jeudi 12 janvier 2023

A 70 ans il n'est pas trop tard. Derniers jours 1

La dernière partie du récit écrit à 2 mains avec mon amie Agnès. 

Sylvie change définitivement de statut elle sera confiée au bon soin de Paola, mais avant le départ d'Agnès une soirée est prévue. Les fesses vont rougir.

Ce récit  est un peu long, il sera publié en trois épisodes. 

Soyez patient….


Préparation de la soirée.



Le lendemain se passa presque harmonieusement, du moins chez Sylvie, aucune vraie punition ne fut nécessaire. Bien sûr, cela avait également supprimé la fessée du coucher et les fesses cuisantes dans le lit.  Néanmoins Agnès, en tant que mère de substitution devait s'assurer que tout ce passait bien, quelques rappels furent donc nécessaires et ceci à plusieurs reprises.  Mais cela se faisait de façon quasiment naturelle. Agnès n'avait qu'à dire le mot "avertissement" brièvement. Ni particulièrement fort ni sévèrement, et immédiatement Sylvie s'empressait d'exposer ses fesses de dame mûre mais encore appétissantes et bien fermes.  C'était toujours rapide, car la plupart des tenues qu'Agnès avait choisies pour Sylvie rendaient cela très facile, c'était soit des jupes larges mais courtes, soit des robes.  Parfois juste une blouse ou tout simplement un sarouel avec une ceinture élastique, et dessous on trouvait  des petites culottes en coton blanc facile à baisser. Lorsque les fesses étaient bien présentées, Sylvie devait se pencher en avant sans hésitation et si elle portait une jupe ou une robe, elle devait s'assurer que ses fesses restent bien exposées, puis elle devait tenir ses chevilles et bien tendre ses jambes, ainsi le derrière de Sylvie semblait inviter la main d'Agnès et une série de claques suivaient immédiatement. Bien qu'Agnès ait l'habitude de donner des claques très fortes, Sylvie avait appris à maintenir la position, et à ne pas lâcher ses chevilles, et si elle fléchissait un peu les genoux, elle les redressait rapidement.

Parfois c’était seulement cinq ou six claques d'avertissement qui étaient administrées.  Sylvie les supportaient alors sans rien dire, mais s'il y en avait plus et une douzaine n'était pas rare, Agnès souriait en entendant des  "Aïe" ou "Non pardon".



 Par contre, les choses semblaient être bien différentes dans la maison d'à côté.  Paola s'était rendu compte que son idée de donner à sa jeune nièce le pouvoir de punir l'aînée avait été une erreur.  Virginie était devenue hautaine et avait châtié plus pour son propre amusement que pour éduquer Laetitia.

C'est pourquoi elle avait déjà supprimé cette possibilité hier soir.  Le fait que Virginie ne veuille pas accepter cela si facilement avait conduit Paola à lui administrer une punition extrêmement sévère avec la canne récemment acquise. Mais lorsqu'elle avait constaté que Laetitia regardait ce châtiment avec une joie manifeste et une certaine malice dans le regard , elle avait décidé qu'à partir de maintenant elle administrerait toujours les châtiments de façon simultanée.



Ainsi, dès que que les cris de Virginie furent terminés, les gémissements de Laetitia s'étaient fait entendre jusque dans la maison voisine, la jubilation de la soeur aînée avait été rapidement refroidie

Agnès et Sylvie ne savaient pas qui avait commencé à poussé les cris ce matin.

Mais maintenant, c'était calme là-bas, parce que tous les trois avaient quittée  la maison.  Paola était allée à son bureau.  Laetitia à son apprentissage et Virginie à l'école.

Comme d'habitude, Virginie est revenue la première.  Agnès et Sylvie se regardèrent avec surprise lorsque les sons typiques d'une magistrale fessée leur parvinrent si tôt dans la journée.  Mais un coup d'œil vers la terrasse de la maison voisine leur permit de comprendre.  Paola avait manifestement réservé Ophélie, la jeune vendeuse du glacier, qui s'était occupée de Sylvie la veille au soir. A peine Virginie était elle debout, sanglotant le nez contre le mur, exposant ses fesses fraîchement fessées, que Laetitia rentra.  



De toute évidence, Ophélie avait été informée de la nouvelle règle des punitions collectives.  Car immédiatement le spectacle d'une autre fessée fut offert à Sylvie et Agnès.

Sylvie ne ressentait aucune sympathie pour les filles.  Ces punitions étaient sûrement bien méritées, tout comme les siennes avaient toujours été bien méritées.  Il ne lui serait jamais venu à l'esprit qu'Agnès ou Paola auraient pu agir injustement.  Elle s'en était rendu compte dans les conversations qu'elle avait eues avec Agnès pendant les mois précédant.

Mais si elle avait été complètement honnête avec elle-même, elle aurait trouvé un certain soulagement d'avoir des compagnes d'infortune, surtout que d'ici peu, après le départ d'Agnès, elle devrait assumer le statut de sœur, pour ainsi dire, car elle serait considérée et traitée comme la troisième nièce de Paola.

 Sinon, il n'y eu aucun contact avec la maison voisine, sauf un peu plus tard dans la soirée, les bruits de la rémanence du coucher avait retenti. Elles n'ont  pas pu déterminé si c'était Ophélie ou Paola qui l'avait administrée,  mais ce qui était certain, c'est que les deux filles avaient reçu une fessée magistrale.

Enfin le dernier jour arriva, Sylvie s'était réveillée tôt comme c'était l'habitude depuis cinq jours, par réflexe elle avait palpé ses fesses en passant sa main sous sa culotte, elles n'étaient ni chaudes ni sensibles, les rappels successifs administré d’une main ferme par Agnès n'avaient laissé aucune trace sur son fessier. Immédiatement elle pensa que c'était le dernier jour du séjour d'Agnès donc également le jour du repas avec ses amies où elle devrait leurs annoncer sa nouvelle condition, sa main était toujours posée sur ses fesses, elle les senti se serrer inconsciemment.

Il lui fallait se lever, tout retard au déjeuner était sanctionné par une fessée matinale. Elle se précipita dans la cuisine et prépara le petit déjeuner, elle avait juste fini quand elle entendit Agnès, elle baissa sa culotte de pyjama, mis ses mains sur la tête et attendit. Agnès était ravie du spectacle que lui offrait son amie tout les matins. C'était vraiment agréable au réveil d'avoir le superbe popotin de Sylvie exposé comme dans un écrin, entre le haut du pyjama retroussé sur les reins et la culotte descendue juste sous les fesses. C'était vraiment un régal, Agnès pensa avec un peu de nostalgie que c'était le dernier jour où elle allait pouvoir profiter de ces fesses. Elle décida de déroger à sa règle qui lui imposait de ne fesser Sylvie que si c'était nécessaire. Elle s'approcha de son amie et posa fermement sa main sur la croupe de sa fille.

- ma chérie, tes fesses sont bien froides, j'espère que tu ne vas pas tomber malade, viens un peu là.

Elle avait pris Sylvie par la main et s'était assise sur une chaise, en un instant celle-ci se retrouva couchée sur les genoux de sa nouvelle maman. Agnès baissa la culotte jusqu'aux genoux et elle sorti son thermomètre rectal de sa poche. Comme elle l'avait expliqué à Ophélie c'était son thermomètre personnel et il était beaucoup plus gros que celui de la maison de Sylvie. Elle écarta largement les deux fesses pour bien mettre à jour la petite rondelle brune. Bien qu'habituée à ces petits viols de son intimité, c'était toujours très humiliant pour Sylvie. A 70 ans elle se retrouvait fesses nues parfaitement présentées, elle était à nouveau une jeune fille sur les genoux de sa grand-mère, elle se concentra pour ne pas resserrer ses fesses, elle savait que la main d'Agnès claquerait sévèrement son derrière si elle ne se laissait pas faire. 



Elle sentit l'extrémité froide du thermomètre pénétrer doucement, le tube était beaucoup plus gros, c'était une petite surprise et il lui semblait qu'Agnès l'enfonçait vraiment profondément. Elle n'avait pas tort, en plus d'être plus gros, le thermomètre était beaucoup plus long et Agnès voulait vraiment que Sylvie le sente bien, elle y allait doucement, le ressortant un peu puis l'enfonçant encore plus profondément, Sylvie gémissait doucement, enfin après quelques minutes le thermomètre fut bien en place, il ne dépassait plus qu'un petit centimètre du tube en verre entre les deux fesses qu'Agnès avait relâché. Sylvie n'avait jamais ressenti une telle impression, c'était particulièrement honteux. Maintenant Agnès lui tapotait les fesses en riant.

- voilà ma petite Sylvie, il est bien en place, tes jolies petites fesses sont adorables, tu vas le garder un moment, je veux être sûr que tu n'es pas malade.

Elle se servi une tasse de café en se régalant du spectacle que lui offrait bien malgré elle sa petite Sylvie, elle adorait vraiment ses fesses, elle ne put empêcher son esprit de vagabonder, elles seraient quand même beaucoup plus mignonnes avec un peu de couleur. Sylvie trouvait le temps un peu long, c'était assez inconfortable, d'être ainsi, la tête près du sol, les fesses tendues vers le haut et ce thermomètre qu'elle sentait dans son intimité, de temps en temps, Agnès caressait son derrière et faisait légèrement coulisser l'instrument médical. 



Cette petite pénitence dura environ 10', Sylvie senti ses fesses être à nouveau écartées puis le thermomètre sortir lentement, c'était une impression un peu bizarre, Sylvie avait un peu honte, elle avait presque pris du plaisir. Mais ça ne dura que quelques secondes car Agnès avait posé le thermomètre sur la table.

- c'est bien tu n'as pas de fièvre ma petite chérie mais je crois qu'il faut que je réchauffe un peu les fesses, elles sont vraiment trop froides.

Elle leva la main et commença à claquer les fesses si bien présentées, ce n'était pas des claques très fortes, c'était une petite fessée pour réchauffer et donner des couleurs à ce derrière. Ce n'était donc pas vraiment une punition mais une preuve d'amour d'Agnès pour sa grande fille. Sylvie était habituée maintenant à montrer ses fesses et à recevoir ce châtiment enfantin, elle ne protesta pas, mais Agnès ne savait pas donner une petite fessée, quand elle avait une dame sur ses genoux, c'était toujours une bonne fessée. 



Bientôt la force des claques augmenta et son sens de l'esthétique la poussa à rougir de façon uniforme toute la surface du derrière ainsi que pour finir que le haut des cuisses. Sylvie avait gémi au début puis les aïe aïe aïe s'était succédé et enfin quelques sanglots qui indiquèrent à la maman que la fessée était suffisante.

- voilà ma chérie, un petit derrière bien chaud pour commencer la journée.

Agnès avait fait relever Sylvie et immédiatement sans lui remonter la culotte l'avait fait asseoir sur ses genoux, elle frottait doucement les fesses nues brûlantes. Sylvie se calmait sur son épaule comme une grande fille sur les genoux de sa maman.

- allez, ce n'est rien, tes fesses sont très mignonnes maintenant, j'espère que tu vas être bien sage aujourd'hui, tu sais que ce soir nous avons des invitées, je ne voudrais pas qu'en arrivant elle te trouve au coin fesses nues et bien rouges. Ce n'est pas la peine de remonter ta culotte, ça va t'aider à réfléchir pour la journée. C'est ainsi que Sylvie déjeuna cul nu.

La perte définitive de sa culotte avait été complétée par deux pinces à linge qui fixaient l'ourlet de la jupe courte si haut dans le dos que les fesses rougeoyantes resteraient visibles en permanence pendant tout le temps de la préparation du dîner.

Sylvie souhaitait vraiment que ça change à l'arrivée des invités, elle ne trouvait pas gênant qu'Agnès voie ses fesses nues, mais elle trouverait cela très humiliant par rapport à ses invités. Agnès lui permettrait certainement de s’habiller pour la fête, elle n'osait pas espérer que ce serait une tenue pour femme adulte, mais une culotte devrait au moins en faire partie, elle espérait également que les pinces à linge soient retirées. S'il vous plaît, pensait elle en secret.

Agnès n'a participé aux préparatifs que dans la mesure où elle les a commandés et supervisés, et la  cuillère en bois qu'elle portait tout le temps avec elle n'était pas utilisée pour cuisiner.



Bien que Sylvie n'osait pas remettre en question les actions d'Agnès, même en secret, elle trouvait qu'Agnès était particulièrement pointilleuse et stricte sur tout aujourd'hui.

Agnès elle-même l'avait également remarqué, mais elle estimait que comme c'était le dernier jour où elle avait à sa disposition les fesses de Sylvie pour un traitement strict ça l'excusait.

Quand tout fut prêt, le repas terminé et la table dressée de façon festive, les fesses de Sylvie étaient en feu. Non seulement la zone bien ronde destinée à la fessée mais aussi le haut des cuisses, ses yeux étaient encore humides et très rouges. Ça ne passerait  certainement pas inaperçu auprès des invités que Sylvie avait pleuré. Mais ce n'était finalement pas si grave, car elles allaient de toute façon bientôt découvrir que la vie de Sylvie avait changé et que dorénavant les pleurs en faisaient partie intégrante.

Agnès envoya Sylvie sous la douche et elle alla dans la chambre pour choisir la tenue de sa fille adoptive.

En fait, Sylvie adorait prendre une douche très chaude. Mais ces derniers jours, elle avait découvert que l'eau chaude sur la peau fraîchement fessée était très douloureuse, elle avait donc décidé de prendre une douche tiède.

Ce n'était pas très agréable non plus, mais cela lui permettait quand même de se détendre un peu. Son esprit vagabonda vers l'événement à venir.

Elle énuméra tranquillement les invités attendus.

"Mademoiselle Ophélie," chuchota-t-elle. Ses fesses se resserrèrent en pensant à la dernière rencontre avec sa  jeune nounou .

"Brigitte," continua-t-elle. Qu'elle vienne l'inquiétait un peu, elle était la sœur de son défunt mari et elle avait environ dix ans de moins qu'elle. Brigitte était une femme autoritaire et avait toujours été agacée par la nonchalance de Sylvie, elle était sûre que Brigitte approuverait sa mise sous tutelle.

"Séverine", penser à la fille de Brigitte lui permit de chasser ces mauvaises pensées sur sa belle soeur. C’était presque une compagne d'infortune, Sylvie ne savait pas si elle était encore fessée par sa mère. Elle se souvenait cependant qu'elle avait assisté à une fessée de Séverine lorsqu’elle avait quinze ans, il y a quelques années. Des indices lors de réunions familiales lui avait laissé penser que de telles fessées avaient eu cours plus tard.

"Clara" soupira Sylvie. C'était le jeune médecin qui avait repris le cabinet de Sylvie lorsqu'elle avait pris sa retraite, elle était devenue une amie. Accepterait-elle le changement de statut de Sylvie ? se demanda Sylvie.

Pour Brigitte et Séverine, le doute n’était pas permis. Brigitte en particulier, elle l'avait réprimandée à plusieurs reprises pour son comportement immature et au cours d'une de ces réprimandes, elle avait même suggéré que Sylvie mériterait une bonne fessée et qu’elle serait ravie de lui administrer.

Ophélie, Brigitte, Séverine et Clara seraient les invitées. Perdue dans ses pensées, elle murmura. "Non, Mademoiselle Ophélie n'est pas tout à fait une invitée, c'est ma nounou, enfin Sylvie espérait qu'elle ne jouerait pas ce rôle pendant le dîner.

Puis elle se rendit compte qu'elles ne seraient pas seulement les quatre plus elle et maman Agnès. Ses deux nouvelles cousines seraient là aussi. Et puis bien sûr la plus importante, tante Paola. Car c’était sûr qu’Agnès allait annoncer que Paola serait la tante légale de Sylvie devant les témoins.

Agnès n'avait rien dit sur la façon exacte dont tout cela allait se dérouler. Mais elle avait demandé à Sylvie de mettre le vieux Martinet sur le buffet. Agnès voulait elle le remettre à Paola comme un héritage, ou avait elle l’intention de l’utiliser.



Sylvie sortit rapidement de la douche et commença à se sécher. Elle ne voulait pas y penser maintenant, de toute façon cela se passerait comme Agnès l'avait prévu et Sylvie ne pouvait aucunement l’influencer.

Sylvie prit ses vêtements sous son bras, elle porterait quelque chose de nouveau de toute façon et devant Agnès elle n'avait pas à rougir de sa nudité, elle était plus curieuse qu'inquiète de la tenue qu'Agnès lui avait choisie pour la fête. Quand elle arriva dans la chambre, Agnès avait disposé sa tenue sur le lit. C’était un costume d’écolière de collège anglais, une jupe plissée bleue marine très courte, un chemisier blanc, un blazer bleu, des socquettes blanches avec des chaussures plates et bien sûr une petite culotte blanche bien couvrante avec des petites fleurs.

Sylvie ne fut pas surprise, elle s’attendait un peu à ça et depuis 5 jours c’était le genre de tenue qu’elle portait. Agnès regardait en souriant sa petite amie, elle  avait vraiment changé en quelques jours, c'était maintenant une docile jeune fille qui obéissait au doigt et à l'oeil.

- c'est bien, tu es toute propre ma petite chérie, tourne toi un peu que je voies tes fesses.



Elle se régalait de la vision de ce large fessier de dame mature, rouge comme une tomate, signe d'une magistrale fessée. Elle passa la main sur la peau encore chaude.

- pour le moment tu vas pouvoir cacher ton joli derrière. Regarde la jolie tenue que je t'ai trouvée.

Sylvie avait rougi quand elle avait entendu les mots "pour le moment " , même si elle se doutait que la soirée ne se passerait pas sans que Agnès ne trouve une occasion pour lui baisser la culotte et présenter aux invitées ses fesses nues. C'était quand même humiliant de l'entendre.

Elle présentait toujours sa croupe à maman Agnès qui continuait à caresser ce beau fessier qui maintenant lui appartenait totalement puis elle lui claqua sèchement les fesses pour lui signifier qu’il était temps de s’habiller

- allez, il est temps de voir à quoi ressemble ma petite collégienne.

Sylvie rougi sous l’allusion à sa nouvelle condition d’adolescente, elle enfila d’abord sa culotte, elle était à sa taille mais ses fesses de dame mûre étaient plus large que celle d’une collégienne aussi quand elle l’eut bien tirée, elle laissait voir la base des fesses. Agnès ne perdait rien du spectacle, Sylvie avait mis son chemisier blanc puis sa jupe qui lui arrivait à mi cuisse. Une fois qu’elle eut enfilé ses socquettes blanches et ses chaussures plates, malgré son âge elle ressemblait vraiment à une pensionnaire d’un collège anglais, surtout que maman Agnès lui tendit une cravate.

- tu es vraiment très mignonne, mets cette cravate pour bien montrer que tu es une élève du collège.

Elle l’a prit par la main et la fit pivoter, puis sans se soucier de l’avis de Sylvie elle lui troussa la jupe.

- c’est parfait, ma petite chérie, ta culotte est ravissante et cette jupe ne gêne pas si j’ai besoin de te fesser. Je vais m’habiller, tu vas venir avec moi, comme il n’y a personne pour te surveiller, je ne voudrais pas que tu fasses des bêtises.

Sylvie ne relevait même plus ces petites réflexions qui la ramenait à chaque fois à son statut de gamine immature que l’on doit surveiller, elle suivit Agnès dans sa chambre. Sans aucune gêne celle ci entrepris de s’habiller pour la soirée, elle était en sous vêtement, elle portait un ensemble en dentelle rose très sexy, ses fesses étaient bien rondes et fermes mais aussi larges que celle de son amie, elles dépassaient également de la culotte et la raie fessière était bien visible. Sylvie regardait Agnès, elle savait que désormais elle n’aurait plus l’occasion de porter de la lingerie féminine elle devrait toujours porter des petites culottes blanches en coton. Maintenant Agnès enfilait ses bas, ce qui la rendait encore plus féminine et sexy. Elle avait préparé un ensemble tailleur bleu marine avec une jupe étroite qui lui arrivait au genou, cela lui donnait un air de directrice de collège autoritaire. Une fois habillée, elle prit Sylvie par la main et elle l’amena au salon.
Juste à ce moment Paola arrivait avec ses deux nièces. Elles aussi étaient habillées en collégiennes mais ce qu’elles remarquèrent immédiatement ce furent les yeux rougis des deux cousines. Agnès s’adressa à Paola en souriant.

- on dirait qu’il y a eu de la fessée dans l’air. Mesdemoiselles ont les fesses rouges?

- pour sûr, je peux t’assurer qu’elles ne vont pas avoir froid aux fesses. D’ailleurs comme elles n’ont pas fait leur temps de coin à la maison, elles vont le faire ici en attendant les invitées.

- mais qu’on fait ces chipies ?

- oh c’est simple, elles ont décidé qu’elles étaient trop grandes pour porter un uniforme de collège, Virginie voulait mettre un jean et Laetitia une jupe et des bas comme une dame. Et bien tatie Paola leur a montré qu’elles avaient encore l’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée. Allez les filles, filez au coin tout de suite.

Résignée, les deux jeunes filles se dirigèrent vers le mur. Paola les suivait, elle claqua les fesses de Laetitia qui n’avançait pas assez vite à son goût.



- dépêche toi un peu si tu ne veux pas revenir sur mes genoux, même si tu n’en as pas envie tu vas nous montrer tes fesses.

Virginie était déjà le nez contre le mur, elle mit immédiatement ses mains sur la tête, ce qui fit sourire Agnès, décidément l’éducation traditionnelle par la fessée avait du bon, ces petites étaient très obéissantes. Laetitia avait rejoint sa soeur et elle aussi elle s'était mise en position. Paola s'approcha d'elle et retroussa la courte jupe plissée à carreaux rouge, la culotte blanche apparu, elle fut immédiatement baissée sous les fesses. Celle-ci était d'un beau rouge vif qui dépassait sur le haut des cuisses, signe d'une magistrale fessée. Laetitia sanglotait doucement, ses jolies fesses de jeune femme bien rondes se serraient convulsivement. 



Même si maintenant elle avait pris l'habitude d'exposer ses fesses nues en public, c'était très humiliant, surtout que les invitées allaient bientôt arriver, Agnès propose son aide.

- Paola chérie, j'ai des pinces à linge pour bien faire tenir les jupes retroussées,  tu vas voir c'est mieux, les fesses sont mieux présentées.

Pendant que Paola déculottait Virginie, Agnès épinglait la jupe de Laetitia bien haut dans le dos, elle baissa un peu plus la culotte.

- j'aime que la culotte soit à mi cuisses, on voit mieux les fesses.

Elle avait dit ça en souriant, elle tapota les fesses chaudes de Laetitia.

- tiens toi bien droite ma chérie et colle bien ton nez contre le mur.

Pendant ce temps, Paola avait fait de même pour Virginie qui exposait ses fesses nues et bien rouges également, elles étaient un peu plus menues que celle de sa soeur mais tout aussi mignonnes.

Sylvie était un peu inquiète de la tournure des événements, elle aussi avait des fesses bien rouges sous sa petite culotte. Sa crainte se confirma quand elle vit Agnès se tourner vers elle.

- ma petite Sylvie, je pense que tu ne vas pas laisser tes cousines être les seules à nous exposer leurs fesses. Les tiennes sont également bien rouges, tu vas nous les montrer. Sylvie ouvrit la bouche pour protester mais le regard sévère de sa maman Agnès et la cuillère en bois posée sur le buffet lui rappela que toute protestation lui vaudrait une cuisante fessée. Elle se dirigea immédiatement vers le mur, à côté de Laetitia et mis ses mains sur la tête. Des larmes coulaient sur ses joues, ainsi elle n'allait pas échapper à la honte d'exposer son derrière nu et bien rouge à ses invitées dès le début de la soirée.

Agnès lui avait déjà épinglé la jupe très haut dans le dos, elle sentit les doigts de sa maman, glisser sous la ceinture de sa culotte et celle ci descendre sur ses fesses. Quand elle fut à mi cuisses comme pour ses cousines, elle reçu deux bonnes claques sur chaque fesses pour se mettre en bonne position, le dos bien droit, les mains sur la tête et le nez bien collé contre le mur. Ses larges fesses étaient encore bien rouges, c'était un joli spectacle que l'alignement de ces trois paires de fesses, bien différentes par la morphologie mais toutes de la même couleur.

La couleur de la bonne fessée cul nu de maman.

Paola et Agnès se reculèrent pour mieux apprécier le spectacle. Paola se mit à  applaudir.

- mais qu'elles sont mignonnes, vraiment c'est parfait. Tu n'as pas manqué Sylvie, ses fesses sont bien rouges également.

Agnès souriait. Paola ajouta en souriant

- la cuillère en bois aime bien le popotin de notre petite Sylvie.



Agnès répondit en plaisantant,

- Oui, tous nos instruments de punition ont ce bon goût,

 Puis elle disparut dans la cuisine pour faire infuser le thé pendant que Paola s'asseyait sur une chaise et admirait les fesses avec tout ces tons de rouge. C’était vraiment un délice pour la vue.

1 commentaire:

  1. merci pour cette belle série de récit Sylvie. J'attendais avec impatience la façon dont vous alliez finir.

    Chinmay

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