jeudi 25 juillet 2024

Hubert 3

Punition publique



Hubert n’était pas très fier en arrivant à la maison, Valérie l’avait prévenu par SMS, ton bureau n’est pas rangé, tu sais que je supporte pas le désordre tu peux préparer tes fesses.

Sa tendre et douce ne plaisantait pas avec la discipline et le rangement, il n’avait pas eu le temps ce matin, il comptait s’y mettre en rentrant avant qu’elle ne s’en rende compte.

Quand il entra dans la pièce son sang se glaça, Valérie prenait le thé avec trois amies, il les connaissait bien, elles étaient au courant de la façon dont son épouse réglait les problèmes à la maison et son goût pour les méthodes d’éducation traditionnelle.

Elle ne se gênait pas, quand il fallait le punir, pour le déculotter et le fesser d’importance même devant elle si c’était nécessaire.

Elle l’accueillit avec un petit sourire qui en disait long sur ses intentions :

— Bonsoir mon chéri, c’est bien tu n’as pas traîné en route. Ça ne t’évitera pas la correction que tu mérites, mais au moins elle ne sera pas augmentée.

Hubert était rouge jusqu’aux oreilles, même si les dames présentes étaient au courant de la situation, se faire menacer devant elles d’une punition tel un gamin qui rentre de l’école était particulièrement humiliant. La suite serait pire, mais il ne le savait pas encore, son épouse continuait :

— Tu vas voir Caroline elle t’attends à l’office, elle va se charger de toi.

C’était encore pire que ce qu’il craignait, la jeune employée de maison secondait de temps en temps Valérie quand celle-ci était trop occupée pour corriger son mari. Elle l’utilisait également pour augmenter le caractère humiliant de la punition, en effet Caroline était tout juste âgée de 22 ans et se faire corriger tel un gamin par une aussi jeune femme était le comble de la honte pour Hubert.

La jeune femme s’était vite adaptée à ce rôle de seconde maman, elle était habituée aux fessées puisque malgré son âge sa tante n’hésitait pas à la coucher en travers de ses genoux et à lui baisser la culotte pour lui rougir le derrière quand c’était nécessaire.

Elle faisait montre d’une sévérité remarquable quand il s’agissait de punir « monsieur ».

Il frappa à la porte et attendit le cœur battant, ses fesses étaient déjà serrées. Caroline le fit entrer, un grand sourire illuminait son visage, depuis que madame lui avait demandé de la seconder dans la reprise en main de l’éducation de son mari, elle s’était découvert une passion pour la fessée et les châtiments corporels.

— Ah vous voilà, approchez !!

Le regard était devenu sévère, dès que le monsieur redevenu un gamin fut à sa portée elle le saisit par l’oreille :

— Venez avec moi.

Elle le conduisit jusque dans sa chambre :

— Vous enlevez votre pantalon !

Hubert se pressa, il commençait à connaître la jeune femme et sa sévérité. Caroline fouilla dans sa commode et en sortit une de ses culottes, une classique petite culotte blanche en coton ornée de dentelle au niveau des cuisses. Elle regarda avec un petit sourire ce monsieur en sous vêtement avec les joues très rouges :

— Enlevez votre culotte et mettez celle-là. Aujourd’hui, c’est culotte de punition, vous l’avez bien cherché, comptez sur moi mon petit ami, vous allez regretter votre paresse. Madame m’a demandé de vous soigner, je ne vais pas la décevoir.

Hubert résigné enleva son boxer, il avait bien remarqué que la jeune femme lui avait dit d’enlever sa culotte, comme s’il était encore un gamin. Caroline lui tendit le sous-vêtement féminin.

Elle avait une croupe rebondie, mais la culotte eut du mal à cacher le fessier d’Hubert. Son derrière débordait largement laissant voir le pli fessier et le bas de sa croupe. Caroline le fit pivoter pour admirer son anatomie postérieure :

— C’est parfait vous êtes très mignon, vous garderez cette culotte toute la soirée.

Elle s’installa sur une chaise et fit un petit signe à Hubert :

— En position, je vais m’occuper de votre derrière.

Docilement le monsieur, se coucha en travers des genoux de la jeune femme, la différence d’âge n’y faisait rien c’était lui le puni, et il allait recevoir ce châtiment enfantin. Elle palpa le fessier tendu sous la culotte, la position et l’étroitesse du sous-vêtement le faisait rentrer dan la raie médiane découvrant à moitié la croupe :

— On va commencer par une fessée d’échauffement sur la culotte.

Caroline leva la main et commença à claquer très fort le derrière d’Hubert, en fait d’échauffement, c’était une vraie fessée qu’il recevait, la jeune bonne visait surtout la base des fesses qui était dénudée. Le puni commença rapidement à gémir et à se tortiller sur les genoux de la jeune femme qui se mit à rire :

— Monsieur à chaud à son popotin on dirait ? Continuer à gigoter comme ça, c’est très mignon.

Hubert s’était juré de rester stoïque, mais la brûlure commençait à gagner ses fesses il ne put s’empêcher de pousser des petits cris. La rougeur dépassait maintenant de la culotte, Caroline décida qu’il était temps de passer à la vraie fessée déculottée Elle glissa ses doigts dans la ceinture du sous-vêtement et le fit glisser sur les fesses :

— On va examiner ce bon gros derrière, voilà cul nu comme un sale gosse, c’est tout ce que vous méritez !

Elle baissa la culotte à mi-cuisse puis elle reprit la correction, les claques étaient uniformément réparties, Caroline procédait comme sa tante quand celle-ci s’occupait de lui rougir les fesses, la fesse droite puis la gauche, le centre de la fesse puis la base et ensuite le haut des cuisses et ainsi de suite sans s’arrêter aux supplications du puni, à ses battements de jambes ou à ses pleurs. 



Quand elle cessa la fessée, l’intégralité de la croupe était d’un beau rouge profond. Elle fit relever Hubert, des larmes coulaient sur ses joues, elle lui montra le bureau :

— Allez me chercher la règle plate, je pense que vos grosses fesses ont besoin d’un peu plus que ma main pour être bien corrigées.

Tête basse, Hubert se dirigea vers la table, ses fesses écarlates dodelinaient au rythme de la marche, c’était vraiment très excitant, Caroline était ravie de son nouvel emploi. Il revint tout penaud et tendit l’instrument de sa punition à la jeune femme. Celle-ci lui jeta un sourire coquin et fit claquer la règle dans la paume de sa main :

— Ça va claquer sur ton derrière mon petit ami, tu aimes bien quand Mademoiselle Caroline te flanque la fessée cul nu n’est-ce pas ?

Elle était passée naturellement au tutoiement, après tout ce monsieur qui lui présentaient ses fesses était plutôt un gamin qu’un cadre dirigeant dans une grande entreprise. La question attendait une réponse, la règle claqua la cuisse droite :

— Alors ? Tu aimes venir te faire rougir les fesses ?

— Non, aïe, aïe, pardon mademoiselle, ça brûle !!!




Caroline l’avait fait pivoter et lui avait claqué une dizaine de fois le fessier rougeoyant :

— Ah tu n’aimes pas que je te flanque la fessée ? Pourquoi fais-tu des bêtises alors ? Tu sais pourtant comment ça fini à chaque fois, déculotté en travers de mes cuisses et les fesses bien rouges. Moi je crois que tu dois quand même bien aimer me présenter ton derrière. Eh bien je vais te faire plaisir, allez en piste et vite !!

Elle bascula brutalement le pauvre Hubert, sa tête touchait presque le plancher, ses pieds étaient décollés du sol et ses fesses pointaient honteusement vers la jeune femme. Il se retrouvait dans la même position que quand il était gamin et que sa mère le punissait, sauf que la maman aujourd’hui avait tout juste 22 ans. La règle s’abattit avec un bruit sec sur les fesses. La cuisson devint rapidement insupportable et Hubert éclata en sanglot. Caroline était satisfaite, une bonne fessée déculottée se finit toujours par les pleurs du puni. Elle continua quand même à claquer le derrière écarlate, elle ne voulait pas abréger son plaisir et puis monsieur avait besoin d’une bonne leçon. Elle posa enfin la règle et caressa les fesses, elles étaient brûlantes, elle souriait, satisfaite du résultat, elle remonta la culotte sur le derrière rougeoyant comme l’aurait fait une maman :

— Voilà, c’est fini pour moi, tu vas aller montrer tes fesses à madame, je crois que tu n’en as pas terminé avec ta punition.

Elle le fit relever et lui désigna la porte :

— Dépêche-toi ! Oui tu restes en culotte de punition, c’est la tenue adaptée à ton cas.

Elle administra une claque sèche sur le derrière culotté et regarda Hubert se diriger vers le salon, la rougeur de ses fesses débordait de la culotte et descendait sur le haut des cuisses. Ainsi tout le monde pouvait constater que ce monsieur aux yeux rougis venait de se prendre une magistrale correction.

Il entra tête basse dans la pièce, Valérie avait donc invité trois de ses amies à prendre le thé et accessoirement à assister à la punition de son mari.

Il y avait Jeanne une professeure de français, âgée de 50 ans, Laetitia une jeune voisine, comptable âgée de 30 ans et Marie une médecin âgée de 55 ans.

Elles étaient toutes au courant de la condition d’Hubert et de la façon dont Valérie réglait les problèmes à la maison. Elles avaient toutes assisté au moins une fois à une correction du mari de la maîtresse de maison.

Elles sourirent en voyant ce monsieur, les joues rouges portant une petite culotte blanche féminine, Valérie l’accueillit en plaisantant :

— Alors mon petit ami, Caroline s’est bien occupée de toi ? On va vérifier ça, approche et tourne-toi.

Hubert s’exécuta, Valérie le plaça de tel façon qu’il tourne le dos aux trois spectatrices. Elles purent admirer les fesses moulées dans la culotte, la base du derrière écarlate ainsi que le haut des cuisses.

— À ce que je vois, elle t’a bien soigné, voyons ça de plus près.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture et baissa la culotte sous les fesses. Les trois dames poussèrent un petit “oh” de surprise en découvrant la croupe cramoisie. La jeune bonne s’était surpassé, Valérie palpa le fessier de son mari :

— C’est parfait, mais pas suffisant, rassure-toi, maman Valérie va s’occuper aussi de ton bon gros derrière. Tu vas aller te mettre au coin, le temps que je finisse mon thé.

Hubert connaissait ce rituel d’avant correction, il se dirigea vers le coin de la pièce, posa son nez contre le mur et mit ses mains sur sa tête. L’endroit où il se trouvait n’était pas choisi au hasard, les quatre spectatrices avaient une vue parfaite sur son fessier sans avoir besoin de tourner la tête.

Valérie reprit la conversation sans plus se soucier du monsieur de 50 ans qui exposait sa croupe cramoisie aux yeux de trois dames comme si c’était une situation normale. Bien sûr la discussion portait sur les bienfaits d’une éducation stricte et la nécessité d’utiliser la fessée déculottée même et surtout chez un adulte.

Jeanne la professeure de français regrettait de ne plus pouvoir l’utiliser sur ses grandes élèves. Elle était divorcée et elle leur avoua que si elle avait su, elle aurait utilisé cette méthode avec son ex, ça aurait certainement sauvé son couple. Marie jetait un regard intéressé au fessier d’Hubert, elle était lesbienne mais n’était pas insensible au charme de ses fesses rebondies et bien rouges, elle en fit la remarque à Valérie :

— Ton petit chéri à vraiment une jolie paire de fesses, avec sa petite culotte blanche on dirait un derrière de fille.

Elle jeta un regard gourmand vers Laetitia, la jeune femme possédait une magnifique croupe et elle n’était pas insensible aux avances de la sévère docteure.

Elle demanda innocemment :

— Tu vas le laisser longtemps au coin ?

Valérie se mit à rire :

— Tu es si pressée de le voir gigoter sur mes genoux ? Ça va venir rassure-toi, mais il faut que son fessier refroidisse un peu, l’administration d’une deuxième correction sur des fesses rouges mais moins brûlantes et encore plus douloureux, c’est le but d’une bonne punition n’est-ce pas ?

Hubert contractait ses fesses pour essayer d’atténuer la cuisson, la suite s’annonçait difficile pour lui.

Valérie l’appela enfin :

— Remonte ta culotte et viens me voir.

Il s’exécuta, il savait que ses fesses n’allaient pas rester longtemps cachées, son épouse adorait le déculotter une fois qu’il était allongé en travers de ses cuisses.

Elle le prit par la main et le fit basculer sur ses genoux, il se retrouvait à nouveau en position disciplinaire mais cette fois, en public. Valérie lui avait déjà imposé l’humiliation d’une punition publique mais c’était la première fois qu’il y avait autant de spectatrices. Se faire baisser la culotte fut donc une épreuve supplémentaire, il savait que quatre paires d’yeux étaient braqués sur son fessier. Contrairement à tout à l’heure où elle l’avait déculotté rapidement pour constater les résultats de la correction de Caroline, la sévère épouse prit son temps, la culotte glissa lentement sur la croupe, elle la descendit à mi-cuisses. Ses trois amies avaient une vue parfaite sur le fessier d’Hubert, elle tapota le derrière encore bien rouge :

— Alors mon petit chéri, j’espère que tu commences à comprendre que je ne tolérerai plus aucune désobéissance, je pense qu’après la correction que tu vas recevoir tu n’auras pas envie de recommencer.

Elle leva la main et commença à claquer les fesses tendues devant elle. La paume bien ouverte, elle frappait à toute volée le derrière de son mari redevenu un gamin puni par sa maman. Si la cuisson n’avait pas été si forte, il aurait repensé à la correction que sa mère lui avait administrée un jour qu’elle l’avait surpris à fumer, la présence de la voisine et de sa grand-mère ne l’avait pas gênée pour lui flanquer une bonne fessée déculottée et l’envoyer au coin avec les fesses bien rouges.

Pour le moment il était loin de ses pensées, il gigotait honteusement sur les genoux de Valérie, ses pieds battaient l’air désespérément et rapidement il se mit à gémir. La sévère fesseuse avait raison la deuxième fessée était encore plus douloureuse quand on laissait un peu refroidir le derrière.

Les trois spectatrices étaient impressionnées par la sévérité de la punition, mais elles n’étaient pas au bout de leur surprise. Valérie cessa la fessée et fit relever le puni :

— Va me chercher la brosse à cheveux dans la chambre.

En pleurnichant mais sans oser frotter sa croupe brûlante, Hubert sortit de la pièce en exposant ses fesses cramoisies qui dodelinaient au rythme de ses pas. Laetitia se mit à rire :

— Quel cul bien rouge, tu ne l’as pas loupé, tu vas le fesser avec la brosse ?

Valérie la regarda en souriant :

— La nature l’a doté d’une bonne paire de fesses, une fessée manuelle est largement insuffisante pour lui remettre les idées en place.

Jeanne approuva :

— Ma grand-mère disait que les consignes rentraient mieux par les fesses que par les oreilles.

Marie regarda Laetitia en riant, et ses yeux descendirent vers son postérieur :

— Les fesses bien rebondies attirent toujours la fessée, tu devrais faire attention ma chérie.

La jeune femme piqua un fard, heureusement pour elle, Hubert revenait avec l’instrument de sa punition. Quelques secondes plus tard, il hurlait et se débattait sous l’effet de la brûlure intense infligée à son fessier par la brosse.



Valérie ne tenait bien sûr aucun compte des supplications et des pleurs de son mari, il avait mérité cette correction, elle irait à son terme. Une centaine de coups de brosse s’abattirent sur les fesses du pauvre Hubert, elles étaient d’un rouge profond et gonflée quand elle l’autorisa à se relever :

— Tu vas aller montrer tes fesses à ces dames, pour qu’elles puissent voir comment je traite les désobéissants.

Penaud et pleurant encore, il se présenta pour commencer devant Laetitia, elle passa sa main sur les fesses écarlates :

— Olala que c’est chaud, penche-toi un peu mon garçon.



Elle avait vingt ans de moins qu’Hubert mais ça n’avait plus aucune importance, il n’était plus qu’un vilain garnement corrigé en public. Elle claqua sèchement le fessier à une dizaine de reprises :

— J’espère que ton vilain derrière te brûle. Recommenceras-tu à faire des bêtises ?

Elle prenait au sérieux son rôle de spectatrice sévère, Hubert savait qu’il lui fallait répondre malgré sa honte, en gémissant il réussit à parler :

— Non, non mademoiselle, promis je ne désobéirai plus.

La jeune femme satisfaite lui claqua une nouvelle fois les fesses :

— Va voir Jeanne !

Il se déplaça vers la sévère professeure, elle souriait ravie de pouvoir satisfaire ses pulsions. Elle prit la main du puni et sans façon le fit basculer en travers de ses genoux

— On va examiner de plus près ce bon gros derrière.

Elle palpa les fesses brûlantes, sa main descendit sur les cuisses et s’immisça entre puis elle remonta et ses doigts écartèrent largement les deux hémisphères. Les trois spectatrices étaient un peu surprises de cette inspection humiliante mais ô combien excitante. Hubert pleurait à la fois de douleur et de honte, mais il se laissait faire. Valérie était satisfaite la punition publique serait encore plus bénéfique, Jeanne la regarda :

— Tu permets ?

En souriant la sévère épouse acquiesça :

— Je t’en prie, il faut qu’il s’en souvienne.

La professeure leva la main et Hubert reçu une énième fessée, elle fut courte mais magistrale. La fesseuse repensait à son ex-mari et au plaisir qu’elle aurait eu à lui faire subir le même sort.



Quand le puni put se relever, il se dirigea sans qu’on lui demande vers Marie, elle souriait en voyant arriver ce monsieur larmoyant :

— Cesse de pleurnicher, la prochaine fois tu réfléchiras avant de faire des bêtises.

Elle coucha elle aussi Hubert en travers de ses cuisses et sans demander l’autorisation, lui claqua une dizaine de fois les fesses brûlantes, puis elle se pencha vers la table et saisit la brosse :

— Tu as raison Julie, un si beau derrière mérite une vraie fessée.

Hubert essaya de protester :

— Bon, non madame, plus la fessée, ça brûle trop… Aïe, aïe, aïe…



La brosse avait commencé à claquer la croupe cramoisie :

— Je t’ai dit de cesser de pleurnicher, tu as mérité cette fessée et tu l’auras un point c’est tout.

La cinquantaine de coups de brosse généreusement distribué furent le bouquet final de cette correction. Quand Hubert se releva, il sautillait sur place, il n’avait pas le droit de frotter ses fesses et rien n’atténuait la cuisson qui lui embrasait le postérieur. Sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, Valérie le fit approcher et la remonta à mi-cuisses :

— Maintenant tu files voir Caroline, elle va finir de s’occuper de toi.

La jeune femme l’attendait à la cuisine, elle avait entendu les différentes fessées reçues par Hubert, elle l’accueillit en souriant :

— Alors, on a bien chaud à son petit derrière ?

Les larmes coulaient sur les joues du puni, il s’efforça de répondre, c’était obligatoire depuis qu’il était redevenu un gamin dont des dames sévères refaisaient l’éducation :

— Oui mademoiselle, ça brûle beaucoup.

Caroline le fit pivoter pour examiner ses fesses :

— Mazette, madame a été sévère, mais tu l’avais bien mérité celle-là. Viens un peu ici, on va contrôler ta température.

Hubert blêmi, c’était une dernière humiliation, son épouse lui avait déjà imposé la prise de température rectale, mais jamais la jeune bonne ne l’avait fait. Il n’était cependant pas en situation de protester.

Caroline s’était assise sur une chaise et lui désignait ses cuisses, la honte serait encore plus grande de se faire mettre un thermomètre dans les fesses dans cette position.

Il se coucha en travers des genoux de la jeune femme, celle-ci avait préparé l’instrument médical, elle s’en saisit, écarta avec deux doigts les fesses brûlantes. Hubert pleurait mais se laissait faire, il sentit le thermomètre pénétrer dans son fondement. Caroline prenait son temps, sa mère lui avait imposé cet humiliant traitement jusqu’à ses quinze ans, elle se doutait de la honte que devait ressentir ce monsieur d’âge mûr. Mais outre qu’elle obéissait aux consignes de sa maîtresse, elle prenait réellement du plaisir à corriger ce monsieur, elle s’était découvert un goût certain pour l’autorité.

Le thermomètre était maintenant profondément enfoncé, il ne dépassait presque plus quand la sévère jeune femme relâcha les deux hémisphères. Elle claqua sèchement les fesses :

— Voilà, il est bien en place, ne t’avise pas de le faire ressortir, tes fesses en payeraient le prix. Tu vas aller te mettre au coin, les mains sur la tête, tu y resteras jusqu’à l’heure du repas. Pour le thermomètre, on verra quand je te l’enlèverai.

Elle avait repris spontanément le tutoiement dès qu’elle avait recommencé la punition.

Comme Hubert pleurait encore et que ses sanglots étaient trop bruyants, elle s’approcha et lui claqua les fesses une dizaine de fois :

— Je ne veux plus t’entendre, sinon c’est retour sur mes genoux immédiatement.



 

 





1 commentaire:

  1. Pauvre Hubert, elles l’ont pas raté !!
    Je pense que Laetitia est la prochaine a recevoir la fessée de la par de Marie, qui a l’air intéressée 🍑🔥🍑 j'ai hâte

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