lundi 20 mai 2024

Deux étudiantes 9

La punition de Clémence



Clémence était vraiment inquiète en rentrant à la maison après ses cours, Clara lui avait décris en détail sa punition de la veille. Cette petite peste de Chloé était vraiment perverse, qu’allait-elle encore inventer aujourd’hui. Ses fesses n’avaient pas goûté à la fessée depuis deux jours, elles étaient nickel, prêtes pour la bonne fessée déculottée lui avait dit Chloé hier soir, elle allait certainement tenir sa promesse de bien s’en occuper.

Son téléphone vibra, c’était un message de sa jeune maîtresse « Amélie est à la maison, je t’attends dans le hall, nous allons dans un endroit tranquille, tatie Chloé va s’occuper de ton bon gros derrière ne t’inquiète pas »

Ça commençait bien… il ne fallait surtout pas la faire attendre, clémence descendit rapidement. La jeune fille l’accueillit avec un grand sourire :

— Parfait, tu as été rapide. Tu es pressée de me montrer tes fesses ?

Elle s’était approchée de la jeune étudiante et lui avait claqué les fesses par-dessus la jupe. Clémence piqua un fard. Surtout que la porte venait de s’ouvrir, c’était une jeune femme qui habitait au sixième, elle n’avait rien remarqué, elle leur dit bonjour et s’engouffra dans l’ascenseur. Chloé pouffa :

— Tu as vu ? Bientôt tout le monde va savoir que les chipies reçoivent encore la fessée. Tu as eu de la chance j’aurais pu te baisser la culotte.

Malgré son désir de ne pas répondre, Clémence ne put s’empêcher de protester :

— Oh, non quand même pas ici, tatie Chloé !

La jeune fille lui jeta un regard ironique :

— Ah oui ? Et pourquoi pas ? Viens un peu là !

Clémence était pétrifiée, elle jeta un regard circulaire, personne à l’horizon.

— Dépêche-toi, tu sais ce qui arrive aux vilaines filles désobéissantes !

Chloé prenait vraiment à cœur son rôle de tatie sévère. La jeune étudiante compris qu’elle n’avait pas le choix, elle fit un pas vers sa jeune maîtresse.

Dès qu’elle fut à sa portée, celle-ci la fit pivoter, la ceintura et après lui avoir troussé la jupe la déculotta rapidement. Elle avait juste baissé la culotte sous les fesses mais c’était suffisant pour que l’humiliation de Clémence fut totale, triomphante Chloé tapota les fesses dénudées :

— Alors ma petite chipie ? Ça fait quel effet d’être cul nu dans le hall de l’immeuble ?

Des pas se firent entendre dans l’escalier, Chloé relâcha sa punie et remis la jupe en place, la culotte était toujours baissée sous les fesses, mais ça ne se voyait pas. La jeune fille pris la jeune femme par la main :

— Allez, on y va. Louisa nous attend !

Clémence frissonna, Clara lui avait parlé de cette Louisa. Elle avait assisté depuis sa fenêtre à sa fessée, apparemment aujourd’hui Chloé comptait lui faire vivre sa punition de beaucoup plus près.

Il fallait traverser la rue, sa jupe était retombée mais Clémence sentit l’air frais sur ses fesses, quand elles croisèrent deux passantes, elle eut vraiment l’impression que tout le monde voyait ses fesses nues. Elle ne cessait de regarder autour d’elle, Chloé la tirait par la main pour lui faire accélérer le pas, dès qu’elles furent dans le hall de l’immeuble de Louisa, elle claqua sèchement le derrière de la jeune femme :

— Tu mériterais que je te flanque une fessée cul nu ici. Tu rechignes à venir avec moi chez Louisa, eh bien je peux te dire que tes fesses vont le regretter et ma copine va se régaler à voir ton joli petit cul danser.

Elles furent rapidement au troisième étage, Louisa leur ouvrit. C’était une petite brunette bien en chair avec un regard rieur, elle sauta au cou de Chloé :

— Comme je suis contente que tu m’amènes ta chipie.

Elle regarda Clémence la détaillant de la tête aux pieds :

— Alors, c’est toi Clémence, la chipie que Chloé est obligée de corriger. Qu’est-ce que tu as encore fait comme bêtise aujourd’hui ?

Elle s’amusait à surjouer la dame sévère s’adressant à une gamine. Clémence avait les joues très rouges, elle baissa la tête et ne répondit pas. Chloé lui administra une vigoureuse claque sur la croupe :

— Tu pourrais quand même dire bonjour ! Déjà que je t’ai promis une bonne fessée déculottée, continue comme ça et tu vas en avoir une deuxième.

Clémence essaya de se ressaisir, mais elle était tétanisée, elle était redevenue petite fille quand sa tante la grondait devant une voisine. Elle eut un flash et elle revit clairement ce jour où sa tata lui avait baissé la culotte devant la voisine, elle avait huit ans. Aujourd’hui elle en avait 25, mais Chloé la traitait de la même façon :

— Puisque tu persistes à faire ta mauvaise tête, je vais employer les bonnes vieilles méthodes qui on fait leur preuve.

Elle avait saisi, la jeune femme par l’oreille et en entrant dans le salon, elle adressa un sourire à sa copine :

— D’ailleurs tu vas voir que mademoiselle est déjà prête.

Elle s’installa sur une chaise et fit basculer en travers de ses cuisses la pauvre Clémence qui gémissait déjà, elle retroussa la jupe et les fesses nues apparurent immédiatement. Elles étaient serrées par l’angoisse et recouvertes d’une légère chair de poule. Louisa poussa un petit cri de surprise :

— Mais elle est déjà cul nu !

Chloé tapota le derrière blanc nacré :

— Oui, mademoiselle à fait la maligne tout à l’heure, je l’ai déculottée pour lui flanquer une fessée dans le hall de l’immeuble, elle a eu de la chance que quelqu’un arrive, sinon ses fesses seraient déjà rouges.

Elle descendit la culotte jusqu’aux genoux et rectifia un peu la position de la punie, la faisant basculer un peu plus vers l’avant pour que ses fesses soient mieux présentées.

— Voilà ma petite chipie, tu es bien installée ? tu en as pour un moment à me montrer tes fesses, tatie Chloé est très fâchée et je te garantis que tu vas avoir du mal à t’asseoir ce soir.

Elle adorait jouer à la maman sévère avec cette jeune femme qui était obligée de se soumettre à tous ses désirs. Elle leva la main et commença à administrer à Clémence sa première fessée de la journée. Elle fessait lentement mais très fort alternant les claques sur chaque fesse, tantôt visant le centre bien charnu puis la base sur le pli fessier, Clémence ne put pas retenir longtemps ses cris, maintenant elle gigotait battant des pieds et suppliant sa maîtresse :

— Non, non, aïe, aïe, aïe pardon tatie Chloé, plus la fessée, ça brûle trop.

Louisa assistait ravie à la correction de cette jeune femme redevenue par la grâce de cette punition une gamine implorante. La jeune fesseuse se mit à rire :

— J’espère bien que ça te brûle, c’est pour ça que je te flanque cette fessée, il faut que tu t’en souviennes longtemps de la correction de tatie Chloé et rassure-toi, ce n’est que le début, ton bon gros derrière va te cuire encore plus tout à l’heure. Même ce soir en te couchant tu penseras à moi.

Pendant toute cette tirade, elle n’avait pas cessé de claquer la belle croupe de la jeune étudiante, maintenant celle-ci était bien rouge sur toute sa surface. Elle la caressa pour apprécier le résultat :

— Voilà un petit cul bien échauffé, dis-moi Louisa, tu as bien une brosse à cheveux ?

La petite brunette se leva en souriant :

— Mais bien sûr, celle de maman, je la connais trop bien, je t’assure que ta chipie va la sentir passer.

Elle revint rapidement en tenant une solide brosse à cheveux avec un large manche en ébène :

— Tiens, essaye ça sur le derrière de mademoiselle, je crois qu’elle n’a jamais servi à maman pour se coiffer, elle l’utilise seulement sur mes fesses.

Chloé soupesa l’instrument punitif :

— Effectivement, elle est lourde, mais notre petite chipie a une bonne paire de fesses, il lui faut bien ça.

Clémence avait aperçu la brosse et écouté la conversation des deux copines, elle se mit à supplier :

— Non, non s’il vous plaît tatie Chloé, pas la brosse, non… Aïe…

Chloé avait administré un coup sec sur la fesse droite de la punie :

— Tais-toi, vilaine… Tu as bien mérité cette correction et ton beau gros derrière n’est pas encore cuit à point. Je veux que tu ne puisses pas le poser sur une chaise pour toute la soirée. Je vais t’apprendre à obéir, tu vas voir après la fessée de tatie Chloé tu vas devenir une gentille petite fille.

Elle ceintura un peu mieux la taille de Clémence et commença la deuxième fessée, la punie se mit à pousser des cris déchirants et les pleurs ne tardèrent pas.

Louisa était impressionnée par la sévérité de son amie. Elle aussi était soumise à une stricte discipline par sa mère, c’est d’ailleurs leur condition commune de grande fille encore soumise à la fessée déculottée qui l’avait rapprochée de Chloé, mais elle ne se souvenait pas avoir reçu ou avoir assisté à une telle correction. La croupe de la jeune étudiante était maintenant rouge foncé, avec quelques traces plus foncées, effectivement pensa-t-elle, cette chipie aurait beaucoup de mal à s’asseoir ce soir.



Clémence hoquetait quand la fessée cessa, c’était certainement la plus sévère correction qu’elle ait jamais reçue. Elle sentit les doigts de sa jeune maîtresse qui caressait son fessier brûlant et qui se glissait entre ses cuisses, elle se laissa faire tout à sa douleur. Chloé souriait fière de son autorité :

— Tu vois comme elle est devenue mignonne notre petite chipie au cul rouge, je peux lui examiner tranquillement le derrière, et elle se laisse faire. C’est bien dommage que je n’aie pas le martinet, je l’aurais mis dans son petit trou comme pour Clara. Ce sera pour une autre fois, tu ne perds rien pour attendre, tu verras tu y goûteras bientôt.

Elle claqua sèchement le derrière de sa punie :

— Allez debout, tu vas aller montrer tes jolies fesses à Louisa.

Penaude, de grosses larmes coulant sur ses joues, la jeune étudiante se dirigea vers la jeune fille, celle-ci lui fit un petit signe avec le doigt :

— Tourne-toi, que j’examine ton petit cul de plus près.

Clémence s’exécuta, Louisa lui appuya sur le dos pour la faire se pencher en avant, ses fesses étaient tendues vers la jeune fille, celle-ci passa sa main sur l’épiderme brûlant :

— Olala que c’est chaud.

Elle se tourna vers Chloé :

— Tu me la prêtes ?

La jeune maîtresse se mit à rire :

— Bien sûr, elle a vraiment une mignonne paire de fesses n’est-ce pas ?

Louisa prit Clémence par la main et la fit se coucher en travers de ses cuisses, puis elle caressa et tapota la croupe écarlate. Chloé voyait bien qu’elle mourait d’envie d’administrer elle aussi une fessée à la jeune femme :

— Allez, vas-y, la peau des fesses repousse toujours dit ma grand-mère, on ne meurt pas d’une bonne fessée. La nature nous a doté d’un derrière bien joufflu, il est fait pour ça.

Clémence reçut donc sa troisième fessée déculottée, elle fut moins sévère que les deux précédentes, mais son derrière déjà brûlant eut du mal à supporter cette punition supplémentaire et elle se mit à sangloter et à implorer immédiatement :

— Non, non, plus la fessée mademoiselle, je vais être sage promis, plus la fessée, non, non, aïe, aïe, aïe…

Ces supplications de gamine punie par sa maîtresse eurent le don de faire sourire les deux amies, c’était si bon de pouvoir claquer cette magnifique paire de fesses alors qu’habituellement, c’était elle qui gigotait sous la fessée :

— J’espère bien que tu vas être sage ! Sinon tu reviendras faire un tour sur mes genoux.

C’était Chloé qui lui avait répondu en riant, elle s’adressa ensuite à son amie :

— Ne t’arrête pas, cette chipie a bien mérité cette fessée, regarde-moi comment elle tortille son derrière, on dirait qu’elle en redemande.

Louisa ne demandait pas mieux que de continuer, c’était la première fois qu’elle administrait une vraie fessée déculottée et c’est vrai que la croupe de Clémence était vraiment appétissante. Elle avait déjà reçu plus de trois cents claques bien réparties sur ses deux fesses, une légère buée s’élevait au-dessus du fessier, signe d’un véritable échauffement de la peau. Louisa cessa la punition, elle regarda Chloé :

— On la met au coin ?

— Et comment ! Mademoiselle va exposer son joli derrière bien rouge à tout le monde, devant la fenêtre comme Clara hier.

Louisa se chargea de conduire la punie devant la grande fenêtre du salon, puis elle ouvrit les rideaux au grand désespoir de la jeune étudiante :

— Voilà, cul nu devant tout le monde !



Elle avait fait tourner la jeune femme afin que ses fesses soient tournées vers l’extérieur. Elle lui coinça la jupe dans la ceinture, la culotte était enroulée autour des chevilles, elle lui fit enjamber pour s’en saisir puis elle lui mit sous le nez :

— Privée de culotte, en plus elle n’est pas très propre.

Chloé était ravie de l’inventivité de sa copine, elle décida d’en rajouter un peu :

— Ah oui ? On va lui laver les fesses à l’eau froide quand elle aura fini son temps de coin.

Clémence avait posé sans qu’on lui demande, ses mains sur sa tête, elle serrait et desserrait convulsivement ses fesses pour essayer d’atténuer la brûlure qui envahissait sa croupe. Elle n’avait jamais reçu une correction aussi sévère, elle songeait avec angoisse aux voisins d’en face qui pouvaient admirer à loisir son fessier écarlate.

Le téléphone de Chloé vibra, elle y jeta un œil, il y avait un message d’Amélie. « Maman vient d’arriver, elle a demandé où tu étais ». Un soupçon d’inquiétude parcouru la jeune fille, elle se dirigea vers la punie et remis sa jupe en place :

— Bon, ça suffira pour aujourd’hui, tu échappes au lavage de ton derrière à l’eau froide, on rentre.

Elle mit la culotte de Clémence dans sa poche et lui prit la main :

— Tu restes cul nu, ça t’apprendra, allez ouste !

Une magistrale claque sur la croupe de Clémence lui indiqua qu’il fallait obéir sans tarder.

Louisa un peu déçue que la séance ne dure pas plus, leur fit une bise, elle en profita pour glisser sa main sous la jupe de la jeune femme :

— Tu as vraiment un joli petit cul ma chipie, j’espère bien que je pourrai à nouveau m’en occuper bientôt.

Arrivée devant l’appartement des deux étudiantes, Chloé lui donna une petite claque sur la jupe :

— Allez, file. On se revoit dans deux jours, demain ce sera à Clara de me présenter ses fesses.

En entrant dans le salon, le sang de Clémence se glaça, Odile se tenait debout et avait sa tête des mauvais jours :

— Où étais-tu ? Tes cours finissaient à 16 heures, tu as encore été traîner !!

Elle avait saisi la jeune femme et l’attirait déjà contre elle, Clémence savait ce que cela signifiait, elle essaya de protester :

— Non, non, madame, je vais vous expliquer.

Odile la tenait fermement par la taille, elle la força à se courber :

— Je suis sûr que tu vas m’expliquer, mais quand je t’aurai mis les fesses à l’air, tu auras les idées plus claires.

Elle souleva la jupe et poussa un petit cri :

— Mais qu’est-ce que c’est que ça ! Tu es cul nu, où as-tu mis ta culotte ?

Elle s’apprêtait à lever la main quand elle se rendit compte que les fesses de Clémence étaient écarlates.

 

 


 

 

 

5 commentaires:

  1. Je pense que le petit arrangement de Chloé touche à sa fin. Sylvie tu es douée pour écrire. s'il te plaît, ne t'arrête pas. Je visite presque le forum tous les jours pour vérifier la mise à jour.

    Chinmay

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  2. Comme j’aimerais être a la place de Chloé ou de Clémence. Il faut savoir donner pour recevoir !! 🔥🍑🔥

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    1. Vous avez raison, je suis bien placée pour ça, même si j'ai plus souvent les fesses rouges que les mains.

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  3. Pas de nouvelle histoire depuis 10 jours je commence à trouver le temps très long

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    1. C'est vrai, il va falloir demander à Caroline de sévir. Un nouveau récit devrait arriver bientôt.
      Sylvie

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