Dimanche matin au gîte.
Mademoiselle Chloé est passée dans les deux chambres pour réveiller les stagiaires.
Lucie frotta ses fesses, elles étaient encore un peu sensibles, elle se demanda si la journée serait aussi cuisante que la veille. Bien sûr elle avait entendu la petite plaisanterie de madame Sylvie sur la peau des fesses qui repoussait toujours et sur les fesses des dames faites pour recevoir la fessée, mais quand même.
Alice était déjà debout, elle s’était mise devant la glace et avait retroussée sa nuisette pour examiner son derrière :
— Tu as encore chaud aux fesses ma chérie ?
La jeune secrétaire tourna la tête :
— Elles ne nous ont pas manquée, mais bon ça va, tatie Ingrid m’a déjà soignée comme ça, mon derrière est en béton.
Elle avait fini sa phrase en riant. Laetitia se frottait les fesses comme Lucie quand Chloé revint dans la chambre. Elle sourit au spectacle, Alice avait remis rapidement sa nuisette en place et les mains des de ses deux camarades avaient quitté leurs fesses précipitamment :
— Alors mes petites chéries, vous avez bien dormi avec vos fesses rouges ? Vous allez me les montrer.
Elles se doutaient bien que ça allait leur arriver, mais présenter ses fesses à peine sorties du lit, c’était quand même abuser. Le regard ironique de Chloé et le martinet suspendu au mur les convainquit de ne pas faire les malignes. La nuisette était courte, juste penchée en avant il suffisait d’à peine la relever pour mettre à nu les trois fessiers.
La jeune assistante s’approcha et caressa les fesses exposées, elles gardaient toutes une teinte plus ou moins soutenue, les plus colorées étaient sans nul doute celle de Laetitia, il faut dire que la soirée avait été cuisante pour son postérieur, Chloé s’y attarda :
— J’espère que tu vas être sage aujourd’hui ma petite Laetitia, ton derrière est encore bien rouge, mais tu le sais si c’est nécessaire je te déculotterai quand même.
Elle claqua la croupe de la comptable :
— Bon vous descendez déjeuner, il fait beau pas besoin de vous habiller, la chemise de nuit suffira.
Lucie faillit protester, mais la vue du martinet l’incita à se taire.
Chloé était déjà dans la chambre voisine et elle délivrait les mêmes consignes après avoir inspecté les fesses des trois stagiaires. Émilie n’eut pas la prudence de Lucie :
— Mais mademoiselle Chloé, quand même on pourrait s’habiller, ces chemises de nuit sont trop courtes.
Chloé se mit à rire, décidément ces dames lui tendait toujours la perche, une bonne fessée cul nu pour commencer la journée quoi de mieux pour une fesseuse. Elle saisit le bras d’Émilie et l’attira vers elle :
— Ah oui, elle est trop courte, tu devrais pourtant savoir que tu peux montrer ton derrière à tout instant. Je vais t’expliquer.
Elle posa son pied sur la chaise et bascula la jeune comptable sur sa cuisse horizontale, les pieds quittèrent le sol, Émilie poussa un cri, sa nuisette était déjà remontée dévoilant la base de sa croupe. Chloé la retroussa tranquillement sur les reins :
— Voilà un joli petit derrière bien présenté, on va lui redonner des couleurs, comme ça tu n’attraperas pas froid.
La main se mit à claquer le mignon petit derrière, Émilie pouvait battre des jambes, elle ne s’en priva pas, ses deux compagnes étaient ravies de ce petit intermède, ce fessier juvénile était agréable à regarder et puis tant que Chloé s’occupait des fesses d’Émilie, les leurs étaient au repos. Le derrière était écarlate quand la jeune comptable fut remise sur ses pieds, mais sa punition n’était pas terminée, Chloé lui épingla la chemise de nuit dans le dos et c’est donc, nue de la taille au pied qu’elle dut descendre à la salle à manger :
— Tu vas pouvoir montrer ton joli derrière à tout le monde, allez file !
La jeune femme avait claqué sèchement la croupe en disant ces mots.
Louise servait le petit déjeuner, elles remarquèrent qu’elle s’adressait à Chloé avec encore plus de respect.
Quand tout le monde fut servi la jeune assistante se dirigea vers la cuisine :
— Alors ma petite Louise, tu as bien dormi avec ton bon gros derrière bien chaud.
La cuisinière piqua un fard et bredouilla :
— Euh, oui, oui mademoiselle Chloé.
— Tu sais ce que je t’ai promis hier ?
Louise affolée regarda la porte, Chloé en souriant lui fit un petit signe du doigt :
— Viens un peu ici, je vais vérifier l’état de tes fesses et de ta culotte.
Elle s’installa sur une chaise et bascula la matrone en travers de ses cuisses, en un clin d’œil la culotte apparut, c’était une culotte sage, blanche en coton, avec un peu de dentelle au niveau des cuisses. Chloé tapota le derrière culotté :
— C’est bien tu portes des culottes de gamines, quand on reçoit encore la fessée déculottée, c’est ce qu’il faut. On va voir ce qu’il y a dessous.
Elle avait dit ça en riant se doutant de la confusion de cette dame de cinquante ans, obligée de se soumettre à un examen honteux quasiment en public.
Elle retourna la culotte sur les cuisses afin d’en examiner le fond, elle était propre. Chloé claqua le derrière :
— C’est quand même malheureux que je sois obligée à ton âge de te corriger comme une gamine pour que ta culotte soit nickel.
Elle palpa les fesses tendues :
— C’est parfait ton derrière est prêt pour une nouvelle fessée si tu n’es pas sage. Je revérifierai ta culotte en début d’après-midi et ce soir.
Elle remit la quinquagénaire sur ses pieds, elle était morte de honte mais soulagée d’avoir échappé à la fessée.
Quand Chloé revint dans la salle, madame Sylvie était auprès d’Émilie, elle l’avait fait lever en la tirant par l’oreille :
— Tu as déjà été punie ? Mais c’est pas croyable.
Elle claqua sèchement le fessier :
— Nous réglerons ça tout à l’heure, tu peux finir de déjeuner.
Quand elles eurent terminé, la fessothérapeute leur présenta la journée :
— C’est dimanche, pas de classe, nous irons faire une promenade ce matin et ensuite après le repas nous ferons le bilan du stage.
Chloé frappa dans ses mains :
— Vous montez à la douche en silence, je vous rappelle que j’ai une très bonne méthode pour sécher les derrières des chipies.
Le passage à la salle de bain ne posa pas de problème, une seule fessée fut distribuée, bien sûr c’est les fesses de Clotilde qui rougirent et eurent droit à la fessée mouillée.
Claire se demandait quelle tenue la directrice allait leur faire porter pour la promenade. Elle fut rapidement au courant, Chloé leur distribua une culotte propre et une jupette blanche de tennis, ainsi que des socquettes et un tee-shirt rose.
Émilie et Clotilde n’avaient pas de culotte posée sur le lit, la cheffe comptable interrogea la jeune assistante :
— Madame Sylvie a décidé que celles qui avaient reçu une fessée dès le matin serait privée de culotte, d’ailleurs, vous allez avoir une petite conversation avec elle avant la promenade.
Dépitée les deux stagiaires enfilèrent la minijupe de tennis et se regardèrent dans la glace, la grimace qu’elles firent mit en joie Chloé :
— Il ne faudra pas trop vous pencher mes chéries sinon tout le monde verra votre cucul.
En effet la jupette était tellement courte qu’elle laissait entrevoir au moindre mouvement le pli fessier qui séparait la croupe des cuisses.
Clotilde était rouge de honte, son large popotin était moulé par la jupette, et les traces de la fessée sur ses cuisses étaient parfaitement visibles.
Dans l’autre chambre, la tenue sexy était diversement appréciée, Lucie et Alice avaient fait contre mauvaise fortune bon cœur, Lucie se pencha légèrement devant son amie en riant :
— Elle te plaît ma petite culotte.
Alice lui claqua les fesses en riant également :
— Fais attention, tu as entendu la miss Claquecul, tu pourrais être privée de culotte.
Miss Claquecul, c’est comme ça qu’elles avaient surnommées Chloé. Lucie remis sa jupe en place juste à temps, la jeune assistante entrait dans la chambre, elle regarda les deux secrétaires d’un œil soupçonneux :
— Vous bavardez encore, vous voulez aller vous promener sans culotte ?
— Non, non mademoiselle, regardez on est prête.
Laetitia de son côté faisait vraiment la tête, elle ne se voyait vraiment pas sortir dans cette tenue ridicule. Le regard sévère de mademoiselle Chloé la dissuada de se plaindre.
Les six stagiaires descendirent suivie par l’assistante. Arrivées dans la cour, madame Sylvie les attendaient :
— Bonjour mesdemoiselles, avant la promenade, je dois m’occuper des deux vilaines qui ont été fessées ce matin. Clotilde et Émilie, venez ici.
Elle s’installa sur une chaise et fit un petit signe à la jeune comptable :
— Tu as été fessée en premier, je vais commencer par toi.
La jeune femme se retrouva en travers des genoux de la fessothérapeute, la position avait fait remonter la jupette, les fesses étaient à moitié découvertes, elle finit de la retrousser et le derrière rougi apparut aux yeux de tout le monde. En souriant, elle palpa la croupe rebondie :
— Mademoiselle Chloé t’a déjà corrigée, mais ton derrière n’est pas assez rouge.
Elle se mit à claquer fermement les fesses tendues, ce fut une courte punition, mais la croupe redevint rapidement écarlate, Émilie pleura et gigota comme il se doit. Sylvie fit un petit signe à Chloé :
— Passe-moi la boite à plug.
La jeune assistante lui tendit un petit écrin ouvert, il contenait une série de plug rose, Sylvie en prit un et écarta largement les fesses de la punie :
— Je vais te garnir le derrière ma chérie, ça va t’apprendre à être vilaine.
En sentant le plug forcer son petit trou, Émilie se mit à gémir et à tortiller ses fesses rouges :
— Oh non, non, pardon madame Sylvie… Aïe, aïe…
Sylvie avait posé le plug sur les reins de la jeune femme et la main venait de claquer les fesses :
— Vas-tu te taire, je te préviens que ma main n’est pas fatiguée, je peux te corriger aussi longtemps que nécessaire.
Émilie se mit à pleurnicher mais cessa de protester, Sylvie écarta à nouveau les deux hémisphères et introduisit profondément le plug, jusqu’à ce que la rondelle vienne se caler au fond de la raie fessière, elle claqua sèchement le derrière :
— Tu peux te relever, tu tiens ta jupe relevée et tu te mets contre le mur jusqu’à ce que j’en aie fini avec Clotilde.
La cheffe comptable se coucha d’elle-même sur les genoux de la fessothérapeute. Son bon gros derrière reçut également une magistrale fessée et toute honte bue, elle sentit ses deux larges fesses s’écarter. Elle devinait le spectacle qu’elle offrait à ses quatre camarades ainsi qu’à Chloé, elle pleurnichait doucement, mais Sylvie n’eut aucun mal à lui introduire le plug :
— Je vois que l’administration régulière de la fessée sur tes bonnes grosses fesses commence à faire de l’effet, tu vas voir comme la promenade sans culotte et avec un plug bien en place va être agréable. En attendant tu vas te mettre à côté d’Émilie et tu tiens ta jupe retroussée.
Elle se tourna vers les quatre :
— J’espère que je vais pas être obligée de vous baisser la culotte ce matin. On va aller faire une promenade, vous avez intérêt à bien vous tenir.
Elles restèrent dans la cour pendant une dizaine de minutes, Claire était morte de honte de sortir dans cette tenue, elle tirait machinalement sur l’ourlet de sa jupe, ce qui eut le don d’agacer Chloé qui surveillait la récréation :
— Vas-tu cesser ces manières, si tu continues je t’épingle la jupe dans le dos, comme ça tout le monde verra ta petite culotte.
Claire retira ses mains, mais fit une moue qui amusa la jeune femme :
— Viens ici !
Affolée par la remarque précédente, la cheffe de service essaya de l’amadouer :
— Non, non mademoiselle… pardon…
Dès qu’elle fut à sa portée, Chloé la coinça sous son bras et la fit se pencher en avant :
— Je vais t’apprendre à faire des grimaces.
La jupette était quasiment retroussée, la position faisait rentrer la culotte entre les fesses, Chloé ne la déculotta pas, elle se contenta de claquer la base des fesses découvertes et l’arrière des cuisses. Claire trépigna sur place, quand la jeune femme la relâcha, la jupette retombée ne cachait pas ses cuisses rougies :
— Tout le monde verra que tu as été punie ma petite Claire, tant pis pour toi.
Sylvie sortait du gîte, elle tenait une fine canne en bambou à la main, elle remarqua immédiatement les cuisses rougies de la cheffe de service, elle s’adressa à Chloé :
— Tu as encore été obligée de sévir ?
Claire était pétrifiée, elle s’imaginait déjà privée de culotte et pluguée :
— Juste une petite mise au point, madame Sylvie, je ne lui ai pas baissé la culotte, mais ces cuisses sont très mignonnes n’est-ce pas ?
La directrice fit pivoter Claire et retroussa la jupe, puis elle glissa un doigt sous la culotte pour la remonter sur les fesses et découvrir la base du derrière :
— Les fesses sont blanches, ça ira pour cette fois, mais la prochaine fois c’est le plug.
Lucie chuchota à l’oreille d’Alice :
— Dommage, j’aurais bien aimé voir la mère Dugou se prendre une déculottée et un plug dans ses grosses fesses.
Chloé les rappela à l’ordre :
— Décidément vous bavardez tout le temps, je vais vous séparer. Lucie tu te mets en rang avec Clotilde et Alice avec Claire.
Les deux secrétaires baissèrent la tête, le panpan cucul n’était pas loin, elle n’avait pas envie de subir la honte d’un déculottage dans la cour.
Madame Sylvie donna le signal du départ :
— Allez on y va en rang par deux, on prend la petite route puis le chemin de la forêt.
Chloé s’était mis devant et la fessothérapeute fermait la marche, le couple devant elle était formé par Lucie et Clotilde. La cheffe comptable marchait à petit pas, gênée aussi bien par son absence de culotte et le plug planté au milieu de son fessier. Soudain elle sursauta et poussa un cri, la canne en bambou venait de lui cingler les cuisses juste sous la jupe :
— Vas-tu cesser de lambiner, tu préfères peut-être marcher cul nu ?
Clotilde accéléra le pas, à chaque enjambée sa jupette volait et découvrait à moitié son fessier rougi.
Émilie marchait au côté de Laetitia, sa démarche était également hésitante, Chloé qui se trouvait à côté la regarda en souriant :
— Le plug te gêne ma chérie ? On va contrôler qu’il est bien en place.
Émilie pâlit, certes elles étaient maintenant dans la forêt, mais du monde pouvait passer. Chloé avait avisé un tronc d’arbre, elle s’y installa. Le groupe s’était arrêté et attendait avec intérêt la suite, madame Sylvie interrogea son assistante :
— Tu as un problème ?
Chloé désigna la jeune comptable :
— Notre petite Émilie a l’air gênée, je vais vérifier son plug.
Elle saisit la main de la jeune femme et la bascula sur ses genoux comme pour lui administrer une fessée, elle retroussa la jupe, les petites fesses rebondies étaient serrées par la honte et l’angoisse. Certes depuis la veille, elle avait été déculottée un nombre incalculable de fois, mais se faire mettre le derrière à l’air à l’extérieur et au bord d’un chemin de randonnée, c’était autre chose.
Chloé ne tenait aucun compte de la honte de la jeune femme, elle claqua sèchement la croupe :
— Desserre les fesses que je puisse voir ton plug !
Elle écarta les deux hémisphères avec deux doigts et fit tourner la rondelle, Sylvie était ravie des initiatives de sa jeune assistante :
— Alors, il est bien en place ?
Chloé tira un peu sur l’engin punitif puis le renfonça complètement :
— Tout à fait madame, je crois qu’Émilie fait des manières, je vais y remédier.
Elle sortit de sa poche une petite raquette en cuir et administra une magistrale fessée au joli derrière qui reprit une belle couleur rouge vif.
Personne n’était passé sur le chemin pendant la correction de la jeune comptable, mais à peine sa jupe était-elle retombée sur sa croupe cuisante que Virginie apparut.
Elle avait vu passer la petite troupe devant ses fenêtres et elle s’était dit que des fesses allaient sans doute prendre l’air.
Sylvie la salua amicalement :
— Bonjour Virginie, vous êtes en promenade ?
— Euh oui, je peux faire un bout de chemin avec vous ?
La fessothérapeute acquiesça, ce n’était pas du goût des stagiaires. Cette peste voulait sans doute assister à des fessées déculottées et les deux fesseuses seraient ravies de lui faire plaisir.
Madame Sylvie faisait siffler dans l’air la canne en bambou, ce simple bruit avait le don de faire accélérer les stagiaires et particulièrement Clotilde qui y avait déjà goûté.
— Ça doit vraiment cingler ?
Virginie semblait impressionnée par l’instrument de discipline si utilisé dans les collèges anglais.
— C’est en effet très efficace, je l’ai ramenée de mon séjour en Angleterre. Elle est d’origine et je peux vous dire qu’elle a caressé d’innombrables fessiers.
Virginie se mit à rire :
— Des caresses cuisantes quand même.
— Oui, n’est-ce pas Clotilde ? Relève ta jupe pour montrer à Virginie.
La cheffe comptable s’était arrêtée, elle retroussa légèrement la jupette, deux traces rouges barraient le haut de ses cuisses, Sylvie releva un peu plus la jupe avec la canne, faisant apparaître la base des fesses encore rouges :
— Mademoiselle n’a pas reçu la canne sur le derrière, mais ça pourrait arriver si elle ne se dépêche pas un peu.
Le redoutable instrument cingla le pli sous les fesses et Clotilde poussa un cri en sautant vers l’avant.
— Elle est privée de culotte ?
Sylvie en souriant, souleva à nouveau la jupette avec la canne :
— Oui, elle a été vilaine, ses fesses sont à disposition en cas de besoin. Clotilde, montre ton bon gros derrière.
Docilement celle-ci troussa sa jupette pour exposer son plantureux derrière, la rondelle du plug rose apparaissait au milieu de la raie, Virginie poussa un « oh » de surprise.
— C’est quoi ?
La fessothérapeute saisit la quinquagénaire par la taille et la courba contre sa hanche, puis avec deux doigts, elle écarta la raie fessière :
— Tu ne connais pas ? Regarde le derrière de notre Clotilde est bien garni, un plug rose bien enfoncé, ça fait réfléchir si on a envie de refaire des bêtises.
Virginie rougit à l’évocation de cet instrument introduit dans l’intimité de la punie. Sylvie la regarda :
— Tu n’y as jamais goûté ? Il faudra essayer ma chérie
Soudain la dame qui était venue pour assister à des fessées se retrouvait au centre de la discussion, ses joues ressemblaient au derrière de Clotilde, elle essaya de changer de conversation :
— Oui, oui sans doute… Vous habillez très court vos stagiaires, c’est charmant.
Sylvie se délectait de la gêne de Virginie, mais elle décida de reporter l’examen du fessier de la dame :
— C’est mignon toutes ces cuisses qui prennent l’air sans parler des fesses. Émilie, montre-nous ton derrière.
La jeune comptable pensait avoir échappé à la honte de montrer ses fesses, elle regarda Chloé qui lui fit un petit signe d’encouragement :
— Tu as entendu madame Sylvie, retrousse ta jupe que tous le monde puisse voir tes fesses bien rouges.
Résignée, la jeune femme s’exécuta, sa mignonne petite croupe apparu avec le plug en son centre. Virginie le remarqua, mais s’abstint d’en parler, le terrain était glissant.
La vue du derrière d’Émilie donna des idées à la fessothérapeute, toutes ces cuisses généreusement exposées ne lui suffisaient pas. Elle avisa une bifurcation qui conduisait à une petite clairière, cet endroit devait servir de bivouac, car des troncs d’arbres pouvant être utilisé comme banc était disposé face à face, Claire compris rapidement que l’arrivée dans ce lieu un peu à l’écart ne présageait rien de bon. Lucie et Alice se regardaient un peu inquiète.
Sylvie sortit de son sac deux sécateurs et les tendit à Chloé et Virginie :
— Coupez-moi des petites branches de noisetiers, c’est ce qu’il y a de mieux pour confectionner des verges.
Elle jeta un regard rieur sur les six dames qui n’en menait pas large :
— Au cas où on en aurait besoin, n’est-ce pas les chipies ?
Elle s’installa sur un tronc d’arbre et fit un signe :
— Mettez-vous en ligne devant moi et tournez-vous.
Se doutant de la suite, mais sachant que toute protestation était inutile, les six dames alignées face à Sylvie se tournèrent, la suite était écrite :
— Je veux voir vos derrières, troussez-vous !
Deux paires de fesses rouges apparurent ainsi que quatre culottes blanches :
— J’ai dit que je veux voir vos derrières, pas vos culottes ! Déculottez-vous !!
Les quatre glissèrent leurs pouces sous l’élastique et quatre paires de fesses blanches illuminèrent la clairière, celle de Claire était la plus mignonne, les deux globes blancs étaient soulignés par la rougeur des cuisses et du pli fessier. Virginie avait les joues rouges d’excitation devant ce spectacle coquin.
— Penchez-vous et mettez vos mains sur vos genoux, je vais examiner vos fesses.
Les stagiaires avaient l’habitude depuis la veille des positions honteuses et des idées perverses de la fessothérapeute, mais se retrouver ainsi les fesses à l’air au milieu d’un bois à deux pas d’un chemin assez fréquenté était une expérience difficile à vivre.
Sylvie ne se pressait pas, elle invita Virginie et Chloé à s’installer à côté d’elle sur le tronc d’arbre :
— Venez vous asseoir, on a le temps, il fait beau et ça fait le plus grand bien au derrière de ces dames de prendre l’air.
Elle se leva et méticuleusement, palpa et caressa chacune des six croupes exposées. Comme elle en avait l’habitude, elle ne se gêna pas pour insinuer ses doigts entre les fesses et les cuisses, les deux punies aux fesses rouges eurent droit à un traitement spécial, elle fit pivoter le plug, le retira légèrement puis le remit en place, et pour faire bonne mesure, elle leur administra une petite fessée, elle se tourna vers les deux spectatrices en riant :
— Il faut entretenir la rougeur de ces jolies fesses.
Les deux assistantes avaient déposé les fines baguettes de noisetier, la fessothérapeute tira de son sac des rubans roses :
— Vous attachez six ou sept branches ensemble après avoir enlevé les feuilles.
Les verges ainsi confectionnées étaient redoutables, les stagiaires ne les voyaient pas, elles étaient toujours tournées, les mains sur les genoux et la croupe tendue. Sylvie en souriant donna une verge à Chloé :
— Fesse-moi un peu ces derrières, ils sont vraiment trop blancs, commence par celui d’Alice.
La magnifique paire de fesses de la secrétaire était bien mise en valeur par la position, elles s’étaient serrées dès qu’elle avait entendu madame Sylvie la désigner, la raie fessière n’était plus qu’un trait. La jeune assistante se plaça de côté, elle regarda la fessothérapeute :
— Combien de coups madame ?
— Fie-toi à la couleur des fesses, je les veux resplendissantes.
Chloé acquiesça et leva la verge puis l’abattit en travers de la croupe, y laissant une belle marque rouge. Alice cria et se releva légèrement, la fessothérapeute la rappela à l’ordre :
— Les mains sur les genoux !! et tu ne bouges pas sinon tu auras droit au martinet en rentrant et compte sur moi pour m’occuper personnellement de tes jolies fesses !
Alice reprit immédiatement la position et la fessée reprit, rapidement l’entrelacs des stries rouges couvrirent tout le fessier, la secrétaire avait une belle culotte rouge sur le derrière. Virginie était ravie, elle contemplait la magnifique paire de fesses qui se tortillait, s’ouvrait et se serrait au rythme de la correction.
Chloé cessa et se recula pour apprécier son œuvre, elle se tourna vers Sylvie :
— Je crois que mademoiselle n’aura pas froid aux fesses.
La fessothérapeute approuva en riant :
— Tout à fait, d’ailleurs elle va retirer sa culotte.
Alice pleurnichait, elle avait entendu l’ordre de la sévère directrice, elle fit glisser son sous-vêtement jusqu’à ses chevilles et l’enjamba, Sylvie tendit la main et la petite culotte blanche fut posée sur le tronc d’arbre et la jupe coincée dans la ceinture, la fessothérapeute continuait d’organiser la punition :
— Alice va te mettre devant l’autre tronc d’arbre et tu mets tes mains sur la tête. Virginie à toi, les fesses de Lucie t’attendent.
Un peu surprise par cette proposition, la voisine qui n’en demandait pas tant se dirigea vers la deuxième secrétaire avec une verge à la main. Elle appuya légèrement sur le dos de Lucie afin de faire mieux ressortir les fesses, puis elle commença la fessée. Elle n’avait jamais corrigé une dame, mais elle assistait souvent aux corrections administrées aux stagiaires, Lucie piétina sur place en criant et ses fesses furent rapidement écarlates, Sylvie félicita la fesseuse :
— Bravo Virginie, si un jour j’ai besoin d’une assistante supplémentaire je ferai appel à toi.
La secrétaire qui fessait si souvent était humiliée d’avoir été corrigée par cette quasi inconnue, se faire déculotter et fesser par madame Sylvie et par Chloé, elle en avait l’habitude et elle l’acceptait, mais que cette peste ait rougi son derrière c’était vraiment trop, elle en pleurait de dépit, surtout qu’elle dut enlever sa culotte et la tendre à sa fesseuse.
Chloé avait repris une verge neuve et pendant que Lucie allait se placer à côté de sa copine, elle positionnait Claire et son large fessier pour qu’il soit parfaitement présenté. Elle tapota la base des fesses et les cuisses qui avaient déjà été corrigées :
— On va compléter ta punition ma chérie, tend bien tes bonnes grosses fesses, tu vas voir je vais te mettre une belle culotte rouge, tu n’auras pas froid aux fesses.
La cheffe de service commençait à s’habituer à cette succession d’humiliation, elle n’était plus une cinquantenaire, elle n’était qu’une collégienne à qui la surveillante allait flanquer une fessée cul nu en plein air devant tout le monde.
Soudain la fiction devint réalité, deux randonneuses firent leur apparition dans la clairière, elles poussèrent un petit cri de surprise puis se mirent à rire :
— Quel étalage de chair fraîche, c’est vraiment mignon, du blanc du rouge, une belle séance de panpan cucul, tu as vu chérie.
C’était un couple de lesbiennes qui connaissait Virginie, elles étaient amatrices de fesses rouges, ça tombait bien.
Les stagiaires avaient toutes contracté leurs fesses en les entendant, cette fois la punition publique était bien réelle.
Chloé claqua les fesses de Claire :
— Montre bien tes fesses à ces dames, elles vont voir ce qui arrive aux dames capricieuses et désobéissantes, même si elles se croient trop âgées pour recevoir la fessée déculottée.
La punie se pencha un peu plus faisant ressortir sa croupe de dame mûre, Virginie avait reconnu les deux spectatrices :
— Coucou les filles, vous tombez bien, il reste encore deux derrières à rougir.
La jeune assistante avait commencé à cingler le postérieur de Claire avec les verges, la rougeur se dissémina sur l’ensemble de la surface et bientôt le plantureux fessier fut écarlate ainsi que l’arrière des cuisses que Chloé n’avait pas épargnées. La sévère cheffe de service avait perdu de sa superbe, elle pleurnichait comme une gamine fessée en piétinant sur place :
— Aïe, aïe, aïe… Pardon mademoiselle Chloé, plus la fessée s’il vous plaît.
La fesseuse se tourna vers les spectatrices en souriant :
— La fessée déculottée fait toujours des miracles, voyez comme notre petite Claire devient mignonne avec sa culotte rouge.
Puis elle claqua le derrière cramoisi :
— Cesse de chouiner, enlève ta culotte et va te mettre à côté des autres chipies.
Virginie regarda les deux spectatrices qui semblaient vraiment excitées par le spectacle de toutes ces paires de fesses exposées et de cette dernière fessée, elle était fière de leur montrer qu’elle aussi savait corriger un derrière de dame adulte. Il ne restait plus que Laetitia à exposer des fesses blanches, elle prit un faisceau de verge neuves et s’approcha de la comptable. Une légère chair de poule recouvrait le fessier :
— On dirait que madame craint pour son petit cucul.
Sylvie se mit à rire :
— C’est vrai que notre chère Laetitia a vraiment le cul serré. Corrige la bien, tu vas voir comme ses jolies fesses vont s’ouvrir.
Effectivement quelques instants plus tard, Laetitia dansait sur place et ses fesses s’ouvraient et se serraient au rythme de la fessée. Après avoir retiré sa culotte qu’elle tendit à Virginie, elle alla se placer à côté des autres punies.
Émilie et Clotilde étaient toujours dans la même position, les mains sur les genoux et le derrière écarlate tendu vers le public, les deux fesseuses leur auraient bien flanqué une fessée supplémentaire, mais madame Sylvie jugea qu’elles avaient été suffisamment punies pour ce matin. Elle frappa dans ses mains :
— Vous pouvez vous relever et retirer vos mains de votre tête, on va continuer la promenade, les quatre qui viennent d’être fessées, vous venez chercher vos culottes, vous ne les remettez pas, vos fesses seront disponibles si nécessaire.
Les stagiaires rouges de honte durent finir la petite randonnée en tenant leur petite culotte blanche à la main. Lucie qui avait voulu la mettre en boule pour qu’on ne la voie pas, avait eu droit à une courte mais cuisante fessée par la fessothérapeute.
La fin de matinée et le repas fut l’occasion d’une trêve des fessées et quand madame Sylvie les réunit pour le bilan du stage, les derrières avaient plus ou moins retrouvé leur blancheur.
Elles étaient toutes debout en ligne devant madame Sylvie assise à une table avec les six carnets de correspondance devant elle. À ses côtés, se tenaient, Chloé et Louise la cuisinière.
— Voilà donc arrivé le bilan de ce stage, vos carnets sont bien remplis, signe que nous avons été obligées de sévir. Je vais commencer par Émilie, la plus jeune, mais pas la plus sage, tu viendras à mon cabinet pour une reprise en main, j’en profiterai pour te faire travailler ton orthographe, tu vas venir me voir tous les jours pendant dix jours. Laetitia, tu as des problèmes de mémoire apparemment tu viendras également pendant dix jours à mon cabinet. Passons à Lucie, comme Émilie ton orthographe a des progrès à faire, je vais m’en charger personnellement, tu as été plus punie qu’Émilie, tu viendras donc plus longtemps, pendant quinze jours. Pour Alice, tes bavardages intempestifs méritent d’être corrigés, tu viendras avec Lucie pendant quinze jours.
Il restait les deux dames d’âge mûr qui regardait leurs pieds :
— Quant à vous mes deux chipies, malgré votre âge nous avons été obligées de vous déculotter bien trop souvent, vous viendrez tous les jours pendant un mois, je vous garantis que je vais m’occuper personnellement de vos fesses, croyez-moi après ça vous allez devenir mignonnes comme tout.
Les six dames ne s’attendaient pas à ce supplément, mais elles ne protestèrent pas. Surtout que Sylvie continuait :
— Vu vos carnets de correspondance, j’ai décidé que vous alliez rentrer chez vous avec une paire de fesses bien chaudes sous vos culottes. Mademoiselle Chloé et madame Louise vont me prêter main forte. Installez-vous mesdames.
Les deux assistantes placèrent trois chaises en arc de cercle, Sylvie prit place au milieu et fit signe aux stagiaires :
— Claire et Clotilde devant Chloé, Lucie et Alice devant madame Louise, Émilie et Laetitia devant moi. Vous retroussez vos jupes.
Les six se présentèrent deux par deux devant leur maîtresse :
— Déculottez-moi ces donzelles.
Lucie était devant madame Louise, tenant sa jupe en l’air, la cuisinière lui fit un sourire et glissa ses pouces dans la ceinture du sous-vêtement puis elle l’abaissa jusqu’aux genoux :
— Fesses à l’air ma grande. Alice approche.
La secrétaire aux fesses joufflues se retrouva également déculottée. À côté d’elle, les culottes de Clotilde et Claire avaient connu le même sort, les deux larges paires de fesses étaient exposées. Émilie et Laetitia étaient également culs nu.
— On va commencer par Claire, Lucie et Laetitia, les trois autres vous regardez et vous tenez vos jupes bien relevées.
Les trois premières punies se retrouvèrent rapidement en position disciplinaire, Sylvie reprit la parole :
— On va commencer par échauffer correctement ces derrières, je donne le rythme et vous me suivez.
Ce fut une jolie sarabande sur les croupes blanches qui devinrent rapidement écarlates. Les trois spectatrices étaient un peu affolées par cette fessée d’échauffement qui était en réalité une véritable correction. Les trois punies pleuraient quand elles purent se relever, Sylvie demanda à ses assistantes de coincer l’ourlet de la jupette dans la ceinture afin qu’elles puissent mettre leur main sur la tête.
La deuxième fessée d’échauffement sur les trois fessiers encore vierges n’eut rien à envier à la première, Alice, Clotilde et Émilie se relevèrent les joues baignées de larmes. Immédiatement les trois autres avaient repris place sur les genoux des fesseuses pour ce que madame Sylvie appela « la vraie fessée », chacune armée d’une brosse à cheveux elles firent passer les paires de fesses au cramoisi, la danse des derrières étaient ravissantes. Madame Louise avait oublié l’humiliante punition de la veille et elle s’en donnait à cœur joie sur la croupe de Lucie qui hurlait et gigotait comme une gamine corrigée par sa maman.
Quand les six paires de fesses eurent retrouvé la couleur qu’affectionnait la fessothérapeute, elles furent envoyées au coin dans la cour du gîte, afin de « faire refroidir leur derrière ».
Les six punies exposèrent ainsi leurs fesses très rouges alignées l’une à côté de l’autre pendant une demi-heure.
Madame Sylvie demanda à Chloé d’aller récupérer les martinets suspendus dans les chambres y compris dans celle de Louise.
La dernière punition aurait lieu en plein air au vu des éventuelles passantes, les six durent se positionner les unes à côté des autres séparées par un mètre environ, penchées en avant, les mains sur les genoux :
— Pour finir ce stage et que vous en gardiez une image positive, nous allons vous administrer cinquante coups de martinet en deux séries de vingt-cinq.
Quand enfin les punies purent se relever, les fesses étaient d’un rouge profond, la couleur s’étendait jusqu’au milieu des cuisses, elles pleuraient toutes abondamment :
— C’est très bien, vous pouvez vous reculotter, vous repartez en tenue de collégiennes, je vous souhaite un bon retour chez vous et à la semaine prochaine dans mon cabinet. Chloé va vous donner les heures de rendez-vous.
Les grimaces furent éloquentes quand les culottes glissèrent sur les épidermes brûlants.
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