mercredi 18 juin 2025

Lucie et Christian 32

 Épilogue.



 La vie suivait son cours dans l’entreprise de Claire. Après l’épisode du stage, les cinq employées avaient dû subir les foudres de la cheffe de service.

Surtout pendant le mois où celle-ci était allée tous les jours se faire déculotter et rougir les fesses chez madame Sylvie. Immanquablement les deux secrétaires et les trois comptables repartaient chez elle avec des fesses cramoisies et cuisantes.

La vie privée de toutes ces dames avait connu des changements.

 

Commençons par Lucie, elle était tombée amoureuse d’Ingrid la tante d’Alice et c’était réciproque. Malgré la différence d’âge celle-ci lui avait fait découvrir des sensations amoureuses qu’elle n’avait jamais connues auparavant et la dame âgée connaissait une seconde jeunesse au côté de cette charmante quadragénaire. Bien sûr elle n’avait pas changé ses habitudes et c’est toujours avec une paire de fesses écarlates que Lucie goûtait aux plaisirs de la chair.

C’était venu naturellement elle avait commencé à se rendre chez Ingrid régulièrement le week-end et malgré ou peut-être à cause des fessées magistrales que sa sévère amante lui administrait, elle revenait maintenant toutes les semaines.

C’était un rite bien codifié, dès qu’elle arrivait, après avoir fait une bise à sa « tatie », elle montait rapidement dans la chambre d’Alice et revêtait son costume de gamine. Elle avait bien essayé de négocier arguant de son changement de statut, puisque désormais elles étaient amantes, mais la sévère tatie avait été intraitable et après d’innombrables et sévères fessées déculottées suivies de long séjour au coin, Lucie s’était fait une raison. Ça ne lui posait plus de problème de porter des jupes ultracourtes, des socquettes et des petites culottes en coton.

C’est seulement après cette petite transformation qu’elle pouvait bénéficier des tendres caresses de son amante.

Les voisines et amies d’Ingrid avaient rapidement adopté cette jeune femme, Lucie avait goûté à la honte de la fessée déculottée en public et des longs passages au coin à exposer son derrière rougi pendant que les dames buvaient le thé.

Elle y réfléchissait quelquefois, elle avait abandonné beaucoup de ses prérogatives de fesseuse, mais c’était tellement agréable de se laisser aller sous l’autorité amoureuse d’Ingrid.

Après quelques mois de ces allers-retours, elles en eurent un peu assez et Ingrid proposa à la jeune femme de venir s’installer définitivement chez elle. Ses moyens lui permettait d’entretenir sans aucun problème son amante.

Il fallait quand même régler quelques problèmes pratiques, depuis un certain temps ses rapports avec Christine s’étaient distendu, même si elle ne négligeait pas de lui faire « reluire les fesses » comme elle disait en riant après l’avoir couchée sur ses genoux et déculottée.

Chaque week-end elle la confiait à Aurore et celle-ci se chargeait de poursuivre l’éducation sévère de l’épouse de Christine, son derrière était rouge quasiment en permanence, mais elle s’y était habituée. Il faut dire qu’Aurore était devenue plus que sa patronne, avec l’assentiment de Lucie leur rapport était devenu plus intime et après une magistrale déculottée qui lui laissait le derrière en feu, notre petite Christine devait présenter ses fesses pour qu’Aurore s’en occupe avec son god ceinture.

Quand Lucie leur annonça qu’elle allait s’installer définitivement chez Ingrid, Aurore sauta de joie à l’idée d’avoir Christine en permanence à sa disposition. Pour celle-ci cela ne changeait pas grand-chose, la main d’Aurore était aussi sèche et claquante que celle de Lucie.

Lucie devait aussi prévenir madame Dugou de son départ et donc de sa démission, Claire fut déçue, Lucie avait été la première à inaugurer cette nouvelle organisation du travail basée sur l’administration régulière de vigoureuses fessées déculottées.

Elle lui demanda quand elle comptait partir, la jeune secrétaire l’informa qu’elle quitterait l’entreprise à la fin du mois, Claire regarda le calendrier :

— Il nous reste deux semaines ma petite Lucie, je vais m’occuper de ton derrière pour que tu te souviennes de la mère Dugou.

Elle avait dit ça en souriant, elle n’ignorait pas que c’était comme ça que les secrétaires la dénommaient entre elles.

Lucie comprit que ces deux semaines seraient cuisantes pour ses fesses.

— Nous allons reprendre les bonnes habitudes, une fessée déculottée matin, midi et soir. Bien sûr privée de culotte toute la journée et au coin toute ta pause de midi. D’ailleurs à midi tu recevras deux fessées une avant le coin et une après.

Lucie essaya de négocier :

— Mais madame ce n’est pas juste, je n’ai rien fait.

— Ah oui ? Tu contestes ? Eh bien disons que tu viendras en plus à dix heures et à quinze heures me présenter tes jolies fesses. Tu as encore quelque chose à dire ?

Lucie comprit que la partie était perdue, elle baissa la tête en rougissant :

— Non, non, madame pardon.

— Parfait ma petite, en piste, on commence maintenant.

Et Lucie se retrouva déculottée en travers des genoux de sa responsable pour la première de ses six fessées journalières.



Alice était au courant de son départ, quand elle la vit arriver dans le bureau avec les yeux rougis elle comprit immédiatement :

— La mère Dugou veut profiter de ton derrière jusqu’au bout.

Lucie en souriant lui expliqua le programme :

— Heureusement que je suis amoureuse de ta tante et que je suis contente de partir, mais quand même, elle a décidé de me soigner.

— Tu me montres tes fesses ?

Lucie fit une petite moue, puis elle se tourna et troussa sa jupe, sa lune écarlate apparu et Alice en riant la tapota :

— C’est sûr que tu n’as pas besoin de culotte, tu n’auras pas froid aux fesses.

Lucie s’assit avec précaution et regarda sa montre :

— Dans une heure et demie je dois aller lui montrer mes fesses, je vais avoir du mal à m’asseoir.

Alice se mit à rire :

— Tu as quand même un joli popotin, ne t’inquiète pas on ne meurt pas d’une bonne déculottée.

Elle prit un air sérieux :

— De toute façon tu l’as bien mérité, tu me laisses tomber comme une vieille chaussette. Je ne sais pas qui va te remplacer. Tu crois qu’elle aura un joli derrière ?

Lucie malgré la cuisson de sa croupe ne put s’empêcher de rire :

— Je ne sais pas, mais je pense que la mère Dugou aura vite fait de la mettre au pli et d’examiner ses fesses. Je pense que tu les verras rapidement.

Le lendemain Alice était toute joyeuse quand Lucie revint du bureau de madame Dugou avec son fessier écarlate et brûlant. Dès qu’elle eut examiné le derrière de son amie et que celle-ci eut posé avec précaution ses fesses sur sa chaise elle attaqua :

— Tu ne peux pas savoir comme je suis contente, Lili va venir habiter chez moi.

— Ah oui ? et pourquoi ?

— Elle a été prise en formation pas loin d’ici et elle cherchait à se loger, tu comprends bien que je n’ai pas laissé passer l’occasion.

Depuis leur première rencontre chez la tante de Lili, Alice était tombée sous le charme de cette très jeune fille qui avait su lui rougir les fesses comme il se doit, mais l’avait fait grimper au ciel avec sa langue et lui avait fait découvrir des plaisirs jusque-là inconnus.

Lili en arrivant chez Alice avait très vite mis les choses au point, elle avait examiné l’appartement d’un regard circulaire :

— Qu’est-ce que c’est que ce bazar, c’est comme ça que tu ranges. Viens un peu là.

Avant même d’avoir pu se réjouir de l’arrivée de sa petite amie, Alice s’était retrouvée couchée en travers de ses cuisses, jupe troussée et culotte aux genoux :

— Je vais t’apprendre ma chérie.



La première fessée déculottée reçue par Alice ne fut pas la dernière, à partir de ce jour les fesses d’Alice furent régulièrement dépoussiérées.

Les rôles étaient répartis, Lili faisait la cuisine, elle adorait ça, par contre toutes les autres tâches ménagères étaient dévolues à l’aînée, la plus jeune était intransigeante sur la propreté, que de fois la trentenaire se retrouva à refaire le ménage les fesses bien rouges et exposées à la vue de son amie.

D’ailleurs après quelques séances cuisantes, Lili décida de la tenue d’Alice pour passer l’aspirateur ou faire la poussière. Elle épingla la jupe de son amie dans le dos et baissa sa culotte juste sous ses fesses :

— Comme ça elles sont à ma disposition ma chérie.

Elle avait dit ça en riant et en claquant joyeusement le derrière joufflu d’Alice.

Comme chez sa tante, elle devait dès qu’elle rentrait quitter sa tenue élégante de secrétaire, mettre une jupe courte et enlever ses bas. Ses dessous n’étaient plus des culottes en dentelle affriolante, mais de sage culotte en coton blanche ou à petites fleurs. Ça avait été assez difficile à accepter mais les arguments claquants de sa petite amie avait fini de la convaincre. Ses voisines et les commerçants s’étaient habitué à la voir sortir dans cette tenue et quand elle était accompagnée de Lili, il ne faisait de doute pour personne que c’était la plus jeune qui portait la culotte dans le couple.

La jeune fille ne lui passait rien et rapidement la concierge de l’immeuble sut que mademoiselle Alice recevait encore la fessée déculottée à son âge. Lili venait de sévir une fois de plus, le martinet était posé bien en évidence sur la table basse et la secrétaire sanglotait le nez contre le mur, quand la sonnette retentit. Sans se préoccuper de la tenue de sa petite amie la jeune fille ouvrit en laissant la porte du salon ouverte, depuis l’entrée la concierge qui amenait un colis avait une vue panoramique sur la pièce, elle pouvait voir les fesses écarlates d’Alice et le martinet. Ces deux éléments ne laissaient guère de place au doute, la fessée déculottée était la règle dans cette maison.

Madame Pinson, la concierge, eut un petit sourire qui n’échappa pas à Lili :

— Alice n’a pas été sage, mais avec un derrière bien rouge et une heure au coin elle va réfléchir pour la prochaine fois.

— C’est vrai que les bonnes vieilles méthodes ont du bon, je ne croyais pas qu’à votre âge vous pratiquiez ce genre de choses.

Lili la regarda en souriant :

— Comme vous savez, il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée, mais la réciproque est vraie, il n’y a pas d’âge pour en administrer une.

A partir de cette date les relations de la trentenaire avec sa concierge changèrent, celle-ci faisait des allusions transparentes à sa condition et il lui arrivait même de secouer la main d’un air entendu :

— Gare à vos fesses mademoiselle Alice.

C’était dit sur le ton de la plaisanterie, mais la jeune secrétaire piquait un fard et serrait inconsciemment ses fesses.

Pour Clotilde aussi les choses avaient changé, Claire lui avait expliqué qu’elle désirait l’avoir à sa disposition en permanence. La cheffe comptable habitait seule et son caractère soumis s’accommodait bien de l’autorité de sa responsable, elle avait donc emménagé chez Claire. De toute façon, elle n’avait pas eu le choix.

Héloïse et Karine les deux filles de Claire avaient été un peu surprises, mais comme Clotilde faisait le ménage, elles étaient déchargées de certaines tâches et ce n’était pas désagréable. Celle qui avait été ravie c’est Karine, elle aurait les bonnes grosses fesses de Clotilde à sa disposition quand sa mère serait absente.



Comme pour Alice, la cheffe comptable dès qu’elle rentrait du bureau devait quitter ses vêtements pour revêtir son costume de soubrette. Karine appréciait particulièrement cette jupe très courte qui lui permettait discrètement de claquer le plantureux derrière quand elle en avait envie.

Les deux autres comptables n’avaient pas échappé à ce chamboulement, le stage avait été un révélateur pour les deux, la fessée déculottée serait leur but ultime. Elles se mirent en couple avec une organisation un peu particulière, elles jouaient à la maîtresse une semaine sur deux. Chacune y trouvait son équilibre, mais le week-end elles se rendaient chez Chloé et là il n’y avait pas de place au doute, elles redevenaient des gamines troussées et déculottées comme il se doit par la jeune femme.

Lucie était arrivée avec ses valises chez sa « tatie » pour son installation définitive, celle-ci après l’avoir embrassée regarda d’un œil soupçonneux les bagages :

— Je suppose que tu sais que tu n’auras pas besoin de toutes ces tenues, ici c’est moi qui décide comment tu seras habillée.

La jeune femme rougit, elle s’en doutait, mais elle espérait secrètement pouvoir s’habiller de temps en temps de façon un peu plus sexy :

— Va te changer, je regarderai tout ça demain. Nous allons au marché chez Ursula, il faut que je te présente.

Lucie objecta qu’elle connaissait déjà la maraîchère, mais Ingrid lui fit un petit clin d’œil :

— Aujourd’hui c’est un peu différent, tu viens habiter définitivement ici, ça se fête.

Lucie était contente d’être avec sa chérie, mais quand même un peu inquiète, arrivée chez Ursula elle constata que celle-ci n’était pas seule, son amie Maddy était là. Cette grande rousse dont lui avait parlé Alice qui avait mes mêmes goûts que sa tatie et son amie, sans manière Ursula claqua une bise à Lucie et au passage lui palpa les fesses :

— Alors ma petite, c’est le grand jour tu habites définitivement chez nous ?

Ingrid enlaça Lucie :

— Oui, je vais enfin pouvoir m’occuper de son éducation à plein temps.

Lucie fit une moue qui ne passa pas inaperçue, Maddy regarda Ingrid en souriant :

— Mademoiselle n’a pas l’air d’apprécier.

— Oui je sais, j’ai encore du travail, ma petite Lucie trouve qu’elle est trop grande pour qu’on s’occupe de l’éduquer. N’est-ce pas ma chérie ?

Lucie sentait que le terrain devenait glissant, mais il lui fallait quand même répondre :

— C’est-à-dire, j’ai quand même quarante ans, tatie…

— Ah oui ? Et tu penses qu’a quarante ans je ne peux pas te baisser la culotte ?

Lucie rougit jusqu’aux oreilles, même si elle savait que les amies d’Ingrid étaient au courant de ses penchants, cette allusion transparente à la fessée était gênante. Elle n’eut pas le loisir d’aller plus loin dans ses réflexions, car Ingrid venait de lui faire un petit signe :

— D’ailleurs il est temps qu’Ursula et Maddy fasse connaissance avec ton derrière ma chérie, comme elles auront sans doute l’occasion de s’en occuper, autant leur présenter aujourd’hui.

C’était donc ça que son amante avait prévu comme cadeau de bienvenue, une bonne fessée déculottée en public. Résignée, elle s’approcha des genoux de la sévère tatie, celle-ci lui tapota les fesses par-dessus la jupe :

— Ne fais pas cette tête ma chérie, tu as une paire de fesses magnifique et je suis sûr que quand elles seront bien rouges Ursula et Maddy vont encore plus les apprécier.

Lucie baissa la tête, Ingrid lui fit redresser en mettant son doigt sous le menton :

— La phrase magique ma chérie.

C’était la honte absolue, mais Lucie n’avait pas le choix, il lui fallait quémander sa fessée. Elle comprit en regardant sa maîtresse que celle-ci voulait lui prouver son amour en la fessant devant ses amies. Elle prit une grande inspiration et se lança :

— Je suis une vilaine fille tatie, peux-tu me donner la fessée déculottée que je mérite.

Les deux spectatrices applaudirent, Maddy apprécia particulièrement :

— Mes félicitations Ingrid, ta petite chérie est vraiment bien élevée.

Celle-ci était aux anges, elle fit un grand sourire à sa petite amie :

— Mais avec plaisir ma chérie, tu vas voir comme tatie va s’occuper de tes bonnes grosses fesses.

Il fallait que Lucie s’y habitue ce serait comme cela qu’Ingrid parlerait de son derrière quand elle s’apprêterait à la corriger.

Ingrid pris la main de sa jeune amie et la tira vers elle, puis elle la fit basculer en travers de ses genoux. Lucie avait maintenant une grande habitude de cette position, mais curieusement aujourd’hui elle lui paraissait particulièrement honteuse. Peut-être était-ce dû à la présence des deux amies d’Ingrid, les fessées publiques qu’elle avait reçues c’étaient toujours déroulées devant des personnes qu’elle connaissait. À cet instant précis elle était vraiment dans la position d’une gamine corrigée par sa tante en présence d’invitées.

L’air frais sur ses cuisses lui indiqua que sa jupe était troussée, elle portait aujourd’hui une culotte en coton ornée de petites fleurs, Maddy apprécia :

— Quelle mignonne petite culotte, tu as bien choisi Ingrid, une vraie culotte de gamine.

La tatie tapotait le derrière moulé par la lingerie :

— Elle a un bon popotin notre petite Lucie, il remplit bien sa culotte.

Elle commença par claquer le derrière culotté, ce fut une vraie fessée, malgré la protection du tissu, la jeune femme sentit la cuisson envahir sa croupe et elle ne put s’empêcher de battre des pieds comme une gamine. La main claqua ensuite l’arrière des cuisses juste sous la culotte et les cris se firent plus stridents, les deux spectatrices appréciaient la technique de leur amie. Celle-ci leva les yeux et les regarda d’un air gourmand :

— On regarde ce que nous cache cette petite culotte ?

Les deux dames applaudirent en riant, Ursula particulièrement :

— Ah oui, je veux le voir ce popotin, il a vraiment l’air appétissant.

Les doigts qui se glissaient sous l’élastique de son sous-vêtement, Lucie en avait l’habitude, mais elle ne put réprimer un petit frisson, elle venait définitivement de changer de statut, elle ne serait plus jamais l’élégante et autoritaire secrétaire qui fessait son mari et ses amies, elle était la compagne d’Ingrid soumise à sa stricte discipline et celle-ci pouvait la déculotter à tout instant et devant n’importe qui si elle le jugeait utile.

La culotte avait glissé sur le fessier rebondi, la fessée préparatoire avait été efficace, il était déjà bien coloré, Ingrid posa la main dessus :

— Tu m’as bien demandé une bonne fessée déculottée ma chérie ?

— Ou… Oui… Tatie…

— Tu peux me répéter la phrase magique ?

— … Aïe, aïe…

Deux claques s’était abattue sur le derrière dénudé :

— Dépêche-toi avant que je ne double la punition.

— Pardon tatie… Je suis une vilaine fille tatie, peux-tu me donner la fessée déculottée que je mérite.

Ingrid caressa les fesses rougies :

— Avec plaisir ma chérie, la prochaine fois que tu hésiteras comme ça, tatie te donnera deux fessées.

C’était un spectacle excitant de voir cette quadragénaire, obéir au doigt et à l’œil, même si elle était habituée à l’autorité de leur amie, Ursula et Maddy appréciait vraiment.



L’avalanche de claques déferla sur la belle croupe, ce n’était pas une fessée pour rire, mais une véritable correction que reçu Lucie ce jour-là. Ingrid avait vraiment l’intention de marquer son autorité, il fallait que sa petite amie sache qu’à la moindre incartade ou désobéissance ce serait le prix à payer, une paire de fesses cramoisie et brûlante. Les battements de pieds et la danse des fesses furent éloquents, la petite Lucie pleurait à chaudes larmes quand elle fut remise sur pied par sa tatie qui sans faiblesse lui saisit l’oreille et la conduisit au coin.

Elle accompagna la marche de quelques claques supplémentaires :

— Cesse de pleurnicher, c’est toi qui m’a réclamé cette fessée déculottée, tu l’avais donc bien méritée. Colle ton nez contre le mur et pleure en silence, tes fesses vont pouvoir refroidir.

Elle épingla la jupe dans le dos.

Ursula s’était levée pour préparer le thé, c’était un rituel qui prenait toute sa saveur avec la présence de Lucie exposant sa magnifique paire de fesses écarlate au coin de la pièce.

— Cette petite a vraiment des fesses adorables, tu vas te régaler.

Ingrid se mit à rire :

— C’est vrai, je dois avouer qu’elle a aussi d’autres qualités, mais avoir un joli derrière à disposition n’est vraiment pas désagréable.

Lucie se morfondait dans son coin pendant que ces dames papotaient, elle se demandait si sa punition était terminée, elle ne fut pas rassurée quand Ingrid l’appela :

— Viens ici ma chérie, tu vas aller montrer tes jolies fesses à mes amies.

Lucie se présenta d’abord devant Maddy, elle se retourna et se pencha en avant, sa culotte baissée aux genoux et sa jupe épinglée dans son dos dévoilait parfaitement sa croupe écarlate, la rousse Irlandaise caressa le derrière et se tourna vers Ingrid :

— Je peux ?

La sévère tatie hocha la tête en signe d’assentiment, Lucie sentit un bras la tirer vers les genoux de la solide fermière pour se retrouver à nouveau dans cette position si humiliante, elle se mit à gémir :

— Oh non tatie, je n’ai rien fait… Aïe, aïe…

La main de Maddy venait de claquer ses fesses déjà endolories :

— Cesse de pleurnicher, les gamines de ton espèce mérite toujours la fessée, soit pour les corriger, soit pour prévenir les bêtises. Aujourd’hui c’est juste pour que je fasse connaissance avec tes fesses et que ton derrière sache ce qui l’attend si tu n’es pas sage.

Ce fut une fessée copieuse, bien sonore et cuisante pour les fesses de la pauvre Lucie, elle se remit à pleurer, les mains de Maddy était habituée aux travaux des champs, elles claquaient vraiment très fort.

Remise sur ses pieds, elle regarda sa maîtresse qui souriait :

— Va montrer tes bonnes grosses fesses bien rouges à Ursula.

La maraîchère ne demanda pas l’autorisation, elle bascula directement l’ancienne secrétaire en travers de ses cuisses et entreprit de lui examiner soigneusement le fessier :

— C’est vrai qu’elle a vraiment une bonne paire de fesses, je vais finir de lui cuire et elle pourra rentrer sans culotte, elle n’aura pas froid au derrière.

La dernière fessée fut un peu moins sévère que les deux premières mais sur une croupe déjà endolorie, Lucie l’a senti passer. Quand ce fut fini, Ingrid la fit asseoir sur ses genoux et passa une main sous ses fesses pour les caresser :

— C’est fini ma chérie, tu es vraiment chez toi maintenant, mais tu sais également que Maddy et Ursula ont mon autorisation pour te déculotter et te corriger quand ce sera nécessaire. On va rentrer à la maison, tu finiras ton temps de coin chez nous.

Elle lui retira sa culotte et claqua le derrière en riant :

— Tes fesses sont tellement jolies que j’ai bien envie que tu gardes ta jupe épinglée.

Lucie protesta :

— Oh non, s’il te plaît tatie.

Ingrid décrocha la jupe en souriant :

— Aujourd’hui je plaisantais ma chérie, mais un jour que tu seras vilaine ça t’arrivera.

Lucie passa une demi-heure de plus fesses à l’air au salon, puis elle put enfin cacher son derrière, mais elle n’eut pas droit à la culotte.

Une nouvelle vie commençait.



 

 

 

 

 

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Lucie et Christian 32

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