mercredi 3 juillet 2024

Deux étudiantes 12

 Repas de famille





Le dimanche n’était pas un bon jour pour notre petite Chloé, sa mère l’avait prévenue qu’elle profiterait du traditionnel repas de famille pour compléter sa punition. Il y aurait sa tante Ingrid, ses deux cousines, Lila qui avait son âge et Ludivine qui avait 14 ans. Odile avait aussi invité sa mère Claudine. Il n’y aurait que des dames mais c’était quand même une fessée déculottée en public qui attendait la jeune fille. Ses deux cousines étaient soumises à la même stricte discipline, ce n’était guère étonnant, car les deux sœurs avaient été éduquées de cette façon par Claudine.

Entre elles les cousines ne se privaient pas de se raconter les allusions tout à fait explicite de leur grand-mère. Odile et Ingrid avaient eu souvent les fesses bien rouges pendant leur enfance et même leur adolescence. Récemment Lila avait raconté à Amélie et Chloé qu’elle soupçonnait Claudine d’avoir administré une fessée à sa mère. Amélie s’était mise à rire :

— Tu en es sûre, tatie Ingrid a reçu une fessée ? Cul nu ?

— J’en suis quasiment certaine, elles ne savaient pas que j’étais rentrée plus tôt, j’étais dans ma chambre. J’ai entendu mamie crier très fort, c’est sûr qu’elle grondait maman, j’ai entendu qu’elle montait l’escalier, maman suppliait et j’ai entendu une claque et la porte de la chambre de maman s’est fermée. J’ai bien écouté et je suis sûr d’avoir entendu le bruit des claques sur les fesses, vous savez bien que ça ne fait pas le même bruit sur la culotte ou si on est cul nu. 


Ça n’a pas duré longtemps, j’ai entendu mamie redescendre mais pas maman. Je suis sortie de ma chambre mamie m’a dit « Ah, tu étais là ? ». J’ai demandé où était maman et mamie en souriant m’a dit « Elle réfléchit dans sa chambre ». Je suis sûr qu’elle l’avait mis au coin les fesses à l’air.

Les deux cousines étaient scotchées, ainsi leur sévère tatie pouvait encore se retrouver couchée sur les genoux de mamie avec les fesses bien rouges, Amélie souriait :

— Remarque, ça ne m’étonne pas, maman et tatie n’arrête pas de nous dire qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée. Elle est restée longtemps dans sa chambre ?

— Une bonne demi-heure, puis mamie a été la chercher, elle n’était pas fière et je suis sûr qu’elle avait pleuré.

— Et après ?

— Ben comme tu peux t’en douter, quand mamie a été partie, elle a trouvé une raison pour m’en flanquer une, et carabinée celle-là. Je peux te dire que j’avais encore les fesses bien rouges en me couchant.

Chloé avait reçu sa traditionnelle fessée déculottée dès le petit déjeuner et elle était restée au coin fesses à l’air pendant une demi-heure, c’était le tarif, Odile lui avait promis une correction matin et soir pendant un mois.

Vers 11h30, elle appela ses filles :

— Amélie, tu vas mettre la table, quant à toi Chloé tu te déculottes et tu vas au coin jusqu’à l’arrivée des invités. Amélie t’épinglera la jupe dans le dos, comme ça tu pourras mettre tes mains sur la tête.

Chloé rougit et baissa la tête, elle se doutait que la punition serait sévère, la présence de sa mamie ne lui disait rien qui vaille.

Sa tante arriva en premier accompagné de ses deux filles, elle poussa un petit cri de surprise en voyant Chloé au coin fesses nues :

— Oh, il y a de la fessée dans l’air.



Lila et Ludivine avaient un petit sourire sur les lèvres, pour une fois que ce n’était pas elles qui exposaient leur derrière dénudé. Les punitions publiques n’étaient pas rares dans la famille, les deux sœurs ne se gênaient pas pour déculotter leur progéniture même s’il y avait du monde. Cependant la punition d’aujourd’hui revêtait apparemment un caractère plus solennel. Odile était venue accueillir sa sœur et ses nièces, elle jeta un regard au fessier de sa fille qui s’était contracté en entendant sa tante :

— Oui mademoiselle en a fait de belles, je vais vous expliquer ça dès que maman sera arrivée.

Juste à cet instant, Claudine fit son entrée, elle distribua des bises à tout le monde puisse aperçu Chloé en pénitence, elle s’approcha et tapota les fesses nues de sa petite fille :

— Qu’a donc fait cette chipie pour nous montrer ses fesses ce matin ?

Odile les invita à s’asseoir et raconta les exploits de Chloé, les jeunes souriaient, elles s’imaginaient à sa place en train d’administrer la fessée déculottée aux deux étudiantes. Par contre Ingrid et Claudine fronçaient les sourcils devant la perversité de cette petite, sa tante approuva la sévérité de la maman :

— Tu as raison, il faut marquer le coup, j’espère qu’après ça elle ne recommencera pas.

Elle se tourna vers les trois filles :

— Quant à vous, tenez-vous le pour dit, si j’apprends quelque chose comme ça, je vous garantis que vous aurez du mal à vous asseoir pendant un moment.

Claudine s’était levée, elle s’approcha de Chloé et lui administra une dizaine de claques sur les fesses :

— Ça ma petite je te garantis que tu vas le regretter, après la fessée de maman, tu auras droit à celle de mamie, crois-moi tu n’auras pas froid aux fesses.

Odile leur avait détaillé le programme de punition de Chloé, ses cousines étaient impressionnées par la sévérité de leur tante, la fessée déculottée matin et soir passe encore, mais la soirée avec le thermomètre dans les fesses et en plus tout ça pendant un mois…

La sévère maman continua :

— Chloé va recevoir une bonne fessée déculottée en apéritif, elle est privée de repas, elle le passera au coin à nous montrer ses fesses bien rouges. Ensuite je voulais vous demander de lui administrer chacune une bonne déculottée, je vois que maman m’a précédée.

Les deux dames acquiescèrent, elles étaient toutes les deux amatrices de fessées, si Ingrid avait les deux derrières de ses filles à sa disposition, Claudine pour sa part était un peu frustrée, bien sûr quand ses petites filles venaient en vacances chez elle, leurs fesses prenaient souvent l’air, mais ce n’était pas très fréquent. Bien sûr Ingrid avait eu droit dernièrement à une fessée déculottée qui lui avait rappelé sa jeunesse mais c’était insuffisant pour satisfaire ses pulsions fessophiles. Elle jeta un œil intéressé aux derrières de ses deux filles, Odile et Ingrid avaient toutes les deux des croupes généreuses, fessables si on peut dire, elle esquissa un sourire, en repensant à la fessée déculottée qu’elle avait administrée à Ingrid, c’était décidé, ces deux donzelles allaient goûter à nouveau à sa poigne sévère, comme quand elles étaient plus jeunes.

Odile ne se doutait pas des pensées de sa mère concernant son fessier, elle interpella Chloé :

— Ma chérie tu te reculottes et tu viens me voir.

Chloé avait une boule au ventre, elle remonta sa culotte, l’heure de la fessée était venue, elle regarda les spectatrices, sa grand-mère et sa tante avaient pris place sur les fauteuils, ses cousines et sa sœur étaient restées debout, elles étaient très attentives. Sa mère avait disposé une chaise au milieu de la pièce, elle lissa sa jupe sur ses cuisses et fit un petit signe du doigt à sa fille :

— Dépêche-toi un peu, tu connais la position.

Résignée, Chloé se coucha en travers des genoux de sa mère, celle-ci la fit basculer vers l’avant afin que ses pieds décollent du sol et que ses fesses soient bien à sa portée, le tapota le fond de la jupe :

— Nous y voilà ma chérie, tu vas nous montrer tes fesses, quand on a été vilaine c’est ce qui arrive, tu devrais pourtant le savoir. Dis-moi ce qui va t’arriver ?

Chloé avait les larmes aux yeux, elle savait que sa journée allait être cuisante et humiliante, il lui fallait répondre :

— Je… je vais recevoir une fessée…

— Exactement, une bonne fessée, dis-moi en plus…

— Oh maman, s’il te plaît… Aïe.

La main d’Odile venait de claquer sèchement l’arrière des cuisses de sa fille.

— Dépêche-toi, je ne pense pas que ta position te permette de discuter ma chérie.

— Aïe, aïe… Oui maman, je vais… aïe, aïe, aïe… je vais recevoir une bonne fessée déculottée… aïe…

La sévère maman continuait de claquer systématiquement les cuisses de Chloé, qui commençaient à rougir, elle regarda les deux dames assises :

— Nous y voilà, mademoiselle le sait pourtant que quand on est vilaine on se retrouve couchée sur les genoux de maman avec la culotte baissée, mais non rien n’y fait, elle recommence. A croire qu’elles aiment avoir les fesses rouges, n’est-ce pas Amélie ?

Interpellée par sa mère l’aînée rougit violemment, l’allusion était limpide, elle recevait elle aussi ce châtiment infantile, tous les regards avaient quitté la croupe de Chloé pour se diriger vers elle. Ingrid souriait :

— C’est sûr que ces chipies ont souvent besoin qu’ont leur baissent la culotte, Lila et Ludivine prenez-en de la graine, votre cousine va être sévèrement punie pour ses bêtises et ça sera pareil pour vous si nécessaire.

Les trois jeunes filles baissèrent la tête, l’épée de Damoclès de la fessée déculottée planait au-dessus de leur tête.

Odile saisit l’ourlet de la jupe de sa fille et la retroussa bien haut sur ses reins, la petite culotte à fleurs, moulait parfaitement le fessier juvénile, elle était contractée, le sous-vêtement rentrait légèrement dans la raie médiane, la maman commença à claquer sèchement la croupe culottée :

— Tu peux serrer les fesses ma petite, ton derrière va te cuire, je te le garantis !!

La fessée cessa rapidement et Odile saisit la ceinture de la culotte et la baissa rapidement à mi-cuisse :

— Voilà, cul nu comme une sale gamine !!

La correction fut sévère, plus de 200 claques s’abattirent sur le fessier rebondi, les fesses semblaient sauter au-devant de la main de la fesseuse, les jambes pédalaient dans le vide et Chloé poussait des cris désespérés.



Puis Odile saisit sa brosse à cheveux, elle l’avait posé à côté d’elle, personne ne l’avait remarqué, les cris de la punie redoublèrent, elle était bien maintenue par la taille, tout le bas de son corps se contorsionnait pour essayer d’éviter les claques mais c’était peine perdue. Maintenant la paire de fesse était rubiconde et la pauvre Chloé pleurait abondamment, les deux fesseuses appréciaient en connaisseuses, les trois jeunes filles compatissaient s’imaginant à la place de leur sœur ou cousine.

La maman remit sa fille sur ses pieds :

— Voilà un derrière cuit à point, maintenant tu files au coin pour le faire refroidir.

Une magistrale claque sur les fesses écarlates ponctua sa phrase et Chloé en sanglotant se dirigea vers le coin de la pièce. Instantanément, elle mit ses mains sur sa tête et posa son nez contre le mur. Odile l’avait suivi, elle épingla la jupe dans le dos de sa fille et claqua une nouvelle fois le derrière écarlate :

— Tu ne bouges pas de là et cesse de pleurnicher !!



Il était temps de passer à table, les trois jeunes filles ne pipaient mot, jetant un regard apeuré vers le fessier de la pauvre Chloé. Les trois dames s’installèrent sans plus faire attention à la punie, la conversation roula immédiatement sur les bienfaits de l’éducation sévère et de la fessée déculottée en particulier.

Claudine était guillerette, les jolies fesses rouges de sa petite fille l’avait mise en joie, la perspective de la coucher bientôt sur ses genoux n’était pas pour lui déplaire :

— Décidément, ces petites ne savent plus quoi inventer, remarquez, vous aussi à son âge, vous étiez de vraie chipie, ma main s’est souvent occupée de vos fesses.

Ingrid et Odile rougirent à l’allusion de cette punition infantile, surtout que les trois jeunes semblaient intéressées par les confidences de leur grand-mère. Elles savaient bien sûr que leur mère et tante avaient été élevées avec la même rigueur qu’elles-mêmes et avaient donc eut très souvent les fesses bien rouges. Lila donna un petit coup de coude à Amélie et lui glissa doucement :

— Et même que ça continue encore aujourd’hui pour maman.

Ingrid essaya de détourner la conversation :

— Lila a goûté au martinet cette semaine, ça faisait un moment que je ne l’avais pas décroché, ça cingle bien n’est-ce pas ma chérie ?

La jeune fille piqua un fard et regarda son assiette. Bien sûr que ça faisait un mal de chien ce martinet, c’était le même que chez Odile et Claudine, celle-ci en avait acheté un à chacune de ses filles quand elles avaient quitté la maison, elle leur avait dit :

— Il faut toujours avoir un martinet suspendu dans la cuisine, même quand il ne sert pas, rien que de le voir ça rend sage.

Il servait souvent, aussi bien chez Odile que chez Ingrid, celui de Claudine était au repos depuis un moment, la grand-mère regarda les cinq convives, il n’y avait pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée, c’était décidé son bon vieux martinet allait reprendre du service. Odile s’était levée pour aller chercher le dessert, elle la regarda s’éloigner, sa large croupe moulée dans une jupe ajustée. « Toi ma grande je pense qu’un petit séjour sur mes genoux te ferait le plus grand bien, tu fais un peu trop la fière et tu trémousses un peu trop ton bon gros derrière »



Le repas se terminait, Ingrid jeta un œil à sa nièce :

— Ses jolies fesses ont perdu un peu de couleurs.

Odile s’adressa à Amélie :

— Va chercher le martinet, notre petite chipie a besoin de faire un peu d’exercice, tatie Ingrid va lui faire danser les fesses.

Chloé contracta ses fesses à cette annonce, sa mère ne manqua pas de le remarquer :

— Oh tu peux serrer tes fesses ma chérie, ta punition n’est pas terminée, tu iras au lit ce soir avec une paire de fesses bien rouges et bien chaudes, ça je te le promets !

Amélie revenait tenant à la main le redoutable instrument, même si elle compatissait au sort de sa sœur, elle était contente qu’il ne soit pas destiné à ses propres fesses, elle le tendit à Odile :

— Non, non, c’est tatie Ingrid qui va se charger de la deuxième fessée, donne-lui le martinet.

Celle-ci tendit la main et caressa les lanières, elles étaient luisantes, polies par des années d’utilisation sur les derrières des deux sœurs, elle se dirigea vers sa nièce et la saisit par l’oreille :

— Allez, vilaine fille, viens un peu par ici, tu vas voir comment je vais m’occuper de tes fesses, je pense qu’tu n’auras plus envie de recommencer après ça.

Elle claqua sèchement les fesses de la jeune fille pour la faire avancer jusqu’au fauteuil :

— Mets-toi à genou et tâche de bien tendre ton joli derrière.

Sa main continuait de claquer le fessier rebondi qui avait déjà repris des couleurs, Chloé pleurnichait :

— Aïe, aïe, aïe, non, non tatie… aïe…

— Comment ça non, je vais t’apprendre moi !!

Elle ceintura Chloé et la força à se courber sous son bras, les fesses tendues vers l’assistance. Puis elle continua à claquer la croupe bien exposée, c’était une vraie fessée que recevait Chloé, elle se mit à pleurer tout en trépignant sur place, ses fesses étaient à nouveau écarlates. Ingrid la relâcha et lui désigna le fauteuil avec le manche du martinet :

— En position !! et vite !!

Vaincue par une telle sévérité, la jeune fille s’agenouilla immédiatement et tendit ses fesses vers l’arrière. Ingrid se tourna vers Odile et Claudine, elle caressait les fesses de sa nièce :

— Cette petite chipie a les fesses bien chaudes, elles sont prêtes pour le martinet, combien de coups ?

Odile allait répondre mais sa mère fut plus rapide :

— Cinquante sur les fesses et vingt sur les cuisses, elle a déjà une bonne paire de fesses et il faut marquer le coup.

En entendant la sentence les pleurs de Chloé redoublèrent, Odile intervint :

— Cesse de pleurnicher, mamie est sévère, mais elle a raison, on ne meurt pas d’une bonne déculottée et ton derrière s’en souviendra.

La correction commença, le claquement des lanières sur la peau nue était mêlé aux cris et aux pleurs de la punie. Les fesses dansaient réellement, elles s’ouvraient impudiquement, les pieds battaient la mesure de la fessée. 


Les cris redoublèrent quand le redoutable instrument s’attaqua à l’arrière des cuisses. Puis enfin Ingrid reposa le martinet, la croupe et les cuisses étaient recouvertes entièrement d’un rouge profond avec des traces plus foncées des lanières.

Odile reconduisit la punie au coin et invita les adultes à prendre un café, les cousines furent autorisées à quitter la pièce. Claudine prit le martinet sur la table :

— Tu t’en sers souvent ? Il est en bon état.

Odile regarda en souriant les fesses écarlates de sa fille :

— Oh oui, très souvent, surtout maintenant que je m’occupe des deux étudiantes.

Elle expliqua la nouvelle situation, les deux fesseuses étaient un peu jalouses, avoir quatre fessiers à sa disposition, quelle chance. Claudine manipulait toujours l’instrument punitif, elle se tourna vers ses deux filles :

— Mes chéries, je pense que le mien va reprendre son activité, j’ai été quelquefois agacée par votre comportement et comme je vous l’ai dit souvent, il n’y a pas d’âge pour apprendre, donc tenez-vous le pour dit à partir de maintenant si vous faites des bêtises vos culottes ne vont pas rester sur vos fesses.

Ingrid qui avait goûté récemment à la sévérité de sa mère piqua du nez dans sa tasse de café, Odile avait rougi et jeté un regard inquiet vers Chloé, celle-ci n’écoutait pas la conversation, elle était surtout préoccupée par la brûlure de son derrière. Elle protesta un peu :

— Oh maman, quand même, on est plus des gamines.

Claudine la regarda en souriant :

— Tse… Tse, tu sais bien qu’il n’y a pas d’âge.

Odile repensa à sa dernière fessée, elle remontait à vingt ans, elle venait d’accoucher d’Amélie et avait fait une petite dépression, sa mère l’avait soigné à sa façon, elle avait reçu une magistrale fessée déculottée qui l’avait laissé en pleurs et les fesses brûlantes mais l’avait guéri instantanément. 


Elle n’avait pas l’intention de permettre à sa mère de la déculotter à nouveau, elle avait quarante-cinq ans tout de même :

— Oui, je sais, mais il n’en est pas question !!

Elle se rendit compte trop tard qu’elle n’aurait pas dû répondre à sa mère sur ce ton, le regard noir de Claudine la cloua sur place :

— Ah oui ? Eh bien on verra ça demain, tu viendras à la maison et tu peux préparer tes fesses !

Odile était rouge de honte de s’être fait réprimander comme quand elle était adolescente, elle essaya d’amadouer sa mère :

— Pardon maman, ce n’est pas ce que je voulais dire.

Claudine savourait la gêne de cette dame redevenue sa grande fille :

— On verra demain, il sera temps de t’excuser, tâche de ne pas oublier de venir si tu ne veux pas une fessée publique !

Il était temps de terminer la punition de Chloé.


À suivre



1 commentaire:

  1. Very nice update. Introduction of Family as brought new Flavour to the story. Would be eager to know what happened next

    Chinmay

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