mercredi 18 janvier 2023

A 70 ans il n'est pas trop tard. Derniers jours 3

 Voici l'épilogue de ce long récit écrit à deux mains avec mon amie Agnès. Celle-ci rédige en anglais que je traduis  ensuite et adapte. Ceci explique quelques tournures de phrase.  Cela vous permet donc de voir les parties écrites par Agnès et celle de Sylvie. 

Je pense que nous aurons d'autres collaborations avec Agnès. 

Bonne lecture. 


La fessée de Clara 




Clara voulait y aller aussi, mais Agnès et Paola  lui ont dit en même temps qu'elle devrait rester un peu plus longtemps, elle voulait lui parler de quelque chose.

Les yeux de Clara devinrent ronds comme des billes et elle dut se mordre la lèvre pour ne pas dire quelque chose quelle pourrait regretter. Elle jeta un bref coup d'œil au buffet sur lequel reposait le vieux Martinet. Elle se doutait un peu qu’il pourrait servir.

Paola et Agnès remarquèrent aussi le regard et se firent un clin d'œil. Le médecin avait manifestement compris ce qui risquait de lui arriver. Et comme elle n'opposait pas la moindre résistance, ce qu'elles prévoyaient pour elle semblait parfaitement normal et justifié.

Agnès était satisfaite de la tournure des événements elle s’adressa à Paola

- je vais voir Sylvie pour lui dire au revoir et lui souhaiter bonne nuit. Ce serait bien si tu pouvais préparer Clara à notre petite discussion.

La jeune médecin a alors raté l’occasion d'échapper à la catastrophe imminente et c'était sans doute sa dernière chance, car Agnès a disparu et Paola s'est tournée vers elle, Clara la regardait comme un lapin hypnotisé regarde un serpent.

Paola se dirigea vers le buffet et pris le martinet, elle caressait les lanières, Clara avait les joues rouges.

- alors ma chérie, tu n’as jamais goûté au martinet, tu as vu qu’il fait des merveilles sur les derrières des dames jeune ou moins jeune. Comme tu nous a dit qu’il t’arrivait de donner la fessée à tes patientes, je pense que tu devrais en avoir un à ton cabinet.

Clara fut un peu rassurée, Paola s’adressait à elle en tant que fesseuse et pas en tant que punie.

- oh tu sais je n’ai donné la fessée qu’une fois, c’était à Ophélie.

- et tu ne penses pas que de temps en temps, l’une ou l’autre de tes patientes n’auraient pas besoin de goûter au martinet ?

- euh… oui, peut être.



Clara repensait soudain aux jolies fesses d’Ophélie et au plaisir qu’elle avait pris à lui donner la fessée. Paola remarquait les hésitations de la jeune femme, elle insista.

- je pense que dans ton métier il est nécessaire de faire preuve d’autorité, je peux te dire où acheter un bon martinet.

- oui tu as raison Paola, je vais en acheter un.

- par contre tu sais que pour bien punir, il faut connaître les effets de la punition que l’on administre.

Paola rougit à nouveau violemment, elle sentait le piège se refermer.

- euh, oui, que veux tu dire ?

- oh c’est simple, il faut que tes fesses goûtent au martinet pour que tu puisse l’utiliser à bon escient.

- tu, tu... en es vraiment sûr.

Les fesses de Clara s’étaient contractées sous sa culotte, elle repensait avec horreur au souvenir de la brûlure de la fessée à la brosse de sa mère. Le martinet avait l’air encore plus douloureux.

- j’en suis certaine ma chérie.

Paola souriait toujours, elle s’était approchée très près de Clara, les lanières pendaient presque sous son nez. Clara ne répondait pas, elle baissa la tête, Paola lui mit le manche du martinet sous le menton pour la forcer à la regarder.

- Agnès et d'accord avec moi, tes fesses ont besoin du martinet. Mais tu le sais avant une bonne fessée avec un instrument il faut échauffer les fesses. Je vais donc m'en charger avant que notre chère Agnès ne revienne. Tu vas venir te coucher sur mes genoux ma petite Clara, je vais m'occuper de ton petit derrière.

Elle s'était assise sur une chaise et avait posé le martinet sur la table. Clara ne cessait de regarder ce redoutable instrument de punition mais elle s'approcha. Sans quitter du regard la jeune femme, Paola lui prit la main et la força à se coucher en travers de ses cuisses. Clara ne protesta pas, elle semblait résignée. Paola retroussa rapidement la jupe de la jeune femme, elle portait des bas et une jolie culotte blanche en dentelle, elle avait mis une tenue sexy pour ce repas, elle ne pensait pas qu’elle finirait la soirée couchée sur les genoux d’une dame la jupe retroussée. Clara était ronde, ses fesses étaient bien rebondies et assez larges, elles étaient bien tendues par la position et la culotte rentrait dans la raie fessière, la base des fesses étaient déjà bien visible. Paola appréciait de découvrir une nouvelle paire de fesses et celle de Clara était vraiment appétissante.





Elle caressa doucement la croupe si bien présentée, Clara était morte de honte, sa tête touchait presque le sol, ses pieds étaient décollés, elle savait que Paola avait une vue parfaite sur son anatomie postérieure. Elle trouvait qu'elle avait des fesses un peu trop grosse mais ce n'était pas l'avis de sa fesseuse, une bonne paire de fesses c'est plus agréable. Soudain la fessée commença, Paola claquait lentement et pas trop fort alternativement sur chaque fesse. La dernière fessée de Clara remontait à plus de 10 ans elle était encore adolescente, elle n'avait jamais reçu de fessée à l'âge adulte, une chaleur commença à envahir son derrière, puis Paola augmenta progressivement la force des claques, la chaleur augmentait et une douleur apparu, les souvenirs des fessées maternelles revinrent à Clara. La fessée cessa et Clara sentit avec horreur les doigts de Paola se glisser dans sa culotte et celle-ci descendre sur ses fesses. Elle fit un geste avec ses mains pour empêcher la culotte de quitter ses fesses mais Paola la rappela sévèrement à l'ordre.

- enlève tes mains immédiatement !

Deux claques sur l'arrière de ses cuisses lui firent comprendre qu'il fallait obéir. Paola baissa la culotte jusqu'aux genoux. Le beau derrière de Clara était maintenant parfaitement exposé, il était un peu rosé par la fessée d'échauffement, Paola le caressa à nouveau.

- ces jolies fesses ne sont pas assez échauffées pour recevoir le martinet.

Elle leva la main et commença à claquer les fesses, c'était maintenant une vraie bonne fessée déculottée que recevait Clara et elle se mit à gémir et à tortiller ses fesses comme une gamine punie par sa maman, Paola se régalait du spectacle de ces fesses qui s'ouvraient et se serraient au rythme des claques. 



Toute la surface du fessier était maintenant rouge, Paola claquait sévèrement mais sans brutalité, Clara se mit à pleurer signe que l'échauffement était terminé. C'est à ce moment là que Agnès revint dans la pièce. Elle sourit en voyant le spectacle ravissant de Clara allongée sur les genoux de Paola, la culotte baissée et les fesses bien rouges. Elle avait remarqué quand la jeune femme était arrivée qu'elle avait un joli derrière mais le voir mis à nu et si bien présenté avec ce rouge éclatant, c'était vraiment un régal pour une fesseuse. Paola leva les yeux et cessa la fessée.

- ça c'est bien passé avec Sylvie ? Je crois que cette demoiselle à les fesses à point pour la fessée au martinet.

- oui, je te raconterai pour Sylvie. En effet ce derrière bien rouge m'a l'air bien préparé.

Paola fit relever Clara, elle avait les joues aussi rouges que ses fesses et les larmes aux yeux. Elle regarda à nouveau le martinet posé sur la table.

- s'il vous plaît Agnès, pas le martinet, j'ai déjà été bien punie, mes fesses sont brûlantes.

Agnès se mit à rire.

- mais ma petite Clara, ce n'était rien qu'une petite mais nécessaire fessée d'échauffement, Paola te l'a bien expliqué, il faut que tes fesses goûtent au martinet, c'est pour ça qu'elle s'est bien occupée d'elles, maintenant ton petit derrière est prêt. Allez en position, comme Sylvie et Séverine, vite !!

Clara en gémissant se dirigea vers la table.

Elle avait totalement oublié son statut de médecin. Le fait que les deux dames n'aient pas le droit de la traiter de cette façon ne lui vint pas à l'esprit. Elle n'était plus qu'une punie maintenant, ses fesses déjà brûlantes étaient sur le point de recevoir la partie la plus importante de sa punition méritée depuis si longtemps.

Agnès et Paola échangèrent un regard, elles convinrent sans un mot que ce serait Agnès qui manierait le martinet. Paola passa derrière la table pendant qu'Agnès prenait le martinet.

Clara était arrivée près de la table en pleurant doucement, elle ne savait pas ce qu'on attendait d'elle maintenant.



Paola lui sourit de l'autre côté de la table, se pencha un peu en avant et lui tendit les deux mains.

Ce geste était clair, Clara se pencha également en avant et donna ses mains à Paola. Celle-ci ne les a pas prise mais lui a saisis les poignets. Clara fit automatiquement la même chose, un ingénieur aurait appelé cela une connexion par friction.

Maintenant, Paola tirait la jeune médecin vers elle, de telle sorte que Clara dut s'allonger sur la table avec le haut de son corps. Elle n'arrêtait pas de regarder droit dans les yeux Paola. Elle se souvenait sûrement que dans une telle situation, vous n'aviez pas le droit de baisser les yeux.

Paola ne pu s'en empêcher, elle se pencha et embrassa Clara sur le front. Puis lui dit

- maintenant tu peux demander à Madame Agnès de te donner le reste de ta punition!

Les yeux de Clara s'écarquillèrent pendant une fraction de seconde, mais elle ne rougit même pas et d'une voix tremblante, elle demanda docilement ce que Paola lui avait demandé de faire.

Agnès sourit à Paola et répondit un peu malicieusement

- avec plaisir, ma chérie. Tends courageusement tes jolies fesses pour que le Martinet vois combien tu attends sa caresse.

Clara était extrêmement obéissante, elle tendit ses fesses même si elles se crispaient de peur.

Quel spectacle envoûtant, Agnès laissa les lanières de cuir caresser les deux globes offerts. Elle rayonnait en regardant Paola. Quelle belle façon de terminer sa visite. Son train n'était pas prévu avant deux heures. Elle avait déjà fait ses bagages dans l'après-midi. Elles avaient donc encore assez de temps pour s'occuper soigneusement et complètement des fesses de Clara.

Paola lui sourit et hocha la tête,  Agnès se concentra à nouveau sur le derrière de Clara, la détermination était visible sur son visage alors qu'elle balançait les lanières du Martinet entre les doigts de sa main gauche. Puis elles se sont ensuite envolées vers le haut, avant d’être projetées vers le bas rapidement où elles ont atterri avec le claquement typique d'un martinet.



Clara se cabra, les lanières de cuir brûlaient comme l'enfer sur sa peau déjà endolorie. Elle poussa un cri aigu et désespéré et serra encore plus fort les poignets de Paola, qui eut du mal à résister à la traction vers l’avant.

Les deux pieds se levèrent, voulant empêcher les lanières  de cingler à nouveau les fesses. Mais Agnès réagi immédiatement de manière appropriée, Clara ne portait plus ses talons hauts, le martinet a donc frappé la plante des pieds, qui n'était recouverte que par les bas. Il était inutile de parler, Clara compris immédiatement qu’il ne fallait plus lever les jambes aussi haut. Elle a crié et ses jambes sont redescendues, ses orteils revinrent sur le sol.

Ça n’a pas duré longtemps,  Clara se remit à battre des jambes furieusement, mais au moins les pieds avaient appris leur leçon et ne dépassaient pas une hauteur où ils auraient pu interférer avec les lanières de cuir.

Ni l'une ni l'autre n'aurait pu dire ensuite combien de fois le martinet avait cinglé les fesses. En tout cas, les coups de pied désordonnés avaient été rejoints par des mouvements non moins sauvages de tout le bas du corps.  Non, c'était clair, les fesses n'aimaient pas du tout le martinet, elles voulaient le fuir, mais bien sûr, elles sont restées en place tendues vers le martinet.

Clara hurlait maintenant, Agnès leva les yeux et les  deux dames se sourirent. C'était clair maintenant le docteur Clara Braisejoue n'oublierait jamais ce traitement.

Bien sûr, Agnès n'avait pas épargné les cuisses pour accompagner les furieux  coups de pied.

Paola fit signe à Agnès que cela suffisait et Agnès hocha la tête en signe d'accord.

Paola retint encore un peu les poignets tandis qu'Agnès se débarrassait du martinet et allait chercher la pommade. A son retour, Paola lâcha les poignets de Clara. Elle riait,

- ne devrions-nous pas la laisser frotter son popotin pour cette fois ? Je suis sûre que ça va être super mignon !

Agnès sourit et ne contredit pas son amie.

- je suis d'accord, Paola, vous pouvez dire à Clara qu'elle a le droit pour cette fois de se frotter les fesses !

Elles regardèrent Clara amusée, mais un peu émue également, alors qu'elle était occupée à se frotter et à masser ses fesses et ses cuisses. La petite fille, correctement punie, n'arrêtait pas de crier

- Merci ! Merci ! Merci !

 Elle ne pouvait pas s'en empêcher, mais de toute façon, ce n'était pas le moment de s'inquiéter d'une quelconque dignité.  Elle réalisa rapidement,  ce qu'elle avait toujours su, que le frottement ne pouvait pas faire grand-chose contre une brûlure aussi intense.

Mais elle ne pouvait toujours pas arrêter de se frotter. Ce n'est que lorsque Agnès, qui était juste à côté d'elle, lui écarta doucement les mains et lui annonça qu'elle allait maintenant appliquer une pommade apaisante sur son pauvre derrière, que les mains quittèrent  les fesses brûlantes.

Agnès appliquait doucement la pommade et c'était plus efficace que le frottement des mains. Clara sanglotait toujours, mais ses fesses se tortillaient pour aller au devant de la main qui les caressaient.

Et quand Agnès eut fini de se laver les mains, même les sanglots s'étaient arrêtés.

Paola pensait que malheureusement elle  n'avait plus le temps de faire un séjour dans le coin.

Agnès a insisté, elle a dit que c'était nécessaire de toute façon et qu'elle était sûre que Clara ne tricherait pas. Clara devait se tenir dans le coin comme il convenait jusqu'à ce que l'horloge du clocher de l'église sonne dix heures dans environ 25 minutes.



Clara le promit solennellement puis, en partant, remercia Agnès de la peine qu'elle avait prise pour lui faire découvrir le martinet.

Ensuite, les deux amies ont attrapé les bagages et Agnès lança "Auf Wiedersehen!" Et sur ce, ils quittèrent la chambre et la maison. Et bientôt Clara entendit un moteur démarrer.

Maintenant Clara était seule face au mur, elle avait posé ses mains sur sa tête. Ses fesses étaient toujours brûlantes, elles les serraient et les ouvraient pour essayer d'atténuer la brûlure sans grand succès d’ailleurs, elle aurait bien aimé frotter ses fesses mais elle avait promis à Agnès de ne pas bouger jusqu'à la sonnerie du clocher et elle obéissait.

Elle repensait à cette soirée où elle avait changé de statut, elle était arrivée comme une jeune médecin habillée de façon sexy, admirant les fesses bien rouges des dames punies et elle l'avait fini couchée sur les genoux de Paola la culotte baissée puis Agnès lui avait administrée une sévère fessée au martinet et maintenant elle exposait face au mur ses fesses nues et bien rouges.

La cloche sonna enfin, elle remonta sa culotte en grimaçant quand celle-ci passa sur ses fesses douloureuses. Elle remis sa jupe en place et contempla le martinet posé sur la table. Quelque chose lui disait qu'il caresserait certainement ses fesses bientôt.

Certes, Agnès n'avait rien dit de tel, mais progressivement la certitude s'éleva en elle que Paola n'avait pas seulement hérité de l'autorité éducative sur Sylvie. Sans aucun doute cette autorité s’étendrait à elle également. Intérieurement, elle pria pour qu'au moins Ophélie ne soit pas responsable d'elle. En effet ça serait quand même gênant de passer un moment cuisant sur les genoux d'une adolescente qui n'avait pas si longtemps été fessée par elle dans son bureau.



⧫ ⧫ ⧫

Le train de nuit était plutôt vide. Agnès avait un compartiment de six places pour elle toute seule. Sur la petite table devant elle se trouvait cette petite pochette en cuir, sur laquelle était imprimé : 

« Martinet, l'outil traditionnel de l'éducation stricte ».

C'était le cadeau que Paola lui avait offert sur le quai de la gare. Agnès souriait de contentement, elle savait déjà où cela lui serait utile dans son pays natal.

La porte du compartiment fut poussée brutalement et une contrôleuse assez âgée et un peu trapue est entrée. Sans même saluer, elle lança d’un ton agressif,  "Le ticket !"

Agnès lui lança un regard de reproche et lui répondit avec une amabilité exagérée

- je vous souhaite une bonne soirée, Madame. La contrôleuse surprise était sur le point de jurer quand ses yeux tombèrent sur le sac posé sur la table. Ses yeux s'écarquillèrent et une petite rougeur apparut sur ses joues. Elle appuya involontairement une main sur l'une de ses généreuses fesses, Agnès dut se forcer pour ne pas sourire.

Elle tendit son billet, la contrôleuse ne le regarda même pas, elle baissa les yeux et bégaya,

-oh désolé, Madame!

Son regard était irrémédiablement ramené vers la pochette et son inscription.

- et bien, ma chérie, on verra si je peux te pardonner. Quand tu auras fini ta tournée, reviens me voir. Peut-être alors pourras-tu te résoudre à dire un bonjour correct, et si ce n'est pas beaucoup demander, j’aimerais aussi que tu soies un peu plus respectueuse.

Le visage de la contrôleuse avait viré au rouge vif.

- oui, Madame ! Oui, bien sûr. Je reviendrai ! Oui, je serez respectueuse. Je vous le promets !

Elle jeta un autre coup d'œil au sac et il était clair qu'elle voulait dire autre chose. Mais elle n'osa pas et se dépêcha de sortir du compartiment.

Agnès étudia les grosses fesses, serrées dans un pantalon d'uniforme un peu trop étroit, jusqu'à ce que la porte coulissante se referme.

Elle se leva et ferma les stores des deux fenêtres du couloir et de la porte. Son regard tomba sur la porte et elle vit que le compartiment pouvait être verrouillé de l'intérieur.

Satisfaite, elle se rassit. Puis elle sortit le tout nouveau martinet de la pochette en cuir.

C'était vraiment une surprise, elle ne pensait pas qu’il lui serait utile si tôt.



Mais c'est une autre histoire.

Fin

1 commentaire:

  1. quelle belle histoire c'était. Tante Paola avait maintenant un autre fessier à sa disposition. Agnès et continue avec sa nature dominante

    Chinmay

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