mercredi 30 octobre 2024

Deux étudiantes 19

Un après-midi cuisant pour Brigitte



Brigitte n’en menait pas large en sonnant chez Odile, elle se doutait que ce n’était pas juste pour prendre le thé que sa sévère voisine l’avait invitée. Quand elle avait donné son cours à Amélie, celle-ci lui avait raconté que la maman de Clara était là pour le week-end et que ça allait chauffer pour les derrières des deux étudiantes.

Brigitte s’était souvenue de l’épisode du téléphone, elle était couchée sur les genoux d’Odile les fesses cuisantes et le thermomètre bien enfoncé dans le derrière et celle-ci avait eu une conversation avec une dame qui s’appelait Laurence et qui était la maman de Clara. La conversation lui revenait « je te la présenterai, elle a vraiment une bonne paire de fesses ».

C’était le derrière d’Amélie qui en avait fait les frais, avoir à sa disposition la mignonne paire de fesses de l’aînée d’Odile lui avait permis d’oublier un instant ce qui risquait de lui arriver ce week-end. Elle avait indiqué à la jeune fille qu’elle prendrait son cours cul nu. Amélie l’avait regardé abasourdie :

— Mais pourquoi madame ?

Brigitte avait souri :

— Il faut que j’aie tes petites fesses à ma disposition ma chérie. Maintenant, tu te dépêches de te déculotter, parce que si c’est moi qui le fais, je te promets que tu n’auras pas froid aux fesses.

Les larmes aux yeux, Amélie avait glissé ses mains sous sa jupe sous le regard ironique de sa professeure :

— Voilà, c’est bien. Oui tu la descends jusqu’à tes genoux, tourne-toi.

Brigitte avait saisi la jupe et l’avait épinglé dans le dos de la jeune fille. La jolie croupe blanche était parcourue par un frisson, les deux globes serrés par l’appréhension d’une probable fessée. Mais celle-ci n’était pas venue, la sévère professeure s’était contentée de deux claques sèches sur le derrière :

— Tu es prête si jamais tu ne fais pas attention, maintenant au travail !

Bien évidemment ça n’avait pas traîné, Brigitte connaissait les points faibles de son élève et rapidement celle-ci s’était retrouvée dans la position traditionnelle, en travers des cuisses de Brigitte pour une magistrale déculottée. 



Elle était partie à son cours à la fac avec une paire de fesses bien chaudes, effectivement comme lui avait promis sa professeure elle n’aurait pas froid au derrière.

Maintenant le moment fatidique était arrivé, Brigitte n’avait aucun doute sur les intentions de sa sévère voisine et nouvelle maman, Laurence allait certainement découvrir son fessier.

Odile vint lui ouvrir et l’accueillit chaleureusement :

— Coucou ma chérie, c’est bien tu es à l’heure, entre je vais te présenter Laurence.

Quand elle passa devant elle, Odile en profita pour claquer sèchement la plantureuse croupe :

— Allez dépêche-toi un peu.

Brigitte bien qu’habituée poussa un petit cri et passa sa main sur ses fesses, ce qui fit rire Odile :

— Qu’est-ce que ça va être quand tu vas être cul nu ma petite !

Laurence se leva quand elle vit l’ancienne professeure et lui fit une bise :

— Bonjour, Odile m’a beaucoup parlé de vous et surtout de vos… fesses.

Elle avait un peu hésité, c’était la première fois qu’elle s’adressait à une dame de cette âge qui était susceptible de recevoir une fessée déculottée. Brigitte avait rougi fortement, elle ne savait pas vraiment quelle attitude adopter, Odile lui vint en aide en prenant immédiatement les choses en main. Elle saisit sa grande fille de voisine et la fit pivoter pour qu’elle présente son fessier à Laurence, elle le tapota en riant :

— Tu vois c’est vrai, je ne t’avais pas menti. Penche-toi un peu ma chérie que Laurence apprécie mieux ton derrière.

Brigitte était habituée aux petites humiliations du quotidien, elle ne put s’empêcher de rougir, mais elle s’exécuta, des années de discipline maternelle puis domestique, lui avait forgé un caractère soumis. Odile ne comptait pas en rester là, elle saisit l’ourlet de la courte jupe et la retroussa bien haut sur les reins. La culotte en dentelle rose avait bien du mal à cacher l’ample croupe, tendue par la position, elle rentrait légèrement dans la profonde raie médiane, le pli fessier séparant le derrière des cuisses était bien visible ainsi que la base des fesses. Laurence était émue devant ce spectacle coquin offert bien malgré elle par la professeure en retraite, elle s’approcha et posa sa main sur le fessier :

— C’est vrai qu’il est magnifique ce popotin, il y a de quoi flanquer une bonne déculottée.

Elle leva les yeux vers son amie :

— Je suppose que madame ne garde pas sa culotte quand elle reçoit son dût ?

Odile se mit à rire :

— Ça te tarde d’examiner de plus près ce derrière on dirait ? Je pense cependant que notre petite Brigitte a besoin de bien se mettre dans la tête ce qui va lui arriver, elle va patienter un peu avant de nous montrer ses fesses et toi aussi.

Elle attrapa deux pinces à linge sur la table et épingla la jupe de Brigitte dans son dos, puis elle claqua deux fois les fesses culottées :

— File te mettre au coin et réfléchis bien à ce que tu vas nous dire tout à l’heure, Laurence adore les confessions des vilaines filles.

Laurence était un peu déçue de ne pas découvrir immédiatement son terrain de jeu favori, cependant le spectacle des bonnes grosses fesses de Brigitte débordant de sa culotte rose, la jupe épinglée formant un rideau de scène, tout cela était assez excitant. La dame d’âge mûre se comportait vraiment comme une gamine, elle n’avait pas protesté et docilement elle avait appuyé son nez contre le mur et posé ses mains sur sa tête.

Odile était fière de montrer à son amie son autorité, elle fit un clin d’œil à Laurence en désignant la punie :

— Elle n’est pas mignonne notre petite Brigitte en pénitence ?

Laurence approuva en riant :

— C’est parfait, je suis sûre qu’elle doit serrer les fesses sous sa culotte.

Odile se leva et disparut dans la cuisine pour préparer le thé, Laurence s’approcha de Brigitte et glissa sa main sous la culotte :

— Eh bien ma chérie, ton bon gros derrière est bien crispé, détends-toi. Tu vas pouvoir comparer ma main avec celle de ta nouvelle maman.

Elle entendit Odile revenir, elle retourna s’asseoir, Brigitte n’avait rien dit, mais les paroles de Laurence ne laissaient pas de place au doute, celle-ci aimait donner la fessée.

Au bout d’un quart d’heure, Odile jugea qu’il était temps de passer à la suite, elle appela la punie :

— Brigitte, viens ici !

Docilement celle-ci s’avança vers les deux dames assises, elle avait gardé ses mains sur sa tête, se joues étaient rouges de honte de devoir leur faire face dans cette tenue, Odile lui fit un petit signe :

— Tourne-toi, Laurence va pouvoir enfin voir ton bon gros derrière.

C’était vrai que Brigitte avait une large croupe, mais c’était humiliant pour elle que sa nouvelle maman s’adresse à elle en lui parlant toujours, « de ses bonnes grosses fesses ou de son bon gros derrière ». Elle lui disait souvent en riant qu’un popotin pareil ça attirait la fessée.

Elle glissa ses doigts sous l’élastique de la culotte et retourna celle-ci, puis la fit glisser à mi-cuisse, les fesses s’étaient crispées, une légère chair de poule les recouvrait :

— Eh voilà le popotin de notre petite Brigitte !

Laurence frappa dans ses mains :

— Il est vraiment adorable, encore un peu trop blanc à mon goût, ça fait longtemps que tu ne l’as pas déculottée ?

Odile claqua les deux fesses en riant :

— Non c’était hier, tu sais que notre Brigitte a vraiment besoin qu’on s’occupe régulièrement de son derrière, sinon elle fait des bêtises. Je me demande d’ailleurs si elle n’y prend pas goût car malgré mes déculottées régulières, elle recommence quand même.

— C’est comme Clara, elle n’a jamais froid aux fesses quand elle est à la maison, mais malgré ça elle continue à désobéir.

Pendant que les deux dames discutaient des bienfaits de la fessée déculottée en sirotant leur thé, Brigitte exposait toujours ses fesses nues. Elle était tout près d’elles, sa croupe était à moins d’un mètre des deux amies, Laurence ne put s’empêcher de la caresser :

— Tu as remarqué comme l’administration régulière de la fessée rend la peau douce ?

Odile se mit à rire :

— C’est plus économique que les crèmes hydratantes.

Elle tendit également la main vers le fessier dénudé :

— J’ai peur que cette vilaine fille attrape froid. Bon, c’est l’heure de ta confession, ma chérie, tu vas nous dire la raison pour laquelle je vais être obligée de te punir.

Brigitte s’y attendait, c’était régulier, mis à part les fessées rapides qu’Odile lui administrait sous le coup de la colère quand elle la découvrait en train de faire une bêtise, celle-ci exigeait toujours une confession avant de la punir. Et il n’était pas question d’y déroger en prétextant qu’elle n’avait rien fait, la correction n’en était que plus sévère, sans compter celle qu’elle recevait avant ou au cours de sa confession pour la stimuler.

La professeure de français redevenue une gamine n’était pas particulièrement sage ou obéissante, mais elle n’était pas non plus une délinquante récidiviste. Quelquefois elle n’avait pas l’impression d’avoir fait quelque chose de mal et c’était un comble, elle était obligée de se creuser la cervelle pour fournir à sa nouvelle maman une raison de la corriger.

C’était un peu le cas aujourd’hui, heureusement pour elle, le temps passé au coin à exposer ses fesses encore culottées, lui avait permis de réfléchir. Toute l’astuce était de trouver une faute méritant d’être punie, mais pas trop grosse pour ne pas l’exposer à une sévère correction. C’était le plus souvent peine perdue, car Odile aimait trop rougir ses belles fesses pour se contenter d’une petite fessée, la déculottée était toujours magistrale. La seule chose qu’elle pouvait espérer c’était que sa sévère maman n’utilise pas d’instrument, certes sa main était vraiment claquante, mais elle était préférable à la brosse à cheveux ou au martinet.

Elle commença donc à parler, elle avait fait quelque chose d’interdit, mais elle hésitait à le raconter craignant la colère de sa nouvelle maman, elle avait gardé son téléphone dans sa chambre la nuit ce que lui interdisait formellement Odile, elle décida d’avouer une faute plus vénielle qui pensait-elle ne lui vaudrait qu’une bonne fessée déculottée manuelle, mais rien de plus. Quand elle expliqua les fesses nues toujours tendues vers les deux dames attentives, qu’elle s’était levée à huit heures au lieu des sept heures trente exigées par sa maman, Odile fit un petit clin d’œil à son amie :

— Tu es sûre que tu n’as rien oublié ma chérie, comme je te connais ça m’étonnerait beaucoup que je doives te punir seulement pour ce lever tardif.

Brigitte rougit, mais comme elle tournait le dos à Odile, celle-ci ne put pas le voir, par contre attentive comme toute bonne fesseuse aux expressions du fessier de sa punie, elle remarqua la légère crispation des fesses de Brigitte, celle-ci hésitait un peu :

— Euh non, maman je t’assure…

La réponse claqua, c’était ce qu’elle redoutait le plus.

— Va chercher le martinet, je vais t’apprendre à mentir !!

Sans un mot la sexagénaire, se dirigea vers la cuisine où était toujours suspendu le martinet, cet instrument traditionnel de discipline familial. Laurence regarda s’éloigner le large derrière se trémoussant au rythme des pas, elle se tourna vers son amie :

— Comment sais-tu qu’elle a menti ?

La sévère maman souriait :

— Je la connais, je peux lire sur ses fesses comme sur son visage, tu sais que ça peut-être très expressif un derrière.

Brigitte revenait en tenant l’instrument punitif à la main. Elle baissait la tête pour ne pas affronter le regard moqueur de Laurence et celui sévère de sa maman, elle lui tendit le martinet :

— Tourne-toi et présentes moi bien tes fesses, je vais t’apprendre !!

Docilement la dame mature se retourna, exposant ses fesses serrées par la crainte. Odile leva le martinet et lui cingla les mollets, elle sauta sur place en criant de surprise autant que de douleur :

— Aïe, aïe… Non, non, maman…

Le martinet avait cinglé plusieurs fois, Laurence interrogea son amie :

— Tu ne la fesses pas ?

Odile continua sans répondre, cette fois le martinet cingla l’arrière des cuisses, attirant des cris déchirants de Brigitte :

— Noon… Noon… pardon maman.

La sévère fesseuse s’arrêta et se tourna vers son amie :

— Rassure-toi son derrière va avoir sa dose, mais pour le moment ce n’est pas une punition, c’est juste pour stimuler sa mémoire. D’ailleurs tu vas voir ça marche.

Elle fit glisser les lanières du martinet sur les fesses de Brigitte :

— Alors ma chérie, la mémoire te reviens ou maman continue ?

— Non, non, maman… Aïe…

Odile venait de cingler le pli fessier entre les cuisses et le derrière :

— Dépêche-toi, ma patience à des limites !!

Le martinet cingla encore deux fois cette zone si sensible, l’arrière des cuisses et les mollets étaient déjà bien colorés. En sanglotant Brigitte avoua qu’elle avait gardé son téléphone la nuit avec elle car elle attendait un coup de téléphone.

La sévère voisine posa le martinet et se tourna en souriant vers son amie :

— Qu’est-ce que je t’avais dit, il n’y a rien de mieux pour délier les langues.

Elle s’approcha de sa grande fille, lui saisit l’oreille et de l’autre main lui administra quelques solides claques sur la croupe :

— Ah c’est comme ça que tu obéis ! Eh bien je vais te montrer ce qui arrive aux désobéissantes, je te garantis que tu vas avoir du mal à t’asseoir ma petite chérie. Laurence va voir comment tu remues bien les fesses quand tu reçois la fessée de maman. Allez en piste !

Elle avait tiré une chaise, elle s’installa confortablement et fit basculer la professeure en retraite en travers de ses genoux. Elle baissa un peu plus la culotte et tapota les fesses :

— Tu es bien installée ? Dis-mois ma chérie pourquoi ne m’as-tu pas dis la vérité tout de suite, tu le sais pourtant que maman n’aime pas les menteuses ?

Brigitte savait que sa situation était périlleuse pour ne pas dire désespérée, elle savait qu’elle devait répondre, même si elle avait peu de chance d’échapper à une magistrale correction :

— Oui maman… Je sais, pardon… Je… je n’ai pas fait exprès…

C’était une réponse idiote, mais quand on à plus de soixante ans et qu’on se retrouve déculottée et couchée sur les genoux d’une dame et qui plus est devant une autre, on perd un peu ses moyens. Odile se mit à rire :

— Ah oui, tu ne l’as pas fait exprès ? Tu te moques de moi !! Eh bien moi je peux te dire que je vais le faire exprès de t’administrer cette fessée déculottée dont tu vas te souvenir !!

La main commença à claquer le plantureux postérieur, il était encore blanc puisque le martinet l’avait épargné, mais ça ne dura pas. Brigitte s’était mise à crier immédiatement, Odile n’était pas vraiment en colère, mais plutôt amusée par la protestation enfantine de sa voisine d’âge mûr transformée par ses soins en grande fille. Elle claquait méthodiquement et avec force la belle paire de fesses.

Comme elle l’avait prévu, Laurence pouvait admirer une magnifique danse des fesses. La sévère maman de Clara aimait administrer la fessée, Clara pouvait en témoigner, mais elle n’avait jamais assisté à la punition d’une dame de cet âge, elle se régalait du spectacle, se doutant bien qu’elle pourrait certainement y prendre rapidement une part active.

— Alors ma chérie, tu la sens la main de maman sur tes jolies fesses, oui je sais ça brûle et rassure-toi je n’ai pas fini. Ah madame désobéit et bien madame va avoir du mal à s’asseoir, je te le garantis.

Inlassablement la main claquait la fesse droite puis la gauche, elle semblait rebondir sur la chair ferme et potelée du beau derrière, il était maintenant écarlate et Brigitte pleurait à chaudes larmes. Parfaitement éduquée après une vie entière à recevoir ce châtiment, elle ne cherchait pas à échapper à sa correction, seules ses fesses gigotaient et ses pieds battaient l’air désespérément, elle suppliait malgré tout sa sévère maman :

— Aïe… Noon… Pardon maman, s’il te plaît… Aïe… Plus la fessée, je serai sage… Promis…

Odile était appliquée à corriger sa grande fille, la main se levait et s’abaissait méthodiquement :

— j’espère bien que tu seras sage, en général quand on a les fesses bien rouges on promet toujours ça, mais je voudrais être sûr que tu as bien compris. Je vais donc continuer encore un peu.



Elle continua à claquer, mais sa main descendit un peu plus bas, juste sous les fesses sur l’arrière des cuisses, c’était encore plus douloureux et Brigitte se mit à pousser des cris encore plus aigus. Odile souriait en voyant les sauts que faisait sa grande fille sur ses genoux, elle adorait administrer la fessée pour ces moments là où la punie abandonnait toute sa fierté et toute sa pudeur. Écartant largement ses cuisses, laissant voir son intimité, sa raie fessière grande ouverte, promettant tout et son contraire, c’était le moment où la punie reconnaissait totalement l’autorité de la fesseuse.

Elle cessa la fessée et leva les yeux vers Laurence :

— Je pense que notre petite Brigitte a bien compris que maman n’aime pas la désobéissance, mais il nous reste à régler le problème de son mensonge. Je vais te la confier, ça va lui faire encore plus honte que ça soit toi qui la corriges. N’est-ce pas ma petite chérie ?

Elle avait administré deux claques magistrales sur le fessier cramoisi, une sur chaque fesse. Brigitte avait poussé un cri déchirant. Elle ne savait pas si Odile attendait une réponse à son interrogation, Odile tapota les fesses brûlantes :

— N’est-ce pas ma chérie que tu vas avoir bien honte d’aller présenter tes bonnes grosses fesses à Laurence.

— Aïe… Oui, oui maman…

La main venait de claquer sèchement, Brigitte avait compris que sa sévère maman attendait une réponse. Odile souriait, elle releva la main et administra deux nouvelles claques :

— Oui quoi ma chérie ?

Brigitte était paniquée, elle avait littéralement le derrière en feu et visiblement sa nouvelle maman ne comptait pas en rester là, les claques continuaient, elle essaya de répondre en sanglotant :

— Aïe, aïe, pardon maman… Oui j’ai honte de montrer mes fesses toutes rouges… Aïe… Noon plus la fessée.

Odile était satisfaite, elle venait de prouver à son amie que sa nouvelle grande fille était vraiment soumise à son autorité, elle caressa les fesses brûlantes :

— C’est bien que tu aies honte ma petite chérie, c’est pour ça que je t’ai baissé la culotte devant Laurence et que je t’ai administré cette fessée. Je pense que la prochaine fois tu réfléchiras avant de me désobéir. Mais en plus de m’avoir désobéi tu m’as menti, ça mérite donc une autre punition, tu es d’accord ?

Brigitte ne pensait pas que cet après-midi serait aussi cuisant, elle découvrait de jours en jours l’inventivité et la perversité de sa nouvelle maman. La main d’Odile avait recommencé son œuvre claquante sur le fessier brûlant, elle devait répondre :

— Oui, maman, oui, aïe… pardon, aïe, ça brûle maman…

Odile caressa à nouveau les belles et larges fesses qui ressemblaient vraiment maintenant à deux tomates bien mûres :

— Nous sommes donc d’accord, tu vas te relever et aller voir Laurence, je crois qu’elle a quelque chose à te dire.

Péniblement la pauvre Brigitte quitta les genoux d’Odile, instinctivement elle porta ses mains à ses fesses en feu, les deux dames la regardaient amusée, elle s’en rendit compte et leva ses mains comme pour les mettre sur sa tête, frotter ses fesses était strictement interdit :

— Pardon maman…

Elle semblait supplier sa nouvelle maman, celle-ci se tourna vers Laurence :

— On dirait que notre vilaine fille a vraiment le feu à son derrière, on lui laisse frotter ses fesses ?

Laurence se mit à rire :

— D’accord pour cette fois, ça va être mignon.

Odile en souriant s’adressa à la professeure déculottée :

— Tu as entendu Laurence ? Vas-y frotte ton bon gros derrière ma chérie.



C’était humiliant pour Brigitte, mais la cuisson était trop forte, elle porta ses mains à sa croupe et se mit à la frotter énergiquement. Laurence avait eu raison, c’était charmant de voir cette dame de soixante ans la culotte entortillée autour des chevilles, la jupe épinglée dans le dos en train de masser son large derrière cramoisi. Odile se mit à rire :

— Eh bien ! On dirait que ma fessée a été efficace, maintenant ça suffit, va voir Laurence.

La maman de Clara, lissa sa jupe sur ses cuisses gainées de bas fumé, elle désignait ainsi l’endroit où elle voulait que Brigitte se couche :

— Allez ma grande, viens un peu me montrer tes fesses.

Penaude, la sexagénaire se dirigea vers elle à petits pas, sa culotte la gênait pour marcher. Dès qu’elle fut contre ses genoux, Laurence lui remonta la culotte à mi-cuisse, comme Odile la regardait intriguée, elle expliqua :

— Je préfère que la culotte soit là, comme ça la punie sent bien qu’elle est déculottée.

Elle passa sa main dans le dos de Brigitte et la força à se coucher sur ses cuisses à demi découvertes, elle commença à palper le derrière écarlate comme si elle voulait en prendre possession, Brigitte était rouge de honte, en fait c’était seulement la quatrième personne qui avait accès à ses fesses dénudées et malgré sa grande habitude des fessées déculottées c’était quand même impressionnant et humiliant. Que sa mère puis son mari lui ait baissé la culotte pour la punir, c’était dans l’ordre des choses, pour Odile ça c’était fait quasiment naturellement, elle avait immédiatement joué le rôle d’une nouvelle maman. Mais Laurence, qui était-elle pour la coucher sur ses cuisses et lui examiner les fesses ainsi.

La sévère maman était ravie de l’aubaine, comme toute bonne fesseuse, elle appréciait les croupes rebondies, celle de la professeure en retraite était parfaite à tous égards, bien large, encore ferme avec une profonde raie médiane qui séparait les deux hémisphères. Et aujourd’hui, cerise sur le gâteau, elle était d’une magnifique couleur rouge, la peau brûlante luisait, Odile s’en était donné à cœur joie, effectivement la position assise risquait d’être douloureuse. Malgré son âge, Brigitte dû subir l’humiliant examen de son intimité, les doigts agiles de Laurence écartèrent largement la raie fessière, mettant à jour la rondelle brune de l’anus et plus bas la vulve, elle gémissait doucement, mais se laissait faire :

— Alors ma chérie, tu as désobéi et maman a été obligée de faire panpan cucul ? Ton joli derrière est bien chaud. Tu recommenceras ?

La question attendait sans nul doute une réponse, ses fesses cuisantes le rappelaient à Brigitte, elle répondit d’une petite voix :

— Non, non, madame…

Laurence avait posé sa main sur le large derrière, elle regarda en souriant son amie :

— Tu ne penses pas que nous devrions laisser refroidir un peu ces fesses, la punition est plus efficace quand elles sont moins chaudes.

Odile approuva :

— Tu as raison, on va la mettre au coin.

Laurence tapota le derrière brûlant :

— Allez debout madame fesses rouges, on va aller montrer ses fesses.

Odile lui fit un petit clin d’œil :

— Tu as raison, on va les exposer.

Elle prit Brigitte par l’oreille et l’installa nez contre le mur juste en face de la fenêtre, puis elle tira sur les rideaux de manière que les occupants de l’immeuble d’en face aient une vue panoramique sur le salon :

Brigitte se mit à gémir :

— Oh non maman, j’ai trop honte.

Odile lui claqua les fesses :

— Tais-toi ! J’espère bien que tu as honte, c’est fait pour ça. Les gens vont voir tes bonnes grosses fesses bien rouges et ils sauront que tu as reçu la fessée et si tu continues je vais t’en redonner une sur le balcon devant tout le monde.



Brigitte cessa immédiatement de se plaindre, la menace était réelle, dans l’immeuble il était de notoriété publique que la sévère maman administrait encore la fessée déculottée à ses grandes filles. La voir en flanquer une à une dame sur son balcon n’aurait pas choqué grand monde.



mercredi 23 octobre 2024

Lucie et Christian 19

Le mensonge est un vilain défaut 



Lucie avait rougi immédiatement, Ingrid, en connaisseuse, s’était rendu compte que la jeune femme avait quelque chose à lui cacher. Elle la fixa intensivement :

— Tu es allé voir Sylvie ?

— Euh, non… Pourquoi ? J’en ai juste entendu parler au bureau.

Ingrid regarda Alice, celle-ci essayait de ne rien laisser paraître, mais son sourire était assez éloquent, la sévère tatie s’approcha de Lucie et lui saisit l’oreille :

— Je n’aime pas les coléreuses, mais encore moins les menteuses ma petite Lucie. Tu ferais mieux de me dire la vérité avant que je ne téléphone à Sylvie pour vérifier.

Lucie baissa les yeux, décidément sa culotte ne serait pas restée longtemps sur ses fesses, elle allait devoir confesser son mensonge et connaissant Ingrid la sanction serait un passage sur ses genoux et un déculottage. Ses fesses s’étaient contractées sous sa petite culotte de jeune fille. Elle avala sa salive et se lança :

— Oui, tatie, c’est vrai, je suis allé voir madame Sylvie, mais ça fait longtemps, je ne pensais pas que c’était important.

Ingrid tenait toujours la jeune femme par l’oreille, elle la tira un peu plus vers le haut, Lucie poussa un petit gémissement qui fit sourire la sévère maîtresse :

— Ne te moque pas de moi, tu aggraves ton cas, ton petit derrière va rougir, ça c’est sûr, mais l’intensité de sa couleur dépend de toi ma chérie, on va s’installer confortablement et tu vas me raconter tout ça en détail.

Elle se dirigea vers la chaise à fessée tirant Lucie à sa suite, celle-ci ne résista pas, c’était humiliant et douloureux d’être ainsi tenue par l’oreille. Ingrid la bascula à nouveau en travers de ses genoux, c’était déjà la troisième fois depuis son arrivée qu’elle se retrouvait dans cette inconfortable position. Comme elle le pressentait, Ingrid la déculotta immédiatement :



— Eh bien te voilà prête pour ta confession ma petite chérie, je te conseille de ne rien oublier, mais avant de commencer, je vais stimuler un peu ta mémoire.

Sa main se leva et une avalanche de claques très fortes et très rapides s’abattit sur la croupe dénudée. Lucie se mit à crier et à pleurer rapidement, ses fesses gardaient le souvenir des deux corrections précédentes et elles étaient encore sensibles, cette nouvelle fessée fut très douloureuse.

Ce fut donc avec le derrière écarlate qu’elle se mit à raconter ses différentes séances chez la fessothérapeute ainsi que la façon dont elle avait soumis son mari. La confession fut longue, Alice buvait ses paroles, même si elle était au courant de la plupart des choses que racontait son amie, c’était très excitant de l’entendre, surtout dans sa position ou se trouvait Lucie, couchée comme une gamine sur les genoux d’Ingrid, la culotte aux genoux et les fesses bien rouges.

La rougeur du derrière était d’ailleurs entretenue par la tatie, celle-ci administrait de temps en temps quelques claques sur le fessier pour stimuler la jeune femme :

— C’est bien ma chérie continue, tu vois qu’avec ton petit derrière bien chaud la mémoire te revient.

Quand enfin Lucie eut fini de raconter ses visites chez madame Sylvie, Ingrid leva les yeux vers sa nièce :

— Dis-moi Alice, tu savais que Lucie m’avait menti ?

La jeune femme rougit et baissa les yeux, elle savait par expérience qu’il ne fallait pas mentir à sa tante, en avouant une bêtise on était bon pour une simple déculottée, alors que le mensonge vous valait une punition exemplaire, Lucie allait en faire l’amère expérience.

— Euh, oui tatie, je l’avais dit à Lucie qu’elle ne devait pas te mentir.

Pour protéger la peau de ses fesses, elle chargeait sa copine, Ingrid fronça les sourcils :

— Ce n’est pas ce que je te demande, pourquoi ne m’a pas tu dis que Lucie connaissait Sylvie ?

Alice serra les fesses, elles allaient à nouveau lui cuire. Ingrid claqua sèchement les fesses de la punie :

— Vous avez donc menti toutes les deux, vous serez donc punies ensemble, Lucie plus sévèrement qu’Alice, car son mensonge est plus gros. Donne-moi la brosse.

La jeune femme tendit le redoutable instrument à sa tante, Lucie se mit à gémir :

— Pardon tatie, s’il te plaît plus la fessée, noon… Aïe, aïe, aïe… non, non.

La fessée venait de commencer, calmement Ingrid administrait de grandes claques avec la brosse, alternant une fesse puis l’autre, la partie rebondie puis la base et enfin l’arrière des cuisses, c’était une correction très sévère, Lucie hurlait à chaque coup, elle se mit à pleurer en même temps que ses pieds battaient l’air. La fesseuse était concentrée sur sa tâche, un léger sourire planait sur ses lèvres, à n’en pas douter, elle adorait administrer la fessée, surtout quand la punie avait un si mignon derrière, elle s’arrêta un instant et passa sa main sur la croupe écarlate :

— Tu recommenceras à me mentir ?

— Non, non tatie, pardon… ça brûle trop… Aïe… aïe.

La brosse venait encore de claquer :

— J’espère bien que ça te brûle ma chérie, c’est pour que tu ne commences plus, mais je ne suis pas sûr que cela soit suffisant, on va encore chauffer un peu ton derrière.

Lucie se remit à crier, Alice avait un peu de pitié pour son amie, décidément sa tante la traitait au moins aussi sévèrement qu’elle. Sa croupe était cramoisie quand Lucie put enfin se relever, de grosses larmes coulaient sur ses joues, elle se mit à sautiller sur place, Ingrid la regarda en riant :

— On dirait que madame a vraiment chaud aux fesses, tu peux les frotter pour voir comme elles sont bien cuites à point.

Lucie se mit à frotter énergiquement son postérieur brûlant, Alice se surprit à mouiller à la vue de ce charmant spectacle, Ingrid également d’ailleurs, elle interrompit Lucie :

— Bon, ça suffit, mets tes mains sur ta tête pendant que je corrige Alice.

La jupe était retombée cachant le fessier, elle la retroussa à nouveau et la coinça dans la ceinture :

— Alice, viens ici, je vais t’apprendre à mentir toi aussi. Tu devrais pourtant le savoir que je déteste ça.

La fessée d’Alice fut plus courte, mais aussi claquante, il y avait à nouveau deux paires de fesses bien rouges au milieu du salon de la sévère tatie, les culottes étaient entortillées autour des chevilles.

— Donnez-moi vos culottes, vous en êtes privée jusqu’au coucher.

Elles enjambèrent leurs sous-vêtements et le tendirent à Ingrid, celle-ci s’en saisit en souriant et les posa sur la table.

— Tournez-vous pour me montrer vos jolis petits derrières.

Lucie imita Alice, celle-ci en plus de faire demi-tour s’était légèrement penchée en avant pour tendre sa croupe à sa tante. Ingrid était contente de son après-midi, elle caressa les deux croupes brûlantes. Elle n’avait jamais été au-delà de la fessée déculottée et de l’examen soigneux de son intimité avec sa nièce, mais cette petite Lucie avait vraiment un joli petit cul, elle allait en profiter pendant ce week-end, cette petite finirait dans son lit.

Elle claqua les deux paires de fesses :

— Au coin, vite !! Et je ne veux plus vous entendre, vous allez y rester jusqu’à l’heure du coucher.



Le mensonge était sévèrement puni dans cette maison, Lucie commençait à s’en rendre compte. Elles restèrent une heure le nez collé contre le mur à exposer leur fessier écarlate.

Ingrid les libéra enfin et leur annonça la suite :

— Vous montez dans la chambre et vous vous préparez pour la nuit, lavez bien vos dents et faites pipi, j’arrive dans dix minutes. Alice tu connais la suite, tu l’expliqueras à Lucie.

Elles montèrent sans dire un mot, la tatie se régala à regarder ces deux paires de fesses encore rouges quitter la pièce en se balançant au rythme des pas.

Dès qu’elles furent à l’étage et qu’Ingrid ne pouvait plus les entendre, Alice fit une petite grimace et regarda sa copine :

— Elle en a pas encore fini avec nos derrières.

Lucie se frotta les fesses :

— Quoi ? Encore, oh non ce n’est pas possible, je ne vais pas pouvoir le supporter.

Elle était arrivée dans la salle de bain, Alice se mit à rire :

— Arrête un peu, tu as vu ta paire de fesses, même si elles sont moins joufflues que les miennes, je suis sûr qu’elles sont capables de supporter bien plus que ça.

Elle lui tapota les fesses :

— Et puis tu as l’air d’oublier que quand c’est toi qui portes la culotte, tu ne te gênes pas pour administrer des fessées à répétition, Christine et Aurore pourraient en témoigner. Moi aussi d’ailleurs.

Elles se lavèrent les dents et passèrent aux toilettes, elles avaient deux chambres contiguës, Lucie sorti son pyjama de sa valise, Alice la surveillait par la porte ouverte :

— Non ma chérie, pas de pyjama. Tiens regarde ce qu’on doit mettre pour la nuit, elle lui tendit une nuisette blanche. Lucie fit la moue, elle détestait dormir en chemise de nuit, elle l’enfila et gémit :

— Olala, qu’est-ce qu’elle est courte, autant dormir toute nue.

Alice avait enfilé la sienne, elle souriait devant la tête de sa copine :

— Moi, je te trouve très mignonne comme ça.

La nuisette ne couvrait que les fesses et le haut des cuisses, Alice passa la main dessous et caressa la croupe de Lucie :

— Tu ne te doutes pas pourquoi tatie veut qu’on mette cette chemise de nuit ?

La main palpait les fesses encore chaudes, Lucie souriait et se laissait faire :

— Oh que si, comme ça elle a nos fesses à disposition.

— Exactement, d’ailleurs, il faut qu’on se dépêche de se mettre en position.

— En position ?

— Oui tu te mets au pied de ton lit et tu tiens ta nuisette retroussée jusqu’à ce qu’elle arrive.

Lucie fit une grimace, mais déjà les pas d’Ingrid résonnaient dans l’escalier, elle fit comme Alice lui avait dit.

La sévère tatie entra dans la chambre de Lucie, elle sourit de satisfaction au spectacle du mignon derrière de sa nouvelle nièce, il était encore bien coloré et Lucie avait crispé ses fesses en l’entendant arriver. Elle s’approcha et tapota la croupe :

— C’est bien tu as été obéissante, tu vas rester là pendant que je m’occupe du derrière d’Alice.

Lucie tourna la tête et elle vit dans la glace le reflet de sa tatie, elle tenait un martinet à la main, un petit frisson l’a parcouru, elle n’avait pas goûté à cet instrument depuis longtemps, par contre elle l’utilisait souvent sur les croupes de ses soumises et celle-ci n’avait pas l’air de l’apprécier beaucoup. Cependant il lui fallait reconnaître que ça faisait des fesses bien rouges.

Quelques instants plus tard les cris et les supplications d’Alice la renseignèrent sur la sévérité de la punition.

En entrant dans la chambre de sa nièce, Ingrid put comparer la taille des deux fessiers, celui d’Alice était vraiment plus joufflu que celui de Lucie, elle appréciait de le mettre à nu et de le rougir. Son bon gros derrière, comme elle disait, prenaient très bien la fessée.

Elle s’approcha palpa la croupe et appuya sur le dos de la jeune femme :

— Tu te penches en avant et tu poses tes mains sur lit. Je veux des fesses bien présentées.

Alice devina qu’elle allait avoir droit au martinet, elle sentit les lanières qui caressaient son derrière :

— Pour ne pas m’avoir dit que Lucie connaissait Sylvie, ce sera vingt-cinq coups de martinet, écarte un peu les pieds et tends bien tes fesses.

La danse des lanières sur la croupe débuta, Lucie entendait distinctement le cinglement sur la peau nue et bientôt les gémissements de la punie, elle avait entendu Ingrid annoncer vingt-cinq coups, combien pour elle. La fessée s’arrêta et bientôt elle entendit les supplications de son amie :

— Non, non, tatie…

— Tu veux une autre fessée ? Non ? et bien desserre les fesses et vite.

Le bruit d’une nouvelle correction retentit, cette fois-ci Lucie reconnu le bruit d’une fessée traditionnelle à la main. Elle ne fut pas longue, la voix d’Ingrid couvrit les pleurs d’Alice :

— Bon maintenant tu me laisses écarter tes fesses sinon je te garantis que ça sera la brosse.

Il y eut juste un petit gémissement de la jeune femme puis le bruit d’une claque :

— C’est bien, maintenant au lit, tu dors sur le dos et cette fois-ci tu peux les serrer tes jolies fesses.

Elle avait dit ça en riant, quelques secondes plus tard, Lucie l’entendit rentrer dans la chambre :

— Bien, à nous ma petite menteuse.

Elle appuya sur le dos de la jeune femme :

— Tu vas me présenter correctement ton derrière, pose tes mains sur le lit.

Elle mit le martinet sous le nez de Lucie :

— Tu m’as raconté un gros mensonge, Alice a eu droit à vingt-cinq coups, pour toi ce sera cinquante !

Lucie se mit à supplier :

— Non, non tatie… s’il te plaît… promis je ne mentirai plus… c’est trop… Aïe, aïe…

Ingrid venait de claquer la croupe tendue, elle saisit Lucie par l’oreille et la fit se relever :

— Qu’est-ce-que c’est que ces manières, je vais t’apprendre à protester !

En un clin d’œil elle s’installa sur le lit et coucha Lucie en travers de ses cuisses. La fessée pétarada immédiatement dans la pièce, Alice couchée dans son lit compatissait au sort de sa copine. La pauvre avait voulu faire la connaissance de sa tatie, eh bien elle était servie.

— Tu vas finir par comprendre qu’ici c’est moi qui décide et que tu n’as rien à dire, si je veux te donner dix fessées déculottées, eh bien tu les recevras. As-tu compris ?

La main allait et venait sur les fesses de la pauvre Lucie qui criait et pleurait, ses jambes battaient l’air, mais son fessier reçu son dut.

— Oui, oui, tatie, j’ai compris… Aïe, Aïe, pardon.

Ingrid la fit se relever :

— Remets-toi en position ! La prochaine fois que tu protesteras, ta punition sera doublée.

Le martinet commença à cingler la croupe déjà écarlate, Lucie trépignait sur place. Ingrid s’appliquait, cette petite avait vraiment un derrière adorable, les fesses s’ouvraient largement, elle pensa que d’ici la fin du week-end elle goûterait à ses petits trésors.

La punition terminée, elle posa le martinet sur le lit et saisissant Lucie par l’oreille, elle l’installa à nouveau sur ses genoux, affolée à l’idée d’une nouvelle fessée, Lucie se mit à pleurer :

— Non tatie, s’il te plaît plus la fessée…

Ingrid tapota la croupe cramoisie en riant :

— Décidément tu n’es pas guérie, je t’ai dit que c’est moi qui décide des fessées que tu dois recevoir. Tu mériterais que je t’en reflanque une. Mais rassure-toi si tu es bien sage plus de panpan cucul. Tu vas me laisser écarter tes fesses bien gentiment.

Lucie réalisa qu’elle allait avoir droit à quelque chose dans son petit trou, ses fesses brûlantes l’incitaient à se laisser faire. Elle sentit les doigts de la sévère fesseuse écarter ses deux globes, c’était humiliant mais préférable à une nouvelle correction.

Ingrid lui donna des explications :

— Comme vous avez été très vilaine aujourd’hui, vous avez droit à un petit supplément, une spécialité de Sylvie, les suppos au gingembre.

Lucie repensa à ce qu’elle avait fait subir à Christine et à Aurore, maintenant c’était son tour. Elle sentit ses fesses se crisper malgré ses efforts, deux magistrales claques atterrir sur son derrière :

— Qu’est-ce que j’ai dit ! Alice n’a pas voulu desserrer ses fesses, elle le regrette encore.

Lucie relâcha immédiatement ses muscles fessiers et elle sentait les yeux d’Ingrid braqués sur sa raie grande ouverte :

— Voilà qui est mieux, décidément vous ne comprenez que la fessée.



Le suppositoire pénétra lentement, c’était un moment de honte totale pour la jeune femme. On ne lui avait pas mis un suppositoire depuis son enfance, cette humiliation n’avait rien à voir avec la mise en place d’un plug, ça ramenait vraiment cette dame d’une quarantaine d’années au statut de gamine.

Soudain une brûlure envahit son fondement, c’était donc ça l’effet du gingembre. Ingrid avait relâché les fesses, elle les tapota :

— Tu peux les serrer maintenant.

Lucie se mit à gémir et à se trémousser, elle était toujours couchée sur les cuisses d’Ingrid qui se régalait du spectacle de ce mignon derrière tout rouge. Elle se retint de lui administrer une nouvelle fessée et se contenta de caresser cette jolie croupe.

— On dirait que madame à vraiment chaud à son petit cul, tu vas te coucher sur le dos pour bien sentir tes fesses. Tu vas voir comme tu vas bien dormir.

La nuisette était retombée masquant le derrière cramoisi, Lucie se glissa dans le lit et fit une grimace quand ses fesses touchèrent le matelas.

Ingrid était satisfaite, ses deux nièces avaient eu leur ration de fessées déculottées.



dimanche 13 octobre 2024

lundi 7 octobre 2024

Deux étudiantes 18

Deux étudiantes aux fesses bien rouges 



Dûment déculottée, Clara braillait à un plein poumon, couchée en travers des genoux de sa mère, la couleur de ses fesses ne laissait aucun doute sur la sévérité de la correction reçue. Clémence le nez contre le mur, maintenait sa jupe retroussée et exposait sa petite culotte blanche. Les cris et les pleurs de sa copine n’avait rien d’encourageant pour la suite, celle-ci à n’en pas douter s’annonçait cuisante pour son derrière.

Dès son arrivée Laurence avait entrepris une inspection en règle de l’appartement des deux étudiantes, elle était arrivée bien plus tôt qu’annoncé afin que celle-ci n’ait pas le temps de dissimuler un éventuel désordre.

Bien sûr vu le niveau d’exigence de la sévère maman, le verdict était tombé :

— C’est bien ce qu’Odile m’avait dit, malgré les rappels à l’ordre vous n’en faites qu’à votre tête, ses punitions ne suffisent pas et bien je peux vous dire que vous allez avoir chaud au derrière ce week-end mes petites chéries, Clara je vais commencer par toi, viens un peu ici !

La tête basse comme si elle était encore une gamine malgré ses vingt-cinq ans, la jeune femme s’approcha de sa mère qui s’était assise sur une chaise au milieu du salon. Laurence la prit par la main pour la coucher en travers de ses cuisses, puis elle s’adressa à Clémence :

— Va te mettre au coin, tu retrousses ta jupe et tu colles ton nez contre le mur, je vais m’occuper de toi après.



La jupe courte de Clara découvrait déjà les cuisses, elle les claqua, déclenchant un cri perçant :

— Aïe, aïe… Non, non pardon maman.

La main avait claqué une dizaine de fois l’arrière des cuisses, les couvrant de rose :

— C’est un peu tard pour demander pardon ma petite, tu vas voir la belle culotte rouge que va te mettre maman.

La jupe était maintenant retroussée haut sur les reins, la culotte descendit immédiatement jusqu’à ses genoux. Clara savait qu’un déculottage aussi rapide n’augurait rien de bon, sa mère agissait toujours ainsi quand elle était en colère et la correction qui suivait était toujours magistrale. Effectivement la fessée déculottée que recevait Clara était vraiment sévère, malgré sa grande habitude des corrections cuisantes, le feu qui envahissait son fessier était intolérable. 



Laurence la maintenait fermement par la taille, mais ses jambes menaient une sarabande effrénée, sa culotte avait glissé jusqu’à ses chevilles, ses fesses s’ouvraient largement, elles étaient maintenant d’un beau rouge uniforme.

La sévère maman n’avait utilisé que sa main, mais c’était suffisant pour que Clara s’en souvienne longtemps, quand elle la fit se relever la jeune femme se mit à sautiller sur place pour atténuer la douleur, elle savait que frotter ses fesses était interdit, cette petite danse était charmante. Laurence souriait, elle n’avait pas perdu la main :

— Cesse un peu ces simagrées, tu enlèves ta culotte, tu n’en auras plus besoin, je veux avoir tes fesses à disposition.

Elle tendit la main pour recueillir la lingerie, elle l’inspecta rapidement :

— C’est bien, ta culotte est propre, Odile s’occupe de vous faire laver les fesses ?

Elle avait lancé cette petite pique en souriant, consciente du caractère humiliant de la remarque. Elle fit tourner sa fille et coinça la jupe dans la ceinture, Clara avait les joues aussi rouges que son derrière, elle baissa la tête et attendit la suite, elle s’en doutait, l’ordre claqua en même temps que la main sur sa croupe :

— File te mettre au coin !

Laurence n’eut même pas à lui préciser ce qu’elle attendait d’elle, la jeune femme posa ses mains sur sa tête et colla son nez contre le mur.

— Clémence vient un peu ici !

Tenant toujours sa jupe retroussée la jeune étudiante approcha. Du temps était passé depuis sa première déculottée administrée par la mère de sa copine, elle avait dû subir de nombreux déculottages, les punitions humiliantes s’étaient succédées quasiment journellement. Ses rondeurs avaient été mises à nu et corrigées par Odile mais également par ses deux filles et dernièrement par cette professeure de français en retraite qui habitait au troisième étage.

Elle n’eut pas trop le temps de réfléchir, Laurence l’avait basculée en travers de ses cuisses, dans cette position qu’elle ne connaissait que trop bien. Comme elle l’avait fait pour sa fille la sévère maman la déculotta immédiatement :

— Ma petite Clémence, ta maman n’a pas été sévère avec toi quand tu étais plus jeune, mais rassure-toi, je vais rattraper le retard, dans quelque temps tes fesses auront appris qu’il ne faut jamais désobéir.

Elle caressa en souriant les fesses contractées par l’angoisse :

— Tu serres les fesses ma petite chérie, tu as peur de la bonne fessée de maman Laurence et bien tu as raison, tu vas sentir tes fesses toute la journée crois-moi.

La fessée crépita dans la pièce et le concert donné par la jeune femme n’eut rien à envier à celui de sa copine. Elle était encore en train de gigoter et de battre des jambes quand Odile entra dans la pièce :

— C’est bien ce qui me semblait, la fessée s’entend parfaitement depuis le palier, je ne savais pas que tu étais déjà arrivée.

Elle jeta un œil professionnel aux deux fessiers, celui de Clara exposé dans le coin et celui de Clémence qui continuait sa danse sous les claques de Laurence :

— C’est vraiment du bon travail, nos deux donzelles n’auront pas froid aux fesses.

Laurence termina la correction de Clémence et rendit son sourire à Odile :

— Coucou ma chérie, oui je leur ai dit que j’allais leur mettre une jolie culotte rouge sur les fesses, qu’en penses-tu ?

Odile s’approcha de Clara et passa sa main sur le derrière rougeoyant :

— C’est vraiment parfait, si tu es d’accord, nos deux chipies vont venir faire leur temps de coin à la maison, on pourra discuter tranquillement et je pourrai surveiller la cuisson du repas.

Laurence fit relever Clémence :

— Très bonne idée. Clémence tu me donnes ta culotte.

La jeune femme retira le sous-vêtement entortillé autour de ses chevilles et le tendit à sa nouvelle maman. Comme elle l’avait fait avec celle de Clara, elle l’examina rapidement s’attirant une remarque d’Odile :

— Leurs culottes sont nickel maintenant, mais ça n’a pas été sans mal.

Laurence fronça les sourcils :

— Ah bon ?

Odile savait comment faire honte à des jeunes femmes, elle se mit à rire :

— Un bon lavage des fesses à l’eau froide et je te promets que le problème est vite réglé, le lendemain tu as des demoiselles au derrière bien propre et des culottes toutes blanches.

— Ma mère faisait pareil, et Clara y a eu droit quand elle était à la maison, tu as bien fait, mais elle sera punie pour ça tout à l’heure puisqu’elle se permet ce genre de choses dès que j’ai le dos tourné. Tu leur as séché les fesses avec une fessée ?

Odile eut un petit sourire gourmand :

— Bien sûr ma chérie et elles ont été privées de culotte pendant une journée.

Pendant la discussion, les fesses de Clara s’étaient contractées, Clémence tenait sa jupe retroussée pour montrer ses fesses comme lui avait demandé Laurence. Celle-ci coinça le vêtement dans la ceinture et appela sa fille :

— Clara, tu viens ici.

Dès qu’elle fut devant elle, la maman montra la porte :

— Vous avez entendu, vous allez vous mettre au coin chez Odile. Allez en route !

Ce n’était pas la première fois qu’elles devaient traverser le palier les fesses à l’air, Odile leur avait déjà imposé cette humiliation à l’une et à l’autre, elles se dirigèrent donc vers l’entrée les mains sur la tête. Les deux mamans regardaient d’un œil gourmand ces deux fessiers juvéniles, rebondi à souhait et d’un rouge éclatant. Odile leur ouvrit la porte et les gratifia chacune d’une bonne claque sur le derrière quand elles passèrent à sa portée :

— Allez, on se dépêche.

Amélie sortait juste à ce moment, le regard ironique qu’elle jeta en direction des deux punies n’échappa pas à sa mère :

— Tu ne devrais pas te réjouir du malheur des autres ma chérie, n’oublie pas que tu as un cours avec Brigitte tout à l’heure.

Amélie se rembrunit immédiatement, les cours particuliers avec la sévère professeure se terminait rarement sans une séance de panpan cucul et depuis qu’elle avait été soumise à cette humiliante fessée déculottée devant elle, Brigitte se vengeait en lui administrant des corrections particulièrement cuisantes. C’était certain, elle se coucherait ce soir avec le derrière encore rouge et douloureux, Brigitte possédait une remarquable technique et la cuisson engendrée par ses fessées durait particulièrement longtemps.

Les deux étudiantes exposaient maintenant leur croupe écarlate, chacune dans un coin de la pièce et les deux amies papotaient tranquillement en jetant de temps en temps un coup d’œil sur ce ravissant tableau. Les confidences allaient bon train, Laurence ne connaissait pas le thermomètre comme complément de punition, Odile lui fit un petit clin d’œil :

— Ces chipies ont bien mérité une sévère mise au point, je vais te montrer.

Elle alla chercher deux thermomètres et les montra fièrement à son amie :

— Ces demoiselles détestent ça, c’est parfait sinon ce ne serait pas une punition. Clara vient ici.

La jeune femme se retourna, elle fit une grimace en voyant l’instrument médical dans la main de sa maman de substitution, celle-ci lui fit un petit signe et tapota ses cuisses :

— En position ma chérie, je vais montrer à ta maman comment on ramène les vilaines filles à un peu plus d’humilité.

Clara se coucha docilement en travers des cuisses d’Odile, son derrière était encore bien rouge, mais la sévère maman lui administra une fessée rapide en expliquant à Laurence :

— Quand je mets le thermomètre en place, j’aime que les filles aient les fesses bien chaudes.

Clara gémissait sous la correction mais hormis ses fesses qui se tortillaient, elle se laissait faire. Odile regarda Laurence en souriant :

— Mes félicitations ma chérie, ta fille est vraiment docile, c’est un plaisir de lui administrer la fessée et puis je ne sais pas si c’est la façon que tu as de t’occuper de son derrière, mais elle a vraiment des fesses magnifiques.

Normalement Clara aurait dû être contente du compliment, mais elle savait que ce n’était pas vraiment un avantage d’avoir un joli cul comme disait Amélie, ça donnait vraiment trop d’idées aux fesseuses.

Elle sentit les doigts de sa deuxième maman qui séparait ses deux globes, c’était toujours aussi humiliant, la présence de sa mère était une honte supplémentaire. En effet Laurence ne perdait pas une miette du spectacle, la raie largement écartée laissait voir le petit trou en son milieu et plus bas les lèvres humides de la jeune femme. Certes elle connaissait parfaitement l’anatomie postérieure de sa fille mais la voir ainsi exposée avait quelque chose d’émouvant.

Odile prit l’un des deux thermomètres et l’humidifia avec sa bouche, Clara avait les fesses en feu, elle essayait de ne pas les serrer, elle ne savait que trop bien que la sanction serait immédiate. La sévère maman prenait son temps, elle posa le thermomètre sur l’anus bien serré :

— Allez mademoiselle on se relaxe, on relâche son petit trou, tu sais que si le thermomètre ne rentre pas bien, tu vas avoir droit à une fessée supplémentaire et que tu vas le garder beaucoup plus longtemps.



Clara se concentra pour relâcher son sphincter, elle se souvenait de la première introduction du thermomètre. Odile s’était fâchée et ça c’était terminé par une fessée à la brosse à cheveux et deux heures à exposer ses fesses avec l’instrument planté au milieu. Elle sentit la pénétration, Odile se régalait de la honte de la jeune femme, les fesses bien rouges grande ouverte, elle faisait coulisser le thermomètre afin de le rentrer profondément. Laurence était fascinée :

— Tu le rentres aussi profond ?

Odile la regarda en souriant :

— Oui ça surprend toujours un peu la première fois, mais c’est nécessaire pour que la demoiselle le sente bien et puis comme ça, il ne risque pas de ressortir.

En effet seul un petit bout de verre dépassait maintenant, Odile relâcha les deux globes, la raie fessière était maintenant serrée sur l’instrument. La fesseuse tapota les fesses rouges :

— C’est bien tu as été mignonne, mais tu vas quand même le garder un moment.

Elle se tourna vers Laurence :

— Tu veux essayer de le mettre à Clémence ?

La maman de Clara était fascinée par le fessier de sa fille serré sur le thermomètre, l’introduction de l’engin médical avait provoqué chez elle une excitation intime, elle sentait une légère humidité gagner son entre-jambe. Bien sûr elle corrigeait sa fille pour son bien pensait-elle, c’était comme ça qu’elle avait été élevée et elle ne concevait pas d’agir autrement, mais à n’en pas douter comme Odile elle était attirée par les rondeurs féminines et administrer une bonne fessée à Clara après lui avoir baissé la culotte lui apportait une satisfaction quasiment sexuelle, surtout depuis que celle-ci était devenue une jeune femme dotée d’une magnifique croupe.

Elle se leva et se dirigea vers la jeune étudiante qui n’en menait pas large, la contraction de son derrière signait sa crainte de ce qui allait suivre.

Depuis qu’Odile avait instauré ce complément de punition, elle ne parvenait pas à s’y habituer, c’était toujours aussi humiliant, elle avait dû présenter ses fesses bien écartées pour se faire mettre le thermomètre, non seulement par la sévère maman, mais par ses deux filles qui s’étaient régalées de sa honte. Par moment elle regrettait amèrement d’avoir accepté cette colocation avec Clara, bien sûr elle avait quelques compensations. Par exemple quand celle-ci s’occupait d’elle et lui prodiguait des caresses qui la faisaient fondre et Amélie la fille aînée d’Odile savait elle aussi se montrer tendre après lui avoir dûment rougi les fesses.

Maintenant elle suivait Laurence tenue par l’oreille, celle-ci s’installa confortablement dans le fauteuil qui faisait face à celui qu’occupait Odile, en un instant la jeune étudiante se retrouva couchée en travers de ses genoux, la croupe rougie parfaitement exposée, la sévère maman palpa d’une main experte le fessier de Clémence :

— Elle a également une bonne paire de fesses notre petite Clémence.

Elle se tourna vers Odile :

— La dernière fois que j’ai pris la température à Clara, elle devait avoir douze ans, mais c’est comme le vélo ça ne s’oublie pas. Allez ma chérie tu desserres ton petit derrière.

Clémence sentit les doigts de sa nouvelle maman écarter ses deux globes fessiers, comme d’habitude elle était morte de honte, depuis qu’elle avait huit ans, sa mère ne lui prenait plus la température.Il avait fallu qu’elle atteigne ses vingt-deux ans pour subir à nouveau ce traitement humiliant, une vigoureuse claque sur son fessier la fit revenir à la réalité, décidément la mère de Clara avait vraiment la main leste, elle poussa un cri.

— Je t’ai dit de desserrer tes fesses, je ne vais pas le répéter, tu veux encore une fessée ?

Clémence se mit à sangloter, ses fesses étaient déjà brûlantes, elle ne tenait pas à recevoir une nouvelle correction, mais la honte d’exposer ainsi son intimité était trop forte et elle n’arrivait pas à détendre ses muscles fessiers. Laurence regarda Odile avec un petit sourire gourmand :

— Je pense que notre petite Clémence a besoin d’une petite dose supplémentaire.

Elle tendit la main vers son sac à main et en sortit sa broche à cheveux :

— Ma main n’a pas été assez convaincante, voyons si ma brosse aura plus de succès.

Comprenant ce qui allait lui arriver, Clémence se mit à crier :

— Non, non madame, pardon ! S’il vous plaît pas la fessée, non ça brûle trop, regardez je desserre mes fesses, non… Non… Aïe.

La brosse venait de claquer le joli derrière rebondi :

— Trop tard ma chérie, tu vas apprendre à obéir quand maman dit quelque chose, c’est immédiatement que tu dois le faire, je te garantis que tu vas t’en souvenir et que la prochaine fois tes jolies fesses vont s’ouvrir toute seule quand je vais te le demander.



La brosse avait repris sa folle sarabande sur la croupe qui reprenait rapidement une belle couleur rouge foncé, l’absence de culotte permettait aux jambes de remuer sans aucune gêne, les cuisses s’ouvraient largement offrant aux deux mamans fesseuses un magnifique panorama sur l’intimité de la jeune femme.

Clémence criait à tue-tête, son derrière n’était plus qu’un brasier ardent, Laurence s’appliquait à ne laisser aucun endroit de la surface fessière indemne de coups de brosse. Cette fessée allait compter comme une des plus sévères reçue par la jeune étudiante.

Enfin Laurence posa la brosse, elle écarta immédiatement la raie fessière avec deux doigts, un sourire flottait sur ses lèvres, elle prenait réellement du plaisir à administrer la fessée et cette petite lui avait bien tendu la perche :

— Voilà, tu vois ce n’est quand même pas compliqué, si tu t’étais laissé faire tu aurais évité cette fessée supplémentaire.

Le thermomètre suivait son chemin, il disparaissait lentement, Laurence était surprise de la facilité avec laquelle il pénétrait aussi profondément, elle regarda Odile pour guetter son approbation :

— Je continue ?

— Oui encore un peu, il faut qu’elle le sente bien dans son petit trou. Tu as vu, il rentre tout seul, le passage est déjà fait, je leur mets régulièrement.

Effectivement Clémence sentait bien l’engin punitif entre ses fesses, ce n’était pas très douloureux, même plutôt excitant au début quand il coulissait. Ce qui était gênant c’était la soumission imposée et l’exposition de son intimité, maintenant les deux jeunes femmes étaient dans la même position avec chacune un thermomètre profondément enfoncé au milieu de leur derrière, c’est à ce moment-là que Chloé entra dans la pièce.

Même si elle était habituée à ce genre de spectacle elle marqua un petit temps d’arrêt, les deux chipies comme elle les appelait familièrement était dans une position particulièrement désagréable.

Odile la regarda :

— Coucou ma petite chérie, c’est bien tu n’as pas traîné aujourd’hui, tu n’as pas envie de te retrouver comme Clara et Clémence.

La jeune fille rougit légèrement devant l’allusion à une éventuelle punition. Les deux mamans tapotaient distraitement sur les fessiers rougis, Odile continua :

— Tu vas aller nous chercher un petit café.

Chloé ne demanda pas son reste et s’éclipsa dans la cuisine. Laurence était ravie du spectacle offert par Clémence, ses doigts s’égaraient entre les fesses bien rouges et les cuisses. Odile souriait en voyant son manège, Laurence s’en aperçut et piqua un fard, elle essaya de changer de conversation :

— Tu les gardes longtemps comme ça ?

— Ça dépend de la cause de la punition, mais quand je dois leur laisser un moment, je les installe sur le pouf ou sur l’accoudoir du fauteuil. Ça m’arrive de leur faire garder plus d’une heure, je t’assure qu’après ça j’ai toujours des petites jeunes femmes toute mignonnes.

Chloé revenait avec le café, Odile la désigna en souriant :

— Tu vois ma petite chérie ici présente a eu droit à une soirée de pénitence au thermomètre avant-hier et aujourd’hui elle est rentrée à la maison sans traîner. N’est-ce pas Chloé.

La jeune fille avait les joues très rouges autant que les fesses des deux étudiantes, la question de sa mère appelait toujours une réponse, elle baissa les yeux :

— Oui maman…

Odile la regarda en souriant :

— Oui quoi ma chérie ? Explique un peu à Laurence pourquoi tu as été punie et comment maman t’a corrigée.

Chloé connaissait la perversité de sa mère, elle savait qu’elle ne couperait pas à une confession complète, elle avala sa salive :

— J’ai été punie parce que je suis rentrée trop tard à la maison, j’étais allé chez une copine sans prévenir maman.

Laurence appréciait vraiment sa journée, cette petite était vraiment charmante, elle décida de jouer un peu :

— Ah oui et comment ta maman t’as punie ma chérie ?

— Elle… elle m’a donné une fessée…

Odile s’impatientait ;

— Dépêche-toi un peu, sinon je vais faire une démonstration à Laurence, elle pourra constater de visu comment je traite les désobéissantes.

Les joues de Chloé ressemblaient de plus en plus aux joues du bas des deux étudiantes.

— J’ai reçu une fessée déculottée, j’ai été faire mes devoirs et après le repas et j’ai eu le thermomètre toute la soirée.

Elle avait parlé très vite, cette confession semblait lui brûler la bouche, Odile ajouta :

— Tu as oublié la fessée que je t’ai administré avant de te mettre le thermomètre, elle ne devait pas être assez sévère. Eh bien puisque c’est ça tu en auras une tout à l’heure et tu referas un petit séjour sur le pouf avec ton thermomètre préféré. File dans ta chambre faire tes devoirs !

Laurence était sévère et perverse, mais sa nouvelle amie semblait la surpasser, elle lui fit un petit clin d’œil :

— Je vais donc connaître le derrière de ta petite Chloé.

Odile caressa les fesses de Clara :

— Effectivement, ça va être une journée fesses rouges, d’ailleurs à ce propos il faudrait réchauffer celles de nos deux chipies.

Laurence lui lança un regard gourmand :

— Bonne idée, c’est vrai que ça refroidit vite ces petits derrières. On laisse le thermomètre en place ?

— Oui bien sûr, elle le sente mieux comme ça. Brosse où main ?

Laurence passa la main sur le fessier encore bien rouge de la pauvre Clémence, il s’était contracté à l’annonce d’une nouvelle correction :

— Clémence a déjà goûté à la brosse, je pense que ma main va suffire, mais le bon gros derrière de Clara en a besoin, tiens je te prête la mienne.

Elle tendit la lourde brosse à Odile, Clara avait poussé un petit gémissement en entendant sa mère annoncer ce qui l’attendait, sa raie fessière s’était serrée sur le thermomètre. Odile se mit à rire et tapota les fesses avec le dos de la brosse :

— On dirait que mademoiselle Clara a peur pour son pauvre petit cucul. Ma chérie tu le sais pourtant que chaque fois que tu fais une bêtise tu as droit à une déculottée et malgré ça tu recommences.



Bientôt le bruit traditionnel d’une bonne fessée déculottée retentit dans la pièce. Depuis sa chambre Chloé entendait le claquement de la main et de la brosse sur la peau nue des fesses, les cris et les pleurs des deux jeunes femmes la renseignait sur le degré de sévérité de la punition, tout à l’heure ce serait son tour, ce spectacle audio était une petite compensation à ce qui l’attendait ce soir.

Après cette correction, Clara et Clémence furent enfin libérées du thermomètre, Laurence leur donna les instructions :

— Vous allez me faire le grand ménage de l’appartement, je ne veux plus une trace de poussière, tout doit être nickel. Vous restez cul nu, allez exécution.

Une bonne claque sur chacun des derrières accompagna ses paroles.

Les deux sévères mamans continuèrent à papoter, Laurence interrogea Odile sur cette professeure qui donnait des cours à ses filles, la façon dont Amélie avait réagi quand Odile lui avait rappelé son rendez-vous était un peu intrigante.

Ses soupçons se confirmèrent rapidement, Odile lui indiqua que bien sûr elle utilisait les méthodes traditionnelles et que d’ailleurs il lui arrivait d’en faire bénéficier également Clara et Clémence.

Laurence était ravie et intriguée :

— J’aimerais bien la rencontrer cette Brigitte.

Odile eut un sourire énigmatique :

— Elle a une bonne paire de fesses…

Elle attendait la réaction de son amie, celle-ci la regarda surprise et amusée :

— Ah oui ? Tu les as vues de près.

— Ça tu peux le dire et même en détail…

Elle avait volontairement laissé sa phrase en suspens. Laurence semblait de plus en plus intéressée :

— Tu m’en as trop dit ou pas assez, elle a quel âge ?

Odile se régalait de faire mariner sa copine.

— Tu sais que la curiosité est un vilain défaut.

Elle avait agité sa main d’une manière assez explicite, Laurence se mit à rire :

— Oh oui, pardon maman… Bon alors tu me racontes.

Odile la regarda mi-sérieuse, mi-amusée :

— Bon, je vais te raconter, mais méfie-toi, j’ai baissé des culottes pour moins que ça.

Laurence tout à sa curiosité ne remarqua pas la menace voilée.

— Elle a soixante-cinq ans, mais tu sais bien qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée déculottée.

— Tu lui as flanqué une fessée ?

— Oui et je lui ai même baissé la culotte.

Laurence la regardait de plus en plus éberluée ce qui eut le don de faire rire son amie :

— Eh oui, tu ne te rappelles pas l’autre jour quand on s’est téléphoné, je t’ai dit que j’avais une nouvelle grande fille à m’occuper et bien c’est elle, c’est Brigitte. Une prof de français à la retraite qui donne des cours aux filles, mais qui régulièrement vient me montrer ses fesses pour que je m’en occupe. Je l’ai invitée pour cet après-midi, les filles seront sorties on sera tranquille.








Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...