samedi 21 juin 2025

Mademoiselle Héloïse

 Procrastination et insolence 


Mademoiselle Héloïse m’a prévenue, elle en a assez de ma paresse et de mon insolence.

Malgré son âge je lui obéis au doigt et à l’œil, il faut dire qu’elle a la main leste et que quand son regard noir me transperce je redeviens une gamine.

Hier j’ai paressé comme d’habitude, c’est dans ma nature nonchalante et quand elle m’en a fait la remarque je n’ai pas pu m’empêcher de lui répondre d’une manière insolente, ça aussi c’est dans ma nature.

Je n’aurais pas dû, on était à la piscine, illico, elle m’a coincé sous son bras et déculottée, mon bas de maillot entortillé autour de mes chevilles, j’ai trépigné sur place. On était sur la plage de la piscine et que les voisins entendent les claques sur mon derrière dénudé ou mes supplications ne l’a pas dérangé.

Ensuite j’ai dû me plonger dans la piscine jusqu’à la ceinture et elle m’en a fait sortir en me tirant par l’oreille. Elle s’est installée sur un transat et m’a annoncé :

— Je vais te sécher le derrière à ma façon ma petite chipie, je vais te faire passer l’envie de me répondre comme ça.

Elle a mis une serviette sur ses cuisses et j’ai dû m’allonger dessus pour lui présenter mes fesses mouillées.

Elles étaient déjà rouges, mais quand je me suis relevée, elles étaient cramoisies, je n’ai pas pu m’empêcher de crier et de pleurer, c’est sûr que la voisine à dû entendre, elle s’est régalée certainement, je pense que c’est une amatrice de derrière féminin. Un jour, en me regardant elle a dit bien fort « il y a des fessées qui se perdent »

Ensuite, Héloïse m’a fait relever, j’étais toute nue avec le derrière bien rouge, elle m’a dit :

— Tu as de la chance, je ne te mets pas au coin sur la terrasse, file à la maison.

Elle m’a flanqué une bonne claque au milieu des fesses pour me faire avancer. Je sais que quand je rentre à la maison, la voisine peut me voir, si elle était à sa fenêtre, elle a eu une vision parfaite sur mon fessier rubicond.

Arrivé dans le salon, ma sévère tatie, a été cherché ce gros stylo qui lui sert pour me punir. Elle m’a à nouveau couchée sur ses genoux et me l’a enfoncé bien profondément dans mon petit trou et ensuite j’ai dû aller au coin :

— Une heure au coin le nez contre le mur et les mains sur la tête. Ça va te calmer !

C’est drôle comme je lui obéis sans discuter alors que j’ai l’âge d’être sa grand-mère.

Elle m’a annoncé que cet après-midi je recevrais à nouveau la même punition et que c’était le dernier avertissement avant la journée fesses rouges qui me pendait aux fesses…

— Et ce soir ma petite chérie, je te réserve ma punition spéciale. Tu m’attends dans ta chambre au coin la culotte du pyjama baissée.

Elle m’a dit ça après ma correction de l’après-midi, quand j’ai pu quitter mon coin et qu’elle m’a retiré le stylo.

C’est très humiliant mais en même temps excitant d’être traitée ainsi par une si jeune femme.

J’avais encore les fesses colorées avant le repas, quand j’ai été punie je vais souvent vérifier l’état de mon derrière en me déculottant devant la glace dans ma chambre.

Héloïse m’a annoncé en souriant :

— Ce soir au lit après le repas, je vais t’apprendre !! Tu te comportes comme une gamine, je vais te traiter comme telle.

J’ai débarrassé la table et rangé la cuisine, puis Héloïse m’a annoncé :

— Tu files te préparer, laver tes dents, faire pipi et en pyjama. Je veux te trouver fesses à l’air au coin quand j’arrive.

Je venais de faire un bon de soixante ans en arrière, quand j’étais gamine et que ma mère m’envoyait au lit pour me punir. En plus ses consignes, se laver les dents et faire pipi, c’est assez humiliant à entendre.

Je n’ai pas pipé mots, mes fesses étaient encore sensibles après la fessée déculottée de l’après-midi avec la brosse à cheveux.

Une fois dans la chambre après un passage à la salle de bain et aux toilettes, j’ai mis mon pyjama, pour l’été le bas c’est un short. Je l’ai baissé sous mes fesses et j’ai été me mettre dans le coin, j’ai posé mon nez contre le mur et mis mes mains sur la tête comme elle l’exige.



Je n’ai pas attendu longtemps, elle est entrée :

— C’est bien tu commences à devenir obéissante, ça ne t’empêchera pas de recevoir la punition prévue mais au moins elle ne sera pas doublée.

Elle m’a claqué les fesses :

— Viens un peu ici, vilaine fille. Où as-tu mis ta culotte sale ?

Je lui ai montré, elle était posée sur la chaise avec mes affaires, elle l’a pris et l’a roulée en boule :

— Ouvre la bouche !

Elle m’a fourré ma culotte sale de la journée entre les dents, c’était la première fois, c’est affreux. Devant mon air piteux pour cette nouvelle punition, elle a ri :

— Ça t’apprendra à mal me parler, ça remplace le savonnage de la bouche.



Elle s’est installée au bout du lit, puis elle a pris ma main pour m’allonger sur ses genoux, j’étais déjà déculottée, mais ce n’était pas suffisant pour Héloïse, elle a baissé mon bas de pyjama jusqu’aux genoux et elle a tapoté mon derrière qui devait être bien exposé :

— On va commencer par régler ton problème de paresse.

La fessée a débuté, ça brûlait plus que la fessée à la main, j’ai vite compris, elle avait pris la règle plate posée sur mon bureau. Elle m’a flanqué une magistrale déculottée comme elle dit. J’avais littéralement le feu au derrière.




J’ai senti ses doigts qui écartaient mes fesses, j’ai vite compris que j’allais avoir droit au stylo. C’est un complément de punition qu’elle apprécie beaucoup depuis qu’elle sait que je trouve honteux de lui présenter mon petit trou avec les fesses bien écartées.

Le stylo est entré bien profondément dans mon derrière, puis elle a tapoté ma croupe écarlate :

— Tu vas le garder toute la nuit, ça te servira de leçon. En attendant tu files te mettre au coin et tu gardes ta culotte dans la bouche. Tu en as pour une demi-heure ma petite chipie.

Je suis retourné me mettre en pénitence avec les fesses en feu, le stylo bien enfoncé et cette culotte sale roulée en boule entre mes lèvres.

Elle m’a laissé comme ça et j’ai entendu qu’elle parlait avec une copine, elle avait laissé la porte ouverte. Elle lui a tout raconté, mes fessées, mon bon gros derrière bien rouge, le stylo et la culotte, son amie devait lui demander des précisions, car tout y est passé, la taille du stylo, si c’était compliqué de l’enfoncer, si ma culotte était sale, la couleur de mes fesses, etc.

Quand elle est revenue, elle avait le martinet à la main, celui que j’ai retrouvé qui date de ma mère, je n’aurais pas dû lui en parler, elle a voulu que je le suspende dans la cuisine, c’est un peu gênant quand il y a des visiteurs, j’essaye de plaisanter en disant que c’est décoratif.

Elle m’a pris par l’oreille et m’a amené au pied du lit :

— Mets-toi à genoux et présente-moi tes fesses, monsieur martinet va s’en occuper, il va t’apprendre à ne pas répondre à mademoiselle Héloïse.

Ça cingle vraiment un martinet sur des fesses tendues, je peux vous l’assurer surtout quand c’est mademoiselle Héloïse qui administre la fessée, la correction m’a semblé interminable, mon derrière devait fumer quand elle a posé le martinet.

Elle a de nouveau écarté mes fesses pour vérifier le stylo, elle la fait coulisser en riant :

— Tu le sens bien dans tes bonnes grosses fesses ma chérie ?

Elle m’a fait relever, a retiré la culotte de ma bouche et a remonté ma culotte de pyjama sur mon derrière brûlant :

— Maintenant dodo, le stylo reste dans ton derrière toute la nuit, si je ne le trouve pas à sa place demain matin je te tanne le derrière et tu as droit à deux journées fesses rouges.

Avec une telle menace, vous pensez bien que je me suis gardé de toucher au stylo et le lendemain quand mademoiselle Héloïse est venue me réveiller elle l’a trouvé à sa place.

Elle est entrée dans la chambre à sept heures a tiré sur la couverture :

— Tu as bien dormi vilaine fille, mets-toi sur le ventre que je puisse vérifier tes fesses.

Je me suis tournée docilement et ça n’a pas traîné, elle m’a déculottée largement, puis elle a écarté mes fesses avec deux doigts :

— C’est parfait, le stylo est bien en place, tu vas le garder encore un peu, lève-toi.



Elle s’est installée au bout du lit, j’ai remarqué la brosse à cheveux qui dépassait de sa poche, elle a tapoté ses cuisses :

— En position ma chipie.

Je me suis retrouvée à nouveau en position disciplinaire, j’ai bien essayé de protester que je n’avais rien fait, ça l’a bien fait rire :

— Ah oui ? Eh bien ce sera une fessée préventive ma chérie.

Sa main a commencé à me claquer le derrière, après les fessées de la veille, ça a été immédiatement douloureux. Mais ce n’était qu’un échauffement, j’ai eu droit à la fessée à la brosse ensuite.

Quand elle a jugé que mes bonnes grosses fesses avaient la couleur requise, elle a écarté à nouveau mes deux globes fessiers brûlants et a retiré le stylo :

— Voilà ta punition est terminée, j’espère que ça va te servir de leçon, tu es prévenue la prochaine incartade ce sera une journée fesses rouges.



Comme une gamine que je suis devenue quand elle est là j’ai répondu d’une petite voix :

— Oui mademoiselle Héloïse, promis je serai sage.

Elle m’a claqué le derrière en riant :

— c’est fou comme une bonne fessée déculottée transforme une dame insolente en gentille petite fille. Allez relève-toi et file à la douche, j’espère ne pas avoir à te déculotter aujourd’hui.



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