La punition d’Odile
Odile n’était pas fière en arrivant chez sa mère, celle-ci habitait une grande maison avec un beau jardin. Elle se doutait que l’après-midin serait certainement cuisante, depuis combien de temps n’avait-elle pas été punie par Claudine ? Elle se souvenait parfaitement du « traitement antidépresseur » qu’elle lui avait administré lors de sa petite dépression après la naissance d’Amélie. Elle avait reçu pas moins d’une dizaine de fessées déculottées réparties sur trois jours et son état psychologique s’était rapidement amélioré. Sa fille aînée avait maintenant dix-neuf ans, cela faisait donc très longtemps qu’elle ne s’était pas retrouvée couchée sur les genoux de sa mère avec la culotte baissée. Depuis la veille ça ne faisait aucun doute pour elle, quand Claudine lui avait dit « tu peux préparer tes fesses », son intention était claire, il s’agissait de lui administrer une fessée et pour elle ce châtiment, c’était toujours cul nu.
Elle avait quarante-cinq ans et il ne lui était pas venu à l’idée de résister à sa mère, sa sévère éducation avait laissé des traces, quel que soit son âge on obéissait toujours à sa maman.
En traversant le parc, les souvenirs remontaient à la surface, le noisetier où elle devait aller couper des badines qui cingleraient ses fesses, le mur où poussaient toujours des orties, Claudine les utilisait quand elle voulait administrer une punition exemplaire à ses filles. Sur la terrasse, les deux piliers où elle et Ingrid avaient passé de long moment à exposer leur derrière rougi. Comment sa mère allait-elle la punir ?
Elle fut vite renseignée, Claudine avait son regard sévère, le même que celui qu’elle avait quand elle revenait du lycée avec une mauvaise note, elle lui désigna le coin de la pièce, c’était son coin d’ailleurs, il y en avait un réservé pour chacune des filles de la maison :
— Tu baisses ta culotte et tu files au coin, tu vas réfléchir à la raison de ta présence ici !
Odile s’attendait à une simple fessée, mais sa mère avait semble-t-il des intentions plus sévères. Elle ne protesta pas, elle glissa ses mains sous sa jupe et baissa sa culotte à mi-cuisse. Sa mère l’avait suivi, elle retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture, les larges fesses blanches de la sévère mère de famille étaient désormais mises à nu, elles étaient serrées par l’appréhension.
Une magistrale claque atterrit en plein milieu du magnifique derrière :
— Mets tes mains sur la tête et colle bien ton nez contre le mur, je pense que tu n’as pas oublié.
Oh non elle n’avait pas oublié, même si la dernière fois où elle avait posé son nez contre ce mur remontait à dix-neuf ans en arrière, le temps semblait s’être arrêté, elle s’en souvenait comme si c’était hier. L’air frais sur ses fesses lui rappelait sa condition, combien de temps allait-elle rester là, Claudine n’avait pas l’air pressée. Ce qu’elle craignait le plus arriva, la sonnette de la porte d’entrée retentit et elle entendit sa mère sortir. Elle était inquiète, mais elle ne pouvait imaginer que malgré sa sévérité celle-ci fasse entrer quelqu’un dans le salon. Soudain elle se raidit et colla encore plus son nez cotre le mur, elle aurait voulu rentrer sous terre, des voix se rapprochaient, Claudine parlait à quelqu’un :
— Venez, je vais chercher mon chéquier.
Une voix féminine répondit :
— Ça ne presse pas, vous savez.
La porte s’ouvrit et Claudine ajouta :
— Entrez donc, ne faites pas attention, j’étais en pleine conversation avec ma fille, mais elle va patienter un peu.
Un petit cri de surprise retentit derrière Odile :
— Eh bien, si je m’attendais. Vous utilisez encore les bonnes vieilles méthodes.
La sévère maman qui troussait et baissait les culottes de ses filles et des deux étudiantes n’en menait pas large, ses larges fesses bien blanches étaient serrées en un bloc compact. Elle entendit le petit rire de sa mère :
— Oui, il n’y a pas d’âge pour se faire baisser la culotte, madame l’a appris à ses dépens. Maintenant elle médite à ses bêtises.
La voix était jeune, Odile sentait ses yeux rivés sur son bon gros derrière comme disait sa mère :
— Oh je le sais, maman me le dit souvent. Si je ne suis pas indiscrète qu’a donc fait cette dame pour avoir été mise au coin les fesses à l’air ?
— Elle a mal parlé à sa maman. Mais à ce que je comprends, votre maman utilise les mêmes méthodes.
— Euh… oui madame.
Soudain Odile, malgré sa honte et son désir de rentrer littéralement dans le mur, reconnu cette voix, non ce n’était pas possible pas elle… Claudine continuait :
— C’est pour ça que vous êtes si polie, l’éducation stricte à du bon ma petite Émilie.
Odile venait d’avoir la confirmation de ce qu’elle craignait, c’était bien la jeune maraîchère qui venait lui livrer les paniers de légumes, elle l’avait recommandé à sa mère. « Mon dieu, faite qu’elle s’en aille, s’il vous plaît ».
Hélas le souhait d’Odile avait peu de chances d’être exaucé, Claudine savait comment punir correctement et la honte faisait partie de la punition.
— Vous avez cinq minutes ma petite Émilie ?
Les fesses de la sévère maman se contractèrent un peu plus, la réponse tomba :
— Oh oui, j’ai fini ma tournée.
— Eh bien c’est parfait, la leçon n’en sera que plus profitable. Odile remonte ta culotte et vient me voir !
Le ciel tombait sur la tête de la fesseuse punie. Elle n’osa pas désobéir, même si elle était devenue une maman sévère, son éducation stricte lui interdisait de résister à sa mère. Elle remit sa culotte en place et lentement se tourna, elle fixait le sol pour ne pas croiser le regard de la jeune femme. Celle-ci poussa un petit cri en la reconnaissant :
— Oh, madame Odile, si je m’attendais à ça ?
Odile avait les joues très rouges, elle ne disait rien, elle fixait toujours ses chaussures, c’est Claudine qui reprit la parole.
— Il n’y a plus de madame Odile, quand on est une vilaine fille qui reçoit encore la fessée, on n’a pas droit à ce titre. Tu pourrais dire bonjour, ou faut-il que je t’aide !
La pauvre Odile atteignait le fond de l’humiliation, elle avait les larmes aux yeux, elle bredouilla :
— Pardon… bon… bonjour Émilie. Aïe, aïe…
Deux solides claques venaient d’atterrir sur son fessier.
— Quand on est polie, on dit mademoiselle, répète !!!
— Euh… Aïe, aïe, aïe… pardon, bonjour mademoiselle Émilie.
La main de Claudine avait encore claqué la large croupe de sa fille pour l’inciter à obéir plus rapidement :
— Décidément, tu as vraiment besoin d’une sérieuse reprise en main. Viens ici, mademoiselle Émilie va pouvoir assister à ta fessée déculottée.
En un clin d’œil l’impensable se produisit devant les yeux intéressés de la jeune femme. La maman si sévère qui n’hésitait jamais à trousser et à déculotter ses filles devant elle se retrouvait en position disciplinaire, la tête près du sol, les pieds décollés et la croupe pointant vers le ciel. La jupe était déjà retroussée, la culotte rose ornée de dentelle moulait le large fessier. Émilie ne l’avait pas remarqué jusqu’à présent, mais Odile avait une magnifique paire de fesses, un beau derrière bien large, confortable aurait dit sa mère qui avait la main leste. Claudine regarda la jeune femme en souriant :
— Il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée cul nu par sa maman, n’est-ce pas ? Je crois même que c’est de plus en plus efficace avec les années qui passe. Ma petite Odile va nous montrer ses fesses, elle va avoir bien honte et elle ne recommencera plus.
La culotte descendait inexorablement, Claudine prenait son temps, Émilie était fascinée par le spectacle, elle sentit qu’elle mouillait. La lingerie était arrivée à mi-cuisse, les fesses de la sévère maman redevenue une gamine était serrée, sa mère les tapota :
— Allez, tu me desserres ces fesses, de toute façon tu vas l’avoir ta déculottée et je te promets que tu vas t’en souvenir longtemps.
Elle se tourna vers la jeune maraîchère :
— Madame ne fait plus la fière, elle croyait qu’elle était trop grande pour se faire baisser la culotte. Votre présence rend la punition encore plus efficace.
Elle écarta un peu les cuisses d’Odile pour la forcer à desserrer ses fesses, c’était trop pour la sévère maman, elle se mit à pleurer :
— Pardon, maman, s’il te plaît, non pas ça… Aïe, aïe, aïe…
La main de Claudine venait de claquer l’arrière des cuisses :
— Comment ? Qu’est-ce que j’entends. Non mais c’est pas vrai, tu crois encore que c’est toi qui décides ? Quand on est dans ta position, les fesses à l’air, on ne dit rien !
La main continuait de claquer les cuisses qui devenait rouge rapidement :
— Tu écartes les cuisses et vite ! Je veux qu’Émilie voie bien tes fesses !
Avec deux doigts elle écarta les deux globes pour mettre à jour la large raie fessière.
— Voila tu as bien honte j’espère, ne t’inquiète pas je n’en ai pas fini avec ton petit trou, mais pour le moment, on va échauffer ton bon gros derrière.
Émilie était sidérée par la sévérité de Claudine, elle comprenait mieux la stricte éducation qu’Odile imposait à ses filles et aux deux étudiantes, elle avait été à bonne école.
Maintenant la fessée retentissait dans la pièce, les claques atterrissaient avec une force et une vitesse remarquable sur la belle croupe, elle fut rapidement écarlate. Odile gigotait, sur les genoux de sa mère comme une gamine punie, elle donnait des coups de pieds dans le vide ses fesses s’ouvraient toute seules maintenant, ce fut une magistrale correction. Depuis dix-neuf ans, elle n’avait pas reçu de fessée déculottée, en une seule fois Claudine semblait vouloir rattraper le temps perdu, elle s’appliquait à n’oublier aucun morceau de la surface fessière. Odile pleurait à chaude larme, elle suppliait sa mère d’arrêter la punition, promettait d’être sage ce qui faisait sourire la jeune spectatrice. Décidément une bonne fessée déculottée avait vraiment des pouvoirs extraordinaires, transformer en quelques instants une sévère mère de famille en une gamine éplorée, pleurant et se tortillant sur les genoux de sa fesseuse.
Toutes les bonnes choses ont une fin, la correction cessa et en pleurs, tenue par l’oreille, la culotte entortillée autour de ses chevilles, Odile regagna son coin. Elle mit immédiatement ses mains sur sa tête.
La punition publique était terminée mais Claudine n’en avait pas fini avec ses fesses. Émilie prit congé.
Odile avait littéralement le feu aux fesses, elle pleurnichait dans son coin, elle savait que le lendemain elle allait devoir affronter le regard de la jeune femme quand elle viendrait lui livrer des légumes.
Sa mère était au téléphone avec sa sœur, Jacqueline la tante d’Odile était aussi sévère que Claudine, elle était vieille fille et n’avait pas d’enfant, elle s’était donc souvent occupée des deux sœurs et comme leur mère elle ne s’était pas gênée pour les déculotter à chaque fois qu’elle jugeait nécessaire de sévir.
Claudine était tellement contente d’avoir redécouvert le plaisir de rougir une paire de fesses qu’elle voulait en faire profiter Jacqueline :
— Coucou, c’est moi. Tu ne devineras jamais qui est au coin du salon avec les fesses bien rouges ?
— …
— Allez je te donne un indice, tu connais son derrière et il est bien potelé.
— …
— Non, non pas, Amélie, oui elle a de jolies fesses, mais celles-là sont plus matures, si tu vois ce que je veux dire…
— …
— Non, pas Ingrid, mais tu brûles… Des fesses un peu plus âgées…
— …
— Oui, c’est ça, notre petite Odile vient de recevoir la fessée déculottée qu’elle méritait depuis longtemps, et je te promets qu’elle a été magistrale, son gros derrière est bien rouge et je ne vais pas m’arrêter là.
— …
— Mais oui bien sûr, si elle la mérite, surtout ne te gêne pas, tu la déculottes et tu lui flanques la fessée, pour Ingrid c’est pareil, à partir d’aujourd’hui on repart sur de bonnes bases. Ces deux chipies vont à nouveau nous montrer leurs fesses.
Odile était atterrée d’entendre sa mère parler d’elle à sa tante comme si elle était encore une gamine. Elle se souvenait de Jacqueline et de sa perversité, elle détestait aller en vacances chez elle. Les châtiments corporels étaient la règle et même si elle savait se montrer câline, son niveau d’exigence était tel qu’il ne se passait pas un jour ou l’une des deux sœurs et souvent les deux se retrouvent la jupe troussée et la culotte aux chevilles en train de brailler sous l’effet d’une magistrale fessée déculottée, s’ensuivait inexorablement de longs moments au coin les fesses nues et bien rouges.
Les déculottées avaient lieu quel que soit l’endroit et la présence de public n’était en aucun cas un obstacle à l’administration du châtiment. Ingrid et Odile avaient eu l’honneur de montrer leurs derrières à d’innombrables personnes dans le village où mademoiselle Jacqueline officiaient en tant qu’institutrice.
La perspective de devoir à nouveau se plier à la redoutable autorité de sa tante n’avait rien de réjouissant. Surtout que dès qu’elle eut raccroché, Claudine lui annonça que tatie Jacqueline s’était invitée pour la semaine suivante, elle ajouta en riant :
— Ça lui tarde de revoir à nouveau les jolies fesses de ses nièces.
Elle s’était approchée de sa grande fille et elle lui palpait les fesses :
— Elles sont bien chaudes, mais je pense que tu te rappelles que quand maman n’est pas contente, une petite fessée déculottée ne suffit pas. Viens un peu par ici.
Elle avait saisi l’oreille de sa fille et elle la conduisit à la cuisine. Elle désigna une chaise :
— Tu vas t’asseoir, j’ai un petit travail à te confier.
Odile un peu inquiète posa délicatement son large fessier brûlant sur le siège, sa petite grimace fit sourire sa mère :
— On a mal à son petit cucul ?
Elle posa une racine de gingembre et un couteau devant Odile :
— Tu vas préparer toi-même ton suppositoire au gingembre, tu le fais bien gros, ton derrière est plus large que celui de Chloé, il faut que tu le sentes bien. De toute façon si ça ne me convient pas tu recommenceras et tu auras droit à une fessée supplémentaire en prime. Dépêche-toi, on ne va pas y passer la journée !
Odile, rouge de honte s’attela à sa tâche, c’était un dilemme, elle craignait un trop gros suppositoire dans ses fesses et le faire trop petit l’exposait à une nouvelle punition. Elle opta pour le moyen terme, sculptant dans la racine de gingembre un suppo de taille moyenne qu’elle trouvait quand même un peu gros pour pénétrer dans son petit trou.
Claudine vaquait à ses occupations en la surveillant du coin de l’œil, quand elle vit que sa fille avait terminé, elle approcha en souriant, puis saisit avec deux doigts le suppositoire de gingembre :
— Tu te moques de moi. Viens un peu par ici.
Elle avait saisi Odile par l’oreille et l’avait conduit devant la glace du salon, elle la fit pivoter pour que ses fesses se reflètent dans le miroir :
— Tu vois bien ton gros derrière ? Et tu penses que ce ridicule petit suppo va suffire à le garnir ?
Elle avait pris soin de saisir une cuillère en bois avant de quitter la cuisine :
— Je t’avais prévenue !
Elle ceintura Odile la courba sous son bras comme une vulgaire gamine et leva la cuillère en bois qu’elle abattit une vingtaine de fois sur la large croupe, celle-ci reprit rapidement une magnifique couleur pourpre. La maman fessée, trépignait sur place et hoquetait sous la cuisson :
— Noon… Aïe, Aïe… Ça brûle maman, non, non pardon maman…
Odile n’était plus une dame de quarante-cinq ans, mais une fillette punie sévèrement par sa maman pour une désobéissance.
Claudine la relâcha enfin :
— Tu files te remettre au travail et vite et gare à toi si la taille ne me convient pas.
En reniflant, Odile reposa délicatement son fessier endolori sur la chaise et recommença à préparer l’instrument de sa punition. Quand elle eut fini, elle le contempla avec angoisse, ce gros plug allait pénétrer dans son petit trou du cul comme disait Claudine. Celle-ci sembla satisfaite, elle saisit le suppo de gingembre et l’épointa légèrement et fit une encoche à la base afin qu’il reste bien coincé entre les fesses de la punie :
— Voilà un bien joli suppositoire, tu vas voir comme ton petit trou va être content de l’accueillir :
Claudine souriait en tenant l’engin entre ses doigts, elle fit lever Odile et prit sa place sur la chaise :
— Allez ma petite chérie, il est temps de passer à la suite de ta punition, en position que je voie bien tes fesses.
Odile avait les larmes aux yeux, décidément sa mère n’avait rien perdu de sa sévérité, elle se coucha sans discuter en travers de ses cuisses, elle sentit à sa grande honte qu’elle écartait ses fesses avec deux doigts :
— Allez ma chérie, détends-toi un peu. Il faut que tu te laisses faire. Tu sais que maman n’aime pas quand tu serres les fesses. Voilà c’est bien.
Odile savait que sa mère n’hésiterait pas à lui claquer à nouveau les fesses et même si elle avait peu d’illusion, elle espérait en étant docile diminuer sa punition. Claudine de son côté savourait la nouvelle attitude de sa grande fille, décidément elle n’aurait jamais dû arrêter d’utiliser les bonnes vieilles méthodes. Même adultes, ses filles avaient besoin d’une main ferme pour les guider. Les fesses largement écartées offraient une vue parfaite sur l’intimité de la maman punie, sa raie fessière, la rondelle brune de l’anus et plus bas la vulve gonflée. Claudine passa son doigt au fond de la raie médiane, les fesses se contractèrent légèrement, elle s’attarda sur le petit trou central en le titillant :
— Détends-toi ma chérie, je sais que ce n’est pas très agréable à ton âge d’exposer tes fesses comme ça, mais la prochaine fois tu réfléchiras avant de mal parler à ta maman.
Elle posa le suppositoire sur l’orifice et le poussa doucement, Odile se mit à gémir :
— Oh, non, non… maman…
Claudine souriait devant le désarroi de sa grande fille redevenue une adolescente soumise :
— Quoi donc ma chérie ? Tu ne veux pas que maman te mettes le suppo dans les fesses ?
Inexorablement, celui-ci pénétrait, soudain la brûlure commença et Odile se mit à supplier :
— Maman, maman… Non, non… ça brûle… non…
Elle avait oublié comment le gingembre pouvait être douloureux elle compatissait soudain au sort de Chloé, elle avait littéralement le feu au derrière, elle battait des pieds désespérément, elle ne pouvait pas serrer ses fesses que sa mère tenait toujours largement écartées. Le suppositoire avait quasiment disparu dans le fondement de la punie, Claudine tapota la croupe rougie :
— Voila, il est bien place, ce n’est pas la peine de vouloir le faire sortir, tu vas le garder un bon moment, je te promets qu’après ça tu n’auras plus envie de mal me parler. Maintenant passons à la fessée.
Odile se mit à pleurer de plus belle :
— Noon… Noon… pas la fessée, pardon maman…
Claudine se mit à rire :
— Et pourquoi donc pas la fessée, on dirait que tu as oublié ce qui arrive quand on est impolie. Quand une jeune fille parle mal, elle a droit à un bon gros suppositoire au gingembre dans son derrière et à une bonne fessée déculottée sur ses bonnes grosses fesses de vilaine fille !
Odile s’en souvenait bien sûr, mais on espère toujours échapper à la punition, soudain elle poussa un cri, sa mère venait de commencer la fessée. Elle avait pris à nouveau la cuillère en bois et méthodiquement elle claquait les larges fesses qui tressautaient à chaque coup. La pauvre maman ne savait plus ce qui était le plus douloureux, la brûlure du suppositoire dans son fondement ou la cuisson de son fessier. Claudine tout à sa joie d’avoir à nouveau autorité sur sa fille n’était pas disposée à l’indulgence, la correction fut sévère. La belle paire de fesses d’Odile était maintenant écarlate du bas des reins jusqu’à l’arrière des cuisses, elle se serrait convulsivement ce qui augmentait la brûlure du suppositoire, c’était le but, rendre cette punition exceptionnellement cuisante. Enfin la sévère matrone reposa la cuillère et caressa les fesses brûlantes :
— Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée. Tu recommenceras encore à mal parler à maman ?
Odile sanglotait, une petite claque sur son derrière brûlant la ramena à la réalité, il lui fallait répondre, comme une gamine obéissante :
— Non, non maman promis… pardon… ça brûle…
En effet si la fessée était terminée, le redoutable suppositoire de gingembre continuait son effet. Claudine souriait, sa grande fille allait se souvenir longtemps de cet après-midi et nul doute qu’elle serait docile à l’avenir. Elle tapota la croupe cramoisie et fit coulisser légèrement le suppositoire :
— Je sais ma chérie, c’est fait pour ça la fessée déculottée et tu vas garder ce suppositoire un moment pour que la sagesse rentre bien dans ton derrière, maintenant tu vas aller au coin.
Odile se remit à pleurer :
— Oh non maman, s’il te plaît plus le suppositoire, non… aïe, aïe.
La main de Claudine avait repris du service, une nouvelle fessée crépita dans la pièce :
— Qu’est-ce que c’est que ces manières ! Ah tu ne veux pas obéir et bien tu vas voir…
Odile reçut donc une fessée supplémentaire, elle hurlait et se débattait mais bien maintenue par sa mère, ses fesses reçurent leur dû.
Claudine la relâcha enfin et la fit de redresser :
— Maintenant tu files au coin et je ne veux plus t’entendre. Mets tes mains sur la tête et ton nez contre le mur !!
Odile était vaincue, elle s’empressa d’obéir, la sentence tomba :
— Puisque tu as l’intention de raisonner et bien tu vas garder ce suppositoire pendant une heure, tu auras le temps de méditer à ta conduite.
C’était sans doute la plus sévère punition qu’elle ait jamais reçue, seule sa sœur Ingrid avait dû garder le gingembre aussi longtemps dans son derrière, mais elle n’avait pas reçu autant de fessée qu’Odile avant d’aller au coin.
I enjoyed this episode a lot....Mature bottoms in corner again. Eager what happens next
RépondreSupprimerChinmay
Bientôt une suite mon cher Chinmay, mais soyez patient, j'écris plusieurs récits en parallèle. En ce moment je continue Lucie et Christian, mais je vais bientôt m'occuper des fesses des étudiantes et de leur maman.
RépondreSupprimerSylvie