jeudi 9 mai 2024

Deux étudiantes 8

 Chloé sévère maîtresse





Clémence regardait la télé tranquillement quand soudain la porte d’entrée s’ouvrit brusquement. Depuis qu’elles étaient passées sous la tutelle d’Odile, celle-ci leur interdisait de fermer la porte à clé, elle voulait pouvoir rentrer à tout moment à l’improviste afin de les surveiller.

C’était bien le style de leur sévère nouvelle maman que d’enter ainsi, la jeune femme se redressa, mais qu’elle ne fut pas sa surprise en voyant entrer Chloé, la jeune sœur d’Amélie.

— Tu pourrais quand même frapper !

Clémence était excédée devant l’air ironique de la jeune fille :

— Salut la chipie, tu es seule ? On peut parler ?

S’en était trop pour la jeune étudiante, qu’Amélie l’ait traité de chipie l’autre soir avait déjà été dur à supporter mais que cette gamine se le permette également, c’était intolérable :

— Non mais dis donc, où tu te crois ? Sors d’ici immédiatement !

Chloé la regarda avec un air moqueur :

— Ça ne te plaît pas que je t’appelle chipie ? Pourtant quand on reçoit encore la fessée cul nu, c’est bien ce qu’on est !

Clémence se leva et désigna la porte :

— Sors !!

Chloé la regarda fixement :

— Comme tu veux, mais avant je voudrais que tu regardes cette petite vidéo. J’ai bien envie de la mettre sur Tik Tok, j’aimerais avoir ton avis.

Elle tendit son téléphone vers la jeune femme. Immédiatement le son d’une fessée retentissante envahi la pièce. Clémence se reconnut sur l’écran, c’était bien elle qui gigotait les fesses à l’air sur les genoux d’Amélie, ses cris et la couleur de ses fesses ne laissait guère de place au doute, elle était en train de recevoir une magistrale fessée déculottée. En face d’elle Clara recevait la même de la main d’Odile. Leurs visages étaient parfaitement reconnaissables.

Clémence pâlit, Chloé était hilare :

— Elle te plaît ? C’était vraiment une belle séance de panpan cucul.

Elle pianota sur son téléphone :

— Regarde, j’en ai une autre, celle-là elle est vraiment super.

Sur l’écran Clémence put voir Amélie qui lui écartait largement les fesses écarlates et qui posait sur son anus le thermomètre. Chloé surveillait sa réaction :

— Tu as vraiment un beau petit cul, ça te fait quel effet de voir ton petit trou en grand sur l’écran ?

Clémence avait les larmes aux yeux :

— Non, s’il te plaît… Tu ne vas pas publier ça ?

Chloé se mit à rire :

— Ça dépend de toi ma chérie. Tu vas être mignonne avec Tatie Chloé ?

Clémence sentit l’étau se refermer, après Amélie c’était sa petite sœur qui allait profiter de la situation, elle baissa les yeux :

— Oui Chloé, si tu veux mais surtout tu ne mets rien sur Tik Tok.

La jeune fille s’approcha :

— Lève-toi !

Dès que Clémence eut obéi, elle prit sa place :

— Tourne-toi !

Dès que la jeune femme se fut exécutée, elle lui administra une magistrale claque sur le derrière :

— Pour commencer, tu vas m’appeler Tatie Chloé, c’est compris !

Elle avait claqué à nouveau les fesses de Clémence. Celle-ci avait les larmes aux yeux :

— Aïe… oui Tatie… Chloé…

— Parfait, maintenant tu te déculottes et tu retrousses ta jupette !!

Clémence hésita un instant, la jeune fille sourit et se leva :

— Il va falloir que tu t’habitues à obéir immédiatement ma petite chipie.

Elle avait ceinturé la jeune femme, elle la fit se pencher en avant. La jupe rapidement retroussée, la culotte descendit sous les fesses et elle se mit à claquer sèchement le derrière dénudé. Clémence surprise n’avait pas protesté ni chercher à se défendre, un mois de punition sévère par maman Odile avait fini par la rendre docile. Elle piétinait sur place en gémissant :

— Aïe, aïe, pardon tatie Chloé, aïe, aïe…

La jeune fille avait la main leste, elle claquait sèchement le joli derrière de l’étudiante. Elle remonta la culotte et relâcha sa victime, les fesses étaient déjà bien colorées, elle se rassit :

— Bien je répète pour la dernière fois, tu te déculottes et tu retrousses ta jupe !

En pleurnichant, clémence s’exécuta, ce n’était pas tellement la douleur mais la honte d’être traitée ainsi par une adolescente de 17 ans. Elle présentait maintenant sa croupe rosée à sa nouvelle maîtresse :



— Approche un peu !

Clémence recula légèrement, Chloé était ravie mais un peu jalouse des fesses de la jeune femme. Elle passa sa main sur les rondeurs qui présentaient une légère chair de poule :

— Tu as vraiment un joli petit cul, je vais me régaler. On va faire une photo, tends bien tes fesses.

Clémence entendit le déclic, Chloé se mit à rire :

— Ne serre pas tant les fesses, ça ne t’évitera pas la fessée. Je vais publier ça sur Twitter, tu as de la chance on ne voit que ton derrière. Maintenant tu tournes la tête, c’est pour ma collection personnelle, je dois pouvoir reconnaître à qui appartient ce joli petit cul.

Clémence était rouge de honte, mais elle obéit. Chloé prit la seconde photo :

— Tu mets tes mains sur la tête, je vais t’expliquer ce que j’attends de toi. Pour commencer je te déconseille de me désobéir ou de te rebeller sinon je publie la vidéo illico. Deuxièmement je vais m’occuper de tes fesses et de celles de ta copine, elles sont mignonnes, mais il faut les entretenir pour qu’elles restent bien rebondies. Vous viendrez tous les jours, chacune à votre tour me rendre une petite visite pour que je vous tanne le cul. Et quand j’en aurai envie vous aurez droit à un petit supplément, tu as déjà reçu une fessée déculottée en plein air ? Ça doit être excitant, on essayera.

Clémence avait écouté sans mot dire, cette petite était une vraie peste, mais tout valait mieux que la publication de cette vidéo. Chloé passa à nouveau la main sur la croupe de sa victime :

— Aujourd’hui c’est toi qui vas recevoir la fessée, demain j’aurai le plaisir de déculotter Clara. À propos, elle rentre bientôt ?

Clémence lui répondit qu’elle n’allait pas tarder.

— C’est parfait, comme ça, elle sera tout de suite au courant. Allez en piste ma petite chipie.

Elle avait claqué sèchement les fesses de Clémence pour l’inciter à bouger.

Quelques secondes plus tard, la jeune étudiante était dans cette position humiliante qu’elle commençait à connaître. Mais être couchée fesses à l’air sur les genoux de cette gamine c’était vraiment trop, elle ne put s’empêcher de pleurer. Chloé lui tapota les fesses en souriant :

— Eh bien ma petite chipie, je n’ai pas encore commencé et tu pleures déjà ? Garde tes larmes pour tout à l’heure, tu vas voir comment Tatie Chloé va s’occuper de ton derrière, je te promets que ça va vraiment te cuire.

Au même moment, Clara entra dans la pièce, elle poussa un petit cri de surprise en voyant sa copine allongée sur les genoux de Chloé, les fesses à l’air, prête pour recevoir une bonne fessée déculottée :

— Mais, mais… Qu’est-ce qui se passe ?

Chloé la regarda amusée :

— Tu tombes bien, la première chipie va recevoir sa déculottée et la deuxième va regarder pour savoir ce qui va lui arriver demain !

— Non mais ça va pas, tu te crois où ?

Chloé tapota les fesses de Clémence :

— Tu devrais dire à ta copine de se calmer, sinon ce n’est pas demain qu’elle va recevoir sa fessée cul nu mais aujourd’hui !

Clémence tourna la tête vers Clara :

— Chérie, tu devrais écouter Chloé, je t’expliquerai, elle veut publier une vidéo compromettante, s’il te plaît, laisse-la faire.

Clara regarda successivement son amie qui paressait affolée et semblait accepter le traitement humiliant de la jeune fille, puis Chloé qui avait un regard triomphant. Elle resta sans voix, c’est Chloé qui reprit la parole :

— Approche un peu ma petite chipie, tu as le droit de la voir cette vidéo.

Clara s’approcha, la jeune fille tendit le téléphone vers elle :

— Regarde un peu comme vous êtes mignonnes avec vos jolis derrières bien rouges.

La jeune étudiante poussa à nouveau un « oh », ce n’était pas la surprise mais l’effroi qui la faisait réagir, elle venait de comprendre la situation. Chloé enfonça le clou :

— Il va falloir être plus polie avec ta tatie Chloé ma petite chipie, je vais t’apprendre, tu vas voir ! Pour commencer tu fais comme ta copine, tu te tournes, tu retrousses ta jupe et tu te déculottes. Et vite !!

Complètement abasourdie, Clara s’exécuta, ses magnifiques fesses apparurent dans toutes leurs splendeurs juste au-dessus de la petite culotte blanche.

— Tu as vraiment un joli cul ma chipie, va te mettre au coin pendant que je m’occupe de ta copine. Ne t’inquiète pas tu n’auras pas froid aux fesses longtemps.

Clara en jeune femme habituée à la stricte éducation de sa mère ne tergiversa pas et alla poser son nez contre le mur.

Immédiatement la fessée pétarada dans la pièce, accompagnée par les cris de Clémence. Cette petite peste avait vraiment de la poigne, la cuisson n’avait rien à envier à celle ressentie lors des corrections administrées par sa mère ou sa sœur

Quand Clémence se releva pour rejoindre le coin, sa croupe était cramoisie et elle pleurait à chaudes larmes. 



La punition de Clara ne fut pas moins sévère, ce fut deux demoiselles aux derrières brûlants qui écoutèrent la jeune fille leur expliquer ce qu’elle attendait d’elles dorénavant :

— Comme je l’ai dit à Clémence tout à l’heure, à partir de maintenant, vous avez intérêt à filer droit, sinon c’est cul nu illico et la bonne fessée de tatie Chloé, j’espère que je me fais bien comprendre. À partir de demain, chacune votre tour le soir en rentrant des cours, vous viendrez me présenter vos derrières pour que je m’en occupe. Demain c’est Clara qui commencera. Pour ce soir c’est fini, vous avez de la chance, j’ai un contrôle à réviser, mais vous ne perdez rien pour attendre, de temps en temps on essayera quelques nouveautés sur vos jolies fesses. Vous pouvez vous reculotter.

Une fois seules, les deux jeunes femmes discutèrent de la situation, ce fut pour constater qu’elles étaient coincées. Il n’y avait aucun moyen d’échapper à la sévère tutelle de cette petite peste.

Clara se présenta donc le lendemain à l’heure dite dans la chambre de Chloé, il était 16 heures, Odile ne rentrait qu’à 18 heures et Amélie était à son cours de danse. Chloé avec un petit sourire gourmand s’adressa à la jeune étudiante :

— Tu as de la chance, j’ai deux heures tranquilles pour m’occuper de tes fesses, j’espère que tu es contente, tu as Tatie Chloé pour toi toute seule.

Elle avait fini en éclatant de rire. Puis elle avait mis son doigt sous le menton de Clara pour la forcer à la regarder :

— Pour commencer, comme d’habitude tu vas te déculotter pour que j’examine tes fesses et tu te dépêches !

Clara s’exécuta sans rechigner, elle savait par expérience qu’il ne fallait pas énerver une fesseuse. Elle se pencha légèrement pour bien présenter son fessier, histoire d’amadouer sa nouvelle maîtresse. Chloé n’était pas insensible au charme de cette magnifique croupe, une excitation se fit jour entre ses cuisses. Elle approcha de sa soumise, c’était tellement bon de pouvoir faire ce qu’elle avait envie avec cette pimbêche qui il y a encore quelques jours la snobait, lui disant à peine bonjour.

Elle glissa sa main entre les cuisses serrées de Clara :

— Il va falloir que tu écartes les jambes ma petite chipie, tatie Chloé a le droit d’aller fouiller là-dedans.

Elle écarta sans vergogne les deux fesses, mettant à jour la profonde raie médiane et la petite rondelle brune de l’anus, Clara ne put s’empêcher de contracter son fessier, ce qui lui valu de recevoir une dizaine de claques généreusement distribuées sur son derrière tendu :

— Tu as intérêt à te laisser faire sinon ça va te cuire encore plus ma petite chipie. Tu as déjà gagné une fessée supplémentaire pour cette petite rébellion. Qu’est-ce que je vous ai dit hier ?

La main claqua à nouveau les fesses pour accompagner la question :

— Alors qu’est-ce-que j’ai dit hier ?

— Aïe, aïe, aïe, pardon tatie Chloé… Aïe…

— Je n’ai rien entendu, répète ce que j’ai dit hier !!

— Aïe, oui… vous avez dit qu’il fallait qu’on file droit…

— Sinon ?

— Aïe… sinon… c’est cul nu illico et la bonne fessée de tatie Chloé… Aïe !

Chloé était aux anges, elle administra quelques claques supplémentaires sur le fessier tendu :

— A la bonne heure. Est-ce que tu as filé droit ?

Elle caressait à nouveau les fesses de la jeune femme, alterner douceur et sévérité pour que la punie perde pied c’était une spécialité de sa mère, elle avait retenu la leçon.

— Non… tatie Chloé.

— C’est bien ce qu’il me semble. Donc ?

Elle insinuait ses doigts entre les fesses de la jeune femme, celle-ci était rouge de honte, se faire traiter ainsi par cette gamine c’était vraiment insupportable, mais elle savait qu’il lui fallait répondre.

— Aïe, aïe… c’est la fessée… Aïe…

Chloé avait claqué sèchement les fesses de Clara :

— Exactement ! Une bonne fessée déculottée, c’est tout ce que tu mérites en plus de celle que j’avais déjà prévu de t’administrer. Reculotte-toi !!

Un peu surprise, la jeune femme s’exécuta. À peine sa culotte avait-elle caché son derrière, que sa jeune maîtresse l’avait saisie par l’oreille :

— Qu’est-ce que tu penserais d’une petite fessée en public ma chérie ?

Complètement affolée Clara se mit à supplier :

— Non, non, pardon tatie Chloé… Aïe, aïe…

La main venait de claquer l’arrière de ses cuisses :

— Avance, et cesse de chouiner. C’est tout ce que tu mérites.

Arrivée au salon, elle ouvrit grand les rideaux et la fenêtre. Les habitants de l’immeuble d’en face avaient une vue plongeante sur la pièce. Ils étaient habitués aux spectacles que leur offrait souvent Odile en corrigeant ses filles fenêtre ouverte où même l’été quelques fois sur le balcon.

Des fesses nues bien rouges et des jambes battant l’air au rythme des claques ne les surprendrait pas. Chloé avait lâché l’oreille de sa punie pour préparer la scène, elle installa une chaise de profil face à la fenêtre et s’installa un peu dans l’ombre afin de ne pas être reconnue puis elle saisit la main de Clara pour la basculer en travers de ses genoux :

— Tes fesses sont tellement ravissantes qu’il serait dommage d’en priver les spectateurs. Allez, cul nu ma petite chipie.

En un clin d’œil, elle retroussa la jupe. Clara compris pourquoi elle lui avait fait remettre sa culotte. C’était pour lui faire subir l’humiliation d’un déculottage en public, elle se mit à pleurer :

— Pardon, pardon… Non s’il vous plaît tatie Chloé, fermez la fenêtre… Aïe…

La main de la jeune fille venait de claquer l’arrière de ses cuisses juste sous la culotte :

— Je t’ai dit d’arrêter de pleurnicher, la prochaine fois tu obéiras quand tatie Chloé te dira quelque chose. J’espère que tu as bien honte de te faire baisser la culotte devant tout le monde. Tu mérites une bonne fessée cul nu et tu vas la recevoir !

Clara sentit avec horreur les doigts s’insinuer sous sa petite culotte blanche, celle-ci glissa inexorablement sur sa croupe.

Certes elle avait l’habitude de recevoir la fessée déculottée et Laurence sa mère la fessait quelques fois en public même si c’était plus rarement maintenant qu’elle était adulte mais sa dernière fessée cul nu devant des inconnus remontait à son adolescence. Son humiliation était accentuée par le fait que ce soit Chloé qui lui administre ce châtiment. Cette gamine se régalait de la déculotter, elle sentit l’air frais sur ses fesses, elle était prête pour recevoir à 25 ans une fessée déculottée en public.

La jeune fille jeta un œil sur la façade de l’immeuble voisin, elle constata avec joie que mademoiselle Vilpot, la vieille fille du deuxième avait ouvert sa fenêtre, on la devinait, elle adorait assister aux punitions qu’Odile administrait à ses filles. Chloé pensa en souriant qu’elle serait sans doute ravie de découvrir une nouvelle paire de fesses. Elle aperçut au troisième étage sa copine Louisa, elle lui avait envoyé un SMS pour la prévenir, elle tapota gentiment les fesses blanches recouverte d’une fine chair de poule :

— Tu as du succès, il y a au moins deux spectatrices pour assister à ta déculottée.

Elle leva la main et commença la punition, comme la veille, elle ne ménagea pas sa peine et Clara malgré son désir de rester stoïque se comporta comme toutes les punies, battant désespérément des jambes et pleurant sous la cuisson des claques. Ses fesses étaient tournées vers la fenêtre, les deux spectatrices purent constater que la fessée avait été efficace si l’on en jugeait par la couleur du derrière.



Avant de faire se relever, elle lui épingla la jupe dans le dos, ainsi quand Clara fut sur pied son fessier rougeoyant resta parfaitement exposé. Elle la força à se placer dos à la fenêtre afin que les deux amatrices de fessées soient satisfaites :

— Mets tes mains sur ta tête, tu vas rester là un moment, quand on a un si joli derrière, il faut le montrer.

Elle se dirigea vers la cuisine et revint avec le martinet, puis elle appela Louisa :

— Tu as bien vu ?

— …

— Oui, c’est vrai qu’elle a vraiment un beau cul.

— …

— Non je ne vais pas la laisser trop longtemps là, c’est juste pour lui faire bien honte.

— …

— Tu l’as entendu brailler ? Une vraie gamine qui reçoit encore la fessée cul nu. C’est sûr qu’elle va s’en souvenir. Mais je n’ai pas fini.

— …

— Oui, une deuxième fessée au martinet.

— …

— Non pas ici, j’ai peur qu’Amélie rentre plus tôt, je vais lui flanquer sa fessée dans ma chambre. Bon j’y vais. Bisous.



Clara pleurait en silence, autant de honte que de douleur, cette petite garce savait y faire, et en plus elle comptait la punir au martinet. Elle contracta ses fesses. Chloé venait de lui saisir l’oreille, de l’autre main elle tenait le martinet :

— Viens un par ici ma jolie, tu as reçu ta punition pour avoir désobéi, maintenant tu vas recevoir l’habituelle, celle que tu recevras tous les deux jours.

Elle entraîna la jeune étudiante dans sa chambre et lui désigna son fauteuil :

— Tu te mets à genoux et tu tends bien ton derrière.

Clara s’exécuta en gémissant, ses fesses étaient encore brûlantes :

— S’il vous plaît tatie Chloé, j’ai déjà été bien punie.

Chloé souriait, elle jubilait de la soumission de la jeune femme. Elle fit glisser les lanières sur la croupe tendue :

— Oui, c’est vrai, mais je pense que ce n’est pas suffisant. Tu es une vraie chipie et tu as une bonne paire de fesses. Quand on a un beau derrière comme toi, il faut beaucoup plus qu’une fessée pour le corriger. Une fessée avec le martinet familial ça sera parfait. Disons cinquante coups et tu vas compter.

La première cinglée barra les fesses de Clara d’une trace bien rouges qui déborda sur les cuisses.

— Aïe… Pardon tatie Chloé… ça brûle…

— Je n’ai rien entendu ! On recommence !

— Aïe, aïe… Un…

Au milieu des cris et des pleurs, Clara compta jusqu’au bout sa punition. À la fin sa croupe n’était plus qu’une boule rouge tellement ses fesses étaient serrées. Chloé la laissa à genoux le temps qu’elle se calme.

Elle regarda sa montre, il lui restait encore une heure pour jouer à la maîtresse. Ce beau fessier, c’était trop tentant, mais Clara avait déjà pris deux bonnes fessées, il ne fallait pas exagérer. Elle sourit contente de sa nouvelle idée, elle se dirigea vers la salle de bain et en revint avec le thermomètre qui servait si souvent à sa mère pour compléter sa punition. Elle s’installa confortablement sur l’autre fauteuil et appela Clara :

— Viens un peu ici ma chipie, tatie Chloé va s’occuper de ton bon gros derrière.

La paire de fesses de la jeune femme était magnifique et rebondie à souhait, elle ne méritait cependant pas l’appellation humiliante de « bon gros derrière » mais cette expression plaisait à Chloé c’est ainsi que sa mère avait dénommé les fesses d’une de ses cousines bien en chair, un jour qu’elle la corrigeait. Elle avait beaucoup aimé voir ce « bon gros derrière » se trémousser et rougir sous les claques.

Clara avait rougi un peu plus, mais elle se tenait sagement devant sa jeune maîtresse, celle-ci tapota ses cuisses d’un air impatient :

— Allez vite en position, comme si tu ne savais pas que c’est là que tu dois être !

Clara se coucha en travers de ses cuisses, Chloé descendit la culotte jusqu’aux genoux puis elle écarta les deux hémisphères écarlates :

— On se détend petite chipie, tatie Chloé veut vérifier ta température, tu sais bien qu’il faut te laisser faire.

La jeune étudiante n’avait aucune envie de reprendre une nouvelle fessée aussi desserra-t-elle ses fesses le plus qu’elle le pouvait. Son petit trou mis à jour, la jeune fille n’eut aucun mal à faire pénétrer profondément l’instrument médical. 



Elle le fit coulisser d’une main tandis que l’autre se glissait un peu plus bas. Malgré elle, Clara était mouillée, Chloé ressortit sa main et la plaça sous le nez de sa soumise :

— On dirait que ça te plaît que je m’occupe de ton petit trou. Attends tu vas voir, j’ai beaucoup mieux, ça va te calmer !

Elle ressortit le thermomètre et attrapa le martinet, l’extrémité de son manche était fine et arrondie. C’était l’idée perverse qui avait traversé le cerveau de la jeune maîtresse tout à l’heure :

— Ah mademoiselle aime se faire enculer ? Eh bien je vais t’apprendre !

Elle posa son doigt sur l’anus, le thermomètre l’avait légèrement dilaté, elle introduisit doucement son index et le fit tourner. Clara morte de honte se mit à gémir :

— Non, non, tatie Chloé pas ça…

La jeune maîtresse se mit à rire :

— Ah oui, et pourquoi donc ? Tu crois que tu es en position de décider ? Je vais te mettre le martinet à la place du thermomètre, on va voir si ça te fait toujours jouir. Tu ferais mieux de bien écarter tes fesses si tu ne veux pas une autre fessée.

Clara se mit à pleurer doucement et écarta largement ses cuisses, Chloé continuait à faire coulisser son doigt, elle était incroyablement excitée, sa perversité était satisfaite. Elle prit le martinet et humecta le manche avec sa salive puis elle le posa sur l’anus déjà dilaté et le poussa lentement. La jeune femme se mit à gémir :

— Non, non tatie Chloé, c’est trop gros, s’il vous plaît…

Sans tenir compte de ces supplications la jeune fille continuait de faire pénétrer l’engin punitif, elle tapota les fesses :

— Relâche-toi ma petite chipie, ce n’est rien du tout ? Tu verras, un jour je mettrai un gros plug dans ton joli petit cul, là tu pourras pleurer pour quelque chose.

Jugeant qu’il était enfoncé suffisamment profondément et qu’il ne risquait pas de ressortir, elle le fit tourner lentement pour accentuer la confusion de sa punie :

— Voilà, petite chipie, il est bien en place, tu vas le garder un bon moment. Allez debout !

Elle avait claqué sèchement les fesses de Clara. Celle-ci était maintenant devant elle, elle la saisit par l’oreille et l’amena devant la glace, puis la fit pivoter afin que ses fesses soient bien présentées :

— Regarde comme tu es mignonne avec cette petite queue…

Elle se mit à rire en faisant bouger les lanières qui pendaient sur les fesses. L’humiliation était totale pour Clara, elle en aurait presque oublié la brûlure de son fessier.

— Te voilà bien garnie, je vais faire une photo pour l’envoyer à Louisa, je suis sûre qu’elle va adorer.

Puis elle conduisit sa punie au coin :

— Tu connais la position, je pense. Colle bien ton nez contre le mur et mets tes mains sur la tête. Je ne veux plus t’entendre. Tu en as pour une demi-heure.

Au bout de vingt minutes, elles entendirent Amélie rentrer. Chloé se leva, remonta la culotte sous les fesses et fit retomber la jupe :

— Ta tenue est plus décente, mais tu gardes le martinet dans les fesses, on va chez toi. Allez dépêche-toi.

Elle claqua les fesses par-dessus la jupe pour inciter Clara à avancer. C’était très gênant de marcher avec ce manche bien enfoncé entre ses fesses, mais elle n’avait pas le choix. Elle était quand même contente que la grande sœur de Chloé ne l’ait pas trouvé au coin cul nu.

Amélie fut surprise de voir Clara :

— Tiens, tu es là ?

C’est Chloé qui répondit :

— Oui, Clara est super sympa, elle est venue m’aider pour m’expliquer un cours de svt, on va chez elle, elle veut me montrer quelque chose.

Amélie acquiesça et regagna sa chambre.

Quand elles furent sur le palier, Chloé reclaqua les fesses de sa punie :

— Allez vite !!

Clémence poussa un petit “oh” de surprise en les voyant arriver. Chloé se mit à rire :

— J’ai une petite surprise pour toi.

Elle fit pivoter Clara et souleva la jupe. Les fesses écarlates apparurent dans toutes leurs splendeurs avec le manche du martinet planté au milieu.

— Elle est mignonne, tu ne trouves pas ?

Elle coinça la jupe dans la ceinture et claqua sèchement les fesses :

— Va te mettre au coin, tu n’as pas fini ta pénitence.

Puis elle se tourna vers Clémence :

— Tu vois ce qui arrive aux vilaines filles. Clara à désobéi, elle a eu droit à un complément de punition. En plus d’une deuxième fessée, elle goûte au martinet plug. Je te conseille d’être mignonne demain.

Clémence se mit à rougir, elle était inquiète pour ses fesses, mais en même temps le spectacle offert par Clara était vraiment très excitant.

Chloé s’approcha d’elle :

— Tu vas me montrer tes fesses.

La jeune étudiante n’osa pas protester, elle se leva et resta debout les bras ballants. Chloé la regarda sévèrement :

— Eh bien, tu as oublié ? Déculotte-toi !!

Les joues de la jeune femme étaient aussi rouges que ses fesses après une fessée, elle s’exécuta puis se tourna pour présenter ses fesses à sa jeune maîtresse.

Chloé s’approcha et caressa le joli derrière si bien présenté :

— C’est bien, j’aime les chipies obéissantes, tes fesses sont ravissantes. Elles se sont bien reposées aujourd’hui, on s’en occupera demain.



Elle claqua la croupe contractée par la honte :

— Cache-moi ce vilain derrière.

Ravie d’échapper à la fessée, clémence se dépêcha de remonter sa culotte.

Chloé s’était dirigée vers son autre soumise, elle fit coulisser légèrement le manche du martinet :

— Alors ma petite chipie, tu seras bien sage la prochaine fois.

Clara le nez collé contre le mur murmura :

— Oui, tatie Chloé…

Les dix minutes lui parurent longues, contrairement à Chloé qui aurait bien voulu continuer à profiter du spectacle. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, sa mère n’allait pas tarder, elle retira le martinet et administra une vingtaine de claques sur les fesses de Clara :

— Ta punition est terminée, sois bien sage.

Elle se tourna vers Clémence :

— Quant à toi, à demain.













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