mardi 26 août 2025

L'institut suite 9

 

Un plug pour Héloïse



Quand madame Rose arriva, Héloïse était couchée sur les genoux de Sophie pour la dernière fessée de la pénitence, elle s’arrêta pour regarder en souriant le fessier de la jeune femme.

— Ces fesses sont bien rouges, tu as eu des problèmes avec cette demoiselle ?

Sophie cessa la punition mais garda Héloïse en position, elle avait posé sa main sur la fesse droite de la jeune femme. Elle se fit un plaisir de raconter les difficultés qu’avait cette jeune patiente pour accepter le thermomètre et le suppo. Elle expliqua en détail les punitions qu’elle lui avait administrées. Héloïse écoutait en silence, elle sentait la main de la jeune assistante posée sur son derrière et le regard réprobateur de la directrice, ses fesses n’allaient certainement pas être au repos. Madame Rose s’approcha et palpa le fessier brûlant :

— Je crois que je vais encore avoir un entretien avec les fesses de cette jeune femme. Tu me l’enverras dès que tu auras terminé.

La fessée repris avec les supplications d’Héloïse, ce léger intermède avait permis aux fesses de retrouver leur sensibilité, la cuisson était pire.

Dès qu’elle fut relevée, Sophie après lui avoir remonté la culotte à mi-cuisse la conduisit, en la tenant par l’oreille, au bureau de madame Rose.

Celle-ci regarda d’un air gourmand la jeune étudiante, elle aimait fesser les dames d’âge mûr et les ramener à un rôle de gamine, mais les derrières bien rebondis et fermes comme celui d’Héloïse était très agréable à corriger. Elle fit un petit signe à Sophie pour qu’elle fasse pivoter la punie :

— Montre-moi le résultat.

La croupe bombée, d’un rouge profond, était magnifique, elle se contractait spasmodiquement pour atténuer la brûlure qui devait l’envahir, madame Rose adressa un sourire à son assistante :

— Joli travail, cette demoiselle a un derrière à fessée, je me demande si elle n’aime pas se le faire rougir. Mets-la au coin en attendant, il faut que ses fesses refroidissent un peu pour mieux sentir la suite.

Sophie s’exécuta et aborda le cas d’Agnès :

— Je ne sais pas ce que nous allons faire, ses fesses sont toujours aussi joufflues, bon c’est agréable pour lui donner la fessée, mais quand même.

Madame sourit à la remarque malicieuse de sa jeune employée, elle aimait donner la fessée ça se voyait, elle en recevait beaucoup mais en distribuait certainement plus. Avec Aurélie elle formait une bonne équipe, elle leur faisait entièrement confiance, cette petite Ambre avec son magnifique fessier et son petit air pervers serait certainement une bonne recrue.

Elle se fit expliquer le traitement d’Agnès :

— Effectivement on ne peut guère l’augmenter, mais on peut sans doute l’améliorer. Amène-la-moi.

Quelques instants plus tard, les joues rouges et les yeux larmoyants, Agnès entra dans le bureau, Sophie lui claquait le derrière pour la faire avancer, madame Rose avait pris son air sévère :

— Voilà notre délinquante, approchez !!

Comme elle l’avait fait pour Héloïse la jeune assistante la fit pivoter afin qu’elle présente son large derrière à la directrice de l’institut :

— Effectivement il y a du travail, comme pour Héloïse je te félicite, jolie couleur.

Elle s’approcha d’Agnès et lui saisit l’oreille :

— Venez un peu ici madame, je vais avoir une petite conversation avec vos fesses, je crois que vous avez beaucoup de choses à me raconter.

Elle s’était installée sur une chaise et elle bascula la responsable du magasin de lingerie en travers des ses cuisses. Elle commença à palper le derrière, le pinçant, écartant les deux bonnes grosses fesses :

— Pourquoi n’avez-vous pas suivi le traitement ?

Une magistrale claque avait accompagné la question, suivi d’un cri d’Agnès.

— Aïe, pardon madame, je, je… n’avais pas le temps… aïe, aïe, aïe…

Une dizaine de claques s’abattirent sur la croupe déjà très rouge :

— Vous vous moquez du monde, je vais vous apprendre.

Une énième fessée s’abattit sur les fesses de la pauvre Agnès, Héloïse, le nez collé contre le mur avait mal pour son amie, elle pensa « bientôt ce sera mon tour ».



Enfin madame Rose cessa de martyriser le plantureux derrière, Agnès sanglotait doucement. Calmement la sévère matrone posa sa main sur le fessier :

— Puisque vous semblez vouloir n’en faire qu’à votre tête, on va s’occuper particulièrement de vous. Vous allez continuer le traitement actuel jusqu’à ce que vos fesses aient diminué de volume et gagné en fermeté, vous viendrez donc matin et soir tous les jours, la séance dure environ une heure trente, vous serez là tous les matins à huit heures, ensuite vous irez au travail et vous aurez votre séance du soir à dix-huit heures. Pendant un mois vous viendrez en pénitence tous les midis, on en profitera pour vous mettre le suppo. Pour finir, comme vous avez besoin d’être surveillée, tous les week-ends vous irez à tour de rôle chez moi puis chez Sophie et Aurélie, comme ça vous n’aurez pas d’interruption du traitement et ça vous évitera de faire des bêtises, ceci jusqu’à ce que je juge le traitement suffisant.

Elle termina sa péroraison en administrant une bonne claque sur chacune des bonnes grosses fesses :

— Vous avez compris ?

— Oui madame Rose, aïe, aïe…

La directrice venait de lui administrer une dizaine de claques :

— Bien, vous allez pouvoir y aller, je vous attends ce soir à dix-huit heures pile pour votre traitement.

Elle se pencha et retira complètement la culotte.

— Vous êtes privée de culotte pour l’après-midi, ça permettra à vos fesses de refroidir.

Agnès se releva, elle devait avoir littéralement le feu aux fesses et le programme annoncé par madame Rose lui promettait de les avoir rouges quasiment en permanence. Sophie la raccompagna dans le secrétariat, elle la fit tourner pour lui dégrafer la jupe :

— Voilà, vous allez pouvoir travailler cet après-midi avec les fesses bien aérées.

Elle claqua une dernière fois le fessier avant de remettre la jupe en place.

— Soyez à l’heure.

Dans le box voisin, Aurélie s’occupait d’une jeune fille, Ambre assistait à la correction, comme la porte était ouverte, Sophie put constater que sa collègue ne lui avait pas permis de remettre sa jupe en place, son magnifique derrière cramoisi était parfaitement exposé. On distinguait le battement de jambes de la punie, ses fesses étaient masquées par la jeune femme.

Dans le bureau de la directrice une autre pièce se jouait, dès qu’Agnès eut quitté le bureau elle avait appelé Héloïse :

— Viens ici !!

Le tutoiement et le ton sans réplique avait impressionné la jeune femme, elle s’était retournée en gardant ses mains sur la tête, madame Rose était restée assise, elle lui fit un petit signe :

— En position jeune fille, nous avons à parler.

Héloïse compris que c’était surtout à ses fesses que la sévère matrone allait s’adresser, en un clin d’œil elle retrouva cette position qui lui devenait familière, pourtant une semaine auparavant elle n’aurait jamais cru cela possible, recevoir une fessée déculottée à son âge.

— Tu es bien installée ?

Madame Rose explora le joli derrière bien rouge, elle écarta les fesses largement, instruite par l’expérience la jeune femme se laissait faire.

— Alors comme ça tu n’aimes pas montrer ton petit trou.

Elle avait posé son doigt sur l’anus et le titillait :

— Il va falloir t’habituer ma petite sinon tu auras souvent les fesses rouges. Pour t’apprendre tu vas avoir droit à un plug pendant deux heures, si ce n’est pas suffisant et qu’on est encore obligée de sévir, ça sera une demi-journée puis une journée entière.

Elle prit un plug de petite taille et le posa sur la rondelle, Héloïse gémit en le sentant pénétrer :

— Cesse immédiatement ces jérémiades, je sais que c’est plus gros qu’un suppo mais la prochaine fois tu laisseras Sophie te le mettre.

La jeune fille sentait l’instrument de punition la pénétrer, elle essayait de ne pas contracter ses fesses, c’était une sensation nouvelle pour elle, c’était légèrement douloureux mais beaucoup moins qu’une fessée et elle sentait une légère excitation la gagner, comme quand Sophie avait fait coulisser le thermomètre. Il lui semblait que l’engin n’allait jamais finir de rentrer, madame Rose souriait, elle devinait la honte de la jeune femme, mais elle savait aussi qu’un plug était souvent excitant elle le ressortit puis le rentra encore plus profondément, il fallait que la punie le sente bien dans son fondement et qu’elle intègre sa punition.

— Tu le sens bien dans ton petit trou ? voilà il est bien en place, maintenant on va régler ton problème de désobéissance.



Elle prit la lourde brosse à cheveux et commença à fesser le derrière rebondi, sous la brûlure Héloïse se cabra et hurla, la douleur était intense, comme l’avait prévu l’experte fesseuse, le temps de coin avait permis aux fesses de refroidir légèrement et de retrouver leur sensibilité. La fessée n’en était que plus douloureuse donc plus efficace. Héloïse la gratifia d’une jolie danse des fesses.

— Maintenant, tu files voir Sophie qu’elle te remette au coin, ton derrière va illuminer le secrétariat.

Héloïse, les joues baignées de larme, quitta le bureau, madame Rose la regarda s’éloigner en souriant, cette petite avait vraiment une jolie paire de fesses. Elle aurait peut-être du mal à s’asseoir ce soir.

Sophie leva les yeux en entendant la punie arriver :

— Tu as chaud aux fesses ? Montre-moi ça.

Docilement Héloïse présenta son fessier, il était littéralement cramoisi après la dernière fessée à la brosse. L’assistante s’approcha et passa un doigt sur les fesses :

— Madame Rose t’a bien soignée dis-moi. Tu recommenceras à serrer les fesses quand je te mettrai le thermomètre ?

— Non, non mademoiselle Sophie.

Elle écarta les deux fesses :

— Et le plug ? c’est bon ?

Héloïse se mit à gémir :

— Oh non mademoiselle, c’est gros… Aïe.

La main de Sophie venait de claquer le derrière de la jeune étudiante :

— Cesse de chouiner, si tu n’avais pas fait toutes ces histoires pour te faire mettre le thermomètre et le suppositoire, tu n’en serais pas là. Que t’as dit madame Rose ?

Héloïse se mit à pleurnicher :

— Je… je dois aller au coin…

— Eh bien qu’est-ce que tu attends, file !

Une magistrale claque sur le derrière écarlate indiqua la direction à la jeune femme.

La punie regagna à nouveau ce coin où elle avait passé de longs moments depuis ce matin, c’était humiliant d’exposer ainsi sa croupe bien rouge, mais c’était beaucoup mieux que d’être couchée sur les genoux d’une dame de l’institut en train de recevoir une fessée. Dans un coin elle aperçut une autre paire de fesses juvénile qui avait la même couleur que les siennes.

C’était la jeune fille qui recevait la fessée au moment où Agnès quittait l’institut, elle s’appelait Clémentine, elle en eu la confirmation quand Aurélie s’approcha d’elle pour lui palper le derrière :

— Cesse de te tortiller comme ça ma petite Clémentine, tu en as encore pour une demi-heure et je pense que tes fesses seront encore rouges quand tu retourneras à l’école.

Ambre faisait le ménage, elle était toujours les fesses à l’air, Aurélie ayant décidé que son derrière méritait d’être exposé en permanence. C’était un spectacle particulièrement coquin que de la voir se pencher ou tortiller ses fesses bien rouges, les deux assistantes la regardaient, amusées :

— Notre petite stagiaire met du cœur à l’ouvrage, tu ne trouves pas que son derrière a un peu trop pâli ?

Sophie n’avait pas fessé Ambre depuis la veille et sa main la démangeait, sa collègue la regarda en souriant :

— Toi, je crois que tu aimerais bien lui en flanquer une.

— Tu as deviné ! Un si beau fessier ça mérite d’être entretenu et puis si on la met au coin à côté des deux autres chipies, on pourra comparer les couleurs.

Aurélie se mit à rire :

— Très bonne idée, tu vas utiliser quoi pour lui tanner le derrière ?

— Elle a goûté à quoi depuis ce matin ?

— On va lui demander et si elle se trompe elle aura droit à une double fessée. Ambre vient un peu là.

La jeune stagiaire leva la tête en rougissant, elle n’avait rien perdu de la discussion la concernant, son derrière s’était crispé en entendant la dernière phrase d’Aurélie, elle s’approcha :

— Tourne-toi qu’on voit bien ton derrière et tu expliques à Sophie combien je t’ai donné de fessées et avec quoi ?

Ambre tendait sa croupe écarlate, elle espérait amadouer les deux assistantes en leurs présentant bien son fessier. Elle avait tort, car ces deux-là aimaient vraiment les fesses des dames, en avoir de très appétissantes à disposition ne pouvaient que leur donner des idées.

— Euh… j’ai reçu cinq fessées… avec la main, euh… aïe, aïe…

— Dépêche-toi un peu !

La main d’Aurélie venait de claquer très sèchement le derrière de la jeune femme.

— Oui, oui, pardon mademoiselle Aurélie, avec mademoiselle Claquefesse, avec madame Tapecul et…

Elle hésita, depuis le début de son stage, ses fesses avaient goûté à tellement d’instruments qu’elle s’y perdait un peu. Sophie fit un petit clin d’œil à sa collègue :

— Je crois que cette chipie à besoin qu’on lui rafraîchisse la mémoire. Une double fessée, ça te dit ?

— Oh que oui, il faut que notre petite Ambre découvre ça.

Elle disposa une deuxième chaise en face de celle qui avait servi pour les diverses fessées de la journée et elles s’installèrent face à face, les genoux de l’une, s’insinuaient entre les cuisses de l’autre formant une plate-forme. Sophie tendit la main et attrapa Ambre par le poignet puis elle la fit se coucher sur les quatre cuisses :

— Allez en piste ma petite, tu vas goûter à une spécialité maison.

Elles se regardèrent pour bien coordonner la fessée, c’est Sophie qui administra la première claque sur la fesse droite, Ambre eu à peine le temps de crier que la main d’Aurélie s’abattait sur la gauche. Dès que la main de l’une se relevait, l’autre atteignait la fesse, il n’y avait aucune interruption dans la brûlure, même une fessée donnée très rapidement ne pouvait atteindre ce rythme.



Le derrière de la jeune stagiaire ressemblait à un brasier ardent, mais ce fut bientôt pire car délaissant la fessée manuelle, les deux perverses saisirent chacune une mademoiselle Claquefesse, ses cris furent déchirants, les pleurs se mêlaient au bruit infernal des deux spatules en cuir claquant la peau nue.

Héloïse et Clémentine, les deux punies qui étaient au coin, serraient les fesses en entendant cette magistrale correction, elles étaient finalement contentes d’être en pénitence.

Après la fessée avec mademoiselle Claquefesse, le derrière d’Ambre bien que fumant et cramoisi goûta une courte correction avec la redoutable paddle, madame Tapecul.

Estimant que les fesses de leur future collègue avaient été suffisamment corrigées, elles cessèrent de les claquer :

— Alors ma petite chérie, ta mémoire t’es revenue ?

Ambre sanglotait toujours, sa croupe la brûlait atrocement.

— Oui… mademoiselle… ça brûle…

— C’est fait pour ça ma chérie, alors ?

— Euh, le martinet, la babouche en cuir…

— Eh bien, nous y voilà, c’est curieux comme une bonne fessée peut être efficace… Tu vas retourner au travail, je viendrai vérifier tout à l’heure si ce box est correctement nettoyé, si ce n’est pas le cas, je te ferai goûter à un autre instrument. Allez file !!

Héloïse était restée une heure au coin, Sophie jugea que ses fesses avaient besoin de reprendre un peu de couleur, elle l’appela alors qu’une patiente entrait :

— Bonjour, si vous permettez, je dois d’abord m’occuper des fesses de cette demoiselle, je suis à vous tout de suite.

Elle courba la jeune étudiante sous son bras et lui administra une rapide mais cuisante fessée avec mademoiselle Claquefesse, celle-ci trépigna sur place sous le regard amusé de la dame.

Recevoir une vraie fessée en public voilà qui était nouveau, elle n’avait reçu ce châtiment humiliant que devant des gens qu’elle connaissait plus ou moins, maintenant elle pleurait autant de honte que de douleur de la recevoir devant une inconnue.

Pour compléter son humiliation, Sophie la fit se coucher sur la plate-forme à côté de son bureau. Sa croupe écarlate était étalée devant les yeux de toutes les clientes. La position laissait également entrevoir le plug qui garnissait son petit trou.

Satisfaite, Sophie se tourna vers la dame :

— Je suis à vous.

— Bonjour, mademoiselle quelle technique, je vous félicite, cette demoiselle a vraiment une magnifique paire de fesses. Une amie, la baronne De Nouvel m’a parlé de votre service de fessées à domicile, je suis intéressée.

Tout en parlant la dame énergique jetait de temps en temps un regard intéressé aux fesses d’Héloïse, elles étaient vraiment ravissantes. Elle expliqua qu’elle dirigeait à la suite de sa mère un petit atelier de confection, celle-ci y faisait régner une stricte discipline. Elle ajouta dans un sourire en regardant le fessier cramoisi de la jeune femme :

— Maman obtenait de très bons résultats en rougissant de cette façon les derrières de ses employées. Mais malheureusement depuis qu’elle est disparue je me sens un peu démunie pour faire régner l’ordre dans l’atelier, il y a du relâchement, les plus âgées des dames m’ont connue plus jeune et elles m’ont vue recevoir la fessée par maman, je ne me sens pas très légitime pour les corriger.

Sophie avait écouté en silence :

— Effectivement il est temps de reprendre les choses en main. Vous n’avez donc pas administré la moindre fessée depuis la disparition de votre mère ?

— Non… Depuis trois mois aucun derrière n’a pris l’air dans l’atelier, alors que du temps de maman c’était quotidien.

— Et pour vous c’est pareil ?

Blandine, c’était le nom de la jeune femme la regarda étonnée :

— Comment ça pour moi ?

— Oui, vous n’avez pas été déculottée depuis plus de trois mois ?

La cliente piqua un fard et baissa les yeux, Sophie n’y avait pas été par quatre chemins, le mot déculottée était explicite.

— Euh, non, c’est-à-dire, c’est un peu gênant.

Sophie était devenue psychologue, elle savait immédiatement si elle avait affaire à une soumise ou à une dominatrice, Blandine se rangeait dans la première catégorie, il était temps de ferrer le poisson :

— Pas plus gênant que de regarder les fesses rouges d’Héloïse, venez ici !

La jeune femme chercha à protester, mais Sophie la tenait déjà par le poignet :

— Vous désirez bénéficier de notre service de fessées à domicile, je vous propose une séance d’essai gratuite.

En un clin d’œil, Blandine se retrouva dans une position qui ne lui était pas inconnue puisque c’était celle qu’utilisait sa mère pour la fesser. Sophie ne s’embarrassa pas de fioriture, la jupe vola sur les reins, dévoilant des dessous sexy et une jolie paire de fesses, bien joufflue mais qui paraissait ferme malgré tout, le déculottage fut tout aussi rapide et la fessée manuelle également.




Héloïse malgré sa position humiliante était satisfaite que la dame qui avait pu assister à sa fessée et admirer son fessier, reçoive elle aussi ce châtiment enfantin. Blandine avait l’air d’être habituée à recevoir de sévères corrections, car si elle avait crié et battu des jambes, elle n’avait pas pleuré, pourtant comme à son habitude, Sophie n’avait pas ménagé sa peine. Elle palpa le fessier, il était rouge et chaud, mais pas brûlant :

— Après cette fessée d’échauffement que nous proposons comme service de base, je vais vous faire goûter à l’une de nos spécialités maison.

Elle avait à la main la paddle percée appelée madame Tapecul, celle-ci s’écrasa avec un bruit sec sur la croupe déjà rouge et les cris de la dame reprirent de plus belle, Sophie ne cessa la punition que quand Blandine se mit à pleurer.

— Nous y voilà, la maison garantit ses fessées, les dames qui la reçoivent finissent toujours avec un derrière brûlant et des larmes qui coulent.

Elle fit relever la dame, celle-ci porta les mains à ses fesses, Sophie la regarda sévèrement ce qui eu pour effet immédiat de lui faire mettre les bras le long du corps :

— Reculottez-vous. Pas de passage au coin pour aujourd’hui, mais ça ne sera pas toujours le cas.

Tandis que Blandine remontait sa culotte, elle posa sur son bureau une brochure :

— Vous avez là toutes nos prestations, je vous laisse réfléchir, si vous êtes d’accord avec nos propositions, il vous faudra avoir un rendez-vous avec madame Rose la directrice de l’institut.

La nouvelle cliente remercia et quitta le secrétariat non sans avoir jeté un dernier coup d’œil au derrière d’Héloïse. Sophie le palpa :

— Encore un quart d’heure, tu vas rester là tes fesses sont bien mises en valeur.






mardi 19 août 2025

L'institut suite 8

 

Traitement et punition du midi



À huit heures pile, elles se retrouvèrent à la porte de l’institut, Agnès fit une bise à sa nouvelle jeune maîtresse. Héloïse lui sourit en posant sa main sur son derrière :

— Ça va ce matin ? Ton gros popotin te cuit encore.

La dame qui aurait pu être sa mère ne s’offusqua pas de ce geste, elle eut sourire coquin :

— Tu fesses bien pour ton âge mais Mado avait une main encore plus sèche, quant aux deux chipies de l’institut je ne t’en parle même pas. J’ai beau avoir l’habitude je ne peux pas m’empêcher de serrer les fesses sous ma culotte.

Elles discutaient encore quand Ambre leur passa devant. Elle ne les regarda pas, elle avait l’air soucieuse, Héloïse fut surprise de sa tenue de collégienne et de cette jupe ultra courte qui montrait presque sa culotte. Son visage ne lui était pas inconnu, elle commença à réfléchir et juste au moment où la jeune femme disparaissait, elle se souvint d’elle. Mais oui, c’était Ambre, cette coquine qui était dans sa classe au collège, elle n’avait pas trop changé, déjà à quatorze ans elle était fière de ses fesses, depuis elles avaient pris du volume et de la fermeté.

Héloïse se mit à rire intérieurement « toi ma petite, tu ne vas pas avoir froid au derrière, avec un popotin pareil, j’en connais deux qui vont se régaler ». Elle n’avait pas tort, à peine étaient-elles entrées dans le secrétariat que des éclats de voix se firent entendre, suivi du bruit si caractéristique dans ses murs, celui de la main claquant la peau nue :

— Je vais t’apprendre à répondre, ton derrière était encore rosé, mais je te garantis qu’il va être rouge.

— Non, non, aïe, aïe pardon mademoiselle Aurélie…

C’était bien la voix aiguë d’Ambre, elle n’avait pas changé, la porte s’ouvrit et Aurélie apparut tirant la jeune femme par l’oreille, elle était gênée pour marcher par sa culotte entravant ses genoux :

— On va commencer la journée par une bonne fessée cul nu devant tout le monde !!

Ambre était à peu près de la même taille qu’Aurélie, elle était musclée, mais la jeune assistante avait une grande habitude, elle distribuait les corrections plusieurs fois par jour, en un clin d’œil elle la souleva et la percha sur sa cuisse horizontale, la jupe remontée par la position dévoilait déjà la magnifique croupe, une fois retroussée, l’orgueilleux derrière apparut dans toute sa splendeur. Héloïse avait vu juste, cette paire de fesses musclées et bien ferme était vraiment volumineuse, des fesses à fessée comme on les aimait à l’institut.

Le derrière était déjà rouge de la première fessée reçue dans le box, mais ce n’était bien sûr pas suffisant, il fallait que les fesses brillent de mille feux, qu’elles fument comme disaient les deux assistantes quand elles voulaient administrer une magistrale fessée.

La pauvre Ambre avait déjà reçu un nombre considérable de fessées depuis qu’elle avait commencé son stage, mais celle-là compterait parmi les plus mémorables.

Héloïse et Agnès avaient assisté avec ravissement à la correction de la jeune femme, ce serait bientôt leur tour de montrer leurs fesses et connaissant Sophie nul doute qu’elles seraient rouges également. Héloïse se souvenait de la manie qu’avait sa copine de collège de claquer les fesses de ses camarades où même de leur baisser leurs leggings quand elles ne s’y attendaient pas, aujourd’hui c’était son tour de montre son derrière et d’effectuer une magnifique chorégraphie avec ses jambes qui pédalaient dans le vide et ses fesses qui s’ouvraient largement.

Sophie était assise au secrétariat, elle regarda les deux spectatrices :

— À nous maintenant, dans le box numéro deux, en culotte et soutien-gorge, vite !

Héloïse et Agnès furent déçues de ne pas assister à la fin de la correction, Aurélie venait de prendre mademoiselle Claquefesse et Ambre s’était mise à pleurer.

Instruites par l’expérience, elles se dépêchèrent de se dévêtir, Agnès avait abandonné les bas et porte jarretelles elle avait mis des bas autofixants et une jolie culotte rose ornée de dentelle qui avait bien du mal à contenir son plantureux popotin. Héloïse avait opté pour une culotte blanche assez échancrée qui laissait voir la base de son postérieur. Sophie entra en souriant :

— C’est bien vous n’avez pas traîné, ça vaut mieux pour vous, je viens de voir que vous êtes punies à midi, Aurélie m’a raconté, c’est du joli !!

Elle se tourna vers Agnès :

— Vous étiez passée où ? Je viens de voir votre dossier, votre dernière séance remonte à deux mois et les résultats n’étaient pas brillants.

Elle s’approcha de la dame de quarante-cinq ans qui rougissait comme une gamine grondée par son institutrice, elle la fit pivoter et pinça le morceau de fesses qui dépassait de la culotte :

— Eh bien, ça ne s’est pas arrangé, on en était déjà à deux séances par jour et trois suppos, on va commencer comme ça, mais je crains que cela ne soit pas suffisant, je verrai avec madame Rose.

Agnès ne répondit pas, mais comme elle l’avait dit à sa jeune amie, ses fesses étaient serrées sous sa culotte.

— On va passer aux mensurations, pour toi Héloïse c’est déjà fait, allonge-toi que je te mette le thermomètre, ça va nous faire gagner du temps.

La jeune femme frissonna, le ton sans réplique de la jeune assistante l’impressionnait, elle ne savait pas si elle allait décontracter ses fesses suffisamment. Elle s’allongea sur le ventre, Sophie plaça un coussin sous son abdomen et tapota le fessier tendu :

— Jolie culotte, mais un peu trop échancrée, tu t’es déjà fait confisquer celle d’hier, je crains que madame Rose n’apprécie pas non plus celle-ci.

Elle glissa ses doigts sous la lingerie et déculotta largement la jeune femme, même si elle commençait à avoir l’habitude de montrer son derrière, elle ne put s’empêcher de serrer les fesses, la raie médiane ne faisait plus qu’un trait au milieu des deux hémisphères. Sophie souriait, c’était toujours pareil avec les nouvelles, elles avaient un peu de mal avec le déculottage. Au cours du temps, elles s’habituaient à se faire baisser la culotte et à exposer leur derrière dénudé, elle prit un thermomètre et palpa le fessier :

— Il va falloir me desserrer ça ma petite, Aurélie m’a expliqué qu’elle avait dû te rougir le derrière, j’espère que tu as compris.

Héloïse se concentra pour relâcher ses muscles fessiers, elle savait que la perverse assistante n’attendait qu’une occasion pour lui flanquer une fessée. Elle sentit ses deux doigts se glisser dans la raie pour l’écarter, même si elle n’était pas une oie blanche et qu’elle jouait à des petits jeux pervers avec ses copines, se faire examiner son intimité ainsi était particulièrement honteux, surtout que Sophie savait y faire. Tout en tenant les fesses largement écartées elle posa son doigt sur l’anus de la jeune femme :

— On dirait que tu n’aimes pas montrer ton petit trou ma chérie, il va pourtant falloir que tu t’y habitues, ça fait longtemps que maman ne te prends plus la température ?



Héloïse était mortifiée d’être traitée comme une gamine, mais elle ravala sa fierté, Sophie avait la main leste. Elle sentit l’embout du thermomètre pénétrer doucement dans son fondement, la jeune assistante savait y faire, elle le fit coulisser, le rentrant puis le sortant :

— Détends-toi ma chérie, il ne peut pas rentrer ce n’est pas normal, fait un effort sinon c’est panpan cucul.

Elle poussa doucement sur l’instrument médical, mais les muscles du sphincter résistait, elle le retira complètement :

— On va passer aux bonnes vieilles méthodes, lève-toi !

Héloïse aperçut le sourire malicieux d’Agnès, celle-ci avait assisté avec un plaisir non dissimulé au traitement humiliant de sa jeune amie. Elle se jura de lui faire payer ce sourire ironique « tu vas voir ce soir ma chipie, tes fesses vont te cuire ». Sophie s’était installée sur une chaise et elle bascula sa patiente en travers de ses genoux :

— Je pense que tes fesses ont besoin d’être rouges pour se détendre.

La fessée pétarada immédiatement dans la pièce et Héloïse accompagna le bruit des claques sur ses fesses par un joli chœur de cris, de gémissements puis de pleurs. Son derrière était écarlate quand Sophie cessa la punition, elle écarta immédiatement les deux hémisphères rubiconds et comme par enchantement le thermomètre trouva son chemin et pénétra profondément sous les gémissements d’Héloïse, ce qui lui valu quelques claques supplémentaires :

— Vas-tu cesser de chouiner, tu veux une autre fessée ?

Elle la fit relever :

— Tu te remets en position et je ne veux plus t’entendre, tu as gagné une demi-heure de coin au secrétariat après ta séance.

Agnès avait apprécié le spectacle, mais c’était maintenant son tour, Sophie innova elle la déculotta avant de la faire monter sur la balance. Une bonne claque au milieu du fessier l’incita à se presser, c’était excitant de voir cette dame d’âge mûr la culotte à mi-cuisse, exposant son plantureux derrière, monter sur le pèse personne. Puis ce fut les mensurations des fesses des cuisses et de la taille. Sophie notait scrupuleusement sur l’ordinateur, elle fit une petite grimace quand ce fut fini :

— C’est bien ce que je pensais, le logiciel va mouliner tout ça, mais au vu des chiffres, un traitement standard ne suffira pas. Allez, en piste pour le thermomètre.

Agnès avait l’habitude, elle se laissa prendre la température sans difficulté, ce ne fut pas du goût de Sophie qui lui administra quand même une petite fessée en la morigénant :

— Ce n’est pas possible de se laisser aller comme ça, croyez-moi, je vais vous soigner, vous en avez pour un moment à venir me présenter vos bonnes grosses fesses.

Aurélie passa la tête par la porte :

— Ça se passe bien avec ces deux chipies ?

Elle vit le derrière écarlate de la jeune étudiante :

— Ah mademoiselle a encore eu du mal avec le thermomètre.

Sophie se mit à rire :

— Oui mais à force d’avoir le derrière bien rouge, on va y arriver.

Aurélie remarqua les fesses à peine colorées d’Agnès :

— Tu sais que cette dame a omis de revenir nous voir, je pense qu’en plus de son traitement, il faut lui prévoir quelque chose.

— Ne t’inquiète pas, elle aura un joli derrière bien rouge pour la pénitence du midi, tu en es où avec notre petite Ambre ?

— Elle vient de prendre un lavement, je lui laisse cinq minutes avec la canule dans les fesses, ensuite elle a rendez-vous avec madame Rose, elle doit lui mettre un plug pour le reste de la journée.

Sophie qui avait déjà goûté à ce genre de punition fit une grimace :

— Jusqu’à ce soir ? Eh bien cette petite a droit à un stage complet. Combien de fessées ?

— Deux seulement, j’ai été gentille.

Sophie esquissa un sourire :

— C’est vrai, cette chipie à vraiment un fessier adorable, un vrai plaisir de le lui claquer, il est tellement ferme que la main rebondit et puis il prend tout de suite une jolie couleur. Elle est mignonne comme tout quand elle gigote en travers de tes genoux, malheureusement pour elle, je crois que madame Rose a un faible pour son derrière.

Aurélie se mit à rire :

— C’est bien ça mettra les nôtres au repos.

Malgré sa honte d’exposer son derrière, Héloïse avait écouté avec plaisir les deux assistantes parler du sort de son ancienne copine. Elle ne savait pas encore pourquoi elle était là, elle le saurait bien assez tôt.

Le traitement se déroula sans accroc majeur, bien qu’elle ait déjà les fesses chaudes, la jeune femme n’échappa pas à la solide fessée destinée à chauffer l’épiderme du postérieur, elle s’allongea à nouveau sur la table d’examen avec une bonne couche de crème qui masquait à peine la rougeur de ses fesses. Sophie réserva un traitement spécial au bon gros derrière d’Agnès, habituellement les patientes n’avaient droit qu’à la main pour échauffer les fesses, mais elle eut droit en plus à mademoiselle Claquefesse. Elle pleurait à chaudes larmes quand la jeune femme lui créma le derrière.

Elles étaient là depuis déjà une bonne demi-heure, Sophie leur annonça qu’elle resterait ainsi les fesses exposées pendant encore une autre demi-heure, elle laissa la porte du box grande ouverte et vaqua à ses occupations. Elle avait à préparer sa visite hebdomadaire chez la baronne, elle l’appela pour connaître ses desiderata quant aux punitions prévues pour le personnel du château.

Aurélie s’occupait d’une jeune fille dans un box voisin, ça claquait dur.

Agnès et Héloïse avaient terminé leur traitement par une demi-heure au coin les fesses à l’air.

Héloïse avait repris une fessée supplémentaire au moment de l’introduction du suppositoire, Sophie lui avait annoncé :

— Tu vas t’y habituer ma chérie, sinon je vais être obligée de t’en mettre encore plus souvent.



Sophie regarda sa montre, il était onze heures trente et les deux punies étaient convoquées à midi pour la pénitence, elle décida d’être magnanime :

— Reculottez-vous, je vous laisse libre jusqu’à midi. Vos jolies fesses vont se reposer un peu. Mais soyez à l’heure.

Les deux amies se retrouvèrent dehors, un café se trouvait juste en face, elles y entrèrent. La serveuse leur jeta un regard ironique, elle les avait vu sortir de chez madame Rose. Les précautions qu’elles prirent pour s’asseoir confirma son impression, comme beaucoup de dames sortant de l’institut, ces deux-là devaient avoir une paire de fesses bien rouges sous leur culotte. Elles commandèrent un café.

— Cette garce de Sophie a toujours la main aussi sèche, je l’avais oublié.

Agnès glissa sa main sous son popotin et se mit à le frotter discrètement, ce qui fit sourire sa jeune amie

— Madame à chaud aux fesses, je te rappelle que ce soir je reviens m’en occuper.

Agnès fit une grimace et minauda :

— Oh non, s’il te plaît avec ce que je vais recevoir tout à l’heure.

Héloïse prit son air sévère :

— Apparemment ça n’a pas suffi hier, tu sais bien que chaque fois que tu protestes tu as droit à une fessée supplémentaire. Tu en recevras donc deux.

Agnès la regarda estomaquée, elle était de plus en plus surprise par Héloïse qui était aussi sévère que ses deux précédentes fesseuses. En même temps elle ne pouvait s’empêcher d’avoir un tendre sentiment pour elle.

Elle la regarda amoureusement :

— Oui mademoiselle, pardonnez-moi.

La serveuse leur apporta le café et leur demanda ironiquement :

— Vous êtes bien installées, les sièges sont confortables.

Sans attendre la réponse, elle tourna les talons, son fessier était moulé dans une jupe étroite, Héloïse se retient pour ne pas lui administrer une bonne claque dessus.

Agnès regarda sa montre, il était temps d’y aller. Elles virent Élisabeth arriver, Héloïse se tourna vers Agnès :

— Elle était déjà la hier, décidément ses fesses ne doivent pas être souvent blanches.

— Je la connais, effectivement elle est très souvent à l’institut, les deux chipies adorent son derrière. Si j’ai bien compris c’est une baronne et malgré on âge, sa mère a décidé qu’elle devait recevoir la fessée régulièrement. Quand ce n’est pas Sophie ou Aurélie qui la convoque, c’est sa mère qui l’envoie.

Elles entrèrent à la suite de la baronne De Nouvel, Aurélie sortait du box, elle leur jeta un regard moqueur :

— Alors les chipies, vos fesses sont reposées ? Sophie va s’en occuper.

Ambre se tenait à côté de Sophie, elle avait les yeux rougis, derrière elle suspendue à son crochet, sa culotte était exposée.

— C’est bien vous êtes à l’heure, tournez-vous.

Sophie prenait la direction des opérations, elle s’adressa à sa future jeune collègue :

— Tu retrousses les jupes des punies. Tu as des épingles ?

Ambre lui montra, il y avait une petite poche dans sa jupe. Elle se dirigea vers les trois dames qui lui tournait le dos. Elle commença par Élisabeth, celle-ci portait sa culotte de gamine, en coton blanc, qui jurait un peu avec ses bas et porte jarretelles de dame, elle lui tapota le derrière culotté, bientôt ce serait à elle de claquer ces derrières de bourgeoises.

Puis ce fut au tour d’Agnès d’exposer sa lingerie fine et son fessier qui en débordait largement. Elle eut droit elle aussi à une claque sur la base du derrière.

Ambre avait reconnu son ancienne copine, elle lui retroussa lentement la jupe, la culotte échancrée en dentelle dévoilait beaucoup le derrière rebondi, après avoir épinglé la jupe elle se tourna vers Sophie :

— Cette forme de culotte est autorisée ?

Elle claqua deux fois très sèchement la partie découverte des fesses. Sophie appréciait les initiatives de la jeune femme, c’était une bonne recrue.

— Je ne pense pas, notre petite Héloïse va encore être privée de culotte pour rentrer chez elle.

Elle se dirigea vers le râtelier à instrument, trois fessiers mais quatre instruments, Ambre compris qu’encore aujourd’hui elle serait soumise au même traitement que les punies. Sophie posa devant elle une brosse à cheveux, mademoiselle Claquefesse, un martinet et une babouche avec semelle de cuir. Elle ne proposa pas à la jeune stagiaire de choisir, elle avait déjà décidé quel fessier goûterait tel instrument.

Les trois punies lui tournaient toujours le dos, elles avaient posé naturellement leur main sur la tête, on sentait les fesses crispées sous la lingerie, Sophie s’approcha en souriant et palpa successivement les trois paires de fesses :

— Qui va venir en premier sur mes genoux pour que je la déculotte ?

Elle les laissa dans l’expectative et se tourna vers Ambre :

— Viens un peu ici.

Surprise du changement de ton, la jeune femme s’approcha, Sophie la fit pivoter et retroussa la courte jupette. Les fesses étaient encore bien colorées, elle la courba sous son bras :

— Écarte les jambes.

Une claque sèche au milieu du fessier incita Ambre à s’exécuter rapidement, l’assistante écarta les fesses, la rondelle du plug apparu au centre de la raie fessière.



— Un numéro trois, madame Rose t’a gâtée. Tu le sens bien dans ton petit trou ?

Elle palpa le fessier si ferme et si attrayant pour une fesseuse.

— On va remettre un peu de couleur.

La main sèche claqua une centaine de fois la croupe de la jeune femme qui trépigna sur place. Puis elle la relâcha et lui dit en souriant :

— Elles sont parfaitement échauffées pour la suite, Élisabeth venez ici.

La baronne se tourna et s’approcha, Sophie la bascula sans ménagement sur ses genoux, la déculotta et lui administra la traditionnelle fessée à la main et comme à son habitude la fière bourgeoise se comporta comme quand elle était gamine et que sa mère la corrigeait. Une fois remise sur ses pieds, Sophie lui indiqua le mur :

— Au coin, vilaine fille !

La baronne n’aurait même pas la maigre consolation d’assister à la fessée de ses deux compagnes d’infortune, elle ne les verrait pas gigoter et battre des jambes sur les genoux de la jeune assistante.

Pourtant le spectacle offert par Agnès fut magnifique, les spectatrices constatèrent que son bon gros fessier savait encore danser, ses larges fesses s’ouvrirent et se serrèrent sous l’intensité des claques de Sophie.

Héloïse était impressionnée, elle commençait à avoir l’habitude de recevoir la fessée, mais ce serait sa première correction réellement publique et se faire déculotter restait quand même une épreuve. En voyant les contorsions et les pleurs d’Agnès, elle devinait que l’épreuve en plus d’être humiliante serait très douloureuse. Elle n’avait pas tort, quelques instants plus tard elle gisait en travers des cuisses de Sophie le derrière cramoisi, pleurant à chaudes larmes après la magistrale fessée qu’elle venait de recevoir.



Agnès était à côté d’Elisabeth, le nez contre le mur exposant sa croupe non moins rouge, Héloïse les rejoignit après avoir été stimulée par une bonne claque administrée au milieu de son fessier rougeoyant.

Les trois paires de fesses illuminaient la pièce, elle se tourna vers Ambre :

— C’est quand même mignon des fesses bien rouges.

Elle décida d’inverser l’ordre des punitions, elle avait réservé le martinet aux fesses rondes et musclées d’Héloïse, elle demanda à Ambre d’aller la chercher pour la mettre en position. La jeune stagiaire était ravie de cette responsabilité, saisir par l’oreille son ancienne copine pour la faire coucher sur la plate-forme destinée à la punition au martinet fut un vrai plaisir pervers, elle se permit de tapoter le derrière bien rouge d’Héloïse et de lui glisser :

— Tu es bien installée ? Tes fesses sont ravissantes.

Celle-ci ne répondit pas, humiliée d’être ainsi traitée par cette petite peste, sa croupe était parfaitement présentée, Ambre aurait bien aimé manier le martinet, mais Sophie ne lui proposa pas.

— Cinquante coups pour ce joli derrière.

Héloïse se mit à gémir :

— Oh non mademoiselle… mes fesses sont déjà brûlantes…

Sophie passa sa main sur le derrière en souriant :

— C’est vrai ma chérie, on va donc dire soixante pour t’apprendre à récriminer.

La jeune étudiante faisait l’apprentissage douloureux des coutumes de l’institut, se plaindre valait toujours une augmentation de la punition. Elle ne répondit pas se contentant de pleurer. Soixante coups de martinet, son derrière allait-il les supporter, elle apprendrait rapidement qu’un beau derrière féminin comme le sien pouvait en recevoir bien plus. Les lanières claquaient inlassablement la croupe orgueilleusement exposée, la brûlure descendait même sur le haut des cuisses que la sévère jeune femme n’épargna pas. Quand la correction fut terminée, Sophie chargea Ambre de la remettre au coin, ce qu’elle fit avec un plaisir non dissimulé, quelques claques généreusement distribuées accompagnèrent cette marche honteuse.

Pendant ce temps Sophie avait installé Agnès sur ses genoux, les plantureux derrière goûterait à la brosse à cheveux, puis Élisabeth fut mise elle aussi en position disciplinaire et mademoiselle Claquefesse se chargea de lui rôtir les fesses.

Pendant qu’elle pleurait étalée en travers des cuisses de Sophie, Ambre osa une question :

— Élisabeth vient tous les jours ?

La jeune femme caressa le derrière brûlant en souriant :

— Notre petite Élisabeth a besoin de recevoir régulièrement la fessée, je dirais quasiment quotidiennement. C’est une chipie et l’âge n’y fait rien si on lui lâche la bride elle fait des bêtises. La semaine dernière elle a été désobéissante, sa maman nous l’a confiée. Je pense qu’à la fin de la semaine elle n’aura pas envie de recommencer.

Elle tapotait le derrière tout en parlant :

— Elle a vraiment un magnifique derrière, on dirait qu’il a été fait pour recevoir la fessée.

Élisabeth rejoignit ses compagnes d’infortune et Sophie se tourna vers Ambre :

— Je vais te faire goûter à la babouche à semelle de cuir, c’est madame Rose qui l’a ramené du Maroc, les mamans s’en servent beaucoup là-bas. C’est pratique elles sont toujours à disposition.

Elle utilisa la position en équilibre sur sa cuisse qu’Ambre avait déjà expérimentée, elle put battre des jambes à sa guise, les mains cramponnées à la chaise sur laquelle Sophie avait posé son pied. Effectivement la fessée à la babouche était vraiment cuisante, Ambre se jura de l’utiliser souvent quand elle aurait le droit de fesser.

Les quatre fessiers écarlates étaient parfaitement exposés, Sophie put s’installer à son bureau pour discuter avec ses copines sur WhatsApp.

Soudain elle songea qu’Agnès n’avait pas eu son deuxième suppositoire, elle appela Ambre :

— Tu peux venir ici, je vais t’expliquer comment mettre un suppo dans le derrière d’une dame.

Elle alla chercher Agnès et l’installa en travers de ses cuisses. La responsable du magasin de lingerie avait l’habitude des petites humiliations, mais celle-ci était particulière, elle savait que cette très jeune femme qui aurait pu être sa fille allait assister à l’écartement de ses fesses et à l’introduction du suppositoire dans son petit trou.

Les doigts de Sophie tenaient largement écartées les deux belles tomates bien mûres, elle regarda Ambre :

— Tu vois c’est simple, tu mets la patiente sur tes genoux comme pour une fessée et tu écartes bien les fesses, en général les premières fois tu es obligée de donner une fessée pour qu’elles se laissent faire, ce n’est pas très agréable pour elles. Mais tu vois Agnès est devenue très docile, ses bonnes grosses fesses sont détendues.

Pendant qu’elle parlait, la raie fessière était ouverte et l’anus de la punie bien exposé. Elle prit un suppo et le posa sur la rondelle brune.

— Tu le pousses doucement, en général la première fois, elles sont surprises et tu es obligée de sévir.

Le suppo avait disparu, Sophie relâcha les fesses.

— On serre bien les fesses madame, s’il ressort c’est panpan cucul.

Elle tapota le bon gros derrière pour la faire relever et Agnès regagna son coin. Ambre était excitée d’avoir assisté à ce spectacle honteux, Sophie appela Héloïse :

— Viens un peu ici ma chipie.

La jeune femme les joues rouges et les yeux encore humides se présenta devant la sévère assistante. Celle-ci se tourna vers Ambre :

— Tu m’as vu faire, maintenant tu vas mettre en pratique, notre petite Héloïse à un peu de mal à nous montrer son petit trou. Ça va lui faire le plus grand bien de se prendre un deuxième suppositoire.

La jeune étudiante ouvrit de grands yeux, décidément rien ne lui serait épargné, déjà qu’elle avait eu du mal ce matin à se laisser faire. Elle regarda Ambre et le sourire malicieux qui illuminait son visage, cette petite peste allait se régaler de son humiliation.

La jeune stagiaire s’était déjà installée sur la chaise :

— Viens un peu là ma chérie, mademoiselle Ambre va mettre un suppo dans ton trou-trou…

Sophie claqua les fesses d’Héloïse pour la faire avancer, elle se retrouva en position disciplinaire rapidement. Ambre la fit basculer vers l’avant pour mieux avoir ses fesses à disposition, ses pieds étaient décollé du sol. Elle était humiliée d’être traitée ainsi par son ex copine, qui plus est en public, mais le comble fut atteint quand elle sentit les doigts de la jeune stagiaire se glisser dans sa raie afin de l’écarter :

— Allez ma petite chérie, il va falloir te laisser faire, tu as entendu Sophie, si tu ne desserres pas les fesses c’est panpan cucul.

Sophie s’approcha et palpa le derrière :

— Héloïse !! Tu sais ce qui t’es arrivé ce matin, tu veux une autre fessée ?

La jeune femme se mit à gémir son derrière était encore brûlant et elle sentait l’ombre d’une nouvelle correction planer dessus :

— Non, non mademoiselle Sophie, pardon je ne fais pas exprès.

— Ah oui ? Tu te moques de moi ! Ambre, fesse-moi cette chipie apparemment son derrière ne la cuit pas encore assez.

Il ne fallut pas longtemps à la jeune femme pour tirer des larmes à sa copine, quelle joie pour elle, d’un seul coup elle avait oublié la cuisson de la babouche. Dans cette position Héloïse pouvait gigoter à sa guise, le battement de ses jambes était impressionnant. Sophie apprécia la démonstration de sa stagiaire, question fessée elle n’avait rien à lui apprendre. Les fesses de la pauvre Héloïse n’étaient plus qu’une boule de feu.

Ambre écarta à nouveau les deux tomates bien mûres :

— Eh ben voilà, vous aviez raison mademoiselle Sophie, notre petite Héloïse n’avait pas encore le derrière assez chaud.

La honte était totale pour la jeune étudiante, mais elle avait tellement mal aux fesses qu’elle ne pensait pas au spectacle qu’elle offrait. Sa raie largement écartée son petit trou bien exposé, elle sentit le doigt d’Ambre se poser sur son anus comme pour le forcer :

— Ton petit trou-trou est bien détendu, c’est bien ma chérie, tu vas voir comme le suppo va rentrer tout seul.

Héloïse était résignée, elle sanglotait doucement, elle n’était plus la jeune femme un peu arrogante et sûre d’elle-même qui n’hésitait pas à claquer les derrières y compris celui d’Agnès. Elle était une gamine aux fesses bien rouges couchée sur les genoux de sa maman pour se faire mettre un suppo, que la maman en question ait le même âge qu’elle, était secondaire.

Ambre avait poussé le suppo et maintenant elle maintenait les fesses serrées :

— Tu vas retourner au coin, ta pénitence n’est pas terminée.

Sophie la regarda en souriant :

— Pour toi non plus ma petite Ambre, ton coin t’attend.





jeudi 14 août 2025

L'institut suite 7

Agnès



Héloïse n’avait pas demandé son reste, elle avait quitté rapidement l’institut. Une fois dans la rue, le vent s’engouffra sous sa jupe et caressa ses fesses, c’était une sensation nouvelle, un peu gênante mais terriblement excitante. Elle monta dans le bus, il n’y avait pas grand monde, elle repéra une banquette libre, jeta un œil circulaire et retroussa sa jupe avant de s’asseoir. Ses fesses nues posées directement sur le skaï du siège lui procurèrent une étrange impression. En levant les yeux, elle croisa le regard une dame d’une quarantaine d’années, elle se demanda si elle avait remarqué son manège, de toute façon elle ne pouvait pas deviner qu’elle était cul nu sous sa jupe.

La dame descendit au même arrêt de bus qu’elle et lui fit un sourire, Héloïse la trouva sympathique, finalement se promener sans culotte l’avait émoustillée, elle s’engagea dans le parc qui conduisait chez elle.

— Vous habitez par ici ?

C’était la dame du bus, Héloïse s’arrêta et la regarda, elle était bien en chair, elle lui souriait :

— Oui à deux pas et vous ?

— J’habite juste à côté du parc, vous avez été à l’institut ?

Héloïse fut un peu surprise par la question, elle rougit légèrement, la dame continuait :

— Je vous ai vu en sortir, la dernière fois que j’y ai été, j’avais les fesses toutes rouges en rentrant chez moi…

La jeune femme la regarda estomaquée, elle fixa cette dame qui paraissait si sage, elle lui souriait toujours, elle insista :

— Vos fesses sont rouges ?

Ce fut les joues d’Héloïse qui devinrent très rouges :

— Euh… mais enfin madame…

— Je m’appelle Agnès, vous ne voulez pas vous asseoir pour parler.

La dame désignait un banc, la jeune femme hésita un instant, mais Agnès lui paraissait vraiment sympathique et l’air frais qui s’insinuait sous sa jupe et caressait ses fesses nues l’émoustillait :

— Pourquoi pas. C’était quand votre dernière visite ?

Héloïse s’était prise au jeu, ce fut au tour d’Agnès de rougir :

— Deux mois environ.

La jeune femme la fixa avec un regard moqueur :

— Vous avez eu panpan cucul ?

Elles étaient assises côte à côte, Héloïse avait à nouveau retroussé sa jupe pour poser son derrière directement sur le bois du banc, Agnès se mit à rire :

— Une bonne fessée ? Ça c’est sûr et même déculottée, et vous ?

Héloïse était de plus en plus surprise, cette dame d’âge mûr lui avouait calmement qu’elle avait reçu ce châtiment enfantin, elle l’imaginait allongée sur les genoux d’Aurélie ou de Sophie, la culotte baissée et les fesses écarlates. Elle la regarda de plus près, elle était rondelette, son derrière devait être confortable, les jeunes assistantes de madame Rose avait dû se régaler à la corriger. Elle hésitait quand même à lui avouer la magistrale fessée déculottée qu’Aurélie lui avait administrée quand elle avait refusé de se laisser mettre le thermomètre dans les fesses.

— Vous ne m’avez répondu, vos fesses sont rouges ?

Héloïse se détendit, après tout puisque cette dame en parlait sans détour, pourquoi hésiter :

— Euh… Ben oui…

Agnès se mit à rire à nouveau :

— C’est un peu dur à avouer au début, mais quand on sait qu’on est toutes à la même enseigne. Ça vous brûle encore ? Je vais vous indiquer le nom d’une crème hydratante, ça apaise bien.

Le téléphone de la jeune femme sonna, elle y jeta un œil et pâlit, c’était un appel vidéo d’Aurélie sur Whatsapp. Elle hésita un moment, Agnès jeta un œil sur l’écran :

— Vous devriez décrocher, ces demoiselles de l’institut ont horreur qu’on ne réponde pas.

Complètement affolée, Héloïse ouvrit l’application, le visage d’Aurélie apparut sur l’écran :

— Tu n’es pas chez toi ?

— Euh… non, mademoiselle Aurélie

Aurélie aperçut sa voisine assise à côté d’elle :

— Mais c’est Agnès, que faites-vous là ?

La dame se mit à rougir comme une écolière prise en faute :

— Bonjour mademoiselle Aurélie, euh… c’est-à-dire que nous discutions.

— Héloïse est punie, elle devrait être chez elle depuis un moment. Puisque c’est ça nous allons vérifier tes fesses ici même, tant pis pour toi !

La jeune femme se mit à gémir, elle regarda autour d’elle :

— Non, non mademoiselle, s’il vous plaît, je rentre chez moi tout de suite.

— Donne ton téléphone à Agnès et retrousse ta jupe immédiatement, je te garantis que si tu refuses tu ne pourras pas t’asseoir pendant une semaine.

Heureusement, elle était dans une allée éloignée du parc, il n’y avait personne à l’horizon, Héloïse, les joues écarlates et les larmes aux yeux tendit son téléphone à Agnès et se leva.

— Agnès, tu me montres Héloïse et toi ma petite tu te trousses en vitesse et tu me présentes ton derrière.

La mort dans l’âme, la jeune femme s’exécuta, elle prit l’ourlet de sa jupe et le releva, Agnès étouffa un petit cri d’étonnement en voyant apparaître les fesses nues et encore bien rouges d’Héloïse.

— C’est parfait, tu vas marcher un peu les fesses à l’air, Agnès tu la suis.

Héloïse se mit à pleurer :

— Pardon mademoiselle, pardon s’il vous plaît si quelqu’un arrive.

Aurélie se mit à rire :

— Eh bien il verra ce qui arrive aux vilaines filles désobéissante, une bonne fessée déculottée et un passage au coin fesses à l’air.

Héloïse marchait lentement en tenant sa jupe retroussée, Agnès la suivait le téléphone à la main, le balancement du magnifique fessier de la jeune femme était suggestif, elles arrivèrent à un autre banc, Aurélie jugea la punition suffisante :

— C’est bon tu peux remettre ta jupe en place, mais tu mérites d’être punie. Demain tu resteras à l’institut pour la retenue du midi, quant à vous Agnès vous êtes aussi responsable, depuis quand n’êtes-vous pas venu pour une séance anti-cellulite ?

— Euh, deux mois mademoiselle.

— Eh bien on va faire d’une pierre deux coups, vous viendrez à huit heures avec Héloïse, Sophie s’occupera de vos deux derrières en même temps et vous resterez également en pénitence à midi. À demain.

Elle raccrocha, Agnès et Héloïse se regardèrent, elles étaient devenues soudain plus proches, soudées par leur statut de punies, la jeune femme invita sa nouvelle amie à venir chez elle.

Agnès était ravie, elle aimait les dames, son emploi de responsable dans une boutique de lingerie, lui facilitait les rencontres, cette petite était vraiment adorable et son derrière vraiment craquant. Pendant que la jeune femme préparait un thé, elle attaqua directement :

— Tu sais que tes fesses sont ravissantes, le rouge leur va bien.

Elle avait dit ça en souriant, Héloïse la regarda et lui rendit son sourire :

— Cette garce d’Aurélie, si je l’avais sous la main son petit cul serait de la même couleur.

— Malheureusement ma petite, on a pas le choix, tu veux que je te passe la crème sur le derrière, demain il risque de te brûler encore plus.

La jeune femme avait remarqué le sourire coquin de sa nouvelle amie, elle aussi était attirée par les dames, mais elle n’avait jamais eu l’occasion d’être draguée par une dame d’âge mûr. Agnès avec ses formes généreuses était attirante, elle décida de sauter le pas :

— Tu as de la crème ?

— Bien sûr, allez viens ici tu vas voir comme ça fait du bien.

Elle tapotait ses genoux, Héloïse qui se remémorait les fessées administrées par Aurélie marqua un temps d’hésitation, Agnès s’en rendit compte et se mit à rire :

— Rassure-toi je ne vais pas te faire panpan cucul, je pense que ton derrière à eu son compte aujourd’hui.

Rassurée et vaguement excitée, la jeune femme se coucha en travers des cuisses de sa nouvelle amie. Immédiatement celle-ci retroussa la jupe haut sur les reins, le fessier bien joufflu mais très ferme d’Héloïse lui apparu dans toute sa splendeur :

— J’avais aperçu ton derrière tout à l’heure, mon impression se confirme, ma petite tu as une magnifique paire de fesses.

Elle pinça un peu la partie la plus charnue du fessier :

— Tu n’as vraiment pas beaucoup de cellulite, je ne sais pas pourquoi tu as été à l’institut, tu avais envie de te faire claquer le derrière ?

Héloïse tortilla les fesses en riant :

— Oh ça non, c’est une copine qui connaissait l’institut qui m’a dit que j’en avais besoin. Si j’avais su…

— J’espère que tu vas lui flanquer une bonne déculottée quand tu vas la revoir.

— Ça c’est sûr, elle ne va pas avoir froid aux fesses.

Tout en discutant, la main experte d’Agnès s’insinua entre les fesses rebondies :

— Je suppose que tu as eu droit au thermomètre et au suppositoire ?

Elle ne voyait pas la tête de la jeune femme, celle-ci avait à nouveau rougi. Elle ne répondit pas. Agnès se régalait de palper le fessier :

— Aurélie ne t’a pas manquée, tes fesses sont encore chaudes, tu vas voir ma crème magique va te faire du bien.

Elle posa une grosse noisette sur chaque fesse et commença à masser lentement la croupe rougie. Héloïse était excitée par ce qui lui arrivait, c’était inattendu mais tellement agréable, Agnès savait y faire. Après avoir massé la partie la plus charnue, ses doigts s’égarèrent dans la raie et entre les cuisses :

— C’est bon n’est-ce pas ma belle ?

Héloïse tourna la tête, regarda Agnès et souffla :

— Oui…

Agnès lui tapota le derrière :

— Allez debout.

La jeune femme se releva, les joues rougies par le plaisir et l’émotion, elle frotta ses fesses en tenant sa jupe retroussée :

— Merci, et toi tu avais besoin de traiter ta cellulite ?

La dame d’âge mûr se tourna et se donna une petite claque sur le derrière :

— Tu as vu mes fesses ?

En effet Agnès avait vraiment un magnifique popotin. Héloïse s’approcha en souriant et posa sa main sur la jupe :

— Non justement, je ne les ai pas vues, contrairement à toi qui as pu te régaler des miennes.

Agnès la regarda avec un sourire coquin, décidément elle avait eu raison d’aborder cette petite.

— Tu as raison, tu auras l’occasion de les voir demain, Sophie ne va pas se gêner pour me déculotter, mais c’est normal que tu les voies maintenant. Comment procède-t-on ?

Héloïse était de plus en plus excitée, elle était vraiment pressée de découvrir le derrière d’Agnès, bien que plus âgée qu’elle, elle lui paraissait attirante. Elle s’installa sur le canapé :

— Je pense qu’on va faire comme pour moi, viens un peu là.

Ce fut au tour d’Agnès de rougir, elle s’approcha. Quand elle toucha les genoux de sa jeune amie, celle-ci lui prit la main pour la guider, la dame bien en chair bascula en travers de ses cuisses. Elle portait une jupe large et souple qu’Héloïse n’eut aucun mal à retrousser. Agnès travaillait dans une boutique de lingerie, elle portait donc des dessous élégants et sexy.

La jeune femme n’avait pas l’habitude de voir des fesses moulées dans une culotte en dentelle blanche, entourée par des porte-jarretelles qui tendaient des bas fumés. Ses copines portaient des tangas et des strings. Il fallait bien avouer que le tableau était particulièrement excitant, le fessier plantureux était parfaitement mis en valeur. Tendue par la position, la culotte rentrait légèrement dans la raie fessière dégageant un peu le pli fessier

Héloïse en riant pinça la base des fesses rebondies :

— C’est vrai que tu as besoin de traiter ta cellulite, voyant ça d’un peu plus près.

Il lui arrivait au cours de petits jeux érotiques de baisser la culotte de ses copines, mais elle était émue de déculotter une dame d’âge mûr. Elle glissa ses doigts sous la culotte et fit glisser l’élégante lingerie sur le large derrière. Il manquait vraiment de fermeté, certaines de ses amies avaient des postérieurs presque aussi volumineux, mais ils étaient plus arrogants, bien rebondis et musclés.

Elle déculotta largement Agnès, baissant sa culotte jusqu’aux genoux, elle voulait profiter de ce magnifique derrière.

La dame en question se laissait faire, tortillant un peu sa croupe, ce qui fit sourire la jeune femme :

— On dirait que madame aime montrer son derrière, tu es une coquine ma petite Agnès.



Celle-ci minauda en remuant ses bonnes grosses fesses :

— Quand c’est toi, ça va, mais à l’institut ce n’est pas pareil.

Héloïse se mit à rire et lui claqua gentiment les fesses :

— Qui te dit que je ne vais pas faire comme elle, tu es en bonne position, j’ai bien envie de t’administrer une petite fessée.

Les fesses d’Agnès se contractèrent et elle mit une main dessus comme pour les protéger, elle se mit à rire et prit une petite voix :

— Oh non mademoiselle, s’il vous plaît…

Héloïse était amusée et excitée par la situation, elle était assise sur le canapé, ses fesses nues directement posées sur le tissu, elle claqua un peu plus sèchement le large fessier :

— Eh pourquoi donc madame la dévergondée qui montre ses fesses à n’importe qui.

— Tu ferais ça ?

Agnès avait tout à coup pris un air sérieux.

— Je crois que oui, pourquoi tu me demandes ça ?

La dame tourna la tête :

— Tu veux je t’explique dans cette position ?

Héloïse était de plus en plus intriguée et excitée :

— Tout à fait, je pense pour ce que tu as à me dire, c’est la position idéale.

Agnès sembla hésiter puis elle se lança :

— C’est vrai que pour te raconter ça, être déculottée sur tes genoux… c’est parfait.

J’avais vingt-deux ans quand j’ai été embauchée à la boutique, j’adorais la lingerie et l’ambiance était assez particulière, la patronne était lesbienne et elle se régalait pendant les essayages de sous-vêtements, les dames devaient se dévêtir et les cabines n’étaient pas vraiment fermées. De toute façon elle ne se gênait pas pour tirer le rideau et donner son avis à la cliente.

J’ai vite pris goût à l’anatomie féminine et Mado, la patronne m’a rapidement mis dans son lit. Elle avait également la main leste et toutes les vendeuses se retrouvaient un jour ou l’autre les fesses à l’air pour recevoir une bonne déculottée, c’est comme ça qu’elle réglait les problèmes de retard ou d’erreur au travail. Je n’y ai bien sûr pas échappé et à vingt-deux ans ça m’a fait drôle de recevoir cette humiliante punition devant les autres vendeuses dans l’arrière-boutique. Je ne m’étais plus fait baisser la culotte depuis mes quinze ans, mais à partir de ce jour-là il ne s’est pas passé plus de deux jours sans que je ne lui présente mes fesses.



Héloïse écoutait fascinée la confession de sa nouvelle amie, elle lui tapotait la croupe pour l’inciter à continuer :

— Tu y as pris goût ?

— Eh ben oui… tu as deviné, recevoir pendant quinze ans la fessée déculottée quasiment journellement et passer de nombreuses heures au coin les fesses à l’air ça forme le caractère. Quand Mado a disparu, j’étais perdue, je suis devenue responsable de la boutique, mais j’étais d’un naturel soumis je n’ai pas utilisé ses méthodes avec les vendeuses. J’ai embauché Amandine une très belle et grande jeune femme, elle a eu vent des habitudes de la maison du temps de Mado. Un jour qu’on était seule elle m’a dit qu’elle ne comprenait pas pourquoi je ne fessais pas les vendeuses comme le faisait Mado et qu’il y avait de plus en plus de laisser aller. Je lui ai avoué que je préférais la recevoir que de la donner.



Héloïse se mit à rire :

— J’imagine la suite, Amandine t’en a flanqué une illico.

— Eh oui, elle avait à peu près ton âge et moi trente-sept, ça ne l’a pas empêché de me courber sous son bras de me trousser et de me déculotter « Ah tu préfères la recevoir, qu’à cela ne tienne, à partir d’aujourd’hui attends-toi à avoir souvent les fesses rouges ». Elle a tenu parole, pendant cinq ans elle a repris le rôle de Mado et les vendeuses, même les plus âgées durent lui présenter leurs fesses. Mon seul privilège c’était de ne pas être corrigée devant elles.

— Elle continue à te rougir le derrière ?

— Non, sa copine a été mutée sur la côte d’azur, elle l’a suivi, c’est après son départ que par hasard j’ai découvert l’institut.

Héloïse lui claqua un peu plus sèchement les fesses :

— Pour ce qui est des fessées déculottées tu es servie.

Agnès se mit à rire :

— Oui, c’est sûr et quand je passe par les mains des dames de l’institut, j’en viens à regretter Mado et Amandine.

— Dis-moi, puisque tu es en si bonne position, tu ne crois pas que je devrais reprendre le rôle d’Amandine ?

Les fesses de la dame se serrèrent à nouveau :

— Tu vas être sévère ?

La jeune femme glissa ses doigts entre les fesses puis descendit doucement jusqu’à la vulve, elle était gluante de sécrétions, elle sourit doucement, ressortit ses doigts et se pencha pour les mettre sous le nez d’Agnès :

— Je crois tu en as vraiment besoin vilaine fille.

Elle jouait de temps en temps à panpan cucul avec ses copines, c’était toujours elle qui claquait les derrières. Mais ce n’était pas des vraies fessées, son séjour à l’institut lui avait fait découvrir la réalité d’une véritable correction. Et puis Agnès était dotée d’une si belle paire de fesses qu’il était hors de question de ne pas lui administrer une vraie bonne fessée déculottée :

— Ma chérie je pense que tu as vraiment besoin d’avoir les fesses aussi rouges que les miennes. Allons-y.

Elle ceintura fermement Agnès puis commença à claquer, elle fessait lentement, mais minutieusement, chaque partie du fessier eu droit à la visite de sa main,. Le derrière s’anima rapidement au fur et à mesure que la jeune femme augmentait l’intensité de la correction.

La dame redevenue une adolescente se mit rapidement à gémir et à battre des pieds, le bon gros derrière savait encore danser et il montra à Héloïse ce dont il était capable. Celle-ci se rendit compte qu’administrer la fessée déculottée à une dame d’âge mûr était finalement très agréable.

Deux belles tomates bien mûres s’étalaient maintenant devant ses yeux émerveillés et Agnès pleurait comme quand elle était punie dans l’arrière-boutique.

Elle caressa la croupe brûlante :

— C’est une bonne préparation pour demain. Ça t’a plu ?

En sanglotant la responsable de la boutique si pimpante habituellement répondit :

— Oui mademoiselle. Ça brûle.

Un peu surprise qu’Agnès l’ait appelé mademoiselle la jeune femme compris que cette dame qui avait à peu près l’âge de sa mère acceptait désormais son autorité. Il fallait en profiter.

— J’espère bien que ton derrière te cuit, madame la dévergondée, tu vas aller le faire refroidir au coin, ça t’apprendra.

Le souvenir des années de soumissions à Mado puis à Amandine était encore présent, Agnès se releva et sans un mot alla poser son nez contre le mur et mis ses mains sur sa tête, Héloïse l’avait suivi, elle coinça la jupe dans la ceinture.

La suite de la journée compensait quelque peu le séjour à l’institut, Héloïse était tout excitée, elle alla s’installer sur le canapé, glissa sa main sous sa jupe et se caressa. Cette expérience était vraiment délicieuse, rien à voir avec ses copines, cette dame aux bonnes grosses fesses bien rouges était adorable, elle fit de nombreuses photos de sa croupe et les envoya à ses amies qu’elle avait déjà déculottées avec un petit commentaire « regarde un peu ce beau cul bien rouge, la prochaine fois que je m’occuperai du tien il sera de la même couleur ».

Elle appela Agnès :

— Viens un peu ici madame fesses rouges.

La dame en question se retourna et s’approcha, elle n’avait pas enlevé ses mains de sa tête. Héloïse fut un peu surprise par cette soumission alors qu’elle ne se connaissait que depuis une heure.

— Je pense que tu as encore des choses à me confier.

Elle tapota ses cuisses, Agnès fit une grimace, elle pensait qu’après ce premier épisode la jeune femme l’inviterait à s’asseoir à côté d’elle, mais elle ne semblait pas l’entendre de cette oreille, elle prenait goût à ce large derrière :

— Tu vas revenir en position, je pourrai te stimuler si tu as des trous de mémoire.

Résignée Agnès reprit place sur les cuisses de sa nouvelle maîtresse, immédiatement celle-ci lui palpa les fesses :

— Pourquoi as-tu arrêté ton traitement pour la cellulite ? Tu en as quand même vraiment besoin, Aurélie ne t’a pas laissé avec tes bonnes grosses fesses sans rien dire ?

Elle claqua sèchement les deux tomates exposées devant ses yeux ;

— Alors ?

— Je devais revenir, mais j’ai prétexté d’un séjour à l’étranger pour retarder la suite du traitement.

Héloïse souriait, elle claqua à nouveau le derrière :

— Évidemment, vu ta bonne paire de fesses je doute que tu aies suivi le régime prescrit, tu as eu peur d’un durcissement du traitement ?

Agnès contracta un peu plus ses fesses :

— Euh oui, j’en étais déjà à deux séances par jour et trois suppos, même si je ne suis pas contre me recevoir une petite fessée de temps en temps, c’était un peu trop.

Héloïse se mit à rire :

— Eh bien je peux t’annoncer qu’à partir d’aujourd’hui, ça va être encore trop ma petite chérie. D’abord tu as entendu Aurélie, demain Sophie va s’occuper de nos popotins et quand elle va revoir ton dossier ça risque de chauffer pour ton bon gros derrière. Mais ce n’est pas tout, comme tu as dit un gros mensonge, si tu veux que je tienne ma langue tu vas devoir m’obéir au doigt et à l’œil. Je serai tatie Héloïse et ne t’inquiète pas avec moi tu n’auras jamais froid aux fesses, je vais remplacer Amandine.

Elle écarta les deux fesses pour mettre à jour la rondelle brune d’Agnès :

— Ça fait longtemps qu’on ne s’est pas occupé de ton petit trou ?

Agnès détestait la mis en place du thermomètre et du suppo, ça lui avait valu de sévères corrections à l’institut et de longs séjours au coin.

— Oh s’il vous plaît mademoiselle… Aïe, aïe…

La main de la jeune étudiante venait de claquer le derrière exposé :

— Je t’ai dit de m’appeler comment ?

— Oui, oui, pardon tatie Héloïse. S’il vous plaît pas le thermomètre, Sophie va s’en charger demain.

La jeune femme se régalait de la gêne de la dame d’âge mûr qu’elle avait à sa merci, elle tenait largement écartée la raie fessière :

— On dirait que tu n’aimes pas trop qu’on s’en occupe, tu vas me raconter ça un peu plus précisément. Tu auras les fesses écartées tant que tu n’auras pas fini.

Agnès pensa que cette petite apprenait vite, elle devenait aussi perverse que les deux assistantes de l’institut, ses joues étaient rouges de honte en devinant le spectacle qu’elle offrait à sa jeune maîtresse, le doigt d’Héloïse titilla l’anus de sa victime :

— Alors ?

— Ma mère était une fanatique du thermomètre et elle pensait que les suppositoires étaient la meilleure solution pour que les enfants prennent bien leur médicament. Je détestais ça, surtout qu’elle me prenait sur ses genoux pour me mettre un suppo.

Héloïse ne relâchait pas les deux hémisphères, c’était fascinant ces deux bonnes grosses fesses écarlates, cette raie profonde largement ouverte, elle posa son doigt sur la rondelle brune :

— Tu n’aimes toujours pas ça ma petite chérie, tu n’aurais pas dû me le dire, tu vas y avoir droit souvent, même si tu l’as déjà eu à l’institut. Allez continue, ton derrière va rester bien exposé tant que tu n’as pas fini.

— Oh non, tatie Héloïse, s’il te plaît… aïe, aïe, aïe…

La main libre venait de claquer les fesses grandes ouvertes.

— Comment non ? Tu crois vraiment que tu as le choix. Tu viens juste de gagner une deuxième fessée quand tu auras fini de me raconter.

Agnès se mit à gémir :

— Pardon tatie Héloïse, vous êtes sévère, aïe, aïe…

— Décidément tu aimes te faire punir, une troisième fessée puisque tu continues à raisonner.

Agnès était à la fois honteuse et terriblement excitée par cette séance humiliante, elle continua :

— Maman a continué à me prendre la température dans les fesses jusqu’à mes quinze ans, c’était vraiment la honte quand elle me baissait la culotte du pyjama pour me mettre le thermomètre, je pense qu’elle devait aimer ça. Quand elle me déculottait, elle riait et disait « pleine lune ma chérie, tu as vraiment des bonnes fesses », c’est vrai que même adolescente j’avais ce qu’on appelle un bon gros popotin. D’ailleurs elle en profitait pour m’administrer aussi de bonnes fessées déculottées quand je faisais des bêtises ou que je lui parlais mal, elle a arrêté quand j’ai eu quinze ans, peut-être s’est-elle rendu compte que ça m’excitait. Ensuite je n’ai plus connu l’humiliation de me faire mettre quelque chose dans le petit trou jusqu’à ce que j’arrive à l’institut.

Héloïse jugea que la confession était suffisante, elle relâcha les deux fesses :

— Parfait ma chérie, demain j’irai acheter un thermomètre pour ma petite Agnès et il va souvent garnir ton derrière. En attendant tu me dois encore deux fessées, lève-toi que je trouve quelque chose pour te claquer les fesses, retourne te mettre au coin en attendant.

Elle se dirigea vers la cuisine, elle venait d’avoir une idée, elle trouva une grande cuillère en bois et l’essaya sur sa main, ça claquait bien. En revenant vers le salon son téléphone sonna, c’était encore Aurélie sur Whatsapp :

— Tu es chez toi, c’est bien. Vérification de tes fesses, trousse-toi en vitesse.

Héloïse releva sa jupe et dirigea son téléphone sur son derrière.

— Parfait, tu n’as pas remis de culotte, heureusement pour toi, mais je trouve que tes fesses ne sont plus assez rouges. Tu vas aller voir Agnès et tu lui demandes de t’administrer une fessée quand c’est fait tu m’appelles et tu me montres tes fesses.

Elle raccrocha sans attendre la réponse de la jeune femme, elle n’avait pas vu qu’Agnès était en pénitence au salon.

Héloïse était encore dans le couloir, complètement sidérée par ce que lui avait demandé Aurélie, en entrant dans le salon, elle vit Agnès qui avait quitté son coin et se reculottait :

— Qui t’a autorisée ?

La punie la regarda en souriant :

— Je pense que pour te donner la fessée ce sera plus pratique.

— Mais…

— J’ai entendu Aurélie, je pense qu’il vaut mieux ne pas la contrarier.

Elle regarda la cuillère que tenait toujours Héloïse :

— Je vois que tu as prévu ce qu’il faut pour rougir comme il faut ton derrière.

Elle s’installa sur le canapé, c’était une petite revanche au traitement que lui avait réservé sa perverse nouvelle amie, elle tapota sur ses genoux :

— Je n’ai jamais donné la moindre fessée, mais avec toutes celles que j’ai reçues je devrais réussir à me débrouiller. Allez en piste, Aurélie ne va pas attendre longtemps.

Complètement déstabilisée par cette nouvelle inversion des rôles, Héloïse s’approcha, Agnès saisit la cuillère en bois et lui tira la main pour qu’elle s’allonge sur ses cuisses. Elle retroussa la courte jupe, le fessier encore rosé apparut dans toute sa splendeur. Agnès ne put s’empêcher de se moquer :

— Ma petite chérie va avoir panpan cucul ? Comme une vilaine fille ? Tu sais que j’adore vraiment ton derrière, il est tellement mignon que ce serait dommage de ne pas le rougir.

Héloïse serra les fesses, elle n’était pas préparée à se retrouver dans cette position :

— Agnès, s’il te plaît pas trop fort…

Celle-ci se mit à rire :

— Ah oui ? Et toi tu y as été doucement peut-être ? Je suis désolée ma chérie, mais je vais obéir à Aurélie, il faut que ton popotin soit bien rouge.

Elle leva la cuillère et immédiatement la jeune femme regretta son choix, ça faisait un mal de chien. Elle se mit à crier et à faire des bonds sur les genoux de son amie. Elle offrait à celle-ci une vue parfaite sur son intimité :

— Eh bien ma chérie, quelle belle danse des fesses, ton petit trou est très mignon et le reste pas mal non plus, il faudra que tu me montres ça plus souvent.

Les fesses d’Héloïse étaient à nouveau cramoisies, un beau rouge sombre couvrait l’intégralité du derrière, elle pleurait comme quand Aurélie l’avait corrigée à l’institut. Agnès posa la cuillère et caressa la magnifique croupe :

— Voilà, c’est fini ma chérie, je suis désolée, mais j’étais obligée. Tu peux appeler Aurélie pour lui montrer tes fesses.

Quelques instants plus tard le magnifique derrière écarlate s’affichait sur l’écran du téléphone de l’assistante de madame Rose :

— C’est parfait, tu féliciteras Agnès, ça ne vous évitera quand même pas les fesses rouges demain.

Héloïse remit sa jupe en place et regarda sa fesseuse avec un sourire carnassier :

— Tu t’es régalée ? Eh bien crois-moi tu iras au dodo avec un derrière cuisant je te le promets.

Elle tint parole, la dame de soixante ans retrouva rapidement ses accents de gamine pleurant et suppliant sous la morsure de la cuillère en bois. Finalement Héloïse avait apprécié qu’elle ait remis sa culotte en place, quel plaisir que de déculotter une dame qui aurait pu être sa mère.

Elle lui avait promis deux fessées, la dernière elle vint lui donner chez elle avant de l’envoyer se coucher à neuf heures comme une gamine.

Effectivement Agnès s’endormit avec une paire de fesses bien chaudes.

Elle lui fit une bise sur le front et lui donna rendez-vous pour le lendemain matin à l’institut.

























mercredi 6 août 2025

L'institut suite 6

 La pénitence du midi 

 


Il était bientôt midi, les fessées continuaient à retentir dans l’institut. Jenny venait juste de recevoir sa quatrième correction, son splendide derrière était d’un rouge éclatant, Aurélie venait de lui faire goûter une autre spécialité maison après mademoiselle Claquefesse, c’était madame Tapecul, un paddle en bois percé de trou qui était d’une efficacité remarquable pour rougir les fessiers récalcitrants. Depuis son arrivée vers huit heures trente, elle avait alterné les séjours sur les genoux de la jeune assistante et les passages au coin le nez collé contre le mur. De nombreuses personnes avaient pu admirer son anatomie postérieure et la qualité de sa danse des fesses quand Aurélie lui administrait la fessée.

Madame Rose l’avait gratifié elle aussi d’une cuisante correction avec sa brosse à cheveux. Elle était au coin quand la directrice était venue la chercher, elle lui avait saisi l’oreille et claqué sèchement le fessier écarlate :

— Venez avec moi vilaine fille !

La jeune gouvernante n’en menait pas large, la culotte baissée aux genoux, les mains sur la tête devant la sévère matrone. Elle se revoyait quelques années auparavant à l’école des gouvernantes, la directrice ressemblait un peu à madame Rose et quand on était convoquée dans son bureau, en général on en ressortait avec une paire de fesses bien rouges sous sa culotte. Cela lui était arrivée deux fois au cours de l’année, elle en gardait un souvenir cuisant, aujourd’hui elle avait une dizaine d’années de plus, mais elle ressentait la même angoisse.

Elle ne subirait pas la honte du déculottage puisque sa culotte n’était plus sur son derrière, madame Rose la regardait sévèrement en tapotant sur son bureau :

— Tu as été vilaine ?

— Euh… Non madame…

— Pardon ? et pourquoi donc madame la baronne t’a envoyé ici ?

— …

— Tu ne réponds pas ? Tourne-toi que je voie ton vilain derrière.

Jennifer Sterling ne savait pas quoi répondre, cette manie qu’avaient les maîtresses dans l’institut de leur poser des questions embarrassantes était particulièrement humiliante.

— Tes fesses sont déjà bien rouges, c’est la couleur qui convient au derrière des vilaines filles. J’attends ta réponse, pourquoi madame De Nouvel t’a envoyé ici ?

— Euh… elle a dit que ça me ferait du bien…

Madame Rose souriait de l’embarras de la jeune femme, elle se mit à rire :

— C’est sûr que ton popotin à bonne mine, Aurélie s’en est bien occupé. Combien de fessées as-tu reçue depuis ce matin ?

— Deux, madame.

Jenny avait oublié de parler des dix coups de martinet que Lola lui avait administré, c’est vrai qu’à côté des deux magistrales déculottées que lui avait flanqué Aurélie, ce n’était pas grand chose.

— Avec quoi t’a-t-elle corrigée ?

La jeune femme était de plus en plus embarrassée, elle se força pour répondre :

— Avec la main madame et mademoiselle… euh, mademoiselle…

Madame Rose éclata de rire :

— Tu as oublié comme elle s’appelle cette demoiselle ?

Elle prit la petite raquette en cuir sur son bureau, se leva et la plaça sous le nez de Jenny :

— Ma petite, elle s’appelle mademoiselle Claquefesse.

Elle fit pivoter la punie et administra une claque sur chaque fesse avec le redoutable instrument, Jenny sauta sur place et poussa un cri :

— Aïe, aïe… non, non madame…

— Tu t’en rappelleras ?

— Oui madame.

— Tu y goûteras souvent rassure-toi.

Elle reposa la raquette en cuir sur le bureau, posa son pied sur la chaise, ceintura Jenny et la souleva comme un fétu de paille pour la déposer sur sa cuisse horizontale. Elle sortit de sa poche sa brosse à cheveux et commença à claquer le fessier tendu par la position.

— Tu la sens ma fessée vilaine fille, oh tu peux gigoter, ton derrière est bien disposé, je te garantis que tu vas repartir au coin avec une magnifique paire de fesses.

Madame Rose aimait commenter la punition, c’était la première fessée qu’elle administrait à la jeune anglaise et elle se régalait. La jeune femme était entièrement épilée ce qui rajoutait au plaisir de découvrir son intimité quand elle pédalait dans le vide et ouvrait largement ses fesses.

Après plus de deux cents claques généreusement distribuées sur les deux hémisphères elle la reposa par terre. Les yeux baignés de larme la jeune femme piétina sur place, la culotte entortillée autour des chevilles, ses mains s’approchant de son derrière mais évitant de le frotter.

— Remonte ta culotte jusqu’à tes genoux et va voir Aurélie pour qu’elle te remette au coin.

Jenny s’exécuta et quitta le bureau en sanglotant, son derrière cramoisi se dandinait au rythme de ses pas et même pour une fesseuse habituée comme madame Rose, c’était un charmant spectacle.

Aurélie accueillit la punie avec un grand sourire :

— Eh bien je crois que tu ne vas pas avoir froid aux fesses pour un moment, viens me montrer ça.

Elle était assise à son bureau en train d’encaisser la séance d’Héloïse. Celle-ci était rhabillée, mais ses fesses étaient brûlantes sous sa jupe, elle ne portait pas de culotte, la fine lingerie rose pâle était posée sur le bureau. L’arrivée de Jenny les larmes coulant sur ses joues la réconforta un peu, cette jeune femme avait reçu une fessée encore plus sévère que la sienne. Elle en eu la confirmation quand elle se tourna pour montrer son fessier rubicond à la jeune assistante, celle-ci passa la main sur l’épiderme brûlant :

— Voilà ce qui arrive quand on est vilaine, file au coin.

Elle avait claqué le derrière de Jenny pour l’inciter à se dépêcher, puis elle se tourna vers la jeune patiente :

— Prenez en de la graine, la prochaine fois que je suis obligée de vous réprimander pendant votre séance, vous aurez droit à un forfait vilaine fille comme mademoiselle Sterling.

Héloïse rougit et baissa les yeux, Aurélie consultait le carnet de rendez-vous :

— Demain à huit heures, soyez à l’heure, c’est Sophie qui s’occupera de votre popotin.

Elle prit la carte bleue de la jeune femme qui tapa son code en regardant sa culotte, Aurélie surpris son regard :

— Vous êtes privée de culotte jusqu’à ce soir, c’est pour le thermomètre que j’ai eu du mal à vous mettre. Venez ici et tournez-vous.

De plus en plus rouge, Héloïse obéit. La jeune assistante releva la jupe, les fesses rebondies de la patiente étaient encore très rouges :

— Vu la couleur de votre derrière, vous ne risquez pas de prendre froid. Demain vous me mettez une petite culotte blanche en coton. Je vous appellerai en vidéo avec Whatsapp dans la journée, vous devrez répondre immédiatement et me montrer que vous n’avez pas remis de culotte. Si vous désobéissez croyez-moi, vos fesses resteront rouges très longtemps.

Héloïse ne répondit pas immédiatement, depuis ce matin son statut avait changé, elle ne faisait plus la maligne, elle osa quand même une question, Aurélie tenait toujours sa jupe retroussée :

— Oui mademoiselle, mais si vous appelez quand je suis dehors ou que je ne suis pas seule ?

— Tu es punie, tu restes chez toi toute la journée. Si tu n’es pas seule, tu iras dans ta chambre ou aux toilettes, tu te débrouilles ce n’est pas mon problème.

Elle claqua le fessier rougeoyant et relâcha la jupe :

— Allez file, les punies du midi vont arriver, si tu traînes je pourrais changer d’avis et te mettre au coin avec elles.

Effectivement en sortant elle croisa une dame d’un certain âge qui la salua en rougissant, c’était certainement une punie pensa Héloïse.

— Bonjour Élisabeth, c’est bien vous êtes à l’heure, allez-vous mettre au coin en attendant les autres punies. Retroussez votre jupe qu’on voit votre petite culotte.

Les autres punies étaient déjà sur place, Jenny était déjà au coin, Élisabeth savait que la jeune gouvernante allait lui tenir compagnie pendant la pénitence du midi, elle regarda au passage les fesses de la jeune anglaise, elle fut impressionnée, Aurélie et madame Rose ne l’avait pas ménagée, Miss Sterling avait intégré les habitudes de la maison, elle avait posé son nez contre le mur et mis ses mains sur sa tête

Monique était occupée à nettoyer la salle de traitement, Aurélie l’y avait envoyé après une énième fessée administrée avec sa brosse à cheveux. Le derrière de l’ophtalmologue était cramoisi, depuis son arrivée à l’institut elle avait reçu pas moins de quatre fessées pendant la première heure et ensuite une par heure comme recommandé par madame Rose dans le manuel à l’usage de ses assistantes. Sophie et Aurélie s’étaient relayée pour entretenir la rougeur de la belle croupe et madame Rose avait tenu à administrer elle aussi une fessée à Monique. Faire le ménage avec la culotte baissée et la jupe épinglée dans le dos était plus agréable que de rester au coin, elle s’appliquait car malgré ses fesses brûlantes, elle se doutait bien que la perverse jeune femme ne se gênerait pas pour la coucher à nouveau sur ses genoux si elle jugeait le travail mal fait. Aurélie l’appela, elle arriva les joues presque aussi rouges que ses fesses, la jeune assistante lui désigna le coin.

— File te mettre à côté de l’autre vilaine fille.



Sophie arriva avec Ambre elle la tenait par l’oreille, elle était cul nu puisque sa culotte était suspendue à un crochet au secrétariat et que sa jupe était épinglée dans le dos, la fesseuse la fit tourner pour qu’elle présente ses fesses à sa collègue ;

— Regarde un peu cette belle paire de fesses, n’est-elle pas mignonne notre petite Ambre.

Aurélie s’approcha et palpa le fessier brûlant :

— C’est parfait, elle n’évitera quand même pas la fessée de pénitence, mais en attendant ma petite chérie je vais te montrer comment on procède avec les punies du midi.

Ambre avait littéralement le feu aux fesses, elle pensa avec angoisse que sa journée n’était pas finie et que ce serait certainement la même chose tous les jours de la semaine. L’annonce par Aurélie qu’elle allait assister à la punition des trois dames présentes la consola un peu, au moins allait-elle voir des culs rougir.

Sophie les laissa pour prendre sa pause :

— Tu as quatre bons gros derrières je te laisse tu vas avoir de l’occupation.

Aurélie appela la baronne :

— Élisabeth, viens un peu ici me montrer tes bonnes grosses fesses, depuis hier elles ont dû refroidir.

La bourgeoise de soixante-deux ans se dirigea tête basse vers sa jeune maîtresse, la semaine s’annonçait cuisante, elle était déjà venue en retenue du midi hier, mais d’un commun accord avec sa mère, Sophie avait décidé que ça lui ferait le plus grand bien de venir tous les jours de la semaine pour recevoir une fessée et passer l’heure au coin.

Elle s’approcha d’Aurélie, même si elle en avait maintenant l’habitude c’était toujours avec la boule au ventre qu’elle obéissait aux ordres des jeunes assistantes, elle tenait toujours sa jupe retroussée. Aurélie se tourna vers Ambre :

— Je te présente Élisabeth De Nouvel, baronne de son état, mais surtout vilaine fille que sa maman nous envoie régulièrement pour punir son mauvais comportement. Tu auras l’occasion de lui administrer très souvent la fessée, tu vas voir elle a vraiment une bonne paire de fesses.

Elle fit un petit signe à Élisabeth :

— En piste madame.

La baronne lâcha sa jupe et se coucha en travers des genoux de la jeune femme, c’était curieux de voir cette dame d’âge mûr obéir sans protester à cette jeune femme. Ambre ne perdait pas une miette de spectacle. La jupe fut à nouveau retroussée bien haut sur les reins et le large fessier moulé dans une petite culotte blanche à fleurs apparut. Aurélie tapota la croupe culottée en souriant :

— Maman vous a fait mettre votre culotte de gamine, c’est bien. Quand on reçoit encore la fessée déculottée c’est ce qu’on doit porter.

Le contraste était frappant, la baronne portait des bas tenus par des porte-jarretelles comme une dame, mais sur les fesses c’était une petite culotte en coton. Celle-ci avait du mal à contenir le plantureux fessier, la base des fesses étaient bien visibles, Aurélie s’adressa à Ambre :

— Tu vois, ses bonnes grosses fesses débordent, on va les chauffer un peu avant de la déculotter.

Puis elle tapota à nouveau le derrière d’Elisabeth :

— Vous êtes bien installée ? On va commencer l’échauffement.

Elle leva la main et administra rapidement une dizaine de claques sur la partie la plus charnue de la croupe, la main s’abattait rapidement, Ambre admirait la technique de la fesseuse, puis celle-ci visa juste sous la culotte la partie visible du derrière, immédiatement la punie se mit à gémir, ce qui fit sourire la jeune femme :

— En général les dames n’apprécient pas la fessée à cet endroit, c’est très sensible. Ça te brûle n’est-ce pas ma petite chérie ?

Elle avait changé de ton et s’adressait à la baronne comme si elle était sa fille et qu’elle lui administrait une correction. Le haut des cuisses commençait à rougir, la fessée cessa :

— Il est temps de voir ce que nous cache cette petite culotte.

Elle tira sur la culotte et la baissa jusqu’à mi-cuisse :

— Voila vilaine fille, cul nu, prête pour la bonne fessée déculottée.

Les fesses étaient déjà légèrement rosées, comme à son habitude avant de commencer la punition, elle se mit à palper le fessier et à écarter les deux hémisphères, elle continuait la formation d’Ambre :

— En général les dames n’aiment pas trop qu’on leur écarte les fesses, montrer son petit trou n’est jamais très agréable et c’est pour ça qu’il faut le faire, ça les ramène à un peu plus d’humilité. N’est-ce pas ma chère Élisabeth que tu n’aimes pas ça, eh bien tu vas écarter tes cuisses et vite que tout le monde voie tes petits secrets. Allez vite !

Elle claqua sèchement le large fessier et docilement la baronne écarta largement ses jambes, dévoilant son intimité aux yeux des deux jeunes femmes. :

— C’est bien, ça ne t’évitera pas la correction que tu mérites, mais je suis contente de toi.

Elle glissa ses doigts sur la vulve et titilla l’anus exposé, elle devinait la honte de la sexagénaire couchée sur ses genoux, c’était un bon début. Elle décida que l’humiliation était suffisante et elle commença à fesser énergiquement le derrière d’Elisabeth, ce fut une magistrale correction, les fesses rougirent rapidement, elle claquait très vite et très fort et la punie tortillait sa croupe et battait des jambes de façon très suggestive en même temps qu’elle suppliait et pleurait. Ambre était très intéressée par le spectacle, elle songeait que bientôt ce serait son tour de corriger ces jolies bourgeoises et leurs larges fessiers, elle en aurait presque oublié son derrière cuisant. Aurélie fit relever la punie :

— Voila, maintenant tes fesses sont de la même couleur que les autres chipies, va te mettre à côté d’elles.

En pleurnichant, la culotte entortillée autour des chevilles, la baronne alla coller son nez dans le coin encore disponible et mis ses mains sur sa tête. Aurélie la désigna à Ambre :

— Remonte lui la culotte à mi-cuisse et épingle sa jupe dans son dos. Tu devras toujours avoir des épingles sur toi, avec la culotte remontée à mi-cuisses les fesses de la punie sont mieux mise en valeur quand elle est au coin, c’est plus esthétique.

Ambre se fit un plaisir d’exécuter ces consignes, elle claqua les fesses de la baronne en riant :

— Votre derrière est vraiment mignon.

Aurélie se dirigea vers le râtelier où était suspendu les différents instruments de correction :

— Les punies du midi reçoivent systématiquement une fessée manuelle pour bien chauffer leur derrière puis une autre avec un instrument avant de passer l’heure au coin, ensuite elles repartent avec une dernière fessée pour garder les fesses rouges un moment.

Elle décrocha, mademoiselle Claquefesse, madame Tapecul, une règle plate en bois et un martinet. Ambre compris rapidement qu’il y avait certainement un instrument pour son derrière puisqu’il n’y avait que trois punies au coin. Aurélie la regarda en souriant :

— Je vais te faire un cadeau, tu vas choisir les instruments pour chacune de ces dames, en sachant comme tu t’en doutes que celui que tu ne choisiras pas sera pour tes jolies fesses.

Ambre rougit, mais ne protesta pas, elle évalua rapidement chaque instrument afin de juger lequel serait le moins douloureux pour son derrière.

— Mademoiselle Claquefesse pour Jenny, madame tapecul pour Monique et le martinet pour Élisabeth.

Aurélie prit la règle plate :

— Tourne-toi.

— Mais…

— Dépêche-toi.

Affolée la jeune fille pivota et présenta sa croupe, la règle cingla cinq fois très rapidement ses fesses. Elle sautilla sur place en criant :

— Aïe, aïe… Non, non, ça brûle.

Aurélie se mit à rire :

— Tu pensais qu’une fessée avec la règle plate ce n’était rien et bien te voilà renseignée, ne t’inquiète pas ce n’était qu’un apéritif, tu vas voir quand tu seras sur mes genoux ton joli derrière va danser.

Elle appela la jeune anglaise :

— Jenny vient me voir.

Juste au moment où elle couchait la gouvernante sur ses genoux, une énergique jeune femme entra, elle parcourut la pièce d’un œil circulaire, le spectacle sembla lui convenir :

— Quelle jolie brochette de fesses rouges, ne vous dérangez pas pour moi Aurélie, je ne fais que passer. Je voulais vérifier que la journée fesse rouge de ma petite maman se passait bien.

— Bonjour Elodie, oui tout va bien. Comme vous pouvez le constater, Monique a une jolie culotte rouge sur le derrière, elle est en attente de sa fessée du midi.

La jeune femme se dirigea vers la dame qui exposait sa croupe écarlate au coin, elle posa sa main sur les fesses brûlantes.

— C’est parfait, comme toujours. Alors maman chérie, ça te cuit ? Tu recommenceras encore à être vilaine ? Tu regrettes j’en suis sûr, mais compte sur moi pour continuer à m’occuper de tes bonnes grosses fesses ce soir

Ambre regardait ce spectacle peu banal d’une jeune femme, traitant sa mère comme une gamine, ainsi c’était possible d’inverser les rôles, une fille pouvait corriger sa fille. En un quart de seconde, l’image de sa mère lui apparu, la culotte baissée et les fesses toutes rouges.

Aurélie avait posé sa main sur les fesses de Jenny :

— Si vous avez un moment, vous pouvez assister aux punitions des trois chipies, le spectacle est gratuit.

Elodie se mit à rire :

— Et quel spectacle, oui je reste, en plus je vais être ravie de voir maman recevoir une fessée déculottée administrée par quelqu’un d’autre que moi.

Aurélie leva la claquette en cuir et administra une magistrale fessée à la jeune anglaise, ses fesses étaient endolories par les nombreuses corrections reçues depuis le matin aussi se mit-elle à pleurer immédiatement, son derrière était déjà écarlate, mais ça n’arrêta pas la sévère jeune femme. Un fessier féminin pouvait recevoir un nombre impressionnant de fessée, la nature l’avait fait bien joufflu exprès pour ça. La croupe cramoisie de Jenny était magnifique, les tendances saphiques d’Elodie la faisait apprécier son anatomie parfaite. Quand elle passa devant elle pour rejoindre son coin, elle ne put s’empêcher de caresser le derrière brûlant :

— Quelle mignonne paire de fesses.

Aurélie avait pris le martinet et appelé Élisabeth, elle lui désigna la plate-forme à côté du bureau qui servait à exposer les fessiers :

— En position et tends bien tes fesses.

Le large derrière était étalé devant les regards concupiscents des trois spectatrices, elles étaient toutes les trois amoureuses des fesses féminines surtout quand elles étaient bien rouges et celles de la baronne De Nouvel étaient particulièrement appétissantes.

Le martinet commença à cingler le plantureux postérieur, la punie se mit immédiatement à pleurer et à sautiller sur place ouvrant largement ses bonnes grosses fesses comme l’avait prévu Aurélie.



Élisabeth était habituée aux corrections sévères, aussi la jeune assistante ne s’arrêta pas aux premiers sanglots de la soixantenaire, elle reçut une vraie bonne déculottée comme sa mère lui avait promis en l’envoyant à l’institut.

Elle rejoignit son coin sous l’œil amusé des deux spectatrices, Elodie était contente de sa pause déjeuner :

— De bien jolies paires de fesses, merci Aurélie. Qui est cette demoiselle ?

Elle désignait Ambre, celle-ci s’était arrangée pour toujours lui faire face, la jeune femme ne s’était pas rendu compte qu’elle ne portait pas de culotte sur ses fesses rougies et que sa jupe était épinglée dans son dos. La jeune assistante s’en était aperçue, elle lui saisit le bras et la fit pivoter :

— Je vous présente Ambre ou plutôt son derrière, c’est notre nouvelle collègue, mais elle est actuellement en stage de formation.

Elodie sourit en voyant la croupe écarlate de la jeune femme :

— Je vois que la formation a bien commencé.

— Oui, Sophie s’en est chargée, mais maintenant elle va s’occuper du derrière de Monique, il faut qu’elle commence à administrer des fessées.

Elodie tapa dans ses mains :

— Ah c’est super, c’est très bien que ma chipie se fasse corriger par une nouvelle main et si jeune, ça va lui faire bien honte, elle en a vraiment besoin, j’ai beau la punir régulièrement elle fait toujours des bêtises.

Ambre était ravie de pouvoir montrer ses talents, en plus la paire de fesses de la dame qui lui était destinée était vraiment magnifique, un beau derrière de dame mâture.

Elle prit le paddle percé que les assistantes avaient baptisé madame Tapecul et se dirigea vers Monique qui ne bougeait pas mais avait les fesses bien serrées, elle n’avait pas perdu une miette de la conversation. Ainsi elle allait recevoir une fessée par cette presque gamine de dix-neuf ans, bien sûr depuis le temps qu’elle fréquentait l’institut elle aurait pu être habituée, mais non c’était une humiliation supplémentaire que lui imposait Aurélie.

Ambre avait saisi l’oreille de l’ophtalmologue pour l’amener au centre de la pièce, elle croisa le regard narquois de sa fille, celle-ci allait donc assister à sa correction.

En un instant elle se retrouva dans la position classique et madame Tapecul mérita immédiatement son surnom. Les fesses endolories de Monique se mirent à danser et les pleurs jaillirent quasiment dès le début de la fessée.

La jeune apprentie fesseuse s’appliquait, la lourde planche en bois s’abattait avec un bruit sec sur le derrière cramoisi, la punie se débattait, mais Ambre était très musclée, seul le bas du corps bougeait et madame Tapecul ne ratait pas sa cible.

Aurélie arrêta la correction quand elle jugea que les fesses boursouflées de Monique avaient été suffisamment corrigées :

— C’est bon, je crois que madame va avoir du mal à s’asseoir pendant un bon moment.

Monique rejoignit son coin en pleurant, Elodie l’arrêta au passage et la courba sous son bras pour palper son fessier :

— Voila ce que j’appelle une bonne déculottée, n’est-ce pas maman chérie, ton derrière est fumant.

Elle claqua deux ou trois fois la croupe et relâcha sa mère, qui avança en pleurant, ses mains se dirigèrent vers ses fesses, Elodie l’interpella :

— Essaye un peu de te frotter les fesses et tu vas voir !!

Monique reposa immédiatement ses mains sur sa tête et posa son nez contre le mur.

Aurélie regardait Ambre qui était restée assise :

— A nous deux ma chérie, tu vas me laisser la place.

La jeune femme se leva, immédiatement la jeune assistante posa son pied sur la chaise la ceintura par la taille et la souleva pour la poser en équilibre sur sa cuisse.

— Tu as gardé la règle pour ton joli derrière, tu vas voir que ça cingle bien, je te recommande de l’utiliser pour les chipies.

La fessée fut plus longue que pour les trois autres, Aurélie voulait profiter des fesses de sa jeune collègue, celle-ci gigota comme un vers de terre et Elodie se régala de la raie fessière largement ouverte, cette petite était vraiment à croquer.

Aurélie la ramena à la réalité :

— Ambre pourrait bien vous fesser un jour ma chère, profitez bien de regarder son derrière, quand elle va voir le vôtre ce sera pour le rougir.

Elodie piqua un fard, en effet si elle faisait souvent corriger sa mère, elle était également cliente de l’institut et elle avait fait plusieurs séjours cuisants en travers des cuisses de madame Rose.

Aurélie désigna le dernier coin libre à Ambre.

— Tu te mets au coin comme tes petites camarades, tu en as pour une heure. Je ne veux rien entendre la première qui fait la maligne viendra faire un tour sur mes genoux, vous pleurez en silence. La prochaine fois vous ne serez pas vilaines.

Après le rappel de son statut de futur punie, Elodie n’avait qu’une envie c’était de quitter l’institut, elle prit donc congé, non sans avoir une dernière fois caressé la croupe écarlate de sa mère :

— A ce soir ma petite maman, je pense que tu iras au lit très tôt avec une paire de fesses bien chaudes.

Monique le savait quand Elodie la punissait, elle avait droit au coucher de petite fille à neuf heures maximum.

Aurélie s’installa à son bureau et mis à jour les dossiers des punies avec photos de leurs derrières bien rouges à l’appui.

 

 


 

 

 

 

Randonnée fesses rouges 3

  Retour au gîte La descente se passa sans incident notable, les larges derrières se dandinaient devant les yeux ravis de Caroline, la ...