mardi 9 avril 2024

Lucie et Christian 13

 Punition pour deux secrétaires



Émilie et Laetitia avait été un peu surprise de voir revenir Clotilde la tête basse et les yeux rougis, elles sentirent que quelque chose ne tournait pas rond.

Clotilde sans les regarder s’était assise à son bureau et discrètement, elle avait retroussé sa jupe, afin que son derrière nu repose directement sur le siège, c’était une consigne de madame Dugou, elle avait ajouté pour être sûr que Clotilde s’exécute :

— Je vérifierai quand je passerai te voir, si jamais tu as désobéi, je te promets une bonne déculottée devant tes collègues.

Ce fut laetitia qui rompit le silence :

— Ça c’est mal passé chez la mère Dugou ?

Clotilde était mal à l’aise, elle ne leva pas les yeux et marmonna :

— Oui…

Laetitia était une grande brune bien en chair âgée de 35 ans, elle insista :

— Ça veut dire quoi ? Tu pourrais être plus explicite.

Clotilde leva les yeux, ils étaient rougis, Émilie le remarqua immédiatement :

— Tu as pleuré ? Quelle garce, qu’est-ce qu’elle avait à te dire ?

La jeune femme d’une vingtaine d’années, blonde et menue s’était levée. Clotilde les regarda et posément elle se força à expliquer la situation :

— Ils ont découvert notre petit trafic…

Elle marqua une pause et regarda ses deux jeunes collègues, elles étaient inquiètes et attendaient la suite. Laetitia la relança :

— Ça veut dire quoi ? Ils savent tout ?

— Oui tout, et ça craint…

Clotilde baissa les yeux :

— S’ils portent plainte, ça va être grave.

— Mais qu’est-ce qu’elle t’a dit ?

Laetitia s’énervait, Clotilde la regarda calmement :

— Elle va venir dans la matinée à ce qu’elle m’a dit. Elle va vous parler, il vaut mieux attendre, il y a peut-être une solution… Mais je ne sais pas si c’est mieux.

Elle avait marqué un temps d’arrêt avant de finir sa phrase, la cuisson de son derrière lui rappelait sa condition. Les deux jeunes femmes auraient tout le loisir de méditer elles aussi quand elles auraient les fesses brûlantes. Elle en était sûre maintenant, elles accepteraient comme elle de recevoir la fessée, comment refuser la proposition de madame Dugou, c’était de loin préférable au risque d’un procès et d’un licenciement.

Inquiète les deux comptables se remirent au travail.

Claire Dugou était contente de sa matinée et la suite s’annonçait également agréable, les deux secrétaires commerciales avaient les fesses rouges et Lucie était pluguée. Clotilde la cheffe comptable avait reçu sa première fessée déculottée et ses deux acolytes allaient y goûter également. En marchant elle essayait de s’imaginer les fessiers des deux jeunes femmes.

La petite Émilie avait un mignon petit cul, elle portait toujours des jeans moulants qui le mettaient bien valeur, il allait bien gigoter sous les claques, quant à Laetitia, elle avait un popotin vraiment appétissant, ça faisait un moment qu’il l’attirait, il lui tardait vraiment de lui baisser la culotte.

Elle entra dans le bureau sans frapper, les trois comptables sursautèrent, elle les dévisagea d’un air sévère :

— Nous avons à parler. Clotilde vous a mis au courant ?

Émilie piqua du nez dans ses dossiers, n’osant pas regarder sa cheffe de service, Laetitia bredouilla :

— Euh, oui, enfin non… Madame que voulez-vous dire ?

Claire la regarda avec un petit sourire puis se tourna vers la cheffe comptable qui avait les joues très rouges :

— Tu ne leur as pas raconté notre discussion ? Eh bien viens un peu là, elles vont vite comprendre.

La responsable de la comptabilité ne levait toujours pas la tête, Claire éleva le ton :

— Clotilde !! J’ai dit viens ici !!

Les deux jeunes femmes étaient sidérées par le ton employé par leur cheffe et le fait qu’elle tutoie Clotilde, une dame de 50 ans, comme si elle était une adolescente. Celle-ci se leva mais resta les yeux baissés. Dès qu’elle fut à sa portée, Claire la saisit par la main et la fit pivoter. Puis avant qu’elle eût pu tenter une quelconque résistance, elle la coinça sous son bras et lui retroussa la jupe. Le plantureux fessier encore bien rouge apparu devant les yeux ébahis de ses deux collègues, elles poussèrent simultanément un petit cri de surprise.

Plusieurs choses paraissaient incongrues dans ce tableau. Pour commencer Clotilde avait obéi sans rechigner, puis elle ne s’était pas rebellée quand Claire l’avait troussée montrant qu’elle ne portait pas de culotte et pour finir elle avait les fesses bien rouges.

Madame Dugou tout en maintenant la punie coincée sous son bras avec les fesses bien exposées leva les yeux vers les deux secrétaires comptables :

— Voilà ce que madame Vigneau aurait dû vous expliquer…

Les deux jeunes femmes restèrent bouches bée. Claire était ravie de son petit effet :

— Clotilde a reçu une bonne fessée déculottée et elle est privée de culotte. C’est le prix à payer pour vos petites magouilles mesdames !

Laetitia fut la première à se ressaisir :

— Mais enfin, madame, vous n’avez pas le droit, on va se plaindre.

Claire lui adressa un sourire carnassier :

— Ah oui, eh bien nous irons ensemble. Vous pour vous plaindre d’être menacée d’une fessée cul nu et moi pour déposer une plainte pour escroquerie.

Le visage de la jeune femme se décomposa :

— Oh non madame.

Claire la regarda toujours souriante :

— Clotilde a vite compris, une bonne fessée déculottée est préférable à un procès n’est-ce pas ?

Elle avait administré une magistrale claque sur le fessier de la cheffe comptable afin de mieux faire comprendre la situation à ses deux collègues.

— Aïe, Aïe…

La main avait claqué sèchement chaque fesse :

— Je t’ai posé une question ma petite Clotilde, tu préfères la fessée déculottée ou la prison ?

Émilie et Laetitia étaient effarées par la tournure que prenaient les événements, la main de Claire claqua à nouveau le large fessier.

— Aïe, aïe, oui madame, je préfère la fessée…

Clotilde sanglotait de honte et de douleur, Claire lui caressa les fesses :

— C’est bien ce qui me semblait.

Elle se tourna vers les deux jeunes femmes :

— Bien, qui veut commencer ?

Elles se regardèrent, sans dire un mot, le ciel venait de leur tomber sur la tête, aucune ne bougea. Claire avait relâché Clotilde, elle lui donna à nouveau une claque sur le derrière :

- Tu files te mettre au coin et tu tiens ta jupe retroussée qu’on voit bien tes jolies fesses.

La cheffe comptable obéit sans dire un mot et elle se dirigea vers le coin du bureau en trémoussant sa large croupe. Claire se retourna vers les deux secrétaires :

— On ne va pas y passer la matinée, je vais compter jusqu’à trois, ensuite c’est moi qui déciderai pour vous. Un… Deux… Trois…

Les deux jeunes femmes étaient comme pétrifiées sur place, la cheffe de service esquissa un sourire :

— Je crois que je ne me suis pas bien fait comprendre, vous n’avez pas le choix mesdames, vous allez recevoir une fessée déculottée que ça vous plaise ou non. Laetitia viens ici immédiatement !!

Le ton était si sévère que la jeune femme approcha sans un mot, dès qu’elle fut à sa portée, Claire lui saisit l’oreille :

— Approche un peu ma jolie.

Laetitia se mit à gémir :

— Aïe, aïe, non, pardon madame… Aïe, Aïe…

La main de Claire venait de claquer sa croupe par-dessus sa jupe, celle-ci s’installa sur une chaise sans lâcher l’oreille de sa victime :

— Il va falloir vous habituer à obéir quand je demande quelque chose, vous avez déjà gagné une fessée supplémentaire pour m’avoir forcé à compter jusqu’à trois.

Elle était maintenant assise, en tirant sur l’oreille de Laetitia, elle la força à se pencher sur ses cuisses, puis elle la prit par la taille et la bascula sèchement vers l’avant. Les pieds de la jeune secrétaire quittèrent le sol, elle posa ses mains par terre pour ne pas perdre l’équilibre son fessier joufflu, bien moulé sous la jupe était tendu vers Claire. Celle-ci le tapota négligemment :

— Te voilà en place pour ta fessée ma petite Laetitia, la prochaine fois, je veux que tu viennes te mettre de toi-même en position dès que je dois te punir, c’est bien compris !!

— Aïe, Aïe, Aïe…

La main de la sévère cheffe de service avait claqué plusieurs fois le large postérieur :

— Cesse de gigoter et de pleurer, je n’ai pas encore commencé.

Elle saisit l’ourlet de la jupe et la retroussa largement sur les reins, Laetitia sembla prendre conscience de la situation et de ce qui allait lui arriver, elle poussa un petit cri et essaya de retenir la main de Claire. Posément celle-ci, lui coinça la main dan le dos et claqua l’arrière des cuisses découvertes, Laetitia se mit à crier :

— Aïe, Aïe, Non, Non…

— Il va falloir que tu changes de comportement ma petite, quand je décide de t’administrer une fessée tu te laisses faire sinon je double la punition !!

La main continuait de claquer le haut des cuisses qui rougissaient à vue d’œil, Émilie était affolée par le spectacle de sa collègue en train de recevoir ce châtiment enfantin. Elle pensait qu’il n’était plus en cours depuis longtemps et ça allait être ensuite son tour, de grosses larmes se formèrent au coin de ses yeux.

Claire avait cessé la punition, elle tenait toujours fermement la grande Laetitia, elle retroussa complètement la jupe, la jeune femme ne résista pas. Son fessier était conforme aux attentes de Claire, joufflu et bien ferme. La fine culotte en dentelle ne le couvrait qu’à moitié, pendant la petite punition préparatoire, les tortillements de Laetitia l’avait fait rentrer dans la large raie fessière. La sévère cheffe de service passa sa main sur les fesses à moitié nues, elle voulait en apprécier la forme et la fermeté, bientôt ce derrière allait lui appartenir définitivement, la jeune femme couchée sur ses genoux ne le savait pas encore, mais elle allait très souvent devoir le présenter à madame Dugou. 



Elle était satisfaite, la punie gémissait doucement mais ne cherchait plus à se dérober, elle tapota la base des fesses :

— Une fessée déculottée, voilà ce que vous méritez toutes les trois, Clotilde l’a déjà reçue, maintenant c’est ton tour, voyons un peu ces jolies fesses.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte pour la baisser, Laetitia poussa un cri et se cabra, mais Claire la maintenait fermement, elle continua de déculotter calmement cette fière dame de 35 ans :

— Ce n’est pas la peine de gigoter ma petite chérie, j’ai bien dit une fessée déculottée, tu comprends donc que je dois te baisser la culotte que ça te plaise ou non.

La croupe s’étalait maintenant dans toute sa splendeur, elle était moins plantureuse que celle de Clotilde mais c’était un magnifique derrière fait pour la fessée, les deux hémisphères étaient serrés de honte et de crainte, Claire regarda en souriant Émilie :

— Voilà une dame cul nu prête pour sa punition, comme toi bientôt ma petite Émilie, il fallait réfléchir avant de faire vos bêtises.

Elle leva la main et commença la correction, elle fut immédiatement sévère, elle administrait de grandes claques alternativement sur chaque fesse ce qui avait pour effet de faire sauter la punie sur ses genoux. Celle-ci s’était mise immédiatement à crier et à pleurer sous la brûlure de la fessée, ses pieds battaient l’air désespérément.

Le large fessier prit rapidement une belle couleur rouge mais Claire ne s’arrêta pas pour autant, elle voulait marquer le coup pour cette première punition, il fallait que cette petite pimbêche s’en souvienne et devienne obéissante comme une gamine. Émilie était de plus en plus atterrée par la sévérité de la correction, elle s’imaginait bientôt à la place de Laetitia, les larmes coulaient sur ses joues.

Quand enfin la fessée cessa, Laetitia ne gigotait presque plus, elle était affalée en travers des cuisses de sa nouvelle maîtresse et pleurait comme une madeleine. Son derrière était écarlate, Claire posa la main dessus :

— Voilà une paire de fesses bien chaudes, tu vas aller au coin à côté de Clotilde pour la faire refroidir.

Elle aida la jeune femme à se relever et la prit par l’oreille pour l’a conduire contre le mur. Elle lui fit enjamber sa culotte entortillée autour de ses chevilles et la posa sur le bureau, puis elle coinça la jupe dans la ceinture pour dégager le fessier :

— Mets tes mains sur ta tête !!

Elle fit de même avec la jupe de Clotilde et lui donna le même ordre en lui claquant les fesses. Émilie n’avait pas bougé, elle la regarda avec un sourire gourmand :

— À nous deux ma petite chérie.

En passant à côté de la jeune femme, elle lui saisit l’oreille et l’amena avec elle jusqu’à la chaise, elle s’y assit et entrepris de déboutonner le jean de la jeune secrétaire, ses mains expertes eurent vite fait de le faire glisser jusqu’aux chevilles, Émilie était tétanisée, elle ne disait rien et ne bougeait pas. Claire lui prit la main et en un clin d’œil, elle se retrouva en position disciplinaire, elle poussa un petit cri de surprise, jamais elle n’avait reçu de fessée à la différence de ses deux collègues qui y avait goûté dans leur jeunesse.

Claire avait vu juste, cette petite avait vraiment un petit cul très mignon, il était moulé dans une adorable petite culotte rose, elle ne s’attarda pas et elle entreprit de déculotter cette donzelle. Les deux petites fesses bien musclées et d’un blanc laiteux étaient crispées par l’appréhension, elle les caressa doucement, ses pensées vagabondaient. Depuis quelque temps la vie au bureau prenait un tour très agréable, « tu vas voir ma belle comme je vais te le faire danser ton petit cul ». Sa main descendit sur les fesses, ses doigts s’immiscèrent dans la raie médiane :

— Ce n’est pas la peine de serrer tes jolies fesses ma chérie, maman Dugou va de toute façon t’administrer la bonne fessée déculottée que tu as méritée, ce n’est pas très agréable, mais il fallait réfléchir avant.

Émilie gémissait doucement, autant de honte que de crainte du châtiment qu’elle savait inéluctable.

Sa correction fut tout aussi sévère que celle de sa collègue, elle s’était mise à hurler dès le début et les pleurs suivirent rapidement, elle effectua comme Claire l’avait prévu, une magnifique danse des fesses, son derrière était si contracté sous la douleur que les deux fesses ne formaient plus qu’une boule écarlate. Claire souriait toujours, elle leva les yeux pour contempler les deux fessiers exposés au mur. Elle pensa qu’il faudrait redonner un peu de couleurs à celui de Clotilde. La jeune femme fut conduite au coin comme ses deux collègues. Claire lui retira le jean et la culotte et lui fit mettre les mains sur la tête.

Dans le couloir Alice et Lucie n’avaient rien perdu du spectacle, enfin elles en avaient eu surtout le son, par la porte entrouverte elle avait pu assister aux battements de jambes des punies et apercevoir leurs fesses bien rouges.

Dès qu’elle avait vu passer la cheffe de service qui se dirigeait d’un pas décidé vers le service comptabilité, Alice avait eu un petit rire gourmand :

— Il y a du panpan cucul dans l’air, on y va ?

Lucie était aussi excitée qu’elle, et comme deux collégiennes, elles s’étaient glissées dans le couloir pour assister à la punition des deux comptables. Lucie après sa sévère correction du matin et son plug dans les fesses était particulièrement contente d’entendre ses deux chipies couiner sous la fessée.

Le bruit des claques sur la peau nue associé aux pleurs des punies était doux à leurs oreilles.

Dès que la punition d’Émilie fut terminée, elles regagnèrent discrètement leur bureau. Il n’était pas question de se faire surprendre par madame Dugou, la sanction aurait été immédiate et cuisante.

Claire Dugou s’était approchée de Clotilde, l’avait ceinturée pour la faire se pencher en avant et lui avait administré rapidement une cinquantaine de claques sur la croupe qui commençait à pâlir :

— Je ne veux pas que tu attrapes froid aux fesses.

Avait-elle dit en riant, puis elle avait ajouté :

— Tu peux retourner au travail, j’ai encore à discuter avec les fesses de ces deux chipies.

Les deux punies en entendant ces mots avaient serrés les fesses ce qui avait eu le don de mettre en joie la sévère madame Dugou. Elle décida de les laisser mariner encore un peu et puis il fallait qu’elle commence à s’habituer à faire du coin.



— Je reviens dans un instant, en attendant mes deux petites chéries vous collez bien votre nez contre le mur et gare à vous si vous bougez.

Elle quitta la pièce pour se diriger vers le bureau de Lucie et Alice, celles-ci allaient avoir droit à une petite inspection de leurs fessiers, dès qu’elle entra son sourire vicieux renseigna les deux jeunes femmes, dès que Claire fit un signe avec son doigt, elles se levèrent, se placèrent devant leur bureau et retroussèrent leurs jupes. Claire était ravie d’une telle soumission à sa perversité :

— C’est bien, vous devenez obéissantes, il n’y a pas à dire mais les bonnes vieilles méthodes ont du bon. La bonne fessée déculottée fait des miracles.

Elle s’approcha et palpa sans vergogne les deux croupes étalées devant ses yeux, elles étaient encore colorées, mais celle d’Alice eut droit à une petite claquée pour lui redonner bonne mine. Puis elle s’attarda sur les fesses de Lucie, elle les écarta largement pour mettre à jour le plug, elle devinait la honte de la jeune femme, elle le fit coulisser et pivoter :

— Alors ma petite chérie, c’est bon d’avoir son petit cul garni ?

Lucie était au supplice, depuis qu’elle n’allait plus voir Chloé à sa pause déjeuner elle avait un peu oublié ce genre d’humiliation. Une vigoureuse claque lui rappela qu’il fallait répondre :

— Oui madame…

Claire se mit à rire :

— C’est si bon que ça ? et bien tu vas me remercier.

Lucie avait les joues très rouges, elle avala sa salive :

— Merci madame de m’avoir mis ce plug après m’avoir bien corrigée.

Elle avait essayé de trouver une formulation qui convienne à la sévère cheffe de service mais c’était sans compter sur la perversité de Claire. En continuant de manipuler le plug, elle tapota les fesses de la jeune femme :

— Dis-moi ma chérie, j’aimerais que tu emploies le terme exact, qu’est-ce que je fais quand je mets un plug dans ton petit trou ?

Lucie était de plus en plus rouge, bien sûr elle aussi aimait humilier ces soumises, mais pour le moment c’était elle qui était penchée en avant les fesses tendues, elle avait deviné ce que Claire voulait entendre. Une claque plus sèche sur son derrière lui indiqua que sa maîtresse perdait patience :

— Dépêche-toi un peu, si tu ne veux pas revenir sur mes genoux. Tu parles à haute voix qu’Alice entende bien.

Lucie était au supplice, mais ses fesses n’avaient pas besoin d’une nouvelle fessée, elle se lança :

— Merci madame de m’avoir enculée avec ce plug après m’avoir administré la fessée que j’avais bien méritée.



Elle avait dit ça assez fort mais très rapidement, Claire jugea l’humiliation suffisante. Elle claqua le popotin de sa secrétaire :

— C’est parfait, tu peux te relever. Alice tu as bien entendu ta copine, la prochaine fois que je te mets un plug, tu feras pareil.

La deuxième secrétaire rougit violemment, elle était habituée à recevoir de sévère fessée déculottée, mais elle n’avait jamais été déflorée par-derrière. Il semblait que madame Dugou ait l’intention de lui faire découvrir cette punition.

La sévère cheffe de service leur permis de remettre leurs jupes en place et quitta le bureau, elle devait finir de s’occuper des deux derrières qui l’attendaient au service comptabilité.

Quand elle rentra dans le bureau, elle constata avec satisfaction que les deux jeunes femmes n’avaient pas bougé, les nez étaient bien collés contre le mur et les mains posées sur la tête. La légère contraction des fessiers montrait que le temps commençait à leur paraître long. Elle se dirigea vers elles et les saisis chacune par l’oreille :

— Venez un peu ici mes jolies.

Elle les amena au centre de la pièce où trônait toujours la chaise qui avait servi aux fessées précédentes, elle lâcha l’oreille d’Émilie puis s’installa et força Laetitia à se coucher en travers de ses cuisses :

— Émilie tu ne bouges pas et tu laisses tes mains sur la tête. Tu vas regarder la fessée de Laetitia, ensuite ce sera ton tour.

Elle saisit la règle plate en bois qui était posée sur le bureau et tapota le derrière de la jeune femme :

— Mes petites chéries, il va falloir vous habituer à obéir sans discuter, quand je dois vous donner une fessée, je veux que vous veniez immédiatement vous coucher sur mes genoux sinon la punition sera doublée. Vous m’avez forcé à compter tout à l’heure et bien tant pis pour vous, vous avez gagné une deuxième fessée. Et comme je n’ai pas l’intention de me faire mal à la main, vous allez goûter à la règle.

Pendant tout son discours, elle n’avait pas cessé de claquer doucement les fesses tendues de Laetitia, elle avait fini sa phrase par deux coups plus sec administré à la base des fesses.

— Aïe, aïe… Pardon madame…

Laetitia s’était cabrée, la brûlure avait été intense sur cette zone si tendre de ses cuisses. Mais bientôt ce fut toute sa croupe qui se mit à lui cuire, la sévère cheffe de service administra une cinquantaine de coups de règle sur le fessier qui reprit immédiatement une magnifique couleur rouge brique. Émilie était affolée, sa collègue criait et pleurait, le claquement de la règle sur la peau nue des fesses était très impressionnant. Quand Laetitia, les yeux baignés de larme, pu se relever sa jeune collègue avait elle aussi le regard humide, Claire Lui fit un petit signe :

— Allez en piste ma jolie.

Impressionnée par la correction de Laetitia, elle approcha, en un clin d’œil, elle fut couchée en travers des genoux de Madame Dugou. Privée de jean et de culotte, elle était nue de la taille aux pieds, son joli petit postérieur était prêt pour sa punition. Claire regarda en souriant Laetitia qui se dandinait sur place, ses mains se dirigeaient vers sa croupe :

— Mets tes mains sur ta tête, ça t’évitera de frotter tes fesses et de revenir sur mes genoux. Regarde-moi, ce joli petit derrière de ta copine, il va danser aussi bien que le tien.

Et pour danser, il dansa, Émilie se tortillait sur les genoux de sa nouvelle maîtresse, mais ses fesses ne purent éviter aucun des coups de règle, Claire la maintenait fermement par la taille.



Elle reçut la même correction que Laetitia et quand elle fut remise sur pied elle sautilla sur place en pleurant. Claire était vraiment contente de sa matinée, et ce n’était pas fini. Les deux secrétaires étaient face à elle, les mains sur la tête, Clotilde en levant les yeux pouvait voir leurs deux fessiers écarlates. Claire leur annonça le programme :

— Comme vous êtes fautive comme Clotilde, vous aurez droit à la même punition. À midi, dans mon bureau pour une autre fessée déculottée et vous resterez au coin pendant la pause déjeuner. Ce soir une autre fessée avant de partir et ceci pendant une semaine. Vous avez également deux mois pour rembourser et tant que ce ne sera pas fait, vous aurez droit à une fessée déculottée tous les matins.

Elle tourna les talons et laissa les trois comptables éplorées.



10 commentaires:

  1. Je suggère qu' Emilie soit obligée de porter des jupes courtes ...a partir de maintenant ....

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  2. Une semaine sans publication cela mérite une fessee déculottée avec introduction du thermomètre

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    1. Vous avez entièrement raison, ça craint pour mes fesses quand Caroline va s'en rendre compte. Promis je vais me remettre au travail.
      Sylvie

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  3. Caroline occupe toi des fesses de Sylvie .elle s'endort sur ses lauriers et nous laisse dans une attente insuportable

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  4. Vous êtes en vacances chère Sylvie. La punition va être sévère 🔥🍑🔥

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  5. Peut être pourriez vous donner à Sylvie des Idées de récits ?

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    1. Très bonnes idée, j’ai énormément de scénario en tête !! 🍑🔥🍑

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    2. Ma chère Caroline ce n'est pas les idées qui me font défaut. C'est le temps et également je l'avoue de temps en temps la flemme. Mais promis je vais m'y remettre avant que vous ne me baissiez la culotte.
      Sylvie

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  6. J'aime beaucoup les récits d'école privée ou de pensionnat de jeune fille tenues par des religieuses adeptes de l'éducation anglaise et très strict sur le contrôle de l'hygiène intime et propreté des culottes .toute relation saphique étant fortement punies.les prof peuvent être publiés aussi

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  7. Les professeurs peuvent être punies aussi en public

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Deux étudiantes 22

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