La fessée de Sylvie et Séverine
Alors que les filles s'inquiétaient d'une fessée supplémentaire, les craintes de Sylvie se concentraient sur le spectacle qu'elle présenterait à ses amies. Elle se souvint de ce que Agnès lui avait dit : "Invitez ceux dont vous aurez le plus honte !"
Elle pleura doucement pour elle-même. Comme ses mains étaient pratiquement soudées à sa tête, elle ne pouvait pas les utiliser pour essuyer ses larmes. Alors elles coulaient sur ses joues, se rassemblaient au bas du menton, et de là coulaient sur son chemisier. La tache sombre qui ne cessait de grandir sur sa poitrine était une autre source d'embarras.
Comment pourrait elle regarder ses amis dans les yeux ? Et comment devrait elle les saluer ? Elle aurait voulu s'enfoncer dans le sol de honte. Mais le sol ne le permettait pas.
Agnès apporta la théière sur un plateau d'argent. Elle vit le regard ardent de Paola se poser sur les trois derrières
- c’est parfait, n'est-ce pas ?
Paola se tourna vers elle. Un peu de tristesse traversa son visage.
- est-ce que tu dois vraiment déjà partir, ma chérie ? Tu ne peux pas imaginer à quel point j'apprécie quand nous éduquons et punissons ensemble !
Agnès commença à répondre, mais la sonnette retentit, suivie d'un trio de gémissements.
- silence
dit elle sévèrement, puis elle se précipita vers la porte d'entrée.
Brigitte et sa fille Séverine se tenaient devant la porte, Agnès se présenta immédiatement. Bien que les deux connaissaient l'existence d'Agnès grâce à la lettre d'invitation, elles ne s'étaient jamais rencontrés. Brigitte s'est présentée en premier puis a présenté Séverine.
Agnès avait trouvé quelque peu étrange que cette femme de 35 ans ne se présente pas seule. Puis, réalisant le ton larmoyant avec lequel cette jeune femme l'avait saluée et en y regardant de plus près, elle se rendit compte qu'elle semblait avoir pleuré il y a peu de temps. Sylvie n'avait-elle pas mentionné une fois qu'elle se doutait que sa belle-sœur couchait encore de temps en temps sa fille sur ses genoux, d'après la voix et les yeux, Agnès était presque certaine que cela s'était produit récemment.
- et bien !
Brigitte venait de voir l'œuvre d'art, les trois fessiers rouges alignés, elle ri puis ajouta que cela pouvait encore être embelli. Elle ordonna à sa fille de se déculotter rapidement pour montrer ses fesses et de se placer à côté des trois beautés.
Les yeux de cette dame de 35 ans se sont agrandis sous le choc et son visage est devenu rouge vif, elle gémit,
- mais maman, s'il te plaît...
Mais comme sa mère ne s'est pas contentée d'ignorer sa supplication et qu’elle s'est tournée pour saluer Paola, Séverine a fait ce qu'on lui avait dit et le tableau a été rehaussé par deux jolies fesses rouges.
Agnès l’a rapidement aidée avec des pinces à linge pour fixer l'ourlet de la jupe de Séverine comme les trois autres. Inutile de dire que, comme tout le monde, Séverine avait mis ses mains sur sa tête.. Et elle regardait le mur comme les autres, personne n'osait regarder sa nouvelle voisine ni lui chuchoter quoi que ce soit.
En revanche, les trois dames parlaient avec animation, mais sans se soucier des trois derrières fessés. Agnès versa une délicieuse crème de xérès et tendit à chacune un verre. Les quatre femmes ou filles devant le mur entendaient les verres tinter alors qu'elles trinquaient.
Puis la sonnette retentit à nouveau. Cette fois, Paola ouvrit la porte et Clara apparu, c'était la jeune médecin qui avait repris le cabinet et les patients de Sylvie il y a quelque temps. Quand elle vit les quatre derrières rouges, elle hésita un instant. Puis, elle souri et ajouta
- oh quelle jolie décoration !
Elle se dirigea droit vers la rangée et passa sa main sur une fesse après l'autre et dans un sourire elle ajouta
- je pense que médicalement, il n'y a rien de mal à ça !
Elle prit également un verre de sherry. Elle le sirota et voulut savoir si on était au complet. Mais au même instant la sonnette retentit à nouveau.
- c’est Ophélie
dit Agnès et elle se dirigea vers la porte, pendant ce temps, Paola expliquait qui était Ophélie, les trois derrières se sont serrés de peur, car leurs propriétaires savaient déjà qui était Ophélie et quelles tâches elle était sensée assumées.
En entrant dans la pièce, Ophélie salua gentiment les dames. Ses yeux balayèrent brièvement les quatre derrières rouges. Puis elle s'est tournée vers les dames, Il n'y en avait qu'une parmi elles qu'elle ne connaissait pas déjà. Le cabinet de Clara n'était qu'à quelques mètres de sa boutique de glace, et elle était une patiente de Clara.
Restait Brigitte, qui lui fut présentée par Agnès, et avec cela le secret de la quatrième paire de fesse rouge lui fut révélé, car Agnès lui expliqua que Séverine était la fille de la personne qu'on venait de lui présenter.
- est-ce que je suis en retard ?
demanda Ophélie en désignant l'ensemble des derrières rouges.
Agnès éclata de rire. Bien sûr, elle savait que ce n'était qu'une blague. Néanmoins, une explication lui a été donnée, assurant à Ophélie que les quatre "filles" n'avaient pas été fessées spécifiquement pour créer l'œuvre d'art. A l'exception de Sylvie, elles étaient toutes arrivées avec les fesses rouges. Elle ajouta
- mais qui sait ? Peut-être qu'il y aura quelque chose à faire pour toi plus tard, pour l'instant tu devrais te sentir comme une invitée !
Paola était entre-temps allée chercher un autre verre de xérès et le tendit à Ophélie.
Il y eut un autre toast et une petite conversation plutôt hors de propos.
Cinq autres minutes passèrent, les bras des quatre qui se tenaient devant le mur, les fesses nues, devenaient de plus en plus lourds.
Agnès invita tout le monde à s'asseoir pour dîner.
- bien sûr, c'est dommage que l'œuvre d'art doive maintenant être détruite puisque Sylvie et les filles vont nous servir le repas ! Mais nous avons quand même l’intention de toujours voir vos fesses rouges. Alors vous enlevez complètement vos culottes et les pinces à linge restent là où elles sont !
Laetitia, Virginie et Sylvie obéirent immédiatement et disparurent en direction de la cuisine. Seule Séverine continuait à exposer ses fesses, elle fut priée par sa mère de faire comme les autres et d'aller dans la cuisine pour les aider à servir. Elle enleva donc sa culotte et se précipita hors de la salle à manger, les joues écarlates de honte.
- Il y a un martinet dans la maison, n'est-ce pas ?
Brigitte voulait savoir.
- oui, c'est même l'ancien martinet , de la grand-mère à Sylvie, celui qu'elle utilisait pour punir Sylvie il y a très longtemps. Pourquoi demandez-vous celà ?
demanda Agnès.
- eh bien, j'ai toujours voulu que Séverine fasse l'expérience d'un tel instrument traditionnel français. Et je pense que c'est une bonne opportunité aujourd'hui !
fut la réponse de Brigitte. Agnès lui annonça
- d'ailleurs je vais administrer la punition d'adieu de Sylvie avec ce martinet Sylvie tout à l'heure
Paola fit remarquer qu'elle avait le même instrument dans sa maison
également et que Brigitte pourrait en profiter.
- parce que ça fait toujours plaisir de voir deux derrières punis en même temps.
Quand le repas fut servi, Paola ordonna à Laetitia d'aller chercher le Martinet à la maison.
La jeune fille se mit immédiatement à gémir
- oh, s'il vous plaît, ma tante ...
Paola fit signe aux autres afin qu'elles ne lui disent pas que le martinet ne lui était pas destiné cette fois.
Laetitia se précipita, s'attendant à sentir bientôt ce terrible instrument sur ses fesses déjà douloureuses. Les dames et Ophélie ont souri et ont regardé attentivement ses fesses jusqu'à ce qu'elles disparaissent par la porte-fenêtre.
- tu es perverse, Paola,
sourit Brigitte. Mais Paola lui répondit en souriant.
- je ne voulais pas promettre à cette petite qu'elle ne sentirait pas le martinet ce soir. On ne sait pas exactement ce que la soirée nous réserve.
Brigitte acquiesça en souriant. Les trois punies faisaient le service, c’était un régal de voir ces trois paires de fesses bien rouges bouger au rythme de la marche. Les cinq convives se régalaient du spectacle, de temps te temps l’une ou l’autre caressait une fesse qui passait à sa portée.
Laetitia revint avec le martinet, elle était essoufflée, elle avait du courir pour traverser la rue car elle n’avait pas envie que quelqu’un la voie dans cette tenue, sans culotte et les fesses exposées par la jupe retroussée.
Clara regarda cet instrument d’un air intéressé.
- à c’est donc ça un martinet ?
Agnès la regarda en souriant.
- tu n’avais jamais vu un martinet Clara ? il n’y en avait pas chez toi ? comment faisait ta maman quand tu faisais des bêtises?
Clara rougit et baissa les yeux, même si elle avait fait la maligne en arrivant, elle était un peu impressionnée par la conversation des quatre autres convives. Bien sûr comme tout le monde elle avait reçu la fessée quand elle était jeune fille et elle appréciait le spectacle de ces fesses rouges qui défilaient devant ses yeux mais le regard perçant d’Agnès la mettait un peu mal à l’aise. Comme à son habitude Agnès lui souleva le menton avec un doigt pour la forcer à la regarder. Clara bredouilla
- euh, c’est à dire... ma mère n’utilisait que sa main ou quelque fois une brosse à cheveux.
Le regard d'Agnès la transperçait, ses joues étaient presqu'aussi rouges que les fesses de Laetitia qui tendait le martinet à Brigitte.
- c'est bien dommage que tu n'y ais pas goûté, depuis que je l'utilise sur les fesses de Sylvie elle est devenue très mignonne. Mais la fessée à la brosse à cheveux est également très efficace. Bien sûr tu as vu qu'il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée déculottée. Clara était de plus en plus mal à l'aise elle essaya de diriger la conversation vers quelqu'un d'autre.
- oh bien sûr, d'ailleurs il m'est déjà arrivée de donner la fessée à une patiente, n'est ce pas Ophélie?
La jeune vendeuse rougit violemment et Paola repris la phrase au bond.
- à oui, notre petite Ophélie t'a présenté son petit derrière ? Qui nous raconte ça, Ophélie ou Clara ?
Les trois maîtresses étaient soudain très intéressées.
Clara souriait maintenant, ravie que ses propres punitions ne soit plus au centre de la conversation.
- je pense que Ophélie s'en souvient très bien, elle pourrait vous raconter.
Ophélie regarda les trois dames souriantes, mais leur regard sévère ne lui laissait pas le choix, elle se mit à parler très vite.
- oui c'était il y a 2 ans, je suis venue consulter Clara avec ma maman et je n'avais pas fait les analyses qu'elle m'avait prescrite. Ma mère était furieuse, elle m'a dit que ce comportement infantile méritait une bonne fessée déculottée et pour me faire honte, elle a demandé au docteur de me la donner.
Paola était ravie, ainsi cette petite Ophélie recevait encore la fessée cul nu, c'est pour ça qu'elle avait beaucoup d'expérience comme baby-sitter.
- et alors Clara à été à la hauteur ? sa fessée t'as mis les fesses bien rouges j'espère ?
- oh ça oui. J'avais déjà reçu une bonne fessée quand j'étais jeune, devant le Dr Bouger mais en recevoir une par Clara elle même, c'était la honte totale, en plus d'avoir les fesses brûlantes.
Clara souriait maintenant, elle se rappelait très bien de la mignonne paire de fesses de Ophélie, elle se souvenait avoir pris beaucoup de plaisir à lui administrer cette fessée.
Le repas était maintenant fini, les quatre paires de fesses bien rouges avaient débarrassé la table. Agnès prit la parole.
- vous savez maintenant pourquoi je vous ai invitées, c'était pour fêter mon départ et également pour que vous soyez au courant de la nouvelle condition de notre petite Sylvie. Vous avez put constater qu'en une semaine son comportement s'est beaucoup amélioré, elle a compris la nécessité pour elle d'être conduite d'une main ferme. Mais même si elle a beaucoup changé, nous avons pensé en accord avec elle que Paola devrait continuer de la prendre en charge. Je vous annonce donc officiellement que Paola est là nouvelle tatie de Sylvie, à partir de ce soir, elle est en charge de son éducation.
Toutes les dames applaudirent, Sylvie écoutait sa nouvelle maman, les joues aussi rouges que ses fesses, elle avait fait des progrès en une semaine car elle n'avait pas baissé les yeux. Elle regarda aussi Paola qui lui souriait, elle savait malgré ce sourire que sa nouvelle tatie serait inflexible et que sa culotte serait souvent baissée et ses fesses très rouges et brûlantes. Agnès repris la parole.
- pour fêter mon départ et afin qu'elle n'oublie pas trop vite que je la surveille de loin, j'ai prévu d'administrer une fessée au martinet à Sylvie, elle va donc se préparer.
Mais je crois que Brigitte a quelque chose à ajouter. Brigitte se leva et regarda Séverine.
- oui, ma fille c'est très mal conduite aujourd'hui, elle a déjà reçu une bonne fessée, juste avant d'arriver mais je lui ai promis une fessée déculottée publique et comme elle n'a jamais goûté au martinet, je crois que c'est une bonne occasion. Séverine ! Va te mettre à côté de Sylvie et fait ce qu'Agnès te demande.
Séverine avait les larmes aux yeux, c'était déjà dur pour elle à 35 ans d'être sans culotte et les fesses bien exposées mais la fessée cul nu en public, c'était nouveau pour elle. Certes, sa mère ne se gênait pas pour lui baisser la culotte devant d'autres personnes, mais c'était toujours des amis ou de la famille. Cette fois-ci elle allait recevoir ce châtiment enfantin devant des inconnues. Sylvie s'était approchée de la table. Agnès s'adressa aux deux cousines.
- vous allez nous aider, Laetitia tu tiendras les mains de Sylvie et Virginie celle de Séverine.
Elle se tourna vers Brigitte.
- la fessée cul nu au martinet est assez douloureuse et Sylvie a du mal à ne pas poser ses mains sur ses fesses au cours de la fessée, je pense que ça sera pareil pour Séverine, Laetitia et Virginie vont les aider à recevoir leur punition sans bouger.
Sylvie sans qu’on lui dise s’était penchée sur la table et avait tendu ses bras en avant, Laetitia s'était empressée de lui prendre les mains. Ses larges fesses étaient encore rouges des fessées de l'après-midi, la position les faisaient se tendre vers l'arrière de façon très suggestives, on aurait dit qu'elle réclamaient le martinet. Agnès se tourna vers Séverine.
- allez ma petite, en position. Mettez vous comme Sylvie mais pas trop près d'elle que votre maman puisse bien manier le martinet.
Séverine habituée à obéir sans discuter, se mit en place, les fesses bien présentées. Virginie lui attrapa les mains. Les deux paires de fesses étaient bien exposées maintenant, les 4 dames pouvaient les admirer. Clara était ravie.
- quel joli tableau, encore une œuvre d'art. La fessée régulière entretient vraiment bien les fesses.
Brigitte avait le martinet de Paola à la main, elle caressait les lanières d'un air gourmand. Agnès prit le vieux martinet posé sur le meuble.
- je vais donner quelques coups de martinet à Sylvie pour vous montrer. Il faut vous reculer un peu et viser le centre des fesses, la partie la plus charnue au début ensuite nous nous occuperons des cuisses. Gardez le poignet souple pour que les lanières aient de la vitesse, ça claque mieux les fesses.
Brigitte écoutait attentivement, elle faisait claquer le martinet dans le vide pour faire bien le mouvement que Agnès venait de lui expliquer. Agnès fit glisser les lanières sur le fessier tendu.
- ma petite Sylvie tu vas dire bien fort pourquoi tu vas recevoir cette fessée au martinet sur tes fesses nues.
Sylvie hésita un instant, sa position était déjà très humiliante et dire à haute voix devant ses amies pourquoi elle allait être punie comme une gamine c’était encore pire. D’un rapide mouvement de poignet, Agnès cingla avec le martinet la croupe si bien présentée?
- vite !!
- euh, c’est parce que... aïe, aïe
Le martinet avait claqué deux fois
- pardon maman Agnès, oui je suis une vilaine fille et je ne dois pas oublier que si je ne m’améliore pas je recevrai souvent la fessée déculottée par maman Agnès et Tatie Paola.
- c’est bien, tu vas me demander ta punition.
C’était l’humiliation suprême, Agnès ne lui avait jamais demandé ça, mais c’était le dernier jour et peut être sa dernière fessée.
- s’il te plaît.... maman, peut tu me donner la fessée que j’ai bien méritée.
- mais avec plaisir ma chérie. Brigitte regarde les premiers coups, ensuite c’est à toi.
Elle se recula un peu et leva le martinet qui s’abattit avec un sifflement sur les fesses tendues. Sylvie poussa un cri, Laetitia lui tenait bien les mains elle ne pouvait pas bouger, elle tapa des pieds par terre, c’est tout ce qu’elle pouvait faire, le martinet claqua à nouveau les fesses, Sylvie se mit à gémir. Agnès s’arrêta et regarda Brigitte.
- à toi.
Séverine serrait les fesses de peur, elle ne pouvait pas bouger non plus. Brigitte lui annonça
- ma petite fille, depuis le temps que je te promets une fessée au martinet, aujourd’hui tu vas l’avoir et je suis contente que ces dames puissent voir tes fesses se tortiller et rougir sous la fessée, elles verront comment je traite les vilaines filles comme toi.
Agnès regardait les fesses serrées de Séverine.
- ma chérie, tu devrais écarter un peu les jambes et desserrer tes jolies fesses, sinon la fessée va te faire encore plus mal.
Brigitte avec le manche du martinet tapota l’intérieur des cuisses pour qu’elle les écarte. Puis elle regarda Agnès et lui fit un sourire et un petit signe, les deux martinets se levèrent et claquèrent en même temps les deux fessiers si bien présentés.
Un double cri retenti dans la pièce, les deux cousines tenaient bien les mains des punies, elle se mirent à trépigner sur place au rythme de la fessée. Les deux belles paires de fesses rougirent rapidement, au milieu des pleurs et des supplications. Agnès et Brigitte étaient concentrée sur leur travail, elle regardait de temps en temps les fesses de l’autre punie pour juger de l’efficacité de la correction. Les fesses étaient maintenant écarlates. Agnès fit un petit signe à Brigitte et cessa la fessée.
- les fesses ont une très jolie couleur, maintenant il faut compléter la punition en claquant les cuisses.
Sylvie et Séverine redoublèrent de pleurs en entendant cela, mais déjà les lanières cinglaient l’arrière des cuisses. Sylvie et Séverine exécutait une magnifique danse des fesses. Toutes les spectatrices étaient en admiration devant la dextérité des fesseuses et la couleur magnifique des deux croupes jumelles.
La fessée cessa, mais pas les pleurs des deux punies. Les cousines avaient relâché les mains mais Sylvie et Séverine restaient penchées sur la table les deux paires de fesses bien tendues s’ouvraient et se refermaient pour essayer d’atténuer la brûlure, elles savaient qu’elles ne pouvaient pas frotter leurs derrières brûlant.
Agnès alla vers le buffet et y posa le vieux martinet.
- laissez-les allongée sur la table et détendez-vous un peu. Laetitia, pourrais tu remplir nos verres s'il te plaît ?
Une conversation s'engagea entre Agnès et Brigitte sur la punition au martinet. Au même moment, Paola demanda à Ophélie de bien vouloir aller coucher ses nièces. Elle lui a précisé que cet après midi, elle leur avait promis à toutes les deux une fessée au coucher.
Laetitia et Virginie savaient que toute objection ne ferait qu'ajouter à la punition. Alors, sans un mot, elles laissèrent Ophélie les prendre par la main et les faire sortir de la maison.
Elles savaient qu'elles devaient être extrêmement obéissantes envers Ophélie car Paola lui avait laissé toute latitude quant au type et à l'étendue des punitions.
Il ne fallut que quelques minutes avant que les premiers cris ne se fassent entendre depuis la maison de Paola. De toute évidence, Ophélie avait réprimandé les deux en même temps. S'ensuivit un beau concert de pleurs et de lamentations, en deux parties séparées par quelques secondes, le temps que la deuxième punie prenne place sur les genoux de sa baby-sitter.
Agnès sourit.
- c'est vraiment bien que nous ayons pu recruter Ophélie comme gouvernante. Surtout que tu vas être responsable des trois filles à l'avenir, elle pourra bien te soulager.
Paola souri
- oui, et elle a vraiment une main très efficace, tu ne peux pas savoir à quel point les filles apprécient ça.
Agnès se mit à rire également. Mais ce n'était pas un rire méchant, juste une constatation de l’efficacité de la jeune femme.
Brigitte enleva les pinces à linge de la jupe de sa fille et la remis en place. Séverine, toujours sanglotante, n'osa pas demander si elle pouvait remettre sa culotte. Comme Brigitte n’en parlait pas, en fin de compte, cela signifiait qu'elle rentrerait chez elle sans culotte.
Sa mère a demandé à Paola où elle pouvait acheter un tel martinet. Paola lui a donné le sien en lui disant qu'elle s'en procurerait un nouveau le lendemain. Pour ce soir, il n’était certainement plus nécessaire, car Ophélie s'était visiblement suffisamment occupée des fesses de ses nièces.
La mère et la fille ont alors prit congé, Séverine fut chargée de porter le martinet.
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