Repas de famille suite
Claudine s’était tournée vers Odile, celle-ci était encore troublée par l’annonce de sa future punition, mais elle sourit à la demande de sa mère :
— As-tu du gingembre ?
— Oui, pourquoi ?
Claudine s’était approchée de la jeune punie exposant son derrière écarlate, elle le tapota :
— Notre petite Chloé s’est amusée avec le manche du martinet dans le petit trou de Clara n’est-ce pas. Eh bien je pense qu’elle a mérité de goûter à la punition au gingembre, vous vous en souvenez je pense ?
Les deux dames rougirent de concert, bien sûr qu’elles s’en souvenaient, c’était la punition préférée de Claudine quand elles étaient adolescentes et qu’elle voulait leur infliger une sévère punition. Chacune y avait goûté et plus d’une fois, elles en gardaient un souvenir cuisant et même brûlant.
Odile se dirigea vers la cuisine et en revint avec un morceau de racine de gingembre et un couteau, elle les tendit à sa mère. Celle-ci entreprit d’éplucher et de sculpter la racine, ses filles se rendirent compte qu’elle n’avait pas perdu la main, en moins d’une minute elle avait transformé le morceau de gingembre en un gros suppositoire. Elle le montra fièrement à Odile :
— Voilà qui va bien garnir le derrière de notre petite Chloé et lui faire passer l’envie de recommencer ses bêtises.
Elle se dirigea vers sa petite fille et la saisit par l’oreille :
— Viens un peu par ici ma belle, tes jolies fesses ont eu le temps de refroidir, tu vas voir comment mamie va s’en occuper.
Chloé se mit à gémir :
— Non, non, mamie plus la fessée, j’ai déjà été bien punie… Aïe, Aïe, Aïe…
La main de Claudine venait de claquer sèchement les fesses endolories de la jeune fille.
— Cesse de pleurnicher, il te fallait réfléchir avant, allez en piste !
Elle s’installa sur une chaise et fit basculer Chloé en travers de ses cuisses, elle baissa la culotte jusqu’aux chevilles et la retira puis elle la tendit à Odile :
— Elle ne sera pas gênée pour écarter ses cuisses et nous montrer son petit trou.
Elle tapota les fesses de la punie :
— Tu as entendu ma chérie, tu vas bien écarter les jambes et desserrer tes fesses, j’ai besoin de voir ta raie. Allez vite !
Chloé pleurait doucement, elle avait honte de devoir dévoiler son intimité. Bien sûr sa mère lui mettait souvent le thermomètre dans le derrière, comme elle disait, mais jamais sa grand-mère ne l’avait fait. Une seule fois sa tante lui avait fait subir cette humiliation, elle sentit les doigts de Claudine écarter largement ses fesses et quelque chose de frais appuyer sur son anus.
La sévère grand-mère en souriant fit un petit clin d’œil à ses deux filles :
— Notre petite chérie va bientôt avoir aussi chaud à son petit trou du cul qu’à ses fesses.
Elle poussait lentement le suppositoire de gingembre dans le fondement de la jeune fille, soudain celle-ci se mit à gémir et à pleurer :
— Non, non, aïe, ça brûle, non, non, mamie.
Elle se mit à battre des pieds, à tortiller ses fesses et à les ouvrir largement, elle essaya vainement de les resserrer, mais Claudine les tenait toujours bien écartées avec deux doigts tandis qu’elle continuait à faire pénétrer profondément le gros suppositoire :
— Eh oui ma chérie, c’est fait pour ça, il faut que tu le sentes bien dans ton petit derrière et que ça te brûle pour que tu t’en rappelles longtemps.
Chloé pleurait et criait, le gingembre avait presque complètement disparu, Claudine relâcha les fesses et regarda en souriant ses deux filles :
— Vous vous rappelez comment ça vous brûlait n’est-ce pas mes chéries ? Notre petite Chloé est en train de regretter ses bêtises.
Elle caressa la croupe encore rouge et contractée par la douleur :
— Maintenant que ton petit trou est bien garni et bien chaud, je vais m’occuper de tes petites fesses.
Elle leva la main et commença à claquer le derrière encore rouge. C’était une formidable correction que la pauvre Chloé reçut, la main s’abattait à une vitesse folle, sa grand-mère fessait encore plus sévèrement que sa mère, la jeune fille braillait à tue-tête, sa sœur et ses cousines entendaient le bruit des claques sur la peau nue, elle compatissait sans savoir qu’en plus de la correction, la pauvre avait un suppositoire brûlant dans les fesses. Chloé se souviendrait longtemps de cette punition et au milieu de ses pleurs et supplications, les trois dames entendirent ses regrets et ses promesses de ne plus recommencer,
Claudine n’en avait cure, cette petite avait déjà un beau derrière et la peau des fesses repousse toujours disait sa propre mère quand elle l’avait couchée sur ses genoux pour une solide fessée.
Quand enfin elle cessa la punition, elle garda Chloé couchée en position disciplinaire, le suppositoire de gingembre continuait son effet, elle le manipula légèrement :
— Je crois que tu vas être bien sage maintenant, tu vas garder ton suppo encore un moment, ça te fera le plus grand bien.
Chloé pleurait et suppliait, elle ne savait pas ce qui était le plus douloureux, ses fesses cuisantes ou son petit trou brûlant.
Claudine la garda encore 5 minutes couchée sur ses genoux, puis elle retira enfin le gingembre. Elle caressa les fesses rubicondes :
— Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée, j’espère que tu retiendras bien la leçon ma chérie.
Elle se tourna vers Odile :
— Tu la remets au coin ?
— Bien sûr.
Claudine reprit donc sa petite fille par l’oreille et lui claqua les fesses pour la faire avancer :
— Allez ma petite ta pénitence n’est pas finie, tu as de la chance, un jour ta tante a gardé son suppo au gingembre pendant une heure au coin.
Ingrid piqua un énorme fard au rappel de cette humiliation, Claudine souriait en regardant ses deux grandes filles, c’était décidément un très bon après-midi. Chloé était maintenant à nouveau dans le coin de la pièce, le nez collé contre le mur, sans qu’on lui dise, elle avait posé ses mains sur sa tête.
Les invités étaient partis quand Odile leva la punition de sa fille :
— Tu peux remettre ta jupe en place, tu es privée de culotte. Ce soir tu iras au lit à neuf heures juste après ta dernière fessée, je te fais cadeau du thermomètre, le gingembre suffira. En attendant tu files dans ta chambre.
Chloé ne se le fit pas dire deux fois, une fois dans sa chambre, elle retroussa sa jupe et regarda son derrière dans la glace, il était encore très rouge, elle le massa doucement. C’est juste à ce moment que sa sœur entra, elle sourit en voyant la jolie croupe de sa sœur :
— On a mal à son petit cucul ? Si maman te voyait frotter tes fesses, tu serais bonne pour un nouveau séjour sur ses genoux.
Chloé avait laissé retomber sa jupe, elle se tourna vers Amélie en faisant la moue :
— Tu ne vas pas lui dire au moins ?
Amélie se mit à rire :
— Mais non, rassure-toi ma chérie… Enfin sauf si tu n’es pas sage…
Devant le regard interrogatif de sa petite sœur elle reprit :
Maman est sortie, on est tranquille, tu sais bien que j’adore m’occuper de ton petit cul. Chloé protesta faiblement :
— Oh non, s’il te plaît, j’ai déjà bien dégusté, tatie et mamie se sont régalées, leurs fessées m’ont fait un mal de chien sans parler du suppo au gingembre.
Amélie lui mit le doigt sous le menton pour la forcer à la regarder :
— Justement, ça tombe bien, j’ai l’intention de prendre soin de ton derrière et puis malheureusement pour toi, tu n’as pas le choix.
Elle s’était assise sur le lit, elle prit la main de Chloé :
— Allez mademoiselle, viens me montrer ton petit cucul.
Chloé se laissa faire et quelques instants plus tard, elle exposait à nouveau sa croupe dénudée. Amélie aimait les filles et avec Chloé elle pouvait s’amuser, celle-ci ne pouvait rien lui refuser. Souvent avant ou après les caresses, elle avait droit à une petite fessée coquine, mais aujourd’hui après les diverses corrections qu’elle avait reçue, sa sœur n’avait pas l’intention de lui claquer le derrière. Ses doigts experts s’insinuèrent entre ses cuisses, glissèrent sur sa vulve, puis elle écarta les fesses et posa son doigt sur l’anus :
— Tu me racontes ce que ça t’a fait d’avoir un suppo au gingembre dans ton petit trou ?
Chloé gémissait doucement :
— Olala, c’est affreux comme ça brûle, c’était terrible, j’espère que maman ne va pas prendre cette habitude.
Les doigts d’Amélie avaient glissé entre les cuisses :
— Je suis sûr que ça t’a quand même fait mouiller petite perverse.
Chloé se remit à gémir :
— Oh arrête, non je t’assure que ça fait très mal.
Amélie se mit à rire :
— Petite menteuse, décidément tu l’as bien méritée cette déculottée. Bon je vais te mettre de la crème.
Elle posa sur chaque fesse une grosse noisette de crème apaisante et massa tendrement le derrière de sa petite sœur, elle introduisit même un doigt dans l’anus afin de le crémer également.
Ce petit intermède coquin fit vraiment plaisir à Chloé et lui fit un peu oublier la magistrale correction qu’elle avait reçue et celle qui l’attendait avant d’aller au lit. Surtout qu’Amélie lui fit quelques confidences :
— Ce soir je fais baby-sitter chez les deux chipies, je vais te venger, je te garantis qu’elles iront au lit chacune avec une paire de fesses bien rouges. J’adore tellement leurs derrières, il va falloir que je m’arrange pour leur faire goûter au délice du gingembre dans leur petit trou. Il faut que je fasse attention je ne voudrais pas me retrouver comme toi, mais promis j’essayerai de te faire participer.
Chloé se mit à sourire, elle sentait beaucoup moins ses fesses endolories, surtout que sa sœur continuait ses révélations.
— Tu sais que mamie va flanquer une fessée à maman ?
— Oh chic, mais comment tu peux le savoir ?
Amélie prit son air sérieux elle mit son doigt sur sa bouche :
— C’est un secret, tu dois jurer de ne rien dire.
Chloé s’impatientait :
— Mais bien sûr, allez raconte !
— Voilà, c’était juste après que tatie Ingrid t’aie fessée avec le martinet, on a été envoyée dans ma chambre, mais j’ai eu envie de faire pipi et quand je suis passée à côté du salon, ça bardait. Maman a mal parlé à mamie et illico, elle lui a dit qu’elle l’attendait demain chez elle et devine quoi ? Elle a fini sa phrase en disant « tu peux préparer tes fesses », si c’est pas l’annonce d’une bonne séance de panpan cucul pour notre chère maman, c’est quoi ?
Chloé était ravie, la fessée du coucher qui l’attendait lui paraissait d’un seul coup pas si terrible que ça.
J aime beaucoup l'idée du suppositoire au gingembre ...tellement exotique merci
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