Deux étudiantes aux fesses bien rouges
Dûment déculottée, Clara braillait à un plein poumon, couchée en travers des genoux de sa mère, la couleur de ses fesses ne laissait aucun doute sur la sévérité de la correction reçue. Clémence le nez contre le mur, maintenait sa jupe retroussée et exposait sa petite culotte blanche. Les cris et les pleurs de sa copine n’avait rien d’encourageant pour la suite, celle-ci à n’en pas douter s’annonçait cuisante pour son derrière.
Dès son arrivée Laurence avait entrepris une inspection en règle de l’appartement des deux étudiantes, elle était arrivée bien plus tôt qu’annoncé afin que celle-ci n’ait pas le temps de dissimuler un éventuel désordre.
Bien sûr vu le niveau d’exigence de la sévère maman, le verdict était tombé :
— C’est bien ce qu’Odile m’avait dit, malgré les rappels à l’ordre vous n’en faites qu’à votre tête, ses punitions ne suffisent pas et bien je peux vous dire que vous allez avoir chaud au derrière ce week-end mes petites chéries, Clara je vais commencer par toi, viens un peu ici !
La tête basse comme si elle était encore une gamine malgré ses vingt-cinq ans, la jeune femme s’approcha de sa mère qui s’était assise sur une chaise au milieu du salon. Laurence la prit par la main pour la coucher en travers de ses cuisses, puis elle s’adressa à Clémence :
— Va te mettre au coin, tu retrousses ta jupe et tu colles ton nez contre le mur, je vais m’occuper de toi après.
La jupe courte de Clara découvrait déjà les cuisses, elle les claqua, déclenchant un cri perçant :
— Aïe, aïe… Non, non pardon maman.
La main avait claqué une dizaine de fois l’arrière des cuisses, les couvrant de rose :
— C’est un peu tard pour demander pardon ma petite, tu vas voir la belle culotte rouge que va te mettre maman.
La jupe était maintenant retroussée haut sur les reins, la culotte descendit immédiatement jusqu’à ses genoux. Clara savait qu’un déculottage aussi rapide n’augurait rien de bon, sa mère agissait toujours ainsi quand elle était en colère et la correction qui suivait était toujours magistrale. Effectivement la fessée déculottée que recevait Clara était vraiment sévère, malgré sa grande habitude des corrections cuisantes, le feu qui envahissait son fessier était intolérable.
Laurence la maintenait fermement par la taille, mais ses jambes menaient une sarabande effrénée, sa culotte avait glissé jusqu’à ses chevilles, ses fesses s’ouvraient largement, elles étaient maintenant d’un beau rouge uniforme.
La sévère maman n’avait utilisé que sa main, mais c’était suffisant pour que Clara s’en souvienne longtemps, quand elle la fit se relever la jeune femme se mit à sautiller sur place pour atténuer la douleur, elle savait que frotter ses fesses était interdit, cette petite danse était charmante. Laurence souriait, elle n’avait pas perdu la main :
— Cesse un peu ces simagrées, tu enlèves ta culotte, tu n’en auras plus besoin, je veux avoir tes fesses à disposition.
Elle tendit la main pour recueillir la lingerie, elle l’inspecta rapidement :
— C’est bien, ta culotte est propre, Odile s’occupe de vous faire laver les fesses ?
Elle avait lancé cette petite pique en souriant, consciente du caractère humiliant de la remarque. Elle fit tourner sa fille et coinça la jupe dans la ceinture, Clara avait les joues aussi rouges que son derrière, elle baissa la tête et attendit la suite, elle s’en doutait, l’ordre claqua en même temps que la main sur sa croupe :
— File te mettre au coin !
Laurence n’eut même pas à lui préciser ce qu’elle attendait d’elle, la jeune femme posa ses mains sur sa tête et colla son nez contre le mur.
— Clémence vient un peu ici !
Tenant toujours sa jupe retroussée la jeune étudiante approcha. Du temps était passé depuis sa première déculottée administrée par la mère de sa copine, elle avait dû subir de nombreux déculottages, les punitions humiliantes s’étaient succédées quasiment journellement. Ses rondeurs avaient été mises à nu et corrigées par Odile mais également par ses deux filles et dernièrement par cette professeure de français en retraite qui habitait au troisième étage.
Elle n’eut pas trop le temps de réfléchir, Laurence l’avait basculée en travers de ses cuisses, dans cette position qu’elle ne connaissait que trop bien. Comme elle l’avait fait pour sa fille la sévère maman la déculotta immédiatement :
— Ma petite Clémence, ta maman n’a pas été sévère avec toi quand tu étais plus jeune, mais rassure-toi, je vais rattraper le retard, dans quelque temps tes fesses auront appris qu’il ne faut jamais désobéir.
Elle caressa en souriant les fesses contractées par l’angoisse :
— Tu serres les fesses ma petite chérie, tu as peur de la bonne fessée de maman Laurence et bien tu as raison, tu vas sentir tes fesses toute la journée crois-moi.
La fessée crépita dans la pièce et le concert donné par la jeune femme n’eut rien à envier à celui de sa copine. Elle était encore en train de gigoter et de battre des jambes quand Odile entra dans la pièce :
— C’est bien ce qui me semblait, la fessée s’entend parfaitement depuis le palier, je ne savais pas que tu étais déjà arrivée.
Elle jeta un œil professionnel aux deux fessiers, celui de Clara exposé dans le coin et celui de Clémence qui continuait sa danse sous les claques de Laurence :
— C’est vraiment du bon travail, nos deux donzelles n’auront pas froid aux fesses.
Laurence termina la correction de Clémence et rendit son sourire à Odile :
— Coucou ma chérie, oui je leur ai dit que j’allais leur mettre une jolie culotte rouge sur les fesses, qu’en penses-tu ?
Odile s’approcha de Clara et passa sa main sur le derrière rougeoyant :
— C’est vraiment parfait, si tu es d’accord, nos deux chipies vont venir faire leur temps de coin à la maison, on pourra discuter tranquillement et je pourrai surveiller la cuisson du repas.
Laurence fit relever Clémence :
— Très bonne idée. Clémence tu me donnes ta culotte.
La jeune femme retira le sous-vêtement entortillé autour de ses chevilles et le tendit à sa nouvelle maman. Comme elle l’avait fait avec celle de Clara, elle l’examina rapidement s’attirant une remarque d’Odile :
— Leurs culottes sont nickel maintenant, mais ça n’a pas été sans mal.
Laurence fronça les sourcils :
— Ah bon ?
Odile savait comment faire honte à des jeunes femmes, elle se mit à rire :
— Un bon lavage des fesses à l’eau froide et je te promets que le problème est vite réglé, le lendemain tu as des demoiselles au derrière bien propre et des culottes toutes blanches.
— Ma mère faisait pareil, et Clara y a eu droit quand elle était à la maison, tu as bien fait, mais elle sera punie pour ça tout à l’heure puisqu’elle se permet ce genre de choses dès que j’ai le dos tourné. Tu leur as séché les fesses avec une fessée ?
Odile eut un petit sourire gourmand :
— Bien sûr ma chérie et elles ont été privées de culotte pendant une journée.
Pendant la discussion, les fesses de Clara s’étaient contractées, Clémence tenait sa jupe retroussée pour montrer ses fesses comme lui avait demandé Laurence. Celle-ci coinça le vêtement dans la ceinture et appela sa fille :
— Clara, tu viens ici.
Dès qu’elle fut devant elle, la maman montra la porte :
— Vous avez entendu, vous allez vous mettre au coin chez Odile. Allez en route !
Ce n’était pas la première fois qu’elles devaient traverser le palier les fesses à l’air, Odile leur avait déjà imposé cette humiliation à l’une et à l’autre, elles se dirigèrent donc vers l’entrée les mains sur la tête. Les deux mamans regardaient d’un œil gourmand ces deux fessiers juvéniles, rebondi à souhait et d’un rouge éclatant. Odile leur ouvrit la porte et les gratifia chacune d’une bonne claque sur le derrière quand elles passèrent à sa portée :
— Allez, on se dépêche.
Amélie sortait juste à ce moment, le regard ironique qu’elle jeta en direction des deux punies n’échappa pas à sa mère :
— Tu ne devrais pas te réjouir du malheur des autres ma chérie, n’oublie pas que tu as un cours avec Brigitte tout à l’heure.
Amélie se rembrunit immédiatement, les cours particuliers avec la sévère professeure se terminait rarement sans une séance de panpan cucul et depuis qu’elle avait été soumise à cette humiliante fessée déculottée devant elle, Brigitte se vengeait en lui administrant des corrections particulièrement cuisantes. C’était certain, elle se coucherait ce soir avec le derrière encore rouge et douloureux, Brigitte possédait une remarquable technique et la cuisson engendrée par ses fessées durait particulièrement longtemps.
Les deux étudiantes exposaient maintenant leur croupe écarlate, chacune dans un coin de la pièce et les deux amies papotaient tranquillement en jetant de temps en temps un coup d’œil sur ce ravissant tableau. Les confidences allaient bon train, Laurence ne connaissait pas le thermomètre comme complément de punition, Odile lui fit un petit clin d’œil :
— Ces chipies ont bien mérité une sévère mise au point, je vais te montrer.
Elle alla chercher deux thermomètres et les montra fièrement à son amie :
— Ces demoiselles détestent ça, c’est parfait sinon ce ne serait pas une punition. Clara vient ici.
La jeune femme se retourna, elle fit une grimace en voyant l’instrument médical dans la main de sa maman de substitution, celle-ci lui fit un petit signe et tapota ses cuisses :
— En position ma chérie, je vais montrer à ta maman comment on ramène les vilaines filles à un peu plus d’humilité.
Clara se coucha docilement en travers des cuisses d’Odile, son derrière était encore bien rouge, mais la sévère maman lui administra une fessée rapide en expliquant à Laurence :
— Quand je mets le thermomètre en place, j’aime que les filles aient les fesses bien chaudes.
Clara gémissait sous la correction mais hormis ses fesses qui se tortillaient, elle se laissait faire. Odile regarda Laurence en souriant :
— Mes félicitations ma chérie, ta fille est vraiment docile, c’est un plaisir de lui administrer la fessée et puis je ne sais pas si c’est la façon que tu as de t’occuper de son derrière, mais elle a vraiment des fesses magnifiques.
Normalement Clara aurait dû être contente du compliment, mais elle savait que ce n’était pas vraiment un avantage d’avoir un joli cul comme disait Amélie, ça donnait vraiment trop d’idées aux fesseuses.
Elle sentit les doigts de sa deuxième maman qui séparait ses deux globes, c’était toujours aussi humiliant, la présence de sa mère était une honte supplémentaire. En effet Laurence ne perdait pas une miette du spectacle, la raie largement écartée laissait voir le petit trou en son milieu et plus bas les lèvres humides de la jeune femme. Certes elle connaissait parfaitement l’anatomie postérieure de sa fille mais la voir ainsi exposée avait quelque chose d’émouvant.
Odile prit l’un des deux thermomètres et l’humidifia avec sa bouche, Clara avait les fesses en feu, elle essayait de ne pas les serrer, elle ne savait que trop bien que la sanction serait immédiate. La sévère maman prenait son temps, elle posa le thermomètre sur l’anus bien serré :
— Allez mademoiselle on se relaxe, on relâche son petit trou, tu sais que si le thermomètre ne rentre pas bien, tu vas avoir droit à une fessée supplémentaire et que tu vas le garder beaucoup plus longtemps.
Clara se concentra pour relâcher son sphincter, elle se souvenait de la première introduction du thermomètre. Odile s’était fâchée et ça c’était terminé par une fessée à la brosse à cheveux et deux heures à exposer ses fesses avec l’instrument planté au milieu. Elle sentit la pénétration, Odile se régalait de la honte de la jeune femme, les fesses bien rouges grande ouverte, elle faisait coulisser le thermomètre afin de le rentrer profondément. Laurence était fascinée :
— Tu le rentres aussi profond ?
Odile la regarda en souriant :
— Oui ça surprend toujours un peu la première fois, mais c’est nécessaire pour que la demoiselle le sente bien et puis comme ça, il ne risque pas de ressortir.
En effet seul un petit bout de verre dépassait maintenant, Odile relâcha les deux globes, la raie fessière était maintenant serrée sur l’instrument. La fesseuse tapota les fesses rouges :
— C’est bien tu as été mignonne, mais tu vas quand même le garder un moment.
Elle se tourna vers Laurence :
— Tu veux essayer de le mettre à Clémence ?
La maman de Clara était fascinée par le fessier de sa fille serré sur le thermomètre, l’introduction de l’engin médical avait provoqué chez elle une excitation intime, elle sentait une légère humidité gagner son entre-jambe. Bien sûr elle corrigeait sa fille pour son bien pensait-elle, c’était comme ça qu’elle avait été élevée et elle ne concevait pas d’agir autrement, mais à n’en pas douter comme Odile elle était attirée par les rondeurs féminines et administrer une bonne fessée à Clara après lui avoir baissé la culotte lui apportait une satisfaction quasiment sexuelle, surtout depuis que celle-ci était devenue une jeune femme dotée d’une magnifique croupe.
Elle se leva et se dirigea vers la jeune étudiante qui n’en menait pas large, la contraction de son derrière signait sa crainte de ce qui allait suivre.
Depuis qu’Odile avait instauré ce complément de punition, elle ne parvenait pas à s’y habituer, c’était toujours aussi humiliant, elle avait dû présenter ses fesses bien écartées pour se faire mettre le thermomètre, non seulement par la sévère maman, mais par ses deux filles qui s’étaient régalées de sa honte. Par moment elle regrettait amèrement d’avoir accepté cette colocation avec Clara, bien sûr elle avait quelques compensations. Par exemple quand celle-ci s’occupait d’elle et lui prodiguait des caresses qui la faisaient fondre et Amélie la fille aînée d’Odile savait elle aussi se montrer tendre après lui avoir dûment rougi les fesses.
Maintenant elle suivait Laurence tenue par l’oreille, celle-ci s’installa confortablement dans le fauteuil qui faisait face à celui qu’occupait Odile, en un instant la jeune étudiante se retrouva couchée en travers de ses genoux, la croupe rougie parfaitement exposée, la sévère maman palpa d’une main experte le fessier de Clémence :
— Elle a également une bonne paire de fesses notre petite Clémence.
Elle se tourna vers Odile :
— La dernière fois que j’ai pris la température à Clara, elle devait avoir douze ans, mais c’est comme le vélo ça ne s’oublie pas. Allez ma chérie tu desserres ton petit derrière.
Clémence sentit les doigts de sa nouvelle maman écarter ses deux globes fessiers, comme d’habitude elle était morte de honte, depuis qu’elle avait huit ans, sa mère ne lui prenait plus la température.Il avait fallu qu’elle atteigne ses vingt-deux ans pour subir à nouveau ce traitement humiliant, une vigoureuse claque sur son fessier la fit revenir à la réalité, décidément la mère de Clara avait vraiment la main leste, elle poussa un cri.
— Je t’ai dit de desserrer tes fesses, je ne vais pas le répéter, tu veux encore une fessée ?
Clémence se mit à sangloter, ses fesses étaient déjà brûlantes, elle ne tenait pas à recevoir une nouvelle correction, mais la honte d’exposer ainsi son intimité était trop forte et elle n’arrivait pas à détendre ses muscles fessiers. Laurence regarda Odile avec un petit sourire gourmand :
— Je pense que notre petite Clémence a besoin d’une petite dose supplémentaire.
Elle tendit la main vers son sac à main et en sortit sa broche à cheveux :
— Ma main n’a pas été assez convaincante, voyons si ma brosse aura plus de succès.
Comprenant ce qui allait lui arriver, Clémence se mit à crier :
— Non, non madame, pardon ! S’il vous plaît pas la fessée, non ça brûle trop, regardez je desserre mes fesses, non… Non… Aïe.
La brosse venait de claquer le joli derrière rebondi :
— Trop tard ma chérie, tu vas apprendre à obéir quand maman dit quelque chose, c’est immédiatement que tu dois le faire, je te garantis que tu vas t’en souvenir et que la prochaine fois tes jolies fesses vont s’ouvrir toute seule quand je vais te le demander.
La brosse avait repris sa folle sarabande sur la croupe qui reprenait rapidement une belle couleur rouge foncé, l’absence de culotte permettait aux jambes de remuer sans aucune gêne, les cuisses s’ouvraient largement offrant aux deux mamans fesseuses un magnifique panorama sur l’intimité de la jeune femme.
Clémence criait à tue-tête, son derrière n’était plus qu’un brasier ardent, Laurence s’appliquait à ne laisser aucun endroit de la surface fessière indemne de coups de brosse. Cette fessée allait compter comme une des plus sévères reçue par la jeune étudiante.
Enfin Laurence posa la brosse, elle écarta immédiatement la raie fessière avec deux doigts, un sourire flottait sur ses lèvres, elle prenait réellement du plaisir à administrer la fessée et cette petite lui avait bien tendu la perche :
— Voilà, tu vois ce n’est quand même pas compliqué, si tu t’étais laissé faire tu aurais évité cette fessée supplémentaire.
Le thermomètre suivait son chemin, il disparaissait lentement, Laurence était surprise de la facilité avec laquelle il pénétrait aussi profondément, elle regarda Odile pour guetter son approbation :
— Je continue ?
— Oui encore un peu, il faut qu’elle le sente bien dans son petit trou. Tu as vu, il rentre tout seul, le passage est déjà fait, je leur mets régulièrement.
Effectivement Clémence sentait bien l’engin punitif entre ses fesses, ce n’était pas très douloureux, même plutôt excitant au début quand il coulissait. Ce qui était gênant c’était la soumission imposée et l’exposition de son intimité, maintenant les deux jeunes femmes étaient dans la même position avec chacune un thermomètre profondément enfoncé au milieu de leur derrière, c’est à ce moment-là que Chloé entra dans la pièce.
Même si elle était habituée à ce genre de spectacle elle marqua un petit temps d’arrêt, les deux chipies comme elle les appelait familièrement était dans une position particulièrement désagréable.
Odile la regarda :
— Coucou ma petite chérie, c’est bien tu n’as pas traîné aujourd’hui, tu n’as pas envie de te retrouver comme Clara et Clémence.
La jeune fille rougit légèrement devant l’allusion à une éventuelle punition. Les deux mamans tapotaient distraitement sur les fessiers rougis, Odile continua :
— Tu vas aller nous chercher un petit café.
Chloé ne demanda pas son reste et s’éclipsa dans la cuisine. Laurence était ravie du spectacle offert par Clémence, ses doigts s’égaraient entre les fesses bien rouges et les cuisses. Odile souriait en voyant son manège, Laurence s’en aperçut et piqua un fard, elle essaya de changer de conversation :
— Tu les gardes longtemps comme ça ?
— Ça dépend de la cause de la punition, mais quand je dois leur laisser un moment, je les installe sur le pouf ou sur l’accoudoir du fauteuil. Ça m’arrive de leur faire garder plus d’une heure, je t’assure qu’après ça j’ai toujours des petites jeunes femmes toute mignonnes.
Chloé revenait avec le café, Odile la désigna en souriant :
— Tu vois ma petite chérie ici présente a eu droit à une soirée de pénitence au thermomètre avant-hier et aujourd’hui elle est rentrée à la maison sans traîner. N’est-ce pas Chloé.
La jeune fille avait les joues très rouges autant que les fesses des deux étudiantes, la question de sa mère appelait toujours une réponse, elle baissa les yeux :
— Oui maman…
Odile la regarda en souriant :
— Oui quoi ma chérie ? Explique un peu à Laurence pourquoi tu as été punie et comment maman t’a corrigée.
Chloé connaissait la perversité de sa mère, elle savait qu’elle ne couperait pas à une confession complète, elle avala sa salive :
— J’ai été punie parce que je suis rentrée trop tard à la maison, j’étais allé chez une copine sans prévenir maman.
Laurence appréciait vraiment sa journée, cette petite était vraiment charmante, elle décida de jouer un peu :
— Ah oui et comment ta maman t’as punie ma chérie ?
— Elle… elle m’a donné une fessée…
Odile s’impatientait ;
— Dépêche-toi un peu, sinon je vais faire une démonstration à Laurence, elle pourra constater de visu comment je traite les désobéissantes.
Les joues de Chloé ressemblaient de plus en plus aux joues du bas des deux étudiantes.
— J’ai reçu une fessée déculottée, j’ai été faire mes devoirs et après le repas et j’ai eu le thermomètre toute la soirée.
Elle avait parlé très vite, cette confession semblait lui brûler la bouche, Odile ajouta :
— Tu as oublié la fessée que je t’ai administré avant de te mettre le thermomètre, elle ne devait pas être assez sévère. Eh bien puisque c’est ça tu en auras une tout à l’heure et tu referas un petit séjour sur le pouf avec ton thermomètre préféré. File dans ta chambre faire tes devoirs !
Laurence était sévère et perverse, mais sa nouvelle amie semblait la surpasser, elle lui fit un petit clin d’œil :
— Je vais donc connaître le derrière de ta petite Chloé.
Odile caressa les fesses de Clara :
— Effectivement, ça va être une journée fesses rouges, d’ailleurs à ce propos il faudrait réchauffer celles de nos deux chipies.
Laurence lui lança un regard gourmand :
— Bonne idée, c’est vrai que ça refroidit vite ces petits derrières. On laisse le thermomètre en place ?
— Oui bien sûr, elle le sente mieux comme ça. Brosse où main ?
Laurence passa la main sur le fessier encore bien rouge de la pauvre Clémence, il s’était contracté à l’annonce d’une nouvelle correction :
— Clémence a déjà goûté à la brosse, je pense que ma main va suffire, mais le bon gros derrière de Clara en a besoin, tiens je te prête la mienne.
Elle tendit la lourde brosse à Odile, Clara avait poussé un petit gémissement en entendant sa mère annoncer ce qui l’attendait, sa raie fessière s’était serrée sur le thermomètre. Odile se mit à rire et tapota les fesses avec le dos de la brosse :
— On dirait que mademoiselle Clara a peur pour son pauvre petit cucul. Ma chérie tu le sais pourtant que chaque fois que tu fais une bêtise tu as droit à une déculottée et malgré ça tu recommences.
Bientôt le bruit traditionnel d’une bonne fessée déculottée retentit dans la pièce. Depuis sa chambre Chloé entendait le claquement de la main et de la brosse sur la peau nue des fesses, les cris et les pleurs des deux jeunes femmes la renseignait sur le degré de sévérité de la punition, tout à l’heure ce serait son tour, ce spectacle audio était une petite compensation à ce qui l’attendait ce soir.
Après cette correction, Clara et Clémence furent enfin libérées du thermomètre, Laurence leur donna les instructions :
— Vous allez me faire le grand ménage de l’appartement, je ne veux plus une trace de poussière, tout doit être nickel. Vous restez cul nu, allez exécution.
Une bonne claque sur chacun des derrières accompagna ses paroles.
Les deux sévères mamans continuèrent à papoter, Laurence interrogea Odile sur cette professeure qui donnait des cours à ses filles, la façon dont Amélie avait réagi quand Odile lui avait rappelé son rendez-vous était un peu intrigante.
Ses soupçons se confirmèrent rapidement, Odile lui indiqua que bien sûr elle utilisait les méthodes traditionnelles et que d’ailleurs il lui arrivait d’en faire bénéficier également Clara et Clémence.
Laurence était ravie et intriguée :
— J’aimerais bien la rencontrer cette Brigitte.
Odile eut un sourire énigmatique :
— Elle a une bonne paire de fesses…
Elle attendait la réaction de son amie, celle-ci la regarda surprise et amusée :
— Ah oui ? Tu les as vues de près.
— Ça tu peux le dire et même en détail…
Elle avait volontairement laissé sa phrase en suspens. Laurence semblait de plus en plus intéressée :
— Tu m’en as trop dit ou pas assez, elle a quel âge ?
Odile se régalait de faire mariner sa copine.
— Tu sais que la curiosité est un vilain défaut.
Elle avait agité sa main d’une manière assez explicite, Laurence se mit à rire :
— Oh oui, pardon maman… Bon alors tu me racontes.
Odile la regarda mi-sérieuse, mi-amusée :
— Bon, je vais te raconter, mais méfie-toi, j’ai baissé des culottes pour moins que ça.
Laurence tout à sa curiosité ne remarqua pas la menace voilée.
— Elle a soixante-cinq ans, mais tu sais bien qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée déculottée.
— Tu lui as flanqué une fessée ?
— Oui et je lui ai même baissé la culotte.
Laurence la regardait de plus en plus éberluée ce qui eut le don de faire rire son amie :
— Eh oui, tu ne te rappelles pas l’autre jour quand on s’est téléphoné, je t’ai dit que j’avais une nouvelle grande fille à m’occuper et bien c’est elle, c’est Brigitte. Une prof de français à la retraite qui donne des cours aux filles, mais qui régulièrement vient me montrer ses fesses pour que je m’en occupe. Je l’ai invitée pour cet après-midi, les filles seront sorties on sera tranquille.
J'ai l'impression que les fesses de Laurence vont pas tarder à rougir ainsi que cette de Chloé. Pour notre plus grand plaisir et excitation aussi, je dois l’avoué 🍑🔥🍑
RépondreSupprimerC'est vrai que chez Odile on ressort souvent avec une paire de fesses bien rouges et bien chaudes sous sa culotte.
SupprimerMagnifique histoire, je suis toute trempé quand je lis les punitions de Clara et Clémence. J'aimerais bien être a leurs place et recevoir une bonne fessée déculottée. 🔥
RépondreSupprimerMerci, c'est pour ça que j'écris.
SupprimerSylvie