A la demande de nombreuses lectrices et lecteurs qui désiraient retrouver les perverses fesseuse de l'institut de madame Rose, je me mets à l'écriture d'une suite.
Si vous voulez retrouver les personnages, je vous invite à lire "L'institut de madame Rose" sur Atramenta.net
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Fessée à domicile
Madame Rose avait convoquée Sophie, elle avait eu une idée d’un nouveau service à offrir à sa clientèle, la fessée à domicile.
Elle expliqua son concept à sa jeune assistante :
— En fait l’idée m’est venue après un coup de téléphone de la mère de la baronne, madame De Nouvel, elle venait me remercier de la qualité de notre service. Elle m’a expliqué que pendant qu’elle me téléphonait Élisabeth exposait ses fesses bien rouges au coin. Je lui ai dit que c’était toi qui s’était occupée de lui rougir le derrière, elle m’a chargée de te féliciter.
Sophie rougit de plaisir :
— Il faut dire que je l’ai particulièrement soigné, elle a eu droit à trois fessées déculottées, c’est toujours un plaisir de la corriger, elle a vraiment une paire de fesses bien large et dodue faite pour la fessée.
Madame Rose se mit à rire :
— J’avais bien remarqué que son derrière te plaisait bien, tu la fais souvent revenir en stage de fesses rouges.
Ces stages c’étaient une idée à Sophie, les clientes qui avaient accumulé de nombreuses punitions sur leur carnet avaient droit à un séjour de trois ou cinq jours suivant l’intensité de la faute, durant ce séjour, elles avaient les fesses rouges en permanence, tout le monde pouvait le constater puisqu’elles étaient privées de culotte et que leur jupe restait épinglée dans le dos du matin au soir. Quand elles n’étaient pas au coin à exposer leur croupe écarlate, elle devait faire du ménage, du rangement ou des lignes de copie, les deux assistantes se chargeaient d’entretenir la rougeur de leur fessier. Au minimum deux fois par heure elles avaient droit à la fessée, celle des deux assistantes qui étaient disponibles, attrapaient la dame par l’oreille, la courbait sous son bras pour examiner ses fesses, puis suivant son humeur, c’était soit une fessée rapide soit une vraie punition, la délinquante couchée sur ses genoux.
Madame Rose continuait ses explications :
— La maman d’Élisabeth m’a dit qu’elle aurait vraiment voulu assister à la correction de sa fille, mais elle ne peut pas se déplacer. C’est comme ça que je lui ai proposé que tu viennes chez elle administrer une bonne fessée cul nu à Élisabeth.
Sophie ne put retenir sa joie :
— C’est vraiment une idée magnifique madame, mais si j’ai bien compris, on proposera ce service à tout le monde, ce n’est pas réservé à la baronne ?
— Tu as bien compris, il va te falloir préparer une mallette pour ces consultations à domicile, tu y mettras tout le matériel nécessaire pour rougir correctement un derrière, je te fais confiance.
Sophie s’était procurée une jolie petite valise, elle y avait mis tous les instruments utilisés à l’institut, deux martinets, un à manche court permettant de fesser la patiente en position traditionnelle et un autre de taille normal pour les sévères fessées, il y avait plusieurs spatules à fesser, en bois, en cuir dont la célèbre « mademoiselle Claquefesse », des paddle en bois percé ou non et plus ou moins lourd. Elle avait rajouté ses instruments fétiches, une large règle en bois et une cuillère de cuisine également en bois, ainsi qu’une boite de plugs de tailles variées et un thermomètre médical. Comme elle était méticuleuse, elle y avait placé également des épingles pour fixer les jupes quand les punies iraient au coin.
Elle consulta son carnet de rendez-vous, comme tous les lundi elle devait aller chez la baronne De Nouvel.
Depuis que ce nouveau service avait été mis en place Marie De Nouvel, la mère d’Élisabeth en avait profité, elle avait quatre-vingt-quatre ans et ne pouvait guère se déplacer en raison de problème d’arthrose, par contre elle avait l’esprit vif et le caractère toujours aussi autoritaire. Sa fille de soixante-deux ans pouvait en témoigner, malgré son âge, elle se faisait gronder comme une gamine, la baronne ne pouvait plus fesser sa fille bien qu’elle en ait souvent envie, depuis qu’elle avait découvert l’institut, elle y envoyait sa fille se faire corriger.
Mais le jour où madame Rose lui avait annoncé la mise en place du service de fessées à domicile, elle avait pris un rendez-vous et depuis cette date tous les lundi matin, Sophie sonnait à dix heures précises à la porte de la grande demeure.
Ce matin-là ce fut Priscilla la jeune bonne qui lui ouvrit :
— Bonjour mademoiselle Sophie, comment allez-vous ?
La jeune assistante détailla la soubrette, elle était de taille moyenne, les cheveux bruns attachés en queue de cheval, son uniforme était impeccable, une robe noire, évasée assez courte, un petit tablier blanc, des bas fumés avec des chaussures à talon. Cette petite avait des formes, le regard professionnel de Sophie se porta immédiatement sur le fessier de la donzelle quand celle-ci l’invita à la suivre, il était potelé à souhait, fessable pour tout dire, Sophie se l’imagina immédiatement déculotté.
En arrivant dans le salon où l’attendait Marie De Nouvel la mère d’Élisabeth, elle ne manqua pas de remarquer que les deux coins de la pièce qui faisaient face à la porte étaient occupés ? Deux dames s’y tenaient, la culotte baissée et la jupe épinglée dans le dos. Comme il se doit, elles avaient posé leurs mains sur la tête et leur nez était collé contre le mur.
Sophie reconnut immédiatement dans le coin droit le fessier d’Élisabeth, il lui était familier ce large derrière qu’elle rougissait régulièrement. Dans le coin gauche se tenait une dame élégamment vêtue, la robe épinglée dans le dos était de bonne facture, la culotte rose pâle baissée à mi-cuisse était ornée de dentelle et les bas fumés étaient maintenus par un porte-jarretelle assorti à la culotte. Le derrière assez large était bien rebondi, mais il était tellement contracté par l’angoisse d’être ainsi exposé que Sophie avait un peu de mal à apprécier sa forme et sa consistance. La baronne mère l’accueillit chaleureusement :
— Bonjour Sophie, je suis contente de vous voir, je vous ai réservé du travail.
La jeune assistante désigna les deux fessiers exposés en souriant :
— C’est ce que je vois.
Marie s’adressa à la jeune soubrette qui attendait et regardait les deux paires de fesses nues en rougissant :
— Vous voyez ce qui arrive quand on est pas sage ma petite Priscilla, vous pouvez disposer.
Puis elle claqua dans ses mains :
— Reculottez-vous et venez me voir les chipies.
Élisabeth fut la première à remonter sa culotte et à se retourner, elle n’avait pas trop de gêne à regarder la jeune assistante, par contre l’autre dame tardait, elle avait remis sa jolie culotte sur ses fesses, mais elle ne se retournait pas :
— Jenny !! Je vous ai dit de venir me voir, dépêchez-vous !!
L’élégante dame se retourna, elle avait les joues rouges et les larmes aux yeux :
— Je vous présente miss Jennifer Sterling, ma gouvernante, mais aujourd’hui elle sera Jenny une dame qui reçoit la fessée déculottée n’a pas droit au titre de miss. Dis bonjour à Sophie qui va s’occuper de te corriger.
La jeune femme devait avoir environ trente-cinq ans, elle était très mignonne, l’air assez snob d’une Anglaise bien éduquée, tout à fait le genre de pimbêche que Sophie adorait faire descendre de leur piédestal, elle murmura :
— Bonjour mademoiselle.
— Mademoiselle Sophie !
La sévère baronne venait de la reprendre.
— Euh, oui pardon, bonjour mademoiselle Sophie.
La jeune assistante était ravie, elle se tourna vers la baronne :
— Qu’a donc fait cette demoiselle pour que je doive m’occuper de ses fesses ?
— Jenny était prévenue depuis la semaine dernière, quand vous êtes venue administrer sa fessée hebdomadaire à Élisabeth. Je ne supporte pas les retards, ni la négligence dans le service. Mademoiselle s’est permis de commencer son service avec cinq minutes de retard et elle a été maladroite en m’aidant à m’habiller. Je lui avais dit que chez moi ce genre de comportement justifie la fessée déculottée et comme mes rhumatismes ne me permettent plus de l’administrer, elle savait que j’aurais recours à vos services.
La jeune femme regardait ses chaussures, certes elle était anglaise et avait été formée à ce métier de gouvernante dans une institution très traditionaliste où on ne dédaignait pas d’utiliser encore les bonnes vieilles méthodes allant de l’administration de fessées déculottées en passant par la tawse et bien sûr là canne.
Elle était issue d’une famille de petite noblesse, où l’éducation traditionnelle était encore de mise, les demoiselles de ce genre de milieu étaient très appréciées comme gouvernante, car elle savait se tenir et ne manquait pas d’autorité pour diriger les autres domestiques.
D’ailleurs pendant leur formation si elles devaient régulièrement présenter leurs derrières dénudés pour recevoir la fessée, on leur inculquait également les bases pour savoir l’administrer au personnel dont elles auraient la responsabilité.
Cet emploi en France chez la baronne De Nouvel lui avait plu, ça la changeait des brumes anglaise. Dès le premier jour, elle avait été mise au courant des habitudes de la maison, en effet Élisabeth revenait d’une séance à l’institut et comme elle en avait l’habitude sa mère avait voulu constater le résultat.
Le fait qu’il y ait miss Sterling dans la pièce ne l’avait aucunement gênée :
— Vous voudrez bien m’excuser mademoiselle, mais je dois avoir une petite discussion avec ma fille.
Élisabeth De Nouvel avait pâli en entendant sa mère, elle avait l’habitude de sa sévérité, mais elle ne pensait pas que la jeune anglaise qui venait juste d’être embauchée comme gouvernante serait immédiatement au fait de la façon dont sa mère la traitait, celle-ci lui avait fait un petit signe du doigt assez explicite :
— Alors ma chérie, ta séance s’est bien passée, qui s’est occupée de tes fesses ?
Le visage de la dame de soixante ans était passé du blanc au rouge écarlate, elle avait baissé les yeux et bafouillé :
— Euh oui, maman… C’est Aurélie qui s’est occupée de moi.
— Très bien, nous allons voir ça, déculotte-toi.
Élisabeth était habituée à devoir montrer ses fesses nues à sa mère à chaque fois qu’elle revenait de l’institut, celle-ci aimait beaucoup examiner la croupe en général rubiconde de sa fille, cet examen se terminait toujours par une mise au coin plus ou moins longue.
La jeune baronne jeta un œil affolé vers la nouvelle gouvernante, elle essaya en vain d’implorer sa mère du regard, mais celle-ci la gronda comme si elle était une gamine :
— Qu’est-ce que j’ai dit Élisabeth ? Tu sais que j’ai horreur de répéter, tu as envie de retourner à l’institut ?
Désespérée la sexagénaire se retourna, saisi l’ourlet de sa jupe, qu’elle tint relevée avec ses coudes, puis elle glissa ses pouces sous l’élastique de sa jolie culotte en dentelle et la baissa sous ses fesses, elles étaient écarlates comme pour toutes les patientes revenant de l’institut :
— Approche un peu.
Élisabeth se recula pour que sa mère puisse examiner de près sa croupe, celle-ci lui appuya sur le dos pour qu’elle se penche, sa main caressa le fessier meurtri :
— C’est parfait Aurélie a fait du bon travail, tu as eu le martinet ?
— Oui maman et mademoiselle Claquefesse.
— Ça te brûle j’espère ?
La jeune baronne avait les larmes aux yeux, en plus de la cuisson terrible de sa croupe, elle sentait le regard de la jeune anglaise braqué sur son large derrière dénudé, une petite claque l’incita à répondre :
— Oui maman…
— Montre tes fesses à mademoiselle Sterling.
Complètement désemparée la sexagénaire se tourna de dos vers la jeune femme, celle-ci avait d’abord été surprise, mais maintenant elle souriait, elle se pencha pour examiner le magnifique et large fessier :
— Beau résultat, la personne qui a administré cette fessée connaît son travail.
Marie De Nouvel interpella sa fille :
— Tu vas aller te mettre au coin pour qu’on profite de la vue de tes jolies fesses pendant que je finis de discuter avec mademoiselle Sterling.
Bien évidemment la conversation dériva rapidement sur les bienfaits d’une éducation stricte, la baronne connaissait les principes en vigueur dans l’école qui avait formé la jeune gouvernante :
— Bien sûr, vous avez toute latitude pour corriger Priscilla, la jeune bonne ainsi que Mathilda la cuisinière, elles sont au courant, ça leur fera le plus grand bien.
La jeune anglaise acquiesça, puis son sourire se figea en entendant la suite :
— Pour ce qui vous concerne, si j’avais quelque chose à vous reprocher, je ferai appel à une assistante de l’institut qui vous corrigera comme il se doit. Mais si j’en juge à vos références une telle éventualité ne risque pas de se produire.
Malheureusement pour miss Jennifer Sterling, cette éventualité évoquée par Marie De Nouvel s’était produite et la jeune gouvernante était aujourd’hui dans la situation peu enviable d’une adulte s’apprêtant à être corrigée de la plus humiliante des manières, elle allait recevoir à trente-cinq ans une fessée déculottée.
Sophie savourait l’instant, elle allait bien sûr administrer une magistrale fessée à Élisabeth et c’était toujours un plaisir, mais surtout elle allait découvrir une nouvelle croupe à corriger, le peu qu’elle en avait vue lui laissait deviner que ce serait agréable. Elle regarda en souriant sa future victime :
— Jenny vient ici et tourne-toi.
Elle avait adopté immédiatement le tutoiement pour que la jeune femme prenne conscience de son changement de statut et sache qui était sa maîtresse maintenant. Celle-ci approcha les yeux baissés et présenta son derrière culotté, la fine et élégante lingerie moulait parfaitement un postérieur que l’on devinait assez large, mais bien rebondi.
Sophie regarda Élisabeth qui attendait les bras ballants :
— Tu vas te déculotter et te tourner vers moi, tu mets tes mains sur la tête pendant que je m’occupe de Jenny.
Docilement la baronne, baissa à nouveau sa culotte et se retourna en posant ses mains sur sa tête. La jeune gouvernante était devant Sophie, celle-ci tapota le fessier, puis glissa son doigt sous la culotte au niveau des cuisses afin de la faire rentrer légèrement dans la raie fessière et dégager la base des fesses :
— Alors comme ça on est paresseuse et maladroite.
Les fesses étaient contractées sous la culotte rose, Sophie dégagea un peu plus les fesses et claqua sèchement le pli fessier :
— J’attends une réponse mademoiselle !
— Aïe, oui, oui mademoiselle Sophie.
Jenny avait été surprise par la brûlure, elle avait sautillé sur place, c’était charmant. La jeune femme claqua une dizaine de fois la base des fesses et le haut des cuisses.
— Aïe, aïe, aïe… pardon mademoiselle Sophie.
La jeune femme sautillait sur place pendant cette petite fessée, Marie De Nouvel appréciait le spectacle. La main cessa de claquer, la rougeur commençait à percer :
— Tu mérites d’être corrigée ?
— Oui… oui mademoiselle Sophie.
La jeune assistante de l’institut regarda en souriant la baronne, c’était tellement plaisant de rabattre le caquet à une jeune péronnelle :
— Je crois effectivement que cette jeune femme a besoin que je m’occupe de son derrière. Jenny tu vas te mettre en position bien gentiment, c’est l’heure de ta fessée ma grande.
La jeune anglaise avait perdu toute sa superbe, malgré sa tenue élégante elle n’était plus qu’une adolescente s’apprêtant à être punie par sa maîtresse. Elle se retourna et se coucha d’elle-même sur les genoux de Sophie, depuis sa sortie de l’école, elle ne s’était jamais retrouvée dans cette position, ça remontait donc à quasiment quinze ans. Mais quand on a été élevée dans une famille stricte en Angleterre, on n’oublie pas ce genre de chose et on obéit immédiatement.
Sophie apprécia immédiatement la qualité du fessier de Jenny, large et bien rebondi, un beau derrière pour exercer ses talents. La culotte était légèrement remontée dans la raie fessière, découvrant la base de la croupe déjà rougie, elle décida de continuer la fessée d’échauffement, elle avait tout son temps pour dénuder ce derrière. Les claques s’abattirent sur la base du fessier et le haut des cuisses, la jeune anglaise, poussait des petits cris, cette zone est très sensible et Sophie le savait pertinemment. Elle cessa de claquer et décida d’une petite humiliation supplémentaire, elle tira sur la culotte pour la faire quasiment disparaître dans la raie médiane, transformant la lingerie en string, la croupe était presque entièrement découverte, elle recommença à la fesser, elle administrait lentement de grandes claques qui faisait sauter la punie allongée sur ses cuisses, Jenny criait à chaque coup, son fessier était d’un rouge éclatant. En souriant, Sophie tira un peu plus sur la culotte, elle savait que l’excitation produite par le frottement du tissu sur les lèvres, associée à la cuisson de la fessée était une situation très gênante :
— Voilà un derrière bien échauffé, tu sais que tu mérites d’être punie ma chérie ?
— Oui, mademoiselle Sophie…
La jeune gouvernante avait des sanglots dans la voix.
— Comment dois-je te corriger, tu dois bien le savoir ?
— Oui mademoiselle Sophie… Aïe…
La main venait de claquer le pli fessier :
— Alors ?
— Oui, oui mademoiselle Sophie… Euh… une fessée…
— Eh bien c’est laborieux, tes fesses sont déjà rouges ma petite Jenny, mais on dirait que ce n’est pas suffisant. Une fessée certes… Mais une fessée comment ?
La main recommença à claquer les fesses à demi-dénudées :
— Aïe, aïe, aïe… oui mademoiselle, une fessée bare bottom…
Sophie se mit à rire :
— Exactement, mais je vais te traduire ça en français. Tu vas recevoir une fessée cul nu ma chérie et même pour être vraiment exacte, une bonne fessée déculottée.
Sophie se tourna vers la baronne qui appréciait la perversité de la jeune assistante :
— Votre jeune gouvernante est charmante, j’ai déjà eu un aperçu de son derrière, mais je vais la déculotter qu’en pensez-vous ?
Marie De Nouvel lui fit un petit signe de la tête :
— J’espère bien, il faut que cette demoiselle ait bien honte, baissez lui la culotte et fessez là moi comme il convient.
Sophie replaça la culotte sur la croupe et elle la caressa :
— Ma chérie, maintenant il est temps de nous montrer vraiment tes fesses, une bonne fessée déculottée voilà ce que tu mérites.
Jennifer savait bien que ça allait arriver, mais se faire déculotter c’est toujours une épreuve quel que soit son âge, ses fesses étaient contractées sous son élégante culotte, elle sentit les doigts de la jeune femme s’insinuer sous la ceinture et sa lingerie intime glisser lentement sur sa croupe.
Sophie la baissa jusqu’à mi-cuisse afin de jouir parfaitement de cette belle paire de fesses, elle était déjà rougie, mais ce n’était bien sûr qu’un début « ton joli derrière va danser ma belle, il est fait pour recevoir des fessées, tu vas me le montrer souvent », elle caressait la croupe rebondie pendant que ses pensées vagabondaient, quel agréable métier.
Élisabeth exposait toujours son derrière avec ses mains sur la tête, elle savait que son tour arriverait, mais elle n’était pas mécontente que l’attention de Sophie soit concentrée sur le derrière de cette jeune pimbêche qui s’était régalée de son humiliation quand sa mère l’avait fait mettre au coin fesses à l’air.
Jenny n’en menait pas large, ses fesses déculottées parfaitement exposées à sa jeune maîtresse, en jetant un œil sur le côté elle avait vu que la baronne ne perdait pas une miette du spectacle, le fin sourire qui ornait son visage ne laissait pas de place au doute, elle appréciait le spectacle, ce ne serait pas la dernière fois où elle se retrouverait dans cette position humiliante montrant son derrière dénudé.
Soudain elle poussa un cri, la véritable fessée venait de commencer et elle n’avait rien à voir avec ce qui avait précédé, c’était une véritable correction, une avalanche de claques très rapides et très fortes s’abattaient sur sa croupe, ses jambes se mirent à mouliner dans le vide, ses fesses s’ouvrirent largement pour le plus grand plaisir de Sophie qui appréciait toujours ces moments, les pleurs succédèrent rapidement aux cris. Élisabeth appréciait de ne pas être à la place de la jeune gouvernante, elle savait ce qu’elle devait ressentir, Sophie voulait lui faire découvrir la vraie bonne fessée déculottée de l’institut, elle-même y goûtait régulièrement.
Le derrière rebondi était cramoisi quand la fessée cessa, Jennifer Sterling venait de recevoir sa première fessée déculottée en France, ce ne serait pas la dernière. Sophie la garda un moment en travers de ses genoux le temps qu’elle se calme, puis elle la fit se relever :
— C’est un bon début, ton derrière est ravissant, tu vas aller le montrer à madame la baronne.
Une petite claque sur la croupe brûlante incita la jeune femme à obéir, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, sa jupe retroussée et maintenue par une épingle laissait voir le derrière, elle se dirigea vers madame De Nouvel, puis se tourna docilement pour lui présenter son fessier écarlate, sa patronne appuya légèrement sur ses reins afin qu’elle se penche et passa sa main sur l’épiderme enflammé :
— Joli résultat ma chère Sophie, je vous félicite, ce n’est qu’un début bien sûr ?
La jeune assistante se mit à rire :
— Évidemment, vous pensez bien qu’une si belle paire de fesses à besoin d’autre chose qu’une simple fessée manuelle. Mademoiselle va aller au coin fesses à l’air pendant que je m’occupe d’Élisabeth, ensuite on passera aux choses sérieuses.
Elle se leva pour accompagner la jeune anglaise, elle lui avait saisi l’oreille pour la ramener vraiment à son statut de gamine punie, une fois qu’elle eut posé son nez contre le mur, elle mit spontanément ses mains sur sa tête. Sophie ouvrit sa mallette et en sortit deux épingles pour fixer la jupe dans le dos à sa façon, elle remonta la culotte à mi-cuisse et tapota le derrière écarlate :
— Tu pleures en silence ma grande, je ne veux pas t’entendre, réfléchis à ta paresse pour ne pas recommencer.
Elle se dirigea vers Élisabeth qui contracta ses fesses, ce qui la fit sourire « Tu as raison de serrer les fesses ma petite chérie, ton bon gros derrière va danser », elle se tourna vers la baronne :
— Qu’as donc fait notre chère Élisabeth pour que je doive la corriger ?
Marie De Nouvel souriait, cet après-midi était vraiment agréable, le derrière de sa gouvernante était appétissant et maintenant c’était sa grande fille qui malgré ses soixante-deux ans allaient recevoir la fessée :
— Oh vous la connaissez, il ne faut surtout pas lui lâcher la bride, elle a besoin d’avoir les fesses rouges et bien chaudes au moins une fois par jour, d’ailleurs depuis qu’elle va régulièrement à l’institut, je ne la reconnais pas c’est une mignonne grande fille.
Sophie s’était approchée de la sexagénaire, elle lui claqua les fesses :
— Reculotte-toi et viens me voir.
Élisabeth savait qu’elle lui faisait remettre sa culotte en place pour avoir le plaisir de la déculotter et même si elle était habituée à ce cérémonial, c’était toujours aussi humiliant.
Elle avait quarante de plus que sa jeune maîtresse, mais à cet instant la différence d’âge n’avait aucune importance, elle redevenait une gamine qui va recevoir ce châtiment si humiliant, une bonne fessée déculottée.
Elle était maintenant devant Sophie la tête basse, la jeune femme s’était installée sur une chaise, elle prit la main de la jeune baronne De Nouvel, celle-ci n’était plus une grande bourgeoise, elle bascula en travers des cuisses de sa jeune maîtresse :
— Alors ma petite Élisabeth, à quand remonte ta dernière fessée ?
Elle le savait pertinemment puisque samedi la sexagénaire était venue à l’institut pour une journée fesses rouges et qu’elle s’était relayée avec Aurélie pour entretenir la couleur du fessier.
— Samedi mademoiselle Sophie…
La jeune femme regarda Marie De Nouvel en lui faisant un petit clin d’œil :
— Madame ne s’est pas fait rougir les fesses hier ?
— Malheureusement non, ce n’est pas l’envie qui m’a manqué, mais je ne peux plus lui administrer la fessée.
Sophie tapota le derrière culotté :
— Tu n’as pas eu les fesses rouges hier ?
— Non mademoiselle Sophie…
— Et tu as été sage ?
— Euh… Oui… Aïe, aïe…
La main de la jeune assistante venait de claquer l’arrière des cuisses juste sous la culotte :
— Tu sais que je déteste les menteuses ma petite Élisabeth.
C’était un spectacle un peu surréaliste de voir cette dame d’âge mûr couchée sur les genoux d’une jeune femme qui aurait pu être sa petite fille, en train de se faire morigéner. Mais la baronne De Nouvel avait tellement l’habitude d’être traitée en gamine qu’elle en avait acquis les réflexes, elle se mit à gémir :
— Pardon, mademoiselle Sophie, pardon…
— C’est bien ce qu’il me semblait tu as mérité la fessée et ta maman n’a pas pu te l’administrer, c’est ça ?
Élisabeth connaissait la suite, elle savait également qu’il ne fallait surtout pas contredire les jeunes assistantes de l’institut sous peine de punitions encore plus cuisantes :
— Euh… Aïe, aïe… oui mademoiselle Sophie.
La main de la jeune femme avait encore claqué sèchement le pli fessier, cette zone si sensible.
— Nous y voilà, tu as donc encore mérité une bonne fessée déculottée, c’est quand même incroyable, il faut déculotter madame tous les jours !! Eh bien compte sur moi, tu vas recevoir la fessée pour tes bêtises d’hier et je vais en rajouter une en prévention de celle d’aujourd’hui.
Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la baissa lentement, elle aimait tellement ce moment, il fallait le faire durer. Bien sûr le fessier de la baronne Élisabeth De Nouvel n’avait plus aucun secret pour elle, elle en connaissait tous les recoins même les plus intimes comme cette raie fessière bien serrée où elle glissa ses doigts pour écarter les deux globes et mettre à jour la petite rondelle brune. C’était un moment délicieux, elle devinait la honte de cette bourgeoise de soixante-deux ans obligée de se laisser faire. La base de la croupe était déjà rouge, elle s’attaqua donc à la partie la plus rebondie du derrière, celle qui est la plus propice à la fessée.
Élisabeth avait l’habitude des corrections sévères, elle ne réagit pas immédiatement ce qui énerva un peu Sophie, elle accentua donc la vigueur des claques et les jambes de la baronne se mirent à pédaler dans le vide et les cris et supplications fusèrent. La belle paire de fesses de la dame d’âge mûr prit rapidement la belle couleur préférée de l’institut, un rouge profond et soutenu.
— Une bonne fessée déculottée pour échauffer ton bon gros derrière ensuite je m’occuperai de t’administrer la correction supplémentaire. Tu la sens celle-là ma chérie ?
Élisabeth hoquetait, ses larges fesses s’ouvraient et se fermaient, Sophie regarda la mère de la punie en souriant :
— Comme madame ne veut pas répondre je vais continuer. Tu la sens ma fessée, elles te cuisent tes bonnes grosses fesses ?
— Ou… Oui, oui mademoiselle Sophie, Aïe, aïe… Noon plus la fessée s’il vous plaît…
— Tu n’as pas répondu ma chérie, je vais donc continuer à chauffer ton derrière.
— Noon, s’il vous plaît mademoiselle Sophie… Oui, oui je la sens votre fessée mademoiselle, oui mes fesses me brûlent… aïe, aïe, aïe… s’il vous plaît.
Pendant la conversation, la main n’avait pas cessé son œuvre sur le derrière d’Élisabeth, il était vraiment cramoisi, Sophie en souriant s’arrêta et posa sa main sur les fesses brûlantes :
— A la bonne heure, c’est fait pour ça ma grande, il faut que tes fesses te cuisent et rassure-toi je vais m’arranger pour que tu la sentes longtemps ma fessée.
Elle fit relever la punie et la conduisit à côté de la jeune gouvernante, la culotte remontée à mi-cuisse soulignait la rougeur du fessier, la couleur était équivalente à celui de Jenny. Élisabeth connaissait les consignes, elle posa son nez contre le mur et mis ses mains sur sa tête.
Marie De Nouvel sonna pour appeler la jeune soubrette :
— Servez-nous le thé ma petite.
La jeune fille avait jeté un œil sur les deux fessiers écarlates ornant le mur de la pièce, elle ne put s’empêcher de serrer ses fesses sous sa culotte. Pas plus tard qu’hier sa patronne l’avait menacé de lui faire donner la fessée si elle faisait encore une bêtise. La couleur des deux croupes ne laissait guère de place au doute, la fessée si elle arrivait serait sévère.
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