et les parcouru soigneusement. Elle avait pris un stylo rouge et je la vis annoter deux fois la feuille.

- deux mots mal écrit ma chérie, tu sais ce que ça mérite ?

- oui maman

Sandra avait répondu en baissant les yeux

- tu vas le dire à Julie, c’est elle qui va s’occuper de toi

Sandra commençait à avoir l’habitude mais c’était quand même un peu difficile à accepter pour elle. Une magistrale claque sur sa fesse droite qui était à portée de la main d’Elisabeth la fit sursauter.

- faut il que je compte ?

- non, non maman… euh 50 claques sur chaque fesse par mot mal écrit et je recommence ma copie.

- c’est parfait ma chérie, je ne double pas le nombre de ligne pour cette fois, mais gare à toi la prochaine fois. Tu viens avec nous, on va regarder le travail de Hubert et ensuite Julie s’occupera de ton petit derrière.

Nous quittâmes la chambre suivies de Sandra qui était toujours fesses nues puisqu’elle était privée de culotte jusqu’à nouvel ordre. Hubert nous attendait aussi, on le sentait un peu inquiet. Il avait raison, Elisabeth avait pris les feuilles et elle fronçait les sourcils, le stylo rouge était en action. Quand elle eu fini, elle saisi l’oreille de mon mari et lui claqua vigoureusement les fesses une dizaine de fois.

- non mais je rêve, c’est un torchon ce que tu as écris mon petit ami, je vais t’apprendre !!

Puis se tournant vers moi

- si tu permets ma chérie, ce petit monsieur à besoin d’une leçon, je déteste qu’on se moque de moi.

J’étais aux anges, ramener Hubert au rang de gamin était un de mes passe temps favori et en plus Elisabeth jouait son rôle d’institutrice sévère à merveille, ce n’était d’ailleurs pas un rôle de composition, elle était réellement professeur dans un collège et à ces dires, elle regrettait vraiment que les châtiments corporels et notamment la fessée aient été interdit car sa main la démangeait souvent.

Elle tenait toujours Hubert par l’oreille.

- bien mon petit ami voila comment je traite les insolents de ton espèce, normalement pour chaque faute ou mot mal écrit c’est 50 claques sur chaque fesse, comme c’est la première fois je vais diviser par deux, mais comme tu as fait quand même 15 fautes, tes petites fesses vont le sentir passer, je pense que la prochaine fois tu vas faire attention, 375 claques sur chaque fesse, tu vois que pour une prof de français je compte bien.

Elle avait dit ça avec un sourire coquin. 375 claques sur chaque fesses, mon pauvre chéri allait la sentir passer cette fessée. Il en avait déjà reçu une bonne à la piscine. Bon il avait une bonne paire de fesses et ce ne serait pas la première fois qu'il recevrait une sévère correction. Elisabeth le tenait toujours par l'oreille, elle s'assit sur la chaise et le fit rapidement basculer en travers de ses genoux. Sandra attendait sagement que je m'occupe d'elle. Je pris une chaise et m'installai comme hier soir face à Elisabeth. Sandra sans que je lui dise s'approcha de mes cuisses. Son obéissance était touchante, malgré ses 35 ans, on aurait dit une gamine venant gentiment recevoir sa fessée déculottée par sa maman, en l'occurrence j'étais plutôt sa tatie. 



Dès qu'elle fut en position son mignon petit derrière bien tendu vers le ciel, je fis part de mes réflexions à mon amie.

- ta fille est vraiment obéissante ma chérie, je te félicite pour ton éducation.

- oh c'est vrai ? Merci Julie.  Ça n'a pas été sans mal tu sais. Mademoiselle à eu souvent chaud aux fesses avant d'arriver à ce résultat.

- avec une si jolie paire de fesses, c'est un plaisir de s'occuper de son éducation. Dis moi, je pense que nos deux punis devraient nous appeler tatie au lieu de madame, ça serait plus dans l'ordre des choses puisque nous les corrigeons comme des gamins.

- tu as tout à fait raison. Vous avez compris ?

En disant ces mots elle avait claqué les fesses de Hubert qui était à sa disposition.

Les deux punis acquiescèrent. Ils attendaient tout les deux, en position disciplinaire, nous exposant honteusement leurs deux fessiers encore rosé.

Elisabeth m'expliqua sa façon de procéder.

- comme c'est une fessée avec un nombre de claques assez précis, j'administre des séries de 25 claques sur chaque fesses. Ça permet de ne pas perdre le compte. Surtout quand la fessée est longue comme celle que Hubert va recevoir.

C'était original comme façon de donner la fessée, en général je pratiquais à l'instinct, me fiant à la couleur des fesses et aux pleurs du puni. La fessée commença, je réglais ma main sur celle de mon amie, après deux séries sur chaque fesse, Sandra et Hubert commençaient à avoir le derrière bien rouge, ils commençaient à sangloter mais si pour Sandra la fessée en était à la moitié, ce n'était que le début pour mon petit mari. Sa façon de serrer et desserrer les fesses au rythme des claques prouvait que la fessée commençait à faire son effet.

- alors mon petit ami, tu commences à regretter ton comportement? Nous en sommes à 50 claques sur chacune de tes petites fesses. Et oui je sais ça brûle mon pauvre petit...Mais on va continuer.

Et la fessée reprit. J'augmentai la force des claques sur le derrière de Sandra, sa fessée serait moins longue  il fallait que ses fesses soient bien rouges. Après la quatrième série, la fessée de la jeune femme était terminée,  pendant qu'Elisabeth continuait à tanner le derrière de Hubert sans ralentir je décidai de la garder couchée sur mes genoux. Pendant que Hubert continuait à brailler et à se débattre sur les genoux de sa sévère tatie je caressais ses fesses brûlantes.



La correction de mon petit chéri alla jusqu'à son terme, je n'avais pas compté mais je pense que sa fesseuse l'avait fait, il avait effectué une danse des fesses impressionnante, son fessier était rouge brique, du bas de son dos jusqu'au milieu des cuisses. Elisabeth le garda couché sur ses genoux un moment le temps qu'il se calme.

- bien je crois que nos deux tourtereaux ont compris qu'il ne faut plus faire de bêtises... la prochaine fessée je prends la brosse à cheveux.  J'espère que tu as compris !! Allez debout et tu me recommences ces lignes, 200 fois et bien écrit. Julie tu peux raccompagner Sandra dans la chambre pour qu'elle se mette au travail également.

J'avais pris la jeune femme par l'oreille et un claque sur son derrière bien rouge la fit démarrer. Hubert grimaça en posant son fessier endolori sur la chaise, les larmes coulaient encore sur son visage, certes il était habitué aux fessées sévères mais celle-ci comptait parmi les meilleures. Elisabeth lui répéta les consignes et nous les laissèrent faire leur punition.

Je peux vous dire que la bonne fessée déculottée fait des miracles, les deux copies qu'ils nous rendirent furent impeccables. Ils purent enfin remettre un culotte sur leurs derrières rougeoyant.

La journée se passa sans autres fessées significatives, Sandra se fit déculotter une fois dans l'après-midi pour ne pas avoir répondu à sa mère qui lui posait une question, mais ce fut juste une petite fessée rapide courbée sous le bras d’Elisabeth, qui me permit quand même d'admirer à nouveau son joli derrière encore rouge des fessées précédentes.



Nous avions décidé avec Sophie que nos trois punis auraient droit à la fessée du coucher. C'est Sophie qui proposa qu'elle se déroule dans le salon et non pas dans la chambre. Dès la fin du repas, Sandra, Hubert et Daisy montèrent se mettre en tenue de nuit. Les deux premiers arrivèrent rapidement vêtu de leur pyjama, ils étaient un peu gêné de se retrouver dans cette tenue comme des enfants dans le salon en présence d'adultes encore habillés. Daisy arriva en dernier, elle était rouge de honte, en effet, elle ne portait pas un pyjama mais une nuisette assez courte qui lui arrivait à mi cuisses. Sophie la tança pour son retard.

- que faisais tu ? Ce n'est quand même pas bien compliqué de se mettre en chemise de nuit !

Daisy rougi jusqu'aux oreilles et baissa la tête. Sophie la regarda suspicieuse.

- approche un peu ma petite chérie.

Dès qu'elle fut à sa portée, elle souleva la courte nuisette, découvrant une petite culotte blanche en coton.

- qu'est ce que c'est que cette ça ! Tu sais parfaitement que je t'interdis de dormir avec une culotte !

Daisy essaya de se justifier.

- euh... Oui pardon Sophie mais ma chemise de nuit est trop courte.

- et alors, tu as peur qu'on voit tes petites fesses ? Mais ma chérie outre que Julie et Elisabeth ont déjà pu les admirer en détail, je te signale que tu vas recevoir une fessée déculottée et ça veut dire quoi ma petite chérie ? Et bien que tu vas être cul nu bientôt.

En disant ces mots elle avait tiré sur la ceinture de la culotte et l'avait fait glissé jusqu'au pied de la pauvre Daisy. Elle lui claqua un dizaine de fois les fesses maintenant dénudées.



- tout ce que tu as gagné c'est une fessée supplémentaire, tout le monde verra encore mieux ton bon gros derrière. Va voir Elisabeth, c'est elle qui va s'occuper de toi.

Des larmes apparurent au coin des yeux de la demoiselle mature, traitée comme une gamine désobéissante.

Nous nous étions réparti les punis. Sophie n'avait jamais donné la fessée à un monsieur, je lui prêtais Hubert, quant à moi j’héritais à nouveau du fessier de Sandra, ce n'était pas pour me déplaire, j'adorais vraiment sa mignonne petite paire de fesses. Elisabeth était ravie, elle allait de découverte en découverte, après un fessier masculin elle avait maintenant à sa disposition une belle croupe de dame mûre.

Rapidement les trois punis se retrouvèrent allongés en travers de nos cuisses, nous étions bien installées sur les fauteuils, nous avions une vue parfaite sur les trois derrières qui allaient bientôt rougir. Elisabeth fut la plus rapide pour nous exposer les fesses de Daisy, elle retroussa bien haut sur les reins la nuisette et le large derrière apparu, il n'était plus d'un blanc laiteux comme cet après midi mais il était  encore un peu rosé de la sévère fessée administrée par Sophie. La honte et la crainte de la suite les faisaient se serrer convulsivement. Elisabeth les tapota doucement.

- voilà vraiment une belle paire de fesses, détendez vous ma petite Daisy.

Sophie avait déculotté Hubert en descendant d'un geste sûr le pyjama jusqu'aux genoux, elle s'adressa à Elisabeth.

- tu n'as pas besoin de vouvoyer cette chipie, quand on présente ses fesses nues pour la fessée, on est une gamine un point c'est tout.

Elisabeth acquiesça en souriant,  de mon côté j'avais baissé lentement la culotte du pyjama de Sandra, je suis une adepte du déculottage lent sauf bien sûr quand je suis en colère mais dans le cas d'une fessée programmée je préfère découvrir lentement le derrière de ma punie, c'est très excitant pour moi et très humiliant pour celle qui va bientôt recevoir sa fessée.



Les trois paires de fesses étaient maintenant bien exposées. La punition du coucher pouvait commencer. Nos trois mains s'abattirent pratiquement simultanément sur les fesses si bien présentées. Immédiatement les cris et les gémissements se mêlèrent aux claquements secs de nos mains sur la peau nue. C'était un véritable concert, c'était vraiment merveilleux pour finir la soirée, chacune de nous rivalisait dans le rythme et la force des claques afin que ces derrières rougissent au plus vite. Les jambes battaient l'air, les fesses s'ouvraient largement, la cuisson qui embrasait les croupes déjà rouges faisait oublier toute pudeur.

Bientôt les pleurs se mêlèrent aux claquements, la bonne fessée déculottée produisait son effet. Les fesses de Sandra étaient écarlates, elle pleurait à chaudes larmes, je jetais un coup d'oeil à Elisabeth, elle était concentrée sur le large derrière de Daisy qui pleurait et suppliait comme une gamine, sa peau blanche était maintenant cramoisie. Mon petit Hubert n'était pas en reste après la main de Sylvie et celle d'Elisabeth, il goûtait à l'énergique poigne écossaise de Sophie. Lui aussi se comportait comme un gamin sur les genoux de son institutrice, il pleurait, suppliant sa fesseuse d'arrêter, Sophie ne supportant plus ses battements de jambes, lui claquait maintenant l'arrière des cuisses.

- mon petit ami, quand on reçoit sa fessée on laisse ses jambes au sol, c'est comme ça en Écosse.

Hubert hurlait de plus belle.

- aïe aïe aïe, pardon mademoiselle, non, non ça brûle trop.

- je sais, mets tes pieds au sol et j'arrête !

Hubert obéit enfin  la fessée reprit sur les fesses cette fois, Hubert pleurait comme une madeleine.

Les trois derrières étaient maintenant tous d'un beau rouge brique avec toutefois des nuances dues à la qualité de la peau de chacun. J'arrêtai la première, jugeant la punition suffisante, Sophie m'imita rapidement suivie par Elisabeth, les pleurs continuaient, je caressais doucement la peau brûlante des fesses de Sandra, c'était vraiment un week-end réussi. 



Les punis purent se relever, les culottes de pyjama étaient maintenant autour des chevilles. La nuisette de Daisy était retombée sur ses fesses. Sophie était à l'initiative.

- Sandra et Hubert, allez vous mettre au coin ! Daisy, tu sais que je t'ai promis une deuxième fessée pour ta désobéissance, va voir Julie elle n'a pas encore eu le plaisir de s'occuper de ton derrière. Au milieu de ses larmes, la demoiselle de 50 ans essaya d'amadouer sa soeur.

- non, Sophie, pardon… plus la fessée, s'il te plaît ça brûle trop.

Sophie souriait.

- je le sais ma petite chérie, figure toi que c'est même fait pour ça la fessée. Relève ta nuisette et viens me montrer tes fesses.

Daisy s'exécuta en reniflant, elle se tourna devant sa soeur et après avoir retroussé sa chemise de nuit, elle se pencha un peu en avant pour présenter ses fesses à Sophie. Celle-ci les caressa, glissant même sa main entre les fesses et descendit entre les cuisses. Elle nous jeta un sourire coquin.

- ces jolies fesses sont en parfait état pour la suite, la nature t'a bien pourvue ma chérie. Avec une paire de fesses pareille ce n'est pas seulement deux fessées qu'il te faudrait. Tu tiens ta nuisette bien retroussée que l'on voient bien tes jolies fesses et tu vas chercher la brosse à cheveux.

Daisy soupira mais elle s'exécuta sans plus protester. Les méthodes éducatives de Sophie étaient sévères mais très efficace. J'étais aux anges, j'allais pouvoir m'occuper à mon tour de ce magnifique fessier fait pour recevoir la fessée. Quelques instants plus tard, Daisy était couchée comme une gamine sur mes genoux, Elisabeth l'avait bien soignée, ses fesses étaient brûlantes. Je savais par expérience  qu'une deuxième fessée déculottée, administrée immédiatement après une première bien cuisante est moins douloureuse car la peau des fesses est habituée, pour être vraiment sévère et efficace, il faut attendre quelques temps entre deux fessées. Mais Sophie l'avait décidé ainsi, je soupesai la brosse à cheveux, elle était lourde et large, c'était un instrument réservé à la punition et pas au coiffage des cheveux. Je basculai Daisy un peu plus vers l'avant afin que ses pieds décolle du sol, c'est une position humiliante car la punie se sent vraiment à ta merci. Je tapotais doucement le derrière tendu pour l'avertir de l'imminence du châtiment puis brusquement j'ai déclenché l'avalanche sur ce large fessier. Immédiatement Daisy se mit à hurler, il faut dire que je claquais très fort, je voulais qu'elle se rappelle de sa tatie Julie.


 

Daisy nous gratifia d'une magnifique danse des fesses, la fessée fut courte mais magistrale. Le rouge était encore plus foncé avec des petites traces bleutées sur la partie la plus charnue des fesses. Je la fit se relever.

- j'espère que tu ne désobéiras plus maintenant. Va montrer tes fesses à Sophie !

En sanglotant la demoiselle écossaise, présenta à nouveau ses fesses nues à sa soeur. Elle n'avait plus 50 ans à cet instant, c'était une adolescente honteuse qui montrait le résultat de sa punition à sa maman. Sophie était très satisfaite du résultat, elle caressait les fesses bien rouges en souriant.

- voilà un derrière bien puni. Va te mettre au coin à côté de tes deux camarades qu'on puissent comparer la couleur.

Évidemment les fesses de Daisy étaient d'un rouge beaucoup plus foncé que celles de Sandra et Hubert, elle avait reçu une fessée supplémentaire. Je pense que les deux autres puni eurent peur un instant de subir le même châtiment. Mais il fallait être juste, je claquai dans les mains.

- bon c'est très bien vos petits derrières sont bien chauds, maintenant tout le monde au dodo et sans discuter. On vient vous border dans 5'. Je ne veux aucun bruit sinon c'est un nouveau séjour sur mes genoux. Vous restez fesses à l'air jusqu'à ce que vous soyez dans votre chambre.

Je n'avais pas envie de nous priver du spectacle de ces trois jolies paire de fesses bien rouges se dandinant au rythme de la marche. Nous les vîmes disparaître dans l'escalier. Elisabeth souriait, Sophie nous avait fait un bien joli cadeau en nous confiant les belles fesses de sa soeur.

- voilà qui termine bien la journée, nos trois petits derrières vont bien dormir croyez moi.



Sophie riait de bon coeur.

- ça c'est sûr. Merci ma chère Julie de m'avoir permis de fesser Hubert, il a vraiment un bon derrière fait pour la fessée, ça change des fesses de Daisy, c'est assez agréable finalement de corriger un monsieur déculotté.

Elle avait une lueur coquine dans les yeux, je pensai secrètement qu'il ne serait pas étonnant que le lendemain Hubert fasse à nouveau un séjour sur les genoux de la demoiselle écossaise.

Il était temps maintenant d'aller vérifier si nos punis avaient bien suivi nos consignes puis les border après leur avoir fait un bisou. Ce fut fait et à 9h30 ils étaient dans le noir couché sur le ventre….

Il était temps de redescendre au salon afin de discuter des bienfaits de la fessée pour les adultes.

Je regardais à nouveau le magnifique fessier d’Elisabeth, ma main me démangeait de plus en plus, mon regard croisa celui de Sophie. Il me semblait qu’elle avait la même idée que moi.



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