Un nouveau récit, il n'y a pas que les dames qui doivent montrer leurs fesses, n'est-ce-pas messieurs. Peut-être le début d'une nouvelle série, on verra...
L'éducation d'Hubert
Hubert De Lasalle avait 50 ans, jeune homme de bonne famille, marié à Valérie, riche héritière.
Hubert était cadre dans une banque, il avait depuis quelque temps un gros défaut, il jouait au casino et rapidement le peu de fortune que lui avait légué sa mère avait disparu.
Contraint d’avouer ses revers de fortune à sa riche épouse, celle-ci lui avait mis le marché en main.
Soit il acceptait de changer totalement sa vie, soit elle demandait le divorce et se faisait fort par ses relations de le faire licencier.
Hubert n’avait pas eu le choix :
— Qu’entends-tu ma chérie par changer totalement ma vie ?
Valérie avait souri avec un petit air gourmand :
— Eh bien c’est très simple mon chéri, puisque apparemment ton éducation a des lacunes, je vais la reprendre à la base.
Hubert avait un peu pâli, mais son épouse toujours souriante continuait :
— Si je me souviens bien, ta maman m’a raconté que quand tu étais plus jeune, elle avait souvent recours aux bonnes vieilles méthodes pour t’inculquer les règles de bonne conduite ?
Hubert se sentait de plus en plus mal. Sa mère l’avait élevé effectivement de façon très sévère et jusqu’à ses 15 ans il n’était pas rare qu’il reçoive encore une bonne fessée déculottée de la main de sa maman. Qu’il soit adolescent ne la dérangeait pas pour lui baisser la culotte comme elle disait. Lui rappeler ses souvenirs ne lui disait rien qui vaille. Valérie le fixait intensément :
— Tu ne l’as pas oublié n’est-ce pas ? Les bonnes fessées de sa maman en général on s’en souvient.
Hubert sentit ses joues s’empourprer. Son épouse continuait :
— Eh bien puisque ça semble te manquer et que tu recommences à te comporter comme un adolescent, je vais jouer le rôle de ta maman !
Hubert ne répondait rien, le ciel lui était tombé sur la tête, surtout que Julie imperturbable continuait :
— D’ailleurs, on va commencer immédiatement, approche un peu !
Elle s’était déplacée et avait placé une chaise au milieu du salon, maintenant qu’elle était assise, elle faisait un petit signe avec le doigt à son mari :
— Dépêche-toi, nous n’allons pas y passer la semaine !
Hubert croyait revoir sa mère quand il revenait du lycée avec une mauvaise note où le premier jour où elle l’avait surpris à fumer. Il tenta une dernière diversion :
— Mais ma chérie, qu’est-ce-que tu veux faire, voyons j’ai… 50 ans… S’il te plaît.
Valérie se mit à rire :
— Ce que je vais faire ? Oh c’est simple je vais te flanquer la bonne fessée que tu mérites depuis si longtemps et que j’aurais déjà dû te donner depuis un bon moment. Quant au fait que tu aies 50 ans, si tu veux mon avis on ne le dirait pas !
Hubert insensiblement s’était approché, son éducation stricte avait laissé des traces. Il était maintenant à la portée de son épouse. Elle l’attrapa par la main et l’attira contre ses cuisses. Puis elle déboutonna son pantalon et le fit glisser jusque sur ses chevilles, elle tapota ses cuisses ostensiblement :
— Allez mon petit ami, en position ! Je pense que tu n’as pas oublié comment maman faisait panpan cucul.
Comme son mari semblait hésiter, elle le tira fermement et le fit basculer en travers de ses genoux.
D’un seul coup, Hubert était revenu 35 ans en arrière, il se souvenait de la dernière fois où sa mère l’avait fessé. Elle l’avait surpris avec des copains en train de fumer, il avait reçu ce jour-là une mémorable déculottée comme disait madame sa mère en riant. Ça avait été efficace d’ailleurs car depuis il n’avait plus jamais fumé.
Il sentit les doigts de Valérie se glisser sous l’élastique de son slip, il poussa un petit cri :
— Non s’il te plaît…
Il essaya avec sa main d’empêcher l’inéluctable, se faire déculotter à 50 ans comme un vulgaire gamin.
Calmement son épouse lui coinça la main dans le dos et claqua sèchement l’arrière des cuisses :
— Je te déconseille de recommencer ! Tu vas être puni doublement pour ta petite rébellion et ça sera chaque fois plus sévère si ça se reproduit.
Elle continua à descendre l’ultime rempart de la pudeur de son mari :
— Te voilà cul nu mon chéri, oui déculotté comme ta maman le faisait. J’espère que tu as bien honte de me montrer ton derrière comme un sale gosse.
Hubert était vaincu, il n’avait pas résisté comme il aurait pu le faire, Valérie était à présent persuadée de sa soumission. Plus rien ne s’opposait à une nouvelle répartition des rôles dans cette maison. Elle était autoritaire et ce nouveau rôle de maman sévère n’était pas pour lui déplaire.
La fessée se mit à retentir dans le salon, c’est une vraie correction que reçu ce jour-là Hubert, pas un petit panpan cucul, non une fessée magistrale qui lui avait rougi les fesses sur toute leur surface.
Il lui sembla que la punition ne s’arrêterait jamais. Son pantalon était entortillé autour de ses chevilles, sa culotte descendue jusqu’aux genoux. Il pleurait vraiment comme quand sa mère le punissait, Valérie était satisfaite du résultat, une paire de fesses écarlate et un mari sanglotant en travers de ses genoux.
Elle décida de compléter l’humiliation d’Hubert, elle le garda en position disciplinaire et sonna sa bonne.
Caroline, c’était le nom de la jeune femme de 22 ans qui était à son service depuis deux ans, était assez petite, les cheveux blonds la plupart du temps attachés en queue de cheval. Elle était très mignonne, toujours souriante, Hubert n’était d’ailleurs pas insensible à son charme
Quand il entendit que quelqu’un entrait dans la pièce, il poussa un cri et tenta de se relever, mais Valérie le tenait solidement, elle claqua sèchement l’arrière des cuisses :
— Tu ne bouges pas, où je te flanque une deuxième fessée !
Caroline poussa un petit cri et mis sa main devant sa bouche, complètement abasourdie par le tableau qui se présentait à elle, Julie la regarda en souriant :
— Entrez, Caroline. Ne soyez pas surprise, monsieur Hubert n’a pas été très sage aujourd’hui et j’ai été obligée de sévir.
La jeune femme n’arrivait pas à quitter des yeux le fessier rougeoyant du mari de sa maîtresse, celle-ci avait posé négligemment sa main sur la fesse droite du puni :
— Voyez-vous ma petite Caroline, je suis convaincue qu’il faut en revenir aux anciennes méthodes, celle qui on fait leur preuve depuis tant d’années dans l’éducation des garçons ou des filles. L’âge ne fait rien à l’affaire je pense même que la fessée déculottée est encore plus efficace chez un adulte qui est en âge de comprendre pourquoi il est puni de cette façon.
Caroline hocha la tête en signe d’approbation, l’effet de surprise était passé et elle regardait avec intérêt ce monsieur de 50 ans, les fesses à l’air, couché comme un gamin sur les genoux de son épouse, elle n’y avait jamais fait attention mais monsieur Hubert avait un bien joli derrière. Elle esquissa un sourire, la scène n’était quand même pas banale, Valérie tapotait le fessier rougeoyant :
— Vous avez reçu la fessée dans votre jeunesse ?
Caroline piqua un fard, oui bien sûr, elle en avait reçu des fessées déculottées, elle avait été élevée par une tante, sa mère étant très souvent en déplacement et Ingrid sa jeune sœur avait la main leste. Quand elle n’obéissait pas assez vite ou faisait preuve de paresse, la sanction était immédiate, c’était la fessée cul nu couché sur les genoux de sa tante. Celle-ci utilisait aussi très souvent un martinet, c’était le vieux martinet familial qui avait servi depuis des générations sur tous les derrières de la famille. Oui Caroline s’y connaissait question fessée, mais c’était plutôt dans le rôle de la punie que de la fesseuse. Elle se ressaisit et devant l’air interrogateur de Julie elle répondit en riant :
— Oh oui madame et plus souvent qu’à mon tour.
Valérie la regarda en souriant :
— Eh bien faites attention, vous voyez ce qui arrive quand on est pas sage.
Le sourire de Caroline se figea et elle piqua un fard, ses joues étaient presque aussi rouges que les fesses du pauvre Hubert qui n’en menait pas large conscient que son statut venait de changer même vis-à-vis de cette jeune femme.
Valérie toujours souriante continuait :
— Ce n’est pas pour ça que je vous ai fait venir, j’aurai certainement besoin de vous quand je ne pourrai pas administrer la fessée à Hubert. Je vous demanderai alors de me remplacer.
Caroline ouvrait de grands yeux toujours fascinée par le fessier rougeoyant, ainsi sa patronne voulait qu’elle administre la fessée à monsieur ? Elle posa sa question naïvement :
— Euh, oui mais madame, certainement, mais je devrai déculotter monsieur ?
Julie se mit à rire :
— Bien sûr, comment est-il maintenant ? Votre mère ne vous baisse pas la culotte quand elle vous corrige ?
Caroline rougit à nouveau, sa maîtresse avait employé le présent, pensait-elle qu’elle recevait encore à son âge ce châtiment enfantin. Elle songea à sa tatie Ingrid, sûrement que ça ne la gênerait pas de la déculotter encore si elle habitait toujours chez elle.
La sévère épouse continua :
— Pourriez-vous me faire passer la brosse à cheveux qui est sur la commode. Monsieur à essayé de m’empêcher de lui baisser la culotte, ça mérite une deuxième fessée et je ne veux pas m’abîmer la main.
Hubert essaya de protester :
— Oh non s’il te plaît, j’ai compris, plus la fessée, non, aïe…
La main de Valérie venait de claquer l’arrière des cuisses juste sous les fesses :
— Je ne veux pas t’entendre, si j’ai décidé que tu méritais une autre fessée tu l’auras que ça te plaise ou non !
Caroline lui tendait l’instrument punitif :
— Prenez-en de la graine ma petite Caroline, si jamais monsieur refuse de se laisser déculotter ou se plaint trop, vous doublez la punition systématiquement.
Elle reclaqua les cuisses :
— C’est bien compris ! Normalement ta protestation mériterait une troisième fessée, comme aujourd’hui c’est la première fois, je passe l’éponge.
La brosse rentra en action immédiatement. Si Caroline savait ce que c’était qu’une fessée, elle n’avait jamais assisté à l’administration de ce châtiment enfantin à fortiori sur un monsieur de 50 ans. C’était un spectacle enthousiasmant et pour tout dire excitant, elle fut surprise de sentir une chaleur envahir son bas ventre.
Elle était conquise, monsieur allait devoir se tenir à carreaux sinon il aurait souvent les fesses bien rouges. Elle se mit à sourire, même s’il ne fait pas de bêtises je m’arrangerai bien pour lui mettre le derrière à l’air.
Un joueur , voire aimant jouer jusqu'à perdre , ou faire de mauvais paris, n'est jamais bon pour son portefeuille , il doit être stoppé , surveillé !
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