Deux derrières bien rouge
La deuxième correction d’Hubert était maintenant terminée, il pleurait comme un gamin puni par sa maman, celle-ci palpait son derrière :
— Voilà une paire de fesses bien rouges et bien chaudes, tu vas aller les faire refroidir au coin.
Elle le fit se relever, il dut enlever complètement son pantalon. Valérie songea que la prochaine fois, elle lui ferait enlever avant la punition, elle remonta la culotte à mi-cuisses et lui saisit l’oreille comme s’il était un garnement puis de sa main libre elle lui claqua sèchement les fesses :
— En route mon garçon, tu vas rester un bon moment au coin fesses à l’air, ça va te permettre de réfléchir.
La main n’avait pas cessé de claquer la croupe cramoisie, jusqu’à ce que le pauvre Hubert eut posé son nez contre le mur et mit ses mains sur sa tête. Valérie se recula pour juger du résultat, elle était satisfaite, depuis le temps que sa main la démangeait. Elle se tourna vers Caroline :
— Alors comme ça, vous recevez encore la fessée ?
Ce n’est pas ce que lui avait dit sa jeune bonne, elle avait parlé de fessée reçue dans sa jeunesse, mais elle prêchait le faux pour savoir le vrai. Elle fut exaucée, Caroline protesta en rougissant :
— Oh non madame, plus maintenant…
— Ah bon ? J’avais pourtant cru comprendre que c’était le cas…
Elle regardait fixement Caroline, celle-ci ne savait plus où se mettre, elle jetait de temps en temps un regard vers le fessier rougeoyant d’Hubert :
— Euh, non, c’est-à-dire que ce n’est pas ma mère qui me donne la fessée…
Elle se rendit compte trop tard qu’elle avait employé le présent, le spectacle de la fessée déculottée reçue par Hubert avait fait remonter des souvenirs, la dernière déculottée de sa tante Ingrid remontait à un an, mais elle s’y voyait comme si c’était hier.
Elle l’avait surprise en train de fumer, elle ne supportait pas ce défaut et sans qu’elle ait pu protester, malgré ses 21 ans, elle s’était retrouvée couchée sur les genoux de sa tante, les fesses à l’air. La fessée avait été magistrale surtout qu’Ingrid avait utilisé également la brosse à cheveux.
Elle leva les yeux, Valérie la regardait fixement :
— Si ce n’est pas votre maman, c’est qui ?
Caroline était piégée, elle en avait trop dit ou pas assez. Elle commença sa confession. Valérie l’écoutait en souriant :
— Votre tante est sévère, mais c’est pour votre bien. Vous ne fumez plus ?
Caroline s’arrêta et piqua un énorme fard. Valérie la regarda sévèrement :
— Amenez-moi votre sac à main.
Comme un automate, la jeune femme alla le chercher. Valérie s’en saisit et commença à l’inspecter, elle en sorti en souriant un paquet de cigarette :
— Je ne sais pas ce que va en penser tatie Ingrid quand je vais lui dire ce que j’ai trouvé dans ton sac à main.
Caroline baissa les yeux, sa patronne était passée au tutoiement et elle était redevenue une adolescente prise en faute, elle protesta quand même :
— Madame, s’il vous plaît ne dites rien à ma tante.
Valérie savourait, elle n’avait jamais eu l’intention d’appeler Ingrid, mais le piège tendu à sa bonne semblait fonctionner :
— Je veux bien, mais reconnais que nous ne pouvons pas en rester là.
La jeune femme tourna les yeux machinalement en direction des fesses écarlates d’Hubert. Sa patronne allait-elle oser ?
La réponse fut rapide, Valérie avait surpris le regard de Caroline :
— Tu vois ce qui arrive quand on désobéit ? La fessée déculottée !!!
Caroline rougit violemment, ce mot la ramenait un an en arrière, elle pensait que maintenant qu’elle travaillait elle était passée du côté des grandes personnes, enfin de celles qui ne se font plus baisser la culotte pour un oui ou un non. En regardant les fesses rouges de monsieur Hubert, elle se rendit compte que finalement l’âge n’avait rien à voir.
Valérie s’était assise sur une chaise, elle fit un petit signe du doigt à la jeune femme :
— Viens un peu ici !
Caroline s’approcha lentement, quand elle fut contre ses genoux, Valérie glissa sa main sous la jupe et caressa les fesses par-dessus la culotte :
— Cette petite désobéissance restera entre nous, mais tu vas devoir me montrer ton petit derrière ma chérie.
La main sur sa croupe était caressante, la chaleur qui avait envahi son entre-jambe tout à l’heure remonta à nouveau, madame Valérie était autoritaire mais très sexy, son sourire coquin faisait oublier à Caroline la cuisson de la fessée qui s’annonçait. Une petite pression sur ses fesses l’incita à se coucher en travers des cuisses de sa sévère et perverse maîtresse.
En un clin d’œil la courte jupe fut retroussée sur les reins et la fine culotte rose ornée de dentelle apparu. Valérie apprécia à sa juste valeur ce fessier de jeune femme ferme et rebondi qui semblait vouloir sortir de la fine lingerie, la base des fesses avec le pli séparant la croupe des cuisses était bien visible. C’était vraiment très mignon, cette petite a vraiment un joli petit cul pensa-t-elle.
— Ta tatie Ingrid t’aurais sans doute flanqué une bonne fessée déculottée si elle avait trouvé ce paquet de cigarette n’est-ce pas ?
Sa main tapotait distraitement le derrière culotté, Caroline était aux prises à des sentiments opposés, c’était la première fois qu’elle se retrouvait couchée sur les genoux de quelqu’un d’autre que sa tante, c’était humiliant mais aussi légèrement excitant, elle était attirée par le sexe féminin et montrer ses fesses à une dame ne lui déplaisait pas, mais elle savait qu’une fessée ce n’est jamais très agréable.
Elle sentit les doigts de Valérie se glisser sous la ceinture de sa culotte, celle-ci glissa inexorablement. L’air frais sur son derrière la renseigna, elle était maintenant cul nu sur les genoux de sa maîtresse.
Valérie appréciait ce si joli fessier qui s’exposait dans toute sa plénitude devant ses yeux, décidément ce rôle de fesseuse lui plaisait de plus en plus, ses souvenirs d’enfance lui revenait maintenant. Elle avait un frère et une sœur plus jeune qu’elle et lors de leurs jeux, c’était toujours elle la maîtresse d’école et elle n’hésitait pas à les punir si elle le jugeait utile et le garçon aussi bien que la fille se retrouvait régulièrement déculotté et les fesses bien rouges. Curieusement ils ne s’étaient jamais plaint de ce traitement auprès de leur mère, celle-ci avait un métier très prenant et elle déléguait à sa fille aînée son autorité.
Cette situation de dominatrice sur son frère et sa sœur était donc rentrée dans les mœurs, si bien que même devenus adolescents, elle avait continué à les traiter sévèrement. Il lui arrivait assez régulièrement quand elle le jugeait nécessaire de leur administrer ce châtiment enfantin. Ils avaient développé tous les deux un certain masochisme qui leur faisaient accepter sans rechigner la fessée déculottée et la mise au coin cul nu après la punition.
Elle repensait à tout ça en caressant les fesses de Caroline, David son frère et Sophie sa sœur pourrait peut-être goûter à nouveau à la honte de la fessée déculottée, elle allait y réfléchir :
— Ces jolies fesses sont bien trop blanches, une bonne fessée déculottée va leur donner des couleurs.
Caroline serrait ses fesses, humiliée mais très excitée malgré tout. La fessée commença, elle ne fut pas trop sévère.
Valérie savait qu’elle aurait souvent l’occasion de coucher cette jeune écervelée sur ses genoux et de lui baisser la culotte, il ne fallait pas trop l’effaroucher pour la première fois. Cependant une fois remise sur ses pieds, elle n’échappa pas à la honte du passage au coin fesses à l’air. Valérie l’installa dans un autre coin de la pièce, mais de telle façon qu’assise sur son canapé elle puisse surveiller ses deux punis. Elle ressentit une légère excitation à ce spectacle pour le moins insolite de deux adultes exposant leur paire de fesses bien rouge. Elle avait pris soin de remonter la culotte de la jeune femme à mi-cuisses et de lui coincer la jupe dans la ceinture, spontanément Caroline avait posé ses mains sur la tête. Valérie avait apprécié « cette petite est déjà soumise, elle n’a pas fini de me montrer son derrière ».
Hubert va se retrouver en culotte courte comme un gamin a l avenir?
RépondreSupprimerExcitante histoire, beaucoup de personnes rêve d'être a la place de caroline 🍑
RépondreSupprimerVite un nouvel épisode ou gare à la fessee pour une paresseuse
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