lundi 1 avril 2024

Lucie et Christian 12

 Clotilde



Claire Dugou avait reçu un mail de l’organisme qui contrôlait la gestion de l’entreprise, lui faisant part d’anomalie comptable qui pouvait signifier un risque de détournement d’argent. Les pièces jointes étaient édifiantes. Elle avait étudié soigneusement ces documents, ils provenaient tous d’une même source et étaient signés par la responsable de la comptabilité, Mme Clotilde Berteau.

Celle-ci était une dame d’une cinquantaine d’années, grande, bien en chair avec une poitrine généreuse et un popotin bien rebondi, elle était toujours élégamment habillée. Quand elle avait reçu le mail de Claire Dugou sa cheffe de service lui demandant de venir la voir afin de vérifier quelques anomalies, elle avait compris que son petit manège lui permettant d’arrondir ses fins de mois avait certainement été découvert.

Quand Alice et Lucie l’avait vu passer dans le couloir le matin même, elle n’était pas fière et cherchait à trouver une explication à fournir à Claire Dugou. Quand celle-ci lui eu mis sous le nez l’ensemble des pièces comptables, elle pâlit et bégaya :

— Euh, madame c’est-à-dire, je… je ne sais pas.

Claire souriait, se délectant de la gêne de la comptable, puis elle prit un air sévère :

— Je ne vois qu’une seule solution, la plainte au procureur de la république et la mise à pied en attendant votre licenciement.

Le sol venait soudain de se dérober sous les pieds de Clotilde, les larmes commencèrent à couleur :

— Mais madame, ce… ce n’est pas possible…

— Eh pourquoi donc ? Vous avez commis une escroquerie madame Berteau.

Clotilde se jeta aux genoux de sa cheffe de service :

— Non, non, tout mais pas ça, ne portez pas plainte, je vais rembourser.

Claire savourait, sa proie était prête, il ne lui restait plus qu’à porter l’estocade :

— Il y a quand même une autre solution…

Elle laissa le temps à Clotilde d’espérer, elle souriait toujours :

— Si vous remboursez, la plainte peut s’arrêter mais pas la procédure de licenciement… À moins que…

Clotilde était très pâle :

— Oh oui, madame je ferai tout ce que vous voudrez.

Claire prit une feuille sur le bureau et la tendit à Clotilde :

— C’est une reconnaissance de vos fautes, vous signez et vous acceptez sans restrictions les sanctions que je jugerai utile de vous appliquer. À cette condition je ne transmettrai pas ces éléments à la hiérarchie, tout cela restera entre nous.

Clotilde lut rapidement le feuillet, elle prit un stylo et le signa :

— Voilà madame, que dois-je faire ?

Claire avait un sourire carnassier, elle dévisageait sa future victime des pieds à la tête, c’est vrai que le fessier de Clotilde Berteau était plantureux, elle allait se régaler. Elle recula sa chaise :

— Vous allez simplement m’obéir ma petite Clotilde.

La cheffe comptable sursauta un peu d’être appelée par son prénom, elle rougit légèrement :

— Oui madame, bien sûr…

— Je vais devoir vous corriger ma petite Clotilde.

La pauvre comptable commençait à craindre la suite, elle bafouilla :

— Euh, oui… Que voulez-vous dire madame ?

Claire fit un petit signe du doigt :

— Approchez. Je vais vous punir, vous ne pensez pas que c’est nécessaire ?

— Euh, si, si… Mais co… comment madame ?

Le signe du doigt se fit plus impérieux :

— Approchez ! Je ne vais pas le répéter ! C’est très simple ma petite Clotilde, je vais commencer par vous administrer une bonne fessée déculottée, ensuite nous aviserons…

Clotilde ouvrit la bouche, mais rien ne sortit, elle était abasourdie, elle avait 50 ans et on parlait de lui donner la fessée déculottée… Elle ne bougeait toujours pas.

Claire tambourinait avec ses doigts sur son bureau, un léger sourire aux lèvres :

— Bien, je vous ai dit que je n’allais pas le répéter, je vais donc compter jusqu’à trois. Passé ce délai, si vous n’êtes pas venue vous coucher gentiment sur mes genoux, la plainte sera transmise à la justice. Le document est prêt, je n’ai plus qu’à cliquer.

On aurait annoncé à Clotilde Berteau que la terre venait de s’arrêter de tourner qu’elle aurait fait sans doute la même tête.

Claire la regardait fixement elle compta lentement :

— Un !

Clotilde ouvrit à nouveau la bouche. Le décompte se poursuivait :

— Deux !!

— Non, non, attendez !

La cheffe comptable s’était précipitée vers Claire, elle était contre sa cuisse. Celle-ci lui tapota le derrière :

— En position, vite !!

Clotilde comme un automate, sans plus réfléchir se coucha en travers des cuisses de sa cheffe de service. L’impensable venait de se produire, elle l’élégante bourgeoise se retrouvait en position disciplinaire, elle venait de faire un bon de 35 ans en arrière.

Claire savourait sa victoire, le plantureux fessier de sa nouvelle victime était à sa disposition, bien tendu sous la jupe noire. Elle tapota la large croupe :

— Ça a été un peu laborieux, la prochaine fois que vous récriminerez pour vous mettre en position, la punition sera doublée, tâchez de ne pas l’oublier, quand je vous demande de venir sur mes genoux, c’est immédiatement, compris !!

Sa main venait de claquer sèchement le fessier de Clotilde, celle-ci poussa un petit cri de surprise.

— Aïe, oui madame, pardon, aïe, aïe.

Claire était satisfaite de la soumission de sa subordonnée, mais elle voulait pousser son avantage, elle commença donc immédiatement à claquer les fesses de Clotilde sur la jupe.

Celle-ci tortillait son derrière de façon très suggestive en poussant des petits gémissements qui amusaient beaucoup la sévère fesseuse. « Attends que je te déculotte ma petite chérie, tu vas crier pour quelque chose ».

Elle cessa la fessée préparatoire et saisit l’ourlet de la jupe, Clotilde se crispa :

— Non, non, s’il vous plaît madame.

Claire était vraiment pressée de découvrir de plus près son prochain joujou. Elle ne fut pas déçue, la cheffe comptable aimait les dessous sexy, elle portait des bas fumés tenus par un porte-jarretelles noir et une culotte en dentelle de la même couleur.

Comme elle l’avait deviné la paire de fesses de Clotilde était vraiment bien rebondie, elle débordait largement de la culotte. Un léger rose apparaissait au niveau du pli fessier, la punie s’agitait légèrement prenant soudain conscience de la situation, elle gémissait :

— Madame, non, non, à mon âge…

Claire prit sa voix la plus sévère :

— Cesse de gigoter et de pleurnicher, j’ai dit que j’allais t’administrer une bonne fessée déculottée, nous n’en sommes qu’au début.

Elle releva la main et recommença à claquer le généreux postérieur, elle visait la partie dénudée. Clotilde se mit à crier elle voulut protéger ses fesses avec sa main, Claire la saisit et la coinça dans le dos :

— Il va falloir que tu t’habitues à recevoir la fessée sans rechigner ma petite Clotilde, chaque fois que tu mettras ta main pour m’empêcher de te corriger, je doublerai la punition.

Elle augmenta la force des claques, rapidement la base des fesses devint rouge, la cheffe comptable pleurnichait et commençait à battre des jambes. Claire était ravie, elle faisait durer la fessée préparatoire, la fine lingerie rentrait maintenant dans la raie fessière sous l’effet du trémoussement du fessier. Il fallait passer à la vraie fessée déculottée, elle se régalait par avance de la réaction de Clotilde, se retrouver à plat ventre, la jupe retroussée c’était déjà humiliant mais se faire baisser la culotte c’était encore pire. Elle cessa la fessée et glissa ses doigts dans l’élastique de la culotte puis elle commença le déculottage. Clotilde hurla :

— Non, non, madame pas la culotte… NON !

Claire la maintenait fermement, elle eut beau se débattre, la lingerie glissa sur sa large croupe :

— Je t’ai promis une fessée déculottée ma petite Clotilde, tu sais ce que ça veut dire ? Oui, une fessée cul nu, c’est ce que tu mérites, tes jolies fesses sont ravissantes, mais je vais leur donner un peu plus de couleurs.

Elle caressa la large croupe, elle était déjà bien colorée par la fessée préparatoire, c’était vraiment un beau derrière, on l’aurait dit fait pour recevoir des claques. Et il allait en recevoir foi de Claire, maintenant qu’elle avait accepté sans trop rechigner de se coucher en travers de ses cuisses et de se faire déculotter, ce serait tous les jours qu’elle serait obligée de venir présenter son gros derrière pour se le faire corriger.

La main continuait à palper le popotin joufflu, elle sentait la honte de Clotilde, celle-ci contractait ses fesses pour essayer de protéger son intimité, elle glissa sa main entre les cuisses de sa victime et la força à les écarter :

— Allez ma petite Clotilde, on se détend et on ne serre pas les fesses, ça ne sert à rien de toute façon avec la correction que je vais t’administrer tu vas les écarter je puis te l’assurer.

Elle avait livré à voix hautes ses réflexions, Clotilde Berteau savait maintenant à quoi s’en tenir sur la suite des événements.

La cheffe comptable de 50 ans, se retrouvait à ce moment précis dans la même position et la même tenue que 35 ans auparavant chez sa tante. Celle-ci lui donnait des cours d’anglais et n’appréciait pas trop sa nonchalance pour ne pas dire sa paresse. C’était quasiment systématique quand elle allait chez tante Sophie elle en ressortait avec des fesses brûlantes et le fait qu’elle soit adolescente n’arrêtait pas la sévère professeure, la sanction en cas de mauvaise conduite c’était toujours une bonne fessée déculottée et un passage au coin les fesses nues et bien rouges.



Ses souvenirs devinrent soudain encore plus brûlants, car la main de Claire avait repris son travail, elle s’en donnait à cœur joie s’appliquant à couvrir toute la surface du large fessier d’une belle couleur rouge. La fessée fut magistrale, Clotilde savait maintenant à quoi s’en tenir, elle avait pleuré, supplié battu des jambes, serré et desserré ses fesses, rien n’y avait fait. Elle avait reçu la correction promise par Claire Dugou.

Maintenant, celle-ci la maintenait dans cette position et caressait à nouveau les fesses brûlantes :

— Bien, tu vas me raconter un peu comment t’es venu cette idée et qui est au courant de tes bêtises. Je te conseille de ne rien oublier, ton derrière reste à ma disposition. Je t’écoute !

Une dernière claque avait ponctué la fin de la phrase. Clotilde en sanglotant expliqua en détail le montage et elle confessa après quelques claques bien appliquées sur ses fesses meurtries que ses deux collègues de la comptabilité étaient au courant et avaient également bénéficié de ses largesses.

Claire Dugou savourait en souriant, cette confession lui ouvrait de nouvelles perspectives, Émilie et Lætitia les deux collègues de Clotilde allaient devoir lui présenter leurs fesses dans peu de temps.

Satisfaite elle fit relever la cheffe comptable, son visage était baigné de larmes, son maquillage avait coulé, elle lui désigna le coin de la pièce :

— Files te mettre au coin, ça va te permettre de réfléchir et de faire un peu refroidir ton derrière, je n’en ai pas tout à fait fini avec lui !



Clotilde s’exécuta, penaude. Quand Claire Dugou lui demanda de mettre ses mains sur sa tête et vint lui coincer l’ourlet de la jupe dans la ceinture pour bien dégager ses fesses brûlantes, elle se retrouva mentalement dans le salon de sa tante après une leçon non apprise. Elle colla son nez contre le mur comme sa sévère tatie Sophie lui demandait. Elle était définitivement soumise à sa cheffe de service.

Elle venait de se rendre compte que celle-ci était passée au tutoiement depuis un petit moment, son statut avait brutalement changé.

Claire contempla un instant le tableau puis se décida à aller voir ses deux chipies qui devaient être assises sur leurs fesses bien rouges. Elle savait que Clotilde ne bougerait pas de son coin.

Quand elle revint après avoir vérifié l’état du derrière de Lucie et Alice, Clotilde avait toujours le nez collé au mur, sa croupe rubiconde se contractait encore signe de la brûlure qui devait encore l’envahir. Elle s’approcha et posa sa main sur ce magnifique joufflu, cette expression qu’employait sa grand-mère pour parler d’un beau postérieur féminin, lui paraissait tout à fait adapté à celui de la cheffe comptable.

— Alors ma petite Clotilde, tu as bien réfléchi ? Tu ne recommenceras pas tes bêtises ?

La croupe se contracta et la punie répondit d’une petite voix :

— Non, non madame, promis.

Claire se mit à rire :

— Eh bien voilà une bonne résolution, mais ne crois pas que tu vas t’en tirer avec juste une petite fessée cul nu.

Clotilde serra un peu plus ses fesses, la main de sa nouvelle maîtresse s’était glissé dans la raie médiane.

— Oh tu peux bien les serrer tes jolies fesses, qu’en j’en aurai fini avec elles, je te garantis que tu n’auras plus jamais envie de recommencer.

En terminant sa phrase, elle avait saisi l’oreille de Clotilde.

— Viens un peu ici ma jolie.

Tenant toujours fermement sa victime comme si elle n’était qu’une gamine désobéissante, elle s’assit sur une chaise et la força à se coucher à nouveau en travers de ses cuisses. Elle prit une règle plate en bois longue de 50 cm et caressa les fesses rouges :

— On va passer à la deuxième partie de ta punition, ma main n’est pas suffisante pour une aussi belle paire de fesses, tu vas voir comme ma règle va bien s’en occuper.

La fessée reprit de plus belle et Clotilde se remit à gémir puis à crier sous la brûlure des coups de règle sur son fessier. Claire s’en donnait à cœur joie, Alice avait certes une belle croupe mais celle de Clotilde était beaucoup plus large et rebondie, un vrai plaisir pour une fesseuse.

La danse des fesses fut somptueuse, l’intimité de sa subordonnée n’avait plus aucun secret pour elle quand Claire reposa sa règle sur son bureau. La cheffe comptable pleurait à chaudes larmes, son derrière n’était plus qu’une boule de feu quand elle fut remise sur pied par Claire Dugou. Elle ne put s’empêcher de poser sa main sur ses fesses pour les frotter. Immédiatement la règle saisie rapidement par la sévère fesseuse reprit son œuvre sur ses cuisses :

— Ah, non ma petite, tu ne frottes pas tes fesses !!

— Aïe, aïe, pardon madame, aïe, aïe…

— Mets tes mains sur ta tête, vite !!

En pleurant Clotilde obéit, Claire reposa la règle sur le bureau et la regarda sévèrement :

— La prochaine fois que tu essayes de frotter tes fesses, tu reviens sur mes genoux et je double la fessée. Enlève ta culotte et donne-la moi, tu resteras cul nu sous ta jupe toute la journée, ça te rappellera à l’obéissance.

Clotilde enjamba son sous-vêtement et le tendit en rougissant à sa cheffe de service, celle-ci le suspendit à la patère, c’est alors que la comptable se rendit compte qu’il y avait déjà deux culottes suspendues, elle ne savait pas encore que c’étaient celle de Lucie et Alice.

Claire s’était assise à son bureau, elle fit un petit signe à sa victime :

— Approche un peu, garde tes mains sur la tête, ça t’évitera de faire des bêtises. Voilà le programme que j’ai prévu pour ton derrière. Tu viendras à midi, pour recevoir une nouvelle fessée déculottée et tu resteras au coin dans mon bureau pendant ta pause, tu en recevras une autre avant de partir ce soir. Même programme pendant toute la semaine, tu vas voir tes jolies fesses vont être en pleine forme. Tu as deux mois pour rembourser les sommes détournées, tant que tu n’auras pas fini tu viendras me voir tous les matins pour que je t’administre une fessée déculottée. Maintenant tu retournes à ton bureau, je vais venir dans dix minutes pour m’occuper de tes deux acolytes, leurs petites fesses vont également prendre l’air.

Clotilde avait écouté sans un mot ce que lui réservait sa cheffe de service, ça allait être cuisant, douloureux et humiliant mais ça valait mieux que la case police et justice. Claire se leva, fit pivoter la dame aux joues et aux fesses de la même couleur, elle passa sa main sur la croupe rubiconde puis la claqua sèchement une dizaine de fois :

— Allez file, vilaine fille ! Tu as de la chance, je t’autorise à remettre ta jupe en place, ce ne sera pas toujours le cas.








1 commentaire:

  1. J'ai hâte de lire la suite. Les petites fesses d’Émilie et Laetitia vont être déculottées. Un vrai plaisir ce fantasme 🍑 🔥 🍑

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