jeudi 5 janvier 2023

Week-end cuisant en famille.

Julie nous raconte encore ses aventures en compagnie de son mari, de Sylvie et Hugues. C'est la suite du premier week-end qu'elle nous a raconté précédemment. De nouveaux derrières à découvrir et de nouvelles fesseuses.

Hubert et Sandra fessé en bonne compagnie 



Comme je vous l’ai raconté lors d’un précédent récit, j’aime partir au calme en fin de saison dans le Périgord, lors d’un précédent séjour j’avais fait la connaissance d’un couple de dame qui était mère et fille, la mère s’appelait Élisabeth et sa fille Sandra. Après ce premier séjour j’étais restée en contact avec Élisabeth, elle avait apprécié la stricte éducation à laquelle je soumettais Hubert et au cours de l’année elle m’avait laissé entendre que Sandra était maintenant soumise au même régime. Elle me proposa de nous retrouver  en septembre, elle avait déniché une chambre d’hôte tenue par deux soeurs d’origine écossaise, il y a avait seulement quatre chambres, nous y serions tranquille.

Nous nous retrouvâmes donc chez Daisy et Sophie, les deux soeurs étaient âgées d’une cinquantaine d’année, avec un délicieux accent british, Sophie était la plus âgée et Daisy semblait lui obéir en toute circonstances.

Après des retrouvailles très chaleureuse, Élisabeth proposa se se retrouver dans leurs chambre, elle avait à discuter avec Sandra et notre présence serait la bienvenue. La moue de Sandra et le petit sourire de  Élisabeth me laissait présager un petit intermède cuisant. Hubert était gêné, il savait ces deux dames étaient  au courant de sa situation. Dès que nous fûmes dans la chambre, Élisabeth se tourna vers sa fille qui avait les joues rouges et baissait la tête.

- alors ma petite chérie, qu'est-ce que je t'ai promis ce matin ?

- …

Sandra regardait ses chaussures et ne répondait pas.

- je t'ai posé une question Sandra, tu ferais mieux de répondre si tu ne veux pas que la soirée soit encore plus pénible pour toi !

- maman, s'il te plaît…

Sandra avait les larmes aux yeux.

- je vais compter jusqu'à trois ma petite fille, tu sais ce que ça veut dire. Un…

- non, non maman c'est bon...euh tu m'as promis une bonne fessée.

- c'est tout ??

- euh, non...une… une bonne fessée déculottée.

- voilà qui est mieux, tu sais bien que maman donne toujours la fessée cul nu n'est ce pas…. Et pourquoi je t'ai promis cette fessée déculottée ma petite chérie ?

- parce que je t'ai mal répondu…

- à la bonne heure, et pour que tu t'en rappelle bien, je vais t'administrer la fessée que tu mérites devant Julie, j'espère que tu as bien honte que je te baisse la culotte devant elle.

- oh, maman....pardon...

Sandra pleurait maintenant, elle devait avoir une trentaine d'années  et c'était curieux de voir sa mère la traiter comme une adolescente. Élisabeth avait tiré une chaise et s'était assise elle fit un petit signe à sa fille.

- en piste ma petite.

J'avais jeté un regard à Hubert, il était à la fois très intéressé par la perspective d'assister en spectateur à la fessée déculottée de cette jeune femme mais il me regardait du coin de l'oeil, visiblement inquiet. Je n'allais pas le faire attendre plus longtemps. Déjà Sandra était couchée sur les genoux de sa mère.

- si tu permets Élisabeth, je pense que je vais m'occuper en même temps du derrière d'Hubert.

Mon amie me regarda avec un sourire complice.

- mais je t'en prie, quoi de mieux qu'une fessée en stéréo et puis on pourra comparer la couleur de leurs fesses.

Hubert avait blêmi mais il ne disait rien, il était parfaitement éduqué et savait ce que pourrait lui valoir la moindre protestation. Je tirai une autre chaise et la plaçai en face de celle d'Élisabeth, un petit signe du doigt et Hubert était devant moi. Je dégrafai son pantalon qui tomba immédiatement sur ses chevilles. Il tournait le dos à Élisabeth qui pouvait admirer le fessier de mon chéri moulé dans une petite culotte blanche en coton de jeune fille. C'était une petite humiliation que j'imposais à Hubert, il  était habitué maintenant à porter ces dessous féminins mais c'était la première fois qu'il exposait son derrière ainsi culotté devant une dame et c'était particulièrement humiliant. Son visage était écarlate, je le regardais en souriant.

- maintenant que Sandra nous a expliqué pourquoi sa maman va lui donner la fessée, c'est à ton tour de nous expliquer pourquoi je vais te baisser la culotte.

Hubert était éduqué à la fessée, il savait qu'il ne fallait pas hésiter quand je lui posais ce genre de question.

- oui, madame vous allez me donner une fessée déculottée pour mes retards répétés, vous me l'avez promis ce matin.

Élisabeth me regardait, impressionnée par la docilité de Hubert.

- il te vouvoie et il t'appelle madame ?

- oui quand il va être puni, il doit me parler comme ça, jusqu'à ce que je lève la punition. Bien mon petit ami, c'est tout à fait exact, je vais t'administrer la fessée déculottée que je t'ai promis et ce sera devant Élisabeth, j'espère que ça va te servir de leçon.

Je l'ai fait pivoter et en un clin d'oeil, il était dans la même position que Sandra. Élisabeth retroussa la jupe de sa fille.

- voilà ces deux derrières sont prêts, tu veux commencer par un échauffement sur la culotte?

Les deux punies nous exposaient leurs fesses bien moulées dans leurs petites culottes blanches, c'était excitant, je caressais la croupe quasiment féminine de mon mari. Je la regardai en souriant, je la sentais elle aussi excitée par cette première fessée publique.

- oui, on va échauffer un peu ces petits derrières.

La fessée commença, Élisabeth m'avait raconté sa façon de punir sa fille, la fessée d'échauffement me prouva qu'elle était devenue une fesseuse expérimentée, sa main claquait sèchement le derrière culotté de Sandra,



 alternativement chaque fesse tressautait, la culotte rentrait légèrement dans la raie fessière dévoilant un peu le bas des fesses, la main claquait donc cet endroit qui commençait à rougir, je ne voulais pas être en reste, Hubert recevait donc une correction équivalente, sa culotte que je choisissais toujours un peu étroite dévoilait encore plus ses fesses qui prenait une jolie couleur, les deux punis gémissaient de concert. J'avais vraiment hâte de découvrir le fessier de Sandra, je cessai donc la fessée.

- je crois que ces petites fesses sont suffisamment échauffées, nous allons passer à la vraie fessée.

Élisabeth me jeta un regard gourmand, elle était comme moi, quel plaisir que le déculottage, en plus on allait doubler notre plaisir en découvrant non seulement la croupe de notre puni mais également celle de Sandra pour moi et celle d'Hubert pour Élisabeth. Je surveillais la technique de mon amie, c'était parfait, ses doigts s'étaient glissé sous l'élastique de la culotte de Sandra et elle la faisait descendre lentement sur les fesses de sa fille. Baisser lentement la culotte c'est faire prendre conscience à son puni de sa condition surtout que la maman y ajoutait un petit commentaire sarcastique.

- et oui ma chérie, cul nu pour la bonne fessée déculottée de maman, j'espère que tu as bien honte de montrer tes fesses à Julie.

Sandra sanglotait maintenant, je m'étais arrêté de déculotter Hubert pour profiter du spectacle, il ne fallait pas le faire attendre plus longtemps, sa lune devait apparaître maintenant. Il eu droit lui aussi au déculottage progressif. Sa culotte descendit lentement sur ses bonnes fesses bien entretenue par mes fessées. Élisabeth ne perdait rien du spectacle.

- et voilà une bonne paire de fesses prête pour la fessée, mon petit ami Elisabeth est ravie de les voir je peux t'assurer. Oh tu peux les serrer, ça ne va pas t'éviter la bonne fessée de maman Julie.



Je tapotais les fesses contractées par la honte. Élisabeth ravie me souriait, ce week-end commençait bien. Nos mains se levèrent de concert et la vraie fessée déculottée commença, il ne fallu pas longtemps pour que les gémissements se transforment en pleurs, la douleur se mêlait à la honte d'exposer son derrière, Hubert et Sandra n'y était pas encore habitué, quelque chose me disait qu'a la fin du week-end ça ne leurs poseraient plus de problème.  Maintenant les deux paires de fesses étaient d'un beau rouge vif, Élisabeth ne semblait pas vouloir s'arrêter, Sandra nous gratifiait d'une magnifique danse des fesses, mon mari si il n'avait pas eu lui aussi très mal aux fesses aurait pu dans sa position admirer l'intimité de sa compagne d'infortune.



 Mais lui aussi il braillait comme un gamin puni et ouvrait et serrait ses fesses au rythme de mes claques. Je cessai la fessée, jugeant que pour une première fessée celle-ci était déjà suffisamment sévère. Hubert continuait à pleurer et à tortiller ses fesses pour atténuer la cuisson. Sandra eu droit à quelques claques supplémentaires, son fessier était cramoisi, ses jambes battaient l'air, Élisabeth était concentrée sur les fesses de sa fille. Puis le calme revint dans la chambre, seul les sanglots des deux punies troublaient le silence. Après quelques instants où les punis couchés sur nos genoux eurent le temps de se calmer, ils purent se relever. Évidemment tenu par l'oreille ils gagnèrent chacun un coin de la pièce. Élisabeth était ravie

- quel joli tableau, mettez vous bien le nez contre le mur et les mains sur la tête.

Je décidai d'ajouter ma touche personnelle.

- si tu permets ma chérie, il faut un peu d'esthétique quand on met quelqu'un au coin. Hubert enlève ton pantalon et plie le correctement.

Puis je m'approchai de Sandra et lui coinça bien la jupe dans la ceinture pour bien présenter ses fesses, je remontai également les culottes des deux punis à mi cuisses. Je terminai bien sûr cette mise en place en leurs administrant à chacun deux claques magistrales sur chaque fesses. Élisabeth m'avait regardé faire en souriant.



- tu es une artiste ma chérie, c'est vrai que les fesses rouges sont bien mises en valeur.

- oui ils vont rester là un moment à réfléchir, on descend boire quelque chose ?

- oh oui, je pense qu'avec leurs derrières bien rouges et bien chaud ils ne vont pas bouger, n'est ce pas mes chéris ?

Nous descendîmes au salon  où Daisy nous accueilli avec un grand sourire.

- bonjour, vous voulez un thé ?

Juste au moment où nous étions assise, Sophie entra dans la pièce.

- mais où sont donc le monsieur et la demoiselle ?

C'est Élisabeth qui répondit le plus naturellement du monde.

- ils sont punis.

- c'est bien ce qui me semblait, j'étais dans le couloir tout à l'heure, la fessée à été sévère...

- elles étaient méritées.

- je n'en doute pas. Et maintenant c'est corner time comme on dit chez nous.

Sophie avait dit ça en souriant comme si c'était normal et habituel que deux adultes reçoivent encore la fessée déculottée et aillent au coin fesses à l'air après. Je remarquai que Daisy avait baissé les yeux pendant notre conversation. Sophie continuait d'un ton égal.

- mais pourquoi les avez vous laissé dans la chambre, vous ne pouvez pas les surveiller. Vous pouvez les mettre au coin au salon, ne vous gênez pas pour nous. Nous sommes habituées à ce genre de chose. N’est pas Daisy chérie ?

Elle avait dit ça en souriant et en regardant sa soeur. Je remarquai que celle-ci piquait un énorme fard. Décidément les rapports entre les deux soeurs devenaient intéressant. J’interrogeai du regard Elisabeth, celle-ci me fit un petit signe approbateur de la tête. C’était décidé nos deux punis allaient montrer leurs fesses aux deux soeurs, je me levai.

- c’est très gentil à vous, je vais les chercher.

Quand j’entrai dans la chambre Sandra et Hubert exposait sagement leurs fessiers écarlate, ils avaient les mains sur la tête, ils n’avaient sans doute pas bouger d’un pouce. Je me dirigeai vers Hubert et lui saisit l'oreille, puis je fis de même avec Sandra. Quand elle vit que je les faisaient sortir de la chambre elle se rebelle.

- non, non ! Madame pas dehors !

Je tirais plus fermement son oreille mais elle résistait. Je lâchai celle de Hubert et je la coinçai sous mon bras, la fessée fut rapide mais claquante. Puis je repris mes deux punis chacun par une oreille. Arrivé dans le salon, Hubert ne disait rien mais son visage était écarlate quant à Sandra elle pleurait. La fessée rapide avait attiré l'oreille des 3 dames. Elisabeth s'adressa à moi.

- tu as eu des problèmes ?

- oh, pas grand chose, mademoiselle Sandra ne voulait pas venir vous montrer ses fesses, résultat elles sont un peu plus rouges.

- pardon !! Et bien je pense qu'elle va nous les montrer encore mieux, Sandra !! Approche un peu.

La jeune femme connaissait sa mère, elle redoubla de pleurs.

- non, maman pardon...pardon…

- viens ici, vite, tu veux que je compte ? … un…

Sandra compris que toute protestation était inutile, elle s'approcha de sa maman. Elisabeth avait posé son pied sur une chaise, en un clin d'oeil Sandra fut basculée sur sa cuisse horizontale, ses pieds quittèrent le sol. Ses fesses étaient parfaitement présentées aux spectatrices.

- tu vois, ce n'était pas la peine de faire toutes ces histoires, maintenant tout le monde peut voir en détail tes jolies petites fesses bien rouges.



La main se mit à claquer les rotondités de  Sandra qui se remit à pleurer de plus belle. Cette position était très impudique, l'intimité de la jeune femme était exposée entièrement au rythme des claques qui lui faisait battre les jambes et écarter largement ses cuisses et ses fesses. La fessée ne dura pas très longtemps mais les fesses de Sandra étaient d'un joli rouge brique quand sa mère la reposa par terre. Hubert était déjà le nez contre le mur et les mains sur la tête, Sandra le rejoignit, la seule différence c'était que sa culotte n'était plus autour de ses cuisses, Elisabeth lui avait retiré et posé bien en évidence sur la table.

Les deux soeurs nous félicitèrent pour notre autorité et la conversation roula sur les bienfaits de la fessée chez les adultes. Hubert et Sandra sont restés au coin  fesses à l'air pendant une heure puis ils ont eu droit de se rhabiller et de monter dans leurs chambres. Bien sûr Sandra fut privée de culotte toute la soirée.

J'avais discuté avec Elisabeth de la fessée du coucher,  nous avons  décidé qu'elle serait administrée dans notre chambre et que nous allions inverser nos puni.

Hubert fit la grimace, bien sûr il avait été déjà fessé par mon amie Sylvie mais c'était tout. Se coucher sur les genoux d'une étrangère pour se faire déculotter était une épreuve supplémentaire, mais il savait qu'il n'avait pas le choix. Pour Sandra aussi ce fut difficile mais les fessées de l'après-midi lui avait appris qu'il lui fallait obéir sans discuter. Avant de se retrouver dans notre chambre, Hubert et Sandra durent se mettre en pyjama et c'est donc deux mignons petits punis qui tête basse se présentèrent à nous. Évidemment la culotte était interdite sous le pyjama, donc dès qu'ils furent en position couché sur nos genoux, il nous fut facile de mettre leurs derrières à nu. Les fesses étaient encore rosées, Elisabeth était ravie d'avoir une paire de fesses masculines à sa disposition et moi celle de la jolie Sandra, des fesses rondes et bien fermes de jeune femme sportive. La double fessée pétarada dans la chambre, je pense que les deux soeurs en profitèrent amplement.

Le lendemain une petite surprise nous attendait quand nous descendîmes au petit  déjeuner,  dans le coin du salon, Daisy nous exposait ses fesses nues et bien rouges, encadrées par la jupe épinglée dans le dos et la culotte blanche baissée sous les fesses. 



Sophie nous accueilli avec un grand sourire.

- vous avez bien dormi ?

Fidèle à ma devise, je lui répondis en souriant et en désignant Hubert et Sandra.

- parfaitement, et ces jeunes gens aussi, vous savez bien qu'on dort mieux avec une paire de fesses bien rouges. Daisy est punie ?

Sophie regarda en souriant sa soeur dans le coin.

- oh, c'est juste une petite mise au point pour bien commencer la journée. Daisy ma chérie tu peux préparer le petit déjeuner s'il te plaît ?

Daisy se retourna, ses joues étaient rouges, elle commençait à remonter sa culotte quand Sophie la rappela à l'ordre.

- est-ce que je t'ai permis de te reculotter ? Tu laisse ta culotte où elle est. Nous réglerons ça tout à l'heure.

Daisy ne pouvait pas être plus rouge, elle se dirigea vers la cuisine en nous présentant ses plantureuses fesses de dame mature, elles étaient vraiment très rouges, signe d'une magistrale fessée. Nous avons pris notre petit séjour avec entrain, Hubert et Sandra était ravis de ne pas avoir été puni ce matin. Un bruit caractéristique nous parvint de la cuisine, un claquement de main sur la peau nue, il n'y avait aucun doute quelqu'un recevait une fessée déculottée, ce ne pouvait être que Daisy. Des petits gémissements et des éclats de voix nous parvenaient également.

- maintenant tu files au coin ! oui au salon et vite !

Quelques instants plus tard nous vîmes revenir Daisy les yeux rougis, elle avait toujours sa jupe épinglée dans le dos et sa culotte était maintenant descendue à mi cuisse. Elle passa devant nous sans un mot, ses fesses et le haut de ses cuisses étaient maintenant écarlates. Elle se dirigea vers le coin de la pièce, colla son nez cotre le mur et mis ses mains sur sa tête. Hubert et Sandra échangèrent un petit sourire complice qui ne passa pas inaperçu. Elisabeth pris la parole.

- ne vous réjouissez pas trop vite mes petits chéris la journée est longue, vos fesses peuvent encore prendre l’air.

Nous devions nous retrouver à la piscine, Sandra portait un ravissant bikini rouge, pour Hubert c’était un maillot de bain assez échancré qui moulait bien son postérieur, j’ai horreur de ces shorts de bains informe, Hubert apprécie peu ces maillots un peu trop sexy mais il n’a pas le choix.

Sandra et Hubert avaient fait connaissance et il sympathisait, leur condition commune d’adulte soumis au traitement humiliant de la fessée déculottée en public les avaient rapproché. Ils discutaient tranquillement et avec Elisabeth nous parlâmes de notre goût commun pour la fessée.

Je lui ai expliqué en détail notre mode de fonctionnement avec Hubert et de Sylvie et Hugues le couple d'amis qui participaient à notre vie et qui était soumis au même régime que Hubert. Elisabeth était ravie.

- tu as de la chance d'avoir quatre paires de fesses à ta disposition, tu dois te régaler. Jusqu'à présent je n'avais eu que le petit derrière de Sandra à corriger, mais flanquer une bonne fessée déculottée à ton petit chéri ça m'a vraiment plu.

- c'est vrai que chaque fessier a ses particularités et sa manière de réagir à une fessée. Ils ne rougissent pas tous de la même manière. Par exemple celui de Hugues c'est un vrai régal de petit cul à fesser... Sylvie c'est différent, elle a une bonne paire de fesses de dame mûre, des fesses encore bien rondes mais plus large, qui rougissent bien c'est vraiment très agréable. Tu sais que le petit derrière de ta fille est très mignon également.

En disant ça je contemplais nos deux petits soumis, allongés sur leur serviette ils nous présentaient innocemment leurs deux derrières sans se douter que pour deux fesseuses c'était vraiment trop tentant. Je fit un clin d'oeil à Elisabeth, c'était vraiment trop excitant. Elle me rendit mon sourire.

- on échange à nouveau ?

- oh oui, ces deux belles paires de fesses ont besoin de prendre l'air et un peu couleur. Venez ici mes petits chéris.

Hubert et Sandra levèrent la tête et en nous voyant toutes les deux assises sur nos transats, ils comprirent que le repos de leurs fessiers était terminé. Je pris la parole.

- vous savez que ce week-end est consacré à une mise au point pour que les semaines qui viennent vous soyez des bons petits enfants bien sage. Et la sagesse commence avec une paire de fesses bien rouges, vos petits derrières se sont bien reposées depuis hier soir, il est temps de s'en occuper. Hubert tu vas voir Élisabeth, quant à toi ma petite sa Sandra viens un peu sur les genoux de maman Julie. Docilement les deux punis se couchèrent sur nos cuisses. J’avais fantasmé l’année précédente sur les fesses de Sandra quand le l’avais vue couchée au bord de la piscine avec son petit bikini et maintenant son derrière moulé dans sa petite culotte minimaliste était à ma disposition, la forme échancrée du maillot découvrait largement la base des fesses, je suis sûr qu’a ce moment précis la jeune femme regrettait de ne pas avoir mis un maillot plus couvrant même si il avait été moins sexy. Elisabeth était aussi ravie que moi, le maillot de Hubert dessinait parfaitement son fessier et bien que moins échancré que celui de Sandra, il dévoilait quand même le pli fessier et la racine des fesses. Nous palpions toutes les deux ces fesses qui étaient à notre disposition, après un regard complice nous levâmes conjointement la main et le claquement régulier d’une fessée administrée sur une culotte retentit bientôt jusque dans la maison. Sophie apparu sur le pas de la porte et regarda en souriant la double fessée. Hubert et Sandra réagissaient comme deux gamines punies, les jambes battaient l’air et les gémissements se mêlaient au bruit des claques. La rougeur commençait à apparaître à la limite des maillots de bain, un idée perverse germa dans mon esprit, je cessai la fessée de Sandra.

- tu connais la fessée mouillée?

Elisabeth me regarda un peu surprise.

- non, c’est quoi ?

- c’est assez amusant, on donne la fessée sur la peau mouillée jusqu’à ce qu’elle soit sèche, je te garantis le résultat, en général la punie s’en rappelle un moment. Tu vas voir. Sandra et Hubert, debout. Vous allez vous mettre dans la piscine jusqu’à la ceinture et vous revenez nous voir.

Sandra me regardait un peu surprise, une vigoureuse claque sur sa cuisse lui indiqua qu’il valait mieux obéir. Elle se dirigea avec Hubert vers la piscine et se trempèrent comme je l’avais indiqué,

je pris une serviette que je posai sur mes cuisses, dès que Sandra fut revenue, je la basculai à nouveau en travers de mes genoux. Elisabeth avait fait de même avec Hubert. Sophie était de plus en plus intéressée par nos activités et elle s’était rapprochée, je devinais Daisy derrière la fenêtre de la cuisine qui elle aussi ne perdait rien du spectacle.

J’avais saisi l’élastique de la culotte de Sandra et je commençai à la déculotter, le maillot de bain de Hubert suivait le même chemin et bientôt deux fessiers déjà un peu rouge apparurent au grand jour.

- tu vois ma chérie, ces deux petits derrières sont bien mouillés, il ne faut pas qu’ils prennent froid, on va les sécher rapidement. La double fessée repris sur la peau mouillée, le bruit était encore plus éclatant et bientôt, les cris et les supplications se mêlèrent aux claquements. Les battements de pieds de Sandra n’avaient rien à envier à la magnifique danse des fesses de Hubert, nos deux punis offraient aux deux soeurs un magnifique spectacle, sans aucun souci de pudeur, rapidement les pleurs succédèrent aux gémissements. La fessée avait atteint son but, nous continuâmes cependant à claquer ces si jolies paires de fesses écarlates. C’était tellement agréable.

Quand la fessée cessa les deux derrières étaient sec depuis belle lurette.

- bon maintenant un petit séjour au coin va vous faire le plus grand bien !

C’était Elisabeth qui avait repris l’initiative, elle avait fait relever Hubert et elle le conduisait tenu par l’oreille vers le mur de la maison, bien sûr elle accompagnait ce petit trajet de quelques bonnes claque sur le fessier rubicond de mon petit chéri. Hubert pleurait comme un gamin puni par sa maman, son maillot de bain était enroulé autour de ses chevilles, Elisabeth lui fit lever les pieds pour lui retirer.

- privé de culotte mon petit ami !!

Sandra rejoignit son compagnon d’infortune après quelques claques sur ses jolies fesses, son maillot de bain rejoignit celui de Hubert plié sur un transat.

Les deux tourtereaux nous exposaient leurs derrières écarlates, ils étaient entièrement nu, sauf un petit haut de maillot de bain pour Sandra, ce qui rajoutait à l’humiliation du passage au coin, bien sûr sans avoir eu besoin de leurs dire, ils avaient mis leur mains sur la tête et leurs nez contre le mur.

Satisfaite nous avons repris place sur nos transat, Sophie s’était éclipsée, nous apercevions Daisy qui n’avait pas quitté des yeux les deux fessiers cramoisi. Je fit un petit clin d’oeil à Elisabeth en la désignant.

- tu crois que nous aurons le plaisir d’assister à une déculottée de mademoiselle Daisy ?

- je pense que oui, Sophie a vu que nous étions très efficace pour éduquer nos deux chéris, je pense qu’elle ne va pas vouloir être en reste.

Hubert et Sandra exposèrent leurs fesses rougies pendant une bonne demi heure, puis ils regagnèrent leurs chambres, bien évidement, ils n’avaient pas eu le droit de remettre leurs maillots et c’est dans le plus simple appareil qu’ils durent traverser le salon et monter à l’étage, je peux vous dire que leurs joues respectives étaient de la même couleur que leurs fesses. Elisabeth pour que nous soyons tranquille avait eu une idée, elles leur donna des lignes à copier, je n’avais jamais utilisé cette punition pour Hubert mais je trouvai l’idée intéressante, le retour en enfance continuait pour mon petit mari.

- vous allez un peu vous rhabiller, mais vous rester cul nu, ça vous apprendra et vous allez me copier 100 fois la phrase suivante «je ne désobéirai plus à ma maman sinon je recevrai une bonne fessée cul nu, merci maman pour cette bonne déculottée»

Nous étions dans la chambre d’Elisabeth et Sandra, les deux punis regardaient leurs pieds, Sandra s’exécuta sans un mot, elle mit un tee-shirt et posa délicatement sa croupe endolorie sur la chaise, 



je laissais faire mon amie, c’était elle la maîtresse d’école. Elle posa des feuilles blanches devant sa fille.

- et tu écris bien sinon tu reviens sur mes genoux et c’est 200 fois que tu auras ces lignes à copier !!

Puis elle prit Hubert par l’oreille comme si c’était un gamin.

- quant à toi mon petit ami, on va dans ta chambre, je n’ai pas envie que vous bavardiez.

Hubert put également remettre un tee shirt mais il resta cul nu comme Sandra, c’était sans doute très humiliant pour lui de se faire punir par Elisabeth mais je n’intervenais pas et je savourais le spectacle, il reçut les mêmes consignes que sa compagne de fessée, je savais qu’il était quasiment sûr de recevoir une nouvelle fessée vu son écriture de cochon. Il allait passer de nombreuses heures assis fesses à l’air sur la chaise à copier des lignes car je sentais qu’Elisabeth serait inflexible, elle doublerait le nombre de lignes à chaque fois qu’elle jugerait le travail bâclé.

Nos deux punis consignés dans leur chambre, nous rejoignirent le salon pour papoter. Ce n’était pas totalement innocent de notre part car nous nous doutions que Sophie avait vraiment envie de nous prouver qu’elle aussi elle savait donner la fessée.

 Nous n’eurent pas longtemps à attendre, Sophie entra dans le salon et en souriant elle s’adressa à nous.

- mesdames j’ai pu constater que vous vous y entendiez pour donner la fessée, je ne voudrais pas abuser de votre temps mais comme vous avez pu le constater ce matin, ma soeur est elle aussi soumise au même traitement que Hubert et Sandra. Depuis un moment je lui ai promis qu’elle recevrait une fessée en public, votre présence m’offre l’occasion de cette punition, j’espère que cela ne vous gêne pas. Bien sûr que ça ne nous gênait pas, nous étions là pour ça, cependant nous n'avons pas voulu le montrer.

- mais ça sera avec plaisir, si ça peut vous rendre service mademoiselle Sophie.

Nous avons échangé un sourire complice avec Elisabeth, Sophie appelait sa soeur.

- Daisy, viens ici, j'ai a te parler.

Celle-ci apparu et en nous voyant elle blêmi  elle avait compris ce qui l'attendait. Brusquement elle n'était plus une demoiselle de 50 ans, mais une adolescente convoquée par sa maman.

- approche un peu ma chérie, tu sais ce que je t'ai promis pour ta colère de ce matin ?

- oh, Sophie s'il te plaît…

Les larmes commençaient à couler sur les joues de Daisy, elle savait l'issue inéluctable, elle connaissait trop bien sa soeur. Je regardais avec intérêt l'anatomie de Daisy, elle n'était pas très grande un peu ronde, les cheveux courts, mon regard se porta évidemment sur son fessier qui me semblait comment dire, confortable, oui c'est le terme qui convenait.

Sophie avait pris une chaise pour la placer au milieu de la pièce, elle fit un petit signe du doigt à sa soeur, elle n'avait même pas noté la supplication de Daisy, celle-ci approcha comme un automate. L'obéissance de cette dame de 50 ans qui allait recevoir ce châtiment enfantin était impressionnante, c'était sans doute le fruit de longues années de punition, de déculottage et de sévère fessée. Quand elle fut contre ses cuisses, Sophie la bascula sans ménagement en travers de ses genoux c'était toujours émouvant de voir un adulte dans cette position. Daisy devait y être habitués, elle avait posé ses mains par terre et se laissait faire, son ample jupe fut rapidement retroussée. Je ñe l'avait pas remarqué ce matin quand elle était au coin mais elle portait des sous vêtements un peu rétro, ses bas étaient retenus par des porte jarretelles comme dans les années 60, sa culotte blanche était bien couvrante et petit détail qui a son importance pour une fesseuse elle l'avait mis comme il convient par dessus les jarretelles, ce qui permet un déculottage complet. La position tendait le généreux postérieur, mon impression était confirmée, Daisy avait des fesses faites pour la fessée. Sophie nous regardait en souriant, elle était fière de nous prouver son autorité. Elle saisit la ceinture de la culotte et commença à la baisser lentement. Je regardais Elisabeth du coin de l'oeil, c'était la première fois qu'elle assistait à une fessée déculottée de femme mature, on sentait son émotion. La belle paire de fesses de Daisy nous apparut dans toute sa splendeur, elles étaient généreuses, très blanches, séparées par une profonde raie médiane. 



Mais elles étaient bien rebondies et fermes, on sentait qu'elles étaient entretenues par les fessées régulières de Sophie. Elle baissa la culotte jusqu'à mi cuisses, puis elle caressa les fesses de sa soeur.

- alors ma petite chérie, tu commences à regretter d'avoir fait une colère, tu ne voulais pas aller au coin fesses à l'air ce matin et bien maintenant ces dames peuvent admirer tes jolies fesses et elles vont même assister à ta fessée. J'espère que tu as bien honte de montrer tes fesses à tout le monde, la prochaine fois tu réfléchiras.

Daisy pleurait doucement, d'humiliation sans doute. Sophie leva la main et commença à claquer les fesses tendues de la pauvre Daisy. Elle était habituée aux fessées sévères, ça se voyait car au début, elle eu peu de réaction, mais Sophie augmenta rapidement l'intensité des claques et Daisy commença à réagir, d'abord en gémissant puis en remuant ses pieds. La fessée devint magistrale et la danse des fesses commença, elles s'ouvraient largement puis se resserrait.

- aïe aïe aïe, non, aïe pardon Sophie, aïe aïe aïe plus la fessée…

Daisy se comportait comme une gamine couchée sur les genoux de sa maman. Sophie était appliquée, elle ne fessait pas au hasard, chaque centimètre carré de la surface du postérieur de la punie devait recevoir son du, elle alternait la fesse droite puis la gauche, le centre des fesses, la base et ainsi de suite sans ralentir le rythme. Maintenant Daisy pleurait à chaudes larmes. Sophie nous regarda.

- voilà un derrière bien préparé, on va pouvoir passer à la punition, Julie tu peux me passer la brosse à cheveux qui est sur la table.

En entendant ses mots les pleurs de Daisy redoublèrent.

- non, non pas la brosse, pardon Sophie, j'ai déjà été bien punie, ça brûle, noon.

- mais ma petite chérie, ce n'est pas toi qui décide, je te rappelle, pour le moment tu montres tes fesses à tout le monde et si je juge que tu n'as pas été assez punie, tu n'as rien à dire. Cesse tes pleurnicheries, garde tes larmes pour la bonne fessée déculottée qui arrive!

Je lui avais tendu avec un plaisir non dissimulé le redoutable instrument de punition, je l'utilise assez souvent et mes punis savent que leur derrière va les brûler longtemps après la fessée à la brosse. C'était vrai cependant que la pauvre Daisy avait déjà reçu une punition sévère, ses fesses étaient déjà bien rouges mais j'avoue que je ne me lassais pas d'assister à cette correction. 



Sophie leva la brosse et Daisy se mit à hurler sous la brûlure de cette deuxième fessée, ses jambes battaient l'air de façon désordonnées mais sa soeur la tenait fermement par la taille, elle  administra quelques claques sur l'arrière des cuisses pour faire cesser ses battements de pied, Daisy pleurait de plus belle mais elle reposa ses pieds par terre, seules ses fesses s'ouvraient largement à chaque claque, dévoilant sa toison rousse de femme mûre. C'était vraiment excitant, je jetai un oeil sur Elisabeth je la sentais vraiment émue, elle se trémoussait sur le canapé au rythme de la fessée, soudain je m'imaginais l'avoir couchée sur mes genoux la culotte baissée, c'était certainement à envisager.

Sophie avait fini la fessée, elle garda Daisy un moment sur ses genoux, le temps qu'elle se calme puis évidemment elle l'a conduisit au coin de la pièce tenue par l'oreille.

- tiens ta jupe retroussée que ces dames voient bien tes jolies fesses bien rouges.

Daisy s'exécuta, elle marchait doucement, gênée par sa culotte enroulée autour de ses chevilles. Arrivée au coin, Sophie lui remonta la culotte à mi cuisses et épingla sa jupe bien haut dans le dos pour dégager le fessier rougeoyant.

- mains sur la tête et le nez contre le mur, je ne veux plus t'entendre !!

Puis elle se tourna vers nous, elle semblait ravie.

- voilà une bonne chose de faite, une bonne fessée déculottée aide à régler bien des problèmes n’est ce pas.

C’était bien notre avis, le week-end n’était pas fini et il y avait eu déjà beaucoup de derrière rougis.

 


-

 

.

6 commentaires:

  1. Une très joli histoire pour commencer l'année
    Nos 3 fesseuses méritent elles aussi de recevoir une bonne fessees deculottes ...Pas d'exception ni de mauvaises habitudes .....

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  2. Jattend avec impatience une nouvelle histoire merci par avance

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    1. Merci de vos compliments qui m'incite à continuer, ne soyez pas trop impatient, d'autres histoires avec des fesses bien rouges vont arriver.
      Sylvie

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  3. Merci beaucoup sylvie

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  4. J'aime beaucoup ton travail Sylvie. ces personnages sont issus de l'histoire de l'institut et je pense que beaucoup peut également être fait dans cette histoire. J'ai aimé le personnage d'Elodie dans cette histoire et je voulais voir si elle pouvait prendre le contrôle des autres. Attendra plus

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    1. Il y a effectivement quelques personnages qui sont commun à toutes mes histoires. Mais les récits de Julie sont indépendants de l'institut. Je n'ai pas prévu de faire apparaitre le personnage d'Elodie. Mais ne soyez pas trop impatient une suite est prévue.
      Sylvie.

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