lundi 29 juillet 2024

Deux étudiantes 14

 La punition d’Odile



 

Odile n’était pas fière en arrivant chez sa mère, celle-ci habitait une grande maison avec un beau jardin. Elle se doutait que l’après-midin serait certainement cuisante, depuis combien de temps n’avait-elle pas été punie par Claudine ? Elle se souvenait parfaitement du « traitement antidépresseur » qu’elle lui avait administré lors de sa petite dépression après la naissance d’Amélie. Elle avait reçu pas moins d’une dizaine de fessées déculottées réparties sur trois jours et son état psychologique s’était rapidement amélioré. Sa fille aînée avait maintenant dix-neuf ans, cela faisait donc très longtemps qu’elle ne s’était pas retrouvée couchée sur les genoux de sa mère avec la culotte baissée. Depuis la veille ça ne faisait aucun doute pour elle, quand Claudine lui avait dit « tu peux préparer tes fesses », son intention était claire, il s’agissait de lui administrer une fessée et pour elle ce châtiment, c’était toujours cul nu.

Elle avait quarante-cinq ans et il ne lui était pas venu à l’idée de résister à sa mère, sa sévère éducation avait laissé des traces, quel que soit son âge on obéissait toujours à sa maman.

En traversant le parc, les souvenirs remontaient à la surface, le noisetier où elle devait aller couper des badines qui cingleraient ses fesses, le mur où poussaient toujours des orties, Claudine les utilisait quand elle voulait administrer une punition exemplaire à ses filles. Sur la terrasse, les deux piliers où elle et Ingrid avaient passé de long moment à exposer leur derrière rougi. Comment sa mère allait-elle la punir ?

Elle fut vite renseignée, Claudine avait son regard sévère, le même que celui qu’elle avait quand elle revenait du lycée avec une mauvaise note, elle lui désigna le coin de la pièce, c’était son coin d’ailleurs, il y en avait un réservé pour chacune des filles de la maison :

— Tu baisses ta culotte et tu files au coin, tu vas réfléchir à la raison de ta présence ici !

Odile s’attendait à une simple fessée, mais sa mère avait semble-t-il des intentions plus sévères. Elle ne protesta pas, elle glissa ses mains sous sa jupe et baissa sa culotte à mi-cuisse. Sa mère l’avait suivi, elle retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture, les larges fesses blanches de la sévère mère de famille étaient désormais mises à nu, elles étaient serrées par l’appréhension. 



Une magistrale claque atterrit en plein milieu du magnifique derrière :

— Mets tes mains sur la tête et colle bien ton nez contre le mur, je pense que tu n’as pas oublié.

Oh non elle n’avait pas oublié, même si la dernière fois où elle avait posé son nez contre ce mur remontait à dix-neuf ans en arrière, le temps semblait s’être arrêté, elle s’en souvenait comme si c’était hier. L’air frais sur ses fesses lui rappelait sa condition, combien de temps allait-elle rester là, Claudine n’avait pas l’air pressée. Ce qu’elle craignait le plus arriva, la sonnette de la porte d’entrée retentit et elle entendit sa mère sortir. Elle était inquiète, mais elle ne pouvait imaginer que malgré sa sévérité celle-ci fasse entrer quelqu’un dans le salon. Soudain elle se raidit et colla encore plus son nez cotre le mur, elle aurait voulu rentrer sous terre, des voix se rapprochaient, Claudine parlait à quelqu’un :

— Venez, je vais chercher mon chéquier.

Une voix féminine répondit :

— Ça ne presse pas, vous savez.

La porte s’ouvrit et Claudine ajouta :

— Entrez donc, ne faites pas attention, j’étais en pleine conversation avec ma fille, mais elle va patienter un peu.

Un petit cri de surprise retentit derrière Odile :

— Eh bien, si je m’attendais. Vous utilisez encore les bonnes vieilles méthodes.

La sévère maman qui troussait et baissait les culottes de ses filles et des deux étudiantes n’en menait pas large, ses larges fesses bien blanches étaient serrées en un bloc compact. Elle entendit le petit rire de sa mère :

— Oui, il n’y a pas d’âge pour se faire baisser la culotte, madame l’a appris à ses dépens. Maintenant elle médite à ses bêtises.

La voix était jeune, Odile sentait ses yeux rivés sur son bon gros derrière comme disait sa mère :

— Oh je le sais, maman me le dit souvent. Si je ne suis pas indiscrète qu’a donc fait cette dame pour avoir été mise au coin les fesses à l’air ?

— Elle a mal parlé à sa maman. Mais à ce que je comprends, votre maman utilise les mêmes méthodes.

— Euh… oui madame.

Soudain Odile, malgré sa honte et son désir de rentrer littéralement dans le mur, reconnu cette voix, non ce n’était pas possible pas elle… Claudine continuait :

— C’est pour ça que vous êtes si polie, l’éducation stricte à du bon ma petite Émilie.

Odile venait d’avoir la confirmation de ce qu’elle craignait, c’était bien la jeune maraîchère qui venait lui livrer les paniers de légumes, elle l’avait recommandé à sa mère. « Mon dieu, faite qu’elle s’en aille, s’il vous plaît ».

Hélas le souhait d’Odile avait peu de chances d’être exaucé, Claudine savait comment punir correctement et la honte faisait partie de la punition.

— Vous avez cinq minutes ma petite Émilie ?

Les fesses de la sévère maman se contractèrent un peu plus, la réponse tomba :

— Oh oui, j’ai fini ma tournée.

— Eh bien c’est parfait, la leçon n’en sera que plus profitable. Odile remonte ta culotte et vient me voir !

Le ciel tombait sur la tête de la fesseuse punie. Elle n’osa pas désobéir, même si elle était devenue une maman sévère, son éducation stricte lui interdisait de résister à sa mère. Elle remit sa culotte en place et lentement se tourna, elle fixait le sol pour ne pas croiser le regard de la jeune femme. Celle-ci poussa un petit cri en la reconnaissant :

— Oh, madame Odile, si je m’attendais à ça ?

Odile avait les joues très rouges, elle ne disait rien, elle fixait toujours ses chaussures, c’est Claudine qui reprit la parole.

— Il n’y a plus de madame Odile, quand on est une vilaine fille qui reçoit encore la fessée, on n’a pas droit à ce titre. Tu pourrais dire bonjour, ou faut-il que je t’aide !

La pauvre Odile atteignait le fond de l’humiliation, elle avait les larmes aux yeux, elle bredouilla :

— Pardon… bon… bonjour Émilie. Aïe, aïe…

Deux solides claques venaient d’atterrir sur son fessier.

— Quand on est polie, on dit mademoiselle, répète !!!

— Euh… Aïe, aïe, aïe… pardon, bonjour mademoiselle Émilie.

La main de Claudine avait encore claqué la large croupe de sa fille pour l’inciter à obéir plus rapidement :

— Décidément, tu as vraiment besoin d’une sérieuse reprise en main. Viens ici, mademoiselle Émilie va pouvoir assister à ta fessée déculottée.

En un clin d’œil l’impensable se produisit devant les yeux intéressés de la jeune femme. La maman si sévère qui n’hésitait jamais à trousser et à déculotter ses filles devant elle se retrouvait en position disciplinaire, la tête près du sol, les pieds décollés et la croupe pointant vers le ciel. La jupe était déjà retroussée, la culotte rose ornée de dentelle moulait le large fessier. Émilie ne l’avait pas remarqué jusqu’à présent, mais Odile avait une magnifique paire de fesses, un beau derrière bien large, confortable aurait dit sa mère qui avait la main leste. Claudine regarda la jeune femme en souriant :

— Il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée cul nu par sa maman, n’est-ce pas ? Je crois même que c’est de plus en plus efficace avec les années qui passe. Ma petite Odile va nous montrer ses fesses, elle va avoir bien honte et elle ne recommencera plus.

La culotte descendait inexorablement, Claudine prenait son temps, Émilie était fascinée par le spectacle, elle sentit qu’elle mouillait. La lingerie était arrivée à mi-cuisse, les fesses de la sévère maman redevenue une gamine était serrée, sa mère les tapota :

— Allez, tu me desserres ces fesses, de toute façon tu vas l’avoir ta déculottée et je te promets que tu vas t’en souvenir longtemps.

Elle se tourna vers la jeune maraîchère :

— Madame ne fait plus la fière, elle croyait qu’elle était trop grande pour se faire baisser la culotte. Votre présence rend la punition encore plus efficace.

Elle écarta un peu les cuisses d’Odile pour la forcer à desserrer ses fesses, c’était trop pour la sévère maman, elle se mit à pleurer :

— Pardon, maman, s’il te plaît, non pas ça… Aïe, aïe, aïe…

La main de Claudine venait de claquer l’arrière des cuisses :

— Comment ? Qu’est-ce que j’entends. Non mais c’est pas vrai, tu crois encore que c’est toi qui décides ? Quand on est dans ta position, les fesses à l’air, on ne dit rien !

La main continuait de claquer les cuisses qui devenait rouge rapidement :

— Tu écartes les cuisses et vite ! Je veux qu’Émilie voie bien tes fesses !

Avec deux doigts elle écarta les deux globes pour mettre à jour la large raie fessière.

— Voila tu as bien honte j’espère, ne t’inquiète pas je n’en ai pas fini avec ton petit trou, mais pour le moment, on va échauffer ton bon gros derrière.

Émilie était sidérée par la sévérité de Claudine, elle comprenait mieux la stricte éducation qu’Odile imposait à ses filles et aux deux étudiantes, elle avait été à bonne école.



Maintenant la fessée retentissait dans la pièce, les claques atterrissaient avec une force et une vitesse remarquable sur la belle croupe, elle fut rapidement écarlate. Odile gigotait, sur les genoux de sa mère comme une gamine punie, elle donnait des coups de pieds dans le vide ses fesses s’ouvraient toute seules maintenant, ce fut une magistrale correction. Depuis dix-neuf ans, elle n’avait pas reçu de fessée déculottée, en une seule fois Claudine semblait vouloir rattraper le temps perdu, elle s’appliquait à n’oublier aucun morceau de la surface fessière. Odile pleurait à chaude larme, elle suppliait sa mère d’arrêter la punition, promettait d’être sage ce qui faisait sourire la jeune spectatrice. Décidément une bonne fessée déculottée avait vraiment des pouvoirs extraordinaires, transformer en quelques instants une sévère mère de famille en une gamine éplorée, pleurant et se tortillant sur les genoux de sa fesseuse.

Toutes les bonnes choses ont une fin, la correction cessa et en pleurs, tenue par l’oreille, la culotte entortillée autour de ses chevilles, Odile regagna son coin. Elle mit immédiatement ses mains sur sa tête.

La punition publique était terminée mais Claudine n’en avait pas fini avec ses fesses. Émilie prit congé.

Odile avait littéralement le feu aux fesses, elle pleurnichait dans son coin, elle savait que le lendemain elle allait devoir affronter le regard de la jeune femme quand elle viendrait lui livrer des légumes.

Sa mère était au téléphone avec sa sœur, Jacqueline la tante d’Odile était aussi sévère que Claudine, elle était vieille fille et n’avait pas d’enfant, elle s’était donc souvent occupée des deux sœurs et comme leur mère elle ne s’était pas gênée pour les déculotter à chaque fois qu’elle jugeait nécessaire de sévir.

Claudine était tellement contente d’avoir redécouvert le plaisir de rougir une paire de fesses qu’elle voulait en faire profiter Jacqueline :

— Coucou, c’est moi. Tu ne devineras jamais qui est au coin du salon avec les fesses bien rouges ?

— …

— Allez je te donne un indice, tu connais son derrière et il est bien potelé.

— …

— Non, non pas, Amélie, oui elle a de jolies fesses, mais celles-là sont plus matures, si tu vois ce que je veux dire…

— …

— Non, pas Ingrid, mais tu brûles… Des fesses un peu plus âgées…

— …

— Oui, c’est ça, notre petite Odile vient de recevoir la fessée déculottée qu’elle méritait depuis longtemps, et je te promets qu’elle a été magistrale, son gros derrière est bien rouge et je ne vais pas m’arrêter là.

— …

— Mais oui bien sûr, si elle la mérite, surtout ne te gêne pas, tu la déculottes et tu lui flanques la fessée, pour Ingrid c’est pareil, à partir d’aujourd’hui on repart sur de bonnes bases. Ces deux chipies vont à nouveau nous montrer leurs fesses.

Odile était atterrée d’entendre sa mère parler d’elle à sa tante comme si elle était encore une gamine. Elle se souvenait de Jacqueline et de sa perversité, elle détestait aller en vacances chez elle. Les châtiments corporels étaient la règle et même si elle savait se montrer câline, son niveau d’exigence était tel qu’il ne se passait pas un jour ou l’une des deux sœurs et souvent les deux se retrouvent la jupe troussée et la culotte aux chevilles en train de brailler sous l’effet d’une magistrale fessée déculottée, s’ensuivait inexorablement de longs moments au coin les fesses nues et bien rouges.



Les déculottées avaient lieu quel que soit l’endroit et la présence de public n’était en aucun cas un obstacle à l’administration du châtiment. Ingrid et Odile avaient eu l’honneur de montrer leurs derrières à d’innombrables personnes dans le village où mademoiselle Jacqueline officiaient en tant qu’institutrice.

La perspective de devoir à nouveau se plier à la redoutable autorité de sa tante n’avait rien de réjouissant. Surtout que dès qu’elle eut raccroché, Claudine lui annonça que tatie Jacqueline s’était invitée pour la semaine suivante, elle ajouta en riant :

— Ça lui tarde de revoir à nouveau les jolies fesses de ses nièces.

Elle s’était approchée de sa grande fille et elle lui palpait les fesses :

— Elles sont bien chaudes, mais je pense que tu te rappelles que quand maman n’est pas contente, une petite fessée déculottée ne suffit pas. Viens un peu par ici.

Elle avait saisi l’oreille de sa fille et elle la conduisit à la cuisine. Elle désigna une chaise :

— Tu vas t’asseoir, j’ai un petit travail à te confier.

Odile un peu inquiète posa délicatement son large fessier brûlant sur le siège, sa petite grimace fit sourire sa mère :

— On a mal à son petit cucul ?

Elle posa une racine de gingembre et un couteau devant Odile :

— Tu vas préparer toi-même ton suppositoire au gingembre, tu le fais bien gros, ton derrière est plus large que celui de Chloé, il faut que tu le sentes bien. De toute façon si ça ne me convient pas tu recommenceras et tu auras droit à une fessée supplémentaire en prime. Dépêche-toi, on ne va pas y passer la journée !

Odile, rouge de honte s’attela à sa tâche, c’était un dilemme, elle craignait un trop gros suppositoire dans ses fesses et le faire trop petit l’exposait à une nouvelle punition. Elle opta pour le moyen terme, sculptant dans la racine de gingembre un suppo de taille moyenne qu’elle trouvait quand même un peu gros pour pénétrer dans son petit trou.

Claudine vaquait à ses occupations en la surveillant du coin de l’œil, quand elle vit que sa fille avait terminé, elle approcha en souriant, puis saisit avec deux doigts le suppositoire de gingembre :

— Tu te moques de moi. Viens un peu par ici.

Elle avait saisi Odile par l’oreille et l’avait conduit devant la glace du salon, elle la fit pivoter pour que ses fesses se reflètent dans le miroir :

— Tu vois bien ton gros derrière ? Et tu penses que ce ridicule petit suppo va suffire à le garnir ?

Elle avait pris soin de saisir une cuillère en bois avant de quitter la cuisine :

— Je t’avais prévenue !

Elle ceintura Odile la courba sous son bras comme une vulgaire gamine et leva la cuillère en bois qu’elle abattit une vingtaine de fois sur la large croupe, celle-ci reprit rapidement une magnifique couleur pourpre. La maman fessée, trépignait sur place et hoquetait sous la cuisson :

— Noon… Aïe, Aïe… Ça brûle maman, non, non pardon maman…



Odile n’était plus une dame de quarante-cinq ans, mais une fillette punie sévèrement par sa maman pour une désobéissance.

Claudine la relâcha enfin :

— Tu files te remettre au travail et vite et gare à toi si la taille ne me convient pas.

En reniflant, Odile reposa délicatement son fessier endolori sur la chaise et recommença à préparer l’instrument de sa punition. Quand elle eut fini, elle le contempla avec angoisse, ce gros plug allait pénétrer dans son petit trou du cul comme disait Claudine. Celle-ci sembla satisfaite, elle saisit le suppo de gingembre et l’épointa légèrement et fit une encoche à la base afin qu’il reste bien coincé entre les fesses de la punie :

— Voilà un bien joli suppositoire, tu vas voir comme ton petit trou va être content de l’accueillir :

Claudine souriait en tenant l’engin entre ses doigts, elle fit lever Odile et prit sa place sur la chaise :

— Allez ma petite chérie, il est temps de passer à la suite de ta punition, en position que je voie bien tes fesses.



Odile avait les larmes aux yeux, décidément sa mère n’avait rien perdu de sa sévérité, elle se coucha sans discuter en travers de ses cuisses, elle sentit à sa grande honte qu’elle écartait ses fesses avec deux doigts :

— Allez ma chérie, détends-toi un peu. Il faut que tu te laisses faire. Tu sais que maman n’aime pas quand tu serres les fesses. Voilà c’est bien.

Odile savait que sa mère n’hésiterait pas à lui claquer à nouveau les fesses et même si elle avait peu d’illusion, elle espérait en étant docile diminuer sa punition. Claudine de son côté savourait la nouvelle attitude de sa grande fille, décidément elle n’aurait jamais dû arrêter d’utiliser les bonnes vieilles méthodes. Même adultes, ses filles avaient besoin d’une main ferme pour les guider. Les fesses largement écartées offraient une vue parfaite sur l’intimité de la maman punie, sa raie fessière, la rondelle brune de l’anus et plus bas la vulve gonflée. Claudine passa son doigt au fond de la raie médiane, les fesses se contractèrent légèrement, elle s’attarda sur le petit trou central en le titillant :

— Détends-toi ma chérie, je sais que ce n’est pas très agréable à ton âge d’exposer tes fesses comme ça, mais la prochaine fois tu réfléchiras avant de mal parler à ta maman.

Elle posa le suppositoire sur l’orifice et le poussa doucement, Odile se mit à gémir :

— Oh, non, non… maman…

Claudine souriait devant le désarroi de sa grande fille redevenue une adolescente soumise :

— Quoi donc ma chérie ? Tu ne veux pas que maman te mettes le suppo dans les fesses ?

Inexorablement, celui-ci pénétrait, soudain la brûlure commença et Odile se mit à supplier :

— Maman, maman… Non, non… ça brûle… non…

Elle avait oublié comment le gingembre pouvait être douloureux elle compatissait soudain au sort de Chloé, elle avait littéralement le feu au derrière, elle battait des pieds désespérément, elle ne pouvait pas serrer ses fesses que sa mère tenait toujours largement écartées. Le suppositoire avait quasiment disparu dans le fondement de la punie, Claudine tapota la croupe rougie :

— Voila, il est bien place, ce n’est pas la peine de vouloir le faire sortir, tu vas le garder un bon moment, je te promets qu’après ça tu n’auras plus envie de mal me parler. Maintenant passons à la fessée.

Odile se mit à pleurer de plus belle :

— Noon… Noon… pas la fessée, pardon maman…

Claudine se mit à rire :

— Et pourquoi donc pas la fessée, on dirait que tu as oublié ce qui arrive quand on est impolie. Quand une jeune fille parle mal, elle a droit à un bon gros suppositoire au gingembre dans son derrière et à une bonne fessée déculottée sur ses bonnes grosses fesses de vilaine fille !

Odile s’en souvenait bien sûr, mais on espère toujours échapper à la punition, soudain elle poussa un cri, sa mère venait de commencer la fessée. Elle avait pris à nouveau la cuillère en bois et méthodiquement elle claquait les larges fesses qui tressautaient à chaque coup. La pauvre maman ne savait plus ce qui était le plus douloureux, la brûlure du suppositoire dans son fondement ou la cuisson de son fessier. Claudine tout à sa joie d’avoir à nouveau autorité sur sa fille n’était pas disposée à l’indulgence, la correction fut sévère. La belle paire de fesses d’Odile était maintenant écarlate du bas des reins jusqu’à l’arrière des cuisses, elle se serrait convulsivement ce qui augmentait la brûlure du suppositoire, c’était le but, rendre cette punition exceptionnellement cuisante. Enfin la sévère matrone reposa la cuillère et caressa les fesses brûlantes :

— Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée. Tu recommenceras encore à mal parler à maman ?



Odile sanglotait, une petite claque sur son derrière brûlant la ramena à la réalité, il lui fallait répondre, comme une gamine obéissante :

— Non, non maman promis… pardon… ça brûle…

En effet si la fessée était terminée, le redoutable suppositoire de gingembre continuait son effet. Claudine souriait, sa grande fille allait se souvenir longtemps de cet après-midi et nul doute qu’elle serait docile à l’avenir. Elle tapota la croupe cramoisie et fit coulisser légèrement le suppositoire :

— Je sais ma chérie, c’est fait pour ça la fessée déculottée et tu vas garder ce suppositoire un moment pour que la sagesse rentre bien dans ton derrière, maintenant tu vas aller au coin.

Odile se remit à pleurer :

— Oh non maman, s’il te plaît plus le suppositoire, non… aïe, aïe.

La main de Claudine avait repris du service, une nouvelle fessée crépita dans la pièce :

— Qu’est-ce que c’est que ces manières ! Ah tu ne veux pas obéir et bien tu vas voir…

Odile reçut donc une fessée supplémentaire, elle hurlait et se débattait mais bien maintenue par sa mère, ses fesses reçurent leur dû.

Claudine la relâcha enfin et la fit de redresser :

— Maintenant tu files au coin et je ne veux plus t’entendre. Mets tes mains sur la tête et ton nez contre le mur !!

Odile était vaincue, elle s’empressa d’obéir, la sentence tomba :

— Puisque tu as l’intention de raisonner et bien tu vas garder ce suppositoire pendant une heure, tu auras le temps de méditer à ta conduite.

C’était sans doute la plus sévère punition qu’elle ait jamais reçue, seule sa sœur Ingrid avait dû garder le gingembre aussi longtemps dans son derrière, mais elle n’avait pas reçu autant de fessée qu’Odile avant d’aller au coin.



 

 

 

 

 

 

 

jeudi 25 juillet 2024

Hubert 3

Punition publique



Hubert n’était pas très fier en arrivant à la maison, Valérie l’avait prévenu par SMS, ton bureau n’est pas rangé, tu sais que je supporte pas le désordre tu peux préparer tes fesses.

Sa tendre et douce ne plaisantait pas avec la discipline et le rangement, il n’avait pas eu le temps ce matin, il comptait s’y mettre en rentrant avant qu’elle ne s’en rende compte.

Quand il entra dans la pièce son sang se glaça, Valérie prenait le thé avec trois amies, il les connaissait bien, elles étaient au courant de la façon dont son épouse réglait les problèmes à la maison et son goût pour les méthodes d’éducation traditionnelle.

Elle ne se gênait pas, quand il fallait le punir, pour le déculotter et le fesser d’importance même devant elle si c’était nécessaire.

Elle l’accueillit avec un petit sourire qui en disait long sur ses intentions :

— Bonsoir mon chéri, c’est bien tu n’as pas traîné en route. Ça ne t’évitera pas la correction que tu mérites, mais au moins elle ne sera pas augmentée.

Hubert était rouge jusqu’aux oreilles, même si les dames présentes étaient au courant de la situation, se faire menacer devant elles d’une punition tel un gamin qui rentre de l’école était particulièrement humiliant. La suite serait pire, mais il ne le savait pas encore, son épouse continuait :

— Tu vas voir Caroline elle t’attends à l’office, elle va se charger de toi.

C’était encore pire que ce qu’il craignait, la jeune employée de maison secondait de temps en temps Valérie quand celle-ci était trop occupée pour corriger son mari. Elle l’utilisait également pour augmenter le caractère humiliant de la punition, en effet Caroline était tout juste âgée de 22 ans et se faire corriger tel un gamin par une aussi jeune femme était le comble de la honte pour Hubert.

La jeune femme s’était vite adaptée à ce rôle de seconde maman, elle était habituée aux fessées puisque malgré son âge sa tante n’hésitait pas à la coucher en travers de ses genoux et à lui baisser la culotte pour lui rougir le derrière quand c’était nécessaire.

Elle faisait montre d’une sévérité remarquable quand il s’agissait de punir « monsieur ».

Il frappa à la porte et attendit le cœur battant, ses fesses étaient déjà serrées. Caroline le fit entrer, un grand sourire illuminait son visage, depuis que madame lui avait demandé de la seconder dans la reprise en main de l’éducation de son mari, elle s’était découvert une passion pour la fessée et les châtiments corporels.

— Ah vous voilà, approchez !!

Le regard était devenu sévère, dès que le monsieur redevenu un gamin fut à sa portée elle le saisit par l’oreille :

— Venez avec moi.

Elle le conduisit jusque dans sa chambre :

— Vous enlevez votre pantalon !

Hubert se pressa, il commençait à connaître la jeune femme et sa sévérité. Caroline fouilla dans sa commode et en sortit une de ses culottes, une classique petite culotte blanche en coton ornée de dentelle au niveau des cuisses. Elle regarda avec un petit sourire ce monsieur en sous vêtement avec les joues très rouges :

— Enlevez votre culotte et mettez celle-là. Aujourd’hui, c’est culotte de punition, vous l’avez bien cherché, comptez sur moi mon petit ami, vous allez regretter votre paresse. Madame m’a demandé de vous soigner, je ne vais pas la décevoir.

Hubert résigné enleva son boxer, il avait bien remarqué que la jeune femme lui avait dit d’enlever sa culotte, comme s’il était encore un gamin. Caroline lui tendit le sous-vêtement féminin.

Elle avait une croupe rebondie, mais la culotte eut du mal à cacher le fessier d’Hubert. Son derrière débordait largement laissant voir le pli fessier et le bas de sa croupe. Caroline le fit pivoter pour admirer son anatomie postérieure :

— C’est parfait vous êtes très mignon, vous garderez cette culotte toute la soirée.

Elle s’installa sur une chaise et fit un petit signe à Hubert :

— En position, je vais m’occuper de votre derrière.

Docilement le monsieur, se coucha en travers des genoux de la jeune femme, la différence d’âge n’y faisait rien c’était lui le puni, et il allait recevoir ce châtiment enfantin. Elle palpa le fessier tendu sous la culotte, la position et l’étroitesse du sous-vêtement le faisait rentrer dan la raie médiane découvrant à moitié la croupe :

— On va commencer par une fessée d’échauffement sur la culotte.

Caroline leva la main et commença à claquer très fort le derrière d’Hubert, en fait d’échauffement, c’était une vraie fessée qu’il recevait, la jeune bonne visait surtout la base des fesses qui était dénudée. Le puni commença rapidement à gémir et à se tortiller sur les genoux de la jeune femme qui se mit à rire :

— Monsieur à chaud à son popotin on dirait ? Continuer à gigoter comme ça, c’est très mignon.

Hubert s’était juré de rester stoïque, mais la brûlure commençait à gagner ses fesses il ne put s’empêcher de pousser des petits cris. La rougeur dépassait maintenant de la culotte, Caroline décida qu’il était temps de passer à la vraie fessée déculottée Elle glissa ses doigts dans la ceinture du sous-vêtement et le fit glisser sur les fesses :

— On va examiner ce bon gros derrière, voilà cul nu comme un sale gosse, c’est tout ce que vous méritez !

Elle baissa la culotte à mi-cuisse puis elle reprit la correction, les claques étaient uniformément réparties, Caroline procédait comme sa tante quand celle-ci s’occupait de lui rougir les fesses, la fesse droite puis la gauche, le centre de la fesse puis la base et ensuite le haut des cuisses et ainsi de suite sans s’arrêter aux supplications du puni, à ses battements de jambes ou à ses pleurs. 



Quand elle cessa la fessée, l’intégralité de la croupe était d’un beau rouge profond. Elle fit relever Hubert, des larmes coulaient sur ses joues, elle lui montra le bureau :

— Allez me chercher la règle plate, je pense que vos grosses fesses ont besoin d’un peu plus que ma main pour être bien corrigées.

Tête basse, Hubert se dirigea vers la table, ses fesses écarlates dodelinaient au rythme de la marche, c’était vraiment très excitant, Caroline était ravie de son nouvel emploi. Il revint tout penaud et tendit l’instrument de sa punition à la jeune femme. Celle-ci lui jeta un sourire coquin et fit claquer la règle dans la paume de sa main :

— Ça va claquer sur ton derrière mon petit ami, tu aimes bien quand Mademoiselle Caroline te flanque la fessée cul nu n’est-ce pas ?

Elle était passée naturellement au tutoiement, après tout ce monsieur qui lui présentaient ses fesses était plutôt un gamin qu’un cadre dirigeant dans une grande entreprise. La question attendait une réponse, la règle claqua la cuisse droite :

— Alors ? Tu aimes venir te faire rougir les fesses ?

— Non, aïe, aïe, pardon mademoiselle, ça brûle !!!




Caroline l’avait fait pivoter et lui avait claqué une dizaine de fois le fessier rougeoyant :

— Ah tu n’aimes pas que je te flanque la fessée ? Pourquoi fais-tu des bêtises alors ? Tu sais pourtant comment ça fini à chaque fois, déculotté en travers de mes cuisses et les fesses bien rouges. Moi je crois que tu dois quand même bien aimer me présenter ton derrière. Eh bien je vais te faire plaisir, allez en piste et vite !!

Elle bascula brutalement le pauvre Hubert, sa tête touchait presque le plancher, ses pieds étaient décollés du sol et ses fesses pointaient honteusement vers la jeune femme. Il se retrouvait dans la même position que quand il était gamin et que sa mère le punissait, sauf que la maman aujourd’hui avait tout juste 22 ans. La règle s’abattit avec un bruit sec sur les fesses. La cuisson devint rapidement insupportable et Hubert éclata en sanglot. Caroline était satisfaite, une bonne fessée déculottée se finit toujours par les pleurs du puni. Elle continua quand même à claquer le derrière écarlate, elle ne voulait pas abréger son plaisir et puis monsieur avait besoin d’une bonne leçon. Elle posa enfin la règle et caressa les fesses, elles étaient brûlantes, elle souriait, satisfaite du résultat, elle remonta la culotte sur le derrière rougeoyant comme l’aurait fait une maman :

— Voilà, c’est fini pour moi, tu vas aller montrer tes fesses à madame, je crois que tu n’en as pas terminé avec ta punition.

Elle le fit relever et lui désigna la porte :

— Dépêche-toi ! Oui tu restes en culotte de punition, c’est la tenue adaptée à ton cas.

Elle administra une claque sèche sur le derrière culotté et regarda Hubert se diriger vers le salon, la rougeur de ses fesses débordait de la culotte et descendait sur le haut des cuisses. Ainsi tout le monde pouvait constater que ce monsieur aux yeux rougis venait de se prendre une magistrale correction.

Il entra tête basse dans la pièce, Valérie avait donc invité trois de ses amies à prendre le thé et accessoirement à assister à la punition de son mari.

Il y avait Jeanne une professeure de français, âgée de 50 ans, Laetitia une jeune voisine, comptable âgée de 30 ans et Marie une médecin âgée de 55 ans.

Elles étaient toutes au courant de la condition d’Hubert et de la façon dont Valérie réglait les problèmes à la maison. Elles avaient toutes assisté au moins une fois à une correction du mari de la maîtresse de maison.

Elles sourirent en voyant ce monsieur, les joues rouges portant une petite culotte blanche féminine, Valérie l’accueillit en plaisantant :

— Alors mon petit ami, Caroline s’est bien occupée de toi ? On va vérifier ça, approche et tourne-toi.

Hubert s’exécuta, Valérie le plaça de tel façon qu’il tourne le dos aux trois spectatrices. Elles purent admirer les fesses moulées dans la culotte, la base du derrière écarlate ainsi que le haut des cuisses.

— À ce que je vois, elle t’a bien soigné, voyons ça de plus près.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture et baissa la culotte sous les fesses. Les trois dames poussèrent un petit “oh” de surprise en découvrant la croupe cramoisie. La jeune bonne s’était surpassé, Valérie palpa le fessier de son mari :

— C’est parfait, mais pas suffisant, rassure-toi, maman Valérie va s’occuper aussi de ton bon gros derrière. Tu vas aller te mettre au coin, le temps que je finisse mon thé.

Hubert connaissait ce rituel d’avant correction, il se dirigea vers le coin de la pièce, posa son nez contre le mur et mit ses mains sur sa tête. L’endroit où il se trouvait n’était pas choisi au hasard, les quatre spectatrices avaient une vue parfaite sur son fessier sans avoir besoin de tourner la tête.

Valérie reprit la conversation sans plus se soucier du monsieur de 50 ans qui exposait sa croupe cramoisie aux yeux de trois dames comme si c’était une situation normale. Bien sûr la discussion portait sur les bienfaits d’une éducation stricte et la nécessité d’utiliser la fessée déculottée même et surtout chez un adulte.

Jeanne la professeure de français regrettait de ne plus pouvoir l’utiliser sur ses grandes élèves. Elle était divorcée et elle leur avoua que si elle avait su, elle aurait utilisé cette méthode avec son ex, ça aurait certainement sauvé son couple. Marie jetait un regard intéressé au fessier d’Hubert, elle était lesbienne mais n’était pas insensible au charme de ses fesses rebondies et bien rouges, elle en fit la remarque à Valérie :

— Ton petit chéri à vraiment une jolie paire de fesses, avec sa petite culotte blanche on dirait un derrière de fille.

Elle jeta un regard gourmand vers Laetitia, la jeune femme possédait une magnifique croupe et elle n’était pas insensible aux avances de la sévère docteure.

Elle demanda innocemment :

— Tu vas le laisser longtemps au coin ?

Valérie se mit à rire :

— Tu es si pressée de le voir gigoter sur mes genoux ? Ça va venir rassure-toi, mais il faut que son fessier refroidisse un peu, l’administration d’une deuxième correction sur des fesses rouges mais moins brûlantes et encore plus douloureux, c’est le but d’une bonne punition n’est-ce pas ?

Hubert contractait ses fesses pour essayer d’atténuer la cuisson, la suite s’annonçait difficile pour lui.

Valérie l’appela enfin :

— Remonte ta culotte et viens me voir.

Il s’exécuta, il savait que ses fesses n’allaient pas rester longtemps cachées, son épouse adorait le déculotter une fois qu’il était allongé en travers de ses cuisses.

Elle le prit par la main et le fit basculer sur ses genoux, il se retrouvait à nouveau en position disciplinaire mais cette fois, en public. Valérie lui avait déjà imposé l’humiliation d’une punition publique mais c’était la première fois qu’il y avait autant de spectatrices. Se faire baisser la culotte fut donc une épreuve supplémentaire, il savait que quatre paires d’yeux étaient braqués sur son fessier. Contrairement à tout à l’heure où elle l’avait déculotté rapidement pour constater les résultats de la correction de Caroline, la sévère épouse prit son temps, la culotte glissa lentement sur la croupe, elle la descendit à mi-cuisses. Ses trois amies avaient une vue parfaite sur le fessier d’Hubert, elle tapota le derrière encore bien rouge :

— Alors mon petit chéri, j’espère que tu commences à comprendre que je ne tolérerai plus aucune désobéissance, je pense qu’après la correction que tu vas recevoir tu n’auras pas envie de recommencer.

Elle leva la main et commença à claquer les fesses tendues devant elle. La paume bien ouverte, elle frappait à toute volée le derrière de son mari redevenu un gamin puni par sa maman. Si la cuisson n’avait pas été si forte, il aurait repensé à la correction que sa mère lui avait administrée un jour qu’elle l’avait surpris à fumer, la présence de la voisine et de sa grand-mère ne l’avait pas gênée pour lui flanquer une bonne fessée déculottée et l’envoyer au coin avec les fesses bien rouges.

Pour le moment il était loin de ses pensées, il gigotait honteusement sur les genoux de Valérie, ses pieds battaient l’air désespérément et rapidement il se mit à gémir. La sévère fesseuse avait raison la deuxième fessée était encore plus douloureuse quand on laissait un peu refroidir le derrière.

Les trois spectatrices étaient impressionnées par la sévérité de la punition, mais elles n’étaient pas au bout de leur surprise. Valérie cessa la fessée et fit relever le puni :

— Va me chercher la brosse à cheveux dans la chambre.

En pleurnichant mais sans oser frotter sa croupe brûlante, Hubert sortit de la pièce en exposant ses fesses cramoisies qui dodelinaient au rythme de ses pas. Laetitia se mit à rire :

— Quel cul bien rouge, tu ne l’as pas loupé, tu vas le fesser avec la brosse ?

Valérie la regarda en souriant :

— La nature l’a doté d’une bonne paire de fesses, une fessée manuelle est largement insuffisante pour lui remettre les idées en place.

Jeanne approuva :

— Ma grand-mère disait que les consignes rentraient mieux par les fesses que par les oreilles.

Marie regarda Laetitia en riant, et ses yeux descendirent vers son postérieur :

— Les fesses bien rebondies attirent toujours la fessée, tu devrais faire attention ma chérie.

La jeune femme piqua un fard, heureusement pour elle, Hubert revenait avec l’instrument de sa punition. Quelques secondes plus tard, il hurlait et se débattait sous l’effet de la brûlure intense infligée à son fessier par la brosse.



Valérie ne tenait bien sûr aucun compte des supplications et des pleurs de son mari, il avait mérité cette correction, elle irait à son terme. Une centaine de coups de brosse s’abattirent sur les fesses du pauvre Hubert, elles étaient d’un rouge profond et gonflée quand elle l’autorisa à se relever :

— Tu vas aller montrer tes fesses à ces dames, pour qu’elles puissent voir comment je traite les désobéissants.

Penaud et pleurant encore, il se présenta pour commencer devant Laetitia, elle passa sa main sur les fesses écarlates :

— Olala que c’est chaud, penche-toi un peu mon garçon.



Elle avait vingt ans de moins qu’Hubert mais ça n’avait plus aucune importance, il n’était plus qu’un vilain garnement corrigé en public. Elle claqua sèchement le fessier à une dizaine de reprises :

— J’espère que ton vilain derrière te brûle. Recommenceras-tu à faire des bêtises ?

Elle prenait au sérieux son rôle de spectatrice sévère, Hubert savait qu’il lui fallait répondre malgré sa honte, en gémissant il réussit à parler :

— Non, non mademoiselle, promis je ne désobéirai plus.

La jeune femme satisfaite lui claqua une nouvelle fois les fesses :

— Va voir Jeanne !

Il se déplaça vers la sévère professeure, elle souriait ravie de pouvoir satisfaire ses pulsions. Elle prit la main du puni et sans façon le fit basculer en travers de ses genoux

— On va examiner de plus près ce bon gros derrière.

Elle palpa les fesses brûlantes, sa main descendit sur les cuisses et s’immisça entre puis elle remonta et ses doigts écartèrent largement les deux hémisphères. Les trois spectatrices étaient un peu surprises de cette inspection humiliante mais ô combien excitante. Hubert pleurait à la fois de douleur et de honte, mais il se laissait faire. Valérie était satisfaite la punition publique serait encore plus bénéfique, Jeanne la regarda :

— Tu permets ?

En souriant la sévère épouse acquiesça :

— Je t’en prie, il faut qu’il s’en souvienne.

La professeure leva la main et Hubert reçu une énième fessée, elle fut courte mais magistrale. La fesseuse repensait à son ex-mari et au plaisir qu’elle aurait eu à lui faire subir le même sort.



Quand le puni put se relever, il se dirigea sans qu’on lui demande vers Marie, elle souriait en voyant arriver ce monsieur larmoyant :

— Cesse de pleurnicher, la prochaine fois tu réfléchiras avant de faire des bêtises.

Elle coucha elle aussi Hubert en travers de ses cuisses et sans demander l’autorisation, lui claqua une dizaine de fois les fesses brûlantes, puis elle se pencha vers la table et saisit la brosse :

— Tu as raison Julie, un si beau derrière mérite une vraie fessée.

Hubert essaya de protester :

— Bon, non madame, plus la fessée, ça brûle trop… Aïe, aïe, aïe…



La brosse avait commencé à claquer la croupe cramoisie :

— Je t’ai dit de cesser de pleurnicher, tu as mérité cette fessée et tu l’auras un point c’est tout.

La cinquantaine de coups de brosse généreusement distribué furent le bouquet final de cette correction. Quand Hubert se releva, il sautillait sur place, il n’avait pas le droit de frotter ses fesses et rien n’atténuait la cuisson qui lui embrasait le postérieur. Sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, Valérie le fit approcher et la remonta à mi-cuisses :

— Maintenant tu files voir Caroline, elle va finir de s’occuper de toi.

La jeune femme l’attendait à la cuisine, elle avait entendu les différentes fessées reçues par Hubert, elle l’accueillit en souriant :

— Alors, on a bien chaud à son petit derrière ?

Les larmes coulaient sur les joues du puni, il s’efforça de répondre, c’était obligatoire depuis qu’il était redevenu un gamin dont des dames sévères refaisaient l’éducation :

— Oui mademoiselle, ça brûle beaucoup.

Caroline le fit pivoter pour examiner ses fesses :

— Mazette, madame a été sévère, mais tu l’avais bien mérité celle-là. Viens un peu ici, on va contrôler ta température.

Hubert blêmi, c’était une dernière humiliation, son épouse lui avait déjà imposé la prise de température rectale, mais jamais la jeune bonne ne l’avait fait. Il n’était cependant pas en situation de protester.

Caroline s’était assise sur une chaise et lui désignait ses cuisses, la honte serait encore plus grande de se faire mettre un thermomètre dans les fesses dans cette position.

Il se coucha en travers des genoux de la jeune femme, celle-ci avait préparé l’instrument médical, elle s’en saisit, écarta avec deux doigts les fesses brûlantes. Hubert pleurait mais se laissait faire, il sentit le thermomètre pénétrer dans son fondement. Caroline prenait son temps, sa mère lui avait imposé cet humiliant traitement jusqu’à ses quinze ans, elle se doutait de la honte que devait ressentir ce monsieur d’âge mûr. Mais outre qu’elle obéissait aux consignes de sa maîtresse, elle prenait réellement du plaisir à corriger ce monsieur, elle s’était découvert un goût certain pour l’autorité.

Le thermomètre était maintenant profondément enfoncé, il ne dépassait presque plus quand la sévère jeune femme relâcha les deux hémisphères. Elle claqua sèchement les fesses :

— Voilà, il est bien en place, ne t’avise pas de le faire ressortir, tes fesses en payeraient le prix. Tu vas aller te mettre au coin, les mains sur la tête, tu y resteras jusqu’à l’heure du repas. Pour le thermomètre, on verra quand je te l’enlèverai.

Elle avait repris spontanément le tutoiement dès qu’elle avait recommencé la punition.

Comme Hubert pleurait encore et que ses sanglots étaient trop bruyants, elle s’approcha et lui claqua les fesses une dizaine de fois :

— Je ne veux plus t’entendre, sinon c’est retour sur mes genoux immédiatement.



 

 





mercredi 17 juillet 2024

Hubert 2

 Deux derrières bien rouge



La deuxième correction d’Hubert était maintenant terminée, il pleurait comme un gamin puni par sa maman, celle-ci palpait son derrière :

— Voilà une paire de fesses bien rouges et bien chaudes, tu vas aller les faire refroidir au coin.

Elle le fit se relever, il dut enlever complètement son pantalon. Valérie songea que la prochaine fois, elle lui ferait enlever avant la punition, elle remonta la culotte à mi-cuisses et lui saisit l’oreille comme s’il était un garnement puis de sa main libre elle lui claqua sèchement les fesses :

— En route mon garçon, tu vas rester un bon moment au coin fesses à l’air, ça va te permettre de réfléchir.

La main n’avait pas cessé de claquer la croupe cramoisie, jusqu’à ce que le pauvre Hubert eut posé son nez contre le mur et mit ses mains sur sa tête. Valérie se recula pour juger du résultat, elle était satisfaite, depuis le temps que sa main la démangeait. Elle se tourna vers Caroline :

— Alors comme ça, vous recevez encore la fessée ?

Ce n’est pas ce que lui avait dit sa jeune bonne, elle avait parlé de fessée reçue dans sa jeunesse, mais elle prêchait le faux pour savoir le vrai. Elle fut exaucée, Caroline protesta en rougissant :

— Oh non madame, plus maintenant…

— Ah bon ? J’avais pourtant cru comprendre que c’était le cas…

Elle regardait fixement Caroline, celle-ci ne savait plus où se mettre, elle jetait de temps en temps un regard vers le fessier rougeoyant d’Hubert :

— Euh, non, c’est-à-dire que ce n’est pas ma mère qui me donne la fessée…

Elle se rendit compte trop tard qu’elle avait employé le présent, le spectacle de la fessée déculottée reçue par Hubert avait fait remonter des souvenirs, la dernière déculottée de sa tante Ingrid remontait à un an, mais elle s’y voyait comme si c’était hier.

Elle l’avait surprise en train de fumer, elle ne supportait pas ce défaut et sans qu’elle ait pu protester, malgré ses 21 ans, elle s’était retrouvée couchée sur les genoux de sa tante, les fesses à l’air. La fessée avait été magistrale surtout qu’Ingrid avait utilisé également la brosse à cheveux.

Elle leva les yeux, Valérie la regardait fixement :

— Si ce n’est pas votre maman, c’est qui ?

Caroline était piégée, elle en avait trop dit ou pas assez. Elle commença sa confession. Valérie l’écoutait en souriant :

— Votre tante est sévère, mais c’est pour votre bien. Vous ne fumez plus ?

Caroline s’arrêta et piqua un énorme fard. Valérie la regarda sévèrement :

— Amenez-moi votre sac à main.

Comme un automate, la jeune femme alla le chercher. Valérie s’en saisit et commença à l’inspecter, elle en sorti en souriant un paquet de cigarette :

— Je ne sais pas ce que va en penser tatie Ingrid quand je vais lui dire ce que j’ai trouvé dans ton sac à main.

Caroline baissa les yeux, sa patronne était passée au tutoiement et elle était redevenue une adolescente prise en faute, elle protesta quand même :

— Madame, s’il vous plaît ne dites rien à ma tante.

Valérie savourait, elle n’avait jamais eu l’intention d’appeler Ingrid, mais le piège tendu à sa bonne semblait fonctionner :

— Je veux bien, mais reconnais que nous ne pouvons pas en rester là.

La jeune femme tourna les yeux machinalement en direction des fesses écarlates d’Hubert. Sa patronne allait-elle oser ?

La réponse fut rapide, Valérie avait surpris le regard de Caroline :

— Tu vois ce qui arrive quand on désobéit ? La fessée déculottée !!!

Caroline rougit violemment, ce mot la ramenait un an en arrière, elle pensait que maintenant qu’elle travaillait elle était passée du côté des grandes personnes, enfin de celles qui ne se font plus baisser la culotte pour un oui ou un non. En regardant les fesses rouges de monsieur Hubert, elle se rendit compte que finalement l’âge n’avait rien à voir.

Valérie s’était assise sur une chaise, elle fit un petit signe du doigt à la jeune femme :

— Viens un peu ici !

Caroline s’approcha lentement, quand elle fut contre ses genoux, Valérie glissa sa main sous la jupe et caressa les fesses par-dessus la culotte :

— Cette petite désobéissance restera entre nous, mais tu vas devoir me montrer ton petit derrière ma chérie.

La main sur sa croupe était caressante, la chaleur qui avait envahi son entre-jambe tout à l’heure remonta à nouveau, madame Valérie était autoritaire mais très sexy, son sourire coquin faisait oublier à Caroline la cuisson de la fessée qui s’annonçait. Une petite pression sur ses fesses l’incita à se coucher en travers des cuisses de sa sévère et perverse maîtresse.

En un clin d’œil la courte jupe fut retroussée sur les reins et la fine culotte rose ornée de dentelle apparu. Valérie apprécia à sa juste valeur ce fessier de jeune femme ferme et rebondi qui semblait vouloir sortir de la fine lingerie, la base des fesses avec le pli séparant la croupe des cuisses était bien visible. C’était vraiment très mignon, cette petite a vraiment un joli petit cul pensa-t-elle.



— Ta tatie Ingrid t’aurais sans doute flanqué une bonne fessée déculottée si elle avait trouvé ce paquet de cigarette n’est-ce pas ?

Sa main tapotait distraitement le derrière culotté, Caroline était aux prises à des sentiments opposés, c’était la première fois qu’elle se retrouvait couchée sur les genoux de quelqu’un d’autre que sa tante, c’était humiliant mais aussi légèrement excitant, elle était attirée par le sexe féminin et montrer ses fesses à une dame ne lui déplaisait pas, mais elle savait qu’une fessée ce n’est jamais très agréable.

Elle sentit les doigts de Valérie se glisser sous la ceinture de sa culotte, celle-ci glissa inexorablement. L’air frais sur son derrière la renseigna, elle était maintenant cul nu sur les genoux de sa maîtresse.

Valérie appréciait ce si joli fessier qui s’exposait dans toute sa plénitude devant ses yeux, décidément ce rôle de fesseuse lui plaisait de plus en plus, ses souvenirs d’enfance lui revenait maintenant. Elle avait un frère et une sœur plus jeune qu’elle et lors de leurs jeux, c’était toujours elle la maîtresse d’école et elle n’hésitait pas à les punir si elle le jugeait utile et le garçon aussi bien que la fille se retrouvait régulièrement déculotté et les fesses bien rouges. Curieusement ils ne s’étaient jamais plaint de ce traitement auprès de leur mère, celle-ci avait un métier très prenant et elle déléguait à sa fille aînée son autorité.

Cette situation de dominatrice sur son frère et sa sœur était donc rentrée dans les mœurs, si bien que même devenus adolescents, elle avait continué à les traiter sévèrement. Il lui arrivait assez régulièrement quand elle le jugeait nécessaire de leur administrer ce châtiment enfantin. Ils avaient développé tous les deux un certain masochisme qui leur faisaient accepter sans rechigner la fessée déculottée et la mise au coin cul nu après la punition.

Elle repensait à tout ça en caressant les fesses de Caroline, David son frère et Sophie sa sœur pourrait peut-être goûter à nouveau à la honte de la fessée déculottée, elle allait y réfléchir :

— Ces jolies fesses sont bien trop blanches, une bonne fessée déculottée va leur donner des couleurs.

Caroline serrait ses fesses, humiliée mais très excitée malgré tout. La fessée commença, elle ne fut pas trop sévère. 





Valérie savait qu’elle aurait souvent l’occasion de coucher cette jeune écervelée sur ses genoux et de lui baisser la culotte, il ne fallait pas trop l’effaroucher pour la première fois. Cependant une fois remise sur ses pieds, elle n’échappa pas à la honte du passage au coin fesses à l’air. Valérie l’installa dans un autre coin de la pièce, mais de telle façon qu’assise sur son canapé elle puisse surveiller ses deux punis. Elle ressentit une légère excitation à ce spectacle pour le moins insolite de deux adultes exposant leur paire de fesses bien rouge. Elle avait pris soin de remonter la culotte de la jeune femme à mi-cuisses et de lui coincer la jupe dans la ceinture, spontanément Caroline avait posé ses mains sur la tête. Valérie avait apprécié « cette petite est déjà soumise, elle n’a pas fini de me montrer son derrière ».





lundi 15 juillet 2024

Hubert

Un nouveau récit, il n'y a pas que les dames qui doivent montrer leurs fesses, n'est-ce-pas messieurs. Peut-être le début d'une nouvelle série, on verra...


L'éducation d'Hubert



Hubert De Lasalle avait 50 ans, jeune homme de bonne famille, marié à Valérie, riche héritière.

Hubert était cadre dans une banque, il avait depuis quelque temps un gros défaut, il jouait au casino et rapidement le peu de fortune que lui avait légué sa mère avait disparu.

Contraint d’avouer ses revers de fortune à sa riche épouse, celle-ci lui avait mis le marché en main.

Soit il acceptait de changer totalement sa vie, soit elle demandait le divorce et se faisait fort par ses relations de le faire licencier.

Hubert n’avait pas eu le choix :

— Qu’entends-tu ma chérie par changer totalement ma vie ?

Valérie avait souri avec un petit air gourmand :

— Eh bien c’est très simple mon chéri, puisque apparemment ton éducation a des lacunes, je vais la reprendre à la base.

Hubert avait un peu pâli, mais son épouse toujours souriante continuait :

— Si je me souviens bien, ta maman m’a raconté que quand tu étais plus jeune, elle avait souvent recours aux bonnes vieilles méthodes pour t’inculquer les règles de bonne conduite ?

Hubert se sentait de plus en plus mal. Sa mère l’avait élevé effectivement de façon très sévère et jusqu’à ses 15 ans il n’était pas rare qu’il reçoive encore une bonne fessée déculottée de la main de sa maman. Qu’il soit adolescent ne la dérangeait pas pour lui baisser la culotte comme elle disait. Lui rappeler ses souvenirs ne lui disait rien qui vaille. Valérie le fixait intensément :

— Tu ne l’as pas oublié n’est-ce pas ? Les bonnes fessées de sa maman en général on s’en souvient.



Hubert sentit ses joues s’empourprer. Son épouse continuait :

— Eh bien puisque ça semble te manquer et que tu recommences à te comporter comme un adolescent, je vais jouer le rôle de ta maman !

Hubert ne répondait rien, le ciel lui était tombé sur la tête, surtout que Julie imperturbable continuait :

— D’ailleurs, on va commencer immédiatement, approche un peu !

Elle s’était déplacée et avait placé une chaise au milieu du salon, maintenant qu’elle était assise, elle faisait un petit signe avec le doigt à son mari :

— Dépêche-toi, nous n’allons pas y passer la semaine !

Hubert croyait revoir sa mère quand il revenait du lycée avec une mauvaise note où le premier jour où elle l’avait surpris à fumer. Il tenta une dernière diversion :

— Mais ma chérie, qu’est-ce-que tu veux faire, voyons j’ai… 50 ans… S’il te plaît.

Valérie se mit à rire :

— Ce que je vais faire ? Oh c’est simple je vais te flanquer la bonne fessée que tu mérites depuis si longtemps et que j’aurais déjà dû te donner depuis un bon moment. Quant au fait que tu aies 50 ans, si tu veux mon avis on ne le dirait pas !

Hubert insensiblement s’était approché, son éducation stricte avait laissé des traces. Il était maintenant à la portée de son épouse. Elle l’attrapa par la main et l’attira contre ses cuisses. Puis elle déboutonna son pantalon et le fit glisser jusque sur ses chevilles, elle tapota ses cuisses ostensiblement :

— Allez mon petit ami, en position ! Je pense que tu n’as pas oublié comment maman faisait panpan cucul.

Comme son mari semblait hésiter, elle le tira fermement et le fit basculer en travers de ses genoux.

D’un seul coup, Hubert était revenu 35 ans en arrière, il se souvenait de la dernière fois où sa mère l’avait fessé. Elle l’avait surpris avec des copains en train de fumer, il avait reçu ce jour-là une mémorable déculottée comme disait madame sa mère en riant. Ça avait été efficace d’ailleurs car depuis il n’avait plus jamais fumé.

Il sentit les doigts de Valérie se glisser sous l’élastique de son slip, il poussa un petit cri :

— Non s’il te plaît…

Il essaya avec sa main d’empêcher l’inéluctable, se faire déculotter à 50 ans comme un vulgaire gamin.

Calmement son épouse lui coinça la main dans le dos et claqua sèchement l’arrière des cuisses :

— Je te déconseille de recommencer ! Tu vas être puni doublement pour ta petite rébellion et ça sera chaque fois plus sévère si ça se reproduit.

Elle continua à descendre l’ultime rempart de la pudeur de son mari :

— Te voilà cul nu mon chéri, oui déculotté comme ta maman le faisait. J’espère que tu as bien honte de me montrer ton derrière comme un sale gosse.

Hubert était vaincu, il n’avait pas résisté comme il aurait pu le faire, Valérie était à présent persuadée de sa soumission. Plus rien ne s’opposait à une nouvelle répartition des rôles dans cette maison. Elle était autoritaire et ce nouveau rôle de maman sévère n’était pas pour lui déplaire.

La fessée se mit à retentir dans le salon, c’est une vraie correction que reçu ce jour-là Hubert, pas un petit panpan cucul, non une fessée magistrale qui lui avait rougi les fesses sur toute leur surface.

Il lui sembla que la punition ne s’arrêterait jamais. Son pantalon était entortillé autour de ses chevilles, sa culotte descendue jusqu’aux genoux. Il pleurait vraiment comme quand sa mère le punissait, Valérie était satisfaite du résultat, une paire de fesses écarlate et un mari sanglotant en travers de ses genoux.

Elle décida de compléter l’humiliation d’Hubert, elle le garda en position disciplinaire et sonna sa bonne.

Caroline, c’était le nom de la jeune femme de 22 ans qui était à son service depuis deux ans, était assez petite, les cheveux blonds la plupart du temps attachés en queue de cheval. Elle était très mignonne, toujours souriante, Hubert n’était d’ailleurs pas insensible à son charme

Quand il entendit que quelqu’un entrait dans la pièce, il poussa un cri et tenta de se relever, mais Valérie le tenait solidement, elle claqua sèchement l’arrière des cuisses :

— Tu ne bouges pas, où je te flanque une deuxième fessée !

Caroline poussa un petit cri et mis sa main devant sa bouche, complètement abasourdie par le tableau qui se présentait à elle, Julie la regarda en souriant :

— Entrez, Caroline. Ne soyez pas surprise, monsieur Hubert n’a pas été très sage aujourd’hui et j’ai été obligée de sévir.

La jeune femme n’arrivait pas à quitter des yeux le fessier rougeoyant du mari de sa maîtresse, celle-ci avait posé négligemment sa main sur la fesse droite du puni :

— Voyez-vous ma petite Caroline, je suis convaincue qu’il faut en revenir aux anciennes méthodes, celle qui on fait leur preuve depuis tant d’années dans l’éducation des garçons ou des filles. L’âge ne fait rien à l’affaire je pense même que la fessée déculottée est encore plus efficace chez un adulte qui est en âge de comprendre pourquoi il est puni de cette façon.



Caroline hocha la tête en signe d’approbation, l’effet de surprise était passé et elle regardait avec intérêt ce monsieur de 50 ans, les fesses à l’air, couché comme un gamin sur les genoux de son épouse, elle n’y avait jamais fait attention mais monsieur Hubert avait un bien joli derrière. Elle esquissa un sourire, la scène n’était quand même pas banale, Valérie tapotait le fessier rougeoyant :

— Vous avez reçu la fessée dans votre jeunesse ?

Caroline piqua un fard, oui bien sûr, elle en avait reçu des fessées déculottées, elle avait été élevée par une tante, sa mère étant très souvent en déplacement et Ingrid sa jeune sœur avait la main leste. Quand elle n’obéissait pas assez vite ou faisait preuve de paresse, la sanction était immédiate, c’était la fessée cul nu couché sur les genoux de sa tante. Celle-ci utilisait aussi très souvent un martinet, c’était le vieux martinet familial qui avait servi depuis des générations sur tous les derrières de la famille. Oui Caroline s’y connaissait question fessée, mais c’était plutôt dans le rôle de la punie que de la fesseuse. Elle se ressaisit et devant l’air interrogateur de Julie elle répondit en riant :

— Oh oui madame et plus souvent qu’à mon tour.

Valérie la regarda en souriant :

— Eh bien faites attention, vous voyez ce qui arrive quand on est pas sage.

Le sourire de Caroline se figea et elle piqua un fard, ses joues étaient presque aussi rouges que les fesses du pauvre Hubert qui n’en menait pas large conscient que son statut venait de changer même vis-à-vis de cette jeune femme.

Valérie toujours souriante continuait :

— Ce n’est pas pour ça que je vous ai fait venir, j’aurai certainement besoin de vous quand je ne pourrai pas administrer la fessée à Hubert. Je vous demanderai alors de me remplacer.

Caroline ouvrait de grands yeux toujours fascinée par le fessier rougeoyant, ainsi sa patronne voulait qu’elle administre la fessée à monsieur ? Elle posa sa question naïvement :

— Euh, oui mais madame, certainement, mais je devrai déculotter monsieur ?

Julie se mit à rire :

— Bien sûr, comment est-il maintenant ? Votre mère ne vous baisse pas la culotte quand elle vous corrige ?

Caroline rougit à nouveau, sa maîtresse avait employé le présent, pensait-elle qu’elle recevait encore à son âge ce châtiment enfantin. Elle songea à sa tatie Ingrid, sûrement que ça ne la gênerait pas de la déculotter encore si elle habitait toujours chez elle.

La sévère épouse continua :

— Pourriez-vous me faire passer la brosse à cheveux qui est sur la commode. Monsieur à essayé de m’empêcher de lui baisser la culotte, ça mérite une deuxième fessée et je ne veux pas m’abîmer la main.

Hubert essaya de protester :

— Oh non s’il te plaît, j’ai compris, plus la fessée, non, aïe…

La main de Valérie venait de claquer l’arrière des cuisses juste sous les fesses :

— Je ne veux pas t’entendre, si j’ai décidé que tu méritais une autre fessée tu l’auras que ça te plaise ou non !

Caroline lui tendait l’instrument punitif :

— Prenez-en de la graine ma petite Caroline, si jamais monsieur refuse de se laisser déculotter ou se plaint trop, vous doublez la punition systématiquement.

Elle reclaqua les cuisses :

— C’est bien compris ! Normalement ta protestation mériterait une troisième fessée, comme aujourd’hui c’est la première fois, je passe l’éponge.

La brosse rentra en action immédiatement. Si Caroline savait ce que c’était qu’une fessée, elle n’avait jamais assisté à l’administration de ce châtiment enfantin à fortiori sur un monsieur de 50 ans. C’était un spectacle enthousiasmant et pour tout dire excitant, elle fut surprise de sentir une chaleur envahir son bas ventre.



Elle était conquise, monsieur allait devoir se tenir à carreaux sinon il aurait souvent les fesses bien rouges. Elle se mit à sourire, même s’il ne fait pas de bêtises je m’arrangerai bien pour lui mettre le derrière à l’air.



jeudi 11 juillet 2024

Deux étudiantes 13

 Repas de famille suite



Claudine s’était tournée vers Odile, celle-ci était encore troublée par l’annonce de sa future punition, mais elle sourit à la demande de sa mère :

— As-tu du gingembre ?

— Oui, pourquoi ?

Claudine s’était approchée de la jeune punie exposant son derrière écarlate, elle le tapota :

— Notre petite Chloé s’est amusée avec le manche du martinet dans le petit trou de Clara n’est-ce pas. Eh bien je pense qu’elle a mérité de goûter à la punition au gingembre, vous vous en souvenez je pense ?

Les deux dames rougirent de concert, bien sûr qu’elles s’en souvenaient, c’était la punition préférée de Claudine quand elles étaient adolescentes et qu’elle voulait leur infliger une sévère punition. Chacune y avait goûté et plus d’une fois, elles en gardaient un souvenir cuisant et même brûlant.

Odile se dirigea vers la cuisine et en revint avec un morceau de racine de gingembre et un couteau, elle les tendit à sa mère. Celle-ci entreprit d’éplucher et de sculpter la racine, ses filles se rendirent compte qu’elle n’avait pas perdu la main, en moins d’une minute elle avait transformé le morceau de gingembre en un gros suppositoire. Elle le montra fièrement à Odile :

— Voilà qui va bien garnir le derrière de notre petite Chloé et lui faire passer l’envie de recommencer ses bêtises.

Elle se dirigea vers sa petite fille et la saisit par l’oreille :

— Viens un peu par ici ma belle, tes jolies fesses ont eu le temps de refroidir, tu vas voir comment mamie va s’en occuper.

Chloé se mit à gémir :

— Non, non, mamie plus la fessée, j’ai déjà été bien punie… Aïe, Aïe, Aïe…

La main de Claudine venait de claquer sèchement les fesses endolories de la jeune fille.

— Cesse de pleurnicher, il te fallait réfléchir avant, allez en piste !

Elle s’installa sur une chaise et fit basculer Chloé en travers de ses cuisses, elle baissa la culotte jusqu’aux chevilles et la retira puis elle la tendit à Odile :

— Elle ne sera pas gênée pour écarter ses cuisses et nous montrer son petit trou.

Elle tapota les fesses de la punie :

— Tu as entendu ma chérie, tu vas bien écarter les jambes et desserrer tes fesses, j’ai besoin de voir ta raie. Allez vite !

Chloé pleurait doucement, elle avait honte de devoir dévoiler son intimité. Bien sûr sa mère lui mettait souvent le thermomètre dans le derrière, comme elle disait, mais jamais sa grand-mère ne l’avait fait. Une seule fois sa tante lui avait fait subir cette humiliation, elle sentit les doigts de Claudine écarter largement ses fesses et quelque chose de frais appuyer sur son anus.

La sévère grand-mère en souriant fit un petit clin d’œil à ses deux filles :

— Notre petite chérie va bientôt avoir aussi chaud à son petit trou du cul qu’à ses fesses.

Elle poussait lentement le suppositoire de gingembre dans le fondement de la jeune fille, soudain celle-ci se mit à gémir et à pleurer :

— Non, non, aïe, ça brûle, non, non, mamie.



Elle se mit à battre des pieds, à tortiller ses fesses et à les ouvrir largement, elle essaya vainement de les resserrer, mais Claudine les tenait toujours bien écartées avec deux doigts tandis qu’elle continuait à faire pénétrer profondément le gros suppositoire :

— Eh oui ma chérie, c’est fait pour ça, il faut que tu le sentes bien dans ton petit derrière et que ça te brûle pour que tu t’en rappelles longtemps.

Chloé pleurait et criait, le gingembre avait presque complètement disparu, Claudine relâcha les fesses et regarda en souriant ses deux filles :

— Vous vous rappelez comment ça vous brûlait n’est-ce pas mes chéries ? Notre petite Chloé est en train de regretter ses bêtises.

Elle caressa la croupe encore rouge et contractée par la douleur :

— Maintenant que ton petit trou est bien garni et bien chaud, je vais m’occuper de tes petites fesses.

Elle leva la main et commença à claquer le derrière encore rouge. C’était une formidable correction que la pauvre Chloé reçut, la main s’abattait à une vitesse folle, sa grand-mère fessait encore plus sévèrement que sa mère, la jeune fille braillait à tue-tête, sa sœur et ses cousines entendaient le bruit des claques sur la peau nue, elle compatissait sans savoir qu’en plus de la correction, la pauvre avait un suppositoire brûlant dans les fesses. Chloé se souviendrait longtemps de cette punition et au milieu de ses pleurs et supplications, les trois dames entendirent ses regrets et ses promesses de ne plus recommencer,

Claudine n’en avait cure, cette petite avait déjà un beau derrière et la peau des fesses repousse toujours disait sa propre mère quand elle l’avait couchée sur ses genoux pour une solide fessée.



Quand enfin elle cessa la punition, elle garda Chloé couchée en position disciplinaire, le suppositoire de gingembre continuait son effet, elle le manipula légèrement :

— Je crois que tu vas être bien sage maintenant, tu vas garder ton suppo encore un moment, ça te fera le plus grand bien.

Chloé pleurait et suppliait, elle ne savait pas ce qui était le plus douloureux, ses fesses cuisantes ou son petit trou brûlant.

Claudine la garda encore 5 minutes couchée sur ses genoux, puis elle retira enfin le gingembre. Elle caressa les fesses rubicondes :

— Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée, j’espère que tu retiendras bien la leçon ma chérie.

Elle se tourna vers Odile :

— Tu la remets au coin ?

— Bien sûr.

Claudine reprit donc sa petite fille par l’oreille et lui claqua les fesses pour la faire avancer :

— Allez ma petite ta pénitence n’est pas finie, tu as de la chance, un jour ta tante a gardé son suppo au gingembre pendant une heure au coin.

Ingrid piqua un énorme fard au rappel de cette humiliation, Claudine souriait en regardant ses deux grandes filles, c’était décidément un très bon après-midi. Chloé était maintenant à nouveau dans le coin de la pièce, le nez collé contre le mur, sans qu’on lui dise, elle avait posé ses mains sur sa tête.







Les invités étaient partis quand Odile leva la punition de sa fille :

— Tu peux remettre ta jupe en place, tu es privée de culotte. Ce soir tu iras au lit à neuf heures juste après ta dernière fessée, je te fais cadeau du thermomètre, le gingembre suffira. En attendant tu files dans ta chambre.

Chloé ne se le fit pas dire deux fois, une fois dans sa chambre, elle retroussa sa jupe et regarda son derrière dans la glace, il était encore très rouge, elle le massa doucement. C’est juste à ce moment que sa sœur entra, elle sourit en voyant la jolie croupe de sa sœur :

— On a mal à son petit cucul ? Si maman te voyait frotter tes fesses, tu serais bonne pour un nouveau séjour sur ses genoux.

Chloé avait laissé retomber sa jupe, elle se tourna vers Amélie en faisant la moue :

— Tu ne vas pas lui dire au moins ?

Amélie se mit à rire :

— Mais non, rassure-toi ma chérie… Enfin sauf si tu n’es pas sage…

Devant le regard interrogatif de sa petite sœur elle reprit :

Maman est sortie, on est tranquille, tu sais bien que j’adore m’occuper de ton petit cul. Chloé protesta faiblement :

— Oh non, s’il te plaît, j’ai déjà bien dégusté, tatie et mamie se sont régalées, leurs fessées m’ont fait un mal de chien sans parler du suppo au gingembre.

Amélie lui mit le doigt sous le menton pour la forcer à la regarder :

— Justement, ça tombe bien, j’ai l’intention de prendre soin de ton derrière et puis malheureusement pour toi, tu n’as pas le choix.

Elle s’était assise sur le lit, elle prit la main de Chloé :

— Allez mademoiselle, viens me montrer ton petit cucul.

Chloé se laissa faire et quelques instants plus tard, elle exposait à nouveau sa croupe dénudée. Amélie aimait les filles et avec Chloé elle pouvait s’amuser, celle-ci ne pouvait rien lui refuser. Souvent avant ou après les caresses, elle avait droit à une petite fessée coquine, mais aujourd’hui après les diverses corrections qu’elle avait reçue, sa sœur n’avait pas l’intention de lui claquer le derrière. Ses doigts experts s’insinuèrent entre ses cuisses, glissèrent sur sa vulve, puis elle écarta les fesses et posa son doigt sur l’anus :

— Tu me racontes ce que ça t’a fait d’avoir un suppo au gingembre dans ton petit trou ?

Chloé gémissait doucement :

— Olala, c’est affreux comme ça brûle, c’était terrible, j’espère que maman ne va pas prendre cette habitude.

Les doigts d’Amélie avaient glissé entre les cuisses :

— Je suis sûr que ça t’a quand même fait mouiller petite perverse.

Chloé se remit à gémir :

— Oh arrête, non je t’assure que ça fait très mal.

Amélie se mit à rire :

— Petite menteuse, décidément tu l’as bien méritée cette déculottée. Bon je vais te mettre de la crème.

Elle posa sur chaque fesse une grosse noisette de crème apaisante et massa tendrement le derrière de sa petite sœur, elle introduisit même un doigt dans l’anus afin de le crémer également.

Ce petit intermède coquin fit vraiment plaisir à Chloé et lui fit un peu oublier la magistrale correction qu’elle avait reçue et celle qui l’attendait avant d’aller au lit. Surtout qu’Amélie lui fit quelques confidences :

— Ce soir je fais baby-sitter chez les deux chipies, je vais te venger, je te garantis qu’elles iront au lit chacune avec une paire de fesses bien rouges. J’adore tellement leurs derrières, il va falloir que je m’arrange pour leur faire goûter au délice du gingembre dans leur petit trou. Il faut que je fasse attention je ne voudrais pas me retrouver comme toi, mais promis j’essayerai de te faire participer.

Chloé se mit à sourire, elle sentait beaucoup moins ses fesses endolories, surtout que sa sœur continuait ses révélations.

— Tu sais que mamie va flanquer une fessée à maman ?

— Oh chic, mais comment tu peux le savoir ?

Amélie prit son air sérieux elle mit son doigt sur sa bouche :

— C’est un secret, tu dois jurer de ne rien dire.

Chloé s’impatientait :

— Mais bien sûr, allez raconte !

— Voilà, c’était juste après que tatie Ingrid t’aie fessée avec le martinet, on a été envoyée dans ma chambre, mais j’ai eu envie de faire pipi et quand je suis passée à côté du salon, ça bardait. Maman a mal parlé à mamie et illico, elle lui a dit qu’elle l’attendait demain chez elle et devine quoi ? Elle a fini sa phrase en disant « tu peux préparer tes fesses », si c’est pas l’annonce d’une bonne séance de panpan cucul pour notre chère maman, c’est quoi ?



Chloé était ravie, la fessée du coucher qui l’attendait lui paraissait d’un seul coup pas si terrible que ça.



Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...