mardi 1 octobre 2024

Deux étudiantes 17

 Sévère punition pour Brigitte



Brigitte était maintenant soumise au même traitement que les deux étudiantes et les filles d’Odile. Elle avait quand même une petite compensation, elle pouvait sans retenue trousser et déculotter Amélie et Chloé. C’est d’ailleurs sur ses conseils que la garde-robe des deux jeunes filles avait été débarrassée de tous les pantalons ou jeans, pour Clémence et Clara c’était déjà fait sur ordre de Laurence la maman de celle-ci.

L’ancienne professeure avait expliqué en souriant à la sévère mère de famille :

— C’est quand même plus pratique pour administrer une bonne fessée déculottée.

Odile l’avait regardé avec un sourire gourmand :

— Comme pour toi ma chérie, viens un peu ici.

Elles étaient dans le salon, en milieu d’après-midi, toutes les jeunes femmes étaient absentes. Brigitte regarda sa nouvelle maman d’un air inquiet :

— Oui maman, mais je n’ai rien fait.

Odile se mit à rire :

— Tu m’as l’air bien inquiète pour une dame innocente. Tu vas venir me raconter tes bêtises.

Elle était assise sur le canapé, dès que sa grande fille fut à sa portée, elle la tira par le bras pour la basculer en travers de ses cuisses, que la grande fille en question soit sexagénaire n’était vraiment pas un problème pour Odile, c’était même plus excitant. En réfléchissant, elle s’était rendu compte que celle-ci avait sensiblement l’âge de sa mère, c’était donc une petite vengeance par procuration. Brigitte ne le savait pas encore, car elle ne connaissait pas Claudine la sévère maman d’Odile, mais chaque fois que celle-ci avait fait un petit séjour sur les genoux maternels, elle était bonne pour recevoir une magistrale déculottée.

C’était un peu le cas aujourd’hui, Odile avait reçu un coup de téléphone de sa mère qui l’avait invité avec sa sœur Ingrid, elle avait ajouté « il y aura tatie Jacqueline, depuis le temps qu’elle ne vous a pas vue, ça lui tarde ». La présence de celle-ci ne disait rien qui vaille à Odile, les jupes risquaient de voler et les culottes glisser sur les fesses.

Maintenant que sa voisine était couchée sur ses genoux, elle en oubliait un peu la perspective du lendemain, elle retroussa la jupe de Brigitte, comme à son habitude la professeure en retraite portait des dessous élégants, aujourd’hui elle avait mis des bas retenus par des porte-jarretelles et une culotte blanche bordée de dentelle, son large derrière était contracté par l’appréhension, Odile tira un peu sur la culotte pour la faire rentrer dans la raie fessière et dégager la base des fesses, elle tapota la zone découverte :

— Alors ma grande fille polissonne, qu’as-tu à cacher à ta maman ?

Brigitte connaissait tellement cette position, toute sa vie si on excepte les dix dernières années, elle s’était retrouvée quasiment journellement couchée sur les genoux de quelqu’un, sa mère puis son mari avait pu jouir de ses fesses moulées dans une petite culotte puis du spectacle excitant de son derrière nacré dénudé et prêt à recevoir son dû.

Elle ne savait que dire, elle savait qu’elle allait certainement recevoir une fessée et même si elle trouvait cela injuste n’ayant rien fait de mal elle ne songeait pas à se rebeller. Quelques claques sèches atterrirent sur l’arrière de ses cuisses et le pli fessier :

— Tu n’as rien à me dire ? Pourtant comme je te connais, depuis hier tu as du en faire des bêtises. Puisque c’est ça, je vais utiliser une méthode qui a fait ses preuves.

Odile déculotta largement sa voisine, descendant le fin sous-vêtement jusqu’aux genoux, les jarretelles étaient tendues sur le côté des fesses semblant délimiter la zone à claquer. La sévère maman appréciait à sa juste valeur l’affriolant spectacle, elle allait bien sûr rougir ce fessier, mais avant elle allait faire découvrir à Brigitte une autre humiliation.

Le thermomètre qui servait à punir ses filles et les deux étudiantes était posé sur la table basse, elle s’en saisit puis écarta avec deux doigts les larges fesses de Brigitte, surprise celle-ci poussa un petit cri et contracta ses fesses :

— Oh mais maman que… Aïe, aïe…

La main d’Odile venait de claquer sèchement le fessier dénudé :

— Tu ne serres pas les fesses et tu te laisses faire, je te signale que ton derrière est prêt pour la fessée…

Brigitte était rouge de honte, le nez presque contre le sol, ses fesses pointant vers le ciel. Bien sûr elle avait l’habitude de se faire déculotter pour recevoir ce châtiment enfantin et sa pudeur était souvent mise à mal lors de ces corrections puisqu’en gigotant elle laissait voir bien souvent son intimité, mais sentir les doigts de sa nouvelle maman écarter ses fesses, c’était nouveau et particulièrement humiliant.

Elle n’était pas au bout de ses surprises, elle sentit quelque chose de froid forcer son anus, elle se mit à gémir, mais essaya de rester stoïque :

— Maman… Que fais-tu ? Non, non…

Elle venait de comprendre qu’un thermomètre pénétrait doucement dans son fondement, Odile souriait, ravie de l’humiliation qu’elle imposait à sa grande fille :

— Je te mets le thermomètre ma chérie, tu sais comme ta maman le faisait quand tu étais petite, je sais que c’est désagréable, mais si tu me dis toute la vérité tu ne le garderas pas très longtemps, c’est toi qui décides.

L’instrument médical disparaissait doucement comme happé par l’anus de Brigitte, elle avait oublié depuis longtemps ce que c’était que de se faire prendre la température dans les fesses comme disait sa mère. Celle-ci avait bien sûr utilisé très longtemps cette technique, fidèle à ses principes d’une stricte éducation. Brigitte avait l’impression que l’introduction ne finirait jamais, elle se concentrait pour ne pas serrer ses fesses. Enfin Odile tapota la croupe de sa grande fille :

— Voila, il est bien en place, tu le sens bien dans ton petit trou ma chérie ? Eh bien sache que tu vas le garder pendant toute ta confession et je te garantis que j’ai tout mon temps, il ne va pas bouger de là.



Brigitte gémissait doucement, cette humiliation supplémentaire venait en plus du déculottage et des fessées régulières que lui imposait sa sévère voisine, des larmes lui vinrent aux coins des yeux :

— Oui, maman, oui promis… Mais, euh… Je n’ai rien fait… Aïe…

Une claque magistrale venait d’atterrir sur son fessier tendu :

— Je t’ai déjà dit que tes fesses étaient bien disposées, ne commence pas à m’agacer !!

Brigitte sentit le thermomètre coulisser, c’était encore plus humiliant, elle devinait le regard d’Odile braqué sur sa raie fessière. En pleurnichant, elle avoua qu’elle avait pianoté très tard sur son téléphone, chose que sa nouvelle maman lui avait interdit après vingt heures. Après deux nouvelles claques bien appliquées sur chacune de ses fesses, elle expliqua qu’elle s’était levée plus tard qu’indiqué, c’est-à-dire huit heures au lieu des sept heures trente exigées par Odile.

La sévère maman fit coulisser à nouveau le thermomètre entre les fesses serrées :

— Tu es sûre de n’avoir rien oublié ma chérie ? Tu vois comme ce thermomètre dans ton gros derrière fait des miracles.

Elle le renfonça profondément et administra une dizaine de claques sur la large croupe :

— Tu as désobéi deux fois, tu connais le tarif pourtant. Rappelle-le moi.

Brigitte pleurnichait comme une adolescente prise en faute :

— Oui, oui, pardon maman… Aïe, aïe…

La main avait encore claqué :

— On verra pour le pardon quand tu auras été punie, dis-moi ce que tu mérites pour m’avoir désobéi !

Depuis une quinzaine de jours Brigitte était revenue des années en arrière, les dix années précédentes avaient été effacées :

— Oui maman, je mérite la fessée…

— C’est ça, mais soit un peu plus précise ma chérie.

Brigitte avala sa salive, Odile ressemblait de plus en plus à sa mère :

— Je mérite une bonne fessée déculottée maman.

Odile souriait satisfaite de la soumission de sa voisine, elle tapota les fesses :

— Non ma chérie, pas une fessée, n’oublie pas que tu as désobéi deux fois.

Brigitte savait qu’elle aurait droit à une sévère correction, elle reprit :

— Oui maman, comme j’ai désobéi deux fois, je mérite deux bonnes fessées déculottées.

La main de la sévère maman claqua un peu plus sèchement le large fessier :

— À la bonne heure, mais comme ça a été un peu laborieux, on va dire que tu recevras trois fessées, ça t’apprendra pour la prochaine fois.

Elle renfonça un peu plus le thermomètre et commença immédiatement la correction. Elle fut sévère comme toutes les fessées qu’administrait Odile. C’était une nouvelle expérience que d’être punie avec les fesses garnies du thermomètre. Brigitte sentait l’instrument s’enfoncer puis ressortir légèrement au rythme des claques. Elle finit en pleurs et le derrière écarlate comme d’habitude.

Odile savourait ce nouveau plaisir, fesser les quatre derrières juvéniles était agréable, mais avoir à sa disposition la belle croupe de Brigitte c’était encore plus excitant, elle s’étalait devant ses yeux, crispée par la cuisson. Le petit bout de verre qui dépassait de la raie médiane ajoutait au caractère coquin de la scène, elle le fit coulisser à nouveau augmentant la confusion de l’ancienne professeure :

— Voila une première fessée, celle-là c’était pour t’être levée trop tard, tu vas rester sur mes genoux, tu es bien installée ? Je vais te laisser le thermomètre en place jusqu’à ta deuxième punition.

Elle prit son téléphone sans plus s’occuper de la dame couchée sur ses genoux exposant son fessier bien rouge. Brigitte était affolée, combien de temps allait-elle la laisser ainsi et si quelqu’un arrivait. Elle aurait bien demandé à Odile de lui administrer immédiatement sa deuxième fessée. La sévère maman discutait avec une amie au bout du fil et ce qu’elle se racontait n’allait pas plaire du tout à la pauvre Brigitte.

— Allô, Laurence ? Oui, c’est Odile, quand viens-tu à la maison ?

— …

— Oui les filles sont mignonnes, tu sais bien qu’en général la fessée déculottée fait des miracles.

— …

— Oh oui, elles y ont droit toutes les deux et régulièrement, je ne sais pas si je suis trop gentille, mais elles recommencent souvent leurs bêtises. Pourtant je t’assure que leur derrière est bien rouge quand elles vont le faire refroidir au coin.

— …

— Oui tu as raison, la peau des fesses repoussent toujours, c’est ce que disait ma grand-mère quand elle nous avait bien tanné le derrière.

— …

— Ah super, tu viens passer le week-end, je te présenterai ma nouvelle grande fille.

— …

— Oh oui elle est en retraite, mais il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne déculottée, tu le sais bien. D’ailleurs en ce moment pendant que je te parle, elle est sur mes genoux avec les fesses bien rouges et le thermomètre bien enfoncé.

Brigitte n’en croyait pas ses oreilles, c’était d’elle dont Odile parlait et apparemment son amie qui allait venir ce week-end avait la même attirance qu’elle pour les fessiers des dames. Elle était maintenant au courant de son infortune et Odile avait bien l’intention de la présenter à cette Laurence.

— Oui, je l’ai gardé sur mes genoux, car je lui en dois une deuxième, d’ailleurs je vais te quitter, je ne voudrais pas qu’elle attrape froid aux fesses. Bisous.

Elle avait terminé sa phrase en riant, elle tapota les fesses de Brigitte :

— C’est la maman de Clara, elle a les mêmes principes d’éducation que moi. Je pense que les deux chipies peuvent préparer leur derrière, ça fait un moment qu’elle ne les a pas vues, sa main doit la démanger. Tu vas voir, Laurence est vraiment sympa, bon elle a la main leste c’est vrai, mais tu as une bonne paire de fesses n’est-ce pas. D’ailleurs à ce propos, il faut que je m’en occupe.

Elle tendit la main vers la table pour saisir la brosse à cheveux qu’elle avait mis là en prévision :

— Celle-là c’est pour ton utilisation du téléphone le soir, qu’est-ce que je t’ai dit à ce propos ?

— Aïe, aïe… oui, maman…



La brosse avait claqué sèchement chaque fesse, Brigitte savait que ça allait lui cuire sérieusement, Odile détestait la désobéissance et l’abus du téléphone surtout le soir, elle aurait pu ne pas lui dire, mais toute sa vie elle avait été soumise à une rigoureuse autorité et il ne lui serait pas venu à l’idée de mentir. Ses fesses en avaient payé le prix chaque fois qu’elle s’y était essayé. La brosse claqua à nouveau le large fessier :

— Qu’est-ce que j’ai dit !!

— Aïe, oui pardon maman, je ne dois pas me servir du téléphone après vingt heures et il doit rester au salon pendant la nuit.

— Bien, c’est quand même simple, et pourquoi as-tu désobéi ?

— Euh, je ne sais pas maman.

— Ah tu ne sais pas ? Eh bien moi je sais, c’est parce que tu es une polissonne et que je n’ai pas été assez sévère avec toi la dernière fois.

— Aïe, aïe, aïe… Noon

— Tu vas la sentir passer celle-là, je suis sûr que tu n’es pas près de l’oublier et si jamais tu recommences, je te garantis que tu auras du mal à t’asseoir.

La brosse s’était mise à claquer la belle paire de fesses déjà rouge, rapidement elle s’empourpra encore plus, virant au carmin. Brigitte hurlait sous la cuisson, ses jambes battaient l’air, le thermomètre était resté en place, mais elle n’y faisait plus attention toute à la brûlure de son derrière. Sous les gigotements l’instrument médical était légèrement ressorti, Odile cessa momentanément la correction le temps de le renfoncer profondément, puis la fessée repris et les ruades de l’ancienne professeure qui retrouvait ses accents d’adolescente implorant la clémence de sa mère :

— Pardon maman, pardon… aïe, aïe… non, non, ça brûle, s’il te plaît maman… promis… noon plus la fessée…



Odile souriait en regardant cette magnifique croupe rubiconde, elle était concentrée, cette chipie allait comprendre qu’il lui fallait obéir. Elle cessa la fessée, une légère buée s’élevait au-dessus du fessier meurtri, Brigitte avait reçu une magistrale correction, sans doute la plus sévère depuis qu’Odile avait repris en main son éducation. Elle remit à nouveau le thermomètre en place puis fit lever la punie, elle désigna le canapé :

— Couche-toi sur l’accoudoir que tes fesses soient bien exposées. Tu n’en as pas fini avec ta pénitence et moi avec tes fesses.

Un peu décontenancée par la nouveauté de cette punition, Brigitte s’installa comme sa maman lui avait demandé. Elle avait le nez dans les coussins, ses jambes pendaient de l’autre côté et ses fesses étaient parfaitement exposées. Odile remonta la culotte à mi-cuisse, vérifia que le thermomètre n’avait pas bougé et tapota le derrière brûlant :

— Te voilà bien installée, tu vas garder le thermomètre pendant encore une demi-heure, ça te permettra de réfléchir avant ta dernière fessée.

Brigitte était morte de honte d’être ainsi en exposition au milieu du salon, c’était pire que d’être au coin fesses à l’air. Elle calcula rapidement, vu l’heure qu’il était il y avait des chances pour que l’une ou l’autre des filles d’Odile rentrent. Elle ne put s’empêcher de supplier :

— Oh maman, j’ai trop honte, s’il te plaît, si les filles arrivent.

Odile se mit à rire :

— Eh bien elles verront comment je traite les désobéissantes, il fallait y penser avant ma chérie. Elles vont voir ton bon gros derrière bien rouge avec le thermomètre, la belle affaire. Elles y sont passées et y repasseront certainement comme je les connais. Bon maintenant tu cesses de pleurnicher si tu ne veux pas revenir sur mes genoux.

Les gémissements cessèrent immédiatement, les fesses brûlantes de Brigitte l’incitaient à la prudence, elle était à nouveau soumise à une stricte discipline comme ça avait été le cas toute sa vie, l’intermède où elle avait été seule après le décès de son mari était maintenant loin. Son large fessier était fait pour être dénudé et rougi, il fallait qu’elle se fasse une raison.

Depuis combien de temps était-elle en pénitence, la croupe écarlate, tendue vers le ciel, elle n’en avait aucune idée, elle entendait Odile vaquer à ses occupations sans plus s’occuper d’elle. Ses craintes se concrétisèrent soudain, elle entendit la porte s’ouvrir, laquelle des filles allait la découvrir dans cette humiliante position. Elle eut rapidement une réponse, elle reconnut la voix d’Amélie :

— Olala, c’est bien rouge.

Il y avait une pointe d’ironie dans la voix, elle n’avait pas reconnu Brigitte, il faut dire que celle-ci ne lui avait jamais montré son fessier dénudé :

— C’est qui ?

La voix d’Odile venait de la cuisine :

— Tu vois ce qui arrive quand on désobéit, tu sais que maman n’hésite pas à baisser la culotte, même quand on croit qu’on en a passé l’âge.

Odile était maintenant au salon, Brigitte l’entendit s’approcher, elle sentit sa main sur ses fesses :

— C’est encore bien chaud, il faut dire que Brigitte l’a bien cherché celle-là.

Cette fois c’était fait, Amélie savait à qui appartenait cette belle croupe rubiconde, si elle avait pu se retourner, l’ancienne professeure aurait vu la stupéfaction sur le visage de la jeune fille. Certes, elle connaissait la sévérité de sa mère et sa propension à régler les problèmes en administrant de bonnes fessées déculottées, mais de là à en flanquer une à cette voisine qui avait l’âge de sa grand-mère.

Elle n’était pas au bout de ses surprises, en regardant un peu plus attentivement le fessier exposé, elle aperçut le thermomètre planté au milieu, Odile lui avait donc également imposé ce complément de punition qu’elle connaissait bien. La sonnerie du minuteur retentit, Odile s’adressa à sa fille :

— Tu tombes bien, madame a encore une fessée à recevoir, va me chercher le martinet.

Sidérée, la jeune fille se dirigea vers la cuisine et revint rapidement avec le redoutable instrument qu’elle tendit à sa mère. Celle-ci s’approcha de la punie et passa les lanières sur le derrière. Brigitte serra un peu plus les fesses, elle sentit le thermomètre coulisser :

— Tu désobéiras encore à maman ?

Brigitte ne pensait même plus à la jeune fille qui assistait à sa punition, elle était redevenue l’adolescente corrigée par une maman sévère :

— Non, maman pardon.

— J’espère bien, c’est ta première fessée publique, mais ça ne sera certainement pas la dernière, vingt coups de martinet et je te laisse encore le thermomètre pour t’apprendre. Ensuite ce sera fini, Amélie tu vas compter.

C’était vraiment une expérience très excitante pour la jeune fille, elle adorait déjà administrer la fessée et assister à la punition de cette dame d’âge mûr lui faisait mouiller sa petite culotte.

Le martinet cingla vingt fois les larges fesses, Amélie comptait à haute voix en souriant devant les contorsions de la croupe et les ruades de jambes de la punie. Elle trouva la punition bien courte, mais connaissant sa mère, elle savait que ce ne serait certainement pas la dernière fois où elle pourrait voir les fesses de Brigitte.

Odile avait posé le martinet sur la table, l’humiliation de la sexagénaire n’était pas encore terminée, elle sentit les doigts de sa nouvelle maman écarter ses fesses brûlantes, elle exposait maintenant aux deux spectatrices son intimité, le thermomètre coulissa une dernière fois, il était resté en place pendant plus d’une heure.



 La main claqua le derrière écarlate :

— C’est fini, j’espère que la leçon sera profitable, tu peux te reculotter.

Brigitte se releva, son visage était empourpré, elle baissa la tête pour ne pas croiser le regard d’Amélie, elle était passée définitivement du côté des punies, elle fut quand même rassurée par Odile qui s’adressait à sa fille :

— Ne te réjouis pas trop vite ma chérie, Brigitte doit te donner un cours demain et elle a toujours l’autorisation de te baisser la culotte si c’est nécessaire.

Le sourire ironique de la jeune fille s’était figé, la sévère maman continuait de souffler le chaud et le froid :

— Brigitte tu peux rentrer chez toi, je viendrai t’administrer la fessée du coucher à neuf heures, tâche d’être prête quand j’arriverai.



Le rouge monta à nouveau aux joues de la dame de soixante-cinq ans. Ses fesses resteraient donc rouges toute la nuit comme du temps de son mari.



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